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Accueil - Information professionnelle sur Lansoprax 15 mg - Changements - 17.11.2017
98 Changements de l'information professionelle Lansoprax 15 mg
  • -Capsules avec gastro-résistants pellets à 15 mg et 30 mg.
  • -Indications/possibilités d’emploi
  • +Capsules avec gastro-résistants pellets à 15 mg et 30 mg de lansoprazole.
  • +Indications/Possibilités d’emploi
  • -- ulcère duodénal/ulcère gastrique inclus ulcère duodénal/ulcère gastrique induits par les AINS chez les patients nécessitant la poursuite dun traitement par un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS)
  • -- prévention de lulcère duodénal et de lulcère gastrique induits par les AINS chez les patients nécessitant la poursuite dun traitement par un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) et dont le risque de développer un ulcère induit par un AINS est élevé. Les études contrôlées menées pour démontrer lefficacité et la tolérance étaient de 12 semaines.
  • -eradication de l'Helicobacter pylori lors d'ulcères gastriques, d'ulcères duodénaux ainsi que de gastrites associées à un Helicobacter pylori lors de ladministration simultanée de 2 antibiotiques pendant 7 jours, un des antibiotiques devant être la clarithromycine.
  • -oesophagite de reflux (inclus prévention et traitement de longue durée)
  • -- reflux gastro-oesophagien symptomatique sans oesophagite de reflux érosive ulcérative
  • -- syndrome de Zollinger-Ellison
  • -- traitement symptomatique de courte durée des troubles épigastriques (comme régurgitations acides, aigreurs et douleurs épigastriques).
  • +·ulcère duodénal/ulcère gastrique inclus ulcère duodénal/ulcère gastrique induits par les AINS chez les patients nécessitant la poursuite d'un traitement par un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS)
  • +·prévention de l'ulcère duodénal et de l'ulcère gastrique induits par les AINS chez les patients nécessitant la poursuite d'un traitement par un anti-inflammatoire non stéroïdien (AINS) et dont le risque de développer un ulcère induit par un AINS est élevé. Les études contrôlées menées pour démontrer l'efficacité et la tolérance étaient de 12 semaines.
  • +·éradication de l'Helicobacter pylori lors d'ulcères gastriques, d'ulcères duodénaux ainsi que de gastrites associées à un Helicobacter pylori lors de l'administration simultanée de 2 antibiotiques pendant 7 jours, un des antibiotiques devant être la clarithromycine.
  • +·oesophagite de reflux (inclus prévention et traitement de longue durée)
  • +·reflux gastro-oesophagien symptomatique sans oesophagite de reflux érosive ulcérative
  • +·syndrome de Zollinger-Ellison
  • +·traitement symptomatique de courte durée des troubles épigastriques (comme régurgitations acides, aigreurs et douleurs épigastriques).
  • -Oesophagite de reflux.
  • -Posologie/mode d’emploi
  • +·oesophagite de reflux.
  • +Posologie/Mode d’emploi
  • -Les capsules sont à prendre avec de leau le matin, au moins 30 minutes avant le petit-déjeuner. Elles ne doivent pas être croquées.
  • +Les capsules sont à prendre avec de l'eau le matin, au moins 30 minutes avant le petit-déjeuner. Elles ne doivent pas être croquées.
  • -En général 30 mg 1x par jour.
  • -Chez la plupart des patients, les troubles disparaissent rapidement. L'ulcère guérit normalement au bout de 2 semaines. Si un traitement de deux semaines ne suffit pas, la guérison est obtenue dans la plupart des cas à l'issue de la poursuite du traitement pendant deux semaines supplémentaires. Chez les patients qui n’ont pas répondu à d’autres traitements, la prise de 60 mg de lansoprazole 1x par jour est recommandée.
  • +En général 30 mg 1× par jour.
  • +Chez la plupart des patients, les troubles disparaissent rapidement. L'ulcère guérit normalement au bout de 2 semaines. Si un traitement de deux semaines ne suffit pas, la guérison est obtenue dans la plupart des cas à l'issue de la poursuite du traitement pendant deux semaines supplémentaires.
  • -En général 30 mg 1x par jour.
  • -Les troubles disparaissent généralement en quelques jours, l'ulcère guérit chez la plupart des patients en quatre semaines. Si un traitement de quatre semaines ne suffit pas, la guérison est généralement obtenue à lissue de la poursuite du traitement pendant deux à quatre semaines supplémentaires. Chez les patients qui n’ont pas répondu à d’autres traitements, la prise de 60 mg de lansoprazole 1x par jour est recommandée.
  • -Traitement de lulcère gastrique et de lulcère duodénal induits par les AINS:
  • -30 mg 1x par jour pendant 4 à 8 semaines.
  • -Prévention de lulcère gastrique et de lulcère duodénal induits par les AINS:
  • -15 mg 1x par jour.
  • +En général 30 mg 1× par jour.
  • +Les troubles disparaissent généralement en quelques jours, l'ulcère guérit chez la plupart des patients en quatre semaines. Si un traitement de quatre semaines ne suffit pas, la guérison est généralement obtenue à l'issue de la poursuite du traitement pendant deux à quatre semaines supplémentaires.
  • +Traitement de l'ulcère gastrique et de l'ulcère duodénal induits par les AINS:
  • +30 mg 1× par jour pendant 4 à 8 semaines.
  • +Prévention de l'ulcère gastrique et de l'ulcère duodénal induits par les AINS:
  • +15 mg 1× par jour.
  • -30 mg le matin et le soir pendant 7 jours en association avec 2 antibiotiques appropriés, lun des deux devant être de la clarithromycine: par ex. 1 g damoxicilline 2x par jour, plus 250 à 500 mg de clarithromycine 2x par jour ou 400 à 500 mg de métronidazole 2x par jour, plus 250 mg de clarithromycine 2x par jour.
  • -Lutilisation dun régime thérapeutique à base de 30 mg de lansoprazole 2x par jour, 1 g damoxicilline 2x par jour et 400 à 500 mg de métronidazole 2x par jour a aussi été étudiée. Sous cette association, des taux déradication plus bas que ceux rapportés avec les régimes utilisant de la clarithromycine ont été observés. Ce traitement peut toutefois être indiqué chez les personnes ne pouvant pas prendre de la clarithromycine dans le cadre dun traitement déradication si les taux de résistance locaux au métronidazole sont faibles.
  • -Lors du choix dune association, il y a lieu de tenir compte des directives cliniques actuelles relatives aux résistances bactériennes, à la durée du traitement (7 jours dans la plupart de cas, mais parfois jusquà 14 jours) et à lutilisation conforme des antibactériens.
  • +30 mg le matin et le soir pendant 7 jours en association avec 2 antibiotiques appropriés, l'un des deux devant être de la clarithromycine: par ex. 1 g d'amoxicilline 2× par jour, plus 250 à 500 mg de clarithromycine 2× par jour ou 400 à 500 mg de métronidazole 2× par jour, plus 250 mg de clarithromycine 2× par jour.
  • +L'utilisation d'un régime thérapeutique à base de 30 mg de lansoprazole 2× par jour, 1 g d'amoxicilline 2× par jour et 400 à 500 mg de métronidazole 2× par jour a aussi été étudiée. Sous cette association, des taux d'éradication plus bas que ceux rapportés avec les régimes utilisant de la clarithromycine ont été observés. Ce traitement peut toutefois être indiqué chez les personnes ne pouvant pas prendre de la clarithromycine dans le cadre d'un traitement d'éradication si les taux de résistance locaux au métronidazole sont faibles.
  • +Lors du choix d'une association, il y a lieu de tenir compte des directives cliniques actuelles relatives aux résistances bactériennes, à la durée du traitement (7 jours dans la plupart de cas, mais parfois jusqu'à 14 jours) et à l'utilisation conforme des antibactériens.
  • -En général 30 mg 1x par jour.
  • -Les symptômes sont rapidement supprimés, chez la plupart des patients la guérison survient au bout de quatre semaines. Si un traitement de quatre semaines ne suffit pas, la guérison est obtenue dans la plupart des cas à l'issue de la poursuite du traitement pendant deux semaines supplémentaires. Chez les patients qui n’ont pas répondu à d’autres traitements, la prise de 60 mg de lansoprazole 1x par jour est recommandée.
  • +En général 30 mg 1× par jour.
  • +Les symptômes sont rapidement supprimés, chez la plupart des patients la guérison survient au bout de quatre semaines. Si un traitement de quatre semaines ne suffit pas, la guérison est obtenue dans la plupart des cas à l'issue de la poursuite du traitement pendant deux semaines supplémentaires.
  • -15 mg ou 30 mg 1x par jour.
  • +15 mg ou 30 mg 1× par jour.
  • -15 mg 1 x par jour pendant 4 semaines.
  • +15 mg 1× par jour pendant 4 semaines.
  • -Après disparition des symptômes, les troubles récurrentes peuvent être traitées avec 15 mg 1x par jour selon les besoins.
  • +Après disparition des symptômes, les troubles récurrents peuvent être traités avec 15 mg 1× par jour selon les besoins.
  • -La posologie doit être adaptée individuellement. On recommande de commencer le traitement avec une dose initiale de 60 mg de lansoprazole par jour. Le traitement doit être poursuivi aussi longtemps qu'il est cliniquement indiqué. Des doses allant jusqu'à 90 mg de lansoprazole 2x par jour ont été utilisées pour le traitement. Répartir la dose journalière sur 2 prises si elle est supérieure à 120 mg.
  • +La posologie doit être adaptée individuellement. On recommande de commencer le traitement avec une dose initiale de 60 mg de lansoprazole par jour. Le traitement doit être poursuivi aussi longtemps qu'il est cliniquement indiqué. Des doses allant jusqu'à 90 mg de lansoprazole 2× par jour ont été utilisées pour le traitement. Répartir la dose journalière sur 2 prises si elle est supérieure à 120 mg.
  • -15 mg 1x par jour pendant 2 semaines maximum.
  • -Si les symptômes devaient persister après ces 2 semaines de traitement, la réalisation dexamens à visée diagnostique est recommandée.
  • +15 mg 1× par jour pendant 2 semaines maximum.
  • +Si les symptômes devaient persister après ces 2 semaines de traitement, la réalisation d'examens à visée diagnostique est recommandée.
  • -Dose initiale: 15 mg 1x par jour chez les patients avec un poids corporel <30 kg et 30 mg 1x par jour chez les patients avec un poids corporel >30 kg pendant 4 semaines et jusquà 12 semaines maximum. Une augmentation de la dose jusqu’à un maximum de 60 mg de lansoprazole par jour peut être bénéfique chez certains patients.
  • +Dose initiale: 15 mg 1× par jour chez les patients avec un poids corporel <30 kg et 30 mg 1× par jour chez les patients avec un poids corporel >30 kg pendant 4 semaines et jusqu'à 12 semaines maximum.
  • -Lexpérience chez lenfant insuffisant rénal ou hépatique nest pas suffisante pour recommander lutilisation de Lansoprax chez ce groupe de patients.
  • +L'expérience chez l'enfant insuffisant rénal ou hépatique n'est pas suffisante pour recommander l'utilisation de Lansoprax chez ce groupe de patients.
  • -À linstar des autres thérapies anti-ulcéreuses, il convient dexclure une éventuelle tumeur gastrique maligne avant tout traitement par Lansoprax dans la mesure où le lansoprazole peut masquer les symptômes et retarder la pose du diagnostic.
  • +À l'instar des autres thérapies anti-ulcéreuses, il convient d'exclure une éventuelle tumeur gastrique maligne avant tout traitement par Lansoprax dans la mesure où le lansoprazole peut masquer les symptômes et retarder la pose du diagnostic.
  • -Le lansoprazole doit être utilisé avec précaution chez les patients qui présentent un dysfonctionnement hépatique modéré à sévère (voir «Posologie/Mode demploi» et «Pharmacocinétique»).
  • -La prise concomitante de méthotrexate à fortes doses peut augmenter et prolonger la concentration sérique de méthotrexate et/ou de son métabolite et ainsi provoquer éventuellement une toxicité du méthotrexate. Une réaction symptomatique au lansoprazole nexclut pas la présence daffections gastriques malignes.
  • -Un traitement par IPP peut être associé à un risque accru dinfection à Clostridium difficile.
  • -Il est probable que la diminution de lacidité gastrique induite par le lansoprazole saccompagne dune augmentation du nombre de bactéries normalement présentes dans le tractus gastro-intestinal. Le traitement par lansoprazole peut entraîner un risque légèrement accru dinfections gastro-intestinales, notamment par Salmonella et Campylobacter.
  • -Chez les patients atteints dun ulcère gastroduodénal, la possibilité dinfections à H. Pylori constitue un facteur étiologique à prendre en compte.
  • -En cas d'utilisation concomitante de lansoprazole et d'antibiotiques en vue d'éradiquer H .pylori, il est primordial de se conformer aux instructions dutilisation des antibiotiques concernés.
  • -Des cas très rares de colite microscopique (épaississement de la bande de collagène ou infiltration de cellules inflammatoires dans la sous-muqueuse sans modifications macroscopiquement visibles de la muqueuse) ont été rapportés chez des patients sous lansoprazole. L'interruption du traitement doit donc être envisagée en cas de diarrhée aiguë ou persistante. Dans la plupart des cas, les symptômes de la colite disparaissent à larrêt du lansoprazole.
  • -La prophylaxie de lulcère peptique chez les patients nécessitant un traitement permanent par AINS doit se limiter aux patients à haut risque (antécédents de saignements, de perforations ou dulcères gastro-intestinaux, âge avancé, prise concomitante de médicaments connus pour favoriser lapparition deffets indésirables au niveau de la partie supérieure du tractus gastro-intestinal [notamment, corticostéroïdes ou anticoagulants], présence dimportants facteurs de comorbidité ou usage prolongé dAINS aux doses maximales recommandées).
  • -Des cas dhypomagnésémie sévère ont été rapportés chez des patients traités avec des IPP (inhibiteurs de la pompe à protons) comme le lansoprazole pendant au moins 3 mois et dans la plupart des cas pendant un an. Des formes sévères dhypomagnésémie telles que fatigue, tétanie, délire, crampes, vertiges et arythmie ventriculaire peuvent survenir. Elles peuvent se déclarer de manière insidieuse et ne pas être remarquées. Chez la plupart des patients concernés, lhypomagnésémie sest améliorée après un apport en magnésium et larrêt du traitement avec un IPP.
  • -Chez les patients probablement traités sur une longue période ou qui prennent des IPP avec de la digoxine ou des médicaments pouvant causer lhypomagnésémie (p.ex. diurétiques), la mesure du taux de magnésium doit être prise en considération avant le traitement par IPP et pendant celui-ci à intervalles réguliers.
  • -Les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent, en particulier lorsquils sont utilisés à fortes doses et sur une longue période (> 1 an), légèrement augmenter le risque de fractures de la hanche, du poignet et de la colonne vertébrale, surtout chez les personnes âgées ou celles qui présentent dautres facteurs de risque. Des études dobservation indiquent que les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent augmenter le risque de fractures de 10 à 40%. Une partie de cette hausse peut être le fait dautres facteurs de risque. Les patients présentant un risque dostéoporose doivent être traités selon les directives cliniques actuelles et recevoir suffisamment dapports en calcium et vitamine D.
  • -Lansoprax contient de la saccharose: les patients atteints de troubles héréditaires tels quune intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou une insuffisance en saccharoseisomaltase ne doivent donc pas prendre ce médicament.
  • +Le lansoprazole doit être utilisé avec précaution chez les patients qui présentent un dysfonctionnement hépatique modéré à sévère (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Pharmacocinétique»).
  • +Méthotrexate
  • +La prise concomitante de méthotrexate à fortes doses peut augmenter et prolonger la concentration sérique de méthotrexate et/ou de son métabolite et ainsi provoquer éventuellement une toxicité du méthotrexate.
  • +Affections gastriques malignes
  • +Une réaction symptomatique au lansoprazole n'exclut pas la présence d'affections gastriques malignes.
  • +Clostridium difficile
  • +Un traitement par IPP peut être associé à un risque accru d'infection à Clostridium difficile.
  • +Il est probable que la diminution de l'acidité gastrique induite par le lansoprazole s'accompagne d'une augmentation du nombre de bactéries normalement présentes dans le tractus gastro-intestinal. Le traitement par lansoprazole peut entraîner un risque légèrement accru d'infections gastro-intestinales, notamment par Salmonella et Campylobacter.
  • +Chez les patients atteints d'un ulcère gastroduodénal, la possibilité d'infections à H. Pylori constitue un facteur étiologique à prendre en compte.
  • +En cas d'utilisation concomitante de lansoprazole et d'antibiotiques en vue d'éradiquer
  • +H. pylori, il est primordial de se conformer aux instructions d'utilisation des antibiotiques concernés.
  • +Des cas très rares de colite microscopique (épaississement de la bande de collagène ou infiltration de cellules inflammatoires dans la sous-muqueuse sans modifications macroscopiquement visibles de la muqueuse) ont été rapportés chez des patients sous lansoprazole. L'interruption du traitement doit donc être envisagée en cas de diarrhée aiguë ou persistante. Dans la plupart des cas, les symptômes de la colite disparaissent à l'arrêt du lansoprazole.
  • +La prophylaxie de l'ulcère peptique chez les patients nécessitant un traitement permanent par AINS doit se limiter aux patients à haut risque (antécédents de saignements, de perforations ou d'ulcères gastro-intestinaux, âge avancé, prise concomitante de médicaments connus pour favoriser l'apparition d'effets indésirables au niveau de la partie supérieure du tractus gastro-intestinal [notamment, corticostéroïdes ou anticoagulants], présence d'importants facteurs de comorbidité ou usage prolongé d'AINS aux doses maximales recommandées).
  • +Des cas d'hypomagnésémie sévère ont été rapportés chez des patients traités avec des IPP (inhibiteurs de la pompe à protons) comme le lansoprazole pendant au moins 3 mois et dans la plupart des cas pendant un an. Des formes sévères d'hypomagnésémie telles que fatigue, tétanie, délire, crampes, vertiges et arythmie ventriculaire peuvent survenir. Elles peuvent se déclarer de manière insidieuse et ne pas être remarquées. Chez la plupart des patients concernés, l'hypomagnésémie s'est améliorée après un apport en magnésium et l'arrêt du traitement avec un IPP.
  • +Chez les patients probablement traités sur une longue période ou qui prennent des IPP avec de la digoxine ou des médicaments pouvant causer l'hypomagnésémie (p.ex. diurétiques), la mesure du taux de magnésium doit être prise en considération avant le traitement par IPP et pendant celui-ci à intervalles réguliers.
  • +Les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent, en particulier lorsqu'ils sont utilisés à fortes doses et sur une longue période (>1 an), légèrement augmenter le risque de fractures de la hanche, du poignet et de la colonne vertébrale, surtout chez les personnes âgées ou celles qui présentent d'autres facteurs de risque. Des études d'observation indiquent que les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent augmenter le risque de fractures de 10 à 40%. Une partie de cette hausse peut être le fait d'autres facteurs de risque. Les patients présentant un risque d'ostéoporose doivent être traités selon les directives cliniques actuelles et recevoir suffisamment d'apports en calcium et vitamine D.
  • +Lansoprax contient du saccharose: les patients atteints de troubles héréditaires tels qu'une intolérance au fructose, un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose ou une insuffisance en saccharoseisomaltase ne doivent donc pas prendre ce médicament.
  • +Vitamine B12-absorption
  • +Le traitement quotidien prolongé (pendant plusieurs années) par des médicaments qui bloquent la sécrétion acide peut provoquer une malabsorption de la cyanocobalamine (vitamine B12) par hypochlorhydrie ou achlorhydrie. Une carence en cyanocobalamine doit être envisagée chez les patients atteints d'états hypersécrétoires pathologiques nécessitant un traitement prolongé, chez les personnes présentant une baisse des réserves de l'organisme ou des facteurs de risque de réduction de l'absorption de la vitamine B12 (telles que les personnes âgées) pendant un traitement au long cours ou en présence de symptômes cliniques importants.
  • +Effet sur les examens de laboratoire
  • +Au cours du traitement par des médicaments antiacides, la gastrine sérique augmente en réponse à la diminution de la sécrétion acide. De la même manière, la chromogranine A (CgA) augmente en réponse à la diminution de la sécrétion acide. Cette augmentation du taux de CgA peut interférer avec les analyses réalisées lors de tumeurs neuroendocriniennes. Des données de la littérature mentionnent que tout traitement par un IPP doit être interrompu 5 à 14 jours avant un dosage de la CgA réalisé dans le cadre du bilan ou du contrôle de l'évolution de tumeurs neuroendocriniennes, car les taux de CgA accrus suite au traitement se normalisent en l'espace de 5 à 14 jours – ou plus dans de rares cas. Le dosage doit être répété si les taux de CgA sont encore trop élevés après ce délai.
  • +
  • -Le métabolisme du lansoprazole passe par les cytochromes P450, particulièrement par les isoenzymes des CYP3A et CYP2C19. Lors détudes menées avec des volontaires sains, aucune interaction de pertinence clinique n'a été mise en évidence entre le lansoprazole et d'autres médicaments également métabolisés par les cytochromes P450 comme la warfarine, le paracétamol, l'indométacine, l'ibuprofène, la phénytoïne, le propranolol, la prednisone, le diazépam ou la clarithromycine. Ces substances sont métabolisées par différentes isoenzymes, notamment les CYP1A2, CYP2C9, CYP2C19, CYP2D6 et CYP3A.
  • -Le lansoprazole peut augmenter les concentrations plasmatiques des principes actifs métabolisés par le CYP3A4. La prudence est donc de mise en cas dadministration simultanée de lansoprazole et de médicaments métabolisés par cet enzyme et ayant une fenêtre thérapeutique réduite.
  • -Lors de ladministration concomitante de lansoprazole et de théophylline, qui est métabolisée par le CYP1A2 et le CYP3A, une légère augmentation (10%) de la clairance de la théophylline a été observée, qui navait toutefois aucune pertinence clinique.
  • +Le métabolisme du lansoprazole passe par les cytochromes P450, particulièrement par les isoenzymes des CYP3A et CYP2C19. Lors d'études menées avec des volontaires sains, aucune interaction de pertinence clinique n'a été mise en évidence entre le lansoprazole et d'autres médicaments également métabolisés par les cytochromes P450 comme la warfarine, le paracétamol, l'indométacine, l'ibuprofène, la phénytoïne, le propranolol, la prednisone, le diazépam ou la clarithromycine. Ces substances sont métabolisées par différentes isoenzymes, notamment les CYP1A2, CYP2C9, CYP2C19, CYP2D6 et CYP3A.
  • +Le lansoprazole peut augmenter les concentrations plasmatiques des principes actifs métabolisés par le CYP3A4. La prudence est donc de mise en cas d'administration simultanée de lansoprazole et de médicaments métabolisés par cet enzyme et ayant une fenêtre thérapeutique réduite.
  • +Théophylline
  • +Lors de l'administration concomitante de lansoprazole et de théophylline, qui est métabolisée par le CYP1A2 et le CYP3A, une légère augmentation (10%) de la clairance de la théophylline a été observée, qui n'avait toutefois aucune pertinence clinique.
  • -Ladministration concomitante de lansoprazole augmente lexposition moyenne au tacrolimus (un substrat du CYP3A et de la P-gp) jusquà 81%. Il est donc nécessaire de surveiller les concentrations plasmatiques de tacrolimus lors de linstauration ou de linterruption dun traitement concomitant au lansoprazole.
  • +Tacrolimus
  • +L'administration concomitante de lansoprazole augmente l'exposition moyenne au tacrolimus (un substrat du CYP3A et de la P-gp) jusqu'à 81%. Il est donc nécessaire de surveiller les concentrations plasmatiques de tacrolimus lors de l'instauration ou de l'interruption d'un traitement concomitant au lansoprazole.
  • +P-glycoprotéine
  • +
  • -Une diminution de la dose peut être envisagée si le lansoprazole est associé à la fluvoxamine, inhibiteur du CYP2C19. Les concentrations plasmatiques de lansoprazole peuvent être jusquà quatre fois supérieures.
  • +CYP2C19
  • +Une diminution de la dose peut être envisagée si le lansoprazole est associé à la fluvoxamine, inhibiteur du CYP2C19. Les concentrations plasmatiques de lansoprazole peuvent être jusqu'à quatre fois supérieures.
  • -Chez les volontaires sains, ladministration unique ou répétée de 60 mg de lansoprazole na influencé ni la pharmacocinétique des énantiomères de la warfarine, ni le temps de prothrombine. Toutefois, des rapports existent décrivant une augmentation du taux de prothrombine (INR, International Normalized Ratio) et une prolongation du temps de prothrombine chez les patients prenant simultanément de la warfarine et des inhibiteurs de la pompe à protons y compris le lansoprazole. Un contrôle de lINR et du temps de prothrombine est éventuellement nécessaire chez les patients traités simultanément par un inhibiteur de la pompe à protons et par warfarine.
  • -Aucune donnée correspondante sur lacénocoumarol et la phenprocoumone nest disponible. Pour ces substances également, lINR doit être contrôlé lors de linstauration ou de linterruption du traitement.
  • -Aucune interaction de pertinence clinique na été observée entre le lansoprazole et lamoxicilline.
  • -L’administration simultanée de 30 mg de lansoprazole et de 1 g de sucralfate provoque un retardement de labsorption du lansoprazole et une diminution de sa biodisponibilité de 17%. Cest pourquoi la prise de linhibiteur de la pompe à protons aura lieu au moins 30 min avant celle du sucralfate.
  • -Dans les études cliniques, des antacides ont été administrés en même temps que le lansoprazole. Aucune influence sur leffet na été observée.
  • -Le lansoprazole induit une inhibition profonde et durable de la sécrétion dacide gastrique. Cest pourquoi le lansoprazole peut influencer labsorption des médicaments dont la biodisponibilité dépend du pH gastrique.
  • -Une étude a démontré que ladministration concomitante de lansoprazole (60 mg par jour) et datazanavir (400 mg) chez des volontaires en bonne santé entraîne une réduction sensible de lexposition datazanavir (diminution de l'ordre de 90% de lAUC et du Cmax).
  • -Labsorption de kétoconazole et ditraconazole par le tractus gastro-intestinal est favorisée par la présence dacide gastrique. Ladministration de lansoprazole peut induire des concentrations sous-thérapeutiques de kétoconazole et ditraconazole, par conséquent lassociation de ces principes actifs doit être évitée.
  • -L'administration concomitante de lansoprazole et de digoxine peut entraîner une augmentation de la concentration de digoxine dans le plasma. Lors de linstauration ou de linterruption dun traitement par lansoprazole, ce paramètre doit donc être surveillé et la dose de digoxine ajustée si nécessaire.
  • -Grossesse, allaitement
  • -Lexpérience durant la grossesse nest pas suffisante pour recommander lutilisation de Lansoprax chez la femme enceinte. Des études chez lanimal ne donnent aucun indice en faveur dun effet tératogène. Les études de reproduction ont mis en évidence un taux de survie légèrement réduit et un poids légèrement plus faible chez le rat et le lapin après ladministration de doses très élevées de lansoprazole. La prudence est de mise en cas dutilisation dLansoprax pendant la grossesse.
  • -Lexpérimentation animale indique que le lansoprazole est excrété dans le lait maternel. Aucune information nexiste sur lexcrétion du lansoprazole dans le lait maternel chez les femmes qui allaitent. Lutilisation dLansoprax durant lallaitement doit être évitée, sauf en cas de nécessité absolue.
  • +Warfarine
  • +Chez les volontaires sains, l'administration unique ou répétée de 60 mg de lansoprazole n'a influencé ni la pharmacocinétique des énantiomères de la warfarine, ni le temps de prothrombine. Toutefois, des rapports existent décrivant une augmentation du taux de prothrombine (INR, International Normalized Ratio) et une prolongation du temps de prothrombine chez les patients prenant simultanément de la warfarine et des inhibiteurs de la pompe à protons y compris le lansoprazole. Un contrôle de l'INR et du temps de prothrombine est éventuellement nécessaire chez les patients traités simultanément par un inhibiteur de la pompe à protons et par warfarine.
  • +Aucune donnée correspondante sur l'acénocoumarol et la phenprocoumone n'est disponible. Pour ces substances également, l'INR doit être contrôlé lors de l'instauration ou de l'interruption du traitement.
  • +Aucune interaction de pertinence clinique n'a été observée entre le lansoprazole et l'amoxicilline.
  • +Sucralfate
  • +L'administration simultanée de 30 mg de lansoprazole et de 1 g de sucralfate provoque un retardement de l'absorption du lansoprazole et une diminution de sa biodisponibilité de 17%. C'est pourquoi la prise de l'inhibiteur de la pompe à protons aura lieu au moins 30 min avant celle du sucralfate.
  • +Dans les études cliniques, des antacides ont été administrés en même temps que le lansoprazole. Aucune influence sur l'effet n'a été observée.
  • +Médicament dont la cinétique est dépendante du pH
  • +Le lansoprazole induit une inhibition profonde et durable de la sécrétion d'acide gastrique. C'est pourquoi le lansoprazole peut influencer l'absorption des médicaments dont la biodisponibilité dépend du pH gastrique.
  • +Inhibiteurs de protéases du VIH
  • +La prise concomitante de lansoprazole et d'inhibiteurs de protéases du VIH dont l'absorption est dépendante d'un faible pH gastrique (tels que l'atazanavir et le nelfinavir) n'est pas recommandée, car ceci diminue nettement leur biodisponibilité.
  • +Une étude a démontré que l'administration concomitante de lansoprazole (60 mg par jour) et d'atazanavir (400 mg) chez des volontaires en bonne santé entraîne une réduction sensible de l'exposition d'atazanavir (diminution de l'ordre de 90% de l'AUC et du Cmax).
  • +L'absorption de kétoconazole et d'itraconazole par le tractus gastro-intestinal est favorisée par la présence d'acide gastrique. L'administration de lansoprazole peut induire des concentrations sous-thérapeutiques de kétoconazole et d'itraconazole, par conséquent l'association de ces principes actifs doit être évitée.
  • +L'administration concomitante de lansoprazole et de digoxine peut entraîner une augmentation de la concentration de digoxine dans le plasma. Lors de l'instauration ou de l'interruption d'un traitement par lansoprazole, ce paramètre doit donc être surveillé et la dose de digoxine ajustée si nécessaire.
  • +Grossesse/Allaitement
  • +L'expérience durant la grossesse n'est pas suffisante pour recommander l'utilisation de Lansoprax chez la femme enceinte. Des études chez l'animal ne donnent aucun indice en faveur d'un effet tératogène. Les études de reproduction ont mis en évidence un taux de survie légèrement réduit et un poids légèrement plus faible chez le rat et le lapin après l'administration de doses très élevées de lansoprazole. La prudence est de mise en cas d'utilisation d'Lansoprax pendant la grossesse.
  • +L'expérimentation animale indique que le lansoprazole est excrété dans le lait maternel. Aucune information n'existe sur l'excrétion du lansoprazole dans le lait maternel chez les femmes qui allaitent. L'utilisation d'Lansoprax durant l'allaitement doit être évitée, sauf en cas de nécessité absolue.
  • -Aucune étude correspondante na été effectuée.
  • +Aucune étude correspondante n'a été effectuée.
  • -Les fréquences sont définies comme suit: fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1000, <1/100); rares (≥1/10000, <1/1000); très rares (<1/10000).
  • -Circulation sanguine et lymphatique
  • +Les fréquences sont définies comme suit: fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1000, <1/100); rares (≥1/10'000, <1/1000); très rares (<1/10'000).
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • -Système immunitaire
  • -Rares: réaction dhypersensibilité avec angioedème.
  • +Affections du système immunitaire
  • +Rares: réaction d'hypersensibilité avec angioedème.
  • -Très rares: augmentation des triglycérides et du taux de cholestérol dans le sérum, hyponatrémie
  • -Troubles psychiatriques
  • +Très rares: augmentation des triglycérides et du taux de cholestérol dans le sérum, hyponatrémie.
  • +Affections psychiatriques
  • -Système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Yeux
  • +Affections oculaires
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -Fréquents: nausée, diarrhée, maux destomac, constipation, vomissements, flatulence, sécheresse de la bouche et de la gorge.
  • -Rares: glossite, candidose de l’oesophage, pancréatite, troubles gustatifs.
  • +Affections gastrointestinales
  • +Fréquents: nausée, diarrhée, maux d'estomac, constipation, vomissements, flatulence, sécheresse de la bouche et de la gorge.
  • +Rares: glossite, candidose de lsophage, pancréatite, troubles gustatifs.
  • -Troubles hépato-biliaires
  • -Fréquents: augmentation des concentrations denzymes hépatiques (ASAT, ALAT, phosphatase alcaline, LDG, gamma-GTP)
  • -Rares: hépatite, ictère
  • -Peau
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Fréquents: augmentation des concentrations d'enzymes hépatiques (ASAT, ALAT, phosphatase alcaline, LDG, gamma-GTP).
  • +Rares: hépatite, ictère.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Rares: pétéchies, purpura, alopécie, érythème multiforme, photosensibilité
  • +Rares: pétéchies, purpura, alopécie, érythème multiforme, photosensibilité.
  • -Troubles musculosquelettiques
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Troubles affectant l’appareil reproductif et les seins
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • -Organisme en général
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Occasionnels: oedème.
  • +Occasionnels: œdème.
  • -Aucune expérience lors de surdosage chez l'homme nest disponible. Des doses quotidiennes allant jusquà 180 mg de lansoprazole per os et jusquà 90 mg de lansoprazole par voie intraveineuse ont été administrées au cours des études cliniques sans entraîner des effets indésirables. En cas de suspicion dun surdosage, le patient doit être surveillé. Lansoprazole ne peut pas être éliminé dune manière suffisante par lhémodialyse. Si nécessaire, il est recommandé de procéder à un lavage gastrique, ladministration du charbon et une thérapie symptomatique.
  • +Aucune expérience lors de surdosage chez l'homme n'est disponible. Des doses quotidiennes allant jusqu'à 180 mg de lansoprazole per os et jusqu'à 90 mg de lansoprazole par voie intraveineuse ont été administrées au cours des études cliniques sans entraîner des effets indésirables. En cas de suspicion d'un surdosage, le patient doit être surveillé. Lansoprazole ne peut pas être éliminé d'une manière suffisante par l'hémodialyse. Si nécessaire, il est recommandé de procéder à un lavage gastrique, l'administration du charbon et une thérapie symptomatique.
  • -Mécanisme d'action / Pharmacodynamie
  • -Lansoprazole combat l'ulcère en inhibant de manière spécifique l'ATP-ase H+/K+ (pompe à protons) dans les cellules pariétales de l'estomac, en phase finale de la sécrétion acide. La sécrétion acide se trouve ainsi réduite (volume d'acidité et valeurs du pH), indépendamment de la forme de leur stimulation.
  • +Mécanisme d'action/Pharmacodynamie
  • +Lansoprazole combat l'ulcère en inhibant de manière spécifique l'ATP-ase H+ /K+ (pompe à protons) dans les cellules pariétales de l'estomac, en phase finale de la sécrétion acide. La sécrétion acide se trouve ainsi réduite (volume d'acidité et valeurs du pH), indépendamment de la forme de leur stimulation.
  • -Dans les études cliniques, lutilisation du lansoprazole en association avec la clarithromycine et lamoxicilline ou le métronidazole (voir «Posologie/Mode demploi») a permis datteindre des taux déradication de H. pylori de jusquà 90%.
  • +Dans les études cliniques, l'utilisation du lansoprazole en association avec la clarithromycine et l'amoxicilline ou le métronidazole (voir «Posologie/Mode d'emploi») a permis d'atteindre des taux d'éradication de H. pylori de jusqu'à 90%.
  • -Les paramètres pharmacocinétiques: absorption, concentrations plasmatiques maximales, biodisponibilité et demi-vie délimination présentent d'importantes variations inter- et intra-individuelles.
  • -Après ingestion des capsules, labsorption a lieu avec un temps de latence d'une demi-heure environ. La concentration sérique maximale Cmax est denviron 1000 ng/ml, et est atteinte après 1,5 heures.
  • -La biodisponibilité absolue du lansoprazole chez des sujets à jeun, comparée à l'administration par voie intraveineuse, est de 70 à 80% pour une dose de 30 mg de lansoprazole administrée le matin. La substance ne présente aucun effet de «premier passage hépatique». La consommation simultanée daliments ralentit le taux dabsorption du lansoprazole et réduit la biodisponibilité de jusquà 50%.
  • +Les paramètres pharmacocinétiques: absorption, concentrations plasmatiques maximales, biodisponibilité et demi-vie d'élimination présentent d'importantes variations inter- et intra-individuelles.
  • +Après ingestion des capsules, l'absorption a lieu avec un temps de latence d'une demi-heure environ. La concentration sérique maximale Cmax est d'environ 1000 ng/ml, et est atteinte après 1.5 heures.
  • +La biodisponibilité absolue du lansoprazole chez des sujets à jeun, comparée à l'administration par voie intraveineuse, est de 70 à 80% pour une dose de 30 mg de lansoprazole administrée le matin. La substance ne présente aucun effet de «premier passage hépatique». La consommation simultanée d'aliments ralentit le taux d'absorption du lansoprazole et réduit la biodisponibilité de jusqu'à 50%.
  • -Le volume de distribution sélève à 29 ± 4 l et la liaison aux protéines est de 97%.
  • +Le volume de distribution s'élève à 29±4 l et la liaison aux protéines est de 97%.
  • -Lexpérimentation animale a mis en évidence le passage du lansoprazole dans le placenta avec des concentrations plasmatiques foetales supérieures à celles mesurées dans le sang maternel, le passage du lansoprazole et de ses métabolites dans le lait maternel ainsi quun faible passage dans le liquide céphalo-rachidien et dans le système nerveux central.
  • +L'expérimentation animale a mis en évidence le passage du lansoprazole dans le placenta avec des concentrations plasmatiques foetales supérieures à celles mesurées dans le sang maternel, le passage du lansoprazole et de ses métabolites dans le lait maternel ainsi qu'un faible passage dans le liquide céphalo-rachidien et dans le système nerveux central.
  • -La demi-vie délimination est denviron 1,5 heures. Lélimination seffectue à 32% par lurine et à 64% par les fèces. La clairance totale de lorganisme chez le sujet sain après administration unique de 30 mg de lansoprazole varie selon les individus et se situe entre 11 et 18 l/h.
  • +La demi-vie d'élimination est d'environ 1.5 heures. L'élimination s'effectue à 32% par l'urine et à 64% par les fèces.
  • +La clairance totale de l'organisme chez le sujet sain après administration unique de 30 mg de lansoprazole varie selon les individus et se situe entre 11 et 18 l/h.
  • -Une augmentation de la demi-vie a été observée chez les patients âgés (demi-vie entre 2 h environ et 3 h maximum) et chez les patients souffrant de maladies hépatiques (entre 3 et 7 h). Laire sous la courbe du lansoprazole dans le plasma a doublé chez les patients âgés. Chez les patients souffrant dinsuffisance hépatique, les valeurs de lAUC du lansoprazole dans le plasma ont augmenté dun facteur 2 à 5 en fonction de limportance de latteinte hépatique.
  • -Chez les patients avec insuffisance rénale prononcée, une diminution denviron 1 à 1,5% de la liaison aux protéines plasmatiques a été observée après ladministration de 60 mg de lansoprazole. La demi-vie délimination et lAUC sont diminuées chez linsuffisant rénal. Les variations de la Cmax et du tmax sont minimes par rapport aux patients avec fonction rénale normale. Le lansoprazole nest pas éliminé par lhémodialyse.
  • +Une augmentation de la demi-vie a été observée chez les patients âgés (demi-vie entre 2 h environ et 3 h maximum) et chez les patients souffrant de maladies hépatiques (entre 3 et 7 h). L'aire sous la courbe du lansoprazole dans le plasma a doublé chez les patients âgés. Chez les patients souffrant d'insuffisance hépatique, les valeurs de l'AUC du lansoprazole dans le plasma ont augmenté d'un facteur 2 à 5 en fonction de l'importance de l'atteinte hépatique.
  • +Chez les patients avec insuffisance rénale prononcée, une diminution d'environ 1 à 1.5% de la liaison aux protéines plasmatiques a été observée après l'administration de 60 mg de lansoprazole. La demi-vie d'élimination et l'AUC sont diminuées chez l'insuffisant rénal. Les variations de la Cmax et du tmax sont minimes par rapport aux patients avec fonction rénale normale. Le lansoprazole n'est pas éliminé par l'hémodialyse.
  • -Le CYP2C19 est sujet à un polymorphisme génétique et 2 à 6% de la population appelés métaboliseurs lents (ML) sont homozygotes pour la mutation allélique du CYP2C19 et présentent donc un déficit en enzyme CYP2C19 actif. Lexposition de lansoprazole est beaucoup plus élevée chez les ML que chez les métaboliseurs rapides (MR).
  • +Le CYP2C19 est sujet à un polymorphisme génétique et 2 à 6% de la population appelés métaboliseurs lents (ML) sont homozygotes pour la mutation allélique du CYP2C19 et présentent donc un déficit en enzyme CYP2C19 actif. L'exposition de lansoprazole est beaucoup plus élevée chez les ML que chez les métaboliseurs rapides (MR).
  • -Selon les données à disposition, la pharmacocinétique chez lenfant (dès 12 mois) est comparable à celle observée chez ladulte dans le domaine posologique recommandé.
  • +Selon les données à disposition, la pharmacocinétique chez l'enfant (dès 12 mois) est comparable à celle observée chez l'adulte dans le domaine posologique recommandé.
  • -Des tumeurs de lestomac ont été observées chez le rat lors détudes menées durant toute la durée de sa vie.
  • -Une incidence plus élevée datrophie spontanée de la rétine a été observée chez le rat lors détudes menées durant toute la durée de sa vie. Lapparition de ces lésions est connue chez le rat de laboratoire albinos et na pas été observée ni chez le singe ou le chien, ni chez la souris lors détudes menées durant toute la durée de sa vie. Les lésions sont considérées comme des manifestations spécifiques au rat. Aucune de ces modifications liées au traitement na été observée chez les patients traités sans interruption sur de longues périodes de temps.
  • +Des tumeurs de l'estomac ont été observées chez le rat lors d'études menées durant toute la durée de sa vie.
  • +Une incidence plus élevée d'atrophie spontanée de la rétine a été observée chez le rat lors d'études menées durant toute la durée de sa vie. L'apparition de ces lésions est connue chez le rat de laboratoire albinos et n'a pas été observée ni chez le singe ou le chien, ni chez la souris lors d'études menées durant toute la durée de sa vie. Les lésions sont considérées comme des manifestations spécifiques au rat. Aucune de ces modifications liées au traitement n'a été observée chez les patients traités sans interruption sur de longues périodes de temps.
  • -Conserver dans lemballage original à température ambiante (15–25 °C) et à labri de lhumidité. Conserver hors de portée des enfants.
  • +Conserver dans l'emballage original à température ambiante (15–25 °C) et à l'abri de l'humidité. Conserver hors de portée des enfants.
  • -Drossapharm SA, 4002 Bâle.
  • +Drossapharm SA, Bâle.
  • -Juin 2015
  • +Mars 2017.
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