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Accueil - Information professionnelle sur Paclitaxel-Teva liquid 30 mg/5 ml - Changements - 27.05.2021
118 Changements de l'information professionelle Paclitaxel-Teva liquid 30 mg/5 ml
  • -Principe actif: Paclitaxelum.
  • -Excipients: Acidum citricum anhydricum, Macrogolglyceroli ricinoleas (Cremophor® EL), Ethanolum anhydricum 0,38 g ad solutionem pro 1 ml.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Concentré pour la préparation d'une solution pour perfusion.
  • -Flacons perforables: 30 mg/5 ml; 100 mg/16,7 ml; 150 mg/25 ml; 300 mg/50 ml.
  • +Principes actifs
  • +Paclitaxelum.
  • +Excipients
  • +Acidum citricum anhydricum, Macrogolglyceroli ricinoleas, Ethanolum anhydricum 0.38 g ad solutionem pro 1 ml.
  • -Traitement primaire du carcinome ovarien au stade avancé (Stade FIGO III, IV) ou traitement de carcinomes résiduels (>1 cm) après laparotomie, en association avec du cisplatine.
  • -Traitement du carcinome ovarien avec métastases après l'échec d'un traitement standard par des associations chimiothérapeutiques contenant du platine.
  • +Traitement primaire des carcinomes ovariens au stade avancé (Stade FIGO III, IV) ou traitement de carcinomes résiduels (>1 cm) après laparotomie, en association avec du cisplatine.
  • +Traitement des carcinomes ovariens métastatiques après l'échec d'un traitement standard par des associations chimiothérapeutiques contenant du platine.
  • -En association avec le trastuzumab pour le traitement du carcinome du sein métastatique avec surexpression tumorale de HER 2 chez les patients qui n'ont pas encore reçu de chimiothérapie pour leur maladie métastatique.
  • -Traitement du carcinome du sein métastatique lorsqu'une thérapie à base d'anthracycline a échoué ou n'est pas indiquée.
  • +En association avec le trastuzumab pour le traitement du carcinome du sein métastatique avec surexpression tumorale de HER 2 chez les patients n'ayant pas encore reçu de chimiothérapie pour le traitement de leur maladie métastatique.
  • +Traitement du carcinome du sein métastatique lorsqu'un traitement standard à base d'anthracycline a échoué ou n'est pas indiqué.
  • -Paclitaxel-Teva liquid ne devrait être administré que par des professionnels de la santé expérimentés dans le domaine de la chimiothérapie cytostatique. De plus, un équipement approprié pour le traitement d'éventuelles complications doit être disponible.
  • +Paclitaxel-Teva liquid ne doit être administré que par des professionnels de la santé expérimentés dans le domaine de la chimiothérapie cytostatique. De plus, un équipement approprié pour le traitement d'éventuelles complications doit être disponible.
  • -Prémédication:
  • -Avant d'instaurer un traitement par Paclitaxel-Teva liquid, il sera nécessaire de faire une prémédication avec un corticostéroïde, un antagoniste des récepteurs H1 et un antagoniste des récepteurs H2 (p.ex. en utilisant le schéma de dosage suivant).
  • -Médicament Posologie Administration avant Paclitaxel-Teva liquid
  • -Dexaméthasone 20 mg, per os ou per os: env. 12 et 6 h
  • - 20 mg, i.v. i.v.: 30 à 60 minutes
  • +Prémédication
  • +Avant d'instaurer un traitement par Paclitaxel-Teva liquid, il sera nécessaire de faire une prémédication avec un corticostéroïde, un antagoniste des récepteurs H1 et un antagoniste des récepteurs H2 (par ex. en utilisant le schéma posologique suivant).
  • +Médicament Dose Administration avant Paclitaxel-Teva liquid
  • +Dexaméthasone 20 mg, per os per os: env. 12 et 6 h
  • + ou
  • + 20 mg, i.v. i.v.: 30 à 60 minutes
  • -Traitement primaire du carcinome ovarien au stade avancé:
  • -La posologie recommandée de Paclitaxel-Teva liquid est de 175 mg/m² de surface corporelle, administrée sous forme de perfusion intraveineuse sur une période de 3 h. Cette perfusion est suivie d'un traitement par le cisplatine à une posologie de 75 mg/m². Lorsqu'on préfère une perfusion de 24 h, la posologie de Paclitaxel-Teva liquid est de 135 mg/m², suivie de 75 mg de cisplatine/m².
  • -Les divers cycles d'application devraient se dérouler à 3 semaines d'intervalle.
  • -Paclitaxel-Teva liquid sera toujours administré avant le cisplatine. Voir aussi «Interactions». Cisplatine: voir l'information professionnelle correspondante.
  • -Traitement secondaire du carcinome ovarien métastatique et résistant aux traitements standards:
  • -La posologie recommandée de Paclitaxel-Teva liquid est de 175 mg/m² de surface corporelle, administrée sous forme de perfusion intraveineuse sur une période de 3 h.
  • -Les divers cycles d'application devraient se dérouler à 3 semaines d'intervalle.
  • -Traitement du carcinome bronchique non à petites cellules:
  • -La posologie recommandée de Paclitaxel-Teva liquid est de 175 mg/m² de surface corporelle, administrée sous forme de perfusion intraveineuse sur une période de 3 h. Cette perfusion est suivie d'un traitement par le cisplatine (dans l'étude EORTC 08925, la posologie de cisplatine était de 80 mg/m² en association avec Paclitaxel-Teva liquid). Les divers cycles d'application devraient se dérouler à 3 semaines d'intervalle et le traitement devrait être limité à 6 cycles.
  • -Paclitaxel-Teva liquid sera toujours administré avant le cisplatine. Voir aussi «Interactions». Cisplatine: voir l'information professionnelle correspondante.
  • -En association avec le trastuzumab dans le traitement primaire du carcinome du sein métastatique:
  • -La posologie recommandée de Paclitaxel-Teva liquid est de 175 mg/m² de surface corporelle, administrée sous forme de perfusion intraveineuse sur une période de 3 h.
  • -Les divers cycles d'application devraient se dérouler à 3 semaines d'intervalle. La perfusion de Paclitaxel-Teva liquid sera effectuée le jour après la première dose de trastuzumab, resp. immédiatement après la deuxième dose de trastuzumab si l'administration initiale de trastuzumab a été bien tolérée. Trastuzumab: voir l'information professionnelle correspondante.
  • -Traitement secondaire du carcinome du sein métastatique et résistant aux traitements standards:
  • +Traitement primaire du carcinome ovarien au stade avancé
  • +La posologie recommandée de Paclitaxel-Teva liquid est de 175 mg/m² de surface corporelle, administrée sous forme de perfusion intraveineuse sur une période de 3 h. Cette perfusion est suivie d'un traitement par le cisplatine à une posologie de 75 mg/m². Lorsqu'on choisit une perfusion de 24 h, la dose de Paclitaxel-Teva liquid est de 135 mg/m², suivie de 75 mg de cisplatine par m². Les divers cycles d'application devraient se dérouler à 3 semaines d'intervalle.
  • +Paclitaxel-Teva liquid sera toujours administré avant le cisplatine. Voir aussi «Interactions».
  • +Pour le cisplatine: voir l'information professionnelle correspondante.
  • +Traitement secondaire du carcinome ovarien métastatique et résistant à la thérapie standard
  • +La posologie recommandée de Paclitaxel-Teva liquid est de 175 mg/m² de surface corporelle, administrée sous forme de perfusion intraveineuse sur une durée de 3 h. Les divers cycles d'application devraient se dérouler à 3 semaines d'intervalle.
  • +Traitement du carcinome bronchique non à petites cellules
  • +La posologie recommandée de Paclitaxel-Teva liquid est de 175 mg/m² de surface corporelle, administrée sous forme de perfusion intraveineuse sur une période de 3 h. Cette perfusion de Paclitaxel-Teva liquid est suivie d'un traitement par le cisplatine (dans l'étude EORTC 08925, la dose de cisplatine était de 80 mg/m² en association avec Paclitaxel-Teva liquid). Les divers cycles d'application devraient se dérouler à 3 semaines d'intervalle et le traitement devrait être limité à 6 cycles.
  • +Paclitaxel-Teva liquid sera toujours administré avant le cisplatine. Voir aussi «Interactions».
  • +Pour le cisplatine: voir l'information professionnelle correspondante.
  • +Traitement primaire du carcinome du sein métastatique en association avec le trastuzumab
  • +Les divers cycles d'application devraient se dérouler à 3 semaines d'intervalle. La perfusion de Paclitaxel-Teva liquid sera administrée le jour après la première dose de trastuzumab, resp. immédiatement après la deuxième dose de trastuzumab si l'administration initiale de trastuzumab a été bien tolérée.
  • +Pour trastuzumab: voir l'information professionnelle correspondante.
  • +Traitement secondaire du carcinome du sein métastatique et résistant au traitement standard
  • +La dose recommandée de Paclitaxel-Teva liquid est de 175 mg/m² de surface corporelle, administrée sous forme de perfusion intraveineuse sur une période de 3 h.
  • -Traitement adjuvant du carcinome du sein:
  • -Après l'administration de 4 cycles de doxorubicine à 60 mg/m² et de cyclophosphamide à 600 mg/m², on appliquera 4 cycles additionnels de Paclitaxel-Teva liquid à 175 mg/m² (en perfusion de 3 h). Respecter un intervalle de 3 semaines entre les cycles.
  • +Traitement adjuvant du carcinome du sein
  • +Après l'administration de 4 cycles de doxorubicine à 60 mg/m² et de cyclophosphamide à 600 mg/m², on appliquera 4 cycles additionnels de Paclitaxel-Teva liquid à 175 mg/m² (en perfusion de 3 h).
  • +Respecter un intervalle de 3 semaines entre les cycles.
  • -Doxorubicine et cyclophosphamide: voir les informations professionnelles correspondantes.
  • -Posologie en cas d'effets indésirables:
  • -Un cycle de traitement par Paclitaxel-Teva liquid ne devrait être envisagé avant que le nombre des granulocytes neutrophiles ait atteint au moins 1'500/mm³ et celui des thrombocytes au moins 100'000/mm³.
  • -Chez les personnes qui subissent au cours du traitement par Paclitaxel-Teva liquid une neutropénie sévère (granulocytes neutrophiles <500/mm³) ou une neuropathie périphérique sévère, la posologie des cycles suivants devrait être diminuée de 20%.
  • -Populations spécifiques
  • -Insuffisance hépatique:
  • -Le risque de toxicité est accru chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique légère (en particulier dépression médullaire de grade III à IV). En présence d'une insuffisance hépatique, la dose doit être ajustée conformément au tableau ci-dessous et l'on surveillera les patients pour déceler le développement éventuel d'une dépression médullaire sévère.
  • - Valeurs hépatiques Dose de Paclitaxel-Teva liquid
  • -Taux de transaminases Taux de bilirubine Pour une perfusion de 3 h Pour une perfusion de 24 h
  • -2-<10× la LNS et ≤1.5 mg/dl 135 mg/m2 100 mg/m2
  • -<10× la LNS et 1.5-5 mg/dl 90 mg/m2 50 mg/m2
  • +Pour doxorubicine et cyclophosphamide: voir les informations professionnelles correspondantes.
  • +Ajustement de la dose en cas d'effets indésirables
  • +Un cycle de traitement par Paclitaxel-Teva liquid ne doit pas être envisagé avant que le nombre des granulocytes neutrophiles ait atteint au moins 1'500/mm³ et celui des thrombocytes au moins 100'000/mm³.
  • +Chez les personnes qui subissent une neutropénie sévère (granulocytes neutrophiles <500/mm³) ou une neuropathie périphérique sévère au cours du traitement par Paclitaxel-Teva liquid, la dose des cycles suivants devrait être diminuée de 20%.
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Le risque de toxicité est accru chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique légère (en particulier d'une dépression médullaire de grade III à IV). En présence d'une insuffisance hépatique, la dose doit être ajustée conformément au tableau ci-dessous et les patients seront surveillés pour déceler le développement éventuel d'une dépression médullaire sévère.
  • + Valeurs hépatiques Dose de Paclitaxel-Teva liquid
  • +Taux de transaminases Taux de bilirubine Pour une perfusion de 3 h Pour une perfusion de 24 h
  • +2 à <10× la LNS et ≤1.5 mg/dl 135 mg/m2 100 mg/m2
  • +<10× la LNS et 1.5 à 5 mg/dl 90 mg/m2 50 mg/m2
  • -Enfants et adolescents:
  • +Enfants et adolescents
  • -Antécédents d'hypersensibilité sévère au paclitaxel ou à d'autres excipients de Paclitaxel-Teva liquid (en particulier Cremophor® EL).
  • +Antécédents d'hypersensibilité sévère au paclitaxel ou à d'autres composants de Paclitaxel-Teva liquid (en particulier ricinoléate de macrogolglycérol).
  • -Parce qu'une extravasation ne peut être exclue, il est recommandé de surveiller le site de perfusion. Voir aussi «Effets indésirables: réactions au niveau du site d'administration».
  • +Étant donné qu'une extravasation ne peut être exclue, il est recommandé de surveiller le site de perfusion. Voir aussi «Effets indésirables: troubles généraux et anomalies ausite d'administration».
  • -Étant donné que Paclitaxel-Teva liquid contient de l'éthanol (0,38 g/ml), on sera attentif aux effets possibles sur le SNC ou à tout autre effet possible.
  • -Dépression de la moelle osseuse
  • -Durant le traitement par Paclitaxel-Teva liquid il est nécessaire de faire des contrôles réguliers de la formule sanguine parce que la dépression de la moelle osseuse (se manifestant surtout sous forme de neutropénie) est le facteur qui limite la posologie.
  • -La dépression de la moelle osseuse est plus prononcée lors d'une perfusion de 24 h comparé à une perfusion de 3 h. Voir aussi «Effets indésirables: dépression de la moelle osseuse».
  • +Étant donné que Paclitaxel-Teva liquid contient de l'éthanol (0.38 g/ml), on sera attentif aux effets possibles sur le SNC ou à tout autre effet possible.
  • +Dépression de la mœlle osseuse
  • +Durant le traitement par Paclitaxel-Teva liquid, il est nécessaire de contrôler régulièrement la formule sanguine car la dépression de la mœlle osseuse (se manifestant surtout sous forme de neutropénie) est le facteur qui limite la dose.
  • +La dépression de la mœlle osseuse est plus prononcée lors d'une perfusion de 24 h comparé à une perfusion de 3 h. Voir aussi «Effets indésirables: myélotoxicité».
  • -Bien que l'apparition d'une neuropathie périphérique soit relativement fréquente, des symptômes sévères ne se développent que rarement. Chez les patients avec un carcinome bronchique non à petites cellules et les patientes avec un carcinome ovarien (qui ont reçu Paclitaxel-Teva liquid comme traitement primaire), on a observé une plus grande incidence de neurotoxicité sévère sous le traitement associant Paclitaxel-Teva liquid (perfusion de 3 h) et la cisplatine que sous Paclitaxel-Teva liquid en monothérapie.
  • -Chez les patientes qui, après une thérapie anthracyclinique, ont reçu Paclitaxel-Teva liquid comme traitement adjuvant du carcinome du sein, une neurotoxicité sévère a été observée plus fréquemment que chez les patientes traitées par AC seul.
  • +Bien que l'apparition d'une neuropathie périphérique soit relativement fréquente, des symptômes sévères ne se développent que rarement.
  • +Chez les patients atteints d'un carcinome bronchique non à petites cellules et les patientes atteints d'un carcinome ovarien (qui ont reçu Paclitaxel-Teva liquid comme traitement primaire), on a observé une plus grande incidence de neurotoxicité sévère sous le traitement associant Paclitaxel-Teva liquid (perfusion de 3 h) et le cisplatine que sous Paclitaxel-Teva liquid en monothérapie.
  • +Chez les patientes qui ont reçu Paclitaxel-Teva liquid comme traitement adjuvant du carcinome du sein après un traitement par anthracyclinique, une neurotoxicité sévère a été observée plus fréquemment que chez les patientes traitées par AC seul.
  • -Des réactions sévères d'hypersensibilité, comme par exemple une anaphylaxie, ont été observées sous le traitement par Paclitaxel-Teva liquid (sécrétion d'histamine). C'est pourquoi une prémédication avec un corticostéroïde, un antihistaminique H1 ou un antihistaminique H2 doit être administrée (voir également la section «Posologie/Mode d'emploi»). Dans de rares cas, les réactions ont été mortelles malgré une prémédication appropriée. Si des réactions d'hypersensibilité sévères se manifestent, la perfusion de Paclitaxel-Teva liquid doit immédiatement être interrompue et un traitement symptomatique doit être appliqué. Dans un tel cas, une nouvelle utilisation de Paclitaxel-Teva liquid est à exclure.
  • +Des réactions d'hypersensibilité graves, comme par exemple une anaphylaxie, ont été observées sous le traitement par Paclitaxel-Teva liquid (sécrétion d'histamine). C'est pourquoi une prémédication avec un corticostéroïde, un antihistaminique H1 et un antihistaminique H2 doit être administrée (voir également la section «Posologie/Mode d'emploi»). Dans de rares cas, les réactions ont été mortelles malgré une prémédication appropriée. Si des réactions d'hypersensibilité sévères se manifestent, la perfusion de Paclitaxel-Teva liquid doit immédiatement être interrompue et un traitement symptomatique doit être appliqué. Dans ce cas, une nouvelle utilisation de Paclitaxel-Teva liquid est à exclure.
  • -Des troubles graves de la conduction de l'excitation cardiaque surviennent rarement. Si l'on observe durant la perfusion de Paclitaxel-Teva liquid des troubles significatifs de la conduction cardiaque, un traitement approprié doit être instauré. La poursuite du traitement par Paclitaxel-Teva liquid se fera uniquement sous stricte surveillance de la fonction cardiaque.
  • -Hypotension, hypertension et bradycardie ont été observées chez des sujets non cardiaques sous traitement par paclitaxel. La plupart de ces patients étaient asymptomatiques et n'ont généralement pas eu besoin de traitement.
  • -Des effets cardiaques sévères ont été observés plus souvent chez les personnes avec un carcinome bronchique non à petites cellules que chez les patientes avec un carcinome ovarien ou un carcinome du sein.
  • +Des troubles graves de la conduction de l'excitation cardiaque surviennent rarement. Si l'on observe durant la perfusion de Paclitaxel-Teva liquid des troubles significatifs de la conduction cardiaque, un traitement approprié doit être instauré.
  • +Dans ce cas, la poursuite du traitement par Paclitaxel-Teva liquid se fera uniquement sous stricte surveillance de la fonction cardiaque.
  • +Hypotension, hypertension et bradycardie ont été observées chez des sujets non cardiaques sous traitement par paclitaxel. La plupart de ces patients étaient asymptomatiques et n'ont généralement pas nécessité de traitement.
  • +Des effets cardiaques sévères ont été observés plus souvent chez les personnes atteintes d'un carcinome bronchique non à petites cellules que chez les patientes avec un carcinome ovarien ou un carcinome du sein.
  • -Dans de rares cas, l'apparition d'une colite pseudomembraneuse a été rapportée sous Paclitaxel-Teva liquid, également chez des patients n'ayant pas reçu d'antibiotiques en même temps. Ce fait doit être pris en compte pour le diagnostic différentiel lors d'une diarrhée sévère ou persistante pendant ou peu après un traitement par Paclitaxel-Teva liquid.
  • +Dans de rares cas, l'apparition d'une colite pseudomembraneuse a été rapportée sous Paclitaxel-Teva liquid, également chez des patients n'ayant pas reçu d'antibiotiques simultanément. Ce fait doit être pris en compte pour le diagnostic différentiel lors d'une diarrhée sévère ou persistante pendant ou peu après un traitement par Paclitaxel-Teva liquid.
  • -Comédication avec le cisplatine
  • -En associant Paclitaxel-Teva liquid au cisplatine, on appliquera Paclitaxel-Teva liquid toujours avant le cisplatine; ainsi, le profil de toxicité de Paclitaxel-Teva liquid sera similaire à celui d'une monothérapie par Paclitaxel-Teva liquid. Lorsque paclitaxel a été administré après le cisplatine, on a observé une diminution de la clairance (20%) du paclitaxel et une dépression prononcée de la moelle osseuse.
  • -Comédication avec la doxorubicine/cyclophosphamide
  • -Lors d'une comédication avec la doxorubicine/cyclophosphamide (4 cycles de doxorubicine/cyclophosphamide suivis de 4 cycles de Paclitaxel-Teva liquid) pour le traitement adjuvant du carcinome du sein, Paclitaxel-Teva liquid sera toujours administré après l'association doxorubicine/cyclophosphamide. Une neutropénie prononcée et des stomatites (provoquées par la doxorubicine) sont survenues lors d'une administration de Paclitaxel-Teva liquid avant l'association doxorubicine/cyclophosphamide et une administration au-delà de la durée de traitement recommandée.
  • -Comédication avec des substances influençant les CYP 2C8 et 3A4
  • -Le métabolisme du paclitaxel est partiellement catalysé par les isoenzymes 2C8 et 3A4 du cytochrome P450 (voir aussi «Pharmacocinétique»).
  • +Association avec le cisplatine
  • +En associant Paclitaxel-Teva liquid au cisplatine, on appliquera Paclitaxel-Teva liquid toujours avant le cisplatine; ainsi, le profil de toxicité de Paclitaxel-Teva liquid sera similaire à celui d'une monothérapie par Paclitaxel-Teva liquid. Lorsque paclitaxel a été administré après le cisplatine, on a observé une diminution de la clairance (20%) du paclitaxel et une dépression prononcée de la mœlle osseuse.
  • +Association avec la doxorubicine/cyclophosphamide
  • +Lors d'une association avec la doxorubicine/cyclophosphamide (4 cycles de doxorubicine/cyclophosphamide suivis de 4 cycles de Paclitaxel-Teva liquid) pour le traitement adjuvant du carcinome du sein, Paclitaxel-Teva liquid sera toujours administré après l'association doxorubicine/cyclophosphamide. Une neutropénie prononcée et des stomatites (provoquées par la doxorubicine) sont survenues lors d'une administration de Paclitaxel-Teva liquid avant l'association doxorubicine/cyclophosphamide et une administration au-delà de la durée de traitement recommandée.
  • +Association avec des substances influençant les CYP 2C8 et 3A4
  • +Le métabolisme du paclitaxel est partiellement catalysé par les isoenzymes CYP 2C8 et 3A4 du cytochrome P450 (voir aussi «Pharmacocinétique»).
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, allaitement
  • -Dans les essais sur des animaux, le paclitaxel s'est révélé embryotoxique et foetotoxique et a diminué la fertilité.
  • -Aucune expérience chez la femme enceinte n'est disponible. Comme les autres substances cytotoxiques, le paclitaxel pourrait léser le foetus.
  • +Dans les essais sur des animaux, le paclitaxel s'est révélé embryotoxique et fœtotoxique et a diminué la fertilité.
  • +Aucune expérience chez la femme enceinte n'est disponible. Comme les autres substances cytotoxiques, le paclitaxel pourrait entraîner des lésions sur le fœtus.
  • -L'innocuité du paclitaxel a été étudiée chez >3000 patients dans le cadre d'études cliniques. Les effets indésirables importants sont: myélotoxicité, neurotoxicité et réactions d'hypersensibilité.
  • -Les effets indésirables sont accrus lors d'un traitement associé avec la doxorubicine (notamment infarctus du myocarde) et le trastuzumab (cardiomyopathie, infections [46% vs 27%]). L'association de paclitaxel et de trastuzumab chez des personnes à la suite d'un traitement aux anthracyclines a entraîné une augmentation de l'incidence et de la sévérité des troubles cardiaques en comparaison avec les patients sous paclitaxel seul (classes NYHA I/II 10% vs 0%; classes NYHA III/IV 2% vs 1%), mais a rarement été associée à des cas de décès. À l'exception de ces rares cas, toutes les personnes concernées ont bien répondu à un traitement adéquat.
  • -La fréquence des effets indésirables est indiquée comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, 1/10'000), «très rares» (<1/10'000), «inconnus» (ne peuvent pas être estimés sur la base des données disponibles).
  • +La sécurité du paclitaxel a été étudiée chez >3000 patients dans le cadre d'études cliniques. Les effets indésirables importants sont: myélotoxicité, neurotoxicité et réactions d'hypersensibilité.
  • +Les effets indésirables sont accrus lors d'un traitement associé avec la doxorubicine (notamment infarctus du myocarde) et le trastuzumab (cardiomyopathie, infections [46% vs 27%]). L'association de paclitaxel et de trastuzumab chez des personnes ayant suivi traitement aux anthracyclines a entraîné une augmentation de l'incidence et de la sévérité des troubles cardiaques en comparaison avec les patients sous paclitaxel seul (classes NYHA I/II 10% vs 0%; classes NYHA III/IV 2% vs 1%), mais a rarement été associée à des cas de décès. À l'exception de ces rares cas, toutes les personnes concernées ont bien répondu à un traitement adéquat.
  • +La fréquence des effets indésirables est indiquée comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (1/100, <1/10), «occasionnels» (1/1000, <1/100), «rares» (1/10'000, <1/1000), «très rares» (<1/10'000), «fréquence inconnu» (ne peuvent pas être estimés sur la base des données disponibles).
  • -Très fréquemment: infections (24%; surtout infections urinaires, infections des voies respiratoires supérieures).
  • -Occasionnellement: choc septique, pneumonie, péritonite.
  • -Rarement: pneumonie, septicémie.
  • +Très fréquents: infections (24%; surtout infections urinaires, infections des voies respiratoires supérieures).
  • +Occasionnels: choc septique, pneumonie, péritonite.
  • +Rares: pneumonie, sepsis.
  • -Très rarement: leucémie myéloïde aiguë, syndrome myélodysplasique.
  • +Très rares: leucémie myéloïde aiguë, syndrome myélodysplasique.
  • -Très fréquemment: neutropénie (28 à 81%), anémie (78%; Hb <8 g/dl 16%), thrombocytopénie (11%), hémorragies (14%).
  • -Rarement: neutropénie fébrile.
  • +Très fréquents: neutropénie (28 à 81%), anémie (78%; Hb <8 g/dl 16%), thrombopénie (11%), hémorragies (14%).
  • +Rares: neutropénie fébrile.
  • -Très fréquemment: réactions légères d'hypersensibilité (environ 34%, essentiellement rougeurs et éruptions cutanées).
  • -Occasionnellement: réactions sévères d'hypersensibilité, exigeant un traitement (entre autres hypotension, oedème angioneurotique, détresse respiratoire, urticaire généralisée, oedèmes, douleurs dorsales, frissons, inflammation pulmonaire).
  • -Rarement: réactions anaphylactiques, partiellement avec issue fatale.
  • +Très fréquents: réactions légères d'hypersensibilité (environ 34%, essentiellement rougeurs et éruptions cutanées).
  • +Occasionnels: réactions sévères d'hypersensibilité, exigeant un traitement (entre autres hypotension, œdème angioneurotique, détresse respiratoire, urticaire généralisée, œdèmes, douleurs dorsales, frissons, pneumopathie inflammatoire).
  • +Rares: réactions anaphylactiques, partiellement avec issue fatale.
  • -Très rarement: anorexie.
  • -Inconnu: syndrome de lyse tumorale.
  • +Très rares: anorexie.
  • +Fréquence inconnue: syndrome de lyse tumorale.
  • -Très rarement: confusion.
  • +Très rares: confusion.
  • -Très fréquemment: surtout neuropathie périphérique, en particulier paresthésies, chez 66% des patients (sous schéma thérapeutique de 3 heures avec l'association paclitaxel-cisplatine: 79%, dont 11% de grade III; sous schéma thérapeutique de 24 heures avec l'association paclitaxel-cisplatine: 24%, dont 3% de grade III).
  • -Rarement: neuropathie motrice (avec légère faiblesse distale).
  • -Très rarement: neuropathie autonome avec iléus paralytique et hypotension orthostatique en résultant, crises de grand mal épileptique, autres convulsions, encéphalopathie, vertige, céphalée, ataxie.
  • -L'incidence et la sévérité des manifestations neurologiques dépendent généralement de la dose. Des neuropathies périphériques ont conduit à un arrêt du traitement chez 1% des patients. Les paresthésies régressent ou disparaissent en général en l'espace de quelques mois après l'arrêt d'administration de paclitaxel.
  • +Très fréquents: principalement neuropathie périphérique, en particulier paresthésies, (chez 66% des patients sous schéma thérapeutique de 3 heures avec l'association paclitaxel/cisplatine: 79%, dont 11% de grade III; sous schéma thérapeutique de 24 heures avec l'association paclitaxel/cisplatine: 24%, dont 3% de grade III).
  • +Rares: neuropathie motrice (avec légère faiblesse distale).
  • +Très rares: neuropathie autonome entraînant iléus paralytique et hypotension orthostatique en résultant, crises de grand mal épileptique, autres convulsions, encéphalopathie, étourdissements, céphalées, ataxie.
  • +L'incidence et la sévérité des manifestations neurologiques dépendent généralement de la dose. La fréquence des neuropathies périphériques a augmenté avec la dose totale. La paresthésie se produit souvent sous forme d'hyperesthésie. Des neuropathies périphériques ont conduit à un arrêt du traitement chez 1% des patients. Les paresthésies régressent ou disparaissent en général en l'espace de quelques mois après l'arrêt d'administration de paclitaxel. Des cas de neuropathie persistante après
  • +commercialisation ont été signalés, même 6 mois après l'arrêt de paclitaxel. Les neuropathies existantes résultants de thérapies antérieures ne constituent pas une contreindication absolue au traitement par paclitaxel.
  • -Très rarement: lésions réversibles du nerf optique et/ou troubles de la vision (scotome scintillant), en particulier chez les patients ayant reçu des doses supérieures aux posologies recommandées.
  • -Inconnu: oedème maculaire.
  • +Très rares: lésions réversibles du nerf optique et/ou troubles de la vision (scotome scintillant), en particulier chez les patients ayant reçu des doses supérieures aux doses recommandées.
  • +Fréquence inconnue: œdème maculaire.
  • -Très rarement: perte de l'ouïe et acouphène, vertige.
  • +Très rares: perte auditive et acouphène, vertige.
  • -Très fréquemment: particularités à l'ECG (environ 17%).
  • -Fréquemment: bradycardie (généralement légère, ne nécessitant aucun traitement).
  • -Occasionnellement: cardiomyopathie, tachycardie ventriculaire asymptomatique, tachycardie avec bigéminie, bloc AV, syncopes, infarctus du myocarde.
  • +Très fréquents: changements de l'ECG (environ 17%).
  • +Fréquents: bradycardie (généralement légère, ne nécessitant aucun traitement).
  • +Occasionnels: cardiomyopathie, tachycardie ventriculaire asymptomatique, tachycardie avec bigéminie, bloc AV, syncopes, infarctus du myocarde.
  • -Très fréquemment: hypotension artérielle (environ 22%).
  • -Occasionnellement: hypertension, thrombose, thrombophlébite.
  • +Très fréquents: hypotension artérielle (environ 22%).
  • +Occasionnels: hypertension, thrombose, thrombophlébite.
  • -Rarement: dyspnée, épanchement pleural, insuffisance respiratoire, pneumonie interstitielle, embolie pulmonaire.
  • -Très rarement: toux, pneumonie en réaction à une radiothérapie concomitante.
  • +Rares: dyspnée, épanchement pleural, insuffisance respiratoire, pneumonie interstitielle, embolie pulmonaire.
  • +Très rares: toux, pneumonie en réaction à une radiothérapie concomitante.
  • -Très fréquemment: nausée/vomissement (43%), diarrhée (28%), mucite (18%, plus fréquente sous perfusion de 24 heures que sous perfusion de 3 heures); ces effets indésirables gastro-intestinaux sont de nature légère à modérée.
  • -Rarement: occlusion intestinale, perforation intestinale, colite ischémique, pancréatite.
  • -Très rarement: thrombose du mésentère, colite pseudomembraneuse, oesophagite, constipation, ascite, entérocolite neutropénique.
  • +Très fréquents: nausée/vomissement (43%), diarrhée (28%), mucite (18%, plus fréquente sous perfusion de 24 heures que sous perfusion de 3 heures); ces effets indésirables gastro-intestinaux sont de nature légère à modérée.
  • +Rares: occlusion intestinale, perforation intestinale, colite ischémique, pancréatite.
  • +Très rares: thrombose du mésentère, colite pseudomembraneuse, œsophagite, constipation, ascite, entérocolite neutropénique.
  • -Fréquemment: élévations sévères (>5× la LNS) de l'ASAT (SGOT) et de la phosphatase alcaline.
  • -Occasionnellement: augmentation sévère du taux de bilirubine.
  • -Très rarement: nécrose hépatique (avec issue fatale), encéphalopathie hépatique (avec issue fatale).
  • +Fréquents: élévations sévères (>5× la LNS) de l'ASAT (SGOT) et de la phosphatase alcaline.
  • +Occasionnels: augmentation sévère du taux de bilirubine.
  • +Très rares: nécrose hépatique (avec issue fatale), encéphalopathie hépatique (avec issue fatale).
  • -Très fréquemment: alopécie (pratiquement toujours).
  • -Fréquemment: modifications légères et passagères des ongles et de la peau.
  • -Rarement: prurit, éruption cutanée, phlébite, érythème, cellulite, desquamation, nécrose, fibrose, réapparition de réaction cutanées dues à une radiothérapie («radiation recall»).
  • -Très rarement: syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique, érythème polymorphe, dermatite exfoliative, urticaire, onycholyse.
  • -Inconnu: sclérodermie, lupus érythémateux cutané.
  • +Très fréquents: alopécie (pratiquement toujours).
  • +Fréquents: modifications légères et passagères des ongles et de la peau.
  • +Rares: prurit, éruption cutanée, phlébite, érythème, cellulite, desquamation, nécrose, fibrose, réapparition de réaction cutanées dues à une radiothérapie («radiation recall»).
  • +Très rares: syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique, érythème polymorphe, dermatite exfoliative, urticaire, onycholyse.
  • +Fréquence inconnue: sclérodermie, lupus érythémateux cutané.
  • -Très fréquemment: arthralgies, myalgies (60%, 13% de cas sévères).
  • +Très fréquents: arthralgies, myalgies (60%, 13% de cas sévères).
  • -Inconnu: lupus érythémateux disséminé.
  • +Fréquence inconnue: lupus érythémateux disséminé.
  • -Rarement: augmentation du taux de créatinine.
  • +Rares: augmentation du taux de créatinine.
  • -Fréquemment: réactions locales au site d'administration, sous forme d'oedèmes localisés, de douleurs, d'érythème ou de durcissement.
  • -Occasionnellement: cellulite, induration de la peau et/ou desquamation en association avec une extravasation, colorations de la peau.
  • -Rarement: asthénie, malaise, fièvre, déshydratation, oedème, réapparition de réactions cutanées au site d'une extravasation antérieure lorsque le paclitaxel est administré en utilisant un nouveau site de ponction («recall»).
  • -Les réactions locales se sont manifestées plus souvent sous la perfusion de 24 heures que sous perfusion de 3 heures. Elles sont apparues pendant la perfusion ou de façon tardive dans les 7 à 10 jours.
  • +Fréquents: réactions locales au site d'administration, sous forme d'œdèmes localisés, de douleurs, d'érythème ou de durcissement.
  • +Occasionnels: cellulite, induration de la peau et/ou desquamation en association avec une extravasation, colorations de la peau.
  • +Rares: asthénie, malaise, fièvre, déshydratation, œdème, réapparition de réactions cutanées au site d'une extravasation antérieure lorsque le paclitaxel est administré en utilisant un nouveau site de ponction («recall»).
  • +Les réactions locales se sont manifestées plus souvent sous la perfusion de 24 heures que sous la perfusion de 3 heures. Elles sont apparues pendant la perfusion ou de façon tardive dans les 7 à 10 jours.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Un antidote contre les effets d'un surdosage de Paclitaxel-Teva liquid n'est pas connu. Les complications primaires à craindre lors d'un surdosage sont la dépression de la moelle osseuse, la neurotoxicité périphérique et la mucosite.
  • +Aucun antidote contre les effets d'un surdosage de Paclitaxel-Teva liquid n'est pas connu. Les complications primaires à craindre lors d'un surdosage sont la dépression de la mœlle osseuse, la neurotoxicité périphérique et la mucosite.
  • -Code ATC: L01CD01
  • -Mécanisme d'action/Pharmacodynamie
  • +Code ATC
  • +L01CD01
  • +Mécanisme d'action
  • -Durant la mitose, le paclitaxel provoque la formation de faisceaux anormaux des microtubules et il se forme de multiples groupements en étoile des microtubules (asters).
  • +Durant la division cellulaire, le paclitaxel provoque la formation de faisceaux anormaux des microtubules et il se forme de multiples groupements en étoile des microtubules se forment (asters).
  • +Pharmacodynamique
  • +Voir «Mécanisme d'action».
  • +
  • -Deux études randomisées et contrôlées ont examiné l'innocuité et l'efficacité de paclitaxel (perfusion de 3 h et de 24 h) en comparaison avec l'association cyclophosphamide (750 mg/m²)/cisplatine (75 mg/m²) dans le traitement primaire du carcinome ovarien.
  • -L'étude «intergroup» (B-MS CA 139–209) a inclu plus de 650 patientes souffrant d'un carcinome ovarien primaire (stades FIGO IIb–c, III ou IV). Les patientes ont reçu au maximum 9 cycles de paclitaxel (175 mg/m² durant 3 h) suivis par du cisplatine (75 mg/m²) ou le traitement comparatif cyclophosphamide/cisplatine. Temps médian jusqu'à la progression (time to progression): 15,3 vs 11,5 mois; survie médiane (survival): 35,6 vs 25,9 mois.
  • -La deuxième étude (GOG-111/B-MS CA139–022) a examiné plus de 400 patientes atteintes d'un carcinome ovarien primaire (stades FIGO III/IV) avec un carcinome résiduel >1 cm après une laparotomie ou d'un carcinome ovarien avec des métastases. Les patientes ont reçu au maximum 6 cycles de paclitaxel (135 mg/m² durant 24 h) suivis par du cisplatine (75 mg/m²) ou le traitement comparatif cyclophosphamide/cisplatine. Temps médian jusqu'à la progression: 16,6 vs 13,0 mois; survie médiane: 35,5 vs 24,2 mois.
  • -Chez les patientes atteintes d'un carcinome ovarien avancé qui ont été traitées par paclitaxel/cisplatine (perfusion de 3 h), on a observé, par rapport à l'association cyclophosphamide/cisplatine, plus de neurotoxicités et plus d'arthralgies/myalgies, mais moins de dépressions de la moelle osseuse.
  • -Traitement du carcinome bronchique non à petites cellules:
  • +Deux études randomisées et contrôlées ont examiné la sécurité et l'efficacité de paclitaxel (perfusion de 3 h et de 24 h) en comparaison avec l'association cyclophosphamide (750 mg/m²)/cisplatine (75 mg/m²) dans le traitement primaire du carcinome ovarien.
  • +L'étude «Intergroup» (B-MS CA 139–209) a inclu plus de 650 patientes souffrant d'un carcinome ovarien primaire (stades FIGO IIb–c, III ou IV). Les patientes ont reçu au maximum 9 cycles de paclitaxel (175 mg/m² durant 3 h) suivis par du cisplatine (75 mg/m²) ou le traitement comparatif cyclophosphamide/cisplatine. Temps médian jusqu'à la progression (time to progression): 15.3 vs 11.5 mois; survie médiane (survival): 35.6 vs 25.9 mois.
  • +La deuxième étude (GOG-111/B-MS CA 139–022) portait sur plus de 400 patientes atteintes d'un carcinome ovarien primaire (stades FIGO III/IV) avec un carcinome résiduel >1 cm après une laparotomie ou d'un carcinome ovarien avec des métastases. Les patientes ont reçu au maximum 6 cycles de paclitaxel (135 mg/m² durant 24 h) suivis par du cisplatine (75 mg/m²) ou le traitement comparatif cyclophosphamide/cisplatine. Temps médian jusqu'à la progression: 16.6 vs 13.0 mois; survie médiane: 35.5 vs 24.2 mois.
  • +Chez les patientes atteintes d'un carcinome ovarien avancé ayant été traitées par paclitaxel/cisplatine (perfusion de 3 h), on a observé, par rapport à l'association cyclophosphamide/cisplatine, plus de neurotoxicités et plus d'arthralgies/myalgies, mais moins de dépressions de la mœlle osseuse par rapport à l'association cyclophosphamide/cisplatine.
  • +Traitement du carcinome bronchique non à petites cellules
  • -Dans les études de phase III, paclitaxel (en association avec du cisplatine à 75 mg ou 80 mg/m²) s'est révélé significativement plus efficace au plan statistique que le traitement comparatif (étoposide ou téniposide en association avec du cisplatine). Dans le groupe sous paclitaxel, le temps jusqu'à progression de la maladie a été de 4,3 à 5,1 mois, avec une survie moyenne de 9,3 à 10,0 mois; le taux de survie sur un an a été de 36% à 41%. La qualité de la vie des personnes traitées par paclitaxel a été améliorée significativement dans les deux études.
  • +Dans les études de phase III, paclitaxel (en association avec du cisplatine à 75 mg ou 80 mg/m²) s'est révélé significativement plus efficace au plan statistique que le traitement comparatif (étoposide ou téniposide en association avec du cisplatine). Dans le groupe sous paclitaxel, le temps jusqu'à progression de la maladie a été de 4.3 à 5.1 mois, avec une survie moyenne de 9.3 à 10.0 mois; le taux de survie sur un an a été de 36% à 41%. La qualité de la vie des personnes traitées par paclitaxel a été améliorée significativement dans les deux études.
  • -Voir l'information professionnelle sur Herceptin (trastuzumab).
  • +Voir l'information professionnelle pour Herceptin (trastuzumab).
  • -Dans une étude multicentrique randomisée de phase III, des patientes ayant subi unerécidive après un traitement adjuvant ou après une prémédication avec une chimiothérapie associée, ont reçu du paclitaxel à une posologie de 175 mg/m² ou de 135 mg/m² (perfusion de 3 h). Le taux de réponse total pour les 454 patientes évaluables a été de 26% (réponse complète dans 17 cas et réponse partielle dans 99 cas). La durée de réponse médiane, mesurée à partir du premier jour de traitement, a été de 8,1 mois. Le temps médian jusqu'à la progression a été de 3,0 mois pour les patientes traitées à une posologie de 135 mg/m² et de 4,2 mois pour les patientes traitées à une posologie de 175 mg/m². La survie médiane globale (n=471) a été de 11,7 mois.
  • -Traitement adjuvant du carcinome du sein:
  • -Une étude «intergroup» américaine, réalisée en ouvert et de façon randomisée, a examiné le traitement adjuvant du carcinome du sein chez 3121 patientes présentant une atteinte des ganglions lymphatiques (stades I à III). Ces patientes ont été traités soit par 4 cycles de paclitaxel à 175 mg/m² (T) après une thérapie par AC (doxorubicine + cyclophosphamide), soit par AC seul. Les patientes présentant des récepteurs hormonaux positifs ont reçu additionnellement du tamoxifène. L'analyse intérimaire de cette étude, sur une durée médiane de 52,2 mois, a révélé des résultats significativement plus favorables chez les patientes traitées par AC + T. L'avantage du traitement additionnel par paclitaxel était de 13% (hazard ratio 0,87) pour la survie sans maladie (DFS,disease free survival et de 14% (hazard ratio 0,86) pour la survie totale (OS, overall survival. Les taux de récidives étaient de 469/1551 (32%) dans le groupe sous AC et de 432/1570 (27,5%) dans le groupe sous AC + T.
  • -Seules les patientes aux récepteurs oestrogéniques négatifs (n'ayant pas reçu de tamoxifène) ont atteint des résultats hautement significatifs attribuables au traitement additionnel par paclitaxel: hazard ratio de 0,71 pour la DFS (IC à 95% 0,58–0,88; p <0,001). Chez les patientes a récepteurs oestrogéniques positifs ayant reçu untraitement additionnel au tamoxifène (2/3 des sujets étudiés), les résultats n'ont révélé aucune différence entre les groupes traités par AC et AC + T (hazard ratio 1.0 pour la DFS). De même, le traitement additionnel par paclitaxel n'a pas été associé à des différences significatives chez les patientes dont la tumeur était de faible taille (<2 cm, T1) et les patientes à haut risque avec atteinte de ≥10 ganglions lymphatiques (LN) ou avec une tumeur >5 cm (T3).
  • +Dans une étude multicentrique randomisée de phase III, des patientes ayant subi une récidive après un traitement adjuvant ou après une prémédication avec une chimiothérapie associée, ont reçu du paclitaxel à une posologie de 175 mg/m² ou de 135 mg/m² (perfusion de 3 h). Le taux de réponse total pour les 454 patientes évaluables a été de 26% (réponse complète dans 17 cas et réponse partielle dans 99 cas). La durée de réponse médiane, mesurée à partir du premier jour de traitement, a été de 8.1 mois. Le temps médian jusqu'à la progression a été de 3.0 mois pour les patientes traitées à une posologie de 135 mg/m² et de 4.2 mois pour les patientes traitées à une posologie de 175 mg/m². La survie médiane globale (n=471) a été de 11.7 mois.
  • +Traitement adjuvant du carcinome du sein
  • +Une étude «Intergroup» américaine, réalisée en ouvert et de façon randomisée, a examiné le traitement adjuvant du carcinome du sein chez 3121 patientes présentant une atteinte des ganglions lymphatiques (stades I à III). Ces patientes ont été traitées soit par 4 cycles de paclitaxel à 175 mg/m² (T) après une thérapie par AC (doxorubicine + cyclophosphamide), soit par AC seul. Les patientes présentant des récepteurs hormonaux positifs ont également reçu additionnellement du tamoxifène. L'analyse intérimaire de cette étude, sur une durée médiane de 52.2 mois, a révélé des résultats significativement plus favorables chez les patientes traitées par AC + T. L'avantage du traitement additionnel par paclitaxel était de 13% (hazard ratio 0,87) pour la survie sans maladie (DFS,disease free survival et de 14% (hazard ratio 0.86) pour la survie totale (OS, overall survival. Les taux de récidives étaient de 469/1551 (32%) dans le groupe sous AC et de 432/1570 (27.5%) dans le groupe sous AC + T.
  • +Seules les patientes aux récepteurs œstrogéniques négatifs (n'ayant pas reçu de tamoxifène) ont atteint des résultats hautement significatifs attribuables au traitement additionnel par paclitaxel: hazard ratio de 0.71 pour la DFS (IC à 95% 0.58–0.88; p <0.001). Chez les patientes à récepteurs œstrogéniques positifs ayant reçu un traitement additionnel au tamoxifène (2/3 des sujets étudiés), les résultats n'ont révélé aucune différence entre les groupes traités par AC et AC + T (hazard ratio 1.0 pour la DFS). De même, le traitement additionnel par paclitaxel n'a pas été associé à des différences significatives chez les patientes dont la tumeur était de faible taille (<2 cm, T1) et les patientes à haut risque avec atteinte de ≥10 ganglions lymphatiques (LN) ou avec une tumeur >5 cm (T3).
  • -Les paramètres pharmacocinétiques ont été déterminés après administration intraveineuse de paclitaxel à une posologie de 135 mg et de 175 mg/m², avec une durée de perfusion de 24 h et de 3 h. La variabilité intra-individuelle en ce qui concerne l'exposition au paclitaxel était faible. Pour la courte durée de perfusion, la pharmacocinétique est principalement déterminée par le Cremophor® EL.
  • -Lors d'une perfusion de 3 h, on a observé une pharmacocinétique non linéaire lorsque la posologie a été élevée.
  • -En perfusion de 24 h, la pharmacocinétique est presque linéaire en fonction de la dose.
  • -Par rapport à la perfusion de 24 h (posologie de 135 mg/m²), la perfusion de 3 h (posologie de 175 mg/m²) entraîne une Cmax 10 fois plus élevée et une AUC 3 fois plus élevée.
  • +Absorption
  • +Les paramètres pharmacocinétiques ont été déterminés après administration intraveineuse de paclitaxel à une posologie de 135 mg et de 175 mg/m², avec une durée de perfusion de 24 h et de 3 h. La variabilité intra-individuelle en ce qui concerne l'exposition au paclitaxel était faible. Pour la courte durée de perfusion, la pharmacocinétique est principalement déterminée par le ricinoléate de macrogolglycérol.
  • -La distribution dans l'organisme humain n'est pas encore complètement élucidée. Le volume de distribution moyen du paclitaxel à l'état d'équilibre est de 198 à 688 l/m², ce qui indique une distribution tissulaire et/ou une liaison tissulaire prononcée. Des études de liaison in vitro ont montré que le taux de liaison protéique du principe actif est de 89 à 98%. La cimétidine, la ranitidine, la dexaméthasone et la diphénhydramine n'influencent pas la liaison aux protéines plasmatiques.
  • +La distribution dans l'organisme humain n'est pas encore complètement élucidée. Le volume de distribution moyen du paclitaxel à l'état d'équilibre est de 198 à 688 l/m², ce qui indique une distribution tissulaire et/ou une liaison tissulaire prononcée. Des études de liaison in vitro ont montré que le taux de liaison protéique du principe actif est de 89 à 98 %. La cimétidine, la ranitidine, la dexaméthasone et la diphénhydramine n'influencent pas la liaison aux protéines plasmatiques.
  • -Le paclitaxel est principalement métabolisé par le système enzymatique du cytochrome P450. En tant que métabolites majeurs du paclitaxel, on a identifié le 6α-hydroxypaclitaxel, le 3'-p-hydroxypaclitaxel et le 6α,3'-p-dihydroxypaclitaxel, dont la formation est catalysée par les CYP 2C8 et 3A4. La voie métabolique primaire est la métabolisation en 6α-hydroxypaclitaxel par le CYP 2C8. Voir aussi «Interactions».
  • +Le paclitaxel est principalement métabolisé par le système enzymatique du cytochrome P450. Le 6α-hydroxypaclitaxel, le 3'-p-hydroxypaclitaxel et le 6α,3'-p-dihydroxypaclitaxel, dont la formation est catalysée par les CYP 2C8 et 3A4. La voie métabolique primaire est la métabolisation en 6α-hydroxypaclitaxel par le CYP 2C8.
  • +Voir aussi «Interactions».
  • -Après administration par voie intraveineuse, les taux plasmatiques du paclitaxel diminuent en suivant une courbe biphasique, le métabolisme hépatique et la clairance biliaire étant les deux principaux mécanismes d'élimination. La demi-vie terminale moyenne se situe entre 3,0 h et 52,7 h et les valeurs moyennes de la clairance corporelle totale sont de 11,6 à 24,0 l/h/m². La clairance corporelle totale semble diminuer lorsque les taux plasmatiques du paclitaxel s'élèvent. Les valeurs moyennes de la fraction du principe actif excrétée sous forme inchangée par voie urinaire sont de 1,3% à 12,6%, ce qui indique une clairance non rénale prononcée.
  • -Cinétique dans des situations cliniques particulières
  • -Insuffisance rénale:
  • +Après administration par voie intraveineuse, les taux plasmatiques du paclitaxel diminuent en suivant une courbe biphasique, le métabolisme hépatique et la clairance biliaire étant les deux principaux mécanismes d'élimination. La demi-vie terminale moyenne se situe entre 3.0 h et 52.7 h et les valeurs moyennes de la clairance corporelle totale sont de 11.6 à 24.0 l/h/m². La clairance corporelle totale semble diminuer lorsque les taux plasmatiques du paclitaxel s'élèvent. Les valeurs moyennes de la fraction du principe actif excrétée sous forme inchangée par voie urinaire sont de 1.3% à 12.6%, ce qui indique une clairance non rénale prononcée.
  • +Linéarité/non-linéarité
  • +Une pharmacocinétique non linéaire a été trouvée à une durée de perfusion de 3 heures avec des doses croissantes.
  • +Avec une perfusion de 24 h, la pharmacocinétique est approximativement linéaire en fonction de la dose.
  • +Par rapport à une perfusion de 24 h (posologie de 135 mg/m²), la perfusion de 3 h (posologie de 175 mg/m²) entraîne une Cmax 10 fois plus élevée et une ASC 3 fois plus élevée.
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • +Insuffisance rénale
  • -Insuffisance hépatique:
  • +Insuffisance hépatique
  • -Cremophor® EL pourrait détacher le plastifiant DEHP à partir des récipients en PVC (voir aussi ci-dessous «Remarques concernant la manipulation»).
  • +Le ricinoléate de macrogolglycérol pourrait détacher le plastifiant DEHP à partir des récipients en PVC (voir aussi ci-dessous «Remarques concernant la manipulation»).
  • -0,38 g/ml.
  • -Stabilité/Remarques concernant le stockage
  • +0.38 g/ml.
  • +Stabilité
  • -Ne pas utiliser au-delà de la date imprimée «EXP» sur le récipient.
  • -Conserver à température ambiante (15–25 °C) et à l'abri de la lumière.
  • -La conservation au réfrigérateur (2–8 °C) et la congelation du concentré n'ont aucune influence sur la qualité.
  • -La conservation du concentré au réfrigérateur pourrait entraîner la formation d'un précipité qui se dissout à la température ambiante (agiter légèrement si nécessaire). Si la turbidité persiste ou si le précipité reste insoluble, jeter le flacon perforable.
  • -Le concentré résiduel dans un flacon perforable entamé peut être conservé pendant 28 jours à la température ambiante (15–25 °C) et à la lumière du jour.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • +Stabilité après ouverture
  • +Concentré dans le flacon perforable
  • +Le concentré résiduel dans un flacon perforable entamé peut être conservé pendant 28 jours à la température ambiante (15–25°C) et à la lumière du jour.
  • -La solution de perfusion prête à l'emploi, (c'est-à-dire diluée avec une solution de glucose à 5% ou avec une solution injectable de Ringer avec 5% de glucose), est physiquement et chimiquement stable pendant 7 jours (y compris préparation et administration) à température ambiante (15–25 °C) à la lumière du jour ou au réfrigérateur (2–8 °C) ou, en cas de dilution avec une solution injectable avec 0,9% de chlorure de sodium, pendant 14 jours à température ambiante (15–25 °C)et à la lumière du jour.
  • -Du point de vue microbiologique, la solution doit être utilisée immédiatement après sa préparation. Au besoin, elle peut être conservée au réfrigérateur (2–8 °C) pour une durée maximale de 24 heures.
  • +La solution de perfusion prête à l'emploi, (c'est-à-dire diluée avec une solution de glucose à 5 % ou avec une solution injectable de Ringer avec 5 % de glucose), est physiquement et chimiquement stable pendant 7 jours (y compris préparation et administration) à température ambiante (15–25°C) à la lumière du jour ou au réfrigérateur (2–8°C) ou, en cas de dilution avec une solution injectable avec 0.9 % de chlorure de sodium, pendant 14 jours à température ambiante (15–25°C) et à la lumière du jour.
  • +Du point de vue microbiologique, la solution doit être utilisée immédiatement après sa préparation. Au besoin, elle peut être conservée au réfrigérateur (2–8°C) pour une durée maximale de 24 heures.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver à température ambiante (15–25 °C) et à l'abri de la lumière. Conserver hors de la portée des enfants.
  • +La conservation au réfrigérateur (2–8 °C) et la congelation du concentré n'ont aucune influence sur la qualité.
  • +La conservation du concentré au réfrigérateur pourrait entraîner la formation d'un précipité qui se dissout à la température ambiante (agiter légèrement si nécessaire). Si la turbidité persiste ou si le précipité reste insoluble, jeter le flacon perforable.
  • +
  • -Paclitaxel-Teva liquid est un concentré qui doit être dilué avant la perfusion à une concentration finale de 0,3 à 1,2 mg/ml. Par ml de solution mère, il faudra donc ajouter 4 ml (1,2 mg/ml) à 19 ml (0,3 mg/ml) de l'un des diluants suivants:
  • -·solution injectable avec 0,9% de chlorure de sodium,
  • +Paclitaxel-Teva liquid est un concentré qui doit être dilué avant la perfusion à une concentration finale de 0.3 à 1.2 mg/ml. Par ml de solution mère, il faudra donc ajouter 4 ml (1.2 mg/ml) à 19 ml (0.3 mg/ml) de l'un des diluants suivants:
  • +·solution injectable avec 0.9% de chlorure de sodium,
  • -·solution injectable avec 5% de glucose et 0,9% de chlorure de sodium,
  • +·solution injectable avec 5% de glucose et 0.9% de chlorure de sodium,
  • -Paclitaxel-Teva liquid sera administré au moyen d'un filtre micropore-in-line dont la taille des pores sera de 0,22 µm au maximum (aucune perte significative d'efficacité n'est connue par l'emploi d'un système de perfusion comprenant un filtre in-line).
  • -Le Cremophor® EL, excipient contenu dans le produit, pourrait provoquer le détachement du plastifiant DEHP [Di-(2-éthylhexyl)phtalate] à partir des sacs de perfusion en PVC, des sets de perfusion en PVC ou d'autres instruments en PVC. Donc, le soluté pour perfusion devrait être préparé dans un récipient sans PVC (p.ex. verre, polypropylène, polyoléfine) et administré au moyen d'un set de perfusion en polyéthylène. L'emploi des filtres (par ex. Ivex-2) pourvus de petits tubes d'entrée/sortie en PVC, n'a pas mené à un détachement significatif de plastifiants.
  • +Paclitaxel-Teva liquid sera administré au moyen d'un filtre micropore-in-line dont la taille des pores sera de 0.22 µm au maximum (aucune perte significative d'efficacité n'est connue par l'emploi d'un système de perfusion comprenant un filtre in-line).
  • +Le ricinoléate de macrogolglycérol, excipient contenu dans le produit, pourrait provoquer le détachement du plastifiant DEHP [Di-(2-éthylhexyl)phtalate] à partir des sacs de perfusion en PVC, des sets de perfusion en PVC ou d'autres instruments en PVC. Donc, le soluté pour perfusion devrait être préparé dans un récipient sans PVC (p.ex. verre, polypropylène, polyoléfine) et administré au moyen d'un set de perfusion en polyéthylène. L'emploi des filtres (par ex. Ivex-2) pourvus de petits tubes d'entrée/sortie en PVC, n'a pas mené à un détachement significatif de plastifiants.
  • -Septembre 2016.
  • -Numéro de la version interne: 2.1
  • +Juillet 2020.
  • +Numéro de version interne: 3.2
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