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Accueil - Information professionnelle sur Paclitaxel-Teva liquid 30 mg/5 ml - Changements - 28.06.2022
62 Changements de l'information professionelle Paclitaxel-Teva liquid 30 mg/5 ml
  • -Dexaméthasone 20 mg, per os per os: env. 12 et 6 h
  • - ou
  • -
  • +Dexaméthasone 20 mg, per os ou per os: env. 12 et 6 h
  • -Cimétidine 300 mg, i.v. 30 à 60 minutes
  • -ou Ranitidine 50 mg, i.v. 30 à 60 minutes
  • +Cimétidine ou 300 mg, i.v. 30 à 60 minutes
  • +Ranitidine 50 mg, i.v. 30 à 60 minutes
  • -Le risque de toxicité est accru chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique légère (en particulier d'une dépression médullaire de grade III à IV). En présence d'une insuffisance hépatique, la dose doit être ajustée conformément au tableau ci-dessous et les patients seront surveillés pour déceler le développement éventuel d'une dépression médullaire sévère.
  • +Le risque de toxicité est accru chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique légère (en particulier dépression médullaire de grade III à IV). En présence d'une insuffisance hépatique, la dose doit être ajustée conformément au tableau ci-dessous et les patients seront surveillés pour déceler le développement éventuel d'une dépression médullaire sévère.
  • -2 à <10× la LNS et ≤1.5 mg/dl 135 mg/m2 100 mg/m2
  • -<10× la LNS et 1.5 à 5 mg/dl 90 mg/m2 50 mg/m2
  • +2 à <10× la LNS et ≤1,5 mg/dl 135 mg/m2 100 mg/m2
  • +<10× la LNS et 1,5 à 5 mg/dl 90 mg/m2 50 mg/m2
  • -Antécédents d'hypersensibilité sévère au paclitaxel ou à d'autres composants de Paclitaxel-Teva liquid (en particulier ricinoléate de macrogolglycérol).
  • -Neutropénie <1500/mm³.
  • +Antécédents d'hypersensibilité sévère au paclitaxel ou à d'autres composants de Paclitaxel-Teva liquid (en particulier au ricinoléate de macrogolglycérol).
  • +Neutropénie <1'500/mm³.
  • -Étant donné qu'une extravasation ne peut être exclue, il est recommandé de surveiller le site de perfusion. Voir aussi «Effets indésirables: troubles généraux et anomalies ausite d'administration».
  • +Étant donné qu'une extravasation ne peut être exclue, il est recommandé de surveiller le site de perfusion. Voir aussi «Effets indésirables: troubles généraux et anomalies au site d'administration».
  • -Étant donné que Paclitaxel-Teva liquid contient de l'éthanol (0.38 g/ml), on sera attentif aux effets possibles sur le SNC ou à tout autre effet possible.
  • +Ce médicament contient 0,38 g d'éthanol par ml, équivalent à jusqu'à 20 g par perfusion en fonction de la posologie recommandée, calculé pour une surface corporelle moyenne de 1,73 m².
  • +Cela est équivalent à 500 ml de bière ou 200 ml de vin.
  • +La dose recommandée de 175 mg/m² de surface corporelle de ce médicament, administrée à un adulte ayant un poids corporel de 70 kg, correspondrait à une exposition de 0,29 g d'éthanol par kg, susceptible de provoquer une augmentation de l'alcoolémie d'environ 50 mg/100 ml. À titre de comparaison: chez un adulte qui boit un verre de vin ou 500 ml de bière, l'alcoolémie se situe probablement aux environs de 50 mg/100 ml.
  • +La quantité d'alcool contenue dans ce médicament peut altérer votre capacité à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Elle pourrait en effet altérer votre jugement et votre rapidité de réaction.
  • +La prudence est de mise en cas d'épilepsie ou de problèmes hépatiques.
  • +La quantité d'alcool contenue dans ce médicament peut modifier les effets d'autres médicaments.
  • +Risque pour la santé des patients souffrant d'alcoolisme.
  • +Étant donné que Paclitaxel-Teva liquid contient de l'éthanol, on sera attentif aux effets possibles sur le SNC ou à tout autre effet possible.
  • -Chez les patients atteints d'un carcinome bronchique non à petites cellules et les patientes atteints d'un carcinome ovarien (qui ont reçu Paclitaxel-Teva liquid comme traitement primaire), on a observé une plus grande incidence de neurotoxicité sévère sous le traitement associant Paclitaxel-Teva liquid (perfusion de 3 h) et le cisplatine que sous Paclitaxel-Teva liquid en monothérapie.
  • -Chez les patientes qui ont reçu Paclitaxel-Teva liquid comme traitement adjuvant du carcinome du sein après un traitement par anthracyclinique, une neurotoxicité sévère a été observée plus fréquemment que chez les patientes traitées par AC seul.
  • +Chez les patients atteints d'un carcinome bronchique non à petites cellules et les patientes atteintes d'un carcinome ovarien (qui ont reçu Paclitaxel-Teva liquid comme traitement primaire), on a observé une plus grande incidence de neurotoxicité sévère sous le traitement associant Paclitaxel-Teva liquid (perfusion de 3 h) et le cisplatine que sous Paclitaxel-Teva liquid en monothérapie.
  • +Chez les patientes qui ont reçu Paclitaxel-Teva liquid comme traitement adjuvant du carcinome du sein après un traitement par anthracyclines, une neurotoxicité sévère a été observée plus fréquemment que chez les patientes traitées par AC seul.
  • +L'huile de ricin polyoxyéthylénée contenue (ricinoléate de macrogolglycérol) peut provoquer de graves réactions allergiques.
  • +
  • -Des troubles graves de la conduction de l'excitation cardiaque surviennent rarement. Si l'on observe durant la perfusion de Paclitaxel-Teva liquid des troubles significatifs de la conduction cardiaque, un traitement approprié doit être instauré.
  • +Des troubles graves de la conduction cardiaque surviennent rarement. Si l'on observe durant la perfusion de Paclitaxel-Teva liquid des troubles significatifs de la conduction cardiaque, un traitement approprié doit être instauré.
  • -Lors d'une association avec la doxorubicine/cyclophosphamide (4 cycles de doxorubicine/cyclophosphamide suivis de 4 cycles de Paclitaxel-Teva liquid) pour le traitement adjuvant du carcinome du sein, Paclitaxel-Teva liquid sera toujours administré après l'association doxorubicine/cyclophosphamide. Une neutropénie prononcée et des stomatites (provoquées par la doxorubicine) sont survenues lors d'une administration de Paclitaxel-Teva liquid avant l'association doxorubicine/cyclophosphamide et une administration au-delà de la durée de traitement recommandée.
  • +Lors d'une administration séquentielle de doxorubicine/cyclophosphamide (4 cycles de doxorubicine/cyclophosphamide suivis de 4 cycles de Paclitaxel-Teva liquid) pour le traitement adjuvant du carcinome du sein, Paclitaxel-Teva liquid sera toujours administré après l'association doxorubicine/cyclophosphamide. Une neutropénie prononcée et des stomatites (provoquées par la doxorubicine) sont survenues lors d'une administration de Paclitaxel-Teva liquid avant l'association doxorubicine/cyclophosphamide et une administration au-delà de la durée de traitement recommandée.
  • -La prudence est donc de rigueur lorsque le paclitaxel est utilisé avec d'autres médicaments ayant une action inhibitrice sur le CYP 2C8 ou le CYP 3A4 (par ex. kétoconazole et autres antifongiques imidazolés, érythromycine, fluoxétine, gemfibrozil, clopidogrel, cimétidine, ritonavir, saquinavir, indinavir et nelfinavir) ou inductrice sur ces isoenzymes (par ex. rifampicine, carbamazépine, phénytoïne, efavirenz, névirapine).
  • +La prudence est donc de rigueur lorsque le paclitaxel est utilisé avec d'autres médicaments ayant une action inhibitrice sur le CYP 2C8 ou le CYP 3A4 (par ex. kétoconazole et autres antifongiques imidazolés, érythromycine, fluoxétine, gemfibrozil, clopidogrel, cimétidine, ritonavir, saquinavir, indinavir et nelfinavir) ou inductrice sur ces isoenzymes (par ex. rifampicine, carbamazépine, phénytoïne, éfavirenz, névirapine).
  • -La sécurité du paclitaxel a été étudiée chez >3000 patients dans le cadre d'études cliniques. Les effets indésirables importants sont: myélotoxicité, neurotoxicité et réactions d'hypersensibilité.
  • +La sécurité du paclitaxel a été étudiée chez >3'000 patients dans le cadre d'études cliniques. Les effets indésirables importants sont: myélotoxicité, neurotoxicité et réactions d'hypersensibilité.
  • -La fréquence des effets indésirables est indiquée comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100, <1/10), «occasionnels» (≥1/1000, <1/100), «rares» (≥1/10'000, <1/1000), «très rares» (<1/10'000), «fréquence inconnu» (ne peuvent pas être estimés sur la base des données disponibles).
  • +La fréquence des effets indésirables est indiquée comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1'000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1'000), «très rares» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (ne peuvent pas être estimés sur la base des données disponibles).
  • -Troubles métaboliques et de la nutrition
  • +Troubles métaboliques et nutritionnels
  • -L'incidence et la sévérité des manifestations neurologiques dépendent généralement de la dose. La fréquence des neuropathies périphériques a augmenté avec la dose totale. La paresthésie se produit souvent sous forme d'hyperesthésie. Des neuropathies périphériques ont conduit à un arrêt du traitement chez 1% des patients. Les paresthésies régressent ou disparaissent en général en l'espace de quelques mois après l'arrêt d'administration de paclitaxel. Des cas de neuropathie persistante après
  • -commercialisation ont été signalés, même 6 mois après l'arrêt de paclitaxel. Les neuropathies existantes résultants de thérapies antérieures ne constituent pas une contreindication absolue au traitement par paclitaxel.
  • +L'incidence et la sévérité des manifestations neurologiques dépendent généralement de la dose. La fréquence des neuropathies périphériques a augmenté avec la dose totale. La paresthésie se produit souvent sous forme d'hyperesthésie. Des neuropathies périphériques ont conduit à un arrêt du traitement chez 1% des patients. Les paresthésies régressent ou disparaissent en général en l'espace de quelques mois après l'arrêt d'administration de paclitaxel. Des cas de neuropathie persistante après commercialisation ont été signalés, même 6 mois après l'arrêt de paclitaxel. Les neuropathies existantes résultant de thérapies antérieures ne constituent pas une contre-indication absolue au traitement par paclitaxel.
  • -Rares: prurit, éruption cutanée, phlébite, érythème, cellulite, desquamation, nécrose, fibrose, réapparition de réaction cutanées dues à une radiothérapie («radiation recall»).
  • +Rares: prurit, éruption cutanée, phlébite, érythème, cellulite, desquamation, nécroses et fibroses, réapparition de réactions cutanées dues à une radiothérapie («radiation recall»).
  • -Chez les patientes ayant reçu paclitaxel comme traitement adjuvant du cancer du sein, des arthralgies/myalgies sévères ont été observées plus souvent que chez les patientes sous traitement par AC seul.
  • +Chez les patientes ayant reçu paclitaxel comme traitement adjuvant du cancer du sein, des arthralgies/myalgies plus sévères ont été observées que chez les patientes sous traitement par AC seul.
  • -Durant la division cellulaire, le paclitaxel provoque la formation de faisceaux anormaux des microtubules et il se forme de multiples groupements en étoile des microtubules se forment (asters).
  • +Durant la division cellulaire, le paclitaxel provoque la formation de faisceaux anormaux des microtubules et de multiples groupements en étoile des microtubules se forment (asters).
  • -L'étude «Intergroup» (B-MS CA 139–209) a inclu plus de 650 patientes souffrant d'un carcinome ovarien primaire (stades FIGO IIb–c, III ou IV). Les patientes ont reçu au maximum 9 cycles de paclitaxel (175 mg/m² durant 3 h) suivis par du cisplatine (75 mg/m²) ou le traitement comparatif cyclophosphamide/cisplatine. Temps médian jusqu'à la progression (time to progression): 15.3 vs 11.5 mois; survie médiane (survival): 35.6 vs 25.9 mois.
  • -La deuxième étude (GOG-111/B-MS CA 139–022) portait sur plus de 400 patientes atteintes d'un carcinome ovarien primaire (stades FIGO III/IV) avec un carcinome résiduel >1 cm après une laparotomie ou d'un carcinome ovarien avec des métastases. Les patientes ont reçu au maximum 6 cycles de paclitaxel (135 mg/m² durant 24 h) suivis par du cisplatine (75 mg/m²) ou le traitement comparatif cyclophosphamide/cisplatine. Temps médian jusqu'à la progression: 16.6 vs 13.0 mois; survie médiane: 35.5 vs 24.2 mois.
  • -Chez les patientes atteintes d'un carcinome ovarien avancé ayant été traitées par paclitaxel/cisplatine (perfusion de 3 h), on a observé, par rapport à l'association cyclophosphamide/cisplatine, plus de neurotoxicités et plus d'arthralgies/myalgies, mais moins de dépressions de la mœlle osseuse par rapport à l'association cyclophosphamide/cisplatine.
  • +L'étude «Intergroup» (B-MS CA 139–209) a inclu plus de 650 patientes souffrant d'un carcinome ovarien primaire (stades FIGO IIb–c, III ou IV). Les patientes ont reçu au maximum 9 cycles de paclitaxel (175 mg/m² durant 3 h) suivis par du cisplatine (75 mg/m²) ou le traitement comparatif cyclophosphamide/cisplatine. Temps médian jusqu'à la progression (time to progression): 15,3 vs 11,5 mois; survie médiane (survival): 35,6 vs 25,9 mois.
  • +La deuxième étude (GOG-111/B-MS CA 139–022) portait sur plus de 400 patientes atteintes d'un carcinome ovarien primaire (stades FIGO III/IV) avec un carcinome résiduel >1 cm après une laparotomie ou d'un carcinome ovarien avec des métastases. Les patientes ont reçu au maximum 6 cycles de paclitaxel (135 mg/m² durant 24 h) suivis par du cisplatine (75 mg/m²) ou le traitement comparatif cyclophosphamide/cisplatine. Temps médian jusqu'à la progression: 16,6 vs 13,0 mois; survie médiane: 35,5 vs 24,2 mois.
  • +Chez les patientes atteintes d'un carcinome ovarien avancé ayant été traitées par paclitaxel/cisplatine (perfusion de 3 h), on a observé plus de neurotoxicités et plus d'arthralgies/myalgies, mais moins de dépressions de la mœlle osseuse par rapport à l'association cyclophosphamide/cisplatine.
  • -Dans les études de phase III, paclitaxel (en association avec du cisplatine à 75 mg ou 80 mg/m²) s'est révélé significativement plus efficace au plan statistique que le traitement comparatif (étoposide ou téniposide en association avec du cisplatine). Dans le groupe sous paclitaxel, le temps jusqu'à progression de la maladie a été de 4.3 à 5.1 mois, avec une survie moyenne de 9.3 à 10.0 mois; le taux de survie sur un an a été de 36% à 41%. La qualité de la vie des personnes traitées par paclitaxel a été améliorée significativement dans les deux études.
  • +Dans les études de phase III, paclitaxel (en association avec du cisplatine à 75 mg ou 80 mg/m²) s'est révélé significativement plus efficace au plan statistique que le traitement comparatif (étoposide ou téniposide en association avec du cisplatine). Dans le groupe sous paclitaxel, le temps jusqu'à la progression de la maladie a été de 4,3 à 5,1 mois, avec une survie moyenne de 9,3 à 10,0 mois; le taux de survie sur un an a été de 36% à 41%. La qualité de la vie des personnes traitées par paclitaxel a été améliorée significativement dans les deux études.
  • -Dans une étude multicentrique randomisée de phase III, des patientes ayant subi une récidive après un traitement adjuvant ou après une prémédication avec une chimiothérapie associée, ont reçu du paclitaxel à une posologie de 175 mg/m² ou de 135 mg/m² (perfusion de 3 h). Le taux de réponse total pour les 454 patientes évaluables a été de 26% (réponse complète dans 17 cas et réponse partielle dans 99 cas). La durée de réponse médiane, mesurée à partir du premier jour de traitement, a été de 8.1 mois. Le temps médian jusqu'à la progression a été de 3.0 mois pour les patientes traitées à une posologie de 135 mg/m² et de 4.2 mois pour les patientes traitées à une posologie de 175 mg/m². La survie médiane globale (n=471) a été de 11.7 mois.
  • +Dans une étude multicentrique randomisée de phase III, des patientes ayant subi une récidive après un traitement adjuvant ou après une prémédication avec une chimiothérapie associée, ont reçu du paclitaxel à une posologie de 175 mg/m² ou de 135 mg/m² (perfusion de 3 h). Le taux de réponse total pour les 454 patientes évaluables a été de 26% (réponse complète dans 17 cas et réponse partielle dans 99 cas). La durée de réponse médiane, mesurée à partir du premier jour de traitement, a été de 8,1 mois. Le temps médian jusqu'à la progression a été de 3,0 mois pour les patientes traitées à une posologie de 135 mg/m² et de 4,2 mois pour les patientes traitées à une posologie de 175 mg/m². La survie médiane globale (n=471) a été de 11,7 mois.
  • -Une étude «Intergroup» américaine, réalisée en ouvert et de façon randomisée, a examiné le traitement adjuvant du carcinome du sein chez 3121 patientes présentant une atteinte des ganglions lymphatiques (stades I à III). Ces patientes ont été traitées soit par 4 cycles de paclitaxel à 175 mg/m² (T) après une thérapie par AC (doxorubicine + cyclophosphamide), soit par AC seul. Les patientes présentant des récepteurs hormonaux positifs ont également reçu additionnellement du tamoxifène. L'analyse intérimaire de cette étude, sur une durée médiane de 52.2 mois, a révélé des résultats significativement plus favorables chez les patientes traitées par AC + T. L'avantage du traitement additionnel par paclitaxel était de 13% (hazard ratio 0,87) pour la survie sans maladie (DFS,disease free survival et de 14% (hazard ratio 0.86) pour la survie totale (OS, overall survival. Les taux de récidives étaient de 469/1551 (32%) dans le groupe sous AC et de 432/1570 (27.5%) dans le groupe sous AC + T.
  • -Seules les patientes aux récepteurs œstrogéniques négatifs (n'ayant pas reçu de tamoxifène) ont atteint des résultats hautement significatifs attribuables au traitement additionnel par paclitaxel: hazard ratio de 0.71 pour la DFS (IC à 95% 0.58–0.88; p <0.001). Chez les patientes à récepteurs œstrogéniques positifs ayant reçu un traitement additionnel au tamoxifène (2/3 des sujets étudiés), les résultats n'ont révélé aucune différence entre les groupes traités par AC et AC + T (hazard ratio 1.0 pour la DFS). De même, le traitement additionnel par paclitaxel n'a pas été associé à des différences significatives chez les patientes dont la tumeur était de faible taille (<2 cm, T1) et les patientes à haut risque avec atteinte de ≥10 ganglions lymphatiques (LN) ou avec une tumeur >5 cm (T3).
  • +Une étude «Intergroup» américaine, en ouvert, randomisée, a examiné le traitement adjuvant du carcinome du sein chez 3'121 patientes présentant une atteinte des ganglions lymphatiques (stades I à III). Ces patientes ont été traitées soit par 4 cycles de paclitaxel à 175 mg/m² (T) après une thérapie par AC (doxorubicine + cyclophosphamide), soit par AC seul. Les patientes présentant des récepteurs hormonaux positifs ont également reçu du tamoxifène.
  • +L'analyse intérimaire de cette étude, sur une durée médiane de 52,2 mois, a révélé des résultats significativement plus favorables chez les patientes traitées par AC + T. L'avantage du traitement additionnel par paclitaxel était de 13% (hazard ratio 0,87) pour la survie sans maladie (DFS, disease free survival) et de 14% (hazard ratio 0,86) pour la survie totale (OS, overall survival). Les taux de récidives étaient de 469/1551 (32%) dans le groupe sous AC et de 432/1570 (27,5%) dans le groupe sous AC + T.
  • +Seules les patientes aux récepteurs œstrogéniques négatifs (n'ayant pas reçu de tamoxifène) ont atteint des résultats hautement significatifs attribuables au traitement additionnel par paclitaxel: hazard ratio de 0,71 pour la DFS (IC à 95% 0,58–0,88; p <0,001). Chez les patientes à récepteurs œstrogéniques positifs ayant reçu un traitement additionnel au tamoxifène (2/3 des sujets étudiés), les résultats n'ont révélé aucune différence entre les groupes traités par AC et AC + T (hazard ratio 1.0 pour la DFS). De même, le traitement additionnel par paclitaxel n'a pas été associé à des différences significatives chez les patientes dont la tumeur était de faible taille (<2 cm, T1) et les patientes à haut risque avec atteinte de ≥10 ganglions lymphatiques (LN) ou avec une tumeur >5 cm (T3).
  • -Le paclitaxel est principalement métabolisé par le système enzymatique du cytochrome P450. Le 6α-hydroxypaclitaxel, le 3'-p-hydroxypaclitaxel et le 6α,3'-p-dihydroxypaclitaxel, dont la formation est catalysée par les CYP 2C8 et 3A4. La voie métabolique primaire est la métabolisation en 6α-hydroxypaclitaxel par le CYP 2C8.
  • -Voir aussi «Interactions».
  • +Le paclitaxel est principalement métabolisé par le système enzymatique du cytochrome P450. Le 6α-hydroxypaclitaxel, le 3'-p-hydroxypaclitaxel et le 6α,3'-p-dihydroxypaclitaxel ont été identifiés comme métabolites majeurs du paclitaxel, dont la formation est catalysée par les CYP 2C8 et 3A4. La voie métabolique primaire est la métabolisation en 6α-hydroxypaclitaxel par le CYP 2C8. Voir aussi «Interactions».
  • -Après administration par voie intraveineuse, les taux plasmatiques du paclitaxel diminuent en suivant une courbe biphasique, le métabolisme hépatique et la clairance biliaire étant les deux principaux mécanismes d'élimination. La demi-vie terminale moyenne se situe entre 3.0 h et 52.7 h et les valeurs moyennes de la clairance corporelle totale sont de 11.6 à 24.0 l/h/m². La clairance corporelle totale semble diminuer lorsque les taux plasmatiques du paclitaxel s'élèvent. Les valeurs moyennes de la fraction du principe actif excrétée sous forme inchangée par voie urinaire sont de 1.3% à 12.6%, ce qui indique une clairance non rénale prononcée.
  • +Après administration par voie intraveineuse, les taux plasmatiques du paclitaxel diminuent en suivant une courbe biphasique, le métabolisme hépatique et la clairance biliaire étant les deux principaux mécanismes d'élimination. La demi-vie terminale moyenne se situe entre 3,0 h et 52,7 h et les valeurs moyennes de la clairance corporelle totale sont de 11,6 à 24,0 l/h/m². La clairance corporelle totale semble diminuer lorsque les taux plasmatiques du paclitaxel s'élèvent. Les valeurs moyennes de la fraction du principe actif excrétée sous forme inchangée par voie urinaire sont de 1,3% à 12,6%, ce qui indique une clairance non rénale prononcée.
  • -La pharmacocinétique du paclitaxel a été examinée chez 35 patients présentant des taux accrus de bilirubine. En présence de taux de bilirubine entre 1 et 2× la LNS, on a observé une augmentation de l'AUC, mais aucune augmentation de la toxicité. En présence de taux de bilirubine >2× la LNS, on a observé une augmentation de la myélotoxicité.
  • +La pharmacocinétique du paclitaxel a été examinée chez 35 patients présentant des taux accrus de bilirubine. En présence de taux de bilirubine entre 1 et 2× la LNS, on a observé une augmentation de l'ASC, mais aucune augmentation de la toxicité. En présence de taux de bilirubine >2× la LNS, on a observé une augmentation de la myélotoxicité.
  • -0.38 g/ml.
  • +0,38 g/ml.
  • -Concentré dans le flacon perforable
  • -Conserver à température ambiante (15–25 °C) et à l'abri de la lumière. Conserver hors de la portée des enfants.
  • -La conservation au réfrigérateur (2–8 °C) et la congelation du concentré n'ont aucune influence sur la qualité.
  • +Conserver à température ambiante (15–25°C) et à l'abri de la lumière. Conserver hors de la portée des enfants.
  • +La conservation au réfrigérateur (2–8°C) et la congélation du concentré n'ont aucune influence sur la qualité.
  • -Paclitaxel-Teva liquid est un concentré qui doit être dilué avant la perfusion à une concentration finale de 0.3 à 1.2 mg/ml. Par ml de solution mère, il faudra donc ajouter 4 ml (1.2 mg/ml) à 19 ml (0.3 mg/ml) de l'un des diluants suivants:
  • -·solution injectable avec 0.9% de chlorure de sodium,
  • +Paclitaxel-Teva liquid est un concentré qui doit être dilué avant la perfusion à une concentration finale de 0,3 à 1,2 mg/ml. Par ml de solution mère, il faudra donc ajouter 4 ml (1,2 mg/ml) à 19 ml (0,3 mg/ml) de l'un des diluants suivants:
  • +·solution injectable avec 0,9% de chlorure de sodium,
  • -·solution injectable avec 5% de glucose et 0.9% de chlorure de sodium,
  • +·solution injectable avec 5% de glucose et 0,9% de chlorure de sodium,
  • -Paclitaxel-Teva liquid sera administré au moyen d'un filtre micropore-in-line dont la taille des pores sera de 0.22 µm au maximum (aucune perte significative d'efficacité n'est connue par l'emploi d'un système de perfusion comprenant un filtre in-line).
  • -Le ricinoléate de macrogolglycérol, excipient contenu dans le produit, pourrait provoquer le détachement du plastifiant DEHP [Di-(2-éthylhexyl)phtalate] à partir des sacs de perfusion en PVC, des sets de perfusion en PVC ou d'autres instruments en PVC. Donc, le soluté pour perfusion devrait être préparé dans un récipient sans PVC (p.ex. verre, polypropylène, polyoléfine) et administré au moyen d'un set de perfusion en polyéthylène. L'emploi des filtres (par ex. Ivex-2) pourvus de petits tubes d'entrée/sortie en PVC, n'a pas mené à un détachement significatif de plastifiants.
  • +Paclitaxel-Teva liquid sera administré au moyen d'un filtre micropore-in-line dont la taille des pores sera de 0,22 µm au maximum (aucune perte significative d'efficacité n'est connue par l'emploi d'un système de perfusion comprenant un filtre in-line).
  • +Le ricinoléate de macrogolglycérol, excipient contenu dans le produit, pourrait provoquer le détachement du plastifiant DEHP [Di-(2-éthylhexyl)phtalate] à partir des sacs de perfusion en PVC, des sets de perfusion en PVC ou d'autres instruments en PVC.
  • +Donc, le soluté pour perfusion devrait être préparé dans un récipient sans PVC (p.ex. verre, polypropylène, polyoléfine) et administré au moyen d'un set de perfusion en polyéthylène.
  • +L'emploi des filtres (par ex. Ivex-2) pourvus de petits tubes d'entrée/sortie en PVC, n'a pas mené à un détachement significatif de plastifiants.
  • -Juillet 2020.
  • -Numéro de version interne: 3.2
  • +Janvier 2022.
  • +Numéro de version interne: 4.2
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