58 Changements de l'information professionelle Stelara 45 mg |
-STELARA 45 mg resp. 90 mg, solution pour injection sous-cutanée (flacon perforable resp. seringue prête à l'emploi)
-polysorbate 80, L-histidine, saccharose, eau pour préparations injectables q. s. ad solutionem pro 0,5 ml resp. 1 ml.
-STELARA 130 mg, solution à diluer pour perfusion
- +STELARA 45 mg resp. 90 mg, solution pour injection (flacon perforable resp. seringue prête à l'emploi):
- +Polysorbate 80, L-histidine, saccharose, eau pour préparations injectables q. s. ad solutionem pro 0,5 ml resp. 1 ml.
- +STELARA 130 mg, solution à diluer pour perfusion:
-STELARA est indiqué pour le traitement de patients adultes et d'adolescents à partir de 12 ans atteints de psoriasis en plaques modéré à sévère, sur lesquels d'autres thérapies systémiques ou la PUVAthérapie, n'ont pas fonctionné, sont contre-indiquées ou n'ont pas été tolérées.
- +STELARA est indiqué pour le traitement de patients adultes et pédiatriques à partir de 6 ans atteints de psoriasis en plaques modéré à sévère, sur lesquels d'autres thérapies systémiques ou la PUVAthérapie, n'ont pas fonctionné, sont contre-indiquées ou n'ont pas été tolérées.
-Injection sous-cutanée
-Si le médecin l'estime justifié et que la surveillance médicale nécessaire est assurée, les patients peuvent s'injecter STELARA eux-mêmes après avoir bénéficié d'une formation appropriée à la technique d'injection sous-cutanée et d'élimination du matériel (voir «Remarques concernant la manipulation»).
-Les patients ou les soignants doivent veiller tout particulièrement aux instructions figurant dans la notice d'emballage correspondante.
-Chez les adolescents STELARA doit être administré par un membre du personnel médical.
-Perfusion intraveineuse
-Le flacon perforable de STELARA 130 mg est exclusivement destiné à la perfusion intraveineuse. La perfusion intraveineuse de STELARA doit être administrée par du personnel médical qualifié (pour la préparation, se conformer aux «Remarques concernant la manipulation – Solution pour perfusion intraveineuse»).
-Adolescents ≥12 ans
- +Enfants et adolescents ≥6 ans
-Tableau 2: doses de STELARA recommandées pour les adolescents atteints de psoriasis
- +Tableau 2: doses de STELARA recommandées pour les enfants et les adolescents atteints de psoriasis
-Un flacon de 45 mg est disponible pour les adolescents ayant besoin d'une dose inférieure à 45 mg.
-Tableau 3: volume d'injection de STELARA chez les adolescents atteints de psoriasis avec un poids corporel <60 kg
- +Un flacon de 45 mg est disponible pour les enfants et les adolescents ayant besoin d'une dose inférieure à 45 mg.
- +Tableau 3: volume d'injection de STELARA chez les enfants et les adolescents atteints de psoriasis avec un poids corporel <60 kg
- +15 11,3 0,12
- +16 12,0 0,13
- +17 12,8 0,14
- +18 13,5 0,15
- +19 14,3 0,16
- +20 15,0 0,17
- +21 15,8 0,17
- +22 16,5 0,18
- +23 17,3 0,19
- +24 18,0 0,20
- +25 18,8 0,21
- +26 19,5 0,22
- +27 20,3 0,22
- +28 21,0 0,23
- +29 21,8 0,24
- +
-Groupes de patients particuliers
-Population pédiatrique
-Aucune étude relative à la sécurité et à l'efficacité de STELARA n'a été menée auprès d'enfants de moins de 12 ans atteints de psoriasis en plaques. Par conséquent, l'utilisation de STELARA n'est pas recommandée chez les enfants de moins de 12 ans.
-La sécurité et l'efficacité de STELARA dans le traitement de la maladie de Crohn et de la colite ulcéreuse chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans n'ont pas encore été établies. Aucune donnée n'est disponible.
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique/rénale
- +Aucune étude avec STELARA n'a été menée dans ces groupes de patients. On ne peut donc pas formuler de recommandations pour la posologie.
-Insuffisance rénale et hépatique
-Aucune étude avec STELARA n'a été menée dans ce groupe de patients. On ne peut donc pas formuler de recommandation pour la posologie.
- +Enfants et adolescents
- +Aucune étude relative à la sécurité et à l'efficacité de STELARA n'a été menée auprès d'enfants de moins de 6 ans atteints de psoriasis en plaques. Par conséquent, l'utilisation de STELARA n'est pas recommandée chez les enfants de moins de 6 ans.
- +La sécurité et l'efficacité de STELARA dans le traitement de la maladie de Crohn et de la colite ulcéreuse chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans n'ont pas encore été établies. Aucune donnée n'est disponible.
- +Mode d'administration
- +Injection sous-cutanée
- +Si le médecin l'estime justifié et que la surveillance médicale nécessaire est assurée, les patients peuvent s'injecter STELARA eux-mêmes après avoir bénéficié d'une formation appropriée à la technique d'injection sous-cutanée et d'élimination du matériel (voir «Remarques concernant la manipulation»).
- +Les patients ou les soignants doivent veiller tout particulièrement aux instructions figurant dans la notice d'emballage correspondante.
- +Chez les enfants et les adolescents, STELARA doit être administré par un membre du personnel médical.
- +Perfusion intraveineuse
- +Le flacon perforable de STELARA 130 mg est exclusivement destiné à la perfusion intraveineuse. La perfusion intraveineuse de STELARA doit être administrée par du personnel médical qualifié (pour la préparation, se conformer aux «Remarques concernant la manipulation – Solution pour perfusion intraveineuse»).
-Avant l'administration de STELARA, le médecin traitant doit avoir lu les informations de l'entreprise spécifiques au produit et destinées aux médecins, et, plus particulièrement, les informations relatives aux risques potentiels. En outre, il doit s'assurer que le patient a bien lu (ou écouté) et compris les risques potentiels décrits dans la brochure et sur la carte patient qui lui sont destinées.
-L'efficacité et la sécurité de STELARA ont été documentées sur une durée allant jusqu'à 5 ans.
-Immunothérapie
-STELARA n'a pas été étudié chez les patients traités par immunothérapie allergénique. STELARA pourrait avoir une influence sur ce type de traitement. La prudence est de mise chez les patients qui suivent ou ont suivi une immunothérapie allergénique dirigée plus particulièrement contre l'anaphylaxie.
- +Immunothérapie allergénique spécifique
- +STELARA n'a pas été étudié chez les patients traités par immunothérapie allergénique spécifique. STELARA pourrait avoir une influence sur ce type de traitement. La prudence est de mise chez les patients qui suivent ou ont suivi une immunothérapie allergénique spécifique dirigée plus particulièrement contre l'anaphylaxie.
-Groupes de patients particuliers
- +Adolescents et enfants à partir de 6 ans
- +Vous trouverez des recommandations de vaccination, y compris concernant l'administration de vaccins vivants viraux ou bactériens sous «Mises en garde et précautions» - «Immunisations».
-Grossesse/Allaitement
- +Grossesse, allaitement
- +Description de certains effets indésirables
- +
-Lors d'études contrôlées contre placebo sur les patients atteints de psoriasis, de rhumatisme psoriasique, de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse, la fréquence des infections ou des infections graves chez les patients traités par STELARA et ceux recevant un placebo était comparable. Pendant la phase contrôlée contre placebo des études cliniques menées sur les patients atteints de psoriasis, de rhumatisme psoriasique, de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse, le taux d'infection était de 1,36 par année-patient de suivi chez les patients recevant STELARA et de 1,34 chez les patients recevant un placebo. Des infections graves survenaient chez les patients traités par STELARA à une fréquence de 0,03 par année-patient de suivi (30 infections graves sur 930 années-patients de suivi) et à une fréquence de 0,03 pour les patients recevant un placebo (15 infections graves pour 434 années-patients de suivi) (voir «Mises en garde et précautions» - «Infections»).
-Dans les parties contrôlées et non contrôlées des études cliniques sur le psoriasis, le rhumatisme psoriasique, la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse (représentant 11 581 années-patients d'exposition chez 6709 patients et un suivi médian de 1,0 année; 1,1 année pour les études sur le psoriasis et le rhumatisme psoriasique, 0,6 année pour les études sur la maladie de Crohn et 1,0 année pour les études sur la colite ulcéreuse), le taux d'infection chez les patients traités par STELARA était de 0,91 par année-patient de suivi et celui des infections graves de 0,02 par année-patient de suivi (199 infections graves sur 11 581 années-patients de suivi); parmi ces infections graves survenues chez les patients traités par STELARA, ont été rapportés des cas de pneumonie, d'abcès périanal, de cellulite, de diverticulite, de gastroentérite et d'infection virale.
- +Lors d'études contrôlées contre placebo sur les patients atteints de psoriasis, de rhumatisme psoriasique, de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse, la fréquence des infections ou des infections graves chez les patients traités par STELARA et ceux recevant un placebo était comparable. Pendant la phase contrôlée contre placebo des études cliniques menées sur les patients atteints de psoriasis, de rhumatisme psoriasique, de maladie de Crohn et de colite ulcéreuse, le taux d'infection était de 1,36 et de 1,34 par année de suivi-patient respectivement sous traitement par STELARA et sous placebo. Des infections graves survenaient à une fréquence de 0,03 dans les deux groupes de patients traités, par STELARA ou par placebo.
- +Dans les parties contrôlées et non contrôlées des études cliniques sur le psoriasis, le rhumatisme psoriasique, la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse (représentant 11 581 années-patients d'exposition chez 6709 patients et un suivi médian de 1,0 année; 1,1 année pour les études sur le psoriasis et le rhumatisme psoriasique, 0,6 année pour les études sur la maladie de Crohn et 1,0 année pour les études sur la colite ulcéreuse), le taux d'infection chez les patients traités par STELARA était de 0,91 par année de suivi-patient et celui des infections graves de 0,02 par année de suivi-patient (199 infections graves sur 11 581 années de suivi-patients); parmi ces infections graves survenues chez les patients traités par STELARA, ont été rapportés des cas de pneumonie, d'abcès périanal, de cellulite, de diverticulite, de gastroentérite et d'infection virale.
-Pendant la phase contrôlée contre placebo des études cliniques sur le psoriasis, le rhumatisme psoriasique, la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse, l'incidence des tumeurs malignes (carcinomes basocellulaires et carcinomes spinocellulaires exceptés) chez les patients traités par STELARA était de 0,11 pour 100 années-patients de suivi contre 0,23 pour les patients recevant un placebo.
- +Pendant la phase contrôlée contre placebo des études cliniques sur le psoriasis, le rhumatisme psoriasique, la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse, l'incidence des tumeurs malignes (carcinomes basocellulaires et carcinomes spinocellulaires exceptés) chez les patients traités par STELARA était de 0,11 pour 100 années de suivi-patient et de 0,23 pour les patients recevant un placebo.
-Dans les phases contrôlées et non contrôlées des études cliniques sur le psoriasis, le rhumatisme psoriasique, la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse (représentant 11 561 années-patients d'exposition chez 6709 patients et un suivi médian de 1,0 année: 1,1 année pour les études sur le psoriasis et le rhumatisme psoriasique, 0,6 année pour la maladie de Crohn et 1,0 année pour la colite ulcéreuse), l'incidence des tumeurs malignes (carcinomes basocellulaires et carcinomes spinocellulaires exceptés) était de 0,54 pour 100 années-patients de suivi chez les patients traités par STELARA.
- +Dans les phases contrôlées et non contrôlées des études cliniques sur le psoriasis, le rhumatisme psoriasique, la maladie de Crohn et la colite ulcéreuse (représentant 11 561 années-patients d'exposition chez 6709 patients et un suivi médian de 1,0 année: 1,1 année pour les études sur le psoriasis et le rhumatisme psoriasique, 0,6 année pour la maladie de Crohn et 1,0 année pour la colite ulcéreuse), l'incidence des tumeurs malignes (carcinomes basocellulaires et carcinomes spinocellulaires exceptés) était de 0,54 pour 100 années de suivi-patient chez les patients traités par STELARA.
-L'incidence des cancers cutanés non mélanomateux était de 0,49 pour 100 années-patients de suivi chez les patients traités par STELARA. Le ratio de patients atteints de cancer basocellulaire versus spinocellulaire (3:1) est comparable à celui attendu dans la population générale des États-Unis (conformément à la banque de données SEER, corrigé pour l'âge, le sexe et l'ethnie). Les tumeurs malignes le plus fréquemment observées – tumeurs cutanées non mélanomateuses exclues – étaient le cancer de la prostate, le cancer colorectal, le mélanome et le cancer du sein.
- +L'incidence des cancers cutanés non mélanomateux était de 0,49 pour 100 années de suivi-patients chez les patients traités par STELARA. Le ratio de patients atteints de cancer basocellulaire versus spinocellulaire (3:1) est comparable à celui attendu dans la population générale des États-Unis (conformément à la banque de données SEER, corrigé pour l'âge, le sexe et l'ethnie). Les tumeurs malignes le plus fréquemment observées – tumeurs cutanées non mélanomateuses exclues – étaient le cancer de la prostate, le cancer colorectal, le mélanome et le cancer du sein.
-Données d'études cliniques menées auprès d'adolescents atteints de psoriasis
-La sécurité de STELARA a été évaluée auprès de 110 patients âgés de 12 à 17 ans durant une période allant jusqu'à 60 semaines. Les événements indésirables rapportés étaient comparables à ceux obtenus dans les études précédentes menées auprès d'adultes atteints de psoriasis en plaques.
- +Données d'études cliniques menées auprès de patients pédiatriques' atteints de psoriasis
- +La sécurité de STELARA a été évaluée au cours de 2 études de phase 3 incluant des patients pédiatriques présentant un psoriasis en plaques modéré à sévère. Dans la première étude, 110 patients âgés de 12 à 17 ans ont été traités durant une période allant jusqu'à 60 semaines (CADMUS) et dans la deuxième étude, 44 patients âgés de 6 à 11 ans ont été traités sur une période allant jusqu'à 56 semaines (CADMUS Jr.). Dans les deux études, de manière générale, les événements indésirables rapportés étaient comparables à ceux obtenus dans les études précédentes menées auprès d'adultes atteints de psoriasis en plaques. Les données concernant la sécurité à long terme chez les enfants et les adolescents sont limitées.
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
- +Pharmacodynamique
- +Psoriasis en plaques – Patients pédiatriques (enfants âgés de 6 à 11 ans)
- +L'efficacité de STELARA a été évaluée chez 44 patients pédiatriques âgés de 6 à 11 ans présentant un psoriasis en plaques modéré à sévère au cours d'une étude ouverte, à un bras, multicentrique de phase 3 (CADMUS Jr.). Les patients (n=44) étaient traités par la dose de STELARA recommandée (voir «Posologie/Mode d'emploi») par injection sous-cutanée aux semaines 0 et 4, puis par injections toutes les 12 semaines (q12w).
- +Les caractéristiques de la maladie des patients inclus dans l'étude au moment de l'inclusion (valeur initiale) sont résumées dans le tableau 7. Les patients ayant un PASI ≥12, un PGA ≥3 et au moins 10% de la surface corporelle impliquée remplissaient les critères d'inclusion pour lesquels une thérapie systémique ou une photothérapie était indiquée. Environ 23% des patients avaient reçu au préalable un traitement systémique conventionnel ou par des agents biologiques.
- +Tableau 7: caractéristiques de la maladie des patients pédiatriques âgés de 6 à 11 ans à l'inclusion (valeur initiale); CADMUS Jr.
- + STELARA*
- +Nombre de patients inclus N= 44
- +Âge médian (ans) 9,5
- +Sexe masculin 17 (38,6%)
- +Poids moyen (intervalle; kg) 38,4 (19; 99)
- +IMC médian (kg/m2) 18,0
- +SCA médiane 18,0
- +SCA ≥20% 19 (43,2%)
- +PASI médian 16,1
- +CDLQI** médian(0-30) 7,0
- +PGA important ou sévère 15 (34,1%)
- +Durée médiane de la maladie psoriasique (ans) 2,9
- +Traitement topique antérieur 43 (97,7%)
- +Photothérapie antérieure 15 (34,1%)
- +Traitement systémique conventionnel antérieur 8 (18,2%)
- +Traitement systémique conventionnel antérieur ou phytothérapie 19 (43,2%)
- +Traitement antérieur par agents biologiques 2 (4,5%)
- +Traitement systémique conventionnel antérieur ou traitement antérieur par agents biologiques 10 (22,7%)
- +
- +* Les données se rapportent à la dose de STELARA recommandée
- +** CDLQI: instrument utilisé en dermatologie, destiné à l'évaluation de l'effet d'un problème cutané sur la qualité de vie liée à la santé des patients pédiatriques. Un nombre plus élevé de points (score) correspond à un effet très délétère sur la qualité de vie liée à la santé.
- +Le critère d'évaluation primaire était le pourcentage de patients démontrant un score PGA nul (0) ou minime (1) à la semaine 12. Les critères d'évaluation secondaires étaient le PASI 75, le PASI 90 et la modification du CDLQI (Children's Dermatology Life Quality Index) à la semaine 12 par rapport à la valeur initiale. À la semaine 12, les patients traités par STELARA ont montré une amélioration significative du psoriasis et de la qualité de vie liée à la maladie (tableau 8).
- +Tableau 8: résumé des critères d'évaluation primaire et secondaires à la semaine 12 et à la semaine 52: CADMUS Jr. (âge 6 à 11 ans)
- + STELARA Semaine 12 STELARA Semaine 52
- + N (%) N (%)
- +Nombre de patients inclus 44 41
- +Score PGA nul (0) ou minime (1) 34 (77,3%) 31 (75,6%)
- +Score PGA nul (0) 17 (38,6%) 23 (56,1%)
- +Répondeurs PASI 75 37 (84,1%) 36 (87,8%)
- +Répondeurs PASI 90 28 (63,6%) 29 (70,7%)
- +Répondeurs PASI 100 15 (34,1%) 22 (53,7%)
- +Nombre de patients ayant un CDLQI >1 au début de l'étude (valeur initiale) 39 36
- +CDLQI 0 ou 1* 24 (61,5%) 21 (58,3%)
- +
- +* Le CDLQI est un instrument utilisé en dermatologie destiné à l'évaluation de l'effet d'un problème cutané sur la qualité de vie liée à la santé des patients pédiatriques. Un CDLQI de 0 à 1 correspond à aucun effet sur la qualité de vie de l'enfant.
- +Tous les patients ont été suivis sur une durée allant jusqu'à 52 semaines après la première prise du médicament de l'étude. L'efficacité mesurée avec un score PGA allant de 0 à 1 était déjà observée à la première échéance de l'étude 4 semaines après l'inclusion (valeur initiale), elle augmentait jusqu'à la semaine 16 puis restait pratiquement stable jusqu'à la semaine 52. Les améliorations du PGA, PASI et CDLQI se maintenaient jusqu'à la semaine 52.
-Dans les deux études, par rapport au placebo, une proportion significativement plus importante de patients du groupe sous STELARA 45 mg et 90 mg a obtenu une réponse ACR 20 et ACR 50 en semaine 24 (cf. tableau 7). Dans le cadre de PSUMMIT I, une proportion de patients significativement plus importante et dans l'étude PSUMMIT II une proportion de patients numériquement plus importante de patients (p = NS) des groupes STELARA 45 mg et 90 mg ont obtenu une réponse ACR-70, par rapport au placebo (cf. tableau 7).
-Les principaux résultats concernant l'efficacité sont présentés dans le tableau 7.
- +Dans les deux études, par rapport au placebo, une proportion significativement plus importante de patients du groupe sous STELARA 45 mg et 90 mg a obtenu une réponse ACR 20 et ACR 50 en semaine 24 (cf. tableau 9). Dans le cadre de PSUMMIT I, une proportion de patients significativement plus importante et dans l'étude PSUMMIT II une proportion de patients numériquement plus importante de patients (p = NS) des groupes STELARA 45 mg et 90 mg ont obtenu une réponse ACR-70, par rapport au placebo (cf. tableau 9).
- +Les principaux résultats concernant l'efficacité sont présentés dans le tableau 9.
-Tableau 7: nombre de patients qui ont obtenu un ACR 20-, ACR 50-, ACR 70-, PsARC-, une rémission DAS28-CRP et un PASI 75 et PASI 90 à la semaine 24
- +Tableau 9: nombre de patients qui ont obtenu un ACR 20-, ACR 50-, ACR 70-, PsARC-, une rémission DAS28-CRP et un PASI 75 et PASI 90 à la semaine 24
-Aussi bien dans UNITI-1 que dans UNITI-2, le groupe traité par STELARA comportait une proportion significativement supérieure de patients avec réponse clinique ou rémission clinique par rapport au groupe placebo (tableau 8).
- +Aussi bien dans UNITI-1 que dans UNITI-2, le groupe traité par STELARA comportait une proportion significativement supérieure de patients avec réponse clinique ou rémission clinique par rapport au groupe placebo (tableau 10).
-Tableau 8: induction de la réponse clinique et de la rémission clinique dans UNITI-1* et UNITI-2**
- +Tableau 10: induction de la réponse clinique et de la rémission clinique dans UNITI-1* et UNITI-2**
-Dans les groupes traités par STELARA, la proportion des patients avec réponse clinique et avec rémission clinique à la semaine 44 était significativement plus élevée que dans le groupe placebo (tableau 9). Chez les patients qui avaient une faible charge inflammatoire systémique (CRP ≤10 mg/l) au début de l'induction ou au début du traitement d'entretien, l'efficacité du schéma posologique toutes les 12 semaines était comparable à celle du schéma posologique toutes les 8 semaines.
-Tableau 9: réponse clinique et rémission clinique dans IM-UNITI à la semaine 44; (52 semaines après le début de l'administration de la dose d'induction)
- +Dans les groupes traités par STELARA, la proportion des patients avec réponse clinique et avec rémission clinique à la semaine 44 était significativement plus élevée que dans le groupe placebo (tableau 11). Chez les patients qui avaient une faible charge inflammatoire systémique (CRP ≤10 mg/l) au début de l'induction ou au début du traitement d'entretien, l'efficacité du schéma posologique toutes les 12 semaines était comparable à celle du schéma posologique toutes les 8 semaines.
- +Tableau 11: réponse clinique et rémission clinique dans IM-UNITI à la semaine 44; (52 semaines après le début de l'administration de la dose d'induction)
-Patients avec CRP ≤10 mg/l au début du traitement d'entretienc 36% (N=102) 55% (N=96) 51% (N=90)
-Patients avec CRP >10 mg/l au début du traitement d'entretienc 34% (N=29) 30% (N=33) 58% (N=38)
- +Patients avec CRP ≤10 mg/l au début du traitement d'entretienc 36% (N=102) 51% (N=96) 55% (N=90)
- +Patients avec CRP >10 mg/l au début du traitement d'entretienc 34% (N=29) 58% (N=33) 30% (N=38)
-Tableau 10: résumé des principaux critères d'évaluation de l'efficacité dans UNIFI-induction (semaine 8)
-Critère d'évaluation Placebo N = 319 Ustekinumab† N = 322
- +Tableau 12: résumé des principaux critères d'évaluation de l'efficacité dans UNIFI-induction (semaine 8)
- +Critère d'évaluation Placebo N=319 Ustekinumab† N=322
-†Dose de perfusion de l'ustekinumab calculée en utilisant le schéma posologique basé sur le poids précisé dans le Tableau 1. * La rémission clinique est définie par un score Mayo ≤2 points, sans sous-score individuel >1. § La réponse clinique est définie par une diminution du score Mayo de ≥30% et ≥3 points par rapport aux valeurs de référence, avec soit une diminution du sous-score de saignement rectal de ≥1 par rapport aux valeurs de référence, soit un sous-score de saignement rectal de 0 ou de 1. ¥ Un anti-TNFα et/ou vedolizumab. € La cicatrisation de la muqueuse est définie par un sous-score Mayo endoscopique de 0 ou 1. £ La rémission symptomatique est définie par un sous-score Mayo de la fréquence des selles de 0 ou 1 et un sous-score de saignement rectal de 0. ° La rémission symptomatique et la cicatrisation endoscopique combinées sont définies par un sous-score de la fréquence des selles de 0 ou 1, un sous-score de saignement rectal de 0 et un sous-score endoscopique de 0 ou 1. a p <0,001 b Nominalement significatif (p <0,001) c Nominalement significatif (p <0,05)
- +† Dose de perfusion de l'ustekinumab calculée en utilisant le schéma posologique basé sur le poids précisé dans le tableau 1.
- +*La rémission clinique est définie par un score Mayo ≤2 points, sans sous-score individuel >1.
- +§ La réponse clinique est définie par une diminution du score Mayo de ≥30% et ≥3 points par rapport à la valeur initiale, avec soit une diminution du sous-score de saignement rectal de ≥1 par rapport à la valeur initiale, soit un sous-score de saignement rectal de 0 ou de 1.
- +¥ Un anti-TNFα et/ou vedolizumab.
- +€ La cicatrisation de la muqueuse est définie par un sous-score Mayo endoscopique de 0 ou 1.
- +£ La rémission symptomatique est définie par un sous-score Mayo de la fréquence des selles de 0 ou 1 et un sous-score de saignement rectal de 0.
- +° La rémission symptomatique et la cicatrisation endoscopique combinées sont définies par un sous-score de la fréquence des selles de 0 ou 1, un sous-score de saignement rectal de 0 et un sous-score endoscopique de 0 ou 1.
- +a p<0,001
- +b Nominalement significatif (p<0,001)
- +c Nominalement significatif (p<0,05)
-Une proportion plus importante de patients étaient en rémission clinique et présentaient une réponse clinique durable dans les deux groupes traités par ustekinumab par rapport au groupe placebo jusqu'à la semaine 44 incluse (voir tableau 11).
-Tableau 11: résumé des principaux critères d'évaluation de l'efficacité dans UNIFI-entretien (semaine 44; 52 semaines à compter de l'instauration de la dose d'induction)
- Placebo* N = 175 Ustekinumab 90 mg toutes les 8 semaines N = 176 Ustekinumab 90 mg toutes les 12 semaines N = 172
- +Une proportion plus importante de patients étaient en rémission clinique et présentaient une réponse clinique durable dans les deux groupes traités par ustekinumab par rapport au groupe placebo jusqu'à la semaine 44 incluse (voir tableau 13).
- +Tableau 13: résumé des principaux critères d'évaluation de l'efficacité dans UNIFI-entretien (semaine 44; 52 semaines à compter de l'instauration de la dose d'induction)
- + Placebo* N=175 Ustekinumab 90 mg toutes les 8 semaines N=176 Ustekinumab 90 mg toutes les 12 semaines N=172
-* Après la réponse à l'ustekinumab (administration intraveineuse). ** La rémission clinique est définie par un score Mayo ≤2 points, sans sous-score individuel >1. § La réponse clinique est définie par une baisse du score Mayo de ≥30% et ≥3 points par rapport aux valeurs de référence, avec soit une diminution du sous-score de saignement rectal de ≥1 par rapport aux valeurs de référence, soit un sous-score de saignement rectal de 0 ou de 1. ¥ un antiTNFα et/ou vedolizumab. † La cicatrisation de la muqueuse est définie par un sous-score Mayo endoscopique de 0 ou 1. £ Le maintien de la rémission clinique jusqu'à la semaine 44 est définie comme les patients étant en rémission clinique jusqu'à la semaine 44 parmi les patients déjà en rémission clinique au début du traitement d'entretien. ‡ La rémission clinique sans corticoïdes est définie comme les patients en rémission clinique et ne recevant pas de corticoïdes à la semaine 44. $ La rémission durable est définie par une rémission de Mayo partielle pour ≥80% de toutes les visites avant la semaine 44 et une rémission de Mayo partielle à la dernière visite (semaine 44). ± La rémission symptomatique est définie par un sous-score Mayo de la fréquence des selles de 0 ou 1 et un sous-score de saignement rectal de 0. € La rémission symptomatique et la cicatrisation de la muqueuse combinées sont définies par un sous-score de la fréquence des selles de 0 ou 1, un sous-score de saignement rectal de 0 et un sous-score endoscopique de 0 ou 1. a p <0,001 b p <0,05 c Nominalement significatif (p <0,001) d Nominalement significatif (p <0,05) e Non statistiquement significatif
- +* Après la réponse à l'ustekinumab (administration intraveineuse).
- +** La rémission clinique est définie par un score Mayo ≤2 points, sans sous-score individuel >1.
- +§ La réponse clinique est définie par une baisse du score Mayo de ≥30% et ≥3 points par rapport à la valeur initiale, avec soit une diminution du sous-score de saignement rectal de ≥1 par rapport à la valeur initiale, soit un sous-score de saignement rectal de 0 ou de 1.
- +¥ Un antiTNFα et/ou vedolizumab.
- +† La cicatrisation de la muqueuse est définie par un sous-score Mayo endoscopique de 0 ou 1.
- +£ Le maintien de la rémission clinique jusqu'à la semaine 44 est définie comme les patients étant en rémission clinique jusqu'à la semaine 44 parmi les patients déjà en rémission clinique au début du traitement d'entretien.
- +‡ La rémission clinique sans corticoïdes est définie comme les patients en rémission clinique et ne recevant pas de corticoïdes à la semaine 44.
- +$ La rémission durable est définie par une rémission de Mayo partielle pour ≥80% de toutes les visites avant la semaine 44 et une rémission de Mayo partielle à la dernière visite (semaine 44).
- +± La rémission symptomatique est définie par un sous-score Mayo de la fréquence des selles de 0 ou 1 et un sous-score de saignement rectal de 0.
- +€ La rémission symptomatique et la cicatrisation de la muqueuse combinées sont définies par un sous-score de la fréquence des selles de 0 ou 1, un sous-score de saignement rectal de 0 et un sous-score endoscopique de 0 ou 1.
- +a p<0,001
- +b p<0,05
- +c Nominalement significatif (p<0,001)
- +d Nominalement significatif (p<0,05)
- +e Non statistiquement significatif
-Populations particulières
-Adolescents (12 à 17 ans)
-Chez les adolescents âgés de 12 à 17 ans atteints de psoriasis et traités par la dose recommandée, la pharmacocinétique de l'ustekinumab était généralement comparable à celle chez les patients adultes atteints de psoriasis.
-Patients âgés (65 ans et plus)
-Aucune étude spécifique n'a été réalisée sur des patients plus âgés. L'analyse pharmacocinétique de population (utilisant des données concernant des patients atteints de psoriasis) n'a révélé aucune modification reconnaissable des estimations CL/F et V/F chez des patients ≥65 ans.
-Insuffisance rénale
-Aucune donnée pharmacocinétique de patients souffrant d'insuffisance rénale n'est disponible.
-Insuffisance hépatique
- +Cinétique pour certains groupes de patients
- +Troubles de la fonction hépatique
- +Troubles de la fonction rénale
- +Aucune donnée pharmacocinétique de patients souffrant d'insuffisance rénale n'est disponible.
- +Patients âgés (65 ans et plus)
- +Aucune étude spécifique n'a été réalisée sur des patients âgés. L'analyse pharmacocinétique de population (utilisant des données concernant des patients atteints de psoriasis) n'a révélé aucune modification reconnaissable des estimations CL/F et V/F chez des patients ≥65 ans.
- +Enfants et adolescents (6 à 17 ans)
- +Chez les enfants et les adolescents âgés de 6 à 17 ans atteints de psoriasis et traités par la dose recommandée, la pharmacocinétique de l'ustekinumab était généralement comparable à celle chez les patients adultes atteints de psoriasis.
- +Toxicité en cas d'administration répétée
-Aucune étude de cancérogénicité n'a été effectuée avec l'ustekinumab, car l'ustekinumab ne neutralise pas les IL-12/23 chez les rongeurs, contrairement à ce qui se produit chez l'homme.
- +Mutagénicité
- +Aucune étude non clinique à la recherche d'un potentiel mutagène de l'ustekinumab n'a été effectuée.
- +Carcinogénicité
- +Aucune étude de carcinogénicité n'a été effectuée avec l'ustekinumab, car l'ustekinumab ne neutralise pas les IL-12/23 chez les rongeurs, contrairement à ce qui se produit chez l'homme.
- +Toxicité sur la reproduction
- +
-Avant l'administration sous-cutanée, un contrôle optique de la présence d'éventuelles particules et de la coloration de la solution injectable STELARA doit être réalisé pour chaque flacon perforable/seringue prête à l’emploi.
- +Avant l'administration sous-cutanée, un contrôle optique de la présence d'éventuelles particules et de la coloration de la solution injectable STELARA doit être réalisé pour chaque flacon perforable/seringue prête à l'emploi.
-Avril 2020
- +Septembre 2020
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