8 Changements de l'information professionelle Alendronat Zentiva |
-Grossesse/Allaitement
- +Grossesse, allaitement
-L’analyse des données cliniques poolées des deux grandes études de 3 ans, incluant des femmes en post-ménopause souffrant d’ostéoporose (N= 881; l'alendronate: 526; placebo: 355), a montré une diminution statistiquement significative et cliniquement importante de 48% du nombre de patientes ayant présenté une ou plusieurs fractures vertébrales sous l'alendronate une fois par jour, par rapport au groupe placebo (p= 0,034; 3,2% sous l'alendronate contre 6,2% sous placebo). L’analyse de toutes les patientes ayant présenté une fracture vertébrale a permis de montrer une perte moindre de la taille corporelle sous l'alendronate (5,9 mm contre 23,3 mm),due à une diminution tant du nombre que de la sévérité des fractures.
-Les résultats obtenus en trois ans durant la Fracture-Intervention-Study (FIT) chez les femmes en post-ménopause souffrant d’ostéoporose et ayant présenté au moins une fracture des vertèbres (par compression) avant le début de l’étude ont montré on outre la réduction de l’incidence des fractures par l'alendronate. Le traitement à l'alendronate a montré une réduction statistiquement et cliniquement significative de la proportion de patientes avec: une ou plusieurs nouvelles fractures des vertèbres (l'alendronate 7,9% contre placebo 15,0%; une réduction de 47%); deux ou plus de nouvelles fractures vertébrales (0,5% contre 4,9%; une réduction de 90%); une ou plusieurs fractures vertébrales douloureuses (2,3% contre 5,0%; une réduction de 54%); n’importe quelle fracture clinique (c’est-à-dire douloureuse) (13,8% contre 18,1%; une réduction de 26%), des fractures de la hanche (1,1% contre 2,2%; une réduction de 51%, p= 0,047) et des fractures du poignet (2,2% contre 4,1%; une réduction de 48%, p= 0,013). L’analyse des données poolées de 5 autres études de l’ostéoporose a démontré une réduction des fractures de la hanche et du poignet de proportion similaire.
-Durant trois ans, la réduction de la fréquence des fractures vertébrales (l'alendronate contre placebo) dans la Vertebral-Fracture-Study de FIT (dans le cadre de laquelle toutes les femmes ont présenté au moins une fracture vertébrale comme critère d’inclusion) était congruente avec les résultats des deux grandes études antérieures (voir plus haut), dans le cadre desquelles 20% des femmes présentaient une fracture vertébrale avant le début de l’étude.
-Globalement, ces résultats consistants montrent l’efficacité de l'alendronate pour la réduction de l’incidence des fractures ostéoporotiques au niveau de la colonne vertébrale, de la hanche et du poignet et par conséquent dans les localisations plus fréquentes avec des fractures ostéoporotiques chez les femmes en post-ménopause.
- +L'analyse des données cliniques poolées des deux grandes études de 3 ans, incluant des femmes en post-ménopause souffrant d'ostéoporose (N= 881; l'alendronate: 526; placebo: 355), a montré une diminution statistiquement significative et cliniquement importante de 48% du nombre de patientes ayant présenté une ou plusieurs fractures vertébrales sous l'alendronate une fois par jour, par rapport au groupe placebo (p= 0,034; 3,2% sous l'alendronate contre 6,2% sous placebo). L'analyse de toutes les patientes ayant présenté une fracture vertébrale a permis de montrer une perte moindre de la taille corporelle sous l'alendronate (5,9 mm contre 23,3 mm),due à une diminution tant du nombre que de la sévérité des fractures.
- +Les résultats obtenus en trois ans durant la Fracture-Intervention-Study (FIT) chez les femmes en post-ménopause souffrant d'ostéoporose et ayant présenté au moins une fracture des vertèbres (par compression) avant le début de l'étude ont montré on outre la réduction de l'incidence des fractures par l'alendronate. Le traitement à l'alendronate a montré une réduction statistiquement et cliniquement significative de la proportion de patientes avec: une ou plusieurs nouvelles fractures des vertèbres (l'alendronate 7,9% contre placebo 15,0%; une réduction de 47%); deux ou plus de nouvelles fractures vertébrales (0,5% contre 4,9%; une réduction de 90%); une ou plusieurs fractures vertébrales douloureuses (2,3% contre 5,0%; une réduction de 54%); n'importe quelle fracture clinique (c'est-à-dire douloureuse) (13,8% contre 18,1%; une réduction de 26%), des fractures de la hanche (1,1% contre 2,2%; une réduction de 51%, p= 0,047) et des fractures du poignet (2,2% contre 4,1%; une réduction de 48%, p= 0,013). L'analyse des données poolées de 5 autres études de l'ostéoporose a démontré une réduction des fractures de la hanche et du poignet de proportion similaire.
- +Durant trois ans, la réduction de la fréquence des fractures vertébrales (l'alendronate contre placebo) dans la Vertebral-Fracture-Study de FIT (dans le cadre de laquelle toutes les femmes ont présenté au moins une fracture vertébrale comme critère d'inclusion) était congruente avec les résultats des deux grandes études antérieures (voir plus haut), dans le cadre desquelles 20% des femmes présentaient une fracture vertébrale avant le début de l'étude.
- +Globalement, ces résultats consistants montrent l'efficacité de l'alendronate pour la réduction de l'incidence des fractures ostéoporotiques au niveau de la colonne vertébrale, de la hanche et du poignet et par conséquent dans les localisations plus fréquentes avec des fractures ostéoporotiques chez les femmes en post-ménopause.
-Bien que l'ostéoporose soit moins fréquente chez les hommes que chez les femmes en post-ménopause, une fraction significative des fractures dues à l'ostéoporose apparaît chez les hommes. La prévalence des déformations vertébrales paraît être semblable chez les hommes et les femmes. Le traitement de deux ans au alendronate à la dose de 10 mg par jour d'hommes atteints d'ostéoporose a entraîné une réduction de près de 60% de l'élimination rénale de Ntélopeptides du collagène de type I liés et une réduction de près de 40% de la phosphatase alcaline spécifique aux os. Des réductions similaires ont été observées lors d'une étude d'une année avec l'alendronate 70 mg une fois par semaine chez des hommes atteints d'ostéoporose.
- +Bien que l'ostéoporose soit moins fréquente chez les hommes que chez les femmes en post-ménopause, une fraction significative des fractures dues à l'ostéoporose apparaît chez les hommes. La prévalence des déformations vertébrales paraît être semblable chez les hommes et les femmes. Le traitement de deux ans au alendronate à la dose de 10 mg par jour d'hommes atteints d'ostéoporose a entraîné une réduction de près de 60% de l'élimination rénale de N-télopeptides du collagène de type I liés et une réduction de près de 40% de la phosphatase alcaline spécifique aux os. Des réductions similaires ont été observées lors d'une étude d'une année avec l'alendronate 70 mg une fois par semaine chez des hommes atteints d'ostéoporose.
-Helvpeharm AG, Frauenfeld
- +Helvepharm AG, Frauenfeld
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