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Accueil - Information professionnelle sur Bramitob - Changements - 06.12.2019
64 Changements de l'information professionelle Bramitob
  • -Chez les patients présentant des troubles avérés de la fonction rénale ou en cas de suspicion de tels troubles, la tobramycine doit être utilisée avec précaution. En cas d'apparition de néphrotoxicité, la prise de Bramitob doit être suspendue jusqu'à ce que le taux sérique de tobramycine redescende en dessous de 1 microlitre/ml.
  • +Chez les patients présentant des troubles avérés de la fonction rénale ou en cas de suspicion de tels troubles, la tobramycine doit être utilisée avec précaution. En cas d'apparition de néphrotoxicité, la prise de Bramitob doit être suspendue jusqu'à ce que le taux sérique de tobramycine redescende en dessous de 2 microgrammes/ml.
  • -Par ailleurs, Bramitob ne doit pas être utilisé chez des patients qui prennent des diurétiques puissants, tels que le furosémide ou l'acide éthacrynique, connus pour leur ototoxicité. Bramitob ne doit pas être utilisé chez des patients qui prennent des médicaments contenant de l'urée et du mannitol.
  • +Par ailleurs, Bramitob ne doit pas être utilisé chez des patients qui prennent des diurétiques puissants, tels que le furosémide ou l'acide éthacrynique, connus pour leur ototoxicité. Bramitob ne doit pas être utilisé chez des patients qui prennent des médicaments contenant de l'urée et du mannitol à administration intraveineuse.
  • -La pratique clinique actuelle recommande une évaluation de la fonction rénale initiale. Par ailleurs, la fonction rénale doit être évaluée régulièrement en mesurant les taux d'urée et de créatinine; ce contrôle doit être fait au moins tous les 6 cycles complets de traitement par tobramycine (180 jours de traitement par tobramycine nébulisée). Si une néphrotoxicité est constatée, le traitement par tobramycine doit être interrompu jusqu'à ce que la concentration sérique du principe actif soit redescendue au moins au-dessous de 1 µg/ml.
  • +La pratique clinique actuelle recommande une évaluation de la fonction rénale initiale. Par ailleurs, la fonction rénale doit être évaluée régulièrement en mesurant les taux d'urée et de créatinine; ce contrôle doit être fait au moins tous les 6 cycles complets de traitement par tobramycine (180 jours de traitement par tobramycine nébulisée). Si une néphrotoxicité est constatée, le traitement par tobramycine doit être interrompu jusqu'à ce que la concentration sérique du principe actif soit redescendue au moins au-dessous de 2 µg/ml.
  • -Dans le cadre de l'administration d'aminosides, il a été rapporté des effets ototoxiques qui se manifestent aussi bien par une toxicité auditive (diminution auditive ou caractéristiques particulières lors des tests auditifs) que vestibulaire (vertiges, ataxie).
  • -Au cours d'études cliniques contrôlées avec la tobramycine, une diminution modérée et réversible de l'audition ainsi que des vertiges ont été observés.
  • +Dans le cadre de l'administration d'aminosides, il a été rapporté des effets ototoxiques qui se manifestent aussi bien par une toxicité auditive (diminution auditive ou caractéristiques particulières lors des tests auditifs) que vestibulaire (vertiges, ataxie ou somnolence).
  • +Au cours d'études cliniques contrôlées avec le Bramitob, une diminution modérée de l'audition ainsi que des vertiges ont été observés.
  • -En cas d'apparition d'acouphènes, la prudence s'impose, car ce phénomène peut être annonciateur d'une ototoxicité. Si le patient se plaint d'acouphènes ou d'une perte auditive au cours d'un traitement par aminosides, le médecin devrait envisager un examen de l'audition. Il est conseillé d'effectuer si possible des séries d'audiogrammes chez les patients en âge de subir ce type de tests. Ceci concerne surtout les patients à risque.
  • +En cas d'apparition d'acouphènes, la prudence s'impose, car ce phénomène peut être annonciateur d'une ototoxicité. Si le patient se plaint d'acouphènes ou d'une perte auditive au cours d'un traitement par aminosides, le médecin devrait envisager un examen de l'audition. Il est conseillé d'effectuer si possible des séries d'audiogrammes chez les patients en âge de subir ce type de tests. Ceci concerne surtout les patients à risque comme par exemple les patients en traitement continu.
  • -Au cours des études cliniques, il a été constaté chez certains patients traités par tobramycine inhalée, une augmentation de la concentration minimale inhibitrice (CMI) d'aminosides pour des isolats de P.aeruginosa. En théorie, le risque existe que, chez des patients sous traitement par tobramycine nébulisée, des isolats de P. aeruginosa, résistants à la tobramycine administrée par voie intraveineuse, puissent se développer (voir «Pharmacodynamique»). Au cours des études cliniques, aucune donnée relative aux patients porteurs d'infections par Burkholderia cepacia n'a été relevée.
  • +Au cours des études cliniques, il a été constaté chez certains patients traités par tobramycine inhalée une augmentation de la concentration minimale inhibitrice (CMI) d'aminosides pour des isolats de P.aeruginosa. En théorie, le risque existe que, chez des patients sous traitement par tobramycine nébulisée, des isolats de P. aeruginosa, résistants à la tobramycine administrée par voie intraveineuse, puissent se développer (voir «Pharmacodynamique»). Au cours des études cliniques, aucune donnée relative aux patients porteurs d'infections par Burkholderia cepacia n'a été relevée.
  • -Contre-indications (voir également «Contre-indications»).
  • -La tobramycine inhalée ne doit pas être utilisée en même temps que l'acide éthacrynique, le furosémide, l'urée ou le mannitol.
  • -Combinaison déconseillée (voir également «Mises en garde et précautions»): l'utilisation concomitante ou successive de tobramycine inhalée avec d'autres médicaments potentiellement néphrotoxiques ou ototoxiques doit être évitée, par exemple, l'amphotéricine B, la céphalotine, la ciclosporine, le tacrolimus, la polymyxine (danger d'une néphrotoxicité accrue), les dérivés du platine (danger de néphrotoxicité et d'ototoxicité accrues).
  • +L'utilisation concomitante ou successive de tobramycine inhalée avec d'autres médicaments potentiellement néphrotoxiques ou ototoxiques doit être évitée, par exemple, l'amphotéricine B, la céphalotine, la ciclosporine, le tacrolimus, la polymyxine (danger d'une néphrotoxicité accrue), les dérivés du platine (danger de néphrotoxicité et d'ototoxicité accrues) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Combinaison nécessitant des précautions
  • +La tobramycine inhalée ne doit pas être utilisée en même temps que l'acide éthacrynique, le furosémide, l'urée ou le mannitol.
  • -Au cours des études cliniques, des effets indésirables, comparables à ceux du groupe témoin, ont été observés chez les patients qui avaient reçu de la tobramycine nébulisée en même temps que des mucolytiques, des agonistes bêta, des corticostéroïdes inhalés et d'autres antibiotiques per os ou par voie parentérale contre les pseudomonas.
  • +Au cours des études cliniques, des effets indésirables, comparables à ceux du groupe témoin, ont été observés chez les patients qui avaient reçu de la tobramycine nébulisée en même temps que de la dornase alfa, des mucolytiques, des agonistes bêta, des corticostéroïdes inhalés et d'autres antibiotiques per os ou par voie parentérale contre les pseudomonas.
  • -Au cours des études cliniques contrôlées (200 patients traités), les effets secondaires les plus fréquents ont touché les voies respiratoires (toux, râles, dyspnée, augmentation des expectorations, réduction du VEMS). Un lien avec le traitement (effets secondaires) a été supposé dans 14,7% de l'ensemble des cas sous Bramitob et 17,3% sous placebo.
  • +Au cours des études cliniques contrôlées (4) et non contrôlées (1) avec Bramitob (565 patients traités), les effets secondaires les plus fréquents ont touché les voies respiratoires (toux et dysphonie).
  • -très fréquents (>1/10), fréquents (>1/100, <1/10), occasionnels (>1/1000, <1/100), rares (>1/10'000, <1/1000), très rares (<1/10'000).
  • +très fréquents (1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100), occasionnels (<1/100, ≥1/1000), rares (<1/1000, ≥10'000), très rares (<1/10'000).
  • -Occasionnels: candidose buccale.
  • +Occasionnels: infection fongique, candidose buccale.
  • -Très rares: mycoses.
  • -Troubles du système sanguin et lymphatique
  • +Rares: laryngite.
  • +Très rares: infection fongique, candidose buccale.
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • -Troubles du système immunitaire
  • +Affections du système immunitaire
  • -Réactions allergiques, y compris urticaire et prurit.
  • +Très rares: hypersensibilité
  • -Troubles du système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • +Occasionnel: céphalées
  • +
  • -Rares: vertiges, céphalées.
  • -Très rares: torpeur.
  • -Troubles de l'oreille et de l'oreille interne
  • -Occasionnels: vertiges, atteinte auditive (voir la section «Mises en garde et précautions»).
  • +Rares: vertiges, céphalées, aphonie.
  • +Très rares: somnolence.
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • +Occasionnels: vertiges, hypoacousie, surdité neurosensorielle (voir la section «Mises en garde et précautions»).
  • -Rares: acouphènes, diminution de l'acuité auditive, aphonie.
  • +Rares: acouphènes, diminution de l'acuité auditive.
  • -Organes respiratoires
  • -Fréquents: dyspnée, toux, râles, augmentation des expectorations, enrouement, altération de la voix.
  • -Occasionnels: diminution du VEMS.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Fréquents: toux, dysphonie.
  • +Occasionnels: diminution du VEMS, dyspnée, râles, hémoptysie, douleur oropharyngée, toux avec expectorations.
  • -Occasionnels: aggravation de la toux, pharyngite.
  • -Rares: bronchospasme, pneumopathie, augmentation des expectorations, hémoptysie, diminution de la fonction pulmonaire, laryngite, épistaxis, asthme, dyspnée.
  • +Occasionnels: aggravation de la toux, pharyngite, dysphonie, dyspnée.
  • +Rares: bronchospasme, gêne thoracique, pneumopathie, hémoptysie, épistaxis, rhinite, asthme, toux productive.
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -Fréquents: nausées.
  • -Occasionnels: hypersécrétion salivaire, glossite.
  • -A partir d'observations lors de l'utilisation de tobramycine nébulisée:
  • -Rares: ulcères de la bouche, vomissements, perturbations du goût.
  • -Très rares: diarrhée, douleurs abdominales, mycose buccale (moniliasis).
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • -Occasionnels: éruption.
  • -Troubles musculosquelettiques
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Occasionnels: hypersécrétion salivaire, glossite, douleurs abdominales supérieures, nausées.
  • +A partir d'observations lors de l'utilisation de tobramycine nébulisée:
  • +Rares: ulcères de la bouche, vomissements, perturbations du goût, nausées.
  • +Très rares: diarrhée, douleurs abdominales.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Occasionnels: éruption cutanée.
  • +A partir d'observations lors de l'utilisation de tobramycine nébulisée:
  • +Rares: éruption cutanée.
  • +Très rares: urticaire, prurit.
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • -Troubles généraux et réactions liées au site d'administration
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Occasionnels: asthénies, inconfort thoracique, sécheresse des muqueuses.
  • +
  • -Rares: douleurs thoraciques, asthénie, fièvre, douleurs, céphalées.
  • -Très rares: douleurs abdominales, paresthésies, malaise.
  • +Rares: douleurs thoraciques, asthénie, fièvre, douleurs, nausées.
  • +Très rares: paresthésies, malaise.
  • -Les aminosides administrés par voie parentérale ont été associés à une hypersensibilité, une ototoxicité et une néphrotoxicité (voir la section «Contre-indications» et la section «Mises en garde et précautions»).
  • +A partir d'observations lors de l'utilisation de tobramycine nébulisée:
  • +Rare: diminution du test de la fonction pulmonaire.
  • +Les effets indésirables supplémentaires suivants, dont certains représentant des séquelles courantes de la maladie sous-jacente, mais dont la relation causale avec la tobramycine ne pouvait être exclue, ont été relevés: décoloration des crachats, infection des voies respiratoires, myalgie, polypes nasaux et otite moyenne.
  • -Les valeurs limites de sensibilité connues de l'administration par voie parentérale de la tobramycine ne sont pas valables pour l'administration du médicament par aérosol. Les expectorations dans la mucoviscidose ont un effet inhibiteur sur l'activité biologique locale des aminosides nébulisés. Ainsi, les concentrations de tobramycine nébulisée dans les expectorations sont de dix à vingt cinq fois supérieures à la concentration minimale inhibitrice (CMI) pour empêcher la croissance de P. aeruginosa et nécessaire à une action antibactérienne. Au cours des études cliniques contrôlées, 90% des patients atteignaient des concentrations de tobramycine dans les expectorations dix fois supérieures aux CMI de P. aeruginosa les plus élevées issues des cultures effectuées chez des patients et 84% des patients sous tobramycine atteignaient des niveaux vingt cinq fois supérieurs à la CMI la plus élevée. Une utilité clinique est même atteinte chez une majorité des patients dont les cultures contenaient des souches aux valeurs de CMI supérieures à la valeur parentérale limite.
  • +Les valeurs limites de sensibilité connues de l'administration par voie parentérale de la tobramycine ne sont pas valables pour l'administration du médicament par aérosol. Les expectorations dans la mucoviscidose ont un effet inhibiteur sur l'activité biologique locale des aminosides nébulisés. Ainsi, les concentrations de tobramycine nébulisée dans les expectorations sont de dix à vingt-cinq fois supérieures à la concentration minimale inhibitrice (CMI) pour empêcher la croissance de P. aeruginosa et nécessaire à une action antibactérienne. Au cours des études cliniques contrôlées, 90% des patients atteignaient des concentrations de tobramycine dans les expectorations dix fois supérieures aux CMI de P. aeruginosa les plus élevées issues des cultures effectuées chez des patients et 84% des patients sous tobramycine atteignaient des niveaux vingt-cinq fois supérieurs à la CMI la plus élevée. Une utilité clinique est même atteinte chez une majorité des patients dont les cultures contenaient des souches aux valeurs de CMI supérieures à la valeur parentérale limite.
  • - Haemophilus influenza
  • - Staphylococcus aureus
  • + Haemophilus influenza
  • + Staphylococcus aureus
  • - Stenotrophomonas maltophilia
  • - Alcaligenes xylosoxidans
  • + Stenotrophomonas maltophilia
  • + Alcaligenes xylosoxidans
  • -Les études de toxicité après administration répétée portent sur la fonction des organes cibles (reins et système vestibulo-cochléaire.). En général, les signes et symptômes de néphrotoxicité et d'ototoxicité sont observés avec des taux systémiques élevés de tobramycine dont les niveaux ne peuvent pas être atteints par l'inhalation de la dose clinique recommandée.
  • +Les études de toxicité après administration répétée portent sur la fonction des organes cibles (reins et système vestibulo-cochléaire). En général, les signes et symptômes de néphrotoxicité et d'ototoxicité sont observés avec des taux systémiques élevés de tobramycine dont les niveaux ne peuvent pas être atteints par l'inhalation de la dose clinique recommandée.
  • -Ce médicament ne doit pas être utilisé au delà de la date d'expiration figurant après la mention EXP sur le récipient.
  • +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date d'expiration figurant après la mention EXP sur le récipient.
  • -4.Appuyer doucement sur les parois du récipient unidose pour verser le médicament dans le récipient du nébulisateur prévu à cet effet. Une fois versé dans le nébulisateur, le contenu d'un récipient unidose (300 mg), doit être administré en inhalation pendant environ 15 minutes. Pour cela, on utilise un nébulisateur réutilisable, PARI LC PLUS avec le compresseur PARI TURBO BOY (la vitesse d'administration atteint 8 mg/min, la quantité globale de médicament administré 80 mg et le diamètre médian aérodynamique: D10 1,1 µm, D50 5,9 µm, D90 13,3 µm). Bramitob est inhalé alors que le patient est en position assise ou debout et respire normalement à travers l'embout buccal du nébulisateur. Des pinces nasales peuvent faciliter la respiration par la bouche pour le patient. Les patients doivent poursuivre leurs séances habituelles de physiothérapie respiratoire. En fonction de la nécessité clinique, l'utilisation de bronchodilatateurs appropriés doit être poursuivie. Il est conseillé aux patients qui prennent plusieurs traitements différents des voies respiratoires de se conformer à la séquence suivante:
  • +4.Appuyer doucement sur les parois du récipient unidose pour verser le médicament dans le récipient du nébulisateur prévu à cet effet. Une fois versé dans le nébulisateur, le contenu d'un récipient unidose (300 mg), doit être administré en inhalation pendant environ 15 minutes. Pour cela, on utilise un nébulisateur réutilisable, PARI LC PLUS avec le compresseur PARI TURBO BOY (la vitesse d'administration atteint 6.2 mg/min, la quantité globale de médicament administré 92.8 mg). Bramitob est inhalé alors que le patient est en position assise ou debout et respire normalement à travers l'embout buccal du nébulisateur. Des pinces nasales peuvent faciliter la respiration par la bouche pour le patient. Les patients doivent poursuivre leurs séances habituelles de physiothérapie respiratoire. En fonction de la nécessité clinique, l'utilisation de bronchodilatateurs appropriés doit être poursuivie. Il est conseillé aux patients qui prennent plusieurs traitements différents des voies respiratoires de se conformer à la séquence suivante:
  • -Mai 2009.
  • +Juin 2019.
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