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Accueil - Information professionnelle sur Metformin axa, 500 mg - Changements - 09.09.2020
60 Changements de l'information professionelle Metformin axa, 500 mg
  • -Principe actif: Metformini hydrochloridum.
  • -Excipients: Excipiens pro compresso obducto.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Comprimés pelliculés à 500 mg, 850 mg, 1000 mg. La rainure figurant sur les comprimés pelliculés à 1000 mg n’a qu’une fonction décorative. Ils ne sont pas sécables.
  • -
  • +Principes actifs
  • +Metformini hydrochloridum.
  • +Excipients
  • +Povidone K90
  • +stéarate de magnésium
  • +hypromellose
  • +macrogol 400
  • +macrogol 6000.
  • +
  • +
  • -Instructions spéciales pour le dosage
  • -Troubles de la fonction rénale
  • -En cas d'insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine: 30 à 59 ml/min ou taux de filtration glomérulaire estimé TFGe: 30 à 59 ml/min/1.73 m2), la metformine ne doit être utilisée qu'en l'absence d'autres facteurs augmentant le risque d'acidose lactique ainsi qu'en tenant compte des ajustements posologiques suivants: le traitement doit être instauré avec 500 mg ou 850 mg de metformine par jour. La dose journalière maximale est de 1000 mg, en deux doses individuelles.
  • -clairance de la créatinine de 45 à 59 ml/min ou TFGe de 45 à 59 ml/min/1.73 m2: la fonction rénale (clairance de la créatinine ou TFGe) doit être fréquemment contrôlée (tous les 3 à 6 mois);
  • -clairance de la créatinine de 30 à 44 ml/min ou TFGe de 30 à 44 ml/min/1.73 m2: la fonction rénale (clairance de la créatinine ou TFGe) doit être fréquemment contrôlée, au moins tous les 3 mois.
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +En cas dinsuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine: 30 à 59 ml/min ou taux de filtration glomérulaire estimé TFGe: 30 à 59 ml/min/1.73 m2), la metformine ne doit être utilisée quen labsence dautres facteurs augmentant le risque dacidose lactique ainsi quen tenant compte des ajustements posologiques suivants: le traitement doit être instauré avec 500 mg ou 850 mg de metformine par jour. La dose journalière maximale est de 1000 mg, en deux doses individuelles.
  • +-Clairance de la créatinine de 45 à 59 ml/min ou TFGe de 45 à 59 ml/min/1.73 m2: la fonction rénale (clairance de la créatinine ou TFGe) doit être fréquemment contrôlée (tous les 3 à 6 mois).
  • +-Clairance de la créatinine de 30 à 44 ml/min ou TFGe de 30 à 44 ml/min/1.73 m2: la fonction rénale (clairance de la créatinine ou TFGe) doit être fréquemment contrôlée, au moins tous les 3 mois.
  • -Pédiatrie
  • +Enfants et adolescents
  • --Maladies (en particulier les maladies aiguës ou l’aggravation d’une maladie chronique) pouvant causer une hypoxie tissulaire, par ex.: insuffisance cardiaque décompensée, insuffisance respiratoire, infarctus du myocarde récent, septicémie et choc. Dans ces situations, le risque de développement d’une acidose lactique est accru.
  • +-Maladies (en particulier les maladies aiguës ou l’aggravation d’une maladie chronique) pouvant causer une hypoxie tissulaire, par ex. insuffisance cardiaque décompensée, insuffisance respiratoire, infarctus du myocarde récent, septicémie et choc. Dans ces situations, le risque de développement d’une acidose lactique est accru.
  • -L'acidose lactique est une complication métabolique très rare, mais grave. Les facteurs de risque sont notamment un diabète mal équilibré, la cétose, le jeûne prolongé, la consommation excessive d'alcool, les infections graves, l'insuffisance hépatique, ainsi que toute affection associée à une hypoxie, par ex. en cas d'insuffisance cardiaque décompensée ou d'infarctus aigu du myocarde. La prudence est également de rigueur lorsque la metformine est associée à des médicaments pouvant provoquer une acidose lactique, tels que les inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse.
  • +Lacidose lactique est une complication métabolique très rare, mais grave. Les facteurs de risque sont notamment un diabète mal équilibré, la cétose, le jeûne prolongé, la consommation excessive dalcool, les infections graves, linsuffisance hépatique, ainsi que toute affection associée à une hypoxie, par ex. en cas dinsuffisance cardiaque décompensée ou dinfarctus aigu du myocarde. La prudence est également de rigueur lorsque la metformine est associée à des médicaments pouvant provoquer une acidose lactique, tels que les inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse.
  • -Une acidose lactique peut survenir en cas d'accumulation de metformine.
  • -Dans la plupart des cas d'acidose lactique sous metformine connus à ce jour, les patients concernés souffraient d'insuffisance rénale aiguë ou d'une dégradation aiguë de la fonction rénale. Une prudence particulière est donc de rigueur dans les situations où la fonction rénale peut se dégrader de manière aiguë, par ex. en cas de déshydratation (diarrhée sévère ou vomissement répété), d'instauration d'un traitement par antihypertenseurs, diurétiques ou anti-inflammatoires non stéroïdiens pouvant entraîner une dégradation aiguë de la fonction rénale. En cas de survenue des troubles aigus décrits précédemment, le traitement par la metformine doit immédiatement être arrêté. Les symptômes non spécifiques suivants peuvent être un signe d'acidose lactique: crampes musculaires, troubles gastro-intestinaux, tels que douleurs abdominales et asthénie sévère.
  • +Une acidose lactique peut survenir en cas daccumulation de metformine.
  • +Dans la plupart des cas dacidose lactique sous metformine connus à ce jour, les patients concernés souffraient dinsuffisance rénale aiguë ou dune dégradation aiguë de la fonction rénale. Une prudence particulière est donc de rigueur dans les situations où la fonction rénale peut se dégrader de manière aiguë, par ex. en cas de déshydratation (diarrhée sévère ou vomissement répété), dinstauration dun traitement par antihypertenseurs, diurétiques ou anti-inflammatoires non stéroïdiens pouvant entraîner une dégradation aiguë de la fonction rénale. En cas de survenue des troubles aigus décrits précédemment, le traitement par la metformine doit immédiatement être arrêté. Les symptômes non spécifiques suivants peuvent être un signe dacidose lactique: crampes musculaires, troubles gastro-intestinaux, tels que douleurs abdominales et asthénie sévère.
  • -Il convient d'informer les patients qu'ils doivent éviter une consommation excessive d'alcool, aiguë ou chronique, car l'alcool potentialise l'effet de la metformine sur le métabolisme du lactate.
  • -Le médecin doit informer le patient sur le risque et les symptômes d'une acidose lactique. Il faut demander aux patients d'arrêter immédiatement la metformine et de consulter sans délai un médecin en cas de suspicion d'acidose lactique. Le traitement par la metformine est interrompu tant que la situation n'est pas clarifiée. Le rapport risque-bénéfice individuel et la fonction rénale doivent être examinés avant d'envisager une reprise du traitement par la metformine.
  • +Il convient dinformer les patients quils doivent éviter une consommation excessive dalcool, aiguë ou chronique, car lalcool potentialise leffet de la metformine sur le métabolisme du lactate.
  • +Le médecin doit informer le patient sur le risque et les symptômes dune acidose lactique. Il faut demander aux patients darrêter immédiatement la metformine et de consulter sans délai un médecin en cas de suspicion dacidose lactique. Le traitement par la metformine est interrompu tant que la situation nest pas clarifiée. Le rapport risque-bénéfice individuel et la fonction rénale doivent être examinés avant denvisager une reprise du traitement par la metformine.
  • -En cas d'insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine de 30 à 59 ml/min ou TFGe de 30 à 59 ml/min/1.73 m2), la metformine ne doit être utilisée qu'en l'absence d'autres facteurs augmentant le risque d'acidose lactique (voir «Instructions spéciales pour le dosage»).
  • +En cas dinsuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine de 30 à 59 ml/min ou TFGe de 30 à 59 ml/min/1.73 m2), la metformine ne doit être utilisée quen labsence dautres facteurs augmentant le risque dacidose lactique (voir «Instructions spéciales pour le dosage»).
  • -au moins tous les 3 à 6 mois chez les patients dont la clairance de la créatinine ou le TFGe se situe à la limite inférieure de l'intervalle de référence ou entre 45 et 59 ml/min, ainsi que chez les patients âgés,
  • +au moins tous les 3 à 6 mois chez les patients dont la clairance de la créatinine ou le TFGe se situe à la limite inférieure de lintervalle de référence ou entre 45 et 59 ml/min, ainsi que chez les patients âgés,
  • -Des contrôles intensifs et une prudence particulière sont de mise lors de situations cliniques dans lesquelles la fonction rénale peut se détériorer de manière aiguë en raison de facteurs prédisposants sous-jacents ou de l'utilisation éventuelle de médication concomitante, par ex. en cas de déshydratation (diarrhée sévère ou vomissements durables) ou au début d'un traitement par des médicaments pouvant entraîner une dégradation aiguë de la fonction rénale (par ex. diurétiques, antihypertenseurs ou anti-inflammatoires non stéroïdiens). En cas de survenue des troubles aigus décrits précédemment, le traitement par la metformine doit immédiatement être interrompu de manière provisoire.
  • +Des contrôles intensifs et une prudence particulière sont de mise lors de situations cliniques dans lesquelles la fonction rénale peut se détériorer de manière aiguë en raison de facteurs prédisposants sous-jacents ou de lutilisation éventuelle de médication concomitante, par ex. en cas de déshydratation (diarrhée sévère ou vomissements durables) ou au début dun traitement par des médicaments pouvant entraîner une dégradation aiguë de la fonction rénale (par ex. diurétiques, antihypertenseurs ou anti-inflammatoires non stéroïdiens). En cas de survenue des troubles aigus décrits précédemment, le traitement par la metformine doit immédiatement être interrompu de manière provisoire.
  • -Renforcement ou diminution de l'effet hypoglycémiant de la metformine
  • +Renforcement ou diminution de leffet hypoglycémiant de la metformine
  • --Des substrats/inhibiteurs de l'OCT1, tels que le vérapamil, peut réduire l'efficacité.
  • --Des inducteurs de l'OCT1, tels que la rifampicine, peut augmenter l'absorption gastro-intestinale ainsi que l'efficacité.
  • --Des substrats/inhibiteurs de l'OCT2, tels que la cimétidine, le dolutégravir, le crizotinib, l'olaparib, le daclatasvir, le vandétanib, peut réduire l'élimination rénale et ainsi entraîner une augmentation de la concentration plasmatique.
  • -La prudence est donc de rigueur lorsque ces médicaments sont administrés conjointement à la metformine, et un ajustement pertinent de la dose de metformine doit être le cas échéant envisagé, en particulier chez les patients souffrant d'insuffisance rénale.
  • +-Des substrats/inhibiteurs de lOCT1, tels que le vérapamil, peut réduire lefficacité.
  • +-Des inducteurs de lOCT1, tels que la rifampicine, peut augmenter labsorption gastro-intestinale ainsi que lefficacité.
  • +-Des substrats/inhibiteurs de lOCT2, tels que la cimétidine, le dolutégravir, le crizotinib, lolaparib, le daclatasvir, le vandétanib, peut réduire lélimination rénale et ainsi entraîner une augmentation de la concentration plasmatique.
  • +La prudence est donc de rigueur lorsque ces médicaments sont administrés conjointement à la metformine, et un ajustement pertinent de la dose de metformine doit être le cas échéant envisagé, en particulier chez les patients souffrant dinsuffisance rénale.
  • -Grossesse/allaitement
  • +Grossesse, Allaitement
  • -L'expérience est très limitée concernant l'utilisation de la metformine chez les femmes enceintes. Les expérimentations animales avec la metformine n'ont pas mis en évidence de risques pour la reproduction (voir «Données précliniques»).
  • -La metformine ne doit pas être administrée pendant la grossesse sauf en cas d'absolue nécessité. La glycémie doit être amenée à des valeurs aussi normales que possible avec l'insuline afin de réduire le risque de malformations et de complications supplémentaires pour l'enfant.
  • +Lexpérience est très limitée concernant lutilisation de la metformine chez les femmes enceintes. Les expérimentations animales avec la metformine nont pas mis en évidence de risques pour la reproduction (voir «Données précliniques»).
  • +La metformine ne doit pas être administrée pendant la grossesse sauf en cas dabsolue nécessité. La glycémie doit être amenée à des valeurs aussi normales que possible avec linsuline afin de réduire le risque de malformations et de complications supplémentaires pour lenfant.
  • -La metformine passe dans le lait maternel. Les données limitées à disposition ne permettent pas d'exclure un risque théorique d'hypoglycémie chez l'enfant allaité. La décision d'arrêter la metformine ou d'arrêter l'allaitement doit être prise en prenant en considération l'utilité du médicament pour la mère et le risque potentiel pour l'enfant.
  • +La metformine passe dans le lait maternel. Les données limitées à disposition ne permettent pas dexclure un risque théorique dhypoglycémie chez lenfant allaité. La décision darrêter la metformine ou darrêter lallaitement doit être prise en prenant en considération lutilité du médicament pour la mère et le risque potentiel pour lenfant.
  • -Les effets indésirables observés lors de l’administration de Metformine Axapharm sont énumérés ci-dessous. Le type et la sévérité des effets indésirables chez les patients pédiatriques (10-16 ans) sont comparables à ceux des adultes. Les effets indésirables les plus souvent observés sont des troubles gastro-intestinaux (voir ci-après). Les fréquences sont définies de manière suivante: très fréquent: ≥10%; fréquent: ≥1%, <10%; occasionnel: ≥0.1%, <1%; rare: ≥0.01%, <0.1%; très rare: <0.01%.
  • -Troubles du système sanguin et lymphatique
  • +Les effets indésirables observés lors de l’administration de Metformine Axapharm sont énumérés ci-dessous. Le type et la sévérité des effets indésirables chez les patients pédiatriques (10-16 ans) sont comparables à ceux des adultes. Les effets indésirables les plus souvent observés sont des troubles gastro-intestinaux (voir ci-après). Les fréquences sont définies de manière suivante:
  • +«Très fréquent» (≥1/10),
  • +«Fréquent» (≥1/100 à <1/10),
  • +«Occasionnel» (≥1/1000 à <1/100),
  • +«Rare» (≥1/10'000 à <1/1000),
  • +«Très rare» (<1/10'000).
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • -Troubles métaboliques et nutritionnels
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • -Troubles du système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Troubles hépatiques et biliaires
  • +Affections hépatobiliaires
  • -Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Code ATC: A10BA02
  • -Mécanisme d’action/Pharmacodynamie
  • +Code ATC
  • +A10BA02
  • +Mécanisme d’action
  • +Pharmacodynamique
  • +Pas de données disponibles.
  • -L’étude prospective randomisée UKPDS (United Kingdom Prospective Diabetes Study) a permis de démontrer le bénéfice à long terme du contrôle intensif de la glycémie chez le diabétique de type 2. Chez les patients en excès pondéral, le traitement par la metformine (après l’échec de mesures diététiques) a diminué le risque relatif de complications liées au diabète de manière significative, soit de 32%. Sous metformine, 29.8 événements/1000 années-patients ont été constatés, sous thérapie conventionnelle (principalement un régime seul), 43.3 événements/1000 années-patients, p =0.002. Lors du traitement par des sulfonylurées ou l’insuline, le risque relatif était réduit de 7% par rapport à la thérapie conventionnelle (40.1 événements/1000 années-patients). Comparée aux sulfonylurées ou à l’insuline, la metformine était donc plus efficace (p =0.003). De plus, chez les diabétiques de type 2 en excès pondéral, sans cardiopathie symptomatique lors du diagnostic, le traitement par la metformine a diminué le risque relatif d’infarctus du myocarde (de 39%), d’infarctus du myocarde fatals (de 50%) et la mortalité globale (de 36%).
  • +L’étude prospective randomisée UKPDS (United Kingdom Prospective Diabetes Study) a permis de démontrer le bénéfice à long terme du contrôle intensif de la glycémie chez le diabétique de type 2. Chez les patients en excès pondéral, le traitement par la metformine (après l’échec de mesures diététiques) a diminué le risque relatif de complications liées au diabète de manière significative, soit de 32%. Sous metformine, 29.8 événements/1000 années-patients ont été constatés, sous thérapie conventionnelle (principalement un régime seul), 43.3 événements/1000 années-patients, p = 0.002. Lors du traitement par des sulfonylurées ou l’insuline, le risque relatif était réduit de 7% par rapport à la thérapie conventionnelle (40.1 événements/1000 années-patients). Comparée aux sulfonylurées ou à l’insuline, la metformine était donc plus efficace (p = 0.003). De plus, chez les diabétiques de type 2 en excès pondéral, sans cardiopathie symptomatique lors du diagnostic, le traitement par la metformine a diminué le risque relatif d’infarctus du myocarde (de 39%), d’infarctus du myocarde fatals (de 50%) et la mortalité globale (de 36%).
  • -Elimination
  • +Élimination
  • -Cinétique pour groupes particuliers de patients
  • -Insuffisance rénale
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • +Troubles de la fonction rénale
  • -Pédiatrie
  • +Enfants et adolescents
  • -Toxicité pour la reproduction
  • -La metformine n’a aucune influence sur la fertilité, ne présente pas d’effet tératogène et n’influence pas le développement du nouveau-né.
  • -La metformine n’est pas carcinogène chez les rongeurs à des doses allant jusqu’à 900 mg/kg/jour (rat) ou 1'500 mg/kg/jour (souris).
  • -
  • +La metformine n’est pas carcinogène chez les rongeurs à des doses allant jusqu’à 900 mg/kg/jour (rat) ou 1500 mg/kg/jour (souris).
  • +Toxicité sur la reproduction
  • +La metformine n’a aucune influence sur la fertilité, ne présente pas d’effet tératogène et n’influence pas le développement du nouveau-né.
  • -Le médicament ne peut être utilisé au-delà de la date imprimée sur l’emballage avec la mention «EXP.».
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Conserver le médicament hors de la portée des enfants et à température ambiante (15-25°C) dans l’emballage original.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP.» sur le récipient.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver à température ambiante (15-25°C) dans l’emballage original et hors de la portée des enfants.
  • -Présentations
  • +Présentation
  • -Août 2017.
  • +Janvier 2020.
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