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Accueil - Information professionnelle sur Belarina - Changements - 23.02.2023
12 Changements de l'information professionelle Belarina
  • -oPrédisposition connue, héréditaire ou acquise, telle qu’une résistance à la protéine C activée (PCa) (y compris une mutation du facteur V de Leiden), un déficit en antithrombine III, un déficit en protéine C, un déficit en protéine S
  • +·Prédisposition connue, héréditaire ou acquise, telle qu’une résistance à la protéine C activée (PCa) (y compris une mutation du facteur V de Leiden), un déficit en antithrombine III, un déficit en protéine C, un déficit en protéine S
  • -oDiabète avec complications vasculaires
  • -oHypertension artérielle sévère
  • -oDyslipoprotéinémie sévère
  • -oAntécédents de migraine avec signes neurologiques focaux
  • -oPrédisposition héréditaire ou acquise à la TEA, telle qu’une hyperhomocystéinémie ou la présence d’anticorps anti-phospholipides (anticorps anti-cardiolipine, anticoagulant lupique)
  • +·Diabète avec complications vasculaires
  • +·Hypertension artérielle sévère
  • +·Dyslipoprotéinémie sévère
  • +·Antécédents de migraine avec signes neurologiques focaux
  • +·Prédisposition héréditaire ou acquise à la TEA, telle qu’une hyperhomocystéinémie ou la présence d’anticorps anti-phospholipides (anticorps anti-cardiolipine, anticoagulant lupique)
  • +·Méningiome ou antécédents d’un méningiome;
  • +Des cas de méningiomes (uniques et multiples) ont été rapportés en relation avec l’utilisation de chlormadinone acétate, en particulier à des doses élevées et en cas de durée prolongée (plusieurs années). Les patientes doivent faire l'objet d’une surveillance pour détecter les signes et symptômes de méningiomes conformément à la pratique clinique. Si un méningiome est diagnostiqué chez une patiente, tout traitement contenant du chlormadinone acétate doit être arrêté par mesure de précaution. Il existe des preuves que le risque de méningiome peut diminuer après l'arrêt du traitement avec du chlormadinone acétate.
  • +
  • -Chez les patientes atteintes d’hépatite C qui ont utilisé un CHC contenant de l’éthinylestradiol de façon concomitante lors de l’utilisation de l’association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ ritonavir avec ou sans dasabuvir, une augmentation de l’ALAT significativement plus fréquente que chez les patientes uniquement traitées par les principes actifs antiviraux a été rapportée (y compris des cas avec une augmentation à plus de cinq fois la limite supérieure de la normale et dans des cas isolés à plus de 20 fois la limite supérieure de la normale; voir «Interactions»). Des élévations similaires de l’ALAT ont également été observées sous des médicaments anti-VHC contenant du glécaprévir/pibrentasvir ou du sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir.
  • -La prise de Belarina doit par conséquent être interrompue avant le début d’un traitement par ces associations de principes actifs. À condition que la patiente présente des valeurs hépatiques normales, l’utilisation de Belarina peut être reprise au plus tôt 2 semaines, mais de préférence 4 semaines, après l’arrêt des associations de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir, glécaprévir/pibrentasvir ou sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. Il faut ici toutefois noter que, lors d’un intervalle de moins de 4 semaines, l’efficacité du CHC peut encore être réduite en raison des propriétés d’induction enzymatique du ritonavir et qu’une méthode de barrière additionnelle doit par conséquent être utilisée (voir la rubrique «Interactions/Inducteurs enzymatiques»). Ce point est particulièrement pertinent lorsque l’association ombitasvir/paritaprévir/ritonavir est utilisée avec la ribavirine, un principe actif potentiellement tératogène.
  • +Chez les patientes atteintes d’hépatite C qui ont utilisé un CHC contenant de l’éthinylestradiol de façon concomitante lors de l’utilisation de l’association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ ritonavir avec ou sans dasabuvir, une augmentation de l’ALAT significativement plus fréquente que chez les patientes uniquement traitées par les principes actifs antiviraux a été rapportée (y compris des cas avec une augmentation à plus de cinq fois la limite supérieure de la normale et dans des cas isolés à plus de 20 fois la limite supérieure de la normale; voir «Interactions»). Des élévations similaires de l’ALAT ont également été observées sous des médicaments anti-VHC contenant du glécaprévir/pibrentasvir ou du sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. La prise de Belarina doit par conséquent être interrompue avant le début d’un traitement par ces associations de principes actifs. À condition que la patiente présente des valeurs hépatiques normales, l’utilisation de Belarina peut être reprise au plus tôt 2 semaines, mais de préférence 4 semaines, après l’arrêt des associations de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir, glécaprévir/pibrentasvir ou sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. Il faut ici toutefois noter que, lors d’un intervalle de moins de 4 semaines, l’efficacité du CHC peut encore être réduite en raison des propriétés d’induction enzymatique du ritonavir et qu’une méthode de barrière additionnelle doit par conséquent être utilisée (voir la rubrique «Interactions/Inducteurs enzymatiques»). Ce point est particulièrement pertinent lorsque l’association ombitasvir/paritaprévir/ritonavir est utilisée avec la ribavirine, un principe actif potentiellement tératogène.
  • -Inducteurs enzymatiques
  • +Les données peuvent également s’appliquer à des médicaments utilisés récemment.Inducteurs enzymatiques
  • -Les fréquences respectives de ces effets sont ainsi définies: « très fréquents » (≥1/10), « fréquents » (≥1/100 à <1/10), « occasionnels » (≥1/1000 à <1/100), « rares » (≥1/10 000 à <1/1000), « très rares » (<1/10 000).
  • -Les effets indésirables les plus fréquemment observés (plus de 20%) sont des céphalées.
  • +Les fréquences respectives de ces effets sont ainsi définies: « très fréquents » (≥1/10), « fréquents » (≥1/100 à <1/10), « occasionnels » (≥1/1000 à <1/100), « rares » (≥1/10 000 à <1/1000), « très rares » (<1/10 000), « Fréquence inconnue (effets rapportés majoritairement par le biais des signalements spontanés dans le cadre de la pharmacovigilance, ne peut être estimée sur la base des données disponibles). Les effets indésirables les plus fréquemment observés (plus de 20%) sont des céphalées.
  • -Août 2021
  • +Janvier 2023
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