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Accueil - Information professionnelle sur Panadol-S - Changements - 12.01.2022
52 Changements de l'information professionelle Panadol-S
  • -Principe actif: Paracétamol.
  • -Excipients: Amidon prégélatinisé, carbonate de calcium, acide alginique, crospovidone, povidone, stéarate de magnésium, silice colloïdale anhydre, dioxyde de titane, hypromellose, macrogol, polysorbate 80, cire de carnauba, eau purifiée, conserv.: parahydroxybenzoate de méthyl sodique (E219)/d'éthyle sodique (E215)/de propyle sodique (E217).
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -1 comprimé pelliculé contient 500 mg de paracétamol.
  • +Principe actif
  • +Paracétamol.
  • +Excipients
  • +Amidon prégélatinisé, carbonate de calcium, acide alginique, crospovidone, povidone, stéarate de magnésium, silice colloïdale anhydre, dioxyde de titane, hypromellose, macrogol, polysorbate 80, cire de carnauba, eau purifiée.
  • +
  • -La dose efficace la plus faible devrait toujours être utilisée pendant la plus courte durée possible.
  • +La dose efficace la plus faible devrait toujours être utilisée pendant la durée la plus courte possible.
  • -Instructions posologiques spéciales
  • -Troubles hépatiques:
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • -Troubles de la fonction rénales:
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • -·Hypersensibilité au paracétamol et aux substances apparentées (par exemple du propacétamol) ou à l'un des excipients selon la composition;
  • -·troubles graves de la fonction hépatique (cirrhose hépatique et ascite)/hépatite aiguë ou maladie hépatique décomposée active;
  • -·hyperbilirubinémie constitutionnelle héréditaire (maladie de Gilbert).
  • +·Hypersensibilité au paracétamol et aux substances apparentées (p.ex. propacétamol) ou à l'un des excipients selon la composition.
  • +·Troubles graves de la fonction hépatique (cirrhose hépatique et ascite)/hépatite aiguë ou maladie hépatique décompensée active.
  • +·Hyperbilirubinémie constitutionnelle héréditaire (maladie de Gilbert).
  • -·insuffisance rénale (clearance de la créatinine <50 ml/min)
  • -·insuffisance hépatique légère à modérée
  • -·carence en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (peut entraîner une anémie hémolytique);
  • -·utilisation simultanée de médicaments potentiellement hépatotoxiques ou d'inducteurs des enzymes hépatiques.
  • -·anorexie, boulimie, cachexie, malnutrition chronique, carence alimentaire, septicémie (faibles réserves de glutathion hépatique). Des cas d'insuffisance hépatique/trouble hépatique chez les patients présentant une réserve réduite du glutathion a été rapporté;
  • -·déshydratation, hypovolémie.
  • +·Insuffisance rénale (clairance de la créatinine <50 ml/min).
  • +·Insuffisance hépatique légère à modérée.
  • +·Carence en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (peut entraîner une anémie hémolytique).
  • +·Utilisation simultanée de médicaments potentiellement hépatotoxiques ou d'inducteurs d'enzymes hépatiques.
  • +·Anorexie, boulimie, cachexie, malnutrition chronique, carence alimentaire, septicémie (faibles réserves de glutathion hépatique). Des cas d'insuffisance hépatique/trouble hépatique ont été rapportés chez les patients présentant une réserve réduite du glutathion.
  • +·Déshydratation, hypovolémie.
  • -Les symptômes cliniques d'une lésion hépatique surviennent généralement 1 à 2 jours après un surdosage de paracétamol. Une lésion hépatique maximale s'observe généralement après 3 à 4 jours. Le traitement avec un antidote doit débuter le plus vite possible (voir «Surdosage»).
  • +Les symptômes cliniques d'une lésion hépatique surviennent généralement 1 à 2 jours après un surdosage de paracétamol. Une lésion hépatique maximale s'observe généralement après 3 à 4 jours. Le traitement avec un antidote doit débuter dès que possible (voir «Surdosage»).
  • -Il convient d'attirer l'attention du patient/des parents d'enfants sur le fait qu'il ne faut pas prendre régulièrement des analgésiques de manière prolongée sans prescription médicale, et qu'une consultation médicale prématurée est nécessaire lorsque l'enfant est atteint d'une forte fièvre ou si les symptômes s'empirent. Des douleurs persistantes nécessitent une évaluation médicale.
  • +Il convient d'attirer l'attention du patient/des parents d'enfants sur le fait qu'il ne faut pas prendre régulièrement des analgésiques de manière prolongée sans prescription médicale, et que si l'enfant présente une forte fièvre ou une détérioration de son état de santé, il est nécessaire de consulter rapidement son médecin traitant. Des douleurs persistantes nécessitent une évaluation médicale.
  • -Chez les patients présentant un statut de déplétion en glutathion, par ex. en cas de septicémie, l'utilisation de paracétamol peut renforcer le risque d'une acidose métabolique.
  • -Les agents conservateurs parahydroxybenzoate de méthyl-sodique (E 219), éthyl-sodique (E 215) et propyl sodique (E 217) peuvent provoquer des réactions allergiques d'apparition parfois retardée.
  • -
  • +Chez les patients présentant un statut de déplétion en glutathion, p.ex. en cas de septicémie, l'utilisation de paracétamol peut renforcer le risque d'une acidose métabolique.
  • -·Le probénécide inhibe la conjugaison du paracétamol à l'acide glucurionique et conduit ainsi à une clairance réduite du paracétamol. En cas de consommation simultanée, les doses de paracétamol doivent être réduites.
  • -·La cholestyramine réduit l'absorption du paracétamol.
  • +·Le probénécide inhibe la conjugaison du paracétamol à l'acide glucurionique et conduit ainsi à une clairance réduite du paracétamol. En cas d'administration concomitante, la dose de paracétamol doit être réduite.
  • +·La colestyramine réduit l'absorption du paracétamol.
  • -Grossesse/Allaitement
  • -La prudence est de mise lors de l'utilisation de Panadol-S durant la grossesse et l'allaitement.
  • +Grossesse, allaitement
  • +La prudence est de mise en cas d'utilisation de Panadol-S durant la grossesse et l'allaitement.
  • -Affections du système immunitaire: ·Anaphylaxie; réactions allergiques telles qu'œdème de Quincke (angiœdème), difficultés respiratoires, bronchospasme, accès de sueur, nausées, chute de tension artérielle jusqu'à l'état de choc. Rare
  • - ·Une petite partie (5–10%) des patients qui souffrent d'asthme induit par l'acide acétylsalicylique ou d'autres manifestations d'une intolérance à l'acide acétylsalicylique peuvent réagir de même au paracétamol (asthme analgésique). Rare
  • +Affections du système immunitaire: ·Anaphylaxie; réactions allergiques telles que l'œdème de Quincke (angiœdème), difficultés respiratoires, bronchospasme, accès de sueur, nausées, chute de tension artérielle jusqu'à l'état de choc. Rare
  • +·Une petite partie (5–10%) des patients souffrant d'asthme induit par l'acide acétylsalicylique ou d'autres manifestations d'une intolérance à l'acide acétylsalicylique peuvent réagir de même au paracétamol (asthme analgésique). Rare
  • - ·Valeurs de transaminases hépatiques augmentées Rare
  • +·Valeurs de transaminases hépatiques augmentées Rare
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Des concentrations plasmatiques de >200 µg/ml après 4 h, de >100 µg/ml après 8 h, de >50 µg/ml après 12 h et de >30 µg/ml après 15 h entraînent des lésions hépatiques à issue fatale par coma hépatique. L'hépatotoxicité dépend directement de la concentration plasmatique. Les premiers signes de symptômes cliniques d'une lésion hépatique surviennent généralement après 1 à 2 jours, atteignant leur maximum en 3 à 4 jours.
  • -Symptômes:
  • +Des concentrations plasmatiques de >200 µg/ml après 4 h, de >100 µg/ml après 8 h, de >50 µg/ml après 12 h et de >30 µg/ml après 15 h entraînent des lésions hépatiques à issue fatale par coma hépatique. L'hépatotoxicité dépend directement de la concentration plasmatique.
  • +Les premiers signes de symptômes cliniques d'une lésion hépatique surviennent généralement après 1 à 2 jours, atteignant leur maximum en 3 à 4 jours.
  • +Signes et symptômes
  • -2e phase (2e jour): Amélioration subjective, augmentation du volume du foie, taux des transaminases (AST, ALT) et de la bilirubine élevés, prolongation du temps de thromboplastine, augmentation de la lactate déhydrogénase
  • -3e phase (3e jour): Taux des transaminases (AST, ALT) fortement augmentés, ictère, hypoglycémie, coma hépatique.
  • -Traitement:
  • -Un traitement efficace doit être instauré sans délai dès qu'une intoxication est suspectée et doit comprendre les mesures suivantes:
  • +2ème phase (2ème jour): Amélioration subjective, augmentation de volume du foie, taux des transaminases (AST, ALT) et de bilirubine élevés, prolongation du temps de thromboplastine, augmentation de la lactate déshydrogénase
  • +3ème phase (3ème jour): Taux des transaminases (AST, ALT) fortement augmentés, ictère, hypoglycémie, coma hépatique.
  • +Traitement
  • +Un traitement efficace doit être instauré sans délai dès qu'une intoxication est suspectée. Il comprend les mesures suivantes:
  • -·Administration orale de N-acétylcystéine ou de méthionine. Dans les situation dans lesquelles l'administration de l'antidote par voie orale n'est pas réalisable ou difficile (p.ex. en raison de vomissements violents ou de troubles de la conscience), celle-ci peut avoir lieu par voie intraveineuse, si possible en l'espace de 8 heures. La N-Acétylcystéine peut encore apporter une certaine protection après 16 heures.
  • -·Détermination de la concentration plasmatique du paracétamol (pas plus tôt que 4 heures après son ingestion).
  • -Les tests hépatiques doivent être réalisés au début du traitement et répétés toutes les 24 heures. Dans la plupart des cas, les transaminases hépatiques se normalisent après 1 à 2 semaines, la fonction hépatique étant entièrement rétablie. Toutefois, dans les cas très graves, une transplantation hépatique peut être nécessaire.
  • +·Administration orale de N-acétylcystéine ou de méthionine. Dans les situations dans lesquelles l'administration de l'antidote par voie orale n'est pas réalisable ou difficile (p.ex. en raison de vomissements violents, de troubles de la conscience), celle-ci peut avoir lieu par voie intraveineuse, si possible en l'espace de 8 heures. La N-acétylcystéine peut encore apporter une certaine protection après 16 heures.
  • +·Détermination de la concentration plasmatique de paracétamol (pas plus tôt que 4 heures après son ingestion).
  • +Les tests hépatiques doivent être réalisés au début du traitement et répétés toutes les 24 heures. Dans la plupart des cas, les transaminases hépatiques se normalisent en 1 à 2 semaines, la fonction hépatique étant entièrement rétablie. Toutefois, dans les cas très graves, une transplantation hépatique peut être nécessaire.
  • -Code ATC: N02BE01
  • -Mécanismes d'action:
  • +Code ATC
  • +N02BE01
  • +Mécanisme d'action
  • -En ce qui concerne l'effet analgésique, il a été démontré que l'inhibition de la synthèse des prostaglandines est plus forte au niveau central que périphérique. L'effet antipyrétique repose sur l'inhibition de l'effet des pyrogènes endogènes sur le centre thermorégulateur de l'hypothalamus. Le paracétamol n'a pas d'effet antiphlogistique marqué et n'influence ni sur l'hémostase et ni sur la muqueuse gastrique.
  • -Efficacité clinique:
  • +En ce qui concerne l'effet analgésique, il a été démontré que l'inhibition de la synthèse des prostaglandines est plus forte au niveau central que périphérique. L'effet antipyrétique se base sur une inhibition de l'effet de pyrogènes endogènes sur le centre thermorégulateur de l'hypothalamus. Le paracétamol n'a pas d'effet antiphlogistique marqué et n'influe ni sur l'hémostase, ni sur la muqueuse gastrique.
  • +Pharmacodynamique
  • +Aucune information.
  • +Efficacité clinique
  • -Absorption:
  • +Absorption
  • -La biodisponibilité du paracétamol est de 90% pour les doses orales supérieures à 1 g et de plus de 60% pour les doses plus faibles.
  • -Distribution:
  • +La biodisponibilité du paracétamol est de 90% pour les doses orales supérieures à 1 g, et de plus de 60% pour les doses plus faibles.
  • +Distribution
  • -Métabolisme:
  • -Le paracétamol est principalement biotransformé au niveau du foie (métabolisme enzymatique) par conjugaison avec l'acide glucuronique (environ 55%) et avec l'acide sulfurique (environ 35%). Des métabolites toxiques tels que le p-aminophénol et la N-acétylp-benzoquinonimine sont produits en petites quantités par hydroxylation. Ces métabolites toxiques sont fixés par le glutathion et la cystéine puis éliminés.
  • -Elimination:
  • +Métabolisme
  • +Le paracétamol est principalement biotransformé au niveau du foie (métabolisme enzymatique) par conjugaison avec l'acide glucuronique (environ 55%) et avec l'acide sulfurique (environ 35%). Des métabolites toxiques tels que le p-aminophénol et la N-acétyl-p-benzoquinonimine sont produits en petites quantités par hydroxylation. Ces métabolites toxiques sont fixés par le glutathion et la cystéine puis éliminés.
  • +Élimination
  • -Insuffisance hépatique:
  • -La durée de la demi-vie plasmatique reste pratiquement inchangée chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère. Elle est toutefois considérablement prolongée chez les patients atteints d'une insuffisance hépatique grave.
  • -Des études cliniques avec le paracétamol orale ont mis en évidence un métabolisme modérément altéré du paracétamol, en raison de concentrations plasmatiques accrues de paracétamol et d'une demi-vie d'élimination prolongée chez les patients atteints de maladies hépatiques chroniques, notamment cirrhose hépatique d'origine alcoolique. Toutefois, aucune accumulation significative de paracétamol n'a été observée. La demi-vie plasmatique accrue du paracétamol a été liée à une réduction de la capacité métabolique hépatique. Pour cette raison, le paracétamol doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints de maladie hépatique, la dose quotidienne maximale chez les adultes étant limitée à 2 g. Le paracétamol est contre-indiqué en cas de maladie hépatique active décomposée, notamment d'hépatite due à l'abus d'alcool (en raison de l'induction CYP2E1 qui augment la formation de métabolites hépatotoxiques du paracétamol).
  • -Insuffisance rénale:
  • -En cas d'insuffisance rénale grave (clearance de la créatinine 10-30 ml/min), l'élimination du paracétamol est peu ralentie, la demi-vie d'élimination se situant entre 2 et 5,3 heures. La vitesse d'élimination des glucuronides et conjugés sulfates est 3 fois plus lente chez les patients atteints d'insuffisance rénale grave que chez les personnes saines. Cependant, il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie dans cette population, les glucuronides et conjugés sulfates n'étant pas toxiques. Il est toutefois recommandé de prolonger l'intervalle minimal entre les administrations conformément aux recommandations de dosage si le paracétamol est utilisé chez des patients atteints d'insuffisance rénale modérée à grave (clearance de la créatinine ≤50 ml/min) (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Chez les patients sous hémodialyse, la durée de demi-vie peut être réduite de 40 à 50% après l'administration de doses thérapeutiques de paracétamol.
  • -Personnes âgées:
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +La durée de demi-vie plasmatique reste pratiquement inchangée chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique légère. Elle est toutefois nettement prolongée chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique grave.
  • +Des études cliniques avec le paracétamol oral ont mis en évidence un métabolisme modérément altéré du paracétamol, en raison de concentrations plasmatiques accrues de paracétamol et d'une demi-vie d'élimination prolongée chez les patients atteints de maladies hépatiques chroniques, notamment cirrhose hépatique d'origine alcoolique. Toutefois, aucune accumulation significative de paracétamol n'a été observée. La demi-vie plasmatique accrue du paracétamol a été liée à une réduction de la capacité métabolique hépatique. Pour cette raison, le paracétamol doit être utilisé avec prudence chez les patients atteints de maladie hépatique, la dose quotidienne maximale chez les adultes étant limitée à 2 g. Le paracétamol est contre-indiqué en cas de maladie hépatique active décompensée, notamment d'hépatite due à l'abus d'alcool (en raison de l'induction CYP2E1, qui augmente la formation des métabolites hépatotoxiques du paracétamol).
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +En cas d'insuffisance rénale grave (clairance de la créatinine 10-30 ml/min), l'élimination du paracétamol est peu ralentie, la demi-vie d'élimination se situant entre 2 et 5,3 heures. La vitesse d'élimination des glucuronides et des conjugés sulfates est 3 fois plus lente chez les patients atteints d'insuffisance rénale grave que chez les personnes saines. Cependant, il n'est pas nécessaire d'adapter la posologie dans cette population, les glucuronides et conjugés sulfates n'étant pas toxiques. Il est toutefois recommandé de prolonger l'intervalle minimal entre les administrations conformément aux recommandations de dosage si le paracétamol est utilisé chez des patients atteints d'insuffisance rénale modérée à grave (clairance de la créatinine ≤50 ml/min) (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Chez les patients sous hémodialyse, la durée de demi-vie peut diminuer de 40 à 50% après l'administration de doses thérapeutiques de paracétamol.
  • +Patients âgés
  • -Nouveau-nés, nourrissons et enfants:
  • +Nouveau-nés, nourrissons et enfants
  • -Les doses aiguës très élevées de paracétamol sont hépatotoxiques. Un potentiel génotoxique a été constaté dans différentes études. Ce potentiel doit toutefois être relativisé car il est dose-dépendant. Etant donné les mécanismes susceptibles de déclencher ces effets, on peut assurément admettre qu'aucun effet génotoxique ne survient si les doses sont inférieures à certains valeurs limites. Toutefois, si les réserves de glutathion sont réduites, les valeurs-seuil peuvent être plus basses. Les valeurs-seuil à partir desquelles un effet génotoxique a été mis en évidence chez l'expérimentation animale se situent clairement au niveau des doses toxiques entraînant des lésions hépatiques ou médullaires. En outre, les doses non hépatotoxiques (jusqu'à 300 mg/kg chez le rat et 1000 mg/kg chez la souris) ne sont pas carcinogènes. On peut donc pratiquement exclure tout effet génotoxique ou carcinogène si les doses thérapeutiques sont respectées.
  • -Des études toxicologiques n'ont montré aucun effet sur la reproduction et aucun effet tératogène sur les animaux traités au paracétamol.
  • +Les doses aiguës très élevées de paracétamol sont hépatotoxiques.
  • +Un potentiel génotoxique a été constaté dans différentes études. Ce potentiel doit toutefois être relativisé car il est dose-dépendant. Etant donné les mécanismes susceptibles de déclencher ces effets, on peut partir du principe qu'aucun effet génotoxique n'apparaît si la dose est inférieure à certaines valeurs limites. Toutefois, si les réserves de glutathion sont réduites, les valeurs-seuil peuvent être plus basses. Les valeurs-seuil à partir desquelles un effet génotoxique a été mis en évidence chez l'expérimentation animale se situent clairement au niveau des doses toxiques entraînant des lésions hépatiques ou médullaires. De plus, les doses non hépatotoxiques (jusqu'à 300 mg/kg chez le rat et 1000 mg/kg chez la souris) ne sont pas carcinogènes. On peut donc pratiquement exclure tout effet génotoxique ou carcinogène si les doses thérapeutiques sont respectées.
  • +Les études toxicologiques n'ont montré aucun effet sur la reproduction et aucun effet tératogène sur les animaux traités par le paracétamol.
  • -Le paracétamol peut induire des perturbations dans la mesure de la glycémie par la méthode dite à la glucose oxydase. Il peut également être responsable d'une augmentation apparente de l'uricémie lorsqu'elle est déterminée par la méthode de réduction de phosphotungstate.
  • -Stabilité:
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage .
  • -Remarques concernant le stockage:
  • -Ne pas conserver les comprimés pelliculés Panadol-S au-dessus de 30 °C.
  • +Le paracétamol peut induire des perturbations dans la mesure de la glycémie par la méthode dite à la glucose oxydase. Il peut également être responsable d'une élévation apparente de l'uricémie lorsqu'elle est déterminée par la méthode de réduction de phosphotungstate.
  • +Stabilité
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Ne pas conserver au-dessus de 30°C.
  • -Avril 2017.
  • +Mars 2019.
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