12 Changements de l'information professionelle Belarina |
-·Utilisation concomitante de l’association de principes actifs ombitasvir/paritapréevir/ritonavir (médicament pour le traitement de l’hépatite C). L’utilisation peut être reprise au plus tôt 2 semaines après l’arrêt de la prise de ces principes actifs (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»);
-·Utilisation concomitante de l’association de principes actifs glécaprévir / pibrentasvir (médicament pour le traitement de l’hépatite C);
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- +·Utilisation concomitante de l’association de principes actifs ombitasvir/paritapréevir/ritonavir avec ou sans dasabuvir, glécaprévir/pibrentasvir et sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir (médicament pour le traitement de l’hépatite C) (voir «Mises en garde et précautions» et «Interactions»);
-Chez les patientes atteintes d’hépatite C qui ont utilisé un CHC contenant de l’éthinylestradiol de façon concomitante lors de l’utilisation de l’association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir employée dans le traitement des infections par le VHC, une augmentation de l’ALAT significativement plus fréquente que chez les patientes uniquement traitées par les principes actifs antiviraux a été rapportée (y compris des cas avec une augmentation à plus de cinq fois la limite supérieure de la normale et dans des cas isolés à plus de 20 fois la limite supérieure de la normale; voir «Interactions»).
-La prise de Belarina doit par conséquent être interrompue avant le début d’un traitement par cette association de principes actifs. À condition que la patiente présente des valeurs hépatiques normales, l’utilisation de Belarina peut être reprise au plus tôt 2 semaines, mais de préférence 4 semaines, après l’arrêt de l’association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir. Il faut ici toutefois noter que, lors d’un intervalle de moins de 4 semaines, l’efficacité du CHC peut encore être réduite en raison des propriétés d’induction enzymatique du ritonavir et qu’une méthode de barrière additionnelle doit par conséquent être utilisée (voir la rubrique «Interactions/Inducteurs enzymatiques»). Ce point est particulièrement pertinent lorsque l’association ombitasvir/paritaprévir/ritonavir est utilisée avec la ribavirine, un principe actif potentiellement tératogène.
-Davantage de cas d’augmentation de l’ALAT ont également été observés lors de l’utilisation concomitante de l’association des principes actifs glécaprévir/pibrentasvir et d’un CHC contenant de l’éthinylestradiol. La prise de Belarina doit par conséquent également être temporairement interrompue lors de l’utilisation de cette association.
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- +Chez les patientes atteintes d’hépatite C qui ont utilisé un CHC contenant de l’éthinylestradiol de façon concomitante lors de l’utilisation de l’association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ ritonavir avec ou sans dasabuvir, une augmentation de l’ALAT significativement plus fréquente que chez les patientes uniquement traitées par les principes actifs antiviraux a été rapportée (y compris des cas avec une augmentation à plus de cinq fois la limite supérieure de la normale et dans des cas isolés à plus de 20 fois la limite supérieure de la normale; voir «Interactions»). Des élévations similaires de l’ALAT ont également été observées sous des médicaments anti-VHC contenant du glécaprévir/pibrentasvir ou du sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir.
- +La prise de Belarina doit par conséquent être interrompue avant le début d’un traitement par ces associations de principes actifs. À condition que la patiente présente des valeurs hépatiques normales, l’utilisation de Belarina peut être reprise au plus tôt 2 semaines, mais de préférence 4 semaines, après l’arrêt des associations de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir, glécaprévir/pibrentasvir ou sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. Il faut ici toutefois noter que, lors d’un intervalle de moins de 4 semaines, l’efficacité du CHC peut encore être réduite en raison des propriétés d’induction enzymatique du ritonavir et qu’une méthode de barrière additionnelle doit par conséquent être utilisée (voir la rubrique «Interactions/Inducteurs enzymatiques»). Ce point est particulièrement pertinent lorsque l’association ombitasvir/paritaprévir/ritonavir est utilisée avec la ribavirine, un principe actif potentiellement tératogène.
-Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
- +Les patientes présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
-Dans les études cliniques, une augmentation de l’ALAT (y compris des cas avec une augmentation à plus de cinq fois la limite supérieure de la normale [LSN] et dans des cas isolés à plus de 20 fois la LSN) était significativement plus fréquente lors d’une utilisation concomitante de CHC contenant de l’éthinylestradiol et de l’association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir, que chez les patientes uniquement traitées par les principes actifs antiviraux. La prise de Belarina doit donc être interrompue avant un traitement par cette association antivirale (voir «Mises en garde et précautions»).
-Davantage d’augmentations de l’ALAT ont également été observées lors de l’utilisation concomitante d’un CHC contenant de l’éthinylestradiol et de l’association des principes actifs glécaprévir/pibrentasvir et la prise de Belarina doit par conséquent également être interrompue avant un traitement par cette association anti-VHC (voir «Contre-indications»).
- +Dans les études cliniques, une augmentation de l’ALAT (y compris des cas avec une augmentation à plus de cinq fois la limite supérieure de la normale [LSN] et dans des cas isolés à plus de 20 fois la LSN) était significativement plus fréquente lors d’une utilisation concomitante de CHC contenant de l’éthinylestradiol et de l’association de principes actifs ombitasvir/paritaprévir/ritonavir avec ou sans dasabuvir, employée dans le traitement des infections par le VHC, que chez les patientes uniquement traitées par les principes actifs antiviraux. Des élévations similaires de l’ALAT ont également été observées sous des médicaments anti-VHC contenant du glécaprévir/pibrentasvir ou du sofosbuvir/velpatasvir/voxilaprévir. La prise de Belarina doit donc être interrompue avant un traitement par cette association antivirale (voir aussi « Contre-indications » et «Mises en garde et précautions»).
-Affections cardiaques
- +Affections cardiaques et vasculaire
-Avril 2020
- +Août 2021
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