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Accueil - Information professionnelle sur Mycophenolat-Mofetil Sandoz - Changements - 06.04.2019
68 Changements de l'information professionelle Mycophenolat-Mofetil Sandoz
  • -Mycophénolate-Mofétil Sandoz est indiqué en association avec la ciclosporine et des corticoïdes pour la prévention des réactions de rejet aiguës chez les patients bénéficiant d'une allogreffe de rein, de coeur ou de foie.
  • +Mycophénolate-Mofétil Sandoz est indiqué en association avec des corticoïdes et la ciclosporine pour la prévention des réactions de rejet aiguës chez les patients bénéficiant d'une allogreffe de rein, de coeur ou de foie.
  • +Veuillez-vous reporter aux informations de prescription complètes pour les corticoïdes et la ciclosporine utilisés en association avec Mycophénolate-Mofétil Sandoz.
  • +
  • -Des transplantés rénaux souffrant de grave insuffisance rénale chronique (taux de filtration glomérulaire <25 ml/min/1,73 m²) auxquels Mycophénolate-Mofétil Sandoz a été administré à raison de doses uniques ont présenté, par rapport à des patients atteints d'insuffisance rénale moins sévère ou à des sujets sains, des AUC plus importantes en ce qui concerne le MPA et le glucuronide du MPA (MPAG) plasmatiques. De tels transplantés rénaux ne doivent pas recevoir Mycophénolate-Mofétil Sandoz à des doses supérieures à 1 g deux fois par jour et doivent être attentivement surveillés.
  • +Des transplantés rénaux souffrant de grave insuffisance rénale chronique (taux de filtration glomérulaire <25 ml/min/1,73 m²) auxquels Mycophénolate-Mofétil Sandoz a été administré à raison de doses uniques ont présenté, par rapport à des patients atteints d'insuffisance rénale moins sévère ou à des sujets sains, des AUC plus importantes en ce qui concerne le MPA et le glucuronide du MPA (MPAG) plasmatiques. De tels transplantés rénaux ne doivent pas recevoir Mycophénolate-Mofétil Sandoz à des doses supérieures à 1 g deux fois par jour et doivent être attentivement surveillés (voir aussi «Interactions»).
  • -Mycophénolate-mofétil est contre-indiqué chez les femmes en âge de procréer n'utilisant pas de méthodes de contraception hautement efficaces (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • +Mycophénolate-mofétil est contre-indiqué chez les femmes en âge de procréer n'utilisant pas de méthodes de contraception hautement efficaces (voir «Grossesse/Allaitement: hommes et femmes aptes à procréer»).
  • -Des cas de leuco-encéphalopathie multifocale progressive (LEMP) associée au virus JC, ayant occasionellement eu une issue fatale, ont été observés chez des patients traités par Mycophénolate-Mofétil Sandoz. Une relation de cause à effet entre la LMP et le mycophénolate mofétil n'a pu être établie en raison des facteurs d'influence tels que la maladie sous-jacente, des immunosuppresseurs et la latence; un rôle contributif ne peut, toutefois être exclu. Des symptômes neurologiques mentionnés par des patients immunosupprimés devraient faire penser à une éventuelle LMP dans le cadre du diagnostic différentiel.
  • +Des cas de leuco-encéphalopathie multifocale progressive (LEMP) associée au virus JC, ayant occasionnellement eu une issue fatale, ont été observés chez des patients traités par Mycophénolate-Mofétil Sandoz. Une relation de cause à effet entre la LMP et le mycophénolate mofétil n'a pu être établie en raison des facteurs d'influence tels que la maladie sous-jacente, des immunosuppresseurs et la latence; un rôle contributif ne peut, toutefois être exclu. Des symptômes neurologiques mentionnés par des patients immunosupprimés devraient faire penser à une éventuelle LMP dans le cadre du diagnostic différentiel.
  • +Les patients ne doivent pas donner de sang pendant le traitement avec Mycophénolate-Mofétil Sandoz et au moins 6 semaines après la fin de celui-ci.
  • +En cas de substitution du traitement d'association ou pour garantir une immunosuppression adéquate chez les patients présentant un risque immunologique élevé (p.ex. risque de rejet, traitement antibiotique, ajout ou suppression d'un médicament induisant une interaction), une surveillance étroite du MPA peut être indiquée.
  • +Les hommes ne doivent pas donner de sperme pendant le traitement avec Mycophénolate-Mofétil Sandoz et jusqu'à 90 jours après la fin de celui-ci.
  • +L'administration de doses plus élevées que 1 g deux fois par jour à des patients ayant subi une transplantation de rein et souffrant d'insuffisance rénale chronique sévère doit être évitée (voir «Pharmacocinétique» et «Instructions spéciales pour la posologie»).
  • +Un ajustement posologique n'est pas recommandé pour les patients transplantés dont le rein tarde à redevenir fonctionnel. Par contre, de tels patients doivent être surveillés très attentivement (voir «Pharmacocinétique» et «Instructions spéciales pour la posologie»). On ne dispose pas de données sur les patients transplantés du cœur ou du foie souffrant d'insuffisance rénale sévère.
  • +
  • -Inversement, il faut s'attendre à des modifications de l'exposition au MPA lorsque les patients passent de la ciclosporine A à un immunosuppresseur n'interférant pas avec le cycle entérohépatique du MPA.
  • +Inversement, il faut s'attendre à des modifications de l'exposition au MPA lorsque les patients passent de la ciclosporine A à un immunosuppresseur n'interférant pas avec le cycle entérohépatique du MPA (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Médicaments agissant sur la glucurono-conjugaison
  • +L'administration conjointe de médicaments freinant la glucurono-conjugaison du MPA peut augmenter l'exposition au MPA (p.ex. lors de l'administration concomitante d'isavuconazol, un accroissement de l'AUC0-∞ du MPA de 35% a été constaté). Aussi convient-il de se montrer prudent lorsque de tels médicaments sont administrés en même temps que Mycophénolate Mofétil Sandoz.
  • -Une étude à laquelle 18 femmes atteintes de psoriasis ont participé pendant trois cycles menstruels et au cours de laquelle Mycophénolate-Mofétil Sandoz (1 g deux fois par jour) a été administré en même temps que des contraceptifs oraux combinés contenant de l'éthinyloestradiol (0,02–0,04 mg) et du lévonorgestrel (0,05–0,20 mg), du désogestrel (0,15 mg) ou du gestodène (0,05–0,10 mg) n'a fait apparaître aucune influence cliniquement notable de Mycophénolate-Mofétil Sandoz sur les taux sériques de progestérone, de LH et de FSH. Cela signifie que Mycophénolate-Mofétil Sandoz n'influe pas sur l'effet des inhibiteurs de l'ovulation pris par voie orale. La pharmacocinétique des contraceptifs oraux n'est pas modifiée par l'administration simultanée de mycophénolate-mofétil (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • +Une étude à laquelle 18 femmes atteintes de psoriasis ont participé pendant trois cycles menstruels et au cours de laquelle Mycophénolate-Mofétil Sandoz (1 g deux fois par jour) a été administré en même temps que des contraceptifs oraux combinés contenant de l'éthinyloestradiol (0,02–0,04 mg) et du lévonorgestrel (0,05–0,20 mg), du désogestrel (0,15 mg) ou du gestodène (0,05–0,10 mg) n'a fait apparaître aucune influence cliniquement notable de Mycophénolate-Mofétil Sandoz sur les taux sériques de progestérone, de LH et de FSH. Cela signifie que Mycophénolate-Mofétil Sandoz n'influe pas sur l'effet des inhibiteurs de l'ovulation pris par voie orale. La pharmacocinétique des contraceptifs oraux n'est pas modifiée par l'administration simultanée de mycophénolate-mofétil (voir «Grossesse/Allaitement: hommes et femmes aptes à procréer»).
  • -Mycostatine/Tobramycine/Céfuroxime:
  • -lors de l'administration orale d'un mélange de tobramycine, céfuroxime et mycostatine pour la décontamination intestinale sélective après transplantation hépatique, il y a lieu de s'attendre à une diminution d'environ 30% de l'exposition au MPA pendant l'administration des antibiotiques.
  • -Ciprofloxacine et amoxicilline plus acide clavulanique:
  • +Mycostatine/Tobramycine/Céfuroxime
  • +Lors de l'administration orale d'un mélange de tobramycine, céfuroxime et mycostatine pour la décontamination intestinale sélective après transplantation hépatique, il y a lieu de s'attendre à une diminution d'environ 30% de l'exposition au MPA pendant l'administration des antibiotiques.
  • +Ciprofloxacine et amoxicilline plus acide clavulanique
  • -Norfloxacine et métronidazole:
  • +Norfloxacine et métronidazole
  • -Triméthoprime/sulfaméthoxazole:
  • +Triméthoprime/sulfaméthoxazole
  • +Hommes et femmes aptes à procréer
  • +Fertilité
  • +Mycophénolate-Mofétil Sandoz est contre-indiqué chez les femmes en âge de procréer n'utilisant pas de méthodes de contraception hautement efficaces (voir «Contre-indications»). Des études sur les animaux ont montré que le mycophénolate mofétil est tératogène (voir «Données précliniques»). Aucun impact sur la fertilité n'a été observé chez les rats mâles et femelles traités avec du mycophénolate mofétil.
  • +Test de grossesse
  • +Avant l'instauration du traitement par mycophénolate-mofétil, les patientes en âge de procréer doivent présenter deux tests de grossesse sériques ou urinaires négatifs avec une sensibilité d'au moins 25 mUI/ml pour exclure l'exposition involontaire de l'embryon au mycophénolate. Il est recommandé de réaliser le deuxième test huit à dix jours après le premier. S'il n'est pas possible d'effectuer deux tests à un intervalle de huit à dix jours avant le début du traitement pour les greffes de donneurs décédés (en raison de la disponibilité non prévisible d'un transplant), un test de grossesse doit être fait immédiatement avant le début du traitement et un deuxième, huit à dix jours après. Les résultats de tous les tests de grossesse doivent être discutés avec la patiente. Les patientes doivent être averties de la nécessité d'informer immédiatement leur médecin en cas de survenue d'une grossesse.
  • +Contraception
  • +Femmes
  • +Mycophénolate-Mofétil Sandoz est contre-indiqué chez les femmes en âge de procréer qui n'utilisent pas de méthodes contraceptives hautement efficaces (voir «Contre-indications»).
  • +Avant le début du traitement, les patientes capables de procréer doivent être informées du risque accru de fausse couche pendant la grossesse et de malformations congénitales, et être conseillées sur la prévention et la planification d'une grossesse.
  • +Les femmes en âge de procréer doivent utiliser simultanément deux méthodes de contraception fiables, dont au moins une méthode hautement efficace, avant l'instauration du traitement par mycophénolate-mofétil, pendant le traitement et durant les six semaines qui suivent la fin du traitement, à moins que l'abstinence sexuelle soit la méthode de contraception choisie.
  • +Hommes
  • +Les données cliniques sur l'exposition paternelle à mycophénolate-mofétil sont encore limitées. Ces données n'indiquent pas de risque accru de malformations ou de fausse couche après une exposition paternelle au mycophénolate.
  • +Des données non cliniques prouvent que la dose de mycophénolate susceptible d'être transmise via le liquide séminal à une partenaire potentiellement enceinte est trente fois plus faible que la concentration sans effet tératogène sur les animaux et deux cents fois plus faible que la plus faible concentration tératogène chez les animaux. Le risque d'atteinte du fœtus via le liquide séminal est donc considéré comme négligeable. Toutefois, des études sur les animaux ont montré des effets génotoxiques en cas d'exposition correspondant à environ 2,5 fois l'exposition thérapeutique chez l'être humain. On ne peut donc pas totalement exclure un risque d'effets génotoxiques sur les spermatozoïdes.
  • +Comme les données sont insuffisantes pour exclure tout risque d'atteinte d'un fœtus conçu pendant ou directement après le traitement du père, la mesure de précaution suivante est préconisée: il est recommandé aux patients (hommes) sexuellement actifs et/ou à leur(s) partenaire(s) d'utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement et durant au moins 90 jours après l'arrêt du traitement. Les hommes capables de procréer doivent être informés par un personnel spécialisé qualifié des risques éventuels de concevoir un enfant et être conseillés en conséquence.
  • -Mycophénolate-Mofétil Sandoz est contre-indiqué pendant la grossesse et chez les femmes en âge de procréer n'utilisant pas de méthodes de contraception hautement efficaces (voir Contre-indications).
  • -Avant l'instauration du traitement, les femmes et les hommes capables de procréer doivent être informés du risque accru de fausse-couche pendant la grossesse ainsi que de malformations congénitales et être conseillés sur la prévention et la planification d'une grossesse.
  • -Avant l'instauration du traitement par mycophénolate-mofétil, les patientes en âge de procréer doivent présenter deux tests de grossesse sériques ou urinaires négatifs avec une sensibilité d'au moins 25 mUI/ml; le deuxième test doit être réalisé 8–10 jours après le premier test et immédiatement avant le début de l'utilisation de mycophénolate-mofétil. Des tests de grossesse doivent être répétés lors des visites routinières de contrôle. Les résultats de tous les tests de grossesse doivent être discutés avec la patiente. Les patientes doivent être averties de la nécessité de consulter immédiatement leur médecin en cas de survenue d'une grossesse. En raison du potentiel mutagène et tératogène de mycophénolate-mofétil, les femmes en âge de procréer doivent utiliser simultanément deux méthodes de contraception fiables, dont au moins une méthode hautement efficace, avant l'instauration du traitement par mycophénolate-mofétil, pendant le traitement et durant les six semaines qui suivent la fin du traitement, à moins que l'abstinence sexuelle soit la méthode de contraception choisie par la patiente. Il est recommandé aux hommes sexuellement actifs d'utiliser des préservatifs pendant le traitement et durant au moins 90 jours après l'arrêt du traitement. Cela s'applique non seulement aux hommes capables de procréer, mais aussi aux hommes ayant subi une vasectomie, car le risque de passage dans le liquide séminal existe également chez ces derniers. De plus, il est recommandé aux partenaires féminines des hommes traités d'utiliser une méthode de contraception hautement efficace pendant le traitement et durant les 90 jours qui suivent la dernière dose de mycophénolate-mofétil.
  • -Dans le cadre de l'étude observationnelle post-commercialisation, des malformations congénitales, dont certaines sont des malformations multiples, ont été décrites chez des enfants de patientes exposées au mycophénolate mofétil en association avec d'autres immunosuppresseurs pendant la grossesse. Les malformations déclarées le plus fréquemment ont été les suivantes:
  • +En raison de son potentiel mutagène et tératogène, Mycophénolate-Mofétil Sandoz est contre-indiqué en cas de grossesse (voir «Contre-indications»). Mycophénolate-Mofétil Sandoz est un tératogène humain lié à un risque accru d'avortements spontanés (surtout durant le premier trimestre) et de malformations congénitales, dont certaines sont en cas d'exposition de la mère durant la grossesse (voir «Effets indésirables: expérience après commercialisation»). Les articles spécialisés rapportent un risque d'avortements spontanés après une exposition au mycophénolate mofétil de 45 à 49%. Par comparaison, la fréquence des avortements spontanés chez les patientes ayant subi une greffe d'organe et traitées avec d'autres immunosuppresseurs se situe entre 12 et 33%.
  • +Les publications indiquent que, après une exposition au mycophénolate mofétil pendant la grossesse, 23 à 27% des naissances vivantes présentent des malformations congénitales (y compris des malformations multiples, chez certains nouveau-nés). Par comparaison, le risque de malformations dans la population globale est estimé à environ 2% des naissances vivantes et, parmi les femmes ayant subi une greffe d'organe solide et traitées avec des immunodépresseurs autres que le mycophénolate mofétil, à environ 4 à 5%.
  • +Après la commercialisation du médicament, les malformations congénitales (dont des malformations multiples) les plus fréquemment déclarées pour des enfants de patientes exposées au mycophénolate mofétil en association avec d'autres immunosuppresseurs pendant la grossesse ont été les suivantes:
  • -·malformations du système nerveux (p.ex. spina bifida).
  • -Dans la littérature médicale spécialisée, des malformations ont été décrites chez 23% à 27% des naissances vivantes après une exposition des femmes au mycophénolate mofétil pendant la grossesse. En comparaison, le risque de malformations est estimé à environ 2% dans la population globale et à environ 4% à 5% chez les femmes ayant bénéficié d'une transplantation d'organe solide et ayant été traitées par d'autres immunosuppresseurs que le mycophénolate mofétil.
  • -Des fausses couches spontanées sont survenues chez des patientes exposées au mycophénolate mofétil, essentiellement au cours du premier trimestre de la grossesse (voir «Effets indésirables, étude observationnelle post-commercialisation»). Dans la littérature médicale spécialisée, ce risque est compris entre 45% et 49% après exposition au mycophénolate mofétil, comparé à un taux compris entre 12% et 33% chez les femmes ayant bénéficié d'une transplantation d'organe solide et ayant été traitées par d'autres immunosuppresseurs.
  • -Les expérimentations animales ont montré une toxicide reproduction/tératogénicité chez le rat et le lapin (voir «Données précliniques»).
  • +·malformations du système nerveux (p.ex. spina bifida);
  • +·anomalies du rein.
  • +Les malformations suivantes ont en outre été isolément rapportées:
  • +·microphtalmie;
  • +·kystes congénitaux du plexus choroïde;
  • +·agénésie du septum pellucidum;
  • +·agénésie du nerf olfactif.
  • +Ces résultats sont compatibles avec les études tératologiques chez le rat et le lapin, dans lesquelles, malgré l'absence de toxicité maternelle, on a constaté la mort du fœtus (résorption) ou des malformations (voir «Données précliniques»). Contractions et accouchement: l'innocuité de mycophénolate mofétil pendant les contractions et l'accouchement n'a pas éétudiée.
  • -Les effets indésirables signalés chez >10% et chez 3%–<10% des patients traités par mycophénolate-mofétil dans les études contrôlées sur la prévention d'une réaction de rejet après transplantation rénale (3 études, avec 2 g et 3 g), après transplantation cardiaque (1 étude), après transplantation hépatique (1 étude) et après la commercialisation sont énumérés ci-après. Les catégories de fréquence sont définies comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, >1/10'000), «très rares» (<1/10'000).
  • +Les effets indésirables signalés chez 10% et chez 3%–<10% des patients traités par mycophénolate-mofétil dans les études contrôlées sur la prévention d'une réaction de rejet après transplantation rénale (3 études, avec 2 g et 3 g), après transplantation cardiaque (1 étude), après transplantation hépatique (1 étude) et après la commercialisation sont énumérés ci-après. Les catégories de fréquence sont définies comme suit: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, >1/10'000), «très rares» (<1/10'000).
  • -Très fréquents: Vertiges (11,2%), troubles du sommeil (11,8%), tremblement (11,8%), céphalées (21,1%).
  • +Très fréquents: Etourdissements (11,2%), troubles du sommeil (11,8%), tremblement (11,8%), céphalées (21,1%).
  • -Fréquents: Troubles de la fonction hépatique, hépatite, augmentation de la phosphatase alcaline, taux accrus d'enzymes hépatiques (gamma-glutamyltransférase, lactate-déshydrogénase, SGOT et SGPT).
  • +Fréquents: Test de la fonction hépatique anormal, hépatite, augmentation de la phosphatase alcaline, taux accrus d'enzymes hépatiques (gamma-glutamyltransférase, lactate-déshydrogénase, ALAT et ASAT).
  • -Très fréquents: Acné (10,1%), infection à herpes simplex (18,2%).
  • +Très fréquents: Acné (10,1%), infection à herpès simplex (18,2%).
  • -Fréquents: Déshydratation, hypervolémie, hypocalcémie, hypoglycémie, hypoprotéinémie, alcalose, goutte, hypochlorémie, hypophosphatémie, hypoxie, acidose respiratoire, soif, perte de poids.
  • +Fréquents: Déshydratation, hypovolémie, hypocalcémie, hypoglycémie, hypoprotéinémie, alcalose, goutte, hypochlorémie, hypophosphatémie, hypoxie, acidose respiratoire, soif, perte de poids.
  • -Très fréquents: Vertiges (28,7%), troubles du sommeil (40,8%), tremblement (24,2%), paresthésies (20,8%), somnolence (11,1%), céphalées (54,3%).
  • +Très fréquents: Etourdissements (28,7%), troubles du sommeil (40,8%), tremblement (24,2%), paresthésies (20,8%), somnolence (11,1%), céphalées (54,3%).
  • -Très fréquents: Taux accrus d'enzymes hépatiques (lactate déshydrogénase (23,2%), SGOT (17,3%), SGPT (15,6%)), bilirubinémie (18,0%).
  • -Fréquents: Augmentation de la phosphatase alcaline, troubles de la fonction hépatique, ictère.
  • +Très fréquents: Taux accrus d'enzymes hépatiques (lactate déshydrogénase (23,2%), ALAT (17,3%), ASAT (15,6%), bilirubinémie (18,0%).
  • +Fréquents: Augmentation de la phosphatase alcaline, test de la fonction hépatique anormal, ictère.
  • -Très fréquents: Acné (12,1%), infection à herpes simplex (20,4%), zona (10,7%), exanthème (22,2%).
  • +Très fréquents: Acné (12,1%), infection à herpès simplex (20,4%), zona (10,7%), exanthème (22,2%).
  • -Très fréquents: Obnubilation (16,2%), insomnie (52,3%), paresthésies (15,2%), tremblement (33,9%), céphalées (53,8%).
  • +Très fréquents: Etourdissements (16,2%), insomnie (52,3%), paresthésies (15,2%), tremblement (33,9%), céphalées (53,8%).
  • -Fréquents: Jaunisse, augmentation de la phosphatase alcaline, taux accrus d'enzymes hépatiques (SGOT et SGPT).
  • +Fréquents: Jaunisse, augmentation de la phosphatase alcaline, taux accrus d'enzymes hépatiques (ALAT et ASAT).
  • -Fréquents: Acné, dermatite d'origine fongique, saignements, infection à herpes simplex, zona, hirsutisme, tumeurs cutanées bénignes, ulcères cutanés, exanthème vésiculo-bulleux, cellulite, œdème scrotal, abcès.
  • +Fréquents: Acné, dermatite d'origine fongique, saignements, infection à herpès simplex, zona, hirsutisme, tumeurs cutanées bénignes, ulcères cutanés, exanthème vésiculo-bulleux, cellulite, œdème scrotal, abcès.
  • -Très fréquents: dorso-lombalgies (46,6%).
  • +Très fréquents: Dorso-lombalgies (46,6%).
  • -Chez des transplantés rénaux, cardiaques et hépatiques suivis pendant au moins un an, les infections opportunistes courantes les plus fréquentes observées sous mycophénolatemofétil (2 g ou 3 g par jour) ont été les candidoses des muqueuses, une virémie ou un syndrome à cytomégalovirus (CMV) et des infections à herpes simplex. La proportion de patients avec virémie ou syndrome à CMV a été de 13,5%.
  • +Chez des transplantés rénaux, cardiaques et hépatiques suivis pendant au moins un an, les infections opportunistes courantes les plus fréquentes observées sous mycophénolatemofétil (2 g ou 3 g par jour) ont été les candidoses des muqueuses, une virémie ou un syndrome à cytomégalovirus (CMV) et des infections à herpès simplex. La proportion de patients avec virémie ou syndrome à CMV a été de 13,5%.
  • -Après commercialisation, des malformations congénitales ont été observées chez des enfants de patientes exposées au mycophénolate-mofétil en association avec d'autres immunosuppresseurs durant la grossesse (cf. «Grossesse»)
  • +Après commercialisation, des malformations congénitales ont été observées chez des enfants de patientes exposées au mycophénolate-mofétil en association avec d'autres immunosuppresseurs durant la grossesse (voir «Grossesse»).
  • -Des cas d'avortements spontanés ont été rapportés chez des patientes exposées au mycophénolate mofétil, surtout au cours du premier trimestre (cf. «Grossesse»).
  • +Des cas d'avortements spontanés ont été rapportés chez des patientes exposées au mycophénolate mofétil, surtout au cours du premier trimestre (voir «Grossesse»).
  • -Etude USA (n= 499): échec thérapeutique (attesté par biopsie) sous 2 g de mycophénolate mofétil: 31,1% (19,8%); sous 1 g de mycophénolate mofétil: 31,3% (17,5%); sous azathioprine: 47,6% (38,0%).
  • -Etude Canada/Australie (n= 503): échec thérapeutique (attesté par biopsie) sous 2 g de mycophénolate mofétil Sandoz: 38,2% (19,7%); sous 1 g de mycophénolate mofétil: 34,8% (15,9%); sous azathioprine: 50% (35,5%).
  • -Etude Europe (n= 491): échec thérapeutique (attesté par biopsie) sous 2 g de mycophénolate mofétil: 30,3% (17,0%); sous 1 g de mycophénolate mofétil: 38,8% (13,8%); sous placebo: 56% (46,4%).
  • +Etude USA (n = 499): échec thérapeutique (attesté par biopsie) sous 2 g de mycophénolate mofétil: 31,1% (19,8%); sous 3 g de mycophénolate mofétil: 31,3% (17,5%); sous azathioprine: 47,6% (38,0%).
  • +Etude Canada/Australie (n = 503): échec thérapeutique (attesté par biopsie) sous 2 g de mycophénolate mofétil Sandoz: 38,2% (19,7%); sous 3 g de mycophénolate mofétil: 34,8% (15,9%); sous azathioprine: 50% (35,5%).
  • +Etude Europe (n = 491): échec thérapeutique (attesté par biopsie) sous 2 g de mycophénolate mofétil: 30,3% (17,0%); sous 3 g de mycophénolate mofétil: 38,8% (13,8%); sous placebo: 56% (46,4%).
  • -Dans une étude comparative ouverte et randomisée, 150 transplantés rénaux présentant un rejet aigu réfractaire ont reçu chaque jour soit 3 g de MMF, soit des corticoïdes par voie intraveineuse. Il s'est produit une diminution de la fréquence des pertes d'organe et des décès à six mois sous mycophénolate mofétil (14,3%) par rapport aux corticoïdes intraveineux (26,0%) (p= 0,062).
  • +Dans une étude comparative ouverte et randomisée, 150 transplantés rénaux présentant un rejet aigu réfractaire ont reçu chaque jour soit 3 g de MMF, soit des corticoïdes par voie intraveineuse. Il s'est produit une diminution de la fréquence des pertes d'organe et des décès à six mois sous mycophénolate mofétil (14,3%) par rapport aux corticoïdes intraveineux (26,0%) (p = 0,062).
  • -Dans une étude menée chez 650 patients (dont 72 sous placebo), les malades ont reçu 1,5 g de mycophénolate mofétil deux fois par jour (n= 289) ou 1,5–3 mg d'azathioprine par kg de poids corporel une fois par jour (n= 289), en association avec la ciclosporine et des corticoïdes. Il n'a été constaté aucune différence entre mycophénolate mofétil et l'azathioprine du point de vue des deux critères d'évaluation primaires: (1) réaction de rejet attestée par biopsie avec dégradation des paramètres hémodynamiques, nouvelle transplantation ou décès (32% sous mycophénolate mofétil contre 35% sous azathioprine) et (2) survie du greffon au cours des 12 premiers mois (décès ou nouvelle transplantation) (6,2% sous mycophénolate mofétil contre 11,4% sous azathioprine).
  • +Dans une étude menée chez 650 patients (dont 72 sous placebo), les malades ont reçu 1,5 g de mycophénolate mofétil deux fois par jour (n =289) ou 1,5–3 mg d'azathioprine par kg de poids corporel une fois par jour (n = 289), en association avec la ciclosporine et des corticoïdes. Il n'a été constaté aucune différence entre mycophénolate mofétil et l'azathioprine du point de vue des deux critères d'évaluation primaires: (1) réaction de rejet attestée par biopsie avec dégradation des paramètres hémodynamiques, nouvelle transplantation ou décès (32% sous mycophénolate mofétil contre 35% sous azathioprine) et (2) survie du greffon au cours des 12 premiers mois (décès ou nouvelle transplantation) (6,2% sous mycophénolate mofétil contre 11,4% sous azathioprine).
  • -Dans les analyses primaires (intent-to-treat), mycophénolate mofétil associé aux corticoïdes et à la ciclosporine s'est révélé plus efficace que l'azathioprine dans la prévention des réactions de rejet aiguës (38,5% contre 47,7%; p= 0,025) et aussi efficace du point de vue de la survie (décès ou nouvelle transplantation après 12 mois: 14,7% contre 14,6%).
  • +Dans les analyses primaires (intent-to-treat), mycophénolate mofétil associé aux corticoïdes et à la ciclosporine s'est révélé plus efficace que l'azathioprine dans la prévention des réactions de rejet aiguës (38,5% contre 47,7%; p = 0,025) et aussi efficace du point de vue de la survie (décès ou nouvelle transplantation après 12 mois: 14,7% contre 14,6%).
  • -Le mycophénolate-mofétil n'a pas eu d'effets, à des doses orales allant jusqu'à 20 mg/kg/jour, sur la fertilité chez des rat mâles. La disponibilité systémique de cette dose correspond à 2 à trois fois celle de la dose cliniquement recommandée de 2 g/jour chez les transplantés rénaux, respectivement à 1,3 à 2 fois la dose cliniquement recommandée de 3 g/jour chez les patients transplantés cardiaques. Dans une étude sur la fertilité et la reproduction chez des femelles de rats, des malformations (telles qu'anophtalmie, agnathie et hydrocéphalie) sont survenues dans la première génération de la filiation (F1) après doses orales de 4,5 mg/kg/jour, sans que la mère ait présenté de symptômes toxiques. La disponibilité systémique de cette dose correspondait à environ 0,5 fois celle de la dose cliniquement recommandée de 2 g/jour chez les transplantés rénaux et à environ 0,3 fois celle de la dose cliniquement recommandée de 3 g/jour chez les patients transplantés cardiaques. Chez les femelles traitées (femelles P1) et chez les descendants de la première génération (femelles ou mâles F2), on n'a pas observé d'effets sur la fertilité ni les paramètres de la reproduction.
  • -Dans les essais tératologiques chez le rat et le lapin, des doses de 6 mg/kg/jour chez les rats et de 90 mg/kg/jour chez les lapins ont induit une résorption du fœtus et des malformations (telles qu'anophthalmie, agnathie et hydrocéphalie [chez les rats] et d'anomalies cardiovasculaires et rénales, telles qu'ectopie du cœur et des reins, hernie diaphragmatique et hernie ombilicale [chez les lapins]), sans symptômes toxiques chez la mère. La disponibilité systémique de ces doses correspond à environ 0,5 fois ou moins à celle de la dose cliniquement recommandée de 2 g/jour chez les transplantés rénaux et à environ 0,3 fois celle de la dose cliniquement recommandée de 3 g/jour chez les patients transplantés cardiaques (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • +Le mycophénolate-mofétil n'a pas eu d'effets, à des doses orales allant jusqu'à 20 mg/kg/jour, sur la fertilité chez des rats. La disponibilité systémique (Cmax) de cette dose correspond à 2 à trois fois (Cmax) celle de la dose cliniquement recommandée de 2 g/jour chez les transplantés rénaux, respectivement à 1,3 à 2 fois (Cmax) la dose cliniquement recommandée de 3 g/jour chez les patients transplantés cardiaques. Dans une étude sur la fertilité et la reproduction chez des femelles de rats, des malformations (telles qu'anophtalmie, agnathie et hydrocéphalie) sont survenues dans la première génération de la filiation (F1) après doses orales de 4,5 mg/kg/jour, sans que la mère ait présenté de symptômes toxiques. La disponibilité systémique de cette dose correspondait à environ 0,5 fois (Cmax) celle de la dose cliniquement recommandée de 2 g/jour chez les transplantés rénaux et à environ 0,3 fois (Cmax) celle de la dose cliniquement recommandée de 3 g/jour chez les patients transplantés cardiaques. Chez les femelles traitées (femelles P1) et chez les descendants de la première génération (femelles ou mâles F2), on n'a pas observé d'effets sur la fertilité ni les paramètres de la reproduction.
  • +Dans les essais tératologiques chez le rat et le lapin, des doses de 6 mg/kg/jour chez les rats et de 90 mg/kg/jour chez les lapins ont induit une résorption du fœtus et des malformations (telles qu'anophthalmie, agnathie et hydrocéphalie [chez les rats] et d'anomalies cardiovasculaires et rénales, telles qu'ectopie du cœur et des reins, hernie diaphragmatique et hernie ombilicale [chez les lapins]), sans symptômes toxiques chez la mère. La disponibilité systémique (Cmax) de ces doses correspond à environ 0,5 fois ou moins à celle de la dose cliniquement recommandée de 2 g/jour chez les transplantés rénaux et à environ 0,3 fois celle de la dose cliniquement recommandée de 3 g/jour chez les patients transplantés cardiaques (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • -Etant donné que le mycophénolate mofétil a fait preuve d'un effet tératogène (voir «Grossesse/Allaitement»), il ne faut ni écraser les comprimés pelliculés, ni ouvrir les capsules de Mycophénolate-Mofétil Sandoz. La poudre contenue dans les capsules de Mycophénolate-Mofétil Sandoz ne doit pas être inhalée ni entrer en contact avec la peau et les muqueuses. En cas de contact accidentel, bien laver au savon et à l'eau; rincer les yeux à l'eau courante.
  • +Etant donné que le mycophénolate mofétil a un effet tératogène avéré (voir «Grossesse»), il ne faut ni écraser les comprimés pelliculés, ni ouvrir les capsules de Mycophénolate-Mofétil Sandoz. La poudre contenue dans les capsules de Mycophénolate-Mofétil Sandoz ne doit pas être inhalée ni entrer en contact avec la peau et les muqueuses. En cas de contact accidentel, bien laver au savon et à l'eau; rincer les yeux à l'eau courante.
  • -Février 2016.
  • +Novembre 2018.
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