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Accueil - Information professionnelle sur Alendronat Zentiva - Changements - 27.11.2020
70 Changements de l'information professionelle Alendronat Zentiva
  • -OEMéd
  • -Principe actif: Alendronate sous forme de trihydrate sodique dalendronate.
  • +Principe actif: Alendronate sous forme de trihydrate sodique d'alendronate.
  • -Comprimés hebdomadaires: 70 mg dalendronate sous forme de trihydrate sodique dalendronate 91,37 mg.
  • +Comprimés hebdomadaires: 70 mg d'alendronate sous forme de trihydrate sodique d'alendronate 91,37 mg.
  • -Alendronat-Teva est indiqué pour le traitement de lostéoporose chez les femmes après la ménopause et chez les hommes.
  • +Alendronat Zentiva est indiqué pour le traitement de l'ostéoporose chez les femmes après la ménopause et chez les hommes.
  • -Traitement de lostéoporose
  • -La posologie recommandée est dun comprimé hebdomadaire (= 70 mg) par semaine.
  • -Pour déployer tout son effet, Alendronat-Teva devrait être pris au moins ½ heure avant le premier repas, la première boisson ou dautres médicaments, avec un grand verre deau (du robinet), parce que dautres boissons (p.ex. leau minérale, les jus de fruits ou le café), les aliments et certains médicaments sont susceptibles dinfluencer labsorption dAlendronat-Teva (voir sous «Interactions» et «Pharmacocinétique»).
  • -Pour faciliter le transport dans lestomac et prévenir le risque dirritations/deffets indésirables au niveau de l’oesophage (voir sous «Mises en garde et précautions»),
  • -Alendronat-Teva ne doit être avalé quaprès le lever, avec un grand verre deau plein;
  • -les patients ne doivent pas mâcher le comprimé et ils doivent éviter que celui-ci ne se dissolve dans la bouche;
  • -après la prise du médicament, les patients ne devraient se recoucher, au besoin, quau plus tôt après 30 minutes et après la première prise daliments;
  • -Alendronat-Teva ne doit pas être pris avant le coucher ou avant le lever.
  • -Les patients devraient recevoir des suppléments de calcium et de vitamine D lorsque labsorption avec lalimentation est insuffisante (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • +Traitement de l'ostéoporose
  • +La posologie recommandée est d'un comprimé hebdomadaire (70 mg) par semaine.
  • +La durée optimale d'utilisation n'a pas été déterminée. Chez tous les patients sous traitement aux bisphosphonates, la nécessité de poursuivre le traitement doit être réévaluée sur une base périodique (voir sous «Efficacité clinique»).
  • +Alendronat Zentiva devrait être pris au moins ½ heure avant le premier repas, la première boisson ou d'autres médicaments, avec un grand verre d'eau (du robinet), parce que d'autres boissons (p.ex. l'eau minérale, les jus de fruits ou le café), les aliments et certains médicaments sont susceptibles d'influencer l'absorption de Alendronat Zentiva (voir sous «Interactions» et «Pharmacocinétique»).
  • +Pour faciliter le transport dans l'estomac et prévenir le risque d'irritations/d'effets indésirables locales et oesophagiens (voir sous «Mises en garde et précautions»),
  • +·Alendronat Zentiva ne doit être avalé qu'après le lever, avec un grand verre d'eau plein;
  • +·les patients ne doivent pas mâcher le comprimé et ils doivent éviter que celui-ci ne se dissolve dans la bouche;
  • +·après la prise de Alendronat Zentiva, les patients ne devraient se recoucher, au besoin, qu'au plus tôt après 30 minutes et après la première prise d'aliments;
  • +·Alendronat Zentiva ne doit pas être pris avant le coucher ou avant le lever.
  • +Les patients devraient recevoir des suppléments de calcium et de vitamine D lorsque l'absorption avec l'alimentation est insuffisante (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • -Chez les patients âgés ou présentant une insuffisance rénale légère à modérée (clearance de la créatinine comprise entre 30 et 60 ml/min), aucune adaptation de la posologie nest nécessaire. Vu le manque dexpérience, Alendronat-Teva nest pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clearance à la créatinine <30 ml/min) (voir sous «Contre-indications»).
  • +Chez les patients âgés ou présentant une insuffisance rénale légère à modérée (clearance de la créatinine comprise entre 30 et 60 ml/min), aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire. Vu le manque d'expérience, Alendronat Zentiva n'est pas recommandé chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clearance à la créatinine <30 ml/min) (voir sous «Contre-indications»).
  • -Alendronat-Teva nest pas indiqué chez les enfants et les adolescents.
  • +Alendronat Zentiva n'est pas indiqué chez les enfants et les adolescents.
  • -Pathologies de loesophage susceptibles de retarder le transport dans lestomac, telles que sténose ou achalasie.
  • -Impossibilité de prendre une position verticale durant 30 minutes (assise, debout ou en marche).
  • +Pathologies de l'oesophage susceptibles de retarder le transport dans l'estomac, telles que sténose ou achalasie.
  • +Impossibilité de prendre une position verticale durant 30 minutes (assise, debout ou en marche).
  • -Hypersensibilité à lun des composants du médicament.
  • +Hypersensibilité à l'un des composants du médicament.
  • -Une hypocalcémie doit être corrigée avant linstauration dun traitement par Alendronat-Teva (voir sous «Contre-indications»). Cest pourquoi il convient de veiller chez ces patients à un apport adéquat de calcium. Dautres perturbations du métabolisme minéral (p.ex. une carence en vitamine D) devraient également être traitées (voir sous «Interactions»). Durant le traitement à Alendronat-Teva, il faut suivre le taux sérique de calcium et veiller à déventuels symptômes dune hypocalcémie chez les patients présentant ces troubles.
  • -Dans le cadre du traitement à lalendronate, de faibles diminutions asymptomatiques du calcium et du phosphate sériques peuvent apparaître, et en particulier chez les patients recevant des corticoïdes, labsorption de calcium peut être plus faible.
  • -On a cependant rapporté de rares cas, en partie sévères, dhypocalcémie symptomatique, souvent chez des patients présentant des facteurs de prédisposition correspondants tels que, par exemple, hypoparathyroïdie, carence en vitamine D et malabsorption de calcium (voir sous «Effets indésirables»).
  • -Alendronat-Teva, comme dautres biphosphonates, peut provoquer une irritation locale de la muqueuse du tractus gastro-intestinal supérieur. On a rapporté des effets indésirables au niveau de loesophage – tels quune oesophagite, un ulcère ou une érosion de loesophage, suivis dans de rares cas de sténoses ou de perforations – au cours dun traitement avec Alendronat-Teva. Dans quelques cas, ces effets indésirables ont été sévères et ont nécessité une hospitalisation. Pour cette raison, le médecin devrait être attentif aux signes ou symptômes dune éventuelle réaction oesophagienne et les patients doivent être informés de la nécessité dinterrompre le traitement par Alendronat-Teva et de sadresser à leur médecin en cas dapparition de troubles ou de douleurs à la déglutition, de douleurs rétrosternales ou en cas dapparition ou de laggravation de brûlures destomac. Le risque deffets indésirables sur loesophage semble plus grand chez les patients ne se conformant pas aux prescriptions concernant la prise dAlendronat-Teva ou continuant à prendre le médicament après l’apparition de symptômes oesophagiques. Pour garantir lefficacité et une bonne tolérance, il est donc particulièrement important que les patients soient informés des conditions de prise du médicament et il est important que ces explications aient été bien comprises (voir sous «Posologie/Mode demploi»). Il faut également attirer lattention des patients sur le fait que le non-respect des conseils relatifs à la bonne utilisation du médicament sont susceptibles daccroître le risque deffets indésirables au niveau de loesophage.
  • -Alors quaucune hausse du risque na été constatée dans le cadre des études cliniques de grande envergure, quelques rares rapports de post-marketing ont fait état dulcères gastriques et duodénaux, dont certains étaient sévères et ont entraîné des complications.
  • -En raison dune irritation possible de la muqueuse et dune possible aggravation dune maladie déjà présente, Alendronat-Teva doit être prescrit avec prudence lors de troubles existants du tractus gastro-intestinal supérieur tels que des troubles de la déglutition, un reflux gastro-oesophagien, un oesophage de Barrett, une gastrite, une duodénite ou un ulcère.
  • -Une ostéonécrose localisée de la mâchoire, apparue généralement lors dune extraction dentaire, et/ou lors dune infection locale (y compris ostéomyélite) associée à une cicatrisation retardée ont été rapportées dans de rares cas sous des biphosphonates oraux (voir sous «Effets indésirables»). La plupart des cas concernaient des patients cancéreux, traités à des biphosphonates administrés par voie intraveineuse. Les facteurs de risque connus des nécroses localisées de la mâchoire sont des affections malignes et le traitement de ces affections (p.ex. chimiothérapie, radiothérapie, corticostéroïdes), une mauvaise hygiène buccale, des comorbidités tels que des affections parodontaires et dentaires préexistantes, une anémie, une coagulopathie, des infections et fumer. Les patients qui développent des nécroses osseuses maxillaires localisées doivent recevoir un traitement par un spécialiste compétent et larrêt du traitement doit être considéré sur la base du rapport risques-avantages individuel du patient. Les traitements chirurgicaux des dents peuvent renforcer le problème. Chez les patients nécessitant une intervention de chirurgie dentaire (par exemple extraction, implant), le médecin traitant et/ou le chirurgien dentaire doivent adapter le traitement prévu – y compris le traitement aux bisphosphonates – au patient individuel en fonction de lanalyse correspondante des avantages et des risques.
  • -Des douleurs osseuses, articulaires et/ou musculaires ont été observées chez des patients traités à des biphosphonates. Ces symptômes ont été décrits rarement comme étant sévères et/ou invalidants dans des rapports réalisés après la mise sur le marché (voir sous «Effets indésirables»). Le délai avant lapparition de ces symptômes variait entre un jour et plusieurs mois après le début du traitement. Chez la plupart des patients, les symptômes avaient disparu après larrêt du traitement. Chez certains patients, les symptômes étaient réapparus après la reprise du traitement au même biphosphonate ou à un autre biphosphonate.
  • -Des fractures «à faible énergie» en localisation sous-trochantérienne ou diaphysaire proximale du fémur ont été rapportées chez un faible nombre de patients traités aux bisphosphonates au cours prolongé (habituellement plus long que 3 ans). Certaines dentre elles étaient des fractures de stress (bien que certaines dentre elles aient été décrites comme fractures par insuffisance) qui sétaient produites en labsence dun traumatisme apparent. Certains patients avaient ressenti antérieurement (des semaines ou des mois avant la fracture complète) des douleurs dans la zone en question, souvent associées à des signes radiologiques dune fracture de stress. Environ un tiers de ces fractures ont été bilatérales. Le fémur contro-latéral doit donc aussi être examiné chez les patients ayant souffert dune fracture de stress de la diaphyse fémorale. Le nombre des rapports concernant de telles fractures est très faible et des fractures de stress avec une clinique similaire ont été observées également chez des patients non traités aux bisphosphonates. Les patients chez lesquels une fracture de stress est suspectée doivent être soumis à une évaluation incluant les causes et facteurs de risque connus (par exemple carence en vitamine D, malabsorption, traitement aux glucocorticoïdes, antécédents de fractures de stress, arthrite ou fracture de membres inférieurs, contraintes physiques accrues ou extrêmes, diabète sucré, abus chronique dalcool) et recevoir un traitement orthopédique approprié. Chez les patients ayant subi une fracture de stress, on considérera un arrêt du traitement aux bisphosphonates sur la base dune analyse individuelle des bénéfices et des risques.
  • -Les patients devraient savoir que lorsquils oublient de prendre le comprimé hebdomadaire dAlendronat-Teva, ils peuvent le faire également le lendemain matin. Ils ne doivent en aucun cas prendre 2 comprimés le même jour, mais ils doivent revenir au schéma posologique hebdomadaire et prendre le comprimé au jour de semaine choisi initialement.
  • -Outre la carence en hormones, lâge et le traitement aux glucocorticoïdes, dautres causes potentielles dostéoporose doivent également être envisagés.
  • -Dans le cadre détudes cliniques, de nombreux patients ont reçu, outre alendronate, également des préparations multivitaminiques (y compris des préparations de vitamine D); les prescriptions concernant le moment de la prise doivent toutefois être prises en considération. L’administration supplémentaire danalogues actifs de vitamine D (p.ex. calcitriol) ou de vitamine D à des doses supérieures à la dose de substitution na pas fait lobjet détudes et nest donc pas recommandée.
  • +Une hypocalcémie doit être corrigée avant l'instauration d'un traitement par Alendronat Zentiva (voir sous «Contre-indications»). C'est pourquoi il convient de veiller chez ces patients à un apport adéquat de calcium. D'autres perturbations du métabolisme minéral (p.ex. une carence en vitamine D) devraient également être traitées (voir sous «Interactions»). Durant le traitement à Alendronat Zentiva, il faut suivre le taux sérique de calcium et veiller à d'éventuels symptômes d'une hypocalcémie chez les patients présentant ces troubles.
  • +Dans le cadre du traitement à l'alendronate, de faibles diminutions asymptomatiques du calcium et du phosphate sériques peuvent apparaître, et en particulier chez les patients recevant des glucocorticoïdes, l'absorption de calcium peut être plus faible. On a cependant rapporté de rares cas, en partie sévères, d'hypocalcémie symptomatique, souvent chez des patients présentant des facteurs de prédisposition correspondants tels que, par exemple, hypoparathyroïdie, carence en vitamine D et malabsorption de calcium (voir sous «Effets indésirables»).
  • +Alendronat Zentiva, comme d'autres biphosphonates, peut provoquer une irritation locale de la muqueuse du tractus gastro-intestinal supérieur. On a rapporté des effets indésirables au niveau de l'oesophage – tels qu'une oesophagite, un ulcère ou une érosion de l'oesophage, suivis dans de rares cas de sténoses ou de perforations – au cours d'un traitement avec Alendronat Zentiva. Dans quelques cas, ces effets indésirables ont été sévères et ont nécessité une hospitalisation. Pour cette raison, le médecin devrait être attentif aux signes ou symptômes d'une éventuelle réaction oesophagienne et les patients doivent être informés de la nécessité d'interrompre le traitement par Alendronat Zentiva et de s'adresser à leur médecin en cas d'apparition de troubles ou de douleurs à la déglutition, de douleurs rétrosternales ou en cas d'apparition ou de l'aggravation de brûlures d'estomac. Le risque d'effets indésirables sévères sur l'oesophage semble plus grand chez les patients ne se conformant pas aux prescriptions concernant la prise de Alendronat Zentiva ou continuant à prendre le médicament après apparition de symptômes qui indiquent une irritation oesophagienne. Pour garantir l'efficacité et une bonne tolérance, il est donc particulièrement important que les patients soient informés des conditions de prise du médicament et il est important que ces explications aient été bien comprises (voir sous «Posologie/Mode d'emploi»). Il faut également attirer l'attention des patients sur le fait que le non-respect des conseils relatifs à la bonne utilisation du médicament sont susceptibles d'accroître le risque d'effets indésirables au niveau de l'oesophage.
  • +Alors qu'aucune hausse du risque n'a été constatée dans le cadre des études cliniques de grande envergure, quelques rares rapports de post-marketing ont fait état d'ulcères gastriques et duodénaux, dont certains étaient sévères et ont entraîné des complications.
  • +En raison d'une irritation possible de la muqueuse du tractus gastro-intestinal supérieur et d'une possible aggravation d'une maladie déjà présente, Alendronat Zentiva doit être prescrit avec prudence lors de troubles existants du tractus gastro-intestinal supérieur tels que des troubles de la déglutition, un reflux gastro-oesophagien, un oesophage de Barrett, une gastrite, une duodénite ou un ulcère.
  • +Une ostéonécrose localisée de la mâchoire, apparue généralement lors d'une extraction dentaire, et/ou lors d'une infection locale (y compris ostéomyélite) associée à une cicatrisation retardée ont été rapportées dans de rares cas sous des biphosphonates oraux (voir sous «Effets indésirables»). La plupart des cas d'une ostéonécrose de la mâchoire associée aux biphosphonates concernaient des patients cancéreux, traités à des biphosphonates administrés par voie intraveineuse. Les facteurs de risque connus des nécroses localisées de la mâchoire sont des affections malignes et le traitement de ces affections (p.ex. chimiothérapie, radiothérapie, corticostéroïdes, inhibiteurs de l'angiogenèse), une mauvaise hygiène buccale, des comorbidités tels que des affections parodontaires et dentaires préexistantes, une anémie, une coagulopathie, des infections et fumer. Les patients qui développent des nécroses osseuses maxillaires localisées doivent recevoir un traitement par un spécialiste compétent et l'arrêt du traitement doit être considéré sur la base du rapport risques-avantages individuel du patient. Les traitements chirurgicaux des dents peuvent renforcer le problème. Chez les patients nécessitant une intervention de chirurgie dentaire (par exemple extraction, implant), le médecin traitant et/ou le chirurgien dentaire doivent adapter le traitement prévu – y compris le traitement aux bisphosphonates – au patient individuel en fonction de l'analyse correspondante des avantages et des risques.
  • +Des douleurs osseuses, articulaires et/ou musculaires ont été observées chez des patients traités à des biphosphonates. Ces symptômes ont été décrits rarement comme étant sévères et/ou invalidants dans des rapports réalisés après la mise sur le marché (voir sous «Effets indésirables»). Le délai avant l'apparition de ces symptômes variait entre un jour et plusieurs mois après le début du traitement. Chez la plupart des patients, les symptômes avaient disparu après l'arrêt du traitement. Chez certains patients, les symptômes étaient réapparus après la reprise du traitement au même biphosphonate ou à un autre biphosphonate.
  • +Des fractures «à faible énergie» en localisation sous-trochantérienne ou diaphysaire proximale du fémur ont été rapportées chez un faible nombre de patients traités aux bisphosphonates au cours prolongé (habituellement plus long que 3 ans). Certaines d'entre elles étaient des fractures de stress (bien que certaines d'entre elles aient été décrites comme fractures par insuffisance) qui s'étaient produites en l'absence d'un traumatisme apparent. Certains patients avaient ressenti antérieurement (des semaines ou des mois avant la fracture complète) des douleurs dans la zone en question, souvent associées à des signes radiologiques d'une fracture de stress. Environ un tiers de ces fractures ont été bilatérales. Le fémur contro-latéral doit donc aussi être examiné chez les patients ayant souffert d'une fracture de stress de la diaphyse fémorale. Des fractures de stress avec une clinique similaire ont été observées également chez des patients non traités aux bisphosphonates. Les patients chez lesquels une fracture de stress est suspectée doivent être soumis à une évaluation incluant les causes et facteurs de risque connus (par exemple carence en vitamine D, malabsorption, traitement aux glucocorticoïdes, antécédent d'une fracture de stress, arthrite ou fracture de membres inférieurs, contraintes physiques accrues ou extrêmes, diabète sucré, abus chronique d'alcool) et recevoir un traitement orthopédique approprié. Chez les patients ayant subi une fracture de stress, on considérera un arrêt du traitement aux bisphosphonates sur la base d'une analyse individuelle des bénéfices et des risques.
  • +Les patients devraient savoir que lorsqu'ils oublient de prendre le comprimé hebdomadaire de Alendronat Zentiva, ils peuvent le faire également le lendemain matin. Ils ne doivent en aucun cas prendre 2 comprimés le même jour, mais ils doivent revenir au schéma posologique hebdomadaire et prendre le comprimé au jour de semaine choisi initialement.
  • +Outre la carence en hormones, l'âge et le traitement aux glucocorticoïdes, d'autres causes potentielles d'ostéoporose doivent également être envisagées.
  • +Dans le cadre d'études cliniques, de nombreux patients ont reçu, outre Alendronat Zentiva, également des préparations multivitaminiques (y compris des préparations de vitamine D). L'administration supplémentaire d'analogues actifs de vitamine D (p.ex. calcitriol) ou de vitamine D à des doses supérieures à la dose de substitution n'a pas fait l'objet d'études et n'est donc pas recommandée.
  • -Des aliments à forte teneur en calcium, comme par exemple le lait et les produits laitiers, ainsi que les suppléments calciques (préparations de sels minéraux, vitamines avec complément de minéraux), les anti-acides, le magnésium et certains médicaments pris par voie orale influencent labsorption dAlendronat-Teva. Pour cette raison, les patients doivent attendre au moins ½ heure après la prise dAlendronat-Teva avant de prendre un autre médicament, des aliments ou des boissons. Une co-médication avec des analogues actifs de la vitamine D (p.ex. calcitriol) ou du fluor pour le traitement de lostéoporose na pas été étudiée et nest pas recommandée (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • -Lors détudes au cours desquelles des femmes avec une ostéoporose post-ménopausique ont reçu d’alendronate en association avec des estrogènes (par voie intra-vaginale, transdermique ou orale), aucun effet indésirable pouvant être mis en relation avec ladministration simultanée des deux substances na été observé.
  • -Aucune étude systématique na été conduite concernant une interaction sur la liaison aux protéines, lélimination urinaire ou le métabolisme dautres médicaments; on nattend cependant pas dinteraction cliniquement significative avec dautres médicaments (voir sous «Pharmacocinétique»). Aucun indice suggérant une telle interaction na été observé au cours des études sur lostéoporose chez les hommes et les femmes en post-ménopause.
  • -La ranitidine administrée par voie intraveineuse a doublé la biodisponibilité de lalendronate administré par voie orale. On ignore la signification clinique de cette hausse et on ne sait pas si des hausses similaires apparaissent également chez des patients recevant des inhibiteurs de la pompe à protons par voie orale.
  • -Car ladministration des AINS peut saccompagner dirritations gastro-intestinales, les AINS ne doivent par conséquent être utilisés quavec prudence en même temps que lalendronate.
  • +Des aliments à forte teneur en calcium, comme par exemple le lait et les produits laitiers, ainsi que les suppléments calciques (préparations de sels minéraux, vitamines avec complément de minéraux), les anti-acides, le magnésium et certains médicaments pris par voie orale influencent l'absorption de Alendronat Zentiva. Pour cette raison, les patients doivent attendre au moins ½ heure après la prise de Alendronat Zentiva avant de prendre un autre médicament, des aliments ou des boissons. Une co-médication de Alendronat Zentiva avec des analogues actifs de la vitamine D (p.ex. calcitriol) ou du fluor pour le traitement de l'ostéoporose n'a pas été étudiée et n'est pas recommandée (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • +Lors d'études au cours desquelles des femmes avec une ostéoporose post-ménopausique ont reçu du Alendronat Zentiva en association avec des estrogènes (par voie intra-vaginale, transdermique ou orale), aucun effet indésirable pouvant être mis en relation avec l'administration simultanée des deux substances n'a été observé.
  • +Aucune étude systématique n'a été conduite concernant une interaction sur la liaison aux protéines, l'élimination urinaire ou le métabolisme d'autres médicaments; on n'attend cependant pas d'interaction cliniquement significative avec d'autres médicaments (voir sous «Pharmacocinétique»). Aucun indice suggérant une telle interaction n'a été observé au cours des études sur l'ostéoporose chez les hommes et les femmes en post-ménopause et sur l'ostéoporose induite par les glucocorticoïdes chez les hommes et les femmes.
  • +La ranitidine administrée par voie intraveineuse a doublé la biodisponibilité de l'alendronate administré par voie orale. On ignore la signification clinique de cette hausse et on ne sait pas si des hausses similaires apparaissent également chez des patients recevant des inhibiteurs de la pompe à protons par voie orale.
  • +Car l'administration des AINS peut s'accompagner d'irritations gastro-intestinales, les AINS ne doivent par conséquent être utilisés qu'avec prudence en même temps que l'alendronate.
  • -Les études portant sur la reproduction chez lanimal nont pas montré de risque pour le foetus, mais on ne dispose daucune étude contrôlée chez les femmes enceintes. Cest pourquoi Alendronat-Teva ne devrait pas être administré à des femmes enceintes (voir sous «Contre-indications»).
  • -Alendronat-Teva na pas été étudié chez les mères en période dallaitement et ne devrait donc pas être utilisé (voir sous «Contre-indications»).
  • +Les études portant sur la reproduction chez l'animal n'ont pas montré de risque pour le foetus, mais on ne dispose d'aucune étude contrôlée chez les femmes enceintes. C'est pourquoi Alendronat Zentiva ne devrait pas être administré à des femmes enceintes (voir sous «Contre-indications»).
  • +Alendronat Zentiva n'a pas été étudié chez les mères en période d'allaitement et ne devrait donc pas être utilisé par celles-ci (vois sous «Contre-indications»).
  • -Aucune étude concernant les effets sur laptitude à conduire et à utiliser des machines na été menée. Cependant, certains effets secondaires ayant été observés sous Alendronat-Teva peuvent influencer laptitude à conduire ou à utiliser des machines. La réaction individuelle à Alendronat-Teva peut varier (voir sous «Effets indésirables»).
  • +Aucune étude concernant les effets sur l'aptitude à conduire et à utiliser des machines n'a été menée. Cependant, certains effets secondaires ayant été observés sous Alendronat Zentiva peuvent influencer l'aptitude à conduire ou à utiliser des machines. La réaction individuelle à Alendronat Zentiva peut varier (voir sous «Effets indésirables»).
  • -Les effets indésirables suivants ont été rapportés au cours des études cliniques et/ou depuis la mise sur le marché de lalendronate: fréquent: ≥1/100, <1/10; occasionnel: ≥1/1000, <1/100; rare: ≥1/10000, <1/1’000; très rare: <1/10’000, incluant les cas isolés:
  • +Les effets indésirables suivants ont été rapportés au cours des études cliniques et/ou depuis la mise sur le marché de l'alendronate: fréquent (≥1/100, <1/10), occasionnel (≥1/1000, <1/100), rare (≥1/10'000, <1/1'000), très rare (<1/10'000 incluant les cas isolés).
  • -Rare: réactions dhypersensibilité dont urticaire et angio-oedème.
  • +Rare: réactions d'hypersensibilité dont urticaire et angio-oedème.
  • -Fréquent: douleurs abdominales, dyspepsie, constipation, diarrhée, flatulence, ulcère oesophagien, dysphagie, lourdeurs destomac, régurgitation acide.
  • +Fréquent: douleurs abdominales, dyspepsie, constipation, diarrhée, flatulence, ulcère oesophagien, dysphagie, lourdeurs d'estomac, régurgitation acide.
  • -Troubles cutanés et des tissu sous-cutanés
  • +Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés
  • -Troubles musculosquelettiques, du tissu conjonctif et des os
  • +Troubles musculo-squelettiques et systémiques
  • -Troubles de loreille et du conduit auditif
  • -Des vertiges ont été signalés depuis la mise sur le marché.
  • +Troubles de l'oreille et du conduit auditif
  • +Des vertiges et rarement cholestéatome du conduit auditif externe (ostéonécrose focale) ont été signalés depuis la mise sur le marché.
  • -Au cours des études cliniques, un abaissement asymptomatique, discret et transitoire du calcium sérique a été observé chez environ 18% des patientes sous alendronate et chez 12% des patientes sous placebo, et une légère diminution passagère du phosphate sérique a été notée chez près de 10% des patientes sous alendronate et chez 3% des patientes sous placebo. Une chute du calcium sérique en dessous de 8,0 mg/dl (2,0 mmol/l) et du phosphate sérique ≤2,0 mg/dl (0,65 mmol/l) a été observée avec la même fréquence dans les deux groupes de traitement.
  • +Au cours des études cliniques, un abaissement asymptomatique, discret et transitoire du calcium sérique a été observé chez environ 18% des patientes sous alendronate 10 mg par jour et chez 12% des patientes sous placebo, et une légère diminution passagère du phosphate sérique a été notée chez près de 10% des patientes sous alendronate 10 mg par jour et chez 3% des patientes sous placebo. Une chute du calcium sérique en dessous de 8,0 mg/dl (2,0 mmol/l) et du phosphate sérique ≤2,0 mg/dl (0,65 mmol/l) a été observée avec la même fréquence dans les deux groupes de traitement.
  • -Il nexiste pas dinformation spécifique concernant le traitement dun surdosage dAlendronat-Teva chez lhomme. Une hypocalcémie, une hypophosphatémie et des effets indésirables gastro-intestinaux de la partie haute tels que: indigestion, aigreurs destomac, oesophagite, gastrite ou ulcère seraient susceptibles de survenir après un surdosage par voie orale. Il y a lieu dadministrer du lait ou des anti-acides, chélateurs de lalendronate. En raison du risque dirritation oesophagienne, il faut éviter de provoquer des vomissements et le patient devrait rester en position verticale.
  • +Il n'existe pas d'information spécifique concernant le traitement d'un surdosage du Alendronat Zentiva chez l'homme. Une hypocalcémie, une hypophosphatémie et des effets indésirables gastro-intestinaux de la partie haute tels que: indigestion, aigreurs d'estomac, oesophagite, gastrite ou ulcère seraient susceptibles de survenir après un surdosage par voie orale. Il y a lieu d'administrer du lait ou des anti-acides, chélateurs de l'alendronate. En raison du risque d'irritation oesophagienne, il faut éviter de provoquer des vomissements et le patient devrait rester en position verticale.
  • -Mécanisme daction
  • -Lalendronate est un aminobiphosphonate pour lequel lexpérimentation animale a montré quil se dépose préférentiellement au niveau des zones de résorption osseuse (principalement sous les ostéoclastes) et quil inhibe la résorption osseuse ostéoclastique sans effet direct sur la formation osseuse. Etant donné que la formation et la résorption sont couplées, la formation osseuse diminue également, mais dans tous les cas moins que la résorption osseuse. Ceci entraîne une augmentation progressive de la masse osseuse. Sous traitement par lalendronate, los formé est de qualité normale et lalendronate est intégré dans la matrice osseuse sous une forme pharmacologiquement inactive.
  • +Mécanisme d'action
  • +L'alendronate est un bisphosphonate pour lequel l'expérimentation animale a montré qu'il se dépose préférentiellement au niveau des zones de résorption osseuse (principalement sous les ostéoclastes) et qu'il inhibe la résorption osseuse ostéoclastique sans effet direct sur la formation osseuse. Etant donné que la formation et la résorption sont couplées, la formation osseuse diminue également, mais dans tous les cas moins que la résorption osseuse. Ceci entraîne une augmentation progressive de la masse osseuse. Sous traitement par l'alendronate, l'os formé est de qualité normale et l'alendronate est intégré dans la matrice osseuse sous une forme pharmacologiquement inactive.
  • -Traitement de lostéoporose chez les femmes en post-ménopause
  • +Traitement de l'ostéoporose chez les femmes en post-ménopause
  • -Lefficacité dune dose journalière de 10 mg d’alendronate chez les femmes ménopausées atteintes dostéoporose a pu être établie par 4 études cliniques portant sur une durée de 2 à 3 ans. Chez les patientes traitées avec 10 mg dalendronate par jour, laugmentation moyenne de la densité osseuse (Bone Mineral density [BMD]) a été de 8,82% au niveau de la colonne lombaire, de 5,90% dans le col fémoral et de 7,81% dans la région trochantérienne après 3 ans, comparativement au placebo (analyse des données cliniques poolées des 2 plus grandes études, de design pratiquement identique, tous les participants à létude dans les deux groupes ont reçu 500 mg de calcium à titre de supplément).
  • -Les augmentations de la masse osseuse ont été, dans chaque étude et pour chacun des sites étudiés, statistiquement significatives tant par rapport aux valeurs initiales que par rapport au groupe de contrôle sous placebo. La masse osseuse du squelette entier a également augmenté de manière significative dans les deux études, de sorte que lon peut admettre que laugmentation de la masse osseuse au niveau de la colonne vertébrale et du fémur proximal ne sest pas produite au détriment dautres sites squelettiques. Une augmentation de la masse osseuse a pu être observée dès le troisième mois, puis tout au long des trois années de traitement. Ainsi, lalendronate inverse le cours de lostéoporose.
  • -Durant lextension de deux ans de ces études, le traitement quotidien par alendronate a donné lieu à une augmentation continue de la densité osseuse dans la colonne lombaire et la région trochantérienne (augmentation absolue supplémentaire entre 3 et 5 ans: colonne lombaire 0,94%, région trochantérienne 0,88%). La densité osseuse au col fémoral, au poignet ainsi que la densité osseuse totale ont pu être maintenues.
  • -Lefficacité de lalendronate était indépendante de lâge, de la race, du taux de remodelage osseux avant traitement, de la fonction rénale (voir également sous «Cinétique pour certains groupes de patients») et de la prise dautres médicaments (voir sous «Interactions»).
  • -Chez les patientes souffrant dostéoporose post-ménopausique, lévolution après larrêt dun traitement dune ou deux années avec lalendronate a été contrôlée. Après larrêt du traitement par alendronate, le taux de remodelage osseux a été retourné graduellement sur le niveau avant traitement et on na observé ni une augmentation supplémentaire de la masse osseuse, ni une destruction accélérée de los. Ces données suggèrent que le traitement journalier par alendronate doit être poursuivi pour obtenir une augmentation progressive de la masse osseuse.
  • -Léquivalence thérapeutique du comprimé hebdomadaire d’alendronate et de lalendronate 10 mg par jour a pu être démontrée lors détudes d’une année chez des femmes souffrant dostéoporose post-ménopausique. La hausse moyenne de la densité osseuse dans la colonne vertébrale lombaire après une année était de 5,1% (4,8; 5,4%; 95% IC) dans le groupe sous le comprimé hebdomadaire et de 5,4% (5,0; 5,8%; 95% IC) dans le groupe sous 10 mg de lalendronate par jour. Les deux groupes de traitement étaient également comparables du point de vue de la hausse de la densité osseuse à dautres sites du squelette. En ce qui concerne le comprimé hebdomadaire, seule linfluence sur la densité osseuse et non leffet sur la fréquence des fractures a été étudié. Ces données corroborent toutefois le résultat attendu, à savoir que le comprimé hebdomadaire dalendronate diminue lincidence des fractures de la même manière que le traitement journalier.
  • +L'efficacité d'une dose journalière de 10 mg de Alendronat Zentiva chez les femmes ménopausées atteintes d'ostéoporose a pu être établie par 4 études cliniques portant sur une durée de 2 à 3 ans. Chez les patientes traitées avec 10 mg de l'alendronate par jour, l'augmentation moyenne de la densité osseuse (Bone Mineral density [BMD]) a été de 8,82% au niveau de la colonne lombaire, de 5,90% dans le col fémoral et de 7,81% dans la région trochantérienne, comparativement au placebo (analyse des données cliniques poolées après 3 ans des 2 plus grandes études, de design pratiquement identique, tous les participants à l'étude dans les deux groupes ont reçu 500 mg de calcium à titre de supplément).
  • +Les augmentations de la masse osseuse ont été, dans chaque étude et pour chacun des sites étudiés, statistiquement significatives tant par rapport aux valeurs initiales que par rapport au groupe de contrôle sous placebo. La masse osseuse du squelette entier a également augmenté de manière significative dans les deux études, de sorte que l'on peut admettre que l'augmentation de la masse osseuse au niveau de la colonne vertébrale et du fémur proximal ne s'est pas produite au détriment d'autres sites squelettiques. Une augmentation de la masse osseuse a pu être observée dès le troisième mois, puis tout au long des trois années de traitement. Ainsi, l'alendronate inverse le cours de l'ostéoporose.
  • +Durant l'extension de deux ans de ces études, le traitement quotidien une fois par jour avec l'alendronate a donné lieu à une augmentation continue de la densité osseuse dans la colonne lombaire et la région trochantérienne (augmentation absolue supplémentaire entre 3 et 5 ans: colonne lombaire 0,94%, région trochantérienne 0,88%). La densité osseuse au col fémoral, au poignet ainsi que la densité osseuse totale ont pu être maintenues.
  • +L'efficacité de l'alendronate était indépendante de l'âge, de la race, du taux de remodelage osseux avant traitement, de la fonction rénale (voir également sous «Cinétique pour certains groupes de patients») et de la prise d'autres médicaments (voir sous «Interactions»).
  • +Chez les patientes souffrant d'ostéoporose post-ménopausique, l'évolution après l'arrêt d'un traitement d'une ou deux années avec l'alendronate a été contrôlée. Après l'arrêt du traitement à l'alendronate, le taux de remodelage osseux a été retourné graduellement sur le niveau avant traitement et on n'a observé ni une augmentation supplémentaire de la masse osseuse, ni une destruction accélérée de l'os. Ces données suggèrent que le traitement journalier à l'alendronate doit être poursuivi pour obtenir une augmentation progressive de la masse osseuse.
  • +L'équivalence thérapeutique du comprimé hebdomadaire du comprimé hebdomadaire et de l'alendronate 10 mg par jour a pu être démontrée lors d'une étude d'une année chez des femmes souffrant d'ostéoporose post-ménopausique. La hausse moyenne de la densité osseuse dans la colonne vertébrale lombaire après une année était de 5,1% (4,8; 5,4%; 95% IC) dans le groupe sous le comprimé hebdomadaire et de 5,4% (5,0; 5,8%; 95% IC) dans le groupe sous 10 mg de l'alendronate par jour. Les deux groupes de traitement étaient également comparables du point de vue de la hausse de la densité osseuse à d'autres sites du squelette. En ce qui concerne le comprimé hebdomadaire, seule l'influence sur la densité osseuse et non l'effet sur la fréquence des fractures a été étudiée. Ces données corroborent toutefois le résultat attendu, à savoir que le comprimé hebdomadaire de l'alendronate diminue l'incidence des fractures de la même manière que le traitement journalier (voir ci-dessous).
  • -L’analyse des données cliniques poolées des deux plus grandes études de 3 ans, incluant des femmes en post-ménopause souffrant d’ostéoporose (N= 881; alendronate: 526; placebo: 355), a montré une diminution statistiquement significative et cliniquement importante de 48% du nombre de patientes ayant présenté une ou plusieurs fractures vertébrales sous alendronte une fois par jour, par rapport au groupe placebo (p= 0,034; 3,2% sous alendronate contre 6,2% sous placebo). L’analyse de toutes les patientes ayant présenté une fracture vertébrale a permis de montrer une perte moindre de la taille corporelle sous alendronate (5,9 mm contre 23,3 mm). Cette différence est due à la diminution tant du nombre que de la sévérité des fractures.
  • -Les résultats obtenus en trois ans durant la Fracture-Intervention-Study (FIT) chez les femmes en post-ménopause souffrant d’ostéoporose et ayant présenté au moins une fracture des vertèbres (par compression) avant le début de l’étude ont montré la réduction de l’incidence des fractures par alendronate. Le traitement par alendronate a montré une réduction statistiquement et cliniquement significative de la proportion de patients avec: une ou plusieurs nouvelles fractures des vertèbres (alendronate 8,0% contre placebo 15,0%; une réduction de 47%); deux ou plus de nouvelles fractures vertébrales (0,5% contre 4,9%; une réduction de 90%); une ou plusieurs fractures vertébrales douloureuses (2,3% contre 5,0%; une réduction de 55%); n’importe quelle fracture clinique (douloureuse) (13,7% contre 18,3%; une réduction de 28%); des fractures de la hanche (1,1% contre 2,2%; une réduction de 51%, p= 0,047) et des fractures du poignet (2,2% contre 4,1%; une réduction de 48%, p= 0,013). L’analyse du pool des 5 études sur le traitement de l’ostéoporose a démontré une réduction des fractures de la hanche et du poignet de proportion similaire.
  • -Durant trois ans, la fréquence des fractures vertébrales (alendronate contre placebo) dans le cadre de l’étude Fracture-Intervention-Study (dans le cadre de laquelle toutes les femmes ont présenté au moins une fracture vertébrale comme critère d’inclusion) était congruente avec les résultats des deux plus grandes études antérieures sur le traitement (voir plus haut), dans le cadre desquelles 20% des femmes présentaient une fracture vertébrale avant le début de l’étude. Globalement, ces résultats consistants montrent l’efficacité de lalendronate pour la réduction de l’incidence des fractures dans la colonne vertébrale, la hanche et le poignet et par conséquent dans les localisations plus fréquentes avec des fractures dues à l’ostéoporose chez les femmes en post-ménopause.
  • -Traitement de lostéoporose chez les hommes
  • -Bien que lostéoporose soit moins fréquente chez les hommes que chez les femmes en post-ménopause, une fraction significative des fractures dues à lostéoporose apparaît chez les hommes. La prévalence des déformations vertébrales paraît être semblable chez les hommes et les femmes. Le traitement de deux ans par alendronate à la dose de 10 mg par jour dhommes atteints dostéoporose a entraîné une réduction de près de 60% de lélimination rénale de N-télopeptides du collagène de type I liés et une réduction de près de 40% de la phosphatase alcaline spécifique aux os. Des réductions similaires ont été observées lors dune étude dune année avec lalendronate 70 mg une fois par semaine chez des hommes.
  • -L’efficacité de lalendronate a été étudiée chez des hommes souffrant dostéoporose dans le cadre de deux études cliniques.
  • -Dans une étude de deux ans, tous les patients (âgés de 31 à 87 ans, moyenne 63 ans) de létude présentaient soit 1) une densité osseuse (BMD) avec un score T de ≤–2 au col fémoral et de ≤–1 à la colonne lombaire, ou 2) la présence dune fracture ostéoporotique et une BMD avec un score T de ≤–1 au col fémoral. 86 hommes présentaient une diminution du taux de testostérone libre au début de létude. Les hommes qui présentaient une affection sévère du tractus gastro-intestinal supérieur (ulcère, etc.) en lespace dune année avant le début de létude avaient été exclus de létude. Les patients des groupes placebo et verum ont reçu 500 mg de calcium et 400 UI de vitamine D par jour. Après 2 ans, les hausses moyennes de la densité osseuse sous 10 mg dalendronate par jour par rapport au placebo étaient les suivantes: colonne lombaire 5,3%; col fémoral 2,6%; trochanter 3,1% et densité osseuse totale 1,6% (tous p ≤0,001). De manière consistante avec les études à plus large envergure menées chez des femmes en post-ménopause, lalendronate à la dose de 10 mg par jour a provoqué une réduction de lincidence de nouvelles fractures vertébrales (évaluées par diagnostic quantitatif aux rayons X) par rapport au placebo (0,8% contre 7,1%, p= 0,017) et par conséquent également une réduction de la diminution de la taille corporelle (–0,6 contre –2,4 mm; p= 0,022).
  • -Lors dune étude dune année (âge entre 38 et 91, moyenne 66 ans), la hausse moyenne de la densité osseuse sous traitement par 70 mg d’alendronate une fois par semaine était significative par rapport au placebo aux sites suivants: colonne lombaire 2,8% (p ≤0,001); col fémoral 1,9% (p= 0,007), trochanter 2,0% (p ≤0,001) et densité osseuse totale 1,2% (p= 0,018). La hausse de la densité osseuse était comparable à celle observée en lespace dune année lors de létude avec 10 mg dalendronate.
  • -Dans les deux études, lefficacité dalendronate était indépendante de lâge, de la race, de la fonction des gonades ou de la valeur initiale de la densité osseuse (fémur et colonne lombaire).
  • +L’analyse des données cliniques poolées des deux grandes études de 3 ans, incluant des femmes en post-ménopause souffrant d’ostéoporose (N= 881; l'alendronate: 526; placebo: 355), a montré une diminution statistiquement significative et cliniquement importante de 48% du nombre de patientes ayant présenté une ou plusieurs fractures vertébrales sous l'alendronate une fois par jour, par rapport au groupe placebo (p= 0,034; 3,2% sous l'alendronate contre 6,2% sous placebo). L’analyse de toutes les patientes ayant présenté une fracture vertébrale a permis de montrer une perte moindre de la taille corporelle sous l'alendronate (5,9 mm contre 23,3 mm),due à une diminution tant du nombre que de la sévérité des fractures.
  • +Les résultats obtenus en trois ans durant la Fracture-Intervention-Study (FIT) chez les femmes en post-ménopause souffrant d’ostéoporose et ayant présenté au moins une fracture des vertèbres (par compression) avant le début de l’étude ont montré on outre la réduction de l’incidence des fractures par l'alendronate. Le traitement à l'alendronate a montré une réduction statistiquement et cliniquement significative de la proportion de patientes avec: une ou plusieurs nouvelles fractures des vertèbres (l'alendronate 7,9% contre placebo 15,0%; une réduction de 47%); deux ou plus de nouvelles fractures vertébrales (0,5% contre 4,9%; une réduction de 90%); une ou plusieurs fractures vertébrales douloureuses (2,3% contre 5,0%; une réduction de 54%); n’importe quelle fracture clinique (c’est-à-dire douloureuse) (13,8% contre 18,1%; une réduction de 26%), des fractures de la hanche (1,1% contre 2,2%; une réduction de 51%, p= 0,047) et des fractures du poignet (2,2% contre 4,1%; une réduction de 48%, p= 0,013). L’analyse des données poolées de 5 autres études de l’ostéoporose a démontré une réduction des fractures de la hanche et du poignet de proportion similaire.
  • +Durant trois ans, la réduction de la fréquence des fractures vertébrales (l'alendronate contre placebo) dans la Vertebral-Fracture-Study de FIT (dans le cadre de laquelle toutes les femmes ont présenté au moins une fracture vertébrale comme critère d’inclusion) était congruente avec les résultats des deux grandes études antérieures (voir plus haut), dans le cadre desquelles 20% des femmes présentaient une fracture vertébrale avant le début de l’étude.
  • +Globalement, ces résultats consistants montrent l’efficacité de l'alendronate pour la réduction de l’incidence des fractures ostéoporotiques au niveau de la colonne vertébrale, de la hanche et du poignet et par conséquent dans les localisations plus fréquentes avec des fractures ostéoporotiques chez les femmes en post-ménopause.
  • +Traitement de l'ostéoporose chez les hommes
  • +Bien que l'ostéoporose soit moins fréquente chez les hommes que chez les femmes en post-ménopause, une fraction significative des fractures dues à l'ostéoporose apparaît chez les hommes. La prévalence des déformations vertébrales paraît être semblable chez les hommes et les femmes. Le traitement de deux ans au alendronate à la dose de 10 mg par jour d'hommes atteints d'ostéoporose a entraîné une réduction de près de 60% de l'élimination rénale de Ntélopeptides du collagène de type I liés et une réduction de près de 40% de la phosphatase alcaline spécifique aux os. Des réductions similaires ont été observées lors d'une étude d'une année avec l'alendronate 70 mg une fois par semaine chez des hommes atteints d'ostéoporose.
  • +L'efficacité de l'alendronate une fois par jour a été étudiée chez des hommes souffrant d'ostéoporose dans le cadre de deux études cliniques.
  • +Dans une étude de deux ans, tous les patients (âgés de 31 à 87 ans, moyenne 63 ans) de l'étude présentaient soit 1) une densité osseuse (BMD) avec un score T de ≤–2 au col fémoral et de ≤–1 à la colonne lombaire, ou 2) la présence d'une fracture ostéoporotique et une BMD avec un score T de ≤–1 au col fémoral. 86 hommes présentaient une diminution du taux de testostérone libre au début de l'étude. Les hommes qui présentaient une affection sévère du tractus gastro-intestinal supérieur (ulcère, etc.) en l'espace d'une année avant le début de l'étude avaient été exclus de l'étude. Les patients des groupes placebo et verum ont reçu 500 mg de calcium et 400 UI de vitamine D par jour. Après 2 ans, les hausses moyennes de la densité osseuse sous 10 mg de l'alendronate par jour par rapport au placebo étaient les suivantes: colonne lombaire 5,3%; col fémoral 2,6%; trochanter 3,1% et densité osseuse totale 1,6% (tous p ≤0,001). De manière consistante avec les études à plus large envergure menées chez des femmes en post-ménopause, l'alendronate à la dose de 10 mg par jour a provoqué chez ces hommes une réduction de l'incidence de nouvelles fractures vertébrales (évaluées par diagnostic quantitatif aux rayons X) par rapport au placebo (0,8% contre 7,1%, p= 0,017) et par conséquent également une réduction de la diminution de la taille corporelle (–0,6 contre –2,4 mm; p= 0,022).
  • +Lors d'une étude d'une année (âge entre 38 et 91, moyenne 66 ans), la hausse moyenne de la densité osseuse sous traitement à l'alendronate 70 mg une fois par semaine était significative par rapport au placebo aux sites suivants: colonne lombaire 2,8% (p ≤0,001); col fémoral 1,9% (p= 0,007), trochanter 2,0% (p ≤0,001) et densité osseuse totale 1,2% (p= 0,018). La hausse de la densité osseuse était comparable à celle observée en l'espace d'une année lors de l'étude avec 10 mg de l'alendronate.
  • +Dans les deux études, l'efficacité de l'alendronate était indépendante de l'âge, de la fonction des gonades ou de la valeur initiale de la densité osseuse (fémur et colonne lombaire).
  • -Comparativement à une dose de référence administrée par voie intraveineuse, la biodisponibilité moyenne de lalendronate après prise orale chez les femmes était de 0,64% pour des doses de 5 à 70 mg administrées après une nuit de jeûne et 2 heures avant un petit-déjeuner standard. Chez les hommes, la biodisponibilité orale était semblable (0,6%) à celle des femmes. Lorsque lalendronate était administré ½ ou 1 heure avant un petit-déjeuner standard, la biodisponibilité était réduite dans les deux groupes denviron 40%. Les deux études contrôlées les plus importantes chez les femmes souffrant dostéoporose post-ménopausique ont montré que 10 mg dalendronate par jour, administrés 1 heure avant le premier repas ou la première boisson, sont efficaces. Dans le cadre des études sur lostéoporose, lalendronate était efficace lors dune prise 30 minutes au moins avant la première prise de nourriture.
  • -La biodisponibilité sest en revanche réduite à des valeurs négligeables lorsque lalendronate était administré simultanément ou jusquà 2 heures après un petit-déjeuner standard. La prise simultanée dalendronate avec du café ou du jus dorange en a diminué la biodisponibilité denviron 60%.
  • -Chez des volontaires sains, ladministration par voie orale de prednisone (trois fois par jour 20 mg durant 5 jours) navait pas apporté de modification essentielle à la biodisponibilité de lalendronate (hausse moyenne située entre 20 et 44%).
  • +Comparativement à une dose de référence administrée par voie intraveineuse, la biodisponibilité moyenne de l'alendronate après prise orale chez les femmes était de 0,64% pour des doses de 5 à 70 mg administrées après une nuit de jeûne et 2 heures avant un petit-déjeuner standard. Chez les hommes, la biodisponibilité orale était semblable (0,6%) à celle des femmes. Lorsque l'alendronate était administré ½ ou 1 heure avant un petit-déjeuner standard, la biodisponibilité était réduite dans les deux groupes d'environ 40%. Les deux études contrôlées les plus importantes chez les femmes souffrant d'ostéoporose post-ménopausique ont montré que 10 mg de l'alendronate par jour, administrés 1 heure avant le premier repas ou la première boisson, sont efficaces. Dans le cadre des études sur l'ostéoporose, l'alendronate était efficace lors d'une prise 30 minutes au moins avant le premier repas ou la première boisson.
  • +La biodisponibilité s'est en revanche réduite à des valeurs négligeables lorsque l'alendronate était administré simultanément ou jusqu'à 2 heures après un petit-déjeuner standard. La prise simultanée d'alendronate avec du café ou du jus d'orange en a diminué la biodisponibilité d'environ 60%.
  • +Chez des volontaires sains, l'administration par voie orale de prednisone (trois fois par jour 20 mg durant 5 jours) n'avait pas apporté de modification essentielle à la biodisponibilité de l'alendronate (hausse moyenne située entre 20 et 44%).
  • -Des études précliniques montrent quaprès administration, lalendronate se distribue transitoirement dans les tissus mous et quil se dépose ensuite rapidement sur los ou est éliminé dans lurine. Le volume de distribution moyen à létat stationnaire, en dehors de los, est chez lhomme, dau moins 28 litres. Après prise orale à doses thérapeutiques, la concentration du principe actif dans le plasma est trop basse pour pouvoir être mesurée (inférieure à 5 ng/ml). Dans le plasma humain, lalendronate est lié aux protéines à hauteur de 78% environ.
  • +Des études précliniques montrent qu'après administration, l'alendronate se distribue transitoirement dans les tissus mous et qu'il se dépose ensuite rapidement sur l'os ou est éliminé dans l'urine. Le volume de distribution moyen à l'état stationnaire, en dehors de l'os, est chez l'homme, d'au moins 28 litres. Après prise orale à doses thérapeutiques, la concentration du principe actif dans le plasma est trop basse pour pouvoir être mesurée (inférieure à 5 ng/ml). Dans le plasma humain, l'alendronate est lié aux protéines à hauteur de 78% environ.
  • -Il nexiste pas délément permettant de supposer que lalendronate est métabolisé chez lhomme ou chez lanimal.
  • +Il n'existe pas d'élément permettant de supposer que l'alendronate est métabolisé chez l'homme ou chez l'animal.
  • -Après administration intraveineuse dune dose unique dalendronate marqué au 14 C, environ 50% de la radioactivité a été éliminée dans lurine en lespace de 72 heures; on na pratiquement retrouvé aucune radioactivité dans les selles. Après administration intraveineuse dune dose unique de 10 mg, la clearance rénale de lalendronate était de 71 ml/min. La concentration plasmatique a chuté de plus de 95% en lespace de 6 heures après injection i.v. La durée de demi-vie terminale chez lhomme, qui reflète la libération de la substance par le squelette, est estimée à plus de 10 ans et est dépendante du taux de remodelage osseux. Chez le rat, lalendronate est éliminé par voie rénale sans intervention dun système de transport acide ni basique, de sorte que chez lhomme il ny a pas lieu dattendre une influence sur lélimination dautres médicaments par ces systèmes.
  • +Après administration intraveineuse d'une dose unique d'alendronate marqué au 14C, environ 50% de la radioactivité a été éliminée dans l'urine en l'espace de 72 heures; on n'a pratiquement retrouvé aucune radioactivité dans les selles. Après administration intraveineuse d'une dose unique de 10 mg, la clearance rénale de l'alendronate était de 71 ml/min. La concentration plasmatique a chuté de plus de 95% en l'espace de 6 heures après injection i.v. La durée de demi-vie terminale chez l'homme, qui reflète la libération d'alendronate par le squelette, est estimée à plus de 10 ans et est dépendante du taux de remodelage osseux. Chez le rat, l'alendronate est éliminé par voie rénale sans intervention d'un système de transport acide ni basique, de sorte que chez l'homme il n'y a pas lieu d'attendre une influence sur l'élimination d'autres médicaments par ces systèmes.
  • -Des études précliniques montrent que lalendronate qui na pas été intégré dans los est rapidement éliminé dans lurine. Lexpérimentation animale menée avec des doses cumulatives chroniques par voie i.v. jusquà 35 mg/kg na pas montré de signes suggérant une saturation de la captation au niveau de los. Bien quil nexiste pas de résultats cliniques allant dans ce sens, on peut cependant en déduire que tout comme dans lexpérimentation animale, lélimination de lalendronate est diminuée en cas de fonction rénale altérée. Pour cette raison, on pourrait sattendre à une augmentation de la quantité dalendronate intégrée dans le squelette chez les patients présentant une insuffisance rénale (voir sous «Posologie/Mode demploi» et «Contre-indications»).
  • -Insuffisance hépatique: Aucune étude na été conduite. Etant donné que lalendronate nest pas métabolisé ni éliminé par voie biliaire, il ny a vraisemblablement pas lieu de sattendre à des effets indésirables.
  • +Des études précliniques montrent que l'alendronate qui n'a pas été intégré dans l'os est rapidement éliminé dans l'urine. L'expérimentation animale menée avec des doses cumulatives chroniques par voie i.v. jusqu'à 35 mg/kg n'a pas montré de signes suggérant une saturation de la captation au niveau de l'os. Bien qu'il n'existe pas de résultats cliniques allant dans ce sens, on peut cependant en déduire que tout comme dans l'expérimentation animale, l'élimination de l'alendronate est diminuée en cas de fonction rénale altérée. Pour cette raison, on pourrait s'attendre à une augmentation de la quantité d'alendronate intégrée dans le squelette chez les patients présentant une insuffisance rénale (voir sous «Posologie/Mode d'emploi» et «Contre-indications»).
  • +Insuffisance hépatique: Aucune étude n'a été conduite. Etant donné que l'alendronate n'est pas métabolisé ni éliminé par voie biliaire, il n'y a vraisemblablement pas lieu de s'attendre à des effets indésirables.
  • -Les données précliniques issues détudes conventionnelles sur la pharmacologie de la sécurité, sur la toxicité chronique, sur la génotoxicité et sur le potentiel cancérigène ne fournissent aucun élément laissant supposer quil existe un danger particulier pour lêtre humain. Des études réalisées chez des rats ont montré que ladministration de lalendronate à des rates en gestation est accompagnée de lapparition de dystocie chez les rates mères, cette dystocie ayant été attribuée à une hypocalcémie. Au cours détudes, des doses élevées chez des rates ont entraîné une augmentation du nombre dossifications incomplètes chez les foetus. La signification de cette observation pour lêtre humain nest pas connue.
  • -Au cours détudes de reproduction avec lalendronate chez des animaux, aucun effet secondaire na été observé chez des rates avec des doses pouvant aller jusquà 25 mg/kg/jour et chez des lapins avec des doses pouvant aller jusquà 35 mg/kg/jour.
  • +Les données précliniques issues d'études conventionnelles sur la pharmacologie de la sécurité, sur la toxicité chronique, sur la génotoxicité et sur le potentiel cancérigène ne fournissent aucun élément laissant supposer qu'il existe un danger particulier pour l'être humain. Des études réalisées chez des rats ont montré que l'administration de l'alendronate à des rates en gestation est accompagnée de l'apparition de dystocie chez les rates mères durant l'accouchement, cette dystocie ayant été attribuée à une hypocalcémie. Au cours d'études, des doses élevées chez des rates ont entraîné une augmentation du nombre d'ossifications incomplètes chez les foetus. La signification de cette observation pour l'être humain n'est pas connue.
  • +Au cours d'études de toxicité au stade du développement avec l'alendronate chez des animaux, aucun effet secondaire n'a été observé chez des rates avec des doses pouvant aller jusqu'à 25 mg/kg/jour et chez des lapins avec des doses pouvant aller jusqu'à 35 mg/kg/jour.
  • -Alendronat-Teva ne peut être utilisé au-delà de la date imprimée à côté de la mention «Exp» sur lemballage.
  • +Alendronat Zentiva ne peuvent être utilisé au-delà de la date imprimée à côté de la mention «Exp» sur l'emballage.
  • -Conserver Alendronat-Teva comprimés hebdomadaires à température ambiante (15–25 °C).
  • +Conserver à température ambiante (15-25°C) et hors de portée des enfants.
  • -Présentations
  • - Quantité CHF SM Catégories de remb.
  • -ALENDRONAT Teva cpr hebdomadaires 70 mg (hc 10/12) 4 pce (hc 10/12) 33.60 B LS G
  • -12 pce (hc 10/12) 68.05 B LS G
  • -
  • +Présentation
  • +Alendronat Zentiva cpr 70 mg 4 (B)
  • +Alendronat Zentiva cpr 70 mg 12 (B)
  • -Teva Pharma AG, 4052 Basel.
  • +Helvpeharm AG, Frauenfeld
  • -Juillet 2010.
  • +Mars 2016.
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