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Accueil - Information professionnelle sur Indapamid SR Orifarm - Changements - 08.02.2018
36 Changements de l'information professionelle Indapamid SR Orifarm
  • -Principe actif: indapamide.
  • -Excipients: Excipiens pro compresso obducto.
  • +Principe actif: Indapamide.
  • +Excipients: Lactose monohydraté, excipiens pro compresso obducto.
  • -1 comprimé pelliculé Indamid SR contient 1,5 mg d’indapamide.
  • +Comprimé pelliculé contenant 1,5 mg d'Indapamide.
  • -Voie orale
  • -1 comprimé pelliculé par 24 heures, de préférence le matin.
  • -Des doses plus élevées n’ont pas d’influence sur l’effet antihypertenseur, en revanche elles augmentent l’effet diurétique.
  • -La sécurité demploi et lefficacité nont pas été établies en pédiatrie.
  • +Un comprimé par 24 heures de préférence le matin.
  • +Des doses plus élevées n'améliorent pas l'action antihypertensive de l'Indapamide mais augmente en revanche son effet salidiurétique.
  • +La sécurité d'emploi et l'efficacité n'ont pas été établies en pédiatrie.
  • -Hypersensibilité aux sulfamides ou n'importe lequel des ingrédients;
  • -insuffisance rénale sévère;
  • -encéphalopathie hépatique ou insuffisance hépatique sévère;
  • -hypokaliémie;
  • -accidents vasculaires cérébraux récents.
  • +·Hypersensibilité à l'indapamide, aux autres sulfamides ou à l'un des excipients mentionnés dans la rubrique «Composition»,
  • +·Insuffisance rénale sévère,
  • +·Encéphalopathie hépatique ou insuffisance hépatique sévère,
  • +·Hypokaliémie,
  • +·Accidents vasculaires cérébraux récents.
  • +·Allaitement (voir rubrique «Grossesse/Allaitement»).
  • +
  • -Mises en garde: En cas datteinte hépatique, les diurétiques apparentés aux thiazidiques peuvent induire une encéphalopathie hépatique. Dans ce cas, ladministration du diurétique doit être immédiatement interrompue.
  • -Equilibre électrolytique
  • -Natrémie: les taux sériques de sodium doivent être contrôlés avant l’instauration du traitement, et à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique risque en effet de provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent pour les populations à risque comprenant les sujets âgés et les patients cirrhotiques (voir «Effets indésirables» et «Surdosage»).
  • -Kaliémie: la déplétion potassique suivie d’hypokaliémie constitue le risque majeur encouru avec Indamid SR. Il est nécessaire de prévenir le risque d’hypokaliémie (<3,4 mmol/l) chez les populations à risque comprenant les sujets âgés et/ou sous-alimentés, les patients sous polymédication, les patients cirrhotiques avec oedème et ascite, les patients coronariens ainsi que les insuffisants cardiaques. En effet, dans ce cas, lhypokaliémie aggrave la toxicité cardiaque des digitaliques et augmente le risque de troubles du rythme.
  • -Les sujets présentant une prolongation de l’intervalle QT sont également à risque, que lorigine en soit congénitale ou iatrogénique. Lhypokaliémie et la bradycardie sont des facteurs favorisant l’apparition de graves troubles du rythme, en particulier les torsades de pointes, potentiellement fatales.
  • -Dans tous les cas mentionnés ci-dessus, des contrôles fréquents des taux sériques de potassium s’avèrent nécessaires, le premier contrôle ayant lieu au cours de la première semaine suivant l’instauration du traitement.
  • -Si l’on diagnostique une hypokaliémie, il faudra la corriger.
  • -Calcémie: Indamid SR peut diminuer lexcrétion urinaire du calcium et entraîner une augmentation légère et transitoire des taux sériques de calcium. Une hypercalcémie marquée peut être induite par une hyperparathyroïdie non décelée.
  • -Il faut interrompre le traitement avant dexplorer la fonction parathyroïdienne.
  • -Glycémie: chez les diabétiques, il importe de contrôler la glycémie, notamment en présence dhypokaliémie.
  • -Acide urique: chez les patients présentant une hyperuricémie, la tendance aux crises de goutte peut être augmentée.
  • -Fonction rénale et diurétique: Indamid SR n’est pleinement efficace que lorsque la fonction rénale est normale ou peu altérée (créatininémie inférieure à 25 mg/l, soit 220 µmol/l pour un adulte). Chez le sujet âgé, la valeur de la créatininémie doit être réajustée en fonction de lâge, du poids et du sexe du patient.
  • -Lhypovolémie, secondaire à la perte en eau et en sodium induite par le diurétique en début de traitement, entraîne une réduction de la filtration glomérulaire. Il peut en résulter une augmentation des taux sériques d’urée et de créatinine. Cette altération transitoire de la fonction rénale n’a pas de conséquences chez le sujet présentant une fonction rénale normale mais risque d’aggraver une insuffisance rénale préexistante.
  • -Sportifs: il convient d’informer les sportifs que ce médicament contient un principe actif pouvant réagir positivement lors des contrôles antidopage.
  • -Lactose: Les comprimés d’Indamid SR contiennent du lactose. Patients avec une intolérance au galactose congénitale, un déficit en lactase ou malabsorption du glucose et du galactose, ne doivent pas prendre le médicament.
  • +Mises en garde
  • +En cas d'atteinte hépatique, les diurétiques apparentés aux thiazidiques peuvent induire une encéphalopathie hépatique particulièrement en cas de déséquilibre électrolytique. Dans ce cas, l'administration du diurétique doit être immédiatement interrompue.
  • +Photosensibilité:
  • +Des cas de photosensibilité ont été rapportés avec les diurétiques thiazidiques et apparentés (voir rubrique «Effets indésirables»). Si une réaction de photosensibilité apparaît durant le traitement, il est recommandé d'arrêter le traitement. Si une nouvelle administration du diurétique s'avère nécessaire, il est recommandé de protéger les parties du corps exposées au soleil ou à la lumière UV.
  • +Excipients:
  • +Les patients présentant des maladies héréditaires rares comme une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
  • +Précautions d'emploi
  • +Equilibre hydro-électrolytique:
  • +·Natrémie: Elle doit être contrôlée avant la mise en route du traitement, puis à intervalles réguliers par la suite. Tout traitement diurétique peut en effet provoquer une hyponatrémie, aux conséquences parfois graves. La baisse de la natrémie pouvant être initialement asymptomatique, un contrôle régulier est donc indispensable et doit être encore plus fréquent dans les populations à risque représentées par les sujets âgés et les cirrhotiques (cf. rubriques «Effets indésirables» et «Surdosage»).
  • +·Kaliémie: La déplétion potassique avec hypokaliémie constitue le risque majeur de Indapamide Spirig HC Retard. Le risque de survenue d'une hypokaliémie (<3,4 mmol/l) doit être prévenu dans certaines populations à risque représentées pas des sujets âgés et/ou dénutris et/ou polymédiqués, les cirrhotiques avec oedèmes et ascite, les coronariens, les insuffisants cardiaques. En effet, dans ce cas, l'hypokaliémie majore la toxicité cardiaque des digitaliques et le risque de troubles du rythme.
  • +Les sujets présentant un espace QT long sont également à risque, que l'origine en soit congénitale ou iatrogénique. L'hypokaliémie, de même que la bradycardie, agit comme facteur favorisant la survenue de troubles du rythme sévères, en particulier des torsades de pointes, potentiellement fatales.
  • +Dans tous les cas, des contrôles plus fréquents de la kaliémie sont nécessaires. Le premier contrôle du potassium plasmatique doit être effectué au cours de la 1ère semaine qui suit la mise en route du traitement.
  • +La constatation d'une hypokaliémie nécessite une correction.
  • +Calcémie:
  • +Indapamide Spirig HC Retard peut diminuer l'excrétion urinaire du calcium et entraîner une augmentation légère et transitoire de la calcémie. Une hypercalcémie franche peut être en rapport avec une hyperparathyroïdie méconnue.
  • +Interrompre le traitement avant d'explorer la fonction parathyroïdienne.
  • +Glycémie:
  • +Il importe chez les diabétiques, de contrôler la glycémie, notamment en présence d'hypokaliémie.
  • +Acide urique:
  • +Chez les patients hyperuricémiques, la tendance aux accès de goutte peut être augmentée.
  • +Fonction rénale et diurétique:
  • +Indapamide Spirig HC Retard n'est pleinement efficace que lorsque la fonction rénale est normale ou peu altérée (créatininémie inférieur à des valeurs de l'ordre de 25 mg/l, soit 220 µmol/l pour un adulte). Chez le sujet âgé, la valeur de la créatininémie doit être réajustée en fonction de l'âge, du poids et du sexe du patient.
  • +L'hypovolémie, secondaire à la perte d'eau et de sodium induite par le diurétique en début de traitement, entraîne une réduction de la filtration glomérulaire. Il peut en résulter une augmentation de l'urée sanguine et de la créatininémie. Cette insuffisance rénale fonctionnelle transitoire est sans conséquence chez le sujet à fonction rénale normale mais peut aggraver une insuffisance rénale préexistante.
  • +Sportifs:
  • +L'attention des sportifs est attirée sur le fait que cette spécialité contient un principe actif pouvant induire une réaction positive des tests pratiqués lors des contrôles antidopage.
  • -Associations déconseillées
  • -Lithium
  • -Augmentation de la lithiémie avec signes de surdosage, comme lors dun régime désodé (diminution de lexcrétion urinaire du lithium). Cependant, si le recours à un diurétique est nécessaire, une surveillance stricte de la lithiémie et une adaptation de la posologie s’imposent.
  • -Médicaments non antiarythmiques provoquant des torsades de pointes (astémizole, érythromycine IV, halofantrine, pentamidine, terfénadine, vincamine)
  • -Torsades de pointes (l’hypokaliémie est un facteur favorisant, de même que la bradycardie et une prolongation de l’intervalle QT préexistante).
  • -En cas d’hypokaliémie, recourir à des médicaments ne provoquant pas de torsades de pointes.
  • -Associations nécessitant des précautions d’emploi
  • -Anti-inflammatoires non stéroïdiens (voie générale), salicylés à forte dose
  • -Diminution possible de l’effet antihypertenseur de l’indapamide.
  • -Insuffisance rénale aiguë chez le patient déshydraté (diminution de la filtration glomérulaire).
  • -Hydrater le patient; surveiller la fonction rénale en début de traitement.
  • -Autres médicaments hypokaliémiants: amphotéricine B (i.v.), gluco- et minéralo-corticoïdes (voie générale), tétracosactide, laxatifs stimulants
  • -Risque majoré d’hypokaliémie (effet additif).
  • -Surveillance de la kaliémie et, si besoin, mesures de correction; à prendre particulièrement en compte en cas de traitement par des digitaliques. Utiliser des laxatifs non stimulants.
  • -Baclofène
  • -Majoration de l’effet antihypertenseur.
  • -Hydrater le patient, surveiller la fonction rénale en début de traitement.
  • -Digitaliques
  • -L’hypokaliémie favorise les effets toxiques des digitaliques.
  • -Surveillance de la kaliémie, ECG et, s’il y a lieu, reconsidérer le traitement.
  • -A prendre en considération lors des associations suivantes
  • -Diurétiques d’épargne potassique (amiloride, spironolactone, triamtérène)
  • -Cette association, indiquée pour certains patients, risque de provoquer une hypokaliémie ou au contraire, chez l’insuffisant rénal et le diabétique en particulier, une hyperkaliémie.
  • -Surveiller la kaliémie, éventuellement l’ECG, et, s’il y a lieu, reconsidérer le traitement.
  • -Inhibiteurs de lenzyme de conversion de l’angiotensine (IECA)
  • -Risque dhypotension artérielle brutale et/ou dinsuffisance rénale aiguë lors de linstauration du traitement par un inhibiteur de lenzyme de conversion de l’angiotensine, en présence d’une déplétion sodée préexistante (en particulier chez les patients présentant une sténose de lartère rénale).
  • -Dans lhypertension essentielle, lorsquun traitement diurétique préalable a potentiellement entraîné une déplétion sodée, il faut:
  • -soit arrêter le diurétique 3 jours avant le début du traitement par l’IECA et réintroduire un diurétique hypokaliémiant si nécessaire;
  • -soit administrer des doses initiales réduites de l’IECA et les augmenter ensuite lentement.
  • -Dans linsuffisance cardiaque congestive, commencer par une dose très faible d’IECA éventuellement après réduction de la dose du diurétique hypokaliémiant administré de manière concomitante.
  • -Dans tous les cas, surveiller la fonction rénale (dosage de la créatinine) dans les premières semaines du traitement par l’IECA.
  • -Médicaments antiarythmiques provoquant des torsades de pointes: antiarythmiques du groupe Ia (quinidine, hydroquinidine, disopyramide), amiodarone, sotalol
  • -Torsades de pointes (l’hypokaliémie est un facteur favorisant, de même que la bradycardie et une prolongation de l’intervalle QT préexistante).
  • -Prévention de l’hypokaliémie et, si besoin, mesures de correction: surveillance de l’intervalle QT. En cas de torsades, ne pas administrer d’antiarythmique (cardioversion électrique).
  • -Metformine
  • -Acidose lactique due à la metformine déclenchée par une éventuelle insuffisance rénale fonctionnelle liée aux diurétiques et plus spécialement aux diurétiques de lanse.
  • -Ne pas utiliser la metformine lorsque la créatininémie dépasse 15 mg/l (135 µmol/l) chez lhomme et 12 mg/l (110 µmol/l) chez la femme.
  • -Produits de contraste iodés
  • -En cas de déshydratation provoquée par les diurétiques, risque majoré dinsuffisance rénale aiguë; en particulier lors de lutilisation de doses importantes de produits de contraste iodés.
  • -Réhydratation avant administration du produit iodé.
  • -Antidépresseurs imipraminiques (tricycliques), neuroleptiques
  • -Effet antihypertenseur et risque dhypotension orthostatique majoré (effet additif).
  • -Calcium (sels de)
  • -Risque dhypercalcémie par diminution de lélimination urinaire du calcium.
  • -Ciclosporine
  • -Risque daugmentation de la créatininémie sans modification des taux circulants de ciclosporine, même en labsence de déplétion hydrosodée.
  • -Corticoïdes, tétracosactide (voie générale)
  • -Diminution de leffet antihypertenseur (rétention hydrosodée due aux corticoïdes).
  • +Associations déconseillées:
  • +Lithium: Augmentation de la lithiémie avec signes de surdosage, comme lors d'un régime désodé (diminution de l'excrétion urinaire de lithium). Cependant, si l'usage des diurétiques est nécessaire, surveillance stricte de la lithiémie et adaptation de la posologie.
  • +Associations nécessitant des précautions d'emploi:
  • +Médicaments pouvant induire des torsades de pointe:
  • +·Classe Ia antiarythmiques (quinidine, hydroquinidine, disopyramide)
  • +·Classe III antiarythmiques (amiodarone, sotalol, dofetilide, ibutilide)
  • +·Quelques antipsychotiques:
  • +Phénothiazines (chlorpromazine, cyamemazine, lévomepromazine, thioridazine, trifluoperazine),
  • +Benzamides (amisulpiride, sulpiride, sultopride,tiapride),
  • +Butyrophénones (dropéridol, halopéridol)
  • +Autres: bépridil, cisapride, diphemanil, érythromicine IV, halofantrine, mizolastine, pentamidine, sparfloxacine, moxifloxacine, vincamine IV.
  • +Augmentation du risque d'arythmie ventriculaire, en particulier de torsades de pointe (l'hypokaliémie est un facteur de risque).
  • +L'hypokaliémie doit être surveillée et corrigée si nécessaire, avant d'introduire une association. La clinique, les électrolytes plasmatiques et l'ECG sont à surveiller.
  • +Utiliser des substances ne présentant pas de risques de torsades de pointe en présence d'une hypokaliémie.
  • +A.I.N.S. (voie générale) incluant les inhibiteurs sélectifs de la COX-2, salicylés à forte dose (≥3 g/jour):
  • +Diminution possible de l'effet antihypertenseur de l'Indapamide.
  • +Insuffisance rénale aiguë chez le malade déshydraté (diminution de la filtration glomérulaire).
  • +Hydrater le malade; surveiller la fonction rénale en début de traitement.
  • +Inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC):
  • +Risque d'hypotension artérielle brutale et/ou d'insuffisance rénale aiguë lors de l'instauration du traitement par un inhibiteur de l'enzyme de conversion en cas de déplétion sodée préexistante (en particulier chez des patients porteurs de sténose de l'artère rénale).
  • +Dans l'hypertension essentielle, lorsqu'un traitement diurétique préalable peut avoir entraîné une déplétion sodée, il faut:
  • +·soit arrêter le diurétique 3 jours avant le début du traitement par l'IEC et réintroduire un diurétique hypokaliémiant si nécessaire;
  • +·soit administrer des doses initiales réduites de l'IEC et suivre une progression lente.
  • +Dans l'insuffisance cardiaque congestive, commencer par une dose très faible d'IEC éventuellement après réduction de la dose du diurétique hypokaliémiant associé.
  • +Dans tous les cas surveiller la fonction rénale (dosage de la créatininémie) dans les premières semaines du traitement par l'IEC.
  • +Autres hypokalémiants: amphotéricine B (voie IV), gluco et minéralocorticoïdes (voie générale), tétracosactide, laxatifs stimulants:
  • +Risque majoré d'hypokaliémie (effet additif).
  • +Surveillance de la kaliémie et, si besoin, correction; à prendre particulièrement en compte en cas de thérapeutique digitalique. Utiliser des laxatifs non stimulants.
  • +Baclofène:
  • +Majoration de l'effet antihypertenseur.
  • +Hydrater le malade, surveiller la fonction rénale en début de traitement.
  • +Digitaliques:
  • +Hypokaliémie favorisant les effets toxiques des digitaliques.
  • +Surveillance de la kaliémie, ECG et, s'il y a lieu, reconsidérer le traitement.
  • +Allopurinol:
  • +L'utilisation concomitante avec l'indapamide peut entraîner une augmentation de l'incidence de réactions d'hypersensibilité liées à l'allopurinol.
  • +Associations à prendre en compte:
  • +Diurétiques hyperkaliémiants (amiloride, spironolactone, triamtérène):
  • +L'association rationnelle, utile pour certains patients, n'exclut pas la survenue d'hypokaliémie ou d'hyperkaliémie (en particulier chez l'insuffisant rénal et le diabétique).
  • +Surveiller la kaliémie, éventuellement l'ECG, et s'il y a lieu, reconsidérer le traitement.
  • +Metformine:
  • +Acidose lactique due à la metformine déclenchée par une éventuelle insuffisance rénale fonctionnelle liée aux diurétiques et plus spécialement aux diurétiques de l'anse.
  • +Ne pas utiliser la metformine lorsque la créatininémie dépasse 15 mg/l (135 µmol/l) chez l'homme et 12 mg/l (110 µmol/l) chez la femme.
  • +Produits de contraste iodés:
  • +En cas de déshydratation provoquée par les diurétiques, risque majoré d'insuffisance rénale aiguë; en particulier lors de l'utilisation des doses importantes de produits de contraste iodés. Réhydratation avec administration du produit iodé.
  • +Antidépresseurs imipramiques (tricycliques), neuroleptiques:
  • +Effet antihypertenseur et risque d'hypotension orthostatique majoré (effet additif).
  • +Calcium (sels de):
  • +Risque d'hypercalcémie par diminution de l'élimination urinaire du calcium.
  • +Ciclosporine:
  • +Risque d'augmentation de la crtininémie sans modification des taux circulants de ciclosporine, même en l'absence de déplétion hydrosodée.
  • +Corticoïdes, tétracosactide (voie générale):
  • +Diminution de l'effet antihypertenseur (rétention hydrosodée des corticoïdes).
  • -Les études de reproduction chez lanimal nont pas démontré de risque pour le foetus, cependant il n’existe pas d’étude contrôlée chez la femme enceinte.
  • -En règle générale, ladministration de diurétiques doit être évitée chez la femme enceinte et ne jamais constituer le traitement des oedèmes physiologiques de la grossesse.
  • -Ils pourraient en effet entraîner une ischémie foeto-placentaire avec risque dhypotrophie foetale. Ne devrait pas être employé pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • -Allaitement
  • -L’allaitement est déconseillé, l’indapamide passant dans le lait maternel.
  • +Grossesse:
  • +Les études de reproduction chez l'animal n'ont pas démontré de risque fœtal. Elles n'ont pas mis en évidence d'effets nocifs directs ou indirects sur la reproduction (voir rubrique «Données précliniques»). Les données d'utilisation de l'indapamide chez la femme enceinte sont limitées.
  • +En règle générale, l'administration de diurétiques doit être évitée chez la femme enceinte et ne jamais constituer le traitement des oedèmes physiologiques de la grossesse. Une exposition prolongée aux diurétiques thiazidiques lors du 3ème trimestre de la grossesse peut réduire le volume plasmatique maternel ainsi que le débit sanguin utéro-placentaire. Il peut en résulter une ischémie fœto-placentaire, avec risque d'hypotrophie fœtale et un retard de la croissance intra-utérine. De plus, quelques rares cas d'hypoglycémie et de thrombocytopénie néonatales ont été signalés suite à une exposition proche du terme.
  • +L'indapamide ne devrait pas être employé pendant la grossesse, sauf en cas de nécessité absolue.
  • +Allaitement:
  • +L'Indapamide est excrété dans le lait maternel. Il ne doit pas être utilisé en période d'allaitement en raison:
  • +·d'une diminution voire d'une suppression de la sécrétion lactée,
  • +·des effets indésirables, notamment biologiques (kaliémie),
  • +·de leur appartenance aux sulfamides avec risque d'ictère nucléaire chez le nouveau-né et risques allergiques.
  • -Indamid SR ne modifie pas la vigilance, toutefois des réactions individuelles liées à une baisse de la pression artérielle peuvent survenir chez certains patients, spécialement en début de traitement ou lorsqu’Indamid SR est associé à un autre médicament antihypertenseur.
  • -Par conséquent, l’aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines peut être diminuée.
  • +Indapamide Spirig HC Retard ne modifie pas la vigilance mais des réactions individuelles en relation avec une baisse de la pression artérielle peuvent survenir chez certains patients, spécialement en début de traitement ou lors de l'association à un autre médicament antihypertenseur.
  • +Par conséquent l'aptitude à conduire des véhicules ou à utiliser des machines peut être diminuée.
  • -Les effets indésirables biologiques ou cliniques sont pour la plupart dose-dépendants. Fludex SR peut entraîner:
  • -Au plan biologique
  • -Fréquemment, une déplétion potassique avec hypokaliémie. Cette baisse de la kaliémie a été observée, au cours des essais cliniques dans certains cas, après 4 à 6 semaines de traitement et concerne environ 10% des patients pour une kaliémie <3,4 mmol/l, et 4% des patients pour une kaliémie <3,2 mmol/l.
  • -Dans certaines populations à risque (cf. «Précautions d’emploi»), la baisse de la kaliémie est considérée comme particulièrement grave.
  • -Occasionnellement, une hyponatrémie avec hypovolémie à l’origine d’une déshydratation et d’une hypotension orthostatique. La perte concomitante d’ions chlore peut secondairement entraîner une alcalose métabolique compensatrice: l’incidence et l’amplitude de cet effet sont faibles.
  • -Occasionnellement, une élévation de l’uricémie et de la glycémie au cours du traitement: l’emploi de ces diurétiques sera soigneusement discuté chez les sujets goutteux et diabétiques.
  • -Rarement, des troubles hématologiques, thrombocytopénie, leucopénie, agranulocytose, aplasie médullaire, anémie hémolytique.
  • -Rarement, une hypercalcémie.
  • -Au plan clinique
  • -Fréquemment, nausées, constipation, sécheresse buccale, vertiges, asthénie, paresthésies, céphalées, cédant le plus souvent à une réduction de posologie.
  • -Occasionnellement, des réactions dhypersensibilité essentiellement dermatologiques, chez des sujets prédisposés aux manifestations allergiques et asthmatiques.
  • -Occasionnellement, des éruptions maculopapuleuses, un purpura; rarement, possibilité daggravation dun lupus érythémateux disséminé aigu préexistant.
  • -Rarement, une pancréatite.
  • -Rarement, en cas d’insuffisance hépatique, possibilité de survenue d’encéphalopathie hépatique (cf. «Contre-indications» et «Mises en garde»).
  • +Résumé du profil de sécurité
  • +Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés sont les réactions d'hypersensibilité essentiellement dermatologiques chez des sujets prédisposés aux manifestations allergiques et asthmatiques, éruptions maculopapuleuses.
  • +Au cours des essais cliniques, une hypokaliémie (kaliémie <3,4 mmol/l) a été observée chez 10% des patients, elle était <3,2 mmol/l chez 4% des patients après 4 à 6 semaines de traitement. Après 12 semaines de traitement, la baisse moyenne de la kaliémie était de 0,23 mmol/l.
  • +Les effets indésirables biologiques ou cliniques sont pour la plupart dose-dépendants.
  • +Les diurétiques apparentés aux thiazidiques dont indapamide peuvent entraîner les effets indésirables suivants classés selon les fréquences:
  • +«Très fréquents» (>1/10); «Fréquents» (>1/100, <1/10); «Occasionnels» (>1/1000, <1/100); «Rares» (>1/10'000, <1/1000); «Très rares» (<1/10'000), Inconnu (ne pouvant être estimé à partir des données disponibles)
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique:
  • +Rare: thrombocytopénie, leucopénie, agranulocytose, aplasie médullaire, anémie hémolytique.
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition:
  • +Très rare: hypercalcémie.
  • +Inconnue: une déplétion potassique avec hypokaliémie, particulièrement grave chez certaines populations à haut risque (voir «Mises en garde et précautions»), une hyponatrémie.
  • +Affections du système nerveux:
  • +Fréquent: céphalées, vertiges, asthénie, paresthésies.
  • +Inconnu: syncope.
  • +Affections oculaires:
  • +Inconnu: Myopie, troubles visuels, vision floue.
  • +Affections cardiaques:
  • +Très rare: arythmies.
  • +Inconnu: Torsade de pointes (potentiellement fatales) (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
  • +Affections vasculaires:
  • +Très rare: hypotension.
  • +Affections gastro-intestinales:
  • +Occasionnel: vomissement.
  • +Rare: nausées, constipation, sécheresse buccale.
  • +Très rare: pancréatite.
  • +Affections hépatobiliaires:
  • +Très rare: fonction hépatique altérée.
  • +Fréquence inconnue: en cas d'insuffisance hépatique, possibilité de survenue d'encéphalopathie hépatique (cf «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»), hépatite, élévation des taux des enzymes hépatiques.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané:
  • +Réactions d'hypersensibilité essentiellement dermatologiques chez des sujets prédisposés aux manifestations allergiques et asthmatiques.
  • +Fréquent: éruptions maculopapuleuses.
  • +Occasionnel: purpura.
  • +Très rare: angio-œdème et/ou urticaire, nécrolyse épidermique toxique, syndrome de Stevens-Johnson.
  • +Inconnu: possibilité d'aggravation d'un lupus erythémateux disséminé aigu préexistant.
  • +Des cas de photosensibilité ont été rapportés (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections du rein et des voies urinaires:
  • +Très rare: insuffisance rénale.
  • +Investigations:
  • +Inconnu: allongement de l'intervalle QT à l'électrocardiogramme (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»).
  • +Elévation de la glycémie et de l'uricémie au cours du traitement: l'emploi de ces diurétiques sera soigneusement mesuré chez les sujets souffrant de goutte ou de diabète.
  • +Déclaration des effets indésirables suspectés
  • +La déclaration des effets indésirables suspectés après autorisation du médicament est importante. Elle permet une surveillance continue du rapport bénéfice/risque du médicament. Les professionnels de santé déclarent tout effet indésirable grave ou nouveau au Centre de Pharmacovigilance de leur région.
  • -L’indapamide na pas montré de toxicité à des doses allant jusquà 40 mg, soit 27 fois la dose thérapeutique.
  • -Les états d’intoxication se manifestent avant tout par une altération de l’équilibre électrolytique (hyponatrémie, hypokaliémie). Les symptômes cliniques potentiels sont nausées, vomissements, hypotension artérielle, crampes, vertiges, somnolence, confusion, polyurie ou oligurie allant jusquà lanurie (suite à une hypovolémie).
  • -Les premières mesures consistent à éliminer rapidement le/ou les produits ingérés par lavage gastrique et/ou administration de charbon activé puis à rétablir l’équilibre hydro-électrolytique normal dans un centre spécialisé.
  • +Symptômes
  • +L'Indapamide n'a pas montré de toxicité jusqu'à 40 mg, soit 27 fois la dose thérapeutique.
  • +Les signes de l'intoxication aiguë se manifestent surtout par des désordres hydroélectrolytiques (hyponatrémie, hypokaliémie). Cliniquement, possibilité de nausées, vomissements, hypotension artérielle, crampes, vertiges, somnolence, états confusionnels, polyurie, ou oligurie allant jusqu'à l'anurie (par hypovolémie).
  • +Traitement
  • +Les premières mesures consistent à éliminer rapidement le/ou les produits ingérés par lavage gastrique et/ou administration de charbon activé puis à restaurer l'équilibre hydro-électrolytique dans un centre spécialisé jusqu'à normalisation.
  • -Code-ATC: CO3BA11
  • -Mécanisme daction/Pharmacodynamie
  • -L’indapamide est un dérivé sulfamidé à noyau indole, apparenté aux diurétiques thiazidiques sur le plan pharmacologique, qui agit en inhibant la réabsorption du sodium au niveau du tubule rénal distal. Il augmente lexcrétion urinaire du sodium et des chlorures et, à un moindre degré, lexcrétion du potassium et du magnésium, accroissant ainsi la diurèse et exerçant un effet antihypertenseur.
  • -Effet thérapeutique
  • -Les études de phase II et III conduites avec l’indapamide en monothérapie ont révélé un effet antihypertenseur persistant pendant 24 heures. Celui-ci apparaît à des doses auxquelles le principe actif ne montre que de faibles propriétés diurétiques.
  • -L’effet antihypertenseur est lié à une amélioration de la compliance artérielle ainsi qu’à une diminution de la résistance périphérique totale et artériolaire.
  • -L’indapamide réduit lhypertrophie ventriculaire gauche.
  • -Il existe un plateau de leffet antihypertenseur de l’indapamide au-delà dune certaine dose, tandis que les effets indésirables continuent daugmenter: en cas dinefficacité du traitement, ne pas chercher à augmenter les doses.
  • -En outre, il a été démontré à court, moyen et long terme chez lhypertendu que l’indapamide:
  • -– n’influence pas le métabolisme lipidique (triglycérides, LDL-cholestérol et HDL-cholestérol),
  • -– n’influence pas le métabolisme glucidique, même chez lhypertendu diabétique.
  • +Code ATC: C03BA11
  • +Mécanisme d'action et pharmacodynamique:
  • +L'Indapamide est un dérivé sulfamidé à noyau indol, apparenté aux diurétiques thiazidiques sur le plan pharmacologique, qui agit en inhibant la réabsorption du sodium au niveau du segment cortical de dilution. Il augmente l'excrétion urinaire du sodium et des chlorures et, à moindre degré, l'excrétion du potassium et du magnésium, accroissant de la sorte la diurèse et exerçant un action antihypertensive.
  • +Les études de phase II et III ont montré, en monothérapie, un effet antihypertenseur se prolongeant pendant 24 heures. Il apparaît à des doses où n'apparaissent que faiblement ses propriétés diurétiques.
  • +Son activité antihypertensive est en rapport avec une amélioration de la compliance artérielle et une diminution des résistances périphériques totales et artériolaires.
  • +L'indapamide réduit l'hypertrophie ventriculaire gauche.
  • +Il existe un plateau de l'effet antihypertenseur de l'Indapamide au-delà d'une certaine dose, tandis que les effets indésirables continuent d'augmenter: en cas d'inefficacité du médicament, ne pas chercher à augmenter les doses.
  • +En outre, il a été démontré, à court, à moyen et à long terme chez l'hypertendu, que l'Indapamide:
  • +·respecte le métabolisme lipidique: trigylcérides, LDL-cholestérol et HDL-cholestérol;
  • +·respecte le métabolisme glucidique, même chez l'hypertendu diabétique.
  • -Indamid SR est présenté sous forme de comprimé pelliculé, une forme galénique à libération prolongée. Un système matriciel avec dispersion du principe actif au sein dun support permet une libération ralentie de l’indapamide.
  • -Absorption
  • -La fraction libérée d’indapamide est rapidement et totalement absorbée par le tractus digestif.
  • -La prise de nourriture augmente légèrement la vitesse dabsorption mais na pas dinfluence sur la quantité de produit absorbée.
  • -Les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes 12 h environ après administration.
  • -La répétition des prises permet d’atténuer les variations des concentrations sanguines entre deux administrations.
  • -La résorption est soumise à une variation intra-individuelle.
  • -Distribution
  • +Indapamide Spirig HC Retard est présenté sous forme galénique à libération ralentie, grâce à un système matriciel avec dispersion du principe actif au sein d'un support qui permet une libération ralentie d'Indapamide.
  • +Absorption:
  • +La fraction libérée d'Indapamide est rapidement et totalement absorbée par le tractus digestif.
  • +La prise de nourriture augmente légèrement la vitesse d'absorption mais n'a pas d'influence sur la quantité de produit absorbée.
  • +Le pic sanguin après administration unique est atteint 12 heures environ après la prise, la répétition des prises permet de limiter les variations des concentrations sanguines entre deux prises.
  • +Il existe une variabilité intra-individuelle.
  • +Distribution:
  • -Létat déquilibre est atteint après 7 jours.
  • -Les administrations répétées ne provoquent pas daccumulation.
  • -Métabolisme/Elimination
  • -L’élimination est essentiellement urinaire (70% de la dose) et fécale (22%) sous forme de métabolites inactifs.
  • -La demi-vie délimination est comprise entre 14 et 24 heures (en moyenne 18 heures).
  • -Cinétique pour certains groupes de patients
  • -Chez l’insuffisant rénal, les paramètres pharmacocinétiques demeurent inchangés.
  • +L'état d'équilibre est atteint après 7 jours.
  • +Les administrations répétées ne provoquent pas d'accumulation.
  • +Métabolisme/élimination:
  • +L'élimination est essentiellement urinaire (70% de la dose) et fécale (22%) sous forme de métabolites inactifs.
  • +La demi-vie d'élimination est comprise entre 14 et 24 heures (en moyenne 18 heures).
  • +Cinétique dans des situations particulières:
  • +Chez l'insuffisant rénal les paramètres pharmacocinétiques sont inchangés.
  • +Les plus fortes doses administrées par voie orale chez différentes espèces animales (40 à 8000 fois la dose thérapeutique) ont montré une exacerbation des propriétés diurétiques de l'indapamide. Les principaux symptômes des études de toxicité aiguë avec l'indapamide administré par voie intraveineuse ou intrapéritonéale sont en relation avec l'activité pharmacologique de l'indapamide, c'est-à-dire bradypnée et vasodilatation périphérique.
  • +Les tests de mutagénicité et de carcigénicité de l'indapamide sont négatifs.
  • +La reprotoxicité de l'indapamide a été testée (fertilité, embryofoetotoxicité et péri-postnatalité), aucune anomalie majeure n'a été mise en évidence à l'exception d'une faible prise de poids du fœtus dans le test de toxicité péri-post natale à la dose de 100 mg/kg. Aucun effet tératogène n'a été mis en évidence.
  • -Incompatibilités
  • -Néant
  • -Influence sur les méthodes diagnostiques
  • -Néant
  • -Conservation
  • -Le médicament peut être utilisé jusqu'à la date de péremption imprimée sur l’emballage avec la mention «EXP».
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Le médicament est à conserver à température ambiante (15–25 °C) et à l’abri de l’humidité.
  • +Conserver à température ambiante (15-25 °C) dans l'emballage original et protéger de l'humidité. Tenir hors de portée des enfants.
  • -58463 (Swissmedic).
  • +58463 (Swissmedic).
  • -Indamid SR comprimés pelliculés à 1.5 mg: 28, 30, 90 et 91 pce [B]
  • +Indapamide Spirig HC Retard 1.5 mg 30 comprimés pelliculés [B]
  • +Indapamide Spirig HC Retard 1.5 mg 90 comprimés pelliculés [B]
  • -SparMed AG, 6300 Zug
  • +Spirig HealthCare SA, 4622 Egerkingen.
  • -Mars 2009
  • +Septembre 2014.
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