76 Changements de l'information professionelle Azarga |
-Principes actifs: Brinzolamidum, Timololum (ut Timololi maleas).
-Excipients: Conserv.: Benzalkonii chloridum, Excipiens ad suspensionem.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-1 ml de collyre contient:
-10 mg de brinzolamide, 5 mg de timolol (sous forme de maléate de timolol), 0.10 mg de chlorure de benzalkonium.
-
- +Principes actifs
- +Brinzolamide, timolol (sous forme de maléate de timolol).
- +Excipients
- +Chlorure de benzalkonium (0,1 mg/ml), édétate disodique, chlorure de sodium, tyloxapol, mannitol, carbomère 974p, acide chlorhydrique et/ou hydroxyde de sodium (pour ajuster le pH), eau purifiée.
- +
- +
-La posologie est d'une goutte d'Azarga deux fois par jour, à instiller dans le cul de sac conjonctival de l'œil ou des yeux atteint(s).
- +La posologie est d'une goutte d'Azarga deux fois par jour, à instiller dans le cul-de-sac conjonctival de l'œil ou des yeux atteint(s).
-Utilisation chez les enfants et les adolescents
-L'efficacité et l'innocuité d'Azarga n'ont pas été examinées chez les enfants et les adolescents. Tant que des données supplémentaires ne sont pas disponibles, Azarga n'est pas recommandé chez les patients de moins de 18 ans.
-Utilisation chez les insuffisants hépatiques ou rénaux
-Aucune étude n'a été effectuée avec Azarga ou le timolol 5 mg/ml collyre chez les patients insuffisants hépatiques ou rénaux.
-Le brinzolamide n'a pas été étudié chez les patients insuffisants rénaux sévères (clairance de la créatinine <30 ml/min) ou présentant une acidose hyperchlorémique. Etant donné que le brinzolamide et son principal métabolite sont excrétés en majorité par les reins, Azarga est contre-indiqué chez les insuffisants rénaux sévères (voir «Contre-indications»).
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
- +Aucune étude n'a été effectuée avec Azarga ou le collyre de timolol 5 mg/ml chez les patients insuffisants hépatiques.
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
- +Aucune étude n'a été effectuée avec Azarga ou le collyre de timolol 5 mg/ml chez les patients insuffisants rénaux.
- +Le brinzolamide n'a pas été étudié chez les patients insuffisants rénaux sévères (clairance de la créatinine < 30 ml/min) ou présentant une acidose hyperchlorémique. Le brinzolamide et son principal métabolite étant excrétés en majorité par les reins, Azarga est contre-indiqué chez les insuffisants rénaux sévères (voir «Contre-indications»).
- +Enfants et adolescents
- +L'efficacité et l'innocuité d'Azarga, suspension ophtalmique, n'ont pas été examinées chez les enfants et les adolescents. Tant que des données supplémentaires ne sont pas disponibles, l'utilisation d'Azarga, suspension ophtalmique, n'est pas recommandée chez les patients de moins de 18 ans.
- +
-Pour éviter toute contamination de l'embout compte-gouttes et de la solution, on prendra garde de ne pas mettre l'embout compte-gouttes en contact avec les paupières, les surfaces voisines ou d'autres surfaces.
- +Pour éviter toute contamination de l'embout compte-gouttes et de la solution, ne pas mettre l'embout compte-gouttes en contact avec les paupières, les surfaces voisines ou d'autres surfaces.
-·Asthme bronchique, antécédents d'asthme bronchique ou maladie pulmonaire chronique obstructive sévère,
-·bradycardie sinusale, maladie rythmique de l'oreillette, bloc atrio-ventriculaire de second ou de troisième degré,
- +·Asthme bronchique, antécédents d'asthme bronchique ou maladie pulmonaire chronique obstructive sévère
- +·bradycardie sinusale, syndrome de dysfonctionnement sinusal, bloc atrio-ventriculaire de second ou de troisième degré
-·Trouble sévère de la fonction rénale
-·Hypersensibilité aux sulfamides (voir «Mises en garde et précautions»)
- +·trouble sévère de la fonction rénale
- +·hypersensibilité aux sulfamides (voir «Mises en garde et précautions»)
-Patients souffrant de troubles cardiovasculaires:
-Pour les patients souffrant de maladies cardiaques comme par ex. une maladie coronarienne, un angor de Prinzmetal ou une insuffisance cardiaque, ou en cas de pression artérielle basse, une thérapie aux bêtabloquants devrait être reconsidérée critiquement et une thérapie avec d'autres principes actifs devrait être envisagée.
-Les patients souffrant de maladies cardiovasculaires devraient faire l'objet d'un suivi minutieux pour détecter une aggravation de leur état ou l'apparition d'effets secondaires.
- +Patients souffrant de troubles cardiovasculaires
- +Chez les patients souffrant de maladies cardiaques telles qu'une maladie coronarienne, un angor de Prinzmetal ou une insuffisance cardiaque, ou en cas de pression artérielle basse, le rapport bénéfice/risque d'un traitement aux bêtabloquants doit être soigneusement considéré et un traitement avec d'autres principes actifs doit être envisagé.
- +Les patients souffrant de maladies cardiovasculaires doivent faire l'objet d'un suivi minutieux pour détecter toute aggravation de leur état ou l'apparition d'effets secondaires.
-Patients souffrant de troubles de l'appareil respiratoire:
-Après administration de timolol, des patients asthmatiques ont subi des réactions cardiaques et respiratoires allant jusqu'à la mort pour cause de bronchospasmes et, plus rarement, des arrêts cardiaques avec suites mortelles.
-Patients souffrant d'hypoglycémie/diabète:
- +Patients souffrant de troubles de l'appareil respiratoire
- +Après administration de timolol, des cas de réactions cardiaques et respiratoires allant jusqu'à la mort suite à des bronchospasmes et, plus rarement, des arrêts cardiaques d'issue fatale ont été rapportés chez des patients asthmatiques.
- +Patients souffrant d'hypoglycémie/diabète
-Patients souffrant d'hyperthyroïdie:
-Les bêtabloquants peuvent masquer les signes d'une hyperthyroïdie
-Faiblesse musculaire:
- +Patients souffrant d'hyperthyroïdie
- +Les bêtabloquants peuvent masquer les signes d'une hyperthyroïdie.
- +Faiblesse musculaire
-Le rôle éventuel du brinzolamide sur la fonction endothéliale cornéenne n'a pas été étudié chez les patients dont la cornée est fragilisée (notamment chez ceux qui possèdent un nombre réduit de cellules endothéliales). En particulier, les patients porteurs de lentilles de contact n'ont pas été étudiés; aussi est-il recommandé de surveiller attentivement ces patients lors d'un traitement par brinzolamide, étant donné que les inhibiteurs de l'anhydrase carbonique peuvent affecter l'hydratation cornéenne, pouvant provoquer une décompensation cornéenne et un œdème et que le port de lentilles de contact augmente le risque de lésion cornéenne. Une surveillance attentive est recommandée chez les patients dont la cornée est fragilisée, p.ex. les patients diabétiques ou présentant des dystrophies cornéennes.
-Des kératopathies ponctuées et/ou kératopathies ulcératives toxiques ont été rapportées pour le chlorure de benzalkonium, un conservateur couramment utilisé dans les produits ophtalmiques. Azarga contient du chlorure de benzalkonium; son utilisation fréquente ou prolongée doit donc s'accompagner d'une surveillance étroite des patients.
- +Le rôle éventuel du brinzolamide sur la fonction endothéliale cornéenne n'a pas été étudié chez les patients dont la cornée est fragilisée (notamment chez ceux qui possèdent un nombre réduit de cellules endothéliales). En particulier, les patients porteurs de lentilles de contact n'ont pas été étudiés; aussi est-il recommandé de surveiller attentivement ces patients lors d'un traitement par brinzolamide, étant donné que les inhibiteurs de l'anhydrase carbonique peuvent affecter l'hydratation cornéenne, pouvant provoquer une décompensation cornéenne et un œdème et que le port de lentilles de contact augmente le risque de lésion cornéenne. Une surveillance attentive est recommandée chez les patients dont la cornée est fragilisée, par ex. les patients diabétiques ou présentant des dystrophies cornéennes.
- +Des kératopathies ponctuées et/ou kératopathies ulcératives toxiques ont été rapportées pour le chlorure de benzalkonium, un conservateur couramment utilisé dans les produits ophtalmiques. Des rapports indiquent que le chlorure de benzalkonium peut provoquer des irritations des yeux et une sécheresse oculaire, et altérer le film lacrymal et la surface de la cornée. Il doit être utilisé avec prudence chez les patients présentant une sécheresse oculaire et chez les patients présentant une cornée endommagée.
- +Azarga contient du chlorure de benzalkonium; son utilisation fréquente ou prolongée doit donc s'accompagner d'une surveillance étroite des patients.
-Les inhibiteurs de l'anhydrase carbonique par voie orale peuvent restreindre les capacités à réaliser des activités nécessitant de l'attention et/ou de la coordination physique. Azarga est absorbé systémiquement. Ces nuisances peuvent donc également apparaître après utilisation topique.
- +Les inhibiteurs de l'anhydrase carbonique par voie orale peuvent restreindre les capacités à réaliser des activités nécessitant de l'attention et/ou de la coordination physique. Azarga est absorbé par voie systémique. Ces nuisances peuvent donc également apparaître après une utilisation topique.
-Dans des études cliniques, le collyre en suspension Azopt* (brinzolamide) a été utilisé parallèlement à un collyre contenant du timolol, sans que cela ne déclenche des signes d'interactions indésirables. Aucune étude n'a porté sur l'interaction éventuelle entre le brinzolamide, utilisé comme traitement antiglaucomateux concomitant sous forme de collyre en suspension, et des myotiques ou des agonistes d'adrénorécepteurs.
-Les iso-enzymes du cytochrome P450 responsables du métabolisme du brinzolamide sont en premier lieu le CYP3A4, suivi des isoenzymes CYP2A6, CYP2B6, CYP2C8 et CYP2C9. On s'attend donc à ce que les inhibiteurs du CYP3A4 tels que le kétoconazole, l'itraconazole, le clotrimazole, le ritonavir et la troléandomycine inhibent le métabolisme du brinzolamide via le CYP3A4. La prudence est de mise lors de l'administration simultanée d'inhibiteurs du CYP3A4. L'accumulation de brinzolamide est cependant improbable, l'élimination s'effectuant principalement par voie rénale. Le brinzolamide n'est pas un inhibiteur des isoenzymes du cytochrome P450.
-Des effets supplémentaires pouvant provoquer hypotension et/ou bradycardie marquée sont possibles quand des collyres contenant du timolol sont utilisés en même temps que des inhibiteurs calciques oraux, la guanéthidine ou des bêtabloquants, des antiarrhythmiques, de la digitaline ou des parasympathomimétiques.
- +Dans des études cliniques, la suspension ophtalmique Azopt* (brinzolamide) a été utilisée parallèlement à un collyre contenant du timolol, sans que cela ne déclenche des signes d'interactions indésirables. Aucune étude n'a porté sur l'interaction éventuelle entre le brinzolamide, utilisé comme traitement antiglaucomateux concomitant sous forme de suspension ophtalmique, et des myotiques ou des agonistes d'adrénorécepteurs.
- +Les iso-enzymes du cytochrome P450 responsables du métabolisme du brinzolamide sont en premier lieu le CYP3A4 ainsi que les isoenzymes CYP2A6, CYP2B6, CYP2C8 et CYP2C9. Il est donc probable que les inhibiteurs du CYP3A4 tels que le kétoconazole, l'itraconazole, le clotrimazole, le ritonavir et la troléandomycine inhibent le métabolisme du brinzolamide via le CYP3A4. La prudence est de mise lors de l'administration simultanée d'inhibiteurs du CYP3A4. L'accumulation de brinzolamide est cependant improbable, l'élimination s'effectuant principalement par voie rénale. Le brinzolamide n'est pas un inhibiteur des isoenzymes du cytochrome P450.
- +Des effets supplémentaires pouvant provoquer hypotension et/ou bradycardie marquée sont possibles quand des collyres contenant du timolol sont utilisés en même temps que des inhibiteurs calciques oraux, la guanéthidine ou des bêtabloquants, des anti-arythmiques, de la digitaline ou des parasympathomimétiques.
-Des majorations de l'effet de bêta-bloquants systémiques (p.ex. réduction de la fréquence cardiaque) ont été rapportées dans des cas où le timolol était associé à des inhibiteurs du CYP2D6 (p.ex. quinidine, cimétidine).
- +Des majorations de l'effet de bêta-bloquants systémiques (par ex. réduction de la fréquence cardiaque) ont été rapportées dans des cas où le timolol était associé à des inhibiteurs du CYP2D6 (par ex. quinidine, cimétidine).
-Grossesse/Allaitement
- +Grossesse, allaitement
-Les études épidémiologiques ne montrent aucune malformation mais indiquent un risque de ralentissement de la croissance intra-utérine si des bêtabloquants sont administrés par voie orale. En outre, des signes cliniques et symptômes d'un blocage bêta ont été observés chez les nouveaux-nés (par ex. bradycardie, hypotension, détresse respiratoire et hypoglycémie) quand des bêtabloquants sont utilisés jusqu'à l'accouchement.
- +Les études épidémiologiques ne montrent aucune malformation, mais indiquent un risque de ralentissement de la croissance intra-utérine si des bêtabloquants sont administrés par voie orale. En outre, des signes cliniques et symptômes d'un blocage bêta ont été observés chez les nouveau-nés (par ex. bradycardie, hypotension, détresse respiratoire et hypoglycémie) quand des bêtabloquants sont utilisés jusqu'à l'accouchement.
-Les études sur la toxicité pour le développement sur des lapins ayant reçu une dose orale maximale de 6 mg/kg/jour de brinzolamide (125 fois la dose ophtalmique recommandée pour l'homme) n'ont révélé aucun signe d'influence sur le développement fœtal malgré des signes de toxicité significatifs chez les mères. Cependant, aucune étude clinique n'a été réalisée chez des femmes enceintes
-Azarga ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, à moins que cela ne soit manifestement nécessaire. En cas d'utilisation de collyre au brizolamide-timolol jusqu'à l'accouchement, le nouveau-né devrait être surveillé attentivement pendant les premiers jours.
- +Les études sur la toxicité pour le développement sur des lapins ayant reçu une dose orale maximale de 6 mg/kg/jour de brinzolamide (125 fois la dose ophtalmique recommandée pour l'homme) n'ont révélé aucun signe d'influence sur le développement fœtal malgré des signes de toxicité significatifs chez les mères. Cependant, aucune étude clinique n'a été réalisée chez des femmes enceintes.
- +Azarga ne doit pas être utilisé pendant la grossesse, sauf nécessité absolue. En cas d'utilisation de collyre au brinzolamide-timolol jusqu'à l'accouchement, le nouveau-né doit être surveillé attentivement pendant les premiers jours.
-On ignore si le brinzolamide passe dans le lait maternel humain. Des études chez l'animal ont montré une excrétion du brinzolamide dans le lait maternel.
-Les bêtabloquants, timolol compris, sont éliminés dans le lait maternel et ont le potentiel de provoquer des effets indésirables sévères chez les nourrissons.
- +On ignore si le brinzolamide passe dans le lait maternel humain. Des études chez l'animal ont montré une excrétion du brinzolamide dans le lait maternel. Les bêtabloquants, timolol compris, sont excrétés dans le lait maternel et ont le potentiel de provoquer des effets indésirables sévères chez les nourrissons.
-Les inhibiteurs de l'anhydrase carbonique par voie orale peuvent restreindre les capacités à réaliser des activités nécessitant l'attention et/ou une coordination physique (voir «Avertissements et mesures de précautions»).
- +Les inhibiteurs de l'anhydrase carbonique par voie orale peuvent restreindre les capacités à réaliser des activités nécessitant l'attention et/ou une coordination physique (voir «Mises en garde et précautions»).
-a) Résumé du profil d'innocuité
-Dans deux études cliniques de 6 et 12 mois qui incluaient 394 patients traités par Azarga, l'effet indésirable le plus fréquemment rapporté (3.6%) était une vision floue passagère d'une durée de quelques secondes à quelques minutes lors de l'instillation.
-b) Résumé des effets indésirables
-Les effets indésirables ci-dessous sont classés comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10000 à <1/1000), ou très rares (<1/10000).
-Affections hématologiques et du système lymphatique:
-Occasionnel: Recul du nombre de lymphocytes
- +Résumé du profil de sécurité
- +Dans deux études cliniques de 6 et 12 mois qui incluaient 394 patients traités par Azarga, l'effet indésirable le plus fréquemment rapporté (3,6%) était une vision floue passagère d'une durée de quelques secondes à quelques minutes lors de l'instillation.
- +Résumé des effets indésirables
- +Les effets indésirables ci-dessous sont classés comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à < 1/10), occasionnels (≥1/1000 à < 1/100), rares (≥1/10 000 à < 1/1000), ou très rares (< 1/10 000).
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
- +Occasionnels: diminution de la numération des leucocytes
-Occasionnel: Insomnie.
-Affections du système nerveux:
-Fréquent: dysgueusie.
-Affections oculaires:
-Fréquent: Kératite ponctuée, vision trouble, douleurs oculaires, irritations oculaires.
-Occasionnel: Kératite, yeux secs, irritation des yeux, sensation de présence de corps étrangers, fuites oculaires, hyperémie oculaire, blépharite, conjonctivite allergique, troubles de l'épithélium cornéen, hypérémie conjonctivale, asthénopie, irritation des paupières, blépharite allergique, défauts visibles de la cornée suite à une coloration vitale.
-Rare: Érosion cornéenne, phénomène de Tyndall dans la chambre antérieure, photophobie, augmentation du flux lacrymal, hyperémie sclérale, croûtes aux paupières, érythème de la paupière
-Affections cardiaques:
-Fréquent: Diminution de la fréquence cardiaque.
-Affections vasculaires:
-Occasionnel: hypotension.
-Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales:
-Occasionnel: Toux.
-Rare: douleurs oropharyngées, rhinorrhée.
-Affections du rein et des voies urinaires:
-Occasionnel: Sang dans l'urine
-Affections de la peau et du tissu sous-cutané:
-Occasionnel: «éclaircissement des cheveux», lichen plan.
-Troubles généraux et anomalies au site d'administration:
-Occasionnel: Inconfort.
-c) Description de certains effets indésirables
-La dysgueusie (goût amer ou inhabituel après l'instillation) a été l'effet indésirable systémique le plus fréquent signalé en relation avec l'administration d'Azarga durant les études cliniques. Il est probablement dû à l'écoulement du collyre dans le rhinopharynx par le canal nasolacrymal. L'occlusion nasolacrymale ou la fermeture douce des paupières après l'instillation peut contribuer à réduire la fréquence de cet effet (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Azarga contient un sulfamide inhibiteur de l'anhydrase carbonique, le brinzolamide, qui est absorbé par voie systémique. Des effets gastro-intestinaux, neurologiques, hématologiques, rénaux et métaboliques sont généralement associés à l'administration systémique d'inhibiteurs de l'anhydrase carbonique. Les effets indésirables des inhibiteurs de l'anhydrase carbonique observés après une prise orale peuvent également survenir après l'administration locale.
-Azarga contient du brinzolamide et du timolol (sous forme de maléate).
- +Occasionnels: Insomnie.
- +Affections du système nerveux
- +Fréquents: dysgueusie.
- +Affections oculaires
- +Fréquents: Kératite ponctuée, vision trouble, douleurs oculaires, irritations oculaires.
- +Occasionnels: Kératite, sécheresse oculaire, prurit oculaire, sensation de corps étrangers, écoulement oculaire, hyperémie oculaire, blépharite, conjonctivite allergique, troubles de l'épithélium cornéen, hyperémie conjonctivale, asthénopie, prurit des paupières, blépharite allergique, défauts visibles de la cornée suite à une coloration vitale.
- +Rares: Érosion cornéenne, phénomène de Tyndall dans la chambre antérieure, photophobie, augmentation du flux lacrymal, hyperémie sclérale, croûtes aux paupières, érythème de la paupière.
- +Affections cardiaques
- +Fréquents: Diminution de la fréquence cardiaque.
- +Affections vasculaires
- +Occasionnels: hypotension.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
- +Occasionnels: Toux.
- +Rares: douleurs oropharyngées, rhinorrhée.
- +Affections du rein et des voies urinaires
- +Occasionnels: Sang dans l'urine.
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
- +Occasionnels: «éclaircissement des cheveux», lichen plan.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
- +Occasionnels: Gêne.
- +Effets indésirables après la mise sur le marché
-Affections psychiatriques: Dépression.
- +Affections psychiatriques: Hallucinations, dépression.
-Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales: Asthme,dyspnée, épistaxis.
-Affections gastro-intestinales: Douleurs abdominales diarrhées, bouche sèche, nausées.
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales: Asthme, dyspnée, épistaxis.
- +Affections gastro-intestinales: Douleurs abdominales, diarrhée, bouche sèche, nausées.
-Affections musculo-squelettiques, et du tissu conjonctif: Myalgie.
-Troubles généraux et anomalies au site d'administration: Douleurs de poitrine, fatigue.
- +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif: Myalgie.
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration: Douleurs dans la poitrine, fatigue.
- +Description de certains effets indésirables
- +La dysgueusie (goût amer ou inhabituel après l'instillation) a été l'effet indésirable systémique le plus fréquent signalé en relation avec l'administration d'Azarga durant les études cliniques. Il est probablement dû à l'écoulement du collyre dans le rhinopharynx par le canal nasolacrymal. L'occlusion nasolacrymale ou la fermeture douce des paupières après l'instillation peut contribuer à réduire la fréquence de cet effet (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +Azarga contient un sulfamide inhibiteur de l'anhydrase carbonique, le brinzolamide, qui est absorbé par voie systémique. Des effets gastro-intestinaux, neurologiques, hématologiques, rénaux et métaboliques sont généralement associés à l'administration systémique d'inhibiteurs de l'anhydrase carbonique. Les effets indésirables des inhibiteurs de l'anhydrase carbonique observés après une prise orale peuvent également survenir après l'administration locale.
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
-Aucun cas de surdosage n'a été rapporté.
-En cas de surdosage avec Azarga collyre, on administrera un traitement symptomatique et de soutien. Un déséquilibre hydro-électrolytique, le développement d'un état d'acidose et d'éventuels effets sur le système nerveux central peuvent survenir. L'ionogramme (en particulier le potassium) et le pH sanguin devront être surveillés. Des études ont montré que le timolol est difficilement dialysable.
- +Aucun cas de surdosage n'a été rapporté à ce jour.
- +En cas de surdosage avec Azarga, suspension ophtalmique, on administrera un traitement symptomatique et de soutien. Un déséquilibre hydro-électrolytique, le développement d'un état d'acidose et d'éventuels effets sur le système nerveux central peuvent survenir. L'ionogramme (en particulier le potassium) et le pH sanguin devront être surveillés. Des études ont montré que le timolol est difficilement dialysable.
-Code ATC: S01ED51
- +Code ATC
- +S01ED51
-Le timolol est un agent bloquant non sélectif des récepteurs adrénergiques qui ne possède ni effet sympathomimétique intrinsèque, ni effet dépresseur myocardique direct, ni effet stabilisant des membranes. Des études tonographiques et fluorophotométriques chez l'être humain suggèrent que son action est principalement liée à la baisse de la production d'humeur aqueuse et à une légère augmentation de son écoulement par le canal nasolacrymal.
- +Le timolol est un agent bloquant non sélectif des récepteurs adrénergiques qui ne possède ni effet sympathomimétique intrinsèque, ni effet dépresseur myocardique direct, ni effet stabilisant des membranes. Des études tonographiques et fluorophotométriques chez l'être humain suggèrent que son action est principalement liée à la baisse de la production d'humeur aqueuse et à une légère augmentation de son écoulement.
- +Aucune information disponible.
-Dans une étude contrôlée de 6 mois réalisée chez des patients atteints de glaucome à angle ouvert ou d'hypertension oculaire qui présentaient une PIO initiale moyenne de 25 à 27 mmHg, la baisse moyenne de PIO sous Azarga instillé 2× par jour était de 8 à 9 mmHg et pouvait atteindre 3 mmHg de plus que sous brinzolamide 10 mg/ml et 2 mmHg de plus que sous timolol 5 mg/ml, également administrés 2× par jour. Un abaissement statistiquement significatif de la PIO moyenne par rapport au brizolamide et au timolol a été observé à tous les temps de l'étude.
- +Dans une étude contrôlée de 6 mois réalisée chez des patients atteints de glaucome à angle ouvert ou d'hypertension oculaire qui présentaient une PIO initiale moyenne de 25 à 27 mmHg, la baisse moyenne de PIO sous Azarga instillé 2× par jour était de 8 à 9 mmHg et pouvait atteindre 3 mmHg de plus que sous brinzolamide 10 mg/ml et 2 mmHg de plus que sous timolol 5 mg/ml, également administrés 2× par jour. Un abaissement statistiquement significatif de la PIO moyenne par rapport au brinzolamide et au timolol a été observé à tous les temps de l'étude.
-Après administration locale dans l'œil, le brinzolamide et le timolol sont absorbés par la cornée et passent dans la circulation générale. Dans une étude pharmacocinétique, des volontaires sains ont reçu du brinzolamide par voie orale (1 mg) 2× par jour pendant 2 semaines avant le début de l'administration d'Azarga pour diminuer le temps nécessaire à l'atteinte de l'état d'équilibre. Après une administration d'Azarga deux fois par jour pendant 13 semaines, les concentrations moyennes de brinzolamide dans les érythrocytes à la semaine 4 étaient de 18,8 ± 3,29 µM, de 18,1 ± 2,68 µM à la semaine 10 et de 18,4 ± 3,01 µM à la semaine 15. Cela indique que la stabilité de la concentration de brinzolamide dans les érythrocytes a été préservée.
-En comparaison avec le traitement au timolol 5 mg/ml (Cmax: 1,13 ± 0,494 ng/ml; AUC0–12 h: 6,58 ± 3,18 ng × h/ml) le Cmax et AUC0–12 h moyens du timolol à l'état d'équilibre après administration d'Azarga était inférieures de de 27% et 28% (Cmax: 0,824 ± 0,453 ng/ml; AUC0–12 h: 4,71 ± 4,29 ng × h/ml). La disponibilité systémique inférieure du timolol après administration d'Azarga n'est pas pertinente cliniquement. La Cmax moyenne du timolol après administration d'Azarga a été atteinte après 0,79 ± 0,45 h.
- +Après administration locale dans l'œil, le brinzolamide et le timolol sont absorbés par la cornée et passent dans la circulation générale. Dans une étude pharmacocinétique, des volontaires sains ont reçu du brinzolamide par voie orale (1 mg) 2× par jour pendant 2 semaines avant le début de l'administration d'Azarga, suspension ophtalmique pour diminuer le temps nécessaire à l'atteinte de l'état d'équilibre. Après une administration d'Azarga deux fois par jour pendant 13 semaines, les concentrations moyennes de brinzolamide dans les érythrocytes à la semaine 4 étaient de 18,8 ± 3,29 µM, de 18,1 ± 2,68 µM à la semaine 10 et de 18,4 ± 3,01 µM à la semaine 15. Cela indique que la stabilité de la concentration de brinzolamide dans les érythrocytes a été préservée.
- +En comparaison avec le traitement au timolol 5 mg/ml (Cmax: 1,13 ± 0,494 ng/ml; AUC0–12 h: 6,58 ± 3,18 ng × h/ml) les Cmax et AUC0–12 h moyens du timolol à l'état d'équilibre après administration d'Azarga était inférieures de 27% et 28% (Cmax: 0,824 ± 0,453 ng/ml; AUC0–12 h: 4,71 ± 4,29 ng × h/ml). La disponibilité systémique inférieure du timolol après administration d'Azarga n'est pas pertinente cliniquement. La Cmax moyenne du timolol après administration d'Azarga a été atteinte après 0,79 ± 0,45 h.
-Le brinzolamide se lie à raison d'environ 60% aux protéines plasmatiques. Le brinzolamide est distribué préférentiellement dans les érythrocytes en raison de sa forte affinité pour l'AC-II et, dans moindre mesure, pour l'AC-I. Son métabolite actif, le N-déséthyl brinzolamide, s'accumule aussi dans les érythrocytes et se lie principalement à l'AC-I. L'affinité du brinzolamide et de son métabolite pour l'AC érythrocytaire et tissulaire conduit à de faibles concentrations plasmatiques.
- +Le brinzolamide se lie à raison d'environ 60% aux protéines plasmatiques. Le brinzolamide est distribué préférentiellement dans les érythrocytes en raison de sa forte affinité pour l'AC-II et, dans une moindre mesure, pour l'AC-I. Son métabolite actif, le Ndéséthyl brinzolamide, s'accumule aussi dans les érythrocytes et se lie principalement à l'AC-I. L'affinité du brinzolamide et de son métabolite pour l'AC érythrocytaire et tissulaire conduit à de faibles concentrations plasmatiques.
-La dégradation métabolique du brinzolamide implique une N-désalkylation, une O-désalkylation et une oxydation de sa chaîne N-propyl. Le principal métabolite du brinzolamide est le N-déséthyl brinzolamide, qui se lie également à l'AC-I en présence de brinzolamide et s'accumule dans les érythrocytes.
- +La dégradation métabolique du brinzolamide implique une Ndésalkylation, une Odésalkylation et une oxydation de sa chaîne Npropyl. Chez l'être humain, le principal métabolite du brinzolamide est le Ndéséthyl brinzolamide, qui se lie également à l'AC-I en présence de brinzolamide et s'accumule dans les érythrocytes.
-Elimination
-Le brinzolamide est éliminé principalement par excrétion rénale (env. 60%). Environ 20% de la dose sont retrouvés dans les urines sous forme de métabolites. Le brinzolamide et le N-déséthyl-brinzolamide ainsi que des traces (<1%) de métabolites de N-desméthoxypropile et de O-desméthyle sont détectables dans l'urine.
- +Élimination
- +Le brinzolamide est éliminé principalement par excrétion rénale (env. 60%). Environ 20% de la dose sont retrouvés dans les urines sous forme de métabolites. Le brinzolamide et le Ndéséthylbrinzolamide ainsi que des traces (< 1%) de métabolites de N-desméthoxypropile et de Odesméthyle sont détectables dans l'urine.
-Les données non cliniques issues d'études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, de toxicologie systémique, de cancérogénicité et de toxicité de reproduction n'ont pas révélé de risque particulier du brinzolamide pour l'être humain.
- +Les données non cliniques issues des études conventionnelles sur la pharmacologie de sécurité, la toxicité systémique, la carcinogénicité et la toxicité pour la reproduction n'ont pas révélé de risque particulier du brinzolamide pour l'être humain.
-Des études de toxicité embryonnaire chez le lapin recevant des doses de brinzolamide allant jusqu'à 6 mg/kg/jour n'ont pas révélé d'effet sur le développement fœtal malgré une toxicité maternelle significative. Des études similaires chez le rat ont révélé de légères réductions de l'ossification du crâne et des barres sternales des fœtus de mères ayant reçu du brinzolamide aux doses de 18 mg/kg/jour; ces effets n'ont pas été observés aux doses de 6 mg/kg/jour. Ces résultats ont été obtenus à des doses entraînant des acidoses métaboliques avec réduction de la prise de poids des mères et diminution des poids fœtaux. Chez les petits de mères recevant du brinzolamide par voie orale, les diminutions dose-dépendantes des poids fœtaux variaient d'une légère diminution (env. 5-6%) pour une dose de 2 mg/kg/jour à près de 14% pour une dose de 18 mg/kg/jour.
- +Des études de toxicité embryonnaire chez le lapin recevant des doses de brinzolamide allant jusqu'à 6 mg/kg/jour n'ont pas révélé d'effet sur le développement fœtal malgré une toxicité maternelle significative. Des études similaires chez le rat ont révélé de légères réductions de l'ossification du crâne et des barres sternales des fœtus de mères ayant reçu du brinzolamide aux doses de 18 mg/kg/jour; ces effets n'ont pas été observés aux doses de 6 mg/kg/jour. Ces résultats ont été obtenus à des doses entraînant des acidoses métaboliques avec réduction de la prise de poids des mères et diminution des poids fœtaux. Chez les petits de mères recevant du brinzolamide par voie orale, les diminutions dose-dépendantes des poids fœtaux variaient d'une légère diminution (env. 5–6%) pour une dose de 2 mg/kg/jour à près de 14% pour une dose de 18 mg/kg/jour.
-Les données non cliniques ont démontré que le timolol ne représente aucun risque spécial pour l'humain sur la base des études conventionnelles sur la pharmacologie de sécurité, la toxicité en cas d'administration répétée, la génotoxicité et le potentiel carcinogène. Les études de la toxicité du timolol sur l'appareil reproductif des rats ont montré une ossification retardée du fœtus sans effet secondaire sur le développement post-natal (jusqu'à 50 mg/kg/jour) et une résorption plus fréquente des fœtus chez les lapins (pour 90 mg/kg/jour).
- +Les données non cliniques ont démontré que le timolol ne représente aucun risque spécial pour l'humain sur la base des études conventionnelles sur la pharmacologie de sécurité, la toxicité en administration répétée, la génotoxicité et la carcinogénicité. Les études de la toxicité du timolol pour la reproduction des rats ont montré une ossification retardée du fœtus sans effet secondaire sur le développement post-natal (jusqu'à 50 mg/kg/jour) et une résorption plus fréquente des fœtus chez les lapins (pour 90 mg/kg/jour).
-Après avoir dévissé le couvercle, et avant d'utiliser le produit, retirer l'anneau de sécurité si ce dernier bouge.
-Azarga Collyre doit être jeté 4 semaines après la première ouverture du flacon. Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Stabilité après ouverture
- +Azarga, suspension ophtalmique doit être jeté 4 semaines après la première ouverture du flacon.
-Ne pas conserver à une température de plus de 30 °C.
- +Ne pas conserver au-dessus de 30 °C et conserver hors de portée des enfants. Conserver le récipient fermé.
- +Remarques concernant la manipulation
- +Bien agiter avant l'utilisation. Après avoir dévissé le couvercle, et avant d'utiliser le produit, retirer l'anneau de sécurité si ce dernier bouge.
-Collyre Azarga 5 ml [B]
- +Collyre Azarga 1× 5 ml [B]
-Août 2017.
- +Janvier 2021.
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