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Accueil - Information professionnelle sur Pantoprazol Sandoz 20 mg - Changements - 30.03.2017
28 Changements de l'information professionelle Pantoprazol Sandoz 20 mg
  • -Traitement de l'infection bactérienne Helicobacter pylori dans les cas d'ulcère duodénal et d'ulcère gastrique, en association avec deux antibiotiques. Prévention des ulcères gastroduodénaux induits par les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) chez les patients à risque élevé de développer de telles lésions et pour lesquels un traitement par AINS doit être poursuivi.
  • +Traitement de l'infection bactérienne par Helicobacter pylori dans les cas d'ulcère duodénal et d'ulcère gastrique, en association avec deux antibiotiques. Prévention des ulcères gastroduodénaux induits par les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) chez les patients à risque élevé de développer de telles lésions et pour lesquels un traitement par AINS doit être poursuivi.
  • -Traitement à long terme du syndrome de Zollinger-Ellison et d'autres affections associées à une hypersécrétion pathologique d'acide gastrique: la posologie initiale recommandée est de 80 mg (2 comprimés pelliculés de Pantoprazole Sandoz 40 mg par jour). La posologie sera ensuite ajustée individuellement en fonction de la sécrétion d'acide gastrique. À des posologies supérieures à 80 mg par jour, la dose journalière doit être répartie sur deux prises. Une augmentation momentanée de la posologie à une dose de plus de 160 mg de pantoprazole par jour est possible; toutefois, elle ne doit pas être maintenue plus longtemps que ce qui est nécessaire pour un contrôle suffisant de la sécrétion acide.
  • +Traitement à long terme du syndrome de Zollinger-Ellison et d'autres affections associées à une hypersécrétion pathologique d'acide gastrique: la posologie initiale recommandée est de 80 mg (2 comprimés pelliculés de Pantoprazole Sandoz 40 mg) par jour. La posologie sera ensuite ajustée individuellement en fonction de la sécrétion d'acide gastrique. À des posologies supérieures à 80 mg par jour, la dose journalière doit être répartie sur deux prises. Une augmentation momentanée de la posologie à une dose de plus de 160 mg de pantoprazole par jour est possible; toutefois, elle ne doit pas être maintenue plus longtemps que ce qui est nécessaire pour un contrôle suffisant de la sécrétion acide.
  • -Traitement concomitant avec AINS
  • +Traitement concomitant par AINS
  • -Comme tous les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP), le pantoprazole peut entraîner une augmentation du nombre de bactéries normalement présentes dans le tractus gastro-intestinal supérieur. Par conséquent, un traitement par Pantoprazole Sandoz peut entraîner un risque légèrement accru d'infection gastro-intestinale d'origine bactérienne, par exemple par des salmonelles, Campylobacter et Clostridium difficile.
  • +Comme tous les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP), le pantoprazole peut entraîner une augmentation du nombre de bactéries normalement présentes dans le tractus gastro-intestinal supérieur. Par conséquent, un traitement par Pantoprazole Sandoz peut entraîner un risque légèrement accru d'infection gastrointestinale d'origine bactérienne, par exemple par des salmonelles, Campylobacter et Clostridium difficile.
  • -Comme avec tous les médicaments inhibiteurs de l'acidité gastrique, le pantoprazole est également susceptible d'entraîner une malabsorption de la vitamine B12 (cyanocobalamine) par le biais d'une achlorhydrie ou d'une hypochlorhydrie. En cas de traitement au long cours, cet aspect doit être pris en considération chez les patients présentant des facteurs de risque de malabsorption de la vitamine B12, une diminution des réserves en vitamine B12 ou des symptômes cliniques correspondants.
  • +Le traitement quotidien prolongé (pendant plusieurs années) par des médicaments qui bloquent la sécrétion acide peut provoquer une malabsorption de la cyanocobalamine (vitamine B12) par hypochlorhydrie ou achlorhydrie. Une carence en cyanocobalamine doit être envisagée chez les patients atteints du syndrome de Zollinger-Ellison et autre états hypersécrétoires pathologiques nécessitant un traitement prolongé, chez les personnes présentant une baisse des réserves de l'organisme ou des facteurs de risque de réduction de l'absorption de la vitamine B12 (telles que les personnes âgées) pendant un traitement au long cours ou une diminution des réserves en vitamine B12 ou en présence de symptômes cliniques importants.
  • +Hypomagnésémie
  • +Des fractures osseuses
  • +Effet sur les examens de laboratoire
  • +Au cours du traitement par des médicaments antiacides, la gastrine sérique augmente en réponse à la diminution de la sécrétion acide. De la même manière, la chromogranine A (CgA) augmente en réponse à la diminution de la sécrétion acide. Cette augmentation du taux de CgA peut interférer avec les analyses réalisées lors de tumeurs neuroendocriniennes. Des données de la littérature mentionnent que tout traitement par un IPP doit être interrompu 5 à 14 jours avant un dosage de la CgA réalisé dans le cadre du bilan ou du contrôle de l'évolution de tumeurs neuroendocriniennes, car les taux de CgA accrus suite au traitement se normalisent en l'espace de 5 à 14 jours – ou plus dans de rares cas. Le dosage doit être répété si les taux de CgA sont encore trop élevés après ce délai.
  • +Lupus érythémateux cutané subaigu (LECS)
  • +Les inhibiteurs de la pompe à protons sont associés à de très rares cas de lupus érythémateux cutané subaigu (LECS). Si des lésions se développent, notamment sur les zones cutanées exposées au soleil, et si elles s'accompagnent d'arthralgie, le patient doit consulter un médecin rapidement et le professionnel de santé doit envisager l'arrêt de Pantoprazole Sandoz. La survenue d'un LECS après un traitement par un inhibiteur de la pompe à protons peut augmenter le risque de LECS lors de la prise d'autres inhibiteurs de la pompe à protons.
  • +Très rares: Lupus érythémateux cutané subaigu (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Troubles du système reproducteur et de la poitrine
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • -Le pantoprazole est entièrement résorbé après administration par voie orale. Le taux de principe actif maximal est déjà atteint après l'administration unique orale ou intraveineuse d'une dose correspondante de pantoprazole. Le taux sérique maximal (Pantoprazole Sandoz 20 mg: environ 1–1,5 µg/ml, Pantoprazole Sandoz 40 mg: environ 2–3 µg/ml) est atteint environ 2,5 heures en moyenne après l'administration et il se maintient sans modification à ce niveau, même après plusieurs administrations.
  • +Le pantoprazole est entièrement résorbé après administration par voie orale. Le taux de principe actif maximal est déjà atteint après l'administration unique d'une dose correspondante de pantoprazole. Le taux sérique maximal (Pantoprazole Sandoz 20 mg: environ 1–1,5 µg/ml, Pantoprazole Sandoz 40 mg: environ 2–3 µg/ml) est atteint environ 2,5 heures en moyenne après l'administration et il se maintient sans modification à ce niveau, même après plusieurs administrations.
  • -Le pantoprazole est dégradé presque exclusivement par le foie. Le métabolisme du pantoprazole se fait principalement par le biais de la déméthylation médiée par le CYP2C19 et de la sulfatation subséquente, mais aussi par le biais d'autres voies métaboliques telles que l'oxydation médiée par le CYP3A4 Dans le sérum, tout comme dans l'urine, le métabolite principal est le desméthyl-pantoprazole conjugué au sulfate. La demi-vie du métabolite principal (environ 1,5 heures) est à peine plus longue que celle du pantoprazole. Le métabolite principal ne contribue pas à l'inhibition de la sécrétion acide (expérimentation animale).
  • +Le pantoprazole est dégradé presque exclusivement par le foie. Le métabolisme du pantoprazole se fait principalement par le biais de la déméthylation médiée par le CYP2C19 et de la sulfatation subséquente, mais aussi par le biais d'autres voies métaboliques telles que l'oxydation médiée par le CYP3A4. Dans le sérum, tout comme dans l'urine, le métabolite principal est le desméthyl-pantoprazole conjugué au sulfate. La demi-vie du métabolite principal (environ 1,5 heures) est à peine plus longue que celle du pantoprazole. Le métabolite principal ne contribue pas à l'inhibition de la sécrétion acide (expérimentation animale).
  • -Chez les patients présentant une cirrhose du foie (Child A, Child B), la demi-vie se prolonge vers des valeurs comprises entre 3 et 6 heures (Pantoprazole Sandoz 20 mg), et entre 7 et 9 heures (Pantoprazole Sandoz 40 mg), et l'AUC est multipliée par un facteur de 3 à 5 (Pantoprazole Sandoz 20 mg) et 5 à 7 (Pantoprazole Sandoz 40 mg). Toutefois, le taux sérique maximal n'augmente que peu par rapport aux volontaires sains, d'un facteur de 1,3 (Pantoprazole Sandoz 20 mg) et de 1,5 (Pantoprazole Sandoz 40 mg). Une légère augmentation de l'AUC et de la Cmax chez les volontaires âgés, par rapport aux volontaires jeunes, ne présente aucune pertinence clinique. Cependant, le pantoprazole doit être utilisé avec précaution chez les patients âgés (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Chez les patients présentant une cirrhose du foie (Child A, Child B), la demi-vie se prolonge vers des valeurs comprises entre 3 et 6 heures (Pantoprazole Sandoz 20 mg), et entre 7 et 9 heures (Pantoprazole Sandoz 40 mg), et l'AUC est multipliée par un facteur de 3 à 5 (Pantoprazole Sandoz 20 mg) et 5 à 7 (Pantoprazole Sandoz 40 mg). Toutefois, le taux sérique maximal n'augmente que peu par rapport aux volontaires sains, d'un facteur de 1,3 (Pantoprazole Sandoz 20 mg) et de 1,5 (Pantoprazole Sandoz 40 mg). Une légère augmentation de l'AUC et de la Cmax chez les volontaires âgés, par rapport aux volontaires jeunes ne présente aucune pertinence clinique. Cependant, le pantoprazole doit être utilisé avec précaution chez les patients âgés (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Les données précliniques issues d'essais conventionnels au sujet de la sécurité pharmacologique, de la toxicité par administrations réitérées et de la génotoxicité ne mettent en évidence aucun risque particulier chez l'être humain.
  • +Les données précliniques issues d'essais conventionnels au sujet de la sécurité pharmacologique, de la toxicité par administrations réitérées, et de la génotoxicité ne mettent en évidence aucun risque particulier chez l'être humain.
  • -Au cours des études de carcinogénicité sur 2 ans menées chez le rat (correspondant à un traitement à vie chez le rat) des néoplasies neuroendocriniennes sont apparues. De plus, des papillomes des cellules squameuses sont apparus dans la partie proximale de l'estomac du rat. Le mécanisme entraînant la formation de carcinoïdes gastriques par les benzimidazoles substitués a été étudié de façon approfondie et permet de conclure à une réaction indirecte secondaire à l'élévation massive de la gastrinémie chez le rat au cours de l'administration chronique de la substance.
  • -Au cours des études sur 2 ans chez le rat et la souris femelle, une augmentation du nombre de tumeurs hépatiques a été observée et a été interprétée comme une conséquence du métabolisme hépatique important du pantoprazole.
  • -Une légère augmentation des transformations néoplasiques de la thyroïde a été notée dans le groupe de rats recevant la dose la plus forte. L'apparition de ces néoplasies est associée aux modifications induites par le pantoprazole des processus de dégradation de la thyroxine au niveau hépatique chez le rat.
  • +Au cours des études de carcinogénicité sur 2 ans menées chez le rat (correspondant à un traitement à vie chez le rat), des néoplasies neuroendocriniennes sont apparues. De plus, des papillomes des cellules squameuses sont apparus dans la partie proximale de l'estomac du rat. Le mécanisme entraînant la formation de carcinoïdes gastriques par les benzimidazoles substitués a été étudié de façon approfondie et permet de conclure à une réaction indirecte secondaire à l'élévation massive de la gastrinémie chez le rat au cours de l'administration chronique de la substance.
  • +Au cours des études sur 2 ans chez le rat et la souris femelle, une augmentation du nombre de tumeurs hépatiques a été observée et a été interprétée comme une conséquence du métabolisme hépatique important du pantoprazole. Une légère augmentation des transformations néoplasiques de la thyroïde a été notée dans le groupe de rats recevant la dose la plus forte. L'apparition de ces néoplasies est associée aux modifications induites par le pantoprazole des processus de dégradation de la thyroxine au niveau hépatique chez le rat.
  • -Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch; domicile: Rotkreuz.
  • +Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch; domicile: Rotkreuz
  • -Mai 2016.
  • +Février 2017.
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