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Accueil - Information professionnelle sur Olanzapin Sandoz 2,5 - Changements - 02.07.2020
118 Changements de l'information professionelle Olanzapin Sandoz 2,5
  • -Principe actif: Olanzapinum.
  • -Excipients:
  • -Comprimés pelliculés à 2,5 mg, 5 mg, 10 mg, 20 mg: Lactosum; excipiens pro compresso obducto.
  • -Comprimés pelliculés à 15 mg: Lactosum, color E 132; excipiens pro compresso obducto.
  • -Comprimés orodispersibles: Lactosum, Aromatica; excipiens pro compresso.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Comprimés pelliculés à 2,5 mg, 5 mg, 10 mg, 15 mg et 20 mg.
  • -Comprimés orodispersibles à 5 mg, 10 mg, 15 mg et 20 mg.
  • -
  • +Principes actifs
  • +Olanzapinum.
  • +Excipients
  • +Comprimés pelliculés:
  • +Noyau: Lactosum monohydricum*, hydroxyproylcellulosum, cellulosum microcristallinum, crospovidonum, magnesii stearas.
  • +Pelliculage: Poly(alcohol vinylicus), titanii dioxidum (E 171), macrogolum, talcum, indigocarminum (E 132; seulement 15 mg), ferri oxidum (E 172; seulement 20 mg).
  • +* lactosum monohydricum: 78 mg (2,5 mg), 156 mg (5 mg), 312 mg (10 mg), 178,2 mg (15 mg), 237,6 mg (20 mg).
  • +Comprimés orodispersibles:
  • +Crospovidonum, lactosum monohydricum*, silica colloidalis anhydrica, hydroxypropylcellulosum, talcum, magnesii stearas, arôme de menthe.
  • +*lactosum monohydricum: 60,6 mg (5 mg), 121,2 mg (10 mg), 181,8 mg (15 mg), 242,4 mg (20 mg).
  • +
  • +
  • -Schizophrénie: la posologie d'attaque recommandée d'olanzapine est de 10 mg/jour. L'olanzapine est à prendre une fois par jour indépendamment des repas.
  • -Episodes maniaques dans les troubles bipolaires: la dose initiale de traitement est généralement de 10 ou 15 mg une fois par jour. Dans les études cliniques, on n'a pas l'expérience de doses initiales inférieures à 10 mg/jour dans l'indication «Episodes maniaques dans les troubles bipolaires».
  • -Prophylaxie des phases dans les troubles bipolaires: chez les patients ayant reçu l'olanzapine pour le traitement d'un épisode maniaque, il faut poursuivre le traitement de prévention d'une récidive avec la même dose. Si un nouvel épisode maniaque, mixte ou dépressif survient, on poursuivra le traitement avec l'olanzapine (optimisation du dosage selon les nécessités) avec un traitement complémentaire des symptômes de l'humeur si cela est indiqué cliniquement.
  • +Posologie usuelle
  • +Schizophrénie
  • +La dose initiale recommandée d'olanzapine est de 10 mg/jour. L'olanzapine est à prendre une fois par jour indépendamment des repas.
  • +Episodes maniaques dans les troubles bipolaires
  • +La dose initiale de traitement est généralement de 10 ou 15 mg une fois par jour. Dans les études cliniques, on n'a pas l'expérience de doses initiales inférieures à 10 mg/jour dans l'indication «épisodes maniaques dans les troubles bipolaires».
  • +Prophylaxie des phases dans les troubles bipolaires
  • +Chez les patients ayant reçu de l'olanzapine pour le traitement d'un épisode maniaque, il faut poursuivre le traitement de prévention d'une récidive avec la même dose. Si un nouvel épisode maniaque, mixte ou dépressif survient, on poursuivra le traitement avec l'olanzapine (optimisation du dosage selon les nécessités) avec un traitement complémentaire des symptômes de l'humeur si cela est indiqué cliniquement.
  • -Au moment du sevrage d'olanzapine, on envisagera éventuellement une réduction graduelle de la posologie.
  • -Les comprimés orodispersibles Olanzapine Sandoz doivent être pris dans la bouche. Ils sont rapidement dissous dans la salive, et peuvent donc être facilement avalés. L'extraction d'un comprimé orodispersible intact de la bouche s'avère difficile. Les comprimés orodispersibles étant très friables, ils doivent être pris immédiatement après l'ouverture du blister.
  • -Une alternative peut être de dissoudre immédiatement le comprimé dans un verre d'eau ou dans une autre boisson compatible (jus d'orange, jus de pomme, lait ou café).
  • -Posologies spéciales
  • -Enfants et adolescents: voir «Contre-indications».
  • -Personnes âgées: chez les personnes âgées (65 ans et plus) en bonne santé, le temps de demi-vie de l'olanzapine est prolongé. Il faut compter avec la même variabilité pharmacocinétique que chez les personnes jeunes. Pour une dose de 5 à 20 mg/jour, le profil de sécurité de l'olanzapine est comparable chez les jeunes et chez les vieux. En général, on recommande une adaptation du dosage chez les personnes âgées: le dosage initial chez les vieillards étant de 5 mg/jour.
  • -Patients présentant une insuffisance hépatique et/ou rénale: la pharmacocinétique de l'olanzapine n'était pas modifiée chez les patients présentant une altération de la fonction rénale. En cas d'altération de la fonction hépatique, la demi-vie peut être légèrement prolongée. Une diminution de la dose est donc recommandée chez ces patients.
  • -Parmi d'autres facteurs bien étudiés, notons que le métabolisme de l'olanzapine est influencé par le tabagisme (prolongation de la demi-vie chez les non-fumeurs) et par le sexe (prolongation de la demi-vie chez la femme).
  • +A l'arrêt du traitement par olanzapine, il faut envisager une réduction graduelle de la dose.
  • -Au cas où une augmentation de la posologie de 2,5 mg s'avérerait nécessaire, les comprimés pelliculés de Olanzapine Sandoz seront prescrits (voir également «Interactions», «Pharmacocinétique»).
  • +Au cas où une augmentation de la posologie de 2.5 mg s'avérerait nécessaire, les comprimés filmés d'Olanzapine Sandoz seront prescrits (voir également «Interactions», «Pharmacocinétique»).
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Parmi les facteurs connus pour influencer le métabolisme de l'olanzapine se trouvent le tabagisme (demi-vie plus longue chez le non-fumeur) et le genre (demi-vie plus longue chez la femme).
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +En cas d'insuffisance hépatique, la demi-vie peut être légèrement prolongée. Une réduction posologique est recommandée chez ces patients.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +La pharmacocinétique de l'olanzapine était pratiquement inchangée chez les patients présentant une insuffisance rénale.
  • +Patients âgés
  • +Chez les personnes âgées (65 ans et plus) en bonne santé, la demi-vie d'élimination moyenne de l'olanzapine est prolongée. Il faut compter avec la même variabilité pharmacocinétique que chez les personnes jeunes. A la dose de 5 à 20 mg/jour, le profil de sécurité de l'olanzapine est similaire chez les personnes jeunes et chez les personnes âgées. En général, on recommande une adaptation posologique chez les personnes âgées. Le dosage initial chez les personnes âgées est de 5 mg/jour.
  • +Enfants et adolescents
  • +Voir «Contre-indications».
  • +Mode d'administration
  • +Les comprimés orodispersibles Olanzapine Sandoz doivent être pris dans la bouche. Ils sont rapidement dissous dans la salive, et peuvent donc être facilement avalés. L'extraction d'un comprimé orodispersible intact de la bouche s'avère difficile. Les comprimés orodispersibles étant très friables, ils doivent être pris immédiatement après l'ouverture du blister.
  • +Une alternative peut être de dissoudre le comprimé dans un verre
  • +d'eau ou dans une autre boisson appropriée (jus d'orange, jus de pomme, lait ou café) immédiatement avant de le prendre.
  • +
  • -Olanzapine Sandoz ne doit pas être administré à des patients présentant une hypersensibilité connue à l'un des composants.
  • -Olanzapine Sandoz n'est pas indiqué chez des patients présentant un risque connu de glaucome à angle fermé.
  • -Enfants et adolescents de moins de 18 ans.
  • +Olanzapine Sandoz ne doit pas être utilisé:
  • +·Chez des patients présentant une hypersensibilité connue à l'un des composants.
  • +·Chez des patients présentant un risque connu de glaucome à angle fermé.
  • +·Chez les enfants et adolescents de moins de 18 ans.
  • -L'olanzapine n'est pas indiquée dans le traitement de la démence avec troubles psychotiques et/ou troubles du comportement et son utilisation chez ce groupe spécifique de patients est déconseillée du fait d'une augmentation du risque de mortalité et d'accidents cérébrovasculaires. Au cours d'essais cliniques contrôlés versus placebo (durée de 6 à 12 semaines), réalisés chez des patients âgés (âge moyen 78 ans) souffrant de démence avec troubles psychotiques et/ou de troubles du comportement, l'incidence des décès dans le groupe olanzapine a été deux fois plus importante que celle observée dans le groupe placebo (3,5 versus 1,5% respectivement). L'incidence plus élevée de décès n'a pas été corrélée à la dose d'olanzapine (dose moyenne quotidienne de 4,4 mg) ou à la durée de traitement. Dans cette population de patients, un âge >65 ans, une dysphagie, une sédation, une malnutrition et une déshydratation, une pathologie pulmonaire (telle qu'une pneumopathie avec ou sans inhalation) ou une utilisation concomitante de benzodiazépines peuvent être des facteurs prédisposant à une augmentation du risque de mortalité. Néanmoins, l'incidence de mortalité a été supérieure dans le groupe olanzapine (versus placebo), indépendamment de ces facteurs de risque.
  • -Des événements indésirables cérébrovasculaires (tels que accidents vasculaires cérébraux, accidents ischémiques transitoires), dont certains d'issue fatale, ont été rapportés dans ces mêmes essais cliniques. Trois fois plus d'événements indésirables cérébrovasculaires ont été rapportés dans le groupe des patients traités par olanzapine comparativement au groupe de patients traités par placebo (1,3% versus 0,4% respectivement). Tous les patients traités par olanzapine ou par placebo ayant présenté un événement vasculaire cérébral, avaient des facteurs de risque préexistants. Un âge supérieur à 75 ans et une démence de type vasculaire ou mixte ont été identifiés comme des facteurs de risque d'événements indésirables cérébrovasculaires dans le groupe olanzapine. L'efficacité clinique de l'olanzapine n'a pas été démontrée dans ces essais.
  • +L'olanzapine n'est pas homologuée dans le traitement de la psychose et/ou des troubles du comportement liés à une démence et son utilisation chez ce groupe spécifique de patients est déconseillée, étant donné que la mortalité et le risque d'accidents cérébrovasculaires sont accrus. Au cours d'essais cliniques contrôlés contre placebo (durée de 6 à 12 semaines), réalisés chez des patients âgés (âge moyen 78 ans) souffrant de psychose et/ou de troubles du comportement liés à une démence, l'incidence des décès dans le groupe olanzapine a été deux fois plus importante que celle observée dans le groupe placebo (3,5% contre 1,5%). L'incidence plus élevée de décès n'a pas été corrélée à la dose d'olanzapine (dose moyenne quotidienne de 4,4 mg) ou à la durée de traitement. Dans cette population de patients, les facteurs prédisposant à une augmentation du risque de mortalité peuvent regrouper un âge >65 ans, une dysphagie, une sédation, une malnutrition et une déshydratation, une pathologie pulmonaire (par ex. une pneumonie d'aspiration ou non) ou une utilisation concomitante de benzodiazépines. Indépendamment de ces facteurs de risque, l'incidence des cas de décès a été supérieure dans le groupe olanzapine par rapport au groupe placebo. Dans ces mêmes essais cliniques, des événements indésirables cérébrovasculaires (par ex. accidents vasculaires cérébraux, accidents ischémiques transitoires), dont certains d'issue fatale, ont été rapportés plus souvent sous olanzapine. Les événements indésirables cérébrovasculaires ont été rapportés 3 fois plus souvent dans le groupe des patients traités par olanzapine que dans le groupe de patients traités par placebo (1,3% contre 0,4%). Tous les patients traités par olanzapine ou par placebo ayant présenté un événement vasculaire cérébral, avaient des facteurs de risque préexistants. Un âge supérieur à 75 ans et une démence de type vasculaire ou mixte ont été identifiés comme des facteurs de risque d'événements indésirables cérébrovasculaires dans le groupe olanzapine. L'efficacité clinique de l'olanzapine n'a pas été démontrée dans ces essais.
  • -Il n'est pas recommandé d'administrer l'olanzapine pour traiter les psychoses provoquées par des médicaments à effet dopaminergique chez des patients souffrant de la maladie de Parkinson. Dans des essais cliniques, une aggravation des symptômes du Parkinson et des hallucinations a été rapportée très souvent, et plus souvent que sous placebo. Dans le traitement des symptômes psychotiques, l'olanzapine n'était pas plus efficace que le placebo. Une des préconditions de ces essais, était que l'état des patients en début d'étude soit stable avec la dose efficace d'antiparkinsonien (médicament à effet dopaminergique) la plus faible et que les patients soient maintenus sous la même dose du même médicament antiparkinsonien tout au long de l'étude. Le traitement avec l'olanzapine a commencé avec 2,5 mg/jour et, selon l'appréciation du médecin de l'étude, la dose a été portée à 15 mg/jour au maximum.
  • -Syndrome neuroleptique malin (SNM)
  • -De rares cas de SNM ont été signalés chez des patients sous olanzapine. Le SNM est une affection susceptible de constituer un danger vital, en rapport avec la prise de neuroleptiques. Cliniquement, le SNM se manifeste par une augmentation de la température corporelle (hyperthermie), une rigidité musculaire, une modification de l'état mental et une instabilité du système nerveux autonome (pulsations ou tension artérielle irrégulières, tachycardie, sueurs et troubles du rythme cardiaque). D'autres symptômes peuvent être une augmentation de la créatinine-phosphokinase, une myoglobinurie (rhabdomyolyse) et une insuffisance rénale. En pareil cas ou face à une fièvre inexpliquée même sans manifestations cliniques concomitantes de SNM, le traitement de tous les neuroleptiques, incluant l'olanzapine, doivent être interrompus.
  • +Il n'est pas recommandé d'administrer l'olanzapine pour traiter les psychoses provoquées par des médicaments à effet dopaminergique chez des patients souffrant de la maladie de Parkinson. Dans des essais cliniques, une aggravation de la symptomatologie parkinsonienne et des hallucinations ont été rapportées très souvent, et plus souvent que sous placebo. Dans le traitement des symptômes psychotiques, l'olanzapine n'était pas plus efficace que le placebo. Une des pré-conditions de ces essais était que l'état des patients en début d'étude soit stable avec la plus faible dose efficace d'un antiparkinsonien (médicament à effet dopaminergique) et que les patients soient maintenus sous la même dose du même médicament antiparkinsonien tout au long de l'étude. Le traitement par l'olanzapine a commencé avec 2,5 mg/jour et, selon l'appréciation du médecin de l'étude, la dose a été portée à 15 mg/jour au maximum.
  • +Syndrome malin des neuroleptiques (SMN)
  • +De rares cas de SMN ont été rapportés chez des patients sous olanzapine. Le SMN est un état potentiellement mortel associé à la prise de neuroleptiques. Les signes cliniques d'un SMN sont une augmentation de la température corporelle (hyperthermie), une rigidité musculaire, une altération des facultés mentales et une instabilité neurovégétative (irrégularités du pouls ou de la tension artérielle, tachycardie, sueurs et troubles du rythme cardiaque). D'autres symptômes peuvent être une augmentation de la créatine phosphokinase, une myoglobinurie (rhabdomyolyse) et une défaillance rénale aiguë. En pareil cas ou face à une forte fièvre inexpliquée sans manifestations cliniques concomitantes de SMN, le traitement par tous les neuroleptiques, y compris l'olanzapine, doit être arrêté.
  • -Chez les patients diabétiques ou présentant une légère élévation de la glycémie (100–126 mg/dl à jeun, 140–200 mg/dl non à jeun), l'olanzapine ne sera prescrite qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfices/risques.
  • +Chez les patients diabétiques ou présentant une légère augmentation de la glycémie (100–126 mg/dl à jeun, 140–200 mg/dl non à jeun), l'olanzapine ne sera prescrite qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfices/risques.
  • -Dans les études menées jusqu'à 12 semaines chez l'adulte, les augmentations moyennes des taux de cholestérol total, de cholestérol LDL et de triglycérides à jeun ont été plus importantes chez les patients traités par l'olanzapine que chez les patients sous placebo.
  • +Dans des études menées jusqu'à 12 semaines chez l'adulte, les augmentations moyennes des taux de cholestérol total, de cholestérol LDL et de triglycérides à jeun ont été plus importantes chez les patients traités par l'olanzapine que chez les patients sous placebo.
  • -L'expérience clinique avec l'olanzapine chez des patients atteints d'affections concomitantes est limitée. Puisque l'olanzapine exerce un effet anticholinergique in vitro, il ne sera prescrit qu'avec une extrême prudence chez les patients présentant une hypertrophie prostatique ou un iléus paralytique.
  • +L'expérience clinique avec l'olanzapine chez des patients atteints d'affections concomitantes est limitée. Puisque l'olanzapine exerce un effet anticholinergique in vitro, il sera prescrit uniquement avec prudence chez les patients présentant une hypertrophie symptomatique de la prostate ou un iléus paralytique.
  • -Des élévations transitoires et asymptomatiques des aminotransférases (ALAT et ASAT) ont été fréquemment observées notamment en début de traitement. La prudence s'impose chez les patients présentant une élévation des ALAT et/ou des ASAT, chez les patients présentant des signes d'altération de la fonction hépatique, chez les patients présentant une affection préexistante allant de pair avec une limitation des réserves de la fonction hépatique et chez les patients traités par des produits potentiellement hépatotoxiques.
  • +Des augmentations transitoires et asymptomatiques des aminotransférases hépatiques, ALAT (SGPT) et ASAT (SGOT) ont été observées fréquemment, notamment en début de traitement. En conséquence, la prudence s'impose chez les patients présentant une élévation des ALAT et/ou des ASAT, chez les patients présentant des symptômes évocateurs d'une limitation de la fonction hépatique, chez les patients ayant une maladie préexistante allant de pair avec une limitation des réserves hépatiques, et chez les patients traités par des produits potentiellement hépatotoxiques.
  • -Comme avec les autres antipsychotiques, on recommandera la prudence chez les patients qui présentent des taux de leucocytes et/ou de neutrophiles faibles, quelle qu'en soit la cause, et chez les patients qui reçoivent des médicaments dont on sait qu'ils peuvent être la cause d'une neutropénie, chez les patients dont l'anamnèse révèle une dépression/toxicité des tissus myéloïdes due à une affection concomitante, une radiothérapie ou une chimiothérapie, et chez les patients souffrant d'une hyperéosinophilie ou d'une affection engendrant la prolifération des cellules myéloïdes.
  • -Dans de rares cas, chez des patients ayant développé une neutropénie au cours du traitement à la clozapine, on a constaté qu'en remplaçant le traitement à la clozapine par un traitement à l'olanzapine orale, le temps de récupération de la neutropénie était augmenté. En outre, depuis la mise sur le marché du produit, de très rares cas de récurrence d'une agranulocytose ont été observés chez les patients possédant des antécédents d'agranulocytose induite par la clozapine (voir «Effets indésirables»).
  • -L'administration simultanée d'olanzapine et de valproate a fréquemment été la cause d'une neutropénie (voir «Effets indésirables»).
  • -Les données sur l'association avec le lithium ou le valproate sont limitées (voir «Propriétés/Effets»). Une étude pharmacocinétique a été conduite sur la combinaison d'olanzapine et de carbamazépine.
  • +Comme avec les autres antipsychotiques, la prudence est recommandée chez les patients dont le nombre de leucocytes et/ou de neutrophiles est faible, quelle qu'en soit la cause, chez les patients qui reçoivent des médicaments connus pour induire une neutropénie, chez les patients ayant des antécédents de dépression médullaire/de myélotoxicité médicamenteuse, chez les patients ayant une dépression médullaire en relation avec une pathologie concomitante, une radiothérapie ou une chimiothérapie, et chez les patients atteints d'hyperéosinophilie ou d'un syndrome myéloprolifératif.
  • +Dans de rares cas, chez des patients ayant développé une neutropénie au cours du traitement par clozapine, un allongement du temps de récupération de la neutropénie a été observé lors du passage du traitement par clozapine à un traitement par olanzapine. En outre, depuis la mise sur le marché du produit, de très rares cas de récidive d'une agranulocytose ont été observés chez les patients ayant des antécédents d'agranulocytose induite par la clozapine (voir «Effets indésirables»).
  • +Une neutropénie a souvent été rapportée lorsque l'olanzapine et le valproate étaient administrés ensemble (voir «Effets indésirables»).
  • +Les données sur le traitement simultané par le lithium et le valproate sont rares (voir «Propriétés/Effets»). Une étude pharmacocinétique a été menée sur l'association olanzapine et carbamazépine.
  • -L'arrêt soudain du traitement à l'olanzapine a été suivi rarement (>0,01% et <0,1%) de symptômes aigus tels que sueurs, insomnie, tremblement, anxiété, nausée ou vomissement ont été rapportés. Avant d'arrêter un traitement avec l'olanzapine, on envisagera une réduction graduelle de la dose.
  • +L'arrêt soudain du traitement par l'olanzapine a été suivi rarement (>0,01% et <0,1%) de symptômes aigus tels que sueurs, insomnie, tremblement, anxiété, nausée ou vomissement Avant d'arrêter un traitement par l'olanzapine, on envisagera une réduction graduelle de la dose.
  • -L'olanzapine montre un faible potentiel d'allongement du QTc et d'événements cardiaques qui y sont associés. Dans les études cliniques, un allongement cliniquement pertinent du QTc est apparu occasionnellement chez les patients traités par l'olanzapine (de 0,1% à 1%), sans qu'existent des différences significatives par rapport au placebo. Cependant, comme avec d'autres antipsychotiques, la prudence est recommandée lorsque l'olanzapine est prescrite en même temps que des médicaments connus pour allonger l'intervalle QTc, notamment chez le sujet âgé, chez les patients présentant un syndrome de QT long congénital, une insuffisance cardiaque non compensée, une hypertrophie cardiaque, une hypokaliémie ou une hypomagnésémie.
  • +L'olanzapine montre un faible potentiel d'allongement du QTc et d'événements cardiaques qui y sont associés. Dans les études cliniques, un allongement cliniquement pertinent du QTc est apparu occasionnellement chez les patients traités par l'olanzapine (de 0,1% à 1%), sans qu'existent des différences significatives par rapport au placebo. Cependant, comme avec d'autres antipsychotiques, la prudence est recommandée lorsque l'olanzapine est prescrite en même temps que des médicaments connus pour allonger l'intervalle QTc, notamment chez le sujet âgé, chez les patients présentant un syndrome de QT long congénital, une insuffisance cardiaque compensée, une hypertrophie cardiaque, une hypokaliémie ou une hypomagnésémie.
  • -Cependant les patients schizophrènes présentant souvent des facteurs de risque thromboembolique veineux, tout facteur de risque potentiel d'atteintes thromboemboliques veineuses, p.ex. l'immobilisation prolongée, doit être identifié et des mesures préventives mises en oeuvre.
  • -Activité générale sur le système nerveux central
  • -L'olanzapine étant un médicament à action essentiellement centrale, la prudence est indiquée en cas de prise concomitante d'autres médicaments agissant sur le système nerveux central ou d'alcool. Puisque l'olanzapine montre, in vitro, une activité antidopaminergique, elle peut contrecarrer l'action d'agonistes directs ou indirects de la dopamine (voir «Interactions»).
  • +Cependant les patients schizophrènes présentant souvent des facteurs de risque thromboembolique veineux, tout facteur de risque potentiel d'atteintes thromboemboliques veineuses, p.ex. l'immobilisation, doit être identifié et des mesures préventives mises en oeuvre.
  • +Effets généraux sur le système nerveux central
  • +L'olanzapine étant un médicament à action essentiellement centrale, la prudence est indiquée en cas de prise concomitante d'autres médicaments agissant sur le système nerveux central et d'alcool. Puisque l'olanzapine montre, in vitro, une activité antidopaminergique, elle peut antagoniser l'action d'agonistes de la dopamine (voir «Interactions»).
  • -Des essais cliniques contrôlés ont montré que l'administration orale d'olanzapine n'était liée qu'à une faible incidence de dyskinésies iatrogènes.
  • -Le risque de survenue de dyskinésie tardive augmente avec la durée de l'exposition.
  • +Des essais cliniques contrôlés ont montré que l'administration d'olanzapine était liée à une incidence relativement faible de dyskinésies liées au traitement.
  • +Toutefois, le risque de survenue d'une dyskinésie tardive augmente avec la durée du traitement.
  • -En cas d'apparition de symptômes d'une dyskinésie tardive chez des patients traités à l'Olanzapine Sandoz, une diminution du dosage ou une suspension du traitement devront être envisagées.
  • +En cas d'apparition de symptômes d'une dyskinésie tardive chez des patients traités par l'Olanzapine Sandoz, une réduction posologique ou une suspension du traitement devront être envisagées.
  • -Occasionnellement au cours d'essais cliniques avec d'olanzapine orale, une hypotension orthostatique a été observée chez des patients âgés. Si des neuroleptiques sont indiqués, il est conseillé de contrôler la tension artérielle à intervalles réguliers chez les patients de plus de 65 ans.
  • +Occasionnellement au cours d'essais cliniques avec l'olanzapine, une hypotension orthostatique a été observée chez des patients âgés. Comme avec les autres neuroleptiques, il est conseillé de contrôler la tension artérielle à intervalles réguliers chez les patients de plus de 65 ans.
  • -Lactose: les comprimés pelliculés et les comprimés orodispersibles d'Olanzapine Sandoz contiennent du lactose.
  • +Lactose
  • +Les comprimés pelliculés et les comprimés orodispersibles d'Olanzapine Sandoz contiennent du lactose. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
  • -Interactions potentielles ayant un effet sur l'olanzapine
  • -L'olanzapine étant métabolisée par le cytochrome CYP1A2, les produits qui stimulent ou inhibent spécifiquement cette isoenzyme peuvent modifier les paramètres pharmacocinétiques de l'olanzapine.
  • -Induction du CYP1A2: la métabolisation de l'olanzapine peut être favorisée par le tabagisme (chez les non-fumeurs, la clairance est inférieure de 33%, et la demi-période d'élimination terminale allongée de 21%, par rapport aux fumeurs) et par la carbamazépine (lors d'une administration simultanée de carbamazépine, la clairance est augmentée de 44% et la demi-période d'élimination terminale est raccourcie de 20%). L'association thérapeutique à la carbamazépine entraîne une induction significative du métabolisme de l'olanzapine. En cas d'administration concomitante de carbamazépine, on a observé une réduction de l'exposition d'environ 50%. Une surveillance clinique est recommandée. Si nécessaire, on envisagera d'augmenter la dose d'olanzapine (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Inhibition du CYP1A2: Il a été montré que la fluvoxamine, inhibiteur spécifique du CYP1A2, inhibe significativement le métabolisme de l'olanzapine. La fluvoxamine entraîne une augmentation moyenne du Cmax de l'olanzapine de 54% chez les femmes non-fumeuses et de 77% chez les hommes fumeurs. L'augmentation moyenne de l'ASC de l'olanzapine était respectivement de 52% et de 108%. Une posologie initiale plus faible de l'olanzapine doit être envisagée chez les patients traités par la fluvoxamine ou tout autre inhibiteur du CYP1A2 telle la ciprofloxacine. Une diminution de la posologie de l'olanzapine doit être envisagée si un traitement par un inhibiteur du CYP1A2 est instauré.
  • -Diminution de la biodisponibilité: Le charbon activé diminue la biodisponibilité de l'olanzapine par voie orale de 50 à 60% et doit être pris au moins 2 heures avant ou après l'administration de l'olanzapine.
  • -Avec la fluoxétine (inhibiteur du CYP2D6), des doses uniques d'antiacides (aluminium, magnésium) ou la cimétidine il n'a pas été retrouvé d'effet significatif sur les paramètres pharmacocinétiques de l'olanzapine.
  • -Effets potentiels de l'olanzapine sur les autres médicaments
  • -L'olanzapine peut antagoniser les effets directs et indirects des agonistes dopaminergiques.
  • -L'olanzapine n'inhibe pas les principales isoenzymes du CYP450 in vitro (c'est-à-dire 1A2, 2D6, 2C9, 2C19, 3A4). Par conséquent, aucune interaction particulière n'est attendue comme cela a pu être vérifié au cours d'études in vivo au cours desquelles aucune inhibition du métabolisme des produits actifs suivants n'a été mise en évidence: antidépresseurs tricycliques (représentant principalement la voie du CYP2D6), la warfarine (CYP2C9), la théophylline (CYP1A2), ou le diazépam (CYP3A4 et 2C19).
  • +Effet de l'olanzapine sur d'autres médicaments
  • +L'olanzapine peut atténuer les effets des agonistes directs et indirects dopaminergiques.
  • +L'olanzapine n'inhibe pas les principales isoenzymes du CYP450 in vitro (par ex. 1A2, 2D6, 2C9, 2C19, 3A4). Par conséquent, aucune interaction particulière n'est attendue comme cela a été vérifié lors d'études in vivo au cours desquelles aucune inhibition du métabolisme des principes actifs suivants n'a été mise en évidence: antidépresseurs tricycliques (représentant principalement la voie du CYP2D6), warfarine (CYP2C9), théophylline (CYP1A2), ou diazépam (CYP3A4 et 2C19).
  • -Le suivi des taux plasmatiques du Divalproex (valproate) n'a pas montré la nécessité d'adapter la posologie du Divalproex (valproate) après l'instauration d'un traitement par l'olanzapine.
  • +Le suivi des taux plasmatiques du Divalproex (valproate) n'a pas montré la nécessité d'adapter la posologie du Divalproex (valproate) après l'instauration d'un traitement par l'olanzapine orale.
  • +Effet d'autres médicaments sur l'olanzapine
  • +L'olanzapine étant métabolisée par le cytochrome CYP1A2, les substances qui induisent ou inhibent spécifiquement cette isoenzyme peuvent modifier la pharmacocinétique de l'olanzapine.
  • +Induction du CYP1A2: le métabolisme de l'olanzapine peut être induit par le tabagisme (la clairance de l'olanzapine diminue de 33% et la demi-vie d'élimination terminale augmente de 21% chez les non-fumeurs par rapport aux fumeurs) et la carbamazépine (la clairance augmente de 44% et la demi-vie d'élimination terminale diminue de 20% lors d'une administration concomitante avec la carbamazépine). L'association thérapeutique à la carbamazépine entraîne une induction significative du métabolisme de l'olanzapine. En cas d'administration concomitante de carbamazépine, on a observé une réduction de l'exposition d'environ 50%. Une surveillance clinique est recommandée. Une augmentation de la posologie de l'olanzapine peut être éventuellement envisagée, si nécessaire (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Inhibition du CYP1A2: il a été montré que la fluvoxamine, inhibiteur spécifique du CYP1A2, inhibe significativement le métabolisme de l'olanzapine. La fluvoxamine entraîne une augmentation moyenne de la Cmax de l'olanzapine de 54% chez les femmes non-fumeuses et de 77% chez les hommes fumeurs. L'augmentation moyenne de l'AUC de l'olanzapine était respectivement de 52% et de 108%. Une posologie initiale plus faible d'olanzapine doit être envisagée chez les patients traités par la fluvoxamine ou tout autre inhibiteur du CYP1A2 comme la ciprofloxacine. Une diminution de la dose d'olanzapine doit être envisagée si un traitement par un inhibiteur du CYP1A2 est instauré.
  • +Diminution de la biodisponibilité: Le charbon activé diminue la biodisponibilité de l'olanzapine par voie orale de 50 à 60% et doit être pris au moins 2 heures avant ou après l'administration de l'olanzapine.
  • +La fluoxétine (inhibiteur du CYP2D6), des doses uniques d'antiacides (aluminium, magnésium) ou la cimétidine n'ont pas d'effet significatif sur la pharmacocinétique de l'olanzapine.
  • -Des études animales ont mis en évidence des effets secondaires affectant le foetus et il n'existe aucune étude contrôlée et suffisamment documentée chez les femmes enceintes. L'attention des patientes sera donc attirée sur le fait qu'elles doivent avertir leur médecin en cas de grossesse débutante ou de projet de grossesse en cours de traitement à l'olanzapine. L'expérience chez l'homme étant limitée, ce médicament ne sera administré lors d'une grossesse que si les avantages éventuels justifient le risque foetal potentiel.
  • -On a très rarement reçu des rapports spontanés de tremblements, hypertension, léthargie et somnolence chez des enfants dont les mères avaient pris de l'olanzapine au cours du troisième trimestre de leur grossesse.
  • +Des études animales ont mis en évidence des effets indésirables affectant le fœtus. Il n'existe aucune étude contrôlée et suffisamment documentée chez les femmes enceintes. L'attention des patientes sera donc attirée sur le fait qu'elles doivent avertir leur médecin si elles sont enceintes ou si elles prévoient une grossesse en cours de traitement par olanzapine. L'expérience chez l'être humain étant limitée, l'olanzapine ne sera administrée lors d'une grossesse qu'en cas de nécessité absolue.
  • +Des rapports spontanés très rares existent faisant cas de tremblements, hypertension, léthargie et somnolence chez les enfants de mères ayant pris de l'olanzapine durant le 3e trimestre de leur grossesse.
  • +Travail et accouchement: chez le rat, le déroulement de l'accouchement n'est pas influencé par l'olanzapine. Mais chez la femme, l'effet de l'olanzapine sur le travail et le déroulement de l'accouchement n'est pas connu.
  • -Une étude sur des femmes qui allaitaient a montré que l'olanzapine était excrétée dans le lait maternel. On a mesuré que la quantité moyenne absorbée par les nourrissons (mg/kg) était, au steady-state, de 1,8% environ de la dose d'olanzapine d'origine maternelle. On recommandera aux patientes de ne pas allaiter lorsqu'elles prennent de l'olanzapine.
  • -Accouchement et naissance
  • -Chez le rat, le déroulement de l'accouchement n'est pas influencé par l'olanzapine. Mais, chez la femme, l'effet de l'olanzapine sur la délivrance n'est pas connu.
  • -
  • +Dans une étude chez des femmes allaitant, l'olanzapine a été excrétée dans le lait maternel. La quantité moyenne absorbée par les nourrissons (mg/kg) a été estimée à l'état d'équilibre à 1,8% environ de la dose d'olanzapine reçue par la mère. On recommandera aux patientes de ne pas allaiter lorsqu'elles prennent de l'olanzapine.
  • -Comme l'olanzapine peut provoquer une somnolence et des vertiges, le patient devra en être averti avant toute utilisation ou conduite de machines ou d'automobiles.
  • +Comme l'olanzapine peut provoquer une somnolence et des vertiges, le patient doit en être averti avant l'utilisation de machines ou la conduite de véhicules.
  • -Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (≥1% des patients) au cours des essais cliniques ont été: somnolence, prise de poids, éosinophilie, augmentation des taux de prolactine, de cholestérol, de la glycémie et de la triglycéridémie (voir «Mises en garde et précautions»), glucosurie, augmentation de l'appétit, sensation vertigineuse, acathisie, parkinsonisme, leucopénie, neutropénie (voir «Mises en garde et précautions»), dyskinésie, hypotension orthostatique, effets anticholinergiques, élévations transitoires asymptomatiques des aminotransférases hépatiques (voir «Mises en garde et précautions»), rash, asthénie, fatigue, pyréxie, arthralgie, phosphatase alcaline sanguine augmentée, gamma-glutamyltransférase augmentée, uricémie augmentée, créatine phosphokinase sanguine augmentée et oedème.
  • -La liste des effets indésirables présentés dans le tableau suivant a été établie à partir du recueil des évènements indésirables et des examens de laboratoire issus de la notification spontanée et des essais cliniques.
  • +Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (≥1% des patients) lors de l'utilisation d'olanzapine au cours des essais cliniques ont été: somnolence, prise de poids, éosinophilie, augmentation des taux de prolactine, de cholestérol, de la glycémie et de la triglycéridémie (voir «Mises en garde et précautions»), glucosurie, augmentation de l'appétit, vertiges, acathisie, parkinsonisme, leucopénie, neutropénie (voir «Mises en garde et précautions»), dyskinésie, hypotension orthostatique, effets anticholinergiques, élévations transitoires asymptomatiques des aminotransférases hépatiques (voir «Mises en garde et précautions»), rash, asthénie, fatigue, pyréxie, arthralgie, phosphatase alcaline augmentée, gamma-glutamyltransférase élevée, uricémie élevée, créatine phosphokinase élevée et oedème.
  • +La liste suivante d'effets indésirables et de résultats d'examens chimiques et cliniques se base sur les rapports spontanés et les essais cliniques.
  • -Fréquent: Eosinophilie, leucopénie, neutropénie.
  • -Rare: Thrombocytopénie (voir note 7 ci-dessous).
  • +Fréquent: éosinophilie, leucopénie, neutropénie.
  • +Rare: thrombocytopénie (voir note 7 ci-dessous).
  • -Occasionnel: Réaction allergique (réaction anaphylactoïde, oedème angioneurotique, prurit ou urticaire).
  • +Occasionnel: réaction allergique (p.ex. réaction anaphylactoïde, oedème angioneurotique, prurit ou urticaire).
  • -Très fréquent: Prise de poids (voir note 1 ci-dessous).
  • -Fréquent: Augmentation de l'appétit, hyperglycémie (voir note 2 ci-dessous). Augmentation de la triglycéridémie (voir notes 3 et 4 ci-dessous et «Mises en garde et précautions/Hyperlipidémie»). Augmentation de la cholestérolémie (voir notes 3 et 5 ci-dessous et «Mises en garde et précautions/Hyperlipidémie»). Glycosurie.
  • +Très fréquent: prise de poids (voir note 1 ci-dessous).
  • +Fréquent: augmentation de l'appétit, hyperglycémie (voir note 2 ci-dessous). Augmentation de la triglycéridémie (voir notes 3 et 4 ci-dessous et «Mises en garde et précautions/Hyperlipidémie»). Augmentation de la cholestérolémie (voir notes 3 et 5 ci-dessous et «Mises en garde et précautions/Hyperlipidémie»). Glycosurie.
  • -Rare: Hypothermie.
  • +Rare: hypothermie.
  • -Très fréquent: Somnolence (17,6%). Chez les patients souffrant de la maladie de Parkinson, on a rapporté plus souvent une péjoration des symptômes de Parkinson et des hallucinations.
  • -Fréquent: Vertiges, acathisie, parkinsonisme, dyskinésie (voir note 6 ci-dessous).
  • +Très fréquent: somnolence (17,6%). Chez les patients souffrant de la maladie de Parkinson, on a rapporté plus souvent une péjoration des symptômes de Parkinson et des hallucinations.
  • +Fréquent: vertiges, acathisie, parkinsonisme, dyskinésie (voir note 6 ci-dessous).
  • -Occasionnel: Epistaxis.
  • +Occasionnel: epistaxis.
  • -Occasionnel: Bradycardie, allongement de l'intervalle QTc (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Occasionnel: bradycardie, allongement de l'intervalle QTc (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Très fréquent: Hypotension orthostatique (20,7%).
  • -Rare: Thromboembolie (y compris embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Très fréquent: hypotension orthostatique (20,7%).
  • +Rare: thromboembolie (y compris embolie pulmonaire et thrombose veineuse profonde) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Fréquent: Effets anticholinergiques légers et transitoires tels que constipation et bouche sèche.
  • -Occasionnel: distension abdominale.
  • -Rare: Pancréatite.
  • +Fréquent: effets anticholinergiques légers et transitoires tels que constipation et bouche sèche.
  • +Occasionnel: distension abdominale, hypersécrétion salivaire.
  • +Rare: pancréatite.
  • -Fréquent: Elévations transitoires des aminotransférases hépatiques (ASAT, ALAT), particulièrement en début de traitement (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Rares: Hépatite (y compris lésions hépatocellulaires ou hépatite cholestatique ou forme mixte).
  • -Très rare: Jaunisse.
  • +Fréquent: élévations transitoires des aminotransférases hépatiques (ASAT, ALAT), particulièrement en début de traitement (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Rare: hépatite (y compris lésions hépatocellulaires ou hépatite cholestatique ou forme mixte).
  • +Très rare: jaunisse.
  • -Fréquent: Arthralgie.
  • -Rare: Rhabdomyolyse.
  • +Fréquent: arthralgie.
  • +Rare: rhabdomyolyse.
  • -Fréquent: Exanthème.
  • -Occasionnel: Réaction de photosensibilité, alopécie.
  • +Fréquent: exanthème.
  • +Occasionnel: réaction de photosensibilité, alopécie.
  • -Occasionnel: Incontinence urinaire, rétention urinaire, miction difficile.
  • +Occasionnel: incontinence urinaire, rétention urinaire, miction difficile.
  • -Rare: Priapisme.
  • +Rare: priapisme.
  • -Fréquent: Asthénie, oedème, fatigue, pyréxie.
  • +Fréquent: asthénie, oedème, fatigue, pyréxie.
  • -Très fréquent: Augmentation de la prolactinémie (30,3%) (voir note 8 ci-dessous).
  • -Fréquent: Phosphatase alcaline sanguine augmentée, créatine phosphokinase sanguine augmentée, gamma-glutamyltransférase (GGT) augmentée (U/I), uricémie augmentée (µmol/l).
  • -Occasionnel: Augmentation de la bilirubine totale.
  • +Très fréquent: augmentation de la prolactinémie (30,3%) (voir note 8 ci-dessous).
  • +Fréquent: phosphatase alcaline augmentée, créatine phosphokinase élevée, gamma-glutamyltransférase (GGT) élevée (U/I), uricémie élevée (µmol/l).
  • +Occasionnel: augmentation de la bilirubine totale.
  • -Très fréquent: Prise de poids ≥7% observée chez 22,2% des patients.
  • -Fréquent: Prise de poids ≥15% observée chez 4,2% des patients.
  • -Occasionnel: Prise de poids ≥25% observée chez 0,8% des patients.
  • -Prise de poids lors d'un traitement à long terme (au-moins 48 semaines)
  • +Très fréquent: prise de poids ≥7% observée chez 22,2% des patients.
  • +Fréquent: prise de poids ≥15% observée chez 4,2% des patients.
  • +Occasionnel: prise de poids ≥25% observée chez 0,8% des patients.
  • +Prise de poids lors d'un traitement à long terme (au moins 48 semaines)
  • -6 Au cours d'essais cliniques, l'incidence des troubles parkinsoniens et des dystonies chez les patients traités par l'olanzapine n'était pas significativement différente de celle du groupe placebo. Les patients traités par l'olanzapine ont présenté une plus faible incidence de troubles parkinsoniens, d'acathisie et de dystonie que les patients traités par l'halopéridol à des posologies comparables. En l'absence d'information précise concernant les antécédents de mouvements anormaux extrapyramidaux de survenue aiguë ou tardive, on ne peut conclure à ce jour que l'olanzapine entraîne moins de dyskinésies tardives et/ou de syndromes extrapyramidaux tardifs.
  • +6 Au cours d'essais cliniques, l'incidence des troubles parkinsoniens et des dystonies chez les patients traités par l'olanzapine n'était pas significativement différente de celle du groupe placebo. Les patients traités par l'olanzapine ont présenté une plus faible incidence de troubles parkinsoniens, d'acathisie et de dystonie que les patients traités par l'halopéridol à des posologies augmentées par paliers. En l'absence d'information précise concernant les antécédents de mouvements anormaux extrapyramidaux de survenue aiguë ou tardive, on ne peut conclure à ce jour que l'olanzapine entraîne moins de dyskinésies tardives et/ou de syndromes extrapyramidaux tardifs.
  • -8 Dans des études cliniques allant jusqu'à 12 semaines, une prolactinémie dépassant la limite supérieure à la normale a été observée chez environ 30% des patients traités avec l'olanzapine. Chez la majorité de ces patients, les augmentations étaient généralement légères. Les répercussions cliniques potentiellement associées au niveau mammaire et sur les cycles menstruels (par exemple, aménorrhée, gynécomastie, galactorrhée et grossissement des seins) ont été occasionnelles. Des réactions indésirables potentiellement associées à la fonction sexuelle (par exemple, dysfonction érectile et diminution de la libido) ont été fréquemment observées.
  • +8 Dans des études cliniques allant jusqu'à 12 semaines, une augmentation de la prolactinémie a été observée chez plus de 30% des patients traités avec l'olanzapine. Chez la majorité de ces patients, les augmentations étaient généralement légères. Les répercussions cliniques potentiellement associées au niveau mammaire et sur les cycles menstruels (par exemple, aménorrhée, gynécomastie, galactorrhée et grossissement des seins) ont été occasionnelles. Des réactions indésirables potentiellement associées à la fonction sexuelle (par exemple, dysfonction érectile et diminution de la libido) ont été fréquemment observées.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Symptômes
  • -Les symptômes les plus courants d'un surdosage (fréquence >10%) peuvent consister en tachycardie, agitation/agressivité, dysarthrie, divers troubles extrapyramidaux, et diminution de la conscience pouvant se manifester par de la sédation, voire un état comateux.
  • -D'autres séquelles médicales notables peuvent se manifester: délire, convulsions, coma, éventuel syndrome neuroleptique malin, dépression respiratoire, aspiration, hypertension ou hypotension, arythmie cardiaque (moins de 2% des cas de surdosage), arrêt cardiaque et apnée.
  • +Signes et symptômes
  • +Les symptômes les plus courants d'un surdosage (fréquence >10%) regroupent tachycardie, agitation/agressivité, dysarthrie, divers troubles extrapyramidaux et diminution de l'état de conscience pouvant aller de la sédation à un état comateux.
  • +Les autres répercussions médicales notables d'un surdosage peuvent comprendre délire, convulsions, coma, éventuel syndrome malin des neuroleptiques, dépression respiratoire, aspiration, hypertension ou hypotension, arythmie cardiaque (<2% des cas de surdosage) et arrêt cardiorespiratoire.
  • -Traitement en cas de surdosage
  • -Il n'existe aucun antidote spécifique à l'olanzapine. Le recours au vomissement n'est donc généralement pas conseillé. Les mesures habituelles en cas de surdosage seront adoptées (lavage gastrique, administration de charbon actif). L'administration concomitante de charbon actif peut provoquer une diminution de 50 à 60% de la biodisponibilité orale de l'olanzapine.
  • -Conformément à la manifestation clinique, un traitement symptomatique et le contrôle des fonctions organiques nécessaires à la survie doivent être mis en oeuvre, y compris le traitement de l'hypotension ou du collapsus circulatoire et le soutien des fonctions respiratoires.
  • -L'adrénaline, la dopamine ou d'autres sympathicomimétiques à action bêta-agoniste ne seront pas administrés, car la stimulation des récepteurs peut aggraver l'hypotension.
  • -Un monitoring électrocardiographique s'impose afin de repérer d'éventuelles arythmies. Un suivi médical étroit sera instauré jusqu'à la guérison complète des patients.
  • +Traitement
  • +Il n'existe aucun antidote spécifique à l'olanzapine. Le recours au vomissement n'est pas conseillé. Les mesures habituelles en cas de surdosage seront adoptées (lavage gastrique, administration de charbon actif). L'administration concomitante de charbon actif peut provoquer une diminution de 50 à 60% de la biodisponibilité orale de l'olanzapine.
  • +Un traitement symptomatique et une surveillance des fonctions vitales doivent être mis en oeuvre selon l'état clinique, y compris un traitement de l'hypotension et du collapsus circulatoire, et une assistance respiratoire.Ne pas utiliser l'adrénaline, la dopamine ou d'autres sympathomimétiques à action bêta-agoniste, car la stimulation des récepteurs peut aggraver l'hypotension.
  • +Un monitoring cardiovasculaire est nécessaire pour déceler d'éventuelles arythmies. Une surveillance médicale étroite sera poursuivie jusqu'à la guérison des patients.
  • -Code ATC: N05AH03
  • +Code ATC
  • +N05AH03
  • -L'olanzapine est un neuroleptique atypique avec une action antimaniaque et stabilisatrice de l'humeur, présentant une affinité pour le 5HT2A/2C, le 5HT3 et le 5HT6, la dopamine D4, D3, D1, D2, les récepteurs muscariniques cholinergiques (m1m5), les récepteurs adrénergiques α1 et les récepteurs histaminiques H1. Des études cliniques observant le comportement des patients réalisées avec l'olanzapine concordent avec les profils de liaisons aux récepteurs.
  • -Dans une étude PET avec des doses uniques de 10 mg chez des volontaires sains, l'olanzapine donnait une meilleure saturation des récepteurs 5HT2A que des récepteurs dopaminergiques D2. La saturation D2 était inférieure à celle observée avec les neuroleptiques conventionnels. Ce type d'action peut expliquer le faible taux d'effets secondaires extrapyramidaux et de dyskinésies tardives observés avec l'olanzapine au cours des études cliniques, tout autant que son effet favorable sur la symptomatique négative et positive.
  • +L'olanzapine est un neuroleptique atypique doté d'un effet antimaniaque et thymorégulateur, présentant une affinité pour les récepteurs 5HT2A/2C, 5HT3, 5HT6, dopaminergiques D4, D3, D1, D2, muscariniques cholinergiques (m1m5), adrénergiques α1 et histaminiques H1. Les études de comportement réalisées avec l'olanzapine concordent avec les profils de liaisons aux récepteurs.
  • +Pharmacodynamique
  • +Dans une étude PET avec des doses uniques de 10 mg chez les volontaires sains, l'olanzapine a entraîné une occupation des récepteurs 5HT2A supérieure à celle des récepteurs dopaminergiques D2. L'occupation D2 était inférieure à celle observée avec les neuroleptiques conventionnels. Ce type d'action peut expliquer le faible taux d'effets secondaires extrapyramidaux et de dyskinésies tardives observés avec l'olanzapine au cours des études cliniques, ainsi que l'effet favorable d'olanzapine sur la symptomatique négative et positive.
  • -Dans une étude sur 12 mois de prévention des phases bipolaires, on a administré à des patients ayant eu une rémission sous olanzapine soit de l'olanzapine soit un placebo de manière randomisée. En regard du critère primaire de la récidive bipolaire, l'olanzapine s'est montrée supérieure au placebo de façon statistiquement significative. Pour ce qui concerne la réapparition d'une manie ou d'une dépression, l'olanzapine a montré une supériorité statistiquement significative par rapport au placebo.
  • +Dans une étude sur 12 mois de prévention des phases bipolaires, on a administré à des patients souffrant d'épisodes maniaques ayant eu une rémission sous olanzapine soit de l'olanzapine soit un placebo de manière randomisée. En regard du critère primaire de la récidive bipolaire, l'olanzapine s'est montrée supérieure au placebo de façon statistiquement significative. Pour ce qui concerne la réapparition d'une manie ou d'une dépression, l'olanzapine a montré une supériorité statistiquement significative par rapport au placebo.
  • -Après administration per os, l'olanzapine est bien résorbé et le pic plasmatique est atteint dans un intervalle de 5 à 8 heures. La résorption n'est pas influencée par les repas.
  • +Après administration orale, l'olanzapine est bien résorbé et le pic plasmatique est atteint dans un intervalle de 5 à 8 heures. La résorption n'est pas influencée par les repas.
  • -La liaison de l'olanzapine aux protéines plasmatiques atteignait environ 93% pour des concentrations situées entre 7 et 1000 ng/ml. L'olanzapine se lie essentiellement à l'albumine et aux glycoprotéines acides α1.
  • +La liaison de l'olanzapine aux protéines plasmatiques atteint environ 93% pour l'intervalle de concentrations situées entre 7 et 1000 ng/ml environ. L'olanzapine se lie essentiellement à l'albumine et aux glycoprotéines acides α1.
  • -L'olanzapine est métabolisée dans le foie, par conjugaison et oxydation. Le métabolite principal est le glucuronide-10-N, qui ne passe pas la barrière hémato-encéphalique. Les cytochromes P450-CYP1A2 et P450-CYP2D6 sont responsables de la formation des métabolites N-desméthyl et 2-hydroxyméthyl, qui n'ont aucune activité pharmacologique in vivo.
  • -Elimination
  • -Après prise orale, le temps moyen de demi-vie de l'olanzapine varie en fonction de l'âge et du sexe:
  • +L'olanzapine est métabolisée dans le foie, par conjugaison et oxydation. Le métabolite principal est le glucuronide-10-N, qui ne passe pas la barrière hémato-encéphalique. Les cytochromes P450-CYP1A2 et P450-CYP2D6 sont responsables de la formation prédominante des métabolites N-desméthyl et 2-hydroxyméthyl, qui sont dépourvus d'activité pharmacologique in vivo.
  • +Élimination
  • +Après prise orale, la demi-vie moyenne d'élimination de l'olanzapine varie en fonction de l'âge et du sexe:
  • -Chez les personnes âgées en bonne santé, le temps de demi-vie moyen de l'olanzapine est rallongé par rapport à des sujets jeunes, sains. Chez les vieillards, les concentrations d'olanzapine après une prise de 5 mg, étaient plus élevées suite à l'allongement de la demi-vie et la clairance plasmatique, plus faible (19 l/h).
  • -Les comprimés orodispersibles d'olanzapine sont équivalents aux comprimés d'olanzapine pelliculés – absorption comparable pour une même vitesse et un même mélange, et le dosage ainsi que la fréquence de prises sont les mêmes qu'avec les comprimés pelliculés d'olanzapine. Les comprimés d'olanzapine orodispersibles peuvent être prescrits comme alternative aux comprimés pelliculés d'olanzapine.
  • +Chez les personnes âgées en bonne santé, la demi-vie moyenne d'élimination de l'olanzapine est plus longue par rapport à celle des sujets jeunes et sains. Chez les personnes âgées, les concentrations d'olanzapine après une prise de 5 mg étaient plus élevées suite à l'allongement de la demi-vie et à la plus faible clairance plasmatique (19 l/h).
  • +Les comprimés orodispersibles d'olanzapine sont bioéquivalents aux comprimés d'olanzapine pelliculés – absorption comparable pour une même vitesse et une même quantité et le dosage ainsi que la fréquence de prises sont les mêmes qu'avec les comprimés pelliculés d'olanzapine. Les comprimés d'olanzapine orodispersibles peuvent être prescrits comme alternative aux comprimés pelliculés d'olanzapine.
  • -Une insuffisance rénale ou une insuffisance hépatique légère à modérée ne modifient pas significativement la pharmacocinétique de l'olanzapine. Des études appropriées ont montré qu'environ 57% de l'olanzapine marquée radioactivement sont éliminés dans les urines (principalement sous forme de métabolite).
  • -La clairance plasmatique de l'olanzapine s'est avérée plus faible chez les personnes âgées que chez les jeunes, chez les femmes que chez les hommes et chez les non-fumeurs que chez les fumeurs. Mais cette influence de l'âge, du sexe ou du tabagisme sur la clairance de l'olanzapine était relativement faible comparativement à l'ensemble des variations inter-individuelles.
  • +La clairance plasmatique de l'olanzapine s'est avérée plus faible chez les personnes âgées que chez les plus jeunes, chez les femmes que chez les hommes et chez les non-fumeurs que chez les fumeurs. Mais cette influence de l'âge, du sexe ou du tabagisme sur la clairance de l'olanzapine était relativement faible par rapport à l'ensemble des variations inter-individuelles.
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Une insuffisance hépatique légère à modérée n'a pas modifié notablement la pharmacocinétique de l'olanzapine. Des études appropriées ont montré qu'environ 57% de l'olanzapine marquée radioactivement sont éliminés dans les urines (principalement sous forme de métabolites).
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Une insuffisance rénale n'a pas modifié notablement la pharmacocinétique de l'olanzapine.
  • -L'olanzapine n'a montré aucun effet tératogène, ni mutagène ni clastogène, lors d'une série de tests. Chez la souris et le rat, l'olanzapine n'a aucun effet carcinogène.
  • +Mutagénicité
  • +L'olanzapine n'a montré aucun effet mutagène ni clastogène, lors d'une série de tests.
  • +Carcinogénicité
  • +Chez la souris et le rat, l'olanzapine n'a aucun effet carcinogène.
  • +Toxicité sur la reproduction
  • +L'olanzapine n'a montré aucun effet tératogène.
  • +
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Conservation dans l'emballage original, à température ambiante (15–25 °C) et hors de la portée des enfants.
  • -Remarques concernant la manipulation
  • -Les comprimés orodispersibles Olanzapine Sandoz doivent être pris dans la bouche. Ils sont rapidement dissous dans la salive, et peuvent donc être facilement avalés. L'extraction d'un comprimé orodispersible intact de la bouche s'avère difficile. Les comprimés orodispersibles étant très friables, ils doivent être pris immédiatement après l'ouverture du blister.
  • -Une alternative peut être de dissoudre immédiatement le comprimé dans un verre d'eau ou dans une autre boisson compatible (jus d'orange, jus de pomme, lait ou café).
  • -
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conservation dans l'emballage original, à température ambiante (15–25°C) et hors de la portée des enfants.
  • -59142, 62031 (Swissmedic).
  • +59142, 62031 (Swissmedic)
  • -Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch; domicile: Rotkreuz.
  • +Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch; domicile: Rotkreuz
  • -Octobre 2018.
  • +Février 2020
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