57 Changements de l'information professionelle Salvacyl |
- +Mode d'administration
- +Du fait que Salvacyl est une suspension de microgranules, toute injection intravasculaire doit absolument être évitée. Le site d'injection doit changer périodiquement.
-Instructions posologiques particulières
-Contrôle du traitement
-Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
-Aucune adaptation de la posologie n'est requise pour les patients souffrant d'une fonction hépatique limitée.
-Patients présentant des troubles de la fonction rénale
-Aucune adaptation de la posologie n'est requise pour les patients souffrant d'une fonction rénale limitée.
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- +Instructions posologiques particulières
-Mode d'administration
-Du fait que Salvacyl est une suspension de microgranulés, toute injection intravasculaire doit absolument être évitée.
-Le site d'injection doit changer périodiquement.
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
- +Aucune adaptation de la posologie n'est requise pour les patients souffrant d'une fonction rénale limitée.
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
- +Aucune adaptation de la posologie n'est requise pour les patients souffrant d'une fonction hépatique limitée.
-Contre-indications générales
-Hypersensibilité à la triptoréline, à d'autres analogues GnRH, ou à l'un des excipients selon la composition.
- +Hypersensibilité à la triptoréline, à d'autres analogues de la GnRH, ou à l'un des excipients selon la composition.
-Ostéoporose/densité osseuse:
-L'utilisation d'analogues synthétiques de la GnRH peut être associée à une réduction de la minéralisation osseuse pouvant aller jusqu'à l'ostéoporose. Aucune expérience de l'utilisation de la triptoréline chez des patients déjà atteints d'ostéoporose n'étant disponible, les patients souffrant d'une grave ostéoporose ne devraient pas être traités par Salvacyl.
-Les patients qui présentent, en plus, d'autres facteurs de risques d'ostéoporose (comme un abus chronique d'alcool, le tabagisme, la malnutrition, des anamnèses familiales positives d'ostéoporose ou un traitement de longue durée par des médicaments réduisant aussi la densité osseuse tels que les corticoïdes ou les anticonvulsifs) doivent être étroitement surveillés.
-La densité minérale osseuse doit être mesurée avant le début du traitement et contrôlée au besoin à intervalles réguliers pendant le traitement. Afin d'éviter une perte de la densité osseuse due au traitement, un apport suffisant en calcium et en vitamine D (par l'alimentation) est recommandé. Il faut conseiller au besoin au patient de modifier son mode de vie en faisant p.ex. des exercices physiques réguliers entraînant une charge sur le squelette, en arrêtant de fumer et en consommant modérément de l'alcool.
-Risque de diabètes/risque cardiovasculaire:
-Un risque accru de diabète sucré et/ou d'événements cardiovasculaires a été rapporté chez les hommes traités avec des agonistes de la GnRH. Il est donc conseillé de surveiller les patients souffrant d'hypertension, d'hyperlipidémie ou de troubles cardio-vasculaires à l'égard de ce risque au cours du traitement par la triptoréline.
-Effet sur l'intervalle QT/QTc:
-La privation d'androgène à long terme peut prolonger l'intervalle QT. Il est donc conseillé de surveiller les patients ayant un syndrome d'allongement de l'intervalle QT, des troubles électrolytiques ou une insuffisance cardiaque. L'utilisation concomitante de triptoréline avec des médicaments connus pour allonger l'intervalle QT ou capables d'induire des torsades de pointes tels que les anti-arythmiques de classe IA (ex. quinidine, disopyramide) ou de classe III (ex. amiodarone, sotalol) doit être évaluée avec précaution (voir «Mises en garde et précautions»).
-Troubles de l'humeur/Dépression:
-Des troubles de l'humeur allant jusqu'à des dépressions (dont certaines sévères) ont été rapportés sous traitement par triptoréline. Les patients souffrant de dépression (même dans leur anamnèse) doivent donc être étroitement surveillés pendant la prise de Salvacyl.
-Un traitement par agonistes de la GnRH peut être à l'origine de la manifestation d'un adénome hypophysaire latent, qui peut, dans certains cas, s'accompagner d'une apoplexie hypophysaire, Les symptômes possibles sont des maux de tête soudains, des troubles visuels, une ophtalmoplégie, des vomissements et, éventuellement, des modifications de l'état mental et un collapsus cardio-vasculaire. En cas de soupçon d'apoplexie hypophysaire, le médicament doit être immédiatement arrêté et un traitement adapté doit être institué.
-Réactions allergiques:
- +Un traitement chez les patients hommes traités avec des agonistes de la GnRH peut être à l'origine de la manifestation d'un adénome hypophysaire latent, qui peut, dans certains cas, s'accompagner d'une apoplexie hypophysaire, Les symptômes possibles sont des maux de tête soudains, des troubles visuels, une ophtalmoplégie, des vomissements et, éventuellement, des modifications de l'état mental et un collapsus cardio-vasculaire. En cas de soupçon d'apoplexie hypophysaire, le médicament doit être immédiatement arrêté et un traitement adapté doit être institué.
- +Troubles de l'humeur/Dépression:
- +Des troubles de l'humeur allant jusqu'à des dépressions (dont certaines sévères) ont été rapportés sous traitement par triptoréline. De rares cas d'idées suicidaires ou de tentatives de suicide ont également été rapportés sous traitement par d'autres analogues de la GnRH. Les patients souffrant de dépression (même dans leur anamnèse) doivent donc être étroitement surveillés pendant la prise de Salvacyl. Les patients doivent être avertis du risque d'apparition de tels symptômes (et de la possibilité d'une aggravation d'une dépression préexistante).
- +Ostéoporose/densité osseuse:
- +L'utilisation d'analogues synthétiques de la GnRH peut être associée à une réduction de la minéralisation osseuse pouvant aller jusqu'à l'ostéoporose et augmentant ainsi le risque de fractures. Aucune expérience de l'utilisation de la triptoréline chez des patients déjà atteints d'ostéoporose n'étant disponible, les patients souffrant d'une grave ostéoporose ne devraient pas être traités par Salvacyl.
- +Les patients qui présentent, en plus, d'autres facteurs de risques d'ostéoporose, comme un abus chronique d'alcool, le tabagisme, la malnutrition, des anamnèses familiales positives d'ostéoporose ou un traitement de longue durée par des médicaments réduisant aussi la densité osseuse (tels que les corticoïdes ou les anticonvulsifs), doivent être étroitement surveillés.
- +La densité minérale osseuse doit être mesurée avant le début du traitement et contrôlée au besoin à intervalles réguliers pendant le traitement. Afin d'éviter une perte de la densité osseuse due au traitement, un apport suffisant en calcium et en vitamine D (par l'alimentation) est recommandé. Il faut conseiller au besoin au patient de modifier son mode de vie en faisant p.ex. des exercices physiques réguliers entraînant une charge sur le squelette, en arrêtant de fumer et en consommant modérément de l'alcool.
- +Convulsions:
- +Des cas de convulsions ont été rapportés sous traitement par des analogues de la GnRH, en particulier chez les femmes et les enfants. Certains de ces patients présentaient des facteurs de risque de convulsions (comme des antécédents d'épilepsie, des tumeurs intracrâniennes ou un traitement concomitant avec des médicaments connus pour présenter un risque de réactions sous forme de convulsions). Mais des cas de convulsions chez des patients ne présentant aucun facteur de risque de ce type ont également été déclarés.
- +Réactions d'hypersensibilité:
-Migraines/Paresthésies:
-Les paresthésies et les migraines sévères sont rares. Dans les cas sévères ou répétitifs, interrompre le traitement.
- +Risque de diabètes/risque cardiovasculaire:
- +Des études épidémiologiques ont mis en évidence des changements métaboliques (par exemple une pertubation de la tolérance au glucose, une stéatose hépatique), ou un risque accru de diabète sucré et/ou des maladies cardiovasculaires a été rapporté chez les hommes traités avec des agonistes de la GnRH. Il est donc conseillé de surveiller les patients souffrant d'hypertension, d'hyperlipidémie ou de troubles cardio-vasculaires à l'égard de ce risque au cours du traitement par la triptoréline.
- +Effet sur l'intervalle QT/QTc:
- +La privation d'androgène à long terme peut prolonger l'intervalle QT. Il est donc conseillé de surveiller les patients ayant un syndrome d'allongement de l'intervalle QT, des troubles électrolytiques ou une insuffisance cardiaque. L'utilisation concomitante de triptoréline avec des médicaments connus pour allonger l'intervalle QT ou capables d'induire des torsades de pointes tels que les anti-arythmiques de classe IA (ex. quinidine, disopyramide) ou de classe III (ex. amiodarone, sotalol) doit être évaluée avec précaution.
-Une augmentation des lymphocytes a été rapportée chez des patients traités par des analogues de la GnRH. Cette lymphocytose secondaire est apparemment liée à la castration induite par la GnRHet semble indiquer que les hormones gonadiques sont impliquées dans l'involution thymique.
-Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c.-à-d. qu'il est essentiellement « sans sodium ».
- +Autres précautions:
- +Paresthésies et migraines sévères sont rares. Dans les cas graves ou récidivants, interrompre le traitement.
- +Une augmentation des lymphocytes a été rapportée chez des patients traités par des analogues de la GnRH.
- +Excipients pharmaceutiques revêtant un intérêt particulier
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par dose, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
- +Interactions pharmacodynamiques
- +Interactions pharmacocinétiques
- +Les cytochromes P450 (CYP) sont peu probablement impliqués dans le métabolisme et l'élimination de la triptoréline. De plus, des données in vitro ont montré que la triptoréline n'est pas un inhibiteur ou un inducteur de CYP, ni un substrat ou inhibiteur de P-glycoprotéine (P-gp). Par conséquence, les interactions pharmacocinétiques avec la triptoréline sont peu probables.
-Les effets indésirables les plus communément observés lors de traitement avec la triptoréline étaient dus à ses effets physiologiques attendus: augmentation initiale des taux de testostérone, suivie d'une suppression presque complète de la testostérone. Ces effets indésirables très fréquemment observés, incluaient des bouffées de chaleur (chez 46% des patients), une impuissance et une diminution de la libido (chez 1% à 10% des patients souffrant d'un cancer de la prostate traités par la triptoréline).
-Les effets indésirables suivants ont été rapportés et sont considérés comme étant au moins possiblement reliés au traitement.
- +Les effets indésirables les plus communément observés lors de traitement avec la triptoréline étaient dus à ses effets physiologiques attendus: augmentation initiale des taux de testostérone, suivie d'une suppression presque complète de la testostérone. Les effets le plus fréquemment observés, étaient les bouffées de chaleur (46%) et la diminution des organes génitaux (12%).
- +Les effets indésirables suivants ont été signalés lors des essais cliniques ou de la pharmacovigilance.
-Infections:
-Occasionnel: Nasopharyngite.
- +Infections
- +Occasionnel: nasopharyngite.
-Occasionnel: Purpura, anémie.
-Rare: Lymphadénopathie.
- +Occasionnel: anémie.
- +Rare: lymphadénopathie.
-Occasionnel: hypersensibilité, inclusivement réaction anaphylactique.
- +Occasionnel: réactions d'hypersensibilité, inclusivement réaction anaphylactique (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
-Très fréquent: diminution de volume des organes génitaux (12,2%).
-Occasionnel: Anorexie, appétit augmenté, perte de poids, prise de poids, hyperuricémie, hyperglycémie, créatinine sérique augmentée, urée sérique augmentée.
- +Occasionnel: anorexie, appétit augmenté, perte de poids, prise de poids, hyperuricémie, hyperglycémie, créatinine sérique augmentée, urée sérique augmentée.
-Fréquent: Sautes d'humeur, baisse de libido, dépression.
- +Fréquent: sautes d'humeur, baisse de libido, dépression.
-Très rare: crises de convulsions.
- +Inconnu: convulsions.
- +Pendant la phase post-marketing, de rares cas d'apoplexie hypophysaire ont été décrits (voir «Mises en garde et précautions»).
-Troubles cardiaques et vasculaires
-Occasionnel: hypertension, hypotension, thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire.
- +Troubles cardiaques
- +Inconnu: allongement de l'intervalle QT
- +Troubles vasculaires
- +Très fréquent: bouffées de chaleur (46%).
- +Occasionnel: hypertension, hypotension, thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire.
-Occasionnel: distension abdominale, douleur abdominale, constipation, diarrhée, bouche sèche, dysgénésie, flatulence, vomissement, ténesmes.
- +Occasionnel: distension abdominale, douleur abdominale, constipation, diarrhée, bouche sèche, dysgueusie, flatulence, vomissement, ténesmes.
-Occasionnel: prurit, transpiration plus abondante, acné, alopécie, eczéma, vésicule cutanée, éruption bulleuse.
- +Occasionnel: prurit, transpiration plus abondante, acné, alopécie, eczéma, purpura, vésicule cutanée, éruption bulleuse.
-Occasionnel: faiblesse musculaire, myalgie, cervicalgie, arthralgie, raideur articulaire, contractures musculaires.
- +Occasionnel: faiblesse musculaire, myalgies, cervicalgies, arthralgies, raideur articulaire, contractures musculaires.
-Fréquent: dysérection.
- +Très fréquent: diminution de volume des organes génitaux (12%).
- +Fréquent: troubles de l'érection.
-Très fréquent: bouffées de chaleur (46%).
-Occasionnel: rougissement, asthénie, hématome, sensation de brûlure et inflammation au point d'injection, fatigue, douleur thoracique, fièvre, frissons, douleur, syndrome grippal, dystasie (difficulté de la station debout).
-Pendant la phase post-marketing, de rares cas d'apoplexie hypophysaire ont été décrits (voir «Mises en garde et précautions»).
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- +Occasionnel: rougissement, hématome, sensation de brûlure et inflammation au point d'injection, fatigue, douleur thoracique, fièvre, frissons, douleur, syndrome grippal, dystasie (difficulté de la station debout).
-Les propriétés pharmacologiques de Salvacyl et son mode d'administration rendent le risque de surdosage accidentel ou intentionnel improbable. Des tests réalisés chez l'animal suggèrent qu'aucun autre effet que les effets thérapeutiques sur la concentration d'hormones sexuelles et sur l'appareil reproducteur n'est attendu avec des doses plus élevées de Salvacyl.
- +Les propriétés pharmacologiques de Salvacyl rendent le risque de surdosage accidentel ou intentionnel improbable. Des tests réalisés chez l'animal suggèrent qu'aucun autre effet que les effets thérapeutiques sur la concentration d'hormones sexuelles et sur l'appareil reproducteur n'est attendu avec des doses plus élevées de Salvacyl.
-Les dérivés embonate et acétate de la triptoréline sont équivalents et interchangeables en ce qui concerne leur pharmacodynamie et toxicité.
-Salvacyl a été étudié lors d'une étude randomisée contrôlée chez 346 hommes atteint d'un cancer avancé de la prostate en Afrique du sud. La population de cet essai consistait en 48% de population caucasienne, 38% de population noire et 15% de population non précisée. L'âge de ces hommes était compris entre 45 et 96 ans (moyenne 71 ans).
-Les patients ont reçu soit Salvacyl 11,25 mg (n=174) tous les 84 jours pour un total de 3 doses (durée maximale du traitement de 252 jours) soit 3.75 mg triptoréline (n=172) tous les 28 jours pour un total de 9 doses. Les critères d'efficacité primaires étaient l'atteinte de la castration au jour 29 et le maintien de cette castration du jour 57 au jour 253.
-Les taux de testostérone sériques correspondant au niveau de castration (≤1.735 nmol/l) ont été atteints au jour 29 chez 167 des 171 patients traités avec Salvacyl (97.7%).
-Le taux de testostérone sérique correspondant au niveau de castration a été maintenu du jour 57 au jour 253 chez 94.4% des patients traités avec Salvacyl.
- +L'efficacité de la triptoréline pour réduire les taux de testostérone a été étudiée lors d'une étude randomisée contrôlée chez 346 hommes atteint d'un cancer avancé de la prostate en Afrique du sud. La population de cet essai consistait en 48% de population caucasienne, 38% de population noire et 15% de population non précisée. L'âge de ces hommes était compris entre 45 et 96 ans (moyenne 71 ans).
- +Les patients ont reçu soit triptoréline 11,25 mg (n=174) tous les 84 jours pour un total de 3 doses (durée maximale du traitement de 252 jours) soit 3.75 mg triptoréline (n=172) tous les 28 jours pour un total de 9 doses. Les critères d'efficacité primaires étaient l'atteinte de la castration au jour 29 et le maintien de cette castration du jour 57 au jour 253.
- +Les taux de testostérone sériques correspondant au niveau de castration (≤1.735 nmol/l) ont été atteints au jour 29 chez 167 des 171 patients traités avec triptoréline 11,25mg (97.7%).
- +Le taux de testostérone sérique correspondant au niveau de castration a été maintenu du jour 57 au jour 253 chez 94.4% des patients traités avec triptoréline 11,25mg.
-Aucun métabolite de la triptoréline n'a été découvert chez l'être humain. Mais les données pharmacocinétiques humaines montrent que les fragments C-terminaux produits par destruction tissulaire sont soit entièrement détruits dans les tissus, soit rapidement définitivement détruits dans le plasma soit éliminés par les reins.
- +Aucun métabolite de la triptoréline n'a été découvert chez l'être humain. Mais les données pharmacocinétiques humaines montrent que les fragments C-terminaux produits par destruction tissulaire sont soit entièrement détruits dans les tissus, soit rapidement définitivement détruits dans le plasma soit éliminés par les reins. L'implication des enzymes CYP450 dans le métabolisme est peu probable.
-Troubles de la fonction hépatique
-Chez les patients ayant une fonction hépatique limitée, la demi-vie de Salvacyl était de 7,65 heures. La part de triptoréline non métabolisée éliminée par les urines s'est accrue à 62% chez ces patients, ce qui indique que le foie joue un rôle important dans l'élimination de la triptoréline.
-Troubles de la fonction rénale
-Une fonction rénale limitée entraîne un retard dans l'élimination de la triptoréline.
-La demi-vie était de 6,7 heures chez les patients ayant une insuffisance rénale modérée (clearance de la créatinine moyenne de 40 ml/min) et de 7,8 heures chez les patients souffrant d'insuffisance rénale grave (clearance de la créatinine moyenne de 8,9 ml/min).
-Polymorphismes génétiques
-Ethnicité: L'influence de la race sur la pharmacocinétique de la triptoréline n'a pas été étudiée.
- +Troubles de la fonction rénale
- +En cas d'insuffisance rénale, la clairance de la triptoréline diminue proportionnellement à celle de la créatinine. La demi-vie était de 6,7 heures chez les patients ayant une insuffisance rénale modérée (clearance de la créatinine moyenne de 40 ml/min) et de 7,8 heures chez les patients souffrant d'insuffisance rénale grave.
- +Troubles de la fonction hépatique
- +Chez les patients adultes ayant une fonction hépatique limitée, l'AUC de la triptoréline était environ 3,7 fois plus élevée que chez des sujets sains et la demi-vie de triptoréline était de 7,65 heures. La part de triptoréline non métabolisée éliminée par les urines s'est accrue à 62% chez ces patients.
-Toxicité à long terme (ou toxicité en cas d'administration répétée)
- +Toxicité en cas d'administration répétée)
-Dans le cadre de la procréation médicalement assistée, la triptoréline a souvent été utilisée dans des études contrôlées pour la suppression des gonadotrophines et œstrogènes endogènes.
-L'administration de triptoréline aux doses thérapeutiques conduit à une suppression du système hypophyso-gonadique. La fonction normale est d'habitude rétablie après l'arrêt du traitement. Des tests diagnostiques de la fonction hypophyso-gonadique conduits durant le traitement et 4 à 12 semaines après l'interruption de la thérapie avec un agoniste de la GnRH peuvent donc être erronés
- +L'administration de triptoréline aux doses thérapeutiques conduit à une suppression du système hypophyso-gonadique. La fonction normale est d'habitude rétablie après l'arrêt du traitement. Des tests diagnostiques de la fonction hypophyso-gonadique conduits durant le traitement et 4 à 12 semaines après l'interruption de la thérapie avec un agoniste de la GnRH peuvent donc être erronés.
-Conservation après ouverture
-Debiopharm Research & Manufacturing SA
-1920 Martigny
- +Debiopharm Research & Manufacturing SA, 1920 Martigny
-Juin 2023
- +Mars 2024
-5 Tenir tout le dispositif (seringue + adaptateur + flacon) fermement dans la main puis agiter le vigoureusement de haut en bas pendant 30 secondes. Vérifier l'apparence de la suspension en regardant par le fond du flacon. La suspension devrait être d'apparence homogène, épaisse et laiteuse. Agiter le dispositif de nouveau en cas de sédimentation Si une partie de la suspension remonte dans la seringue pendant l'agitation, pousser le piston pour remettre la suspension dans le flacon et agiter à nouveau avant de passer à l'étape suivante. Le produit doit maintenant être injecté dans les 2 minutes. (image)
-6 Tourner immédiatement le dispositif de sorte à ce que le flacon soit en haut et la seringue en bas et tirer doucement la tige du piston afin d'aspirer tout le contenu du flacon dans la seringue. (image) (image)
- +5 Tenir tout le dispositif (seringue + adaptateur + flacon) fermement dans la main puis agiter le vigoureusement de haut en bas pendant 30 secondes. Vérifier l'apparence de la suspension en regardant par le fond du flacon. La suspension devrait être d'apparence homogène, épaisse et laiteuse. Agiter le dispositif de nouveau en cas de sédimentation Si une partie de la suspension remonte dans la seringue pendant l'agitation, pousser le piston pour remettre la suspension dans le flacon et agiter à nouveau avant de passer à l'étape suivante. Le produit doit maintenant être injecté dans les 2 minutes.
- +6 Tourner immédiatement le dispositif de sorte à ce que le flacon soit en haut et la seringue en bas et tirer doucement la tige du piston afin d'aspirer tout le contenu du flacon dans la seringue. (image) (image)
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