138 Changements de l'information professionelle Clindamycin Sandoz 150 |
-Clindamycinum ut clindamycini-2-phosphas (solution pour injection), clindamycinum ut clindamycini hydrochloridum (capsules).
- +Clindamycinum ut clindamycini-2-phosphas (solution pour injection), clindamycinum ut clindamycini hydrochloridum (gélules).
-Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m. solution à diluer pour injectabile i.v. / Solution injectabile i.m.
-Alcohol benzylicus (38 mg), Dinatrii edetas , Natrii hydroxidum, aqua ad iniectabilia q.s. ad solutionem pro 4 ml. Corresp. natrium 34 mg.
- +Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m. solution à diluer pour injection i.v. / Solution injectable i.m.
- +Alcohol benzylicus (38 mg), Dinatrii edetas, Natrii hydroxidum, aqua ad iniectabilia q.s. ad solutionem pro 4 ml. Corresp. natrium 34 mg.
-Clindamycine Sandoz capsules
-Maydis amylum pregelificatum, Talcum, Magnesii stearas, Lactosum monohydricum (79 mg (150 mg capsule); 148 mg (300 mg capsule)), Gelatina, Titanii dioxidum (E171), Ferri oxidum flavum, rubrum, et nigrum (E172).
- +Clindamycine Sandoz gélules
- +Maydis amylum pregelificatum, Talcum, Magnesii stearas, Lactosum monohydricum (79 mg (150 mg gélule); 148 mg (300 mg gélule)), Gelatina, Titanii dioxidum (E171), Ferri oxidum flavum, rubrum, et nigrum (E172).
-Traitement d'infections causées par des bactéries anaérobies et aérobies Gram positifs sensibles à la clindamycine, notamment des espèces de bactéroïdes, streptocoques microaérophiles, staphylocoques et pneumocoques, telles que:
-·Infections du tractus respiratoire supérieur comme amygdalite, pharyngite, sinusite, otite moyenne et scarlatine.
-·Infections du tractus respiratoire inférieur comme bronchite, pneumonie, empyème et abcès pulmonaires.
-·Infections de la peau et des parties molles comme acné, furoncle, cellulite, impétigo, abcès et infections de plaies. De par leur nature, les infections spécifiques de la peau et des parties molles telles qu'érysipèle et paronychie (panaris) devraient normalement bien répondre à un traitement par clindamycine.
-·Infections osseuses ou articulaires comme ostéomyélite et arthrite septique.
-·En association à un antibiotique d'un spectre antibactérien aérobie Gram négatif: Infections du bassin et du tractus génital féminins comme endométrite, paramétrite, salpingite, abcès tubo-ovariens (Pelvic Inflammatory Disease PID) et infections vaginales post-opératoires.
-·Infections intra-abdominales comme péritonite et abcès abdominaux lors de l'application concomitante d'un antibiotique doté d'un spectre antibactérien approprié aérobie Gram négatif.
-·Septicémie et endocardite. L'efficacité de la clindamycine dans le traitement de cas sélectionnés d'endocardite a été démontrée lorsque la clindamycine avait un effet bactéricide envers l'agent pathogène dans les tests in vitro reproduisant des concentrations sériques atteintes adéquates.
-·Infections dentaires comme abcès paradontal et périodontite.
-·Encéphalite toxoplasmique chez les sidéens. Un traitement aigu par la clindamycine en association à la pyriméthamine peut être administré aux patients ne tolérant pas un traitement conventionnel. Seules de faibles expériences issues d'études cliniques sont à disposition.
-·Pneumonie à Pneumocystis jirovecii chez les sidéens. La clindamycine en association à la primaquine peut être administrée lors de réactions d'intolérance à un traitement conventionnel. Seules de faibles expériences issues d'études cliniques sont à disposition.
-Comme pour tous les antibiotiques, l'exécution de tests de sensibilité in vitro est recommandée.
- +Traitement d'infections causées par des bactéries anaérobies et aérobies Gram positif sensibles à la clindamycine, notamment des espèces de bactéroïdes, streptocoques microaérophiles, staphylocoques et pneumocoques, telles que:
- +·Infections du tractus respiratoire supérieur telles qu'amygdalite, pharyngite, sinusite, otite moyenne et scarlatine.
- +·Infections du tractus respiratoire inférieur telles que bronchite, pneumonie, empyème et abcès pulmonaire.
- +·Infections de la peau et des tissus mous telles qu'acné, furoncle, cellulite, impétigo, abcès et infections de plaies. De par leur nature, les infections spécifiques de la peau et des tissus mous telles que l'érysipèle et périonyxis (panaritium) devraient bien répondre à un traitement par clindamycine.
- +·Infections osseuses et articulaires telles qu'ostéomyélite et arthrite septique.
- +·En association avec un antibiotique d'un spectre antibactérien aérobie Gram négatif: infections du bassin et du tractus génital féminins telles qu'endométrite, paramétrite, salpingite, abcès tubo-ovariens (Pelvic Inflammatory Disease, PID) et infections vaginales post-opératoires.
- +·Infections intra-abdominales telles que péritonite et abcès abdominal lors de l'administration concomitante d'un antibiotique doté d'un spectre antibactérien approprié aérobie Gram négatif.
- +·Septicémie et endocardite. L'efficacité de la clindamycine dans le traitement de cas sélectionnés d'endocardite a été documentée lorsque la clindamycine avait un effet bactéricide envers l'agent pathogène dans les tests in vitro reproduisant des concentrations sériques atteintes adéquates.
- +·Infections dentaires telles qu'abcès paradontal et périodontite.
- +·Encéphalite toxoplasmique chez les patients sidéens. Un traitement aigu par la clindamycine en association avec la pyriméthamine peut être administré aux patients ne tolérant pas un traitement conventionnel. Seules des expériences limitées issues d'études cliniques sont à disposition.
- +·Pneumonie à Pneumocystis jirovecii chez les patients sidéens. La clindamycine en association avec la primaquine peut être administrée lors de réactions d'intolérance à un traitement conventionnel. Seules des expériences limitées issues d'études cliniques sont à disposition.
- +Comme pour tous les antibiotiques, la réalisation de tests de sensibilité in vitro est recommandée.
-Le dosage et le mode d'application doivent être choisis en fonction de la gravité de l'infection, de l'état du patient et de la sensibilité de l'agent pathogène.
-Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m. peut être utilisé chez les enfants à partir de l'âge d'un mois.
-Application parentérale
-Clindamycine [phosphate] Sandoz (solution pour injection): (application i.m. ou i.v.)
-Degré de l'infection Adultes (mg/jour) Enfants (mg/kg/jour) Doses par jour
-sévère: 1200–1800 20 2–4
- +La posologie et le mode d'administration doivent être définis en fonction de la gravité de l'infection, de l'état du patient et de la sensibilité de l'agent pathogène.
- +Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m. peut être utilisé chez les enfants à partir de l'âge de 1 mois.
- +Posologie usuelle
- +Administration parentérale
- +Clindamycine [phosphate] Sandoz solution pour injection: (application i.m. ou i.v.)
- +Degré de l'infection Adultes (mg/jour) Enfants (mg/kg/jour) Doses journalières
- +sévère 1200–1800 20 2–4
-Le dosage peut être augmenté en cas d'infections graves ou mettant le pronostic vital en danger, notamment lorsqu'il s'agit d'infections pour lesquelles Bacteroides fragilis, Peptococcus spp. ou une souche de Clostridium autre que le Clostridium perfringens ont été mis en évidence, ou encore si une participation de ces organismes est soupçonnée. Chez l'adulte, des doses intraveineuses allant jusqu'à 4800 mg par jour ont été administrées.
-La substance peut être administrée en alternance sous forme d'une perfusion brève unique de 10 min ou plus administrant la première dose, suivie d'une perfusion intraveineuse continue, selon le schéma suivant:
- +Le dosage peut être augmenté en cas d'infections graves ou mettant le pronostic vital en danger, notamment lorsqu'il s'agit d'infections pour lesquelles un Bacteroides fragilis, une souche de Peptococcus ou une souche de Clostridium autre que le Clostridium perfringens ont été mis en évidence, ou encore si une participation de ces organismes est soupçonnée. Chez l'adulte, des doses intraveineuses allant jusqu'à 4800 mg par jour ont été administrées.
- +De manière alternative, la substance peut être administrée sous forme d'une perfusion brève unique de 10 min ou plus pour la première dose, suivie d'une perfusion intraveineuse continue, selon le schéma suivant:
-supérieur à 4 µg/ml 10 mg/min sur 30 min 0,75 mg/min
-supérieur à 5 µg/ml 15 mg/min sur 30 min 1,00 mg/min
-supérieur à 6 µg/ml 20 mg/min sur 30 min 1,25 mg/min
- +supérieur à 4 µg/ml 10 mg/min pendant 30 min 0,75 mg/min
- +supérieur à 5 µg/ml 15 mg/min pendant 30 min 1,00 mg/min
- +supérieur à 6 µg/ml 20 mg/min pendant 30 min 1,25 mg/min
-En cas d'administration intraveineuse (i.v.), le phosphate de clindamycine doit être utilisé sous forme diluée (voir «Mises en garde et précautions»). La concentration de clindamycine dans la solution de perfusion ne devrait pas dépasser 12 mg par ml. La vitesse de perfusion ne devrait pas excéder 30 mg par min. Les vitesses de perfusion suivantes sont habituelles:
-Dose Soluté de perfusion Durée
- +En cas d'administration intraveineuse (i.v.), le phosphate de clindamycine doit être utilisé sous forme diluée (voir «Mises en garde et précautions»). La concentration de clindamycine dans la solution pour perfusion ne doit pas dépasser 12 mg par ml et la vitesse de perfusion ne doit pas excéder 30 mg par min. Les vitesses de perfusion suivantes sont habituelles:
- +Dose Solution pour perfusion Durée
-L'application de plus de 1200 mg en une perfusion unique d'une heure n'est pas recommandée.
- +L'administration de plus de 1200 mg en une perfusion unique d'une heure n'est pas recommandée.
-L'injection en intramusculaire de dose unique supérieure à 600 mg n'est pas recommandée.
- +L'injection intramusculaire d'une dose unique supérieure à 600 mg n'est pas recommandée.
-Application orale
-Clindamycine Sandoz capsules ne convient pas aux enfants qui ne sont pas encore en mesure d'avaler les capsules entières. Les capsules ne permettant pas d'administrer une dose calculée avec précision en mg/kg, il est nécessaire dans certains cas d'utiliser la clindamycine sous une autre forme galénique.
-La prise des capsules et de la solution buvable peut se faire indépendamment des repas.
-Prendre les capsules avec un verre d'eau pour éviter l'apparition d'une œsophagite.
-Degré de l'infection Adultes (mg/jour) Enfants (mg/kg/jour) Répartie en doses équivalentes par jour
-Moyen 600–1200 8–12 3 ou 4
-Sévère 600–1200 13–16 3 ou 4
-Très sévère 1200–1800 17–25 3 ou 4
- +Administration orale
- +Clindamycine Sandoz gélules ne convient pas aux enfants qui ne sont pas encore en mesure d'avaler les gélules entières. Les gélules ne permettant pas d'administrer une dose calculée avec précision en mg/kg, il est nécessaire dans certains cas d'utiliser la clindamycine sous une autre forme galénique.
- +La prise des gélules et de la solution buvable peuvent être prises indépendamment des repas.
- +Prendre les gélules avec un verre d'eau pour éviter l'apparition d'une œsophagite.
- +Degré de l'infection Adultes (mg/jour) Enfants (mg/kg/jour) Répartition en doses journalières équivalentes
- +moyen 600–1200 8–12 3 ou 4
- +sévère 600–1200 13–16 3 ou 4
- +très sévère 1200–1800 17–25 3 ou 4
-En cas d'hypersensibilité à la pénicilline et aux antibiotiques bêta-lactames (hypersensibilité de type I), il faut envisager d'utiliser Clindamycine Sandoz comme traitement de remplacement chez les enfants et les adultes présentant une pharyngite à streptocoques confirmée ou suspectée. Dans ce cas, la posologie est d'une capsule de Clindamycine Sandoz 300 mg deux fois par jour pendant 10 jours. Le traitement devrait être poursuivi pendant au moins 10 jours en cas d'infection due aux streptocoques bêta-hémolytiques.
- +En cas d'hypersensibilité à la pénicilline et aux antibiotiques bêta-lactames (hypersensibilité de type I), il faut envisager d'utiliser Clindamycine Sandoz comme traitement de remplacement chez les enfants et les adultes présentant une pharyngite à streptocoques confirmée ou suspectée. Dans ce cas, la posologie est d'une gélulede Clindamycine Sandoz 300 mg 2x par jour pendant 10 jours. Le traitement doit être poursuivi pendant au moins 10 jours en cas d'infection due aux streptocoques bêta-hémolytiques.
-Sa forme galénique rend Clindamycine Sandoz capsules inadéquate pour le traitement des enfants.
- +Sa forme galénique rend Clindamycine Sandoz gélules inadéquate pour le traitement des enfants.
-·Infections gynécologiques (Pelvic Inflammatory Disease, PID):
-Clindamycine [phosphate] Sandoz 900 mg en i.v. toutes les 8 h, associé à un antibiotique administré en i.v. et doté d'un spectre antibactérien aérobie Gram négatif, par ex. gentamycine 2,0 mg/kg suivi de 1,5 mg/kg toutes les 8 h. Au bout d'au moins 4 jours, et au plus tôt 48 h après l'apparition d'une amélioration, continuer le traitement par voie orale par Clindamycine Sandoz 450 mg toutes les 6 h, pour un traitement total de 10 à 14 jours.
-·Pneumonie à Pneumocystis jirovecii chez les sidéens:
-Association de la clindamycine à la primaquine: Clindamycine [phosphate] Sandoz 600 à 900 mg en i.v. toutes les 6 h ou 900 mg en i.v. toutes les 8 h, ou Clindamycine Sandoz capsules 300 à 450 mg oralement toutes les 6 h pendant 21 jours.
-Primaquine: 15 à 30 mg oralement une fois par jour pendant 21 jours.
-·Encéphalite toxoplasmique chez les sidéens:
-Association de la clindamycine à la pyriméthamine: Clindamycine 600 à 1200 mg 4 fois par jour par voie orale (ou en i.v.) pendant 2 semaines, suivie de 300 à 600 mg 4 fois par jour.
-Pyriméthamine: 25 à 75 mg 1 fois par jour. Lors d'un dosage supérieur de pyriméthamine, l'administration de 10 à 20 mg d'acide folique par jour devrait être instaurée. La durée du traitement devrait être de 8 à 10 semaines au total.
-Instructions spéciales pour le dosage
-Enfants de moins d'un mois
-On ne dispose pas de données suffisantes concernant les nourrissons de moins d'un mois. L'utilisation de la clindamycine dans ce groupe d'âge n'est donc pas recommandée.
- +·Infections gynécologiques (Pelvic Inflammatory Disease, PID): Clindamycine [phosphate] Sandoz 900 mg en i.v. toutes les 8 h, associé à un antibiotique administré en i.v. et doté d'un spectre antibactérien aérobie Gram négatif, par ex. gentamycine 2,0 mg/kg suivi de 1,5 mg/kg toutes les 8 h. Après au moins 4 jours, et au plus tôt 48 h après l'apparition d'une amélioration, continuer le traitement par voie orale par Clindamycine Sandoz 450 mg toutes les 6 h, pour une durée de traitement totale de 10 à 14 jours.
- +·Pneumonie à Pneumocystis jirovecii chez les patients sidéens: Association de la clindamycine à la primaquine: Clindamycine [phosphate] Sandoz 600 à 900 mg en i.v. toutes les 6 h ou 900 mg en i.v. toutes les 8 h, ou Clindamycine Sandoz gélules 300 à 450 mg par voie orale toutes les 6 h pendant 21 jours.Primaquine: 15 à 30 mg par voie orale 1x par jour pendant 21 jours.
- +·Encéphalite toxoplasmique chez les patients sidéens: Association de la clindamycine à la pyriméthamine Clindamycine 600 à 1200 mg 4x par jour par voie orale (ou en i.v.) pendant deux semaines, suivi de 300 à 600 mg 4x par jour.Pyriméthamine: 25 à 75 mg 1x par jour. Lors d'un dosage supérieur de pyriméthamine, l'administration de 10 à 20 mg d'acide folique par jour doit être instaurée. La durée du traitement doit être de 8 à 10 semaines au total.
- +Instructions posologiques particulières
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
- +En cas d'insuffisance hépatique sévère (score Child Pugh C), la demi-vie de la clindamycine est allongée. Pendant un traitement à hautes doses, le taux de clindamycine doit être surveillé chez ces patients.
- +En cas d'insuffisance hépatique légère à modérée (score Child Pugh A et B), aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
- +En cas d'insuffisance rénale sévère, la demi-vie de la clindamycine est allongée. Pendant un traitement à hautes doses, le taux de clindamycine doit être surveillé chez ces patients.
- +En cas d'insuffisance rénale légère à modérée, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
-Insuffisance rénale
-En cas d'insuffisance rénale grave, la demi-vie de la clindamycine est allongée. Pendant un traitement à hautes doses, il faut donc surveiller le taux de clindamycine chez ces patients.
-En cas d'insuffisance rénale légère à modérée, aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
-Insuffisance hépatique
-En cas d'insuffisance hépatique grave (score Child Pugh C), la demi-vie de la clindamycine est allongée. Pendant un traitement à hautes doses, il faut donc surveiller le taux de clindamycine chez ces patients.
-En cas d'insuffisance hépatique légère à modérée (score Child Pugh A et B), aucun ajustement posologique n'est nécessaire.
- +Enfants âgés de moins de 1 mois
- +On ne dispose pas de données suffisantes concernant les nourrissons de moins d'un mois. L'utilisation de clindamycine dans cette catégorie d'âge n'est donc pas recommandée.
-Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m. solution pour injection ne doit pas être administré aux nouveau-nés et aux prématurés car ce médicament contient de l'alcool benzylique comme agent conservateur (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m. solution injectable ne doit pas être administré aux nouveau-nés et aux prématurés, car cette préparation contient de l'alcool benzylique (voir «Mises en garde et précautions»).
-De graves réactions d'hypersensibilité, y compris des réactions cutanées sévères telles que le syndrome DRESS (drug rash with eosinophilia and systemic symptoms), le syndrome de Stevens-Johnson, la nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell) et la pustulose exanthémateuse aiguë généralisée (PEAG) ont été signalées chez des patients traités par la clindamycine. Si des réactions d'hypersensibilité ou des réactions cutanées sévères se produisent, il faut cesser l'administration de la clindamycine et instaurer un traitement approprié.
-Le phosphate de clindamycine ne devrait pas être injecté par voie intraveineuse en bolus sous forme non diluée, mais perfusé sur 10 à 60 min au minimum, comme indiqué dans la rubrique «Posologie/Mode d'emploi».
-Parce que la clindamycine ne diffuse pas en quantités suffisantes dans le liquide cérébro-rachidien, le médicament ne devrait pas être utilisé dans le traitement de la méningite.
-Comme pour presque tous les agents antibactériens, le traitement par la clindamycine a été mis en rapport avec l'apparition d'une colite pseudomembraneuse attribuée aux toxines du Clostridium difficile. Le traitement par des agents antibactériens modifie la flore colique normale, ce qui entraîne un envahissement par C. difficile.
-Le tableau clinique de la diarrhée associée à Clostridium difficile (CDAD) peut aller d'une légère diarrhée liquide jusqu'à des cas sévères potentiellement mortels avec une diarrhée persistante (parfois accompagnée de sang et de mucus dans les selles), des crampes abdominales sévères, de la fièvre et une leucocytose. Des complications, comme une péritonite, un mégacôlon toxique ou un état de choc, peuvent survenir. Chez les patients âgés ou affaiblis, la maladie a vraisemblablement une évolution plus grave.
-Le diagnostic d'une CDAD est généralement établi grâce aux symptômes cliniques. Il peut être confirmé endoscopiquement par la présence d'une colite pseudomembraneuse et/ou par la mise en évidence du C. difficile dans les cultures de selles sur des milieux nutritifs sélectifs et par la détection d'une ou de plusieurs toxines de C. difficile.
-Arrêter le traitement lors de l'apparition d'une diarrhée persistante sous clindamycine et instaurer un traitement adapté. Mises à part les évolutions très bénignes, dans tous les cas associés à l'utilisation d'antibiotiques, un traitement par antibiotiques (métronidazole ou vancomycine) est recommandé. Dans les cas de gravité légère à modérée, un traitement initial par métronidazole per os est recommandé. Chez les patients présentant une infection grave à C. difficile, le traitement approprié est la vancomycine (125 mg, 4x par jour pendant 10 jours, avec possibilité d'augmenter jusqu'à 500 mg, 4x par jour). De plus, en cas de CDAD grave, une substitution adéquate des liquides, des électrolytes et des protéines est nécessaire. Le traitement par vancomycine permet généralement d'observer la disparition rapide de la toxine dans les prélèvements de selles et la guérison clinique de la diarrhée. Dans de rares cas, la colite peut récidiver après l'arrêt de la vancomycine.
-Le C. difficile produit les toxines A et B qui contribuent à la pathogenèse de la CDAD. Les souches de C. difficile hyperproductrices de toxines sont à l'origine d'une morbidité et d'une mortalité accrues, car ces infections peuvent être résistantes aux traitements antimicrobiens, ce qui dans certaines circonstances nécessite une colectomie.
-Une CDAD doit être envisagée chez tous les patients présentant une diarrhée post-antibiotique; des cas de CDAD ont été décrits plus de deux mois après un traitement antibiotique.
-En cas de suspicion de CDAD (c.-à-d. en cas de toute diarrhée grave sous/après antibiothérapie), les inhibiteurs du péristaltisme (par ex. le lopéramide) sont contre-indiqués.
-Si l'une des affections ou situations à risque suivantes est présente, l'administration de Clindamycine Sandoz/Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m. nécessite une prudence particulière: maladies du tractus gastro-intestinal (surtout s'il s'agit d'une colite), également en tant qu'antécédents; maladies rénales ou hépatiques sévères préexistantes; troubles de la transmission neuromusculaire (par ex. myasthénie grave, syndrome de Parkinson); diathèse atopique; asthme bronchique.
-Si le traitement dure plus de 10 jours, il faudra surveiller la formule sanguine ainsi que la fonction hépatique et rénale.
- +De graves réactions d'hypersensibilité, y compris des réactions cutanées sévères telles que le syndrome DRESS (syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques), le syndrome de Stevens-Johnson, la nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell) et la pustulose exanthémateuse aiguë généralisée (PEAG) ont été signalées chez des patients traités par la clindamycine. Si des réactions d'hypersensibilité ou des réactions cutanées sévères surviennent, il faut cesser l'administration de clindamycine et instaurer un traitement approprié.
- +Le phosphate de clindamycine ne doit pas être injecté par voie intraveineuse en bolus sous forme non diluée, mais perfusé sur 10 à 60 min au minimum, comme indiqué dans la rubrique «Posologie/Mode d'emploi».
- +Étant donné que la clindamycine ne diffuse pas en quantité suffisante dans le liquide cérébro-rachidien, Clindamycine Sandoz/Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m.ne doit pas être utilisé dans le traitement de la méningite.
- +Comme pour presque tous les agents antibactériens, le traitement par clindamycine a été mis en rapport avec l'apparition d'une colite pseudomembraneuse attribuée aux toxines du Clostridium difficile. Le traitement par des agents antibactériens modifie la flore colique normale, ce qui entraîne une colonisation par C. difficile.
- +Le tableau clinique de la diarrhée associée à Clostridium difficile (CDAD) peut aller d'une légère diarrhée liquide jusqu'à des cas sévères potentiellement mortels présentant une diarrhée persistante (occasionnellement accompagnée de sang et de mucus dans les selles), des crampes abdominales sévères, de la fièvre et une leucocytose. Des complications, comme une péritonite, un mégacôlon toxique ou un état de choc, peuvent survenir. Chez les patients âgés ou présentant un état général affaibli, une évolution plus grave de la maladie est à attendre.
- +Le diagnostic d'une CDAD est généralement établi grâce aux symptômes cliniques. Il peut être confirmé lors d'un examen endoscopique par la présence d'une colite pseudomembraneuse et/ou par la mise en évidence du C. difficile dans les cultures de selles sur des milieux nutritifs sélectifs et par la détection d'une ou de plusieurs toxines de C. difficile.
- +Lors de l'apparition d'une diarrhée persistante sous clindamycine, le traitement doit être arrêté et un traitement adapté doit être instauré. À l'exception des évolutions très bénignes, un traitement par antibiotiques (métronidazole ou vancomycine) est recommandé dans tous les cas associés à l'utilisation d'antibiotiques. Dans les cas de gravité légère à modérée, un traitement initial par métronidazole per os est recommandé. Chez les patients présentant une infection sévère à C. difficile, le traitement approprié est la vancomycine (125 mg, 4x par jour pendant 10 jours, avec possibilité d'augmenter la posologie jusqu'à 500 mg, 4x par jour). De plus, en cas de CDAD sévère, une substitution adéquate des liquides, des électrolytes et des protéines est nécessaire. Le traitement par vancomycine permet généralement d'observer la disparition rapide de la toxine dans les prélèvements de selles et la guérison clinique de la diarrhée. Dans de rares cas, la colite peut récidiver après l'arrêt de la vancomycine.
- +Le C. difficile produit les toxines A et B, qui contribuent à la pathogenèse de la CDAD. Les souches de C. difficile hyperproductrices de toxines sont à l'origine d'une morbidité et d'une mortalité accrues, car ces infections peuvent être résistantes aux traitements antimicrobiens, ce qui dans certaines circonstances nécessite une colectomie.
- +Une CDAD doit être envisagée chez tous les patients lors de l'apparition d'une diarrhée post-antibiotique; des cas de CDAD ont été décrits plus de deux mois après un traitement antibiotique.
- +En cas de suspicion de CDAD (c.-à-d. pour toute diarrhée sévère sous/après antibiothérapie), les inhibiteurs du péristaltisme (par ex. le lopéramide) sont contre-indiqués.
- +Clindamycine Sandoz doit être utilisé avec prudence en présence de l'une des affections ou situations à risque suivantes: maladies du tractus gastro-intestinal (surtout s'il s'agit d'une colite), également en tant qu'antécédents; affections rénales ou hépatiques sévères préexistantes; troubles de la transmission neuromusculaire (par ex. myasthénie grave, syndrome de Parkinson); diathèse atopique; asthme bronchique.
- +Si le traitement dure plus de 10 jours, l'hémogramme ainsi que la fonction hépatique et rénale doivent être surveillés.
-Des irritations au site d'injection ont été observées après l'injection intramusculaire de Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m. Ces réactions peuvent être minimisées par des injections musculaires profondes.
-Clindamycin [phosphate] Sandoz solution pour injection contient de l'alcool benzylique comme agent conservateur. Chez les prématurés et les nouveau-nés de faible poids de naissance, l'alcool benzylique a été associé à une réaction toxique létale (Gasping syndrom).
-Les nourrissons et les enfants de moins de 3 ans peuvent aussi présenter des réactions toxiques. Le risque de toxicité dépend de la quantité administrée et de la capacité de désintoxication du foie et des reins. La quantité minimale d'alcool benzylique à partir de laquelle une toxicité peut apparaître est cependant inconnue. En cas d'utilisation de médicaments contenant de l'alcool benzylique, il faut prendre en compte la somme des quantités quotidiennes d'alcool benzylique provenant de l'ensemble des sources.
- +Des irritations au site d'injection ont été rapportées après l'administration intramusculaire de Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m. Ces réactions peuvent être minimisées par des injections intramusculaires profondes.
- +Excipients revêtant un intérêt particulier
- +Clindamycin [phosphate] Sandoz solution pour injection contient 38 mg d'alcool benzylique par ampoule. Chez les prématurés et les nouveau-nés de faible poids de naissance, l'alcool benzylique a été associé à une réaction toxique létale (Gasping syndrom).
- +La quantité minimale d'alcool benzylique à partir de laquelle une toxicité peut apparaître est cependant inconnue. Les nourrissons et les enfants de moins de 3 ans peuvent aussi présenter des réactions toxiques. Le risque de toxicité dépend de la quantité administrée et de la capacité de désintoxication du foie et des reins. En cas d'utilisation de médicaments contenant de l'alcool benzylique, il faut prendre en compte la somme des quantités quotidiennes d'alcool benzylique provenant de l'ensemble des sources.
- +En raison du risque d'accumulation et de toxicité (acidose métabolique), les grandes quantités doivent être administrées uniquement avec prudence et en cas de nécessité absolue, en particulier chez les personnes présentant une altération de la fonction hépatique ou rénale.
- +
-Ce médicament contient 34 mg de sodium par ampoule, ce qui équivaut à 1,7% de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte.
-Clindamycin Sandoz capsules contiennent 79 mg ou 148 mg de lactose (150 mg ou 300 mg capsules). Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
- +Ce médicament contient 34 mg de sodium par ampoule, ce qui équivaut à 1,7 % de l'apport alimentaire quotidien maximal recommandé par l'OMS de 2 g de sodium par adulte.
- +Clindamycin Sandoz gélules contiennent 79 mg ou 148 mg de lactose (150 mg ou 300 mg gélules). Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
-La clindamycine est principalement métabolisée par le CYP3A4 et, dans une moindre mesure, par le CYP3A5. Son métabolite principal est le sulfoxyde de clindamycine et son métabolite mineur est la N-deméthyl-clindamycine. La clairance de la clindamycine peut donc être ralentie par des inhibiteurs du CYP3A4 et du CYP3A5 et accélérée par des inducteurs de ces isoenzymes. L'administration concomitante de clindamycine et d'inducteurs puissants du CYP3A4 doit être évitée si possible, car elle peut entraîner une baisse cliniquement significative de la concentration plasmatique de clindamycine. Des cas de faible concentration plasmatique de clindamycine avec perte d'effet après l'administration concomitante de clindamycine et de rifampicine ont été rapportés.
- +La clindamycine est principalement métabolisée par le CYP3A4 et, dans une moindre mesure, par le CYP3A5. Son métabolite principal est le sulfoxyde de clindamycine et son métabolite mineur est la N-déméthyl-clindamycine. La clairance de la clindamycine peut donc être ralentie par des inhibiteurs du CYP3A4 et du CYP3A5, et accélérée par des inducteurs de ces isoenzymes. L'administration concomitante de clindamycine et d'inducteurs puissants du CYP3A4 doit être évitée si possible, car elle peut entraîner une baisse cliniquement significative de la concentration plasmatique de clindamycine. Des cas de faible concentration plasmatique de clindamycine avec perte d'effet après l'administration concomitante de clindamycine et de rifampicine ont été rapportés.
- +Études in vitro
- +
-Chez les patients ayant reçu de la clindamycine en même temps que des antagonistes de la vitamine K (par ex. warfarine, acénocoumarol ou fluindione), des valeurs de coagulation élevées (TP/INR) et/ou des hémorragies ont été constatées. La coagulation doit donc, chez ces patients ayant reçu des antagonistes de la vitamine K, être contrôlée fréquemment.
- +Chez les patients ayant reçu de la clindamycine en même temps que des antagonistes de la vitamine K (par ex. warfarine, acénocoumarol ou fluindione), des valeurs de coagulation accrues (TP/INR) et/ou des hémorragies ont été rapportées. Par conséquent, la coagulation doit être contrôlée fréquemment chez les patients ayant reçu des antagonistes de la vitamine K.
-Il n'existe pas d'études contrôlées adéquates pour le premier trimestre de la grossesse. Les résultats des études cliniques portant sur l'administration de clindamycine lors du deuxième et/ou du troisième trimestre(s) de la grossesse n'ont fourni aucune preuve de lésions fœtales.
- +Il n'existe pas d'études contrôlées adéquates chez les femmes enceintes pendant le premier trimestre de la grossesse. Les résultats des études cliniques portant sur l'administration de clindamycine lors du deuxième et/ou du troisième trimestre(s) de la grossesse n'ont fourni aucun indice de lésions fœtales.
-L'alcool benzylique contenu dans Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m., utilisé comme agent conservateur, traverse également la barrière placentaire, v. «Mises en garde et précautions».
- +L'alcool benzylique contenu dans Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m. traverse également la barrière placentaire, voir «Mises en garde et précautions».
-La clindamycine est excrétée dans le lait maternel à une concentration de pouvant atteindre 3,8 µg/ml. Lors de l'administration de 500 ml de solution buvable par jour, cela correspond à l'absorption de 1,9 mg de clindamycine par jour.
-La clindamycine peut avoir un effet sur la flore intestinale de l'enfant allaité, ce qui peut entraîner des symptômes tels que diarrhée, hématochézie et/ou rash cutanés. Les enfants nés avant terme immatures pourraient particulièrement présenter un risque accru de tels effets indésirables.
- +La clindamycine est excrétée dans le lait maternel et a été retrouvée à une concentration pouvant atteindre 3,8 µg/ml. Une quantité de lait de 500 ml par jour correspondrait à l'absorption de 1,9 mg de clindamycine par jour.
- +La clindamycine peut exercer une influence sur la flore intestinale de l'enfant allaité, ce qui peut entraîner des symptômes tels que diarrhée, hématochézie et/ou rash cutané. Les enfants nés avant terme immatures pourraient présenter un risque particulièrement accru de développer de tels effets indésirables.
-Aucune étude correspondante n'a été effectuée. L'utilisation de clindamycine a cependant été associée à des étourdissements et une somnolence influençant la capacité de concentration et le temps de réaction et pouvant, par conséquent, nuire à l'aptitude à la conduite et à l'utilisation de machines.
- +Aucune étude correspondante n'a été effectuée. L'utilisation de clindamycine a cependant été associée à des effets indésirables tels que des vertiges et une envie de dormir influençant la capacité de concentration et le temps de réaction et pouvant, par conséquent, nuire à l'aptitude à la conduite et à l'utilisation de machines.
-Ci-dessous figurent, par système d'organe et fréquence, les effets indésirables qui ont été observés lors d'études cliniques et/ou pendant la surveillance de l'utilisation de clindamycine après sa commercialisation.
-Définition des catégories de fréquence: fréquents (≥1/100, <1/10) occasionnels (≥1/1000, <1/100) rares (≥1/10'000, <1/1000) fréquence indéterminée: la fréquence ne peut être donnée de façon précise car elle provient des déclarations spontanées issues de la surveillance post-marketing.
-Il convient de noter qu'il n'était pas rare d'observer des distinctions de fréquence entre la forme parentérale et la forme orale dans les études cliniques. Dans les cas où ces différences de fréquence étaient pertinentes, l'incidence la plus élevée est donnée avec la mention correspondant à l'autre forme d'administration. Les troubles gastro-intestinaux étaient plus fréquents pour l'administration orale tandis que les modifications cutanées étaient plus fréquentes pour l'administration parentérale que pour l'administration orale.
- +Ci-dessous figurent, par système d'organe et fréquence, les effets indésirables qui ont été observés lors d'études cliniques et/ou de la surveillance de l'utilisation de clindamycine après sa commercialisation.
- +Définition des catégories de fréquence: «fréquents» (≥1/100 à <1/10); «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100); «rares» (≥1/10'000 à <1/1000); «très rares» (<1/10'000); «fréquence inconnue»: la fréquence ne peut être donnée de façon précise, car elle provient des déclarations spontanées issues de la surveillance post-marketing.
- +Il convient de noter qu'il n'était pas rare d'observer des différences de fréquence entre la forme parentérale et la forme orale dans les études cliniques. Dans les cas où ces différences de fréquence étaient pertinentes, l'incidence la plus élevée est donnée avec la mention correspondant à l'autre forme d'administration. En particulier, les effets indésirables gastro-intestinaux étaient plus fréquents lors d'une administration orale tandis que les modifications cutanées étaient plus fréquentes lors d'une administration parentérale que d'une administration orale.
-Fréquence indéterminée: colite à Clostridium difficile.
- +Fréquence inconnue: colite à Clostridium difficile.
-Fréquent: éosinophilie.
-Rare: agranulocytose (uniquement signalée lors de la surveillance post-marketing), leucopénie, thrombopénie, neutropénie.
- +Fréquents: éosinophilie.
- +Rares: agranulocytose (uniquement signalée lors de la surveillance du marché), leucopénie, thrombopénie, neutropénie.
-Rare: angioœdème.
-Fréquence indéterminée: choc anaphylactique, réactions anaphylactoïdes, réactions anaphylactiques, hypersensibilité.
- +Rares: angioœdème.
- +Fréquence inconnue: choc anaphylactique, réactions anaphylactoïdes, réactions anaphylactiques, hypersensibilité.
-Occasionnel: dysgueusie.
-Fréquence indéterminée: céphalées, vertige, somnolence.
- +Occasionnels: dysgueusie.
- +Fréquence inconnue: céphalées, vertiges, envie de dormir.
-Occasionnel: hypotension (surtout en cas d'administration parentérale), arrêt cardiaque/respiratoire (après une administration intraveineuse [trop] rapide).
- +Occasionnels: hypotension (surtout en cas d'administration parentérale), arrêt cardiaque/respiratoire (après une administration intraveineuse [trop] rapide).
-Fréquent: diarrhée, colite pseudomembraneuse.
-Occasionnel: douleurs abdominales, nausées, vomissements (surtout en cas d'administration orale).
-Fréquence indéterminée: œsophagite et ulcères œsophagiens (surtout observés en cas d'administration orale).
- +Fréquents: diarrhée, colite pseudomembraneuse.
- +Occasionnels: douleurs abdominales, nausées, vomissements (surtout en cas d'administration orale).
- +Fréquence inconnue: œsophagite et ulcères œsophagiens (surtout observés en cas d'administration orale).
-Fréquent: anomalies des tests de la fonction hépatique (bilirubine, ASAT, phosphatase alcaline).
-Très rare: hépatite.
-Fréquence indéterminée: ictère (dont ictère cholestatique).
- +Fréquents: anomalies des tests de la fonction hépatique (bilirubine, ASAT, phosphatase alcaline).
- +Très rares: hépatite.
- +Fréquence inconnue: ictère (y compris ictère cholestatique).
-Fréquent: exanthème maculopapuleux, exanthème morbilliforme (uniquement signalés lors de la surveillance post-marketing).
-Occasionnel: urticaire (plus fréquente pour l'administration parentérale que pour l'administration orale).
-Rare: prurit, érythème polymorphe, dermite exfoliative, dermatite vésiculobulleuse, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell) (uniquement signalés lors de la surveillance post-marketing).
-Fréquence indéterminée: pustulose exanthémateuse aiguë généralisée (PEAG), syndrome DRESS (drug rash with eosinophilia and systemic symptoms).
-Affections musculo-squelettiques et systémiques
-Très rare: polyarthrite.
- +Fréquents: exanthème maculopapuleux, exanthème morbilliforme (uniquement signalés lors de la surveillance du marché).
- +Occasionnels: urticaire (plus fréquente en cas d'administration parentérale que d'administration orale).
- +Rares: prurit, érythème polymorphe, dermatite exfoliatrice, dermatite vésiculobulleuse, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique (syndrome de Lyell) (uniquement signalés lors de la surveillance du marché).
- +Fréquence inconnue: pustulose exanthémateuse aiguë généralisée (PEAG), syndrome DRESS (syndrome d'hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques).
- +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
- +Très rares: polyarthrite.
-Rare: vaginite.
- +Rares: vaginite.
-Fréquent: douleurs au point d'injection, thrombophlébites au point d'injection, abcès au point d'injection.
-Fréquence indéterminée: irritations au point d'injection.
- +Fréquents: douleur au site d'injection, thrombophlébites au site d'injection, abcès au site d'injection.
- +Fréquence inconnue: irritations au site d'injection.
-Le principe actif de Clindamycine Sandoz/Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m. est la clindamycine (Chloro-7-désoxy-7-lincomycine), un dérivé de la lincomycine, obtenue à partir du Streptomyces lincolnensis.
- +Le principe actif de Clindamycine Sandoz/Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m. est la clindamycine (chloro-7-désoxy-7-lincomycine), un dérivé de la lincomycine, obtenue à partir du Streptomyces lincolnensis.
-L'ester de phosphate ne possède pas d'activité in vitro. In vivo, il est rapidement hydrolysé en clindamycine, la base active.
- +Les ester de phosphate ne possède pas d'activité in vitro. In vivo, il est rapidement hydrolysé en clindamycine, la base active.
-Dans la plupart des cas, la résistance à la clindamycine repose sur des mutations au niveau du site de liaison des antibiotiques sur le rRNA ou sur la méthylation de certains nucléotides dans le RNA 23S de la sous-unité 50S du ribosome. De telles modifications peuvent déterminer la résistance croisée aux antibiotiques de type macrolide et streptogramine B (phénotype MLSB) in vitro. La majorité des S. aureus résistants à la méthicilline (MRSA) présentent le phénotype MLSB constitutif et sont donc résistants à la clindamycine. Les infections dues à des staphylocoques résistants aux macrolides ne devraient pas être traitées par la clindamycine en l'absence d'un test adéquat de la sensibilité, y compris un test de la résistance inductible à la clindamycine. Des modifications au niveau des protéines ribosomiques induisent également occasionnellement une résistance.
- +Dans la plupart des cas, la résistance à la clindamycine repose sur des mutations au niveau du site de liaison des antibiotiques sur l'ARNr ou sur la méthylation de certains nucléotides dans l'ARN 23S de la sous-unité 50S du ribosome. De telles modifications peuvent déterminer la résistance croisée aux antibiotiques de type macrolide et streptogramine B (phénotype MLSB) in vitro. La majorité des S. aureus résistants à la méthicilline (SARM) présentent le phénotype MLSB constitutif et sont donc résistants à la clindamycine. Les infections dues à des staphylocoques résistants aux macrolides ne doivent pas être traitées par la clindamycine en l'absence d'un test adéquat de la sensibilité, y compris un test de la résistance inductible à la clindamycine. Des modifications au niveau des protéines ribosomiques induisent également occasionnellement une résistance.
-Une activité in vitro dirigée contre la plupart des souches des agents pathogènes suivants a pu être démontrée pour la clindamycine: microorganismes aérobies Gram positifs, des microorganismes anaérobies Gram positifs et Gram négatifs, ainsi que certaines souches de Chlamydia trachomatis. Les germes aérobies Gram négatifs ne sont généralement pas sensibles à la clindamycine.
-En outre, les agents pathogènes suivants se sont avérés sensibles à la clindamycine in vitro: Bordetella melaninogenicus et Mycoplasma hominis. Selon des rapports publiés, la clindamycine en association possède également un effet thérapeutique lors d'infections dues à certains germes non bactériens. Des études, pour la plupart très petites et menées à l'encontre des standards actuels, ont montré un certain effet de la clindamycine contre Toxoplasma gondii (agent pathogène de l'encéphalite toxoplasmique, uniquement en association à la pyriméthamine) et contre Pneumocystis jirovecii (agent pathogène de la pneumonie, uniquement en association à la primaquine).
- +Une activité in vitro dirigée contre la plupart des souches des agents pathogènes suivants a pu être démontrée pour la clindamycine: microorganismes aérobies Gram positif, microorganismes anaérobies Gram positif et Gram négatif, ainsi que certaines souches de Chlamydia trachomatis. Les germes aérobies Gram négatif ne sont généralement pas sensibles à la clindamycine.
- +En outre, les agents pathogènes suivants se sont avérés sensibles à la clindamycine in vitro: Bordetella melaninogenicus et Mycoplasma hominis.
- +Selon des rapports publiés, la clindamycine en association possède également un effet thérapeutique lors d'infections dues à certains germes non bactériens. Des études, pour la plupart très petites et menées à l'encontre des standards actuels, ont montré une certaine efficacité de la clindamycine contre Toxoplasma gondii (agent pathogène de l'encéphalite toxoplasmique, uniquement en association avec la pyriméthamine) et contre Pneumocystis jirovecii (agent pathogène de la pneumonie, uniquement en association avec la primaquine).
-Bactéries Gram positifs
- +Bactéries Gram positif
-Bactéries Gram négatifs
- +Bactéries Gram négatif
-Bactéries Gram positifs
- +Bactéries Gram positif
-Bactéries Gram négatifs
- +Bactéries Gram négatif
- +Autres
-Bactéries Gram positifs
- +Bactéries Gram positif
-Bactéries Gram négatifs
- +Bactéries Gram négatif
-Bactéries Gram positifs
- +Bactéries Gram positif
-Bactéries Gram négatifs
- +Bactéries Gram négatif
-Bactéries Gram positifs
- +Bactéries Gram positif
-Bactéries Gram négatifs
- +Bactéries Gram négatif
-Anaérobies Gram positifs 4 4
-Anaérobies Gram négatifs 4 4
- +Anaérobies Gram positif 4 4
- +Anaérobies Gram négatif 4 4
-La prévalence des résistances acquises peut varier sur le plan géographique et temporel pour certaines espèces; les données locales sur la résistance apportent donc un avantage, en particulier pour le traitement d'infections sévères. Lorsque la pertinence du traitement antibiotique est à mettre en question en raison de la prévalence locale des résistances pour au moins certains types d'infection, il convient éventuellement de demander conseil à un expert. En particulier en cas d'infections sévères ou d'échec thérapeutique, un diagnostic différentiel microbien avec identification de l'agent pathogène et vérification de la réponse à la clindamycine est recommandé.
-Un antagonisme entre la clindamycine et l'érythromycine a été mis en évidence in vitro. Cette observation ayant vraisemblablement une importance clinique, les deux substances ne seront pas administrées simultanément.
- +La prévalence des résistances acquises peut varier sur le plan géographique et temporel pour certaines espèces; les données locales sur la résistance représentent donc un avantage, en particulier pour le traitement d'infections sévères. Lorsque la pertinence du traitement antibiotique est à remettre en question en raison de la prévalence locale des résistances pour au moins certains types d'infection, il convient éventuellement de demander conseil à un expert. En particulier en cas d'infections sévères ou d'échec thérapeutique, un diagnostic différentiel microbien avec identification de l'agent pathogène et vérification de la réponse à la clindamycine est recommandé.
- +Un antagonisme entre la clindamycine et l'érythromycine a été mis en évidence in vitro. Cette observation ayant vraisemblablement une importance clinique, les deux substances ne doivent pas être administrées simultanément.
- +Efficacité clinique
- +Aucune donnée.
- +
-Les taux sériques maximaux atteignent 7 µg/ml à la fin d'une perfusion intraveineuse de 300 mg sur 10 min, et 10 µg/ml après une perfusion intraveineuse de 600 mg sur 20 min. Le tableau 1 montre les concentrations sériques maximales moyennes atteintes après l'administration de phosphate de clindamycine. Les taux sériques de clindamycine peuvent être maintenus à un niveau supérieur à la concentration minimale inhibitrice in vitro pour la majorité des microorganismes sensibles lors de l'application de phosphate de clindamycine toutes les 8 à 12 h chez l'adulte ou toutes les 6 à 8 h chez l'enfant, ou lors de perfusion intraveineuse continue. L'état d'équilibre est obtenu après la troisième dose.
- +Les taux sériques maximaux atteignent 7 µg/ml à la fin d'une perfusion intraveineuse de 300 mg sur 10 min, et 10 µg/ml après une perfusion intraveineuse de 600 mg sur 20 min. Le tableau 1 montre les concentrations sériques maximales moyennes atteintes après l'administration de phosphate de clindamycine. Les taux sériques de clindamycine peuvent être maintenus à un niveau supérieur à la concentration minimale inhibitrice in vitro pour la majorité des microorganismes sensibles lors de l'administration de phosphate de clindamycine toutes les 8 à 12 h chez les adultes ou toutes les 6 à 8 h chez les enfants, ou lors d'une perfusion intraveineuse continue. L'état d'équilibre est obtenu après la troisième dose.
-Les taux sériques maximaux de 9 µg sont atteints une à 3 h après l'administration intramusculaire de 600 mg de phosphate de clindamycine.
- +Les taux sériques maximaux de 9 µg sont atteints 1 à 3 h après l'administration intramusculaire de 600 mg de phosphate de clindamycine.
-La clindamycine administrée oralement est rapidement et presque totalement (90%) résorbée. L'administration orale de 150 mg produit chez l'adulte une concentration sérique de 2,5 µg/ml en moyenne après 45 à 60 min. Après 3 h, la concentration sérique s'élève à 1,5 µg/ml et atteint 0,7 µg/ml après 6 h.
-La prise simultanée de nourriture n'influence pas de manière quantitativement importante la résorption de la clindamycine administrée oralement. Toutefois, la résorption peut être un peu ralentie.
-Aucune accumulation de la substance n'a été observée après application orale pendant 14 jours.
- +La clindamycine administrée par voie orale est rapidement et presque totalement (90%) résorbée. L'administration orale de 150 mg produit chez les adultes une concentration sérique de 2,5 µg/ml en moyenne après 45 à 60 min. Après 3 h, la concentration sérique s'élève à 1,5 µg/ml et atteint 0,7 µg/ml après 6 h.
- +La prise simultanée de nourriture n'influence pas de manière quantitativement importante la résorption de la clindamycine administrée par voie orale. Toutefois, la résorption peut être un peu ralentie.
- +Aucune accumulation de la substance n'a été observée après administration orale pendant 14 jours.
-La clindamycine se lie principalement à l'alpha-1-glycoprotéine acide; la liaison aux protéines dépend de la concentration et va de 60 à 94% dans la fourchette thérapeutique. La clindamycine pénètre facilement dans la plupart des liquides et tissus corporels. Le volume de distribution VdSS s'élève à 43–74 l. La concentration atteinte dans le tissu osseux représente environ 40% (20–75%) de celle obtenue dans le sérum, elle atteint dans le lait maternel 50–100%, dans la synovie 50%, dans l'expectoration 30–75% et dans le liquide péritonéal 50–90% de la concentration sérique. Toutefois, la clindamycine ne traverse pas la barrière hémato-encéphalique, même lors de méningite.
- +La clindamycine se lie principalement à l'alpha-1-glycoprotéine acide; la liaison aux protéines dépend de la concentration et s'étend de 60 à 94% dans la fourchette thérapeutique.
- +La clindamycine pénètre facilement dans la plupart des liquides et tissus corporels. Le volume de distribution VdSS s'élève à 43-74 l. La concentration atteinte dans le tissu osseux représente environ 40% (20-75%) de celle obtenue dans le sérum, elle atteint dans le lait maternel 50-100%, dans la synovie 50%, dans l'expectoration 30-75% et dans le liquide péritonéal 50-90% de la concentration sérique. Toutefois, la clindamycine ne traverse pas la barrière hémato-encéphalique, même lors d'une méningite.
-La clindamycine est métabolisée dans le foie par le CYP3A4 dans une proportion relativement large, et dans une moindre mesure, par le CYP3A5. Ses produits de dégradation possèdent des effets antibactériens variables comme la N-deméthyl-clindamycine (pharmacologiquement plus active que la clindamycine) et le sulfoxyde de clindamycine (moins actif que la clindamycine).
- +La clindamycine est métabolisée dans le foie par le CYP3A4 dans une proportion relativement large, et dans une moindre mesure, par le CYP3A5. Ses produits de dégradation possèdent des effets antibactériens variables comme la N-déméthyl-clindamycine (pharmacologiquement plus active que la clindamycine) et le sulfoxyde de clindamycine (moins actif que la clindamycine).
-L'excrétion s'effectue principalement sous la forme de métabolites inactifs par voie biliaire dans les fèces (Q0 = 0,9). Seul un quart de la dose administrée est excrété sous forme de molécule mère ou de métabolites pharmacologiquement actifs (10 à 20% dans l'urine et 4% dans les fèces). La demi-vie d'élimination est de 1,5 à 3,5 h.
- +L'excrétion s'effectue principalement sous la forme de métabolites inactifs par voie biliaire dans les fèces (Q0 = 0.9). Seul env. un quart de la dose administrée est excrété sous forme de molécule mère ou de métabolites pharmacologiquement actifs (10 à 20% dans l'urine et 4% dans les fèces). La demi-vie d'élimination est de 1.5 à 3.5 h.
-Enfants/adolescents:
- +Troubles de la fonction hépatique
- +Chez les patients présentant une forte limitation de la fonction hépatique, la demi-vie est allongée. La pharmacocinétique de la clindamycine n'a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée.
- +Troubles de la fonction rénale
- +La demi-vie de la clindamycine est prolongée chez les patients présentant une forte limitation de la fonction rénale. La pharmacocinétique de la clindamycine n'a pas été étudiée chez les patients présentant une insuffisance rénale légère à modérée.
- +La clindamycine n'est pas dialysable.
- +Patients âgés
- +La pharmacocinétique de la clindamycine n'a pas été spécifiquement étudiée chez les patients de 65 ans ou plus.
- +Enfants et adolescents
- +Après l'administration orale de chlorhydrate de palmitate de clindamycine toutes les 6 h permet, on mesure, 60 minutes après la première dose, un pic sérique de 1.2 µg/ml après 2 mg/kg PC, de 2.2 µg/ml après 3 mg/kg PC et de 2.4 µg/ml après 4 mg/kg PC. L'état d'équilibre est atteint après l'administration de la cinquième dose. Le schéma posologique précité permet d'envisager des pics de concentration sérique de 2.5; 3.0 ou 3.8 µg/ml à l'état d'équilibre.
-Cancérogénicité, mutagénicité
- +Carcinogénicité, mutagénicité
-Les essais sur la fertilité menés chez le rat après traitement par voie orale de doses allant jusqu'à 300 mg/kg/jour (correspondant à environ 1,1 fois la dose maximale recommandée chez le patient adulte, en se basant sur les mg/m²) n'ont montré aucun effet sur la fertilité ou la disposition à l'accouplement.
- +Les essais sur la fertilité menés chez le rat après traitement par voie orale avec des doses allant jusqu'à 300 mg/kg/jour (correspondant à environ 1,1 fois la dose maximale recommandée chez les patients adultes, en se basant sur les mg/m²) n'ont montré aucun effet sur la fertilité ou la disposition à l'accouplement.
-Les études de développement embryo-fœtal avec administration orale de clindamycine chez le rat ou administration sous-cutanée de clindamycine chez le rat et le lapin n'ont pas révélé de toxicité sur le développement, sauf à des doses entraînant une toxicité chez la mère. Pourtant, les écarts de sécurité par rapport aux expositions cliniques étaient très minces.
- +Les études de développement embryo-fœtal avec administration orale de clindamycine chez le rat ou administration sous-cutanée de clindamycine chez le rat et le lapin n'ont pas révélé de toxicité sur le développement, sauf à des doses entraînant une toxicité chez la mère. Les écarts de sécurité par rapport aux expositions cliniques étaient cependant très minces.
-Incompatibilités (application parentérale) avec le phosphate de clindamycine en solution pour injection (Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m.)
- +Incompatibilités (administration parentérale) avec le phosphate de clindamycine en solution pour injection (Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m.)
-Un soluté de clindamycine de 6, 9 ou 12 mg/ml reste stable dans une solution de glucose 5%, de NaCl 0,9% ou de Ringer lactate pendant au moins 16 jours à température ambiante (15–25°C), pendant au moins 32 jours au réfrigérateur (2–8°C) et pendant au moins 8 semaines au congélateur (–15°C).
- +Un soluté de clindamycine de 6, 9 ou 12 mg/ml reste stable dans une solution de glucose à 5%, de NaCl à 0,9% ou de Ringer lactate pendant au moins 16 jours à température ambiante (15–25°C), pendant au moins 32 jours au réfrigérateur (2–8°C) et pendant au moins 8 semaines au congélateur (–15°C).
-Conserver dans l'emballage original, à temperature ambiante (15–25°C) et hors de la portée des enfants.
-Clindamycine Sandoz capsules
- +Conserver dans l'emballage original, à température ambiante (15–25°C) et hors de la portée des enfants.
- +Clindamycine Sandoz gélules
-59324, 58919 (Swissmedic).
- +59324, 58919 (Swissmedic)
-Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m. 600 mg /4 ml: 5 x 4 ml et 5 x 5 x 4 ml ampoules (emballage multiple). [A]
-Clindamycine Sandoz capsules à 150 mg: 16. [A]
-Clindamycine Sandoz capsules à 300 mg: 16. [A]
- +Clindamycine [phosphate] Sandoz i.v./i.m. 600 mg/4 ml: 5 x 4 ml et 5 x 5 x 4 ml ampoules (emballage multiple). [A]
- +Clindamycine Sandoz gélules à 150 mg: 16. [A]
- +Clindamycine Sandoz gélules à 300 mg: 16. [A]
-Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch; domicile: Rotkreuz.
- +Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch; domicile: Rotkreuz
-Avril 2019.
- +Janvier 2021
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