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Accueil - Information professionnelle sur Belarina - Changements - 14.01.2019
52 Changements de l'information professionelle Belarina
  • -La décision de prescrire Belarina doit être prise en tenant compte des facteurs de risque de la patiente, notamment ses facteurs de risque de thrombo-embolie veineuse (TEV), ainsi que du risque de TEV associé à Belarina en comparaison aux autres CHC (Contraceptifs Hormonaux Combinés) (voir rubriques «Contreindications» et «Mises en garde et précautions»).
  • +La décision de prescrire Belarina doit être prise en tenant compte des facteurs de risque de la patiente, notamment ses facteurs de risque de thrombo-embolie veineuse (TEV), ainsi que du risque de TEV associé à Belarina en comparaison aux autres CHC (Contraceptifs Hormonaux Combinés) (voir rubriques «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • -La décision quant à la (re)prise d'un CHC tel que Belarina après un avortement au 2ème trimestre de grossesse ou un accouchement doit tenir compte du risque accru d'accidents thromboemboliques veineux pendant la période puerpérale (jusqu'à 12 semaines après l' accouchement; cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +La décision quant à la (re)prise d'un CHC tel que Belarina après un avortement au 2ème trimestre de grossesse ou un accouchement doit tenir compte du risque accru d'accidents thromboemboliques veineux pendant la période puerpérale (jusqu'à 12 semaines après l'accouchement; cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -·Prédisposition connue, héréditaire ou acquise, telle qu’une résistance à la protéine C activée (PCa) (y compris une mutation du facteur V de Leiden), un déficit en antithrombine III, un déficit en protéine C, un déficit en protéine S
  • +oPrédisposition connue, héréditaire ou acquise, telle qu’une résistance à la protéine C activée (PCa) (y compris une mutation du facteur V de Leiden), un déficit en antithrombine III, un déficit en protéine C, un déficit en protéine S
  • -·Diabète avec complications vasculaires
  • -·Hypertension artérielle sévère
  • -·Dyslipoprotéinémie sévère
  • -·Antécédents de migraine avec signes neurologiques focaux
  • -·Prédisposition héréditaire ou acquise à la TEA, telle qu’une hyperhomocystéinémie ou la présence d’anticorps anti-phospholipides (anticorps anti-cardiolipine, anticoagulant lupique)
  • +oDiabète avec complications vasculaires
  • +oHypertension artérielle sévère
  • +oDyslipoprotéinémie sévère
  • +oAntécédents de migraine avec signes neurologiques focaux
  • +oPrédisposition héréditaire ou acquise à la TEA, telle qu’une hyperhomocystéinémie ou la présence d’anticorps anti-phospholipides (anticorps anticardiolipine, anticoagulant lupique)
  • +·Utilisation concomitante de l’association de principes actifs ombitasvir/paritapréevir/ritonavir (médicament pour le traitement de l’hépatite C). L’utilisation peut être reprise au plus tôt 2 semaines après l’arrêt de la prise de ces principes actifs (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»);
  • +·Utilisation concomitante de l’association de principes actifs glécaprévir / pibrentasvir (médicament pour le traitement de l’hépatite C);
  • +
  • -La femme doit être informée du fait que la prise d'un contraceptif oral ne protège ni d'une infection par le VIH (SIDA) ni d'autres maladies sexuellement transmissibles.
  • -·augmentation marquée de la tension artérielle (confirmée par plusieurs mesures);
  • +·augmentation cliniquement significative de la tension artérielle (confirmée par plusieurs mesures);
  • -A partir des données épidémiologiques, il est possible d'estimer que 5 à 12 femmes sur 10000 utilisant un CHC faiblement dosé (éthinylestradiol <50 µg) développeront une TEV au cours d'une année; ce nombre est estimé à 5 à 7 par année pour 10000 femmes utilisant un CHC contenant du lévonorgestrel. Les données actuelles sont insuffisantes pour estimer le risque de TEV lié aux CHC contenant du chlormadinone par rapport au risque de TEV lié aux CHC contenant du lévonorgestrel.
  • +A partir des données épidémiologiques, il est possible d'estimer que 5 à 12 femmes sur 10000 utilisant un CHC faiblement dosé (éthinylestradiol <50 µg) développeront une TEV au cours d'une année; ce nombre est estimé à 5 à 7 par année pour 10000 femmes utilisant un CHC contenant du lévonorgestrel. Les données actuelles sont insuffisantes pour estimer le risque de TEV lié aux CHC contenant de la chlormadinone par rapport au risque de TEV lié aux CHC contenant du lévonorgestrel.
  • -Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m²) L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque.Il est particulièrement important d'en prendre compte si d'autres facteurs de risque sont présents.
  • -Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou le bassin, neurochirurgie ou traumatisme majeur Dans ces situations, il est conseillé de suspendre l'utilisation du dispositif transdermique/de la pilule/de l'anneau (au moins quatre semaines à l'avance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin d'éviter une grossesse non désirée.Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si Belarina n'a pas été interrompu à l'avance.
  • -Antécédents familiaux (thrombo-embolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Belarina.Si une thrombophilie est détectée, l'utilisation de CHC comme Belarina est contre-indiquée.
  • +Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m²) L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque. Il est particulièrement important d'en prendre compte si d'autres facteurs de risque sont présents.
  • +Immobilisation prolongée, intervention chirurgicale majeure, toute intervention chirurgicale sur les jambes ou le bassin, neurochirurgie ou traumatisme majeur Dans ces situations, il est conseillé de suspendre l'utilisation du dispositif transdermique/de la pilule/de l'anneau (au moins quatre semaines à l'avance en cas de chirurgie programmée) et de ne reprendre le CHC que deux semaines au moins après la complète remobilisation. Une autre méthode de contraception doit être utilisée afin d'éviter une grossesse non désirée. Un traitement anti-thrombotique devra être envisagé si Belarina n'a pas été interrompu à l'avance.
  • +Antécédents familiaux (thrombo-embolie veineuse survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans) En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Belarina. Si une thrombophilie est détectée, l'utilisation de CHC comme Belarina est contre-indiquée.
  • -·Les symptômes de l'embolie pulmonaire peuvent inclure
  • +·Les symptômes de l'embolie pulmonaire peuvent inclure :
  • -Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m2) L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque.Il est particulièrement important d'en prendre compte si d'autres facteurs de risque sont présents.
  • -Antécédents familiaux (thrombo-embolie artérielle survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans). En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Belarina.Si une thrombophilie est détectée, l'utilisation de CHC comme Belarina est contre-indiquée.
  • +Obésité (indice de masse corporelle supérieur à 30 kg/m2) L'augmentation de l'IMC accroît considérablement le risque. Il est particulièrement important d'en prendre compte si d'autres facteurs de risque sont présents.
  • +Antécédents familiaux (thrombo-embolie artérielle survenue dans la fratrie ou chez un parent, en particulier à un âge relativement jeune, c.-à-d. avant 50 ans). En cas de prédisposition héréditaire suspectée, la femme devra être adressée à un spécialiste pour avis avant toute décision concernant l'utilisation de Belarina. Si une thrombophilie est détectée, l'utilisation de CHC comme Belarina est contre-indiquée.
  • -En cas de suspicion de prédisposition héréditaire ou acquise aux complications thromboemboliques, un examen de la coagulation sanguine doit être effectué par un spécialiste, qui peut le cas échéant demander une analyse de certains paramètres hémostatiques.
  • +En cas de suspicion de prédisposition héréditaire ou acquise aux complications thrombo-emboliques, un examen de la coagulation sanguine doit être effectué par un spécialiste, qui peut le cas échéant demander une analyse de certains paramètres hémostatiques.
  • -Des troubles aigus ou chroniques de la fonction hépatique peuvent imposer un arrêt du CHC, jusqu'à ce que les valeurs hépatiques se soient normalisées. La récidive d'un ictère cholestatique apparu pour la première fois pendant une grossesse ou lors d'une prise antérieure d'hormones stéroïdiennes sexuelles, doit faire arrêter la prise du CHC.
  • +Des troubles aigus ou chroniques de la fonction hépatique peuvent imposer un arrêt du CHC, jusqu'à ce que les valeurs hépatiques se soient normalisées.
  • +Chez les patientes atteintes d’hépatite C qui ont utilisé un CHC contenant de l’éthinylestradiol de façon concomitante lors de l’utilisation de l’association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir employée dans le traitement des infections par le VHC, une augmentation de l’ALAT significativement plus fréquente que chez les patientes uniquement traitées par les principes actifs antiviraux a été rapportée (y compris des cas avec une augmentation à plus de cinq fois la limite supérieure de la normale et dans des cas isolés à plus de 20 fois la limite supérieure de la normale; voir «Interactions»).
  • +La prise de Belarina doit par conséquent être interrompue avant le début d’un traitement par cette association de principes actifs. À condition que la patiente présente des valeurs hépatiques normales, l’utilisation de Belarina peut être reprise au plus tôt 2 semaines, mais de préférence 4 semaines, après l’arrêt de l’association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir. Il faut ici toutefois noter que, lors d’un intervalle de moins de 4 semaines, l’efficacité du CHC peut encore être réduite en raison des propriétés d’induction enzymatique du ritonavir et qu’une méthode de barrière additionnelle doit par conséquent être utilisée (voir la rubrique «Interactions/Inducteurs enzymatiques»). Ce point est particulièrement pertinent lorsque l’association ombitasvir/paritaprévir/ritonavir est utilisée avec la ribavirine, un principe actif potentiellement tératogène.
  • +Davantage de cas d’augmentation de l’ALAT ont également été observés lors de l’utilisation concomitante de l’association des principes actifs glécaprévir/pibrentasvir et d’un CHC contenant de l’éthinylestradiol. La prise de Belarina doit par conséquent également être temporairement interrompue lors de l’utilisation de cette association.
  • +La récidive d'un ictère cholestatique apparu pour la première fois pendant une grossesse ou lors d'une prise antérieure d'hormones stéroïdiennes sexuelles, doit faire arrêter la prise du CHC.
  • -Les estrogènes peuvent augmenter la lithogénicité de la vésicule biliaire. Des cas de cholélithiase et d'autres affections de la vésicule biliaire (p.ex. cholécystite) ont érapportés chez des femmes sous contraceptifs hormonaux.
  • +Les estrogènes peuvent augmenter la lithogénicité de la vésicule biliaire. Plusieurs études épidémiologiques ont constaté un risque accru d’affections de la vésicule biliaire (p. ex. cholélithiase, cholécystite; y compris nécessid’une cholécystéctomie) lors de l’utilisation de contraceptifs hormonaux combinés.
  • -Les affections suivantes peuvent survenir ou être aggravées pendant la grossesse ou l'utilisation d'un CHC, même si les données actuellement disponibles ne permettent pas d'imputer une relation de causalité claire avec l'utilisation d'un CHC: ictère et/ou prurit cholestatique; cholélithiase; porphyrie; lupus érythémateux disséminé; syndrome hémolytique et urémique; chorée mineure; herpes gestationis; surdité due à une otosclérose. La prise de CHC a en outre été associée à des cas de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse.
  • +Les affections suivantes peuvent survenir ou être aggravées pendant la grossesse ou l'utilisation d'un CHC, même si les données actuellement disponibles ne permettent pas d'imputer une relation de causalité claire avec l'utilisation d'un CHC: ictère et/ou prurit cholestatique; porphyrie; lupus érythémateux disséminé; syndrome hémolytique et urémique; chorée mineure; herpes gestationis; surdité due à une otosclérose. La prise de CHC a en outre été associée à des cas de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse.
  • +La patiente doit être informée du fait que la prise d’un CHC ne protège ni d’une infection par le VIH (SIDA) ni d’autres maladies sexuellement transmissibles.
  • +Interactions avec un mécanisme inconnu
  • +Dans les études cliniques, une augmentation de l’ALAT (y compris des cas avec une augmentation à plus de cinq fois la limite supérieure de la normale [LSN] et dans des cas isolés à plus de 20 fois la LSN) était significativement plus fréquente lors d’une utilisation concomitante de CHC contenant de l’éthinylestradiol et de l’association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, que chez les patientes uniquement traitées par les principes actifs antiviraux. La prise de Belarina doit donc être interrompue avant un traitement par cette association antivirale (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Davantage d’augmentations de l’ALAT ont également été observées lors de l’utilisation concomitante d’un CHC contenant de l’éthinylestradiol et de l’association des principes actifs glécaprévir/pibrentasvir et la prise de Belarina doit par conséquent également être interrompue avant un traitement par cette association anti-VHC (voir «Contre-indications»).
  • +
  • -Néoplasmes bénins et malins (y compris kystes et polypes)
  • +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes)
  • -Troubles du système immunitaire
  • +Affections du système immunitaire
  • -Troubles psychiatriques
  • +Affections psychiatriques
  • -Troubles du système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Troubles oculaires
  • +Affections de l’oreille et du labyrinthe
  • -Troubles cardiaques et vasculaires
  • +Affections cardiaques
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • -Troubles des organes de reproduction et des seins
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • -Il n'y a aucune information sur des effets toxiques graves d'un surdosage. Les symptômes suivants sont possibles: Nausées, vomissements et saignement vaginal chez la fillette. Il n'existe pas d'antidote; le traitement sera symptomatique. Un contrôle de l'équilibre hydroélectrolytique ainsi que de la fonction hépatique n'est nécessaire que dans de rares cas.
  • +Il n'y a aucune information sur des effets toxiques graves d'un surdosage. Les symptômes suivants peuvent survenir: nausées, vomissements et légers saignements vaginaux. Ces derniers peuvent également survenir après la prise accidentelle du médicament chez les jeunes filles avant la ménarche.
  • +Un contrôle de l'équilibre hydroélectrolytique ainsi que de la fonction hépatique n'est nécessaire que dans de rares cas.
  • -Gedeon Richter (Suisse) AG, 6330 Cham.
  • +Gedeon Richter (Suisse) SA, 6330 Cham.
  • -Septembre 2015.
  • +Octobre 2018
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