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Accueil - Information professionnelle sur Metformin axa, 500 mg - Changements - 16.01.2018
20 Changements de l'information professionelle Metformin axa, 500 mg
  • -Comprimés pelliculés à 500 mg, 850 mg, 1000 mg.
  • -La rainure figurant sur les comprimés pelliculés à 1000 mg n’a qu’une fonction décorative. Ils ne sont pas sécables.
  • +Comprimés pelliculés à 500 mg, 850 mg, 1000 mg. La rainure figurant sur les comprimés pelliculés à 1000 mg n’a qu’une fonction décorative. Ils ne sont pas sécables.
  • --Hypersensibilité à la metformine ou à l’un des excipients;
  • -acidose métabolique (par ex. acidose lactique ou acidocétose diabétique);
  • -coma et précoma diabétiques;
  • -troubles de la fonction rénale ou insuffisance rénale (clairance de la créatinine <60 ml/min ou TFGe <60 ml/min/1.73 m2). L’insuffisance rénale peut entraîner une accumulation de metformine et une acidose lactique;
  • -pathologies aiguës comportant un risque d’altération de la fonction rénale telles que déshydratation (diarrhées, vomissements répétés), infections graves, par ex. des voies urinaires, fièvre élevée, états hypoxiques sévères (choc, septicémie);
  • -l’application intravasculaire d’agents de contraste contenant de l’iode en vue d’examens radiologiques peut entraîner une insuffisance rénale et ainsi une accumulation de metformine et une acidose lactique. Le traitement par metformine doit être interrompu 48 h avant un tel examen si la clairance de la créatinine est <60 ml/min ou le TFGe <60 ml/min/1.73 m2. Le traitement par metformine ne doit être poursuivi que si aucune autre aggravation n’a été mise en évidence lors de l’examen de la fonction rénale 48 h après l’examen par agent de contraste (voir «Mises en garde et précautions»);
  • -maladies (en particulier les maladies aiguës ou l’aggravation d’une maladie chronique) pouvant causer une hypoxie tissulaire, par ex.: insuffisance cardiaque décompensée, insuffisance respiratoire, infarctus du myocarde récent, septicémie et choc. Dans ces situations, le risque de développement d’une acidose lactique est accru;
  • -insuffisance hépatique;
  • -intoxication alcoolique aiguë, alcoolisme;
  • -grossesse, allaitement.
  • +-Hypersensibilité à la metformine ou à l’un des excipients.
  • +-Acidose métabolique (par ex. acidose lactique ou acidocétose diabétique).
  • +-Coma et précoma diabétiques.
  • +-Troubles de la fonction rénale ou insuffisance rénale (clairance de la créatinine <60 ml/min ou TFGe <60 ml/min/1.73 m2). L’insuffisance rénale peut entraîner une accumulation de metformine et une acidose lactique.
  • +-Pathologies aiguës comportant un risque d’altération de la fonction rénale telles que déshydratation (diarrhées, vomissements répétés), infections graves, par ex. des voies urinaires, fièvre élevée, états hypoxiques sévères (choc, septicémie).
  • +-L’application intravasculaire d’agents de contraste contenant de l’iode en vue d’examens radiologiques peut entraîner une insuffisance rénale et ainsi une accumulation de metformine et une acidose lactique. Le traitement par metformine doit être interrompu 48 h avant un tel examen si la clairance de la créatinine est <60 ml/min ou le TFGe <60 ml/min/1.73 m2. Le traitement par metformine ne doit être poursuivi que si aucune autre aggravation n’a été mise en évidence lors de l’examen de la fonction rénale 48 h après l’examen par agent de contraste (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +-Maladies (en particulier les maladies aiguës ou l’aggravation d’une maladie chronique) pouvant causer une hypoxie tissulaire, par ex.: insuffisance cardiaque décompensée, insuffisance respiratoire, infarctus du myocarde récent, septicémie et choc. Dans ces situations, le risque de développement d’une acidose lactique est accru.
  • +-Insuffisance hépatique.
  • +-Intoxication alcoolique aiguë, alcoolisme.
  • -des substrats/inhibiteurs de l'OCT1, tels que le vérapamil, peut réduire l'efficacité;
  • -des inducteurs de l'OCT1, tels que la rifampicine, peut augmenter l'absorption gastro-intestinale ainsi que l'efficacité;
  • -des substrats/inhibiteurs de l'OCT2, tels que la cimétidine, le dolutégravir, le crizotinib, l'olaparib, le daclatasvir, le vandétanib, peut réduire l'élimination rénale et ainsi entraîner une augmentation de la concentration plasmatique.
  • +-Des substrats/inhibiteurs de l'OCT1, tels que le vérapamil, peut réduire l'efficacité.
  • +-Des inducteurs de l'OCT1, tels que la rifampicine, peut augmenter l'absorption gastro-intestinale ainsi que l'efficacité.
  • +-Des substrats/inhibiteurs de l'OCT2, tels que la cimétidine, le dolutégravir, le crizotinib, l'olaparib, le daclatasvir, le vandétanib, peut réduire l'élimination rénale et ainsi entraîner une augmentation de la concentration plasmatique.
  • -Sur un nombre limité de cas, aucune malformation n’a été observée chez l’être humain. Des données épidémiologiques ne sont cependant pas disponibles. On ignore si la metformine passe la barrière placentaire. Les études sur l’animal n’ont pas mis en évidence d’effet toxique de la metformine sur la grossesse, le développement embryonnaire ou fœtal, la naissance ou le développement postnatal.
  • -Chez les femmes prévoyant une grossesse ainsi qu’au cours de grossesse, le diabète ne devrait pas être traité par la metformine, mais la glycémie devrait être abaissée, autant que possible, à des valeurs physiologiques par de l’insuline. La metformine est contre-indiquée pendant la grossesse.
  • +Un diabète insuffisamment contrôlé pendant la grossesse (dû à la grossesse ou préexistant) est associé à une élévation du risque de malformations congénitales et de la mortalité périnatale.
  • +L'expérience est très limitée concernant l'utilisation de la metformine chez les femmes enceintes. Les expérimentations animales avec la metformine n'ont pas mis en évidence de risques pour la reproduction (voir «Données précliniques»).
  • +La metformine ne doit pas être administrée pendant la grossesse sauf en cas d'absolue nécessité. La glycémie doit être amenée à des valeurs aussi normales que possible avec l'insuline afin de réduire le risque de malformations et de complications supplémentaires pour l'enfant.
  • -Il n’est pas établi si la metformine passe dans le lait maternel. De faibles quantités de metformine sont retrouvées dans le lait des rates. La metformine est contre-indiquée pendant la période d’allaitement.
  • +La metformine passe dans le lait maternel. Les données limitées à disposition ne permettent pas d'exclure un risque théorique d'hypoglycémie chez l'enfant allaité. La décision d'arrêter la metformine ou d'arrêter l'allaitement doit être prise en prenant en considération l'utilité du médicament pour la mère et le risque potentiel pour l'enfant.
  • --A jeun, la production hépatique de glucose est largement responsable de l’hyperglycémie. La metformine diminue la production hépatique du glucose activée par le phénomène d’insulinorésistance, en inhibant la néoglucogenèse et la glycogénolyse. Elle s’oppose ainsi à l’action hyperglycémiante du glucagon. Par ces mécanismes, la metformine diminue l’hyperglycémie à jeun.
  • +A jeun, la production hépatique de glucose est largement responsable de l’hyperglycémie. La metformine diminue la production hépatique du glucose activée par le phénomène d’insulinorésistance, en inhibant la néoglucogenèse et la glycogénolyse. Elle s’oppose ainsi à l’action hyperglycémiante du glucagon. Par ces mécanismes, la metformine diminue l’hyperglycémie à jeun.
  • --Les troubles de la captation périphérique du glucose et de son stockage sont largement responsables de l’hyperglycémie postprandiale. La metformine augmente la sensibilité cellulaire à l’insuline en stimulant l’activité tyrosine-kinase du récepteur d’insuline et favorise ainsi la pénétration cellulaire du glucose. La metformine augmente la capacité de transport de tous les types de transporteurs membranaires de glucose (GLUT). Cet effet de la metformine est particulièrement évident en état hyperglycémique. Elle stimule la synthèse intracellulaire du glycogène en agissant sur une enzyme clé, le glycogène synthétase. Par ces mécanismes, la metformine diminue l’hyperglycémie postprandiale.
  • +Les troubles de la captation périphérique du glucose et de son stockage sont largement responsables de l’hyperglycémie postprandiale. La metformine augmente la sensibilité cellulaire à l’insuline en stimulant l’activité tyrosine-kinase du récepteur d’insuline et favorise ainsi la pénétration cellulaire du glucose. La metformine augmente la capacité de transport de tous les types de transporteurs membranaires de glucose (GLUT). Cet effet de la metformine est particulièrement évident en état hyperglycémique. Elle stimule la synthèse intracellulaire du glycogène en agissant sur une enzyme clé, le glycogène synthétase. Par ces mécanismes, la metformine diminue l’hyperglycémie postprandiale.
  • --La metformine ralentit l’absorption intestinale du glucose, réduisant ainsi la charge glucosée postprandiale.
  • +La metformine ralentit l’absorption intestinale du glucose, réduisant ainsi la charge glucosée postprandiale.
  • -L’étude prospective randomisée UKPDS (United Kingdom Prospective Diabetes Study) a permis de démontrer le bénéfice à long terme du contrôle intensif de la glycémie chez le diabétique de type 2. Chez les patients en excès pondéral, le traitement par la metformine (après l’échec de mesures diététiques) a diminué le risque relatif de complications liées au diabète de manière significative, soit de 32%. Sous metformine, 29.8 événements/1000 années-patients ont été constatés, sous thérapie conventionnelle (principalement un régime seul), 43.3 événements/1000 années-patients, p =0.002. Lors du traitement par des sulfonylurées ou l’insuline, le risque relatif était réduit de 7% par rapport à la thérapie conventionnelle (40.1 événements/1000 années-patients). Comparée aux sulfonylurées ou à l’insuline, la metformine était donc plus efficace (p =0.003). De plus, chez les diabétiques de type 2 en excès pondéral, sans cardiopathie symptomatique lors du diagnostic, le traitement par la metformine a diminué le risque relatif d’infarctus du myocarde (de 39%), d’infarctus du myocarde fatals (de 50%) et la mortalité globale (de 36%).
  • +L’étude prospective randomisée UKPDS (United Kingdom Prospective Diabetes Study) a permis de démontrer le bénéfice à long terme du contrôle intensif de la glycémie chez le diabétique de type 2. Chez les patients en excès pondéral, le traitement par la metformine (après l’échec de mesures diététiques) a diminué le risque relatif de complications liées au diabète de manière significative, soit de 32%. Sous metformine, 29.8 événements/1000 années-patients ont été constatés, sous thérapie conventionnelle (principalement un régime seul), 43.3 événements/1000 années-patients, p =0.002. Lors du traitement par des sulfonylurées ou l’insuline, le risque relatif était réduit de 7% par rapport à la thérapie conventionnelle (40.1 événements/1000 années-patients). Comparée aux sulfonylurées ou à l’insuline, la metformine était donc plus efficace (p =0.003). De plus, chez les diabétiques de type 2 en excès pondéral, sans cardiopathie symptomatique lors du diagnostic, le traitement par la metformine a diminué le risque relatif d’infarctus du myocarde (de 39%), d’infarctus du myocarde fatals (de 50%) et la mortalité globale (de 36%).
  • -Décembre 2016.
  • +Août 2017.
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