46 Changements de l'information professionelle Irbesartan Sandoz 150 |
-·Traitement de l'hypertension artérielle essentielle.
-·Traitement de la néphropathie chez les patients souffrant d'hypertension et de diabète sucré de type II avec augmentation de la créatininémie ou de la micro-albuminurie ou de l'albuminurie clinique, comme partie du traitement antihypertenseur.
- +·Traitement de l'hypertension artérielle essentielle
- +·Traitement de la néphropathie chez les patients souffrant d'hypertension et de diabète sucré de type II avec augmentation de la créatininémie ou de la micro-albuminurie ou de l'albuminurie clinique, comme partie du traitement antihypertenseur
-La posologie habituelle initiale et d'entretien est de 150 mg, 1 fois par jour, à prendre avant ou après les repas.
- +La posologie habituelle initiale et d'entretien est de 150 mg 1 fois par jour, à prendre avant ou après les repas.
-Instructions spéciales pour le dosage
- +Instructions posologiques particulières
-·Co-administration avec des médicaments contenant de l'aliskiren chez des patients diabétiques (Type 1 et Type 2) ou souffrant d'une insuffisance rénale (taux de filtration glomérulaire (TFG) <60 ml/min/1,73 m2).
- +·Co-administration avec des médicaments contenant de l'aliskirène chez des patients diabétiques (Type 1 et Type 2) ou souffrant d'une insuffisance rénale (taux de filtration glomérulaire (TFG) <60 ml/min/1,73 m2).
-·Grossesse (voir «Grossesse/Allaitement»).
- +·Grossesse (voir «Grossesse, Allaitement»).
-Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
- +Troubles de la fonction hépatique
-Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA)
-Voir «Interactions».
- +Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA): voir «Interactions».
-Enfants et adolescents
-Voir sous «Posologie/Mode d'emploi: Instructions spéciales pour le dosage».
- +Pédiatrie
- +Voir sous «Posologie/Mode d'emploi: Instructions posologiques particulières».
- +Lactose
- +Sodium
- +Hypoglycémie
- +Irbésartan Sandoz peut induire une hypoglycémie, en particulier chez les patients traités pour le diabète. Par conséquent, il peut être nécessaire d'adapter la dose d'un traitement antidiabétique tel que le répaglinide ou l'insuline (voir «Effets indésirables»). Il est important d'informer les patients, en particulier les patients traités pour le diabète, du risque d'hypoglycémie pendant le traitement avec l'irbésartan.
-Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) par un inhibiteur de l'ECA, un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II (ARA II) ou l'aliskiren
-Par rapport à une monothérapie par l'une de ces substances, le double blocage du SRAA par un ARA II, un inhibiteur de l'ECA ou l'aliskiren a augmenté la fréquence des cas d'hypotension, de syncope, d'hyperkaliémie et de troubles de la fonction rénale (y compris une défaillance rénale aiguë), en particulier en début de traitement chez les patients normotendus ou hypertendus. En conséquence, le double blocage du SRAA par l'association d'un inhibiteur de l'ECA, ARA II ou d'aliskiren n'est pas recommandé (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
- +Inhibiteurs enzymatiques
- +Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) par un inhibiteur de l'ECA, un antagoniste des récepteurs de l'angiotensine II (ARA II) ou l'aliskirène.
- +Par rapport à une monothérapie par l'une de ces substances, le double blocage du SRAA par un ARA II, un inhibiteur de l'ECA ou l'aliskirène a augmenté la fréquence des cas d'hypotension, de syncope, d'hyperkaliémie et de troubles de la fonction rénale (y compris une défaillance rénale aiguë), en particulier en début de traitement chez les patients normotendus ou hypertendus. En conséquence, le double blocage du SRAA par l'association d'un inhibiteur de l'ECA, ARA II ou d'aliskirène n'est pas recommandé (voir «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
-La prise simultanée d'irbésartan et de l'aliskiren n'est pas recommandée. Cette association est contre-indiquée chez certains patients (voir «Contre-indications»). La prise simultanée d'Irbésartan Sandoz et d'inhibiteurs de l'ECA est contre-indiquée chez les patients souffrant de néphropathie diabétique et n'est pas recommandée chez les autres patients.
-Diurétiques et autres antihypertenseurs
-Irbésartan a été associé sans problème à d'autres antihypertenseurs tels que bêtabloquants, antagonistes calciques à longue durée d'action et diurétiques thiazidiques. Lorsque' Irbésartan Sandoz est administré de façon concomitante à des diurétiques thiazidiques, les effets antihypertenseurs sont additifs. Un traitement préalable par des diurétiques à une dose élevée peut provoquer une hypovolémie et un risque d'hypotension, lorsqu'un traitement par Irbésartan Sandoz est initié (voir «Mises en garde et précautions»).
- +La prise simultanée d'irbésartan et d'aliskirène n'est pas recommandée. Cette association est contre-indiquée chez certains patients (voir «Contre-indications»). La prise simultanée d'Irbésartan Sandoz et d'inhibiteurs de l'ECA est contre-indiquée chez les patients souffrant de néphropathie diabétique et n'est pas recommandée chez les autres patients.
- +Autres interactions
-En vertu de l'expérience acquise avec les autres substances intervenant dans le système rénine-angiotensine, l'administration concomitante de diurétiques d'épargne potassique, une supplémentation en potassium, des sels de régime contenant du potassium ou de tout autre médicament susceptible d'induire une élévation de la kaliémie peut donner lieu à une augmentation du potassium sérique, parfois sévère. Une telle association avec irbésartan requiert une surveillance étroite du taux sérique de potassium.
- +En vertu de l'expérience acquise avec les autres substances intervenant dans le système rénine-angiotensine, l'administration concomitante de diurétiques d'épargne potassique, une supplémentation en potassium, des sels de régime contenant du potassium ou de tout autre médicament susceptible d'induire une élévation de la kaliémie peut donner lieu à une augmentation du potassium sérique, parfois sévère. Une telle association avec l'irbésartan requiert une surveillance étroite du taux sérique de potassium.
- +Répaglinide
- +L'irbésartan a le potentiel d'inhiber l'OATP1B1. Dans une étude clinique, il a été rapporté que l'irbésartan augmentait la Cmax et l'ASC du répaglinide (substrat de l'OATP1B1) de 1,8 fois et 1,3 fois, respectivement, lorsqu'il était administré une heure avant le répaglinide. Dans une autre étude, aucune interaction pharmacocinétique pertinente n'a été signalée lorsque les deux médicaments étaient administrés conjointement. Par conséquent, un ajustement de la dose d'un traitement antidiabétique tel que le répaglinide peut être nécessaire (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Effet d'Irbésartan Sandoz sur d'autres médicaments
- +Diurétiques et autres antihypertenseurs
- +L'irbésartan a été associé sans problème à d'autres antihypertenseurs tels que bêtabloquants, antagonistes calciques à longue durée d'action et diurétiques thiazidiques. Lorsque Irbésartan Sandoz est administré de façon concomitante à des diurétiques thiazidiques, les effets antihypertenseurs sont additifs. Un traitement préalable par des diurétiques à une dose élevée peut provoquer une hypovolémie et un risque d'hypotension, lorsqu'un traitement par Irbésartan Sandoz est initié (voir «Mises en garde et précautions»).
- +
-Il n'existe pas d'études contrôlées chez la femme mais des études chez l'animal avec irbésartan ont montré des effets toxiques (augmentation de volume des calices rénaux, hydruretère ou œdèmes sous-cutanés) chez les fœtus de rats. Ces effets étaient réversibles et disparaissaient après la naissance. Les données épidémiologiques concernant le risque tératogène après une exposition aux inhibiteurs de l'ECA lors du premier trimestre de la grossesse ne sont pas concluantes; cependant, une légère augmentation du risque n'est pas à exclure. Bien qu'il n'existe aucune étude épidémiologique contrôlée concernant l'utilisation des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, un risque similaire aux inhibiteurs de l'ECA ne peut être exclu pour cette catégorie de médicaments.
-2ème et 3ème trimestres
- +Il n'existe pas d'études contrôlées chez la femme. Les études chez l'animal avec l'irbésartan ont montré des effets toxiques sur la reproduction (voir «Données précliniques»). Les données épidémiologiques concernant le risque tératogène après une exposition aux inhibiteurs de l'ECA lors du premier trimestre de la grossesse ne sont pas concluantes; cependant, une légère augmentation du risque n'est pas à exclure. Bien qu'il n'existe aucune étude épidémiologique contrôlée concernant l'utilisation des antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, un risque similaire aux inhibiteurs de l'ECA ne peut être exclu pour cette catégorie de médicaments.
- +Deuxième et troisième trimestre
- +On ignore si l'irbésartan ou ses métabolites sont excrétés dans le lait chez la femme. Les études chez l'animal ont montré que l'irbésartan ou ses métabolites sont excrétés dans le lait (voir «Données précliniques»).
- +Fertilité
- +Il n'existe pas d'études contrôlées sur la fertilité chez l'homme. Les études chez l'animal avec l'irbésartan n'ont pas montré d'effets toxiques sur la fertilité (voir «Données précliniques»).
- +Irbésartan Sandoz a une influence modérée sur l'aptitude à la conduite ou l'utilisation de machines.
- +Effets indésirables après commercialisation
-Lors de la phase de commercialisation, les effets secondaires suivants ont été rapportés: vertige, asthénie, hyperkaliémie, myalgie, thrombocytopénie (y compris purpura thrombocytopénique), jaunisse, augmentation des valeurs hépatiques, hépatite, psoriasis (et exacerbation du psoriasis), photosensibilité, atteinte de la fonction rénale (y compris des cas d'insuffisance rénale).
- +Lors de la phase de commercialisation, les effets secondaires suivants ont été rapportés: vertige, asthénie, hyperkaliémie, myalgie, anémie, thrombocytopénie (y compris purpura thrombocytopénique), jaunisse, augmentation des valeurs hépatiques, hépatite, psoriasis (et exacerbation du psoriasis), photosensibilité, atteinte de la fonction rénale (y compris des cas d'insuffisance rénale) et hypoglycémie (voir «Mises en garde et précautions»).
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
-L'irbésartan est un antagoniste sélectif des récepteurs de l'angiotensine II (type AT1), actif par voie orale.
- +L'irbésartan est un antagoniste sélectif des récepteurs de l'angiotensine II (type AT1), actif par voie orale.
- +Pharmacodynamique
- +
-L'efficacité d'irbésartan ne dépend pas d'une activation métabolique.
-Efficacité clinique: hypertension essentielle
- +L'efficacité de l'irbésartan ne dépend pas d'une activation métabolique.
- +Efficacité clinique
- +Hypertension essentielle
-L'irbésartan n'exerce aucun effet notable sur les taux sanguins de triglycérides et de cholestérol et sur la glycémie. Il n'influence pas non plus l'uricémie ou la sécrétion d'acide urique.
-Efficacité clinique: néphropathie diabétique
-L'essai clinique IDNT réalisé sur l'irbésartan et portant sur la néphropathie diabétique («Irbesartan Diabetic Nephropathy Trial»), était une étude contrôlée en double aveugle sur la morbidité et la mortalité, au cours de laquelle l'irbésartan, l'amlodipine et un placebo ont été comparés. Dans les trois groupes de traitement, un médicament adjuvant était autorisé (tous les antihypertenseurs excepté les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, les inhibiteurs de l'ECA et les inhibiteurs du canal calcique). Chez 1715 patients randomisés atteints d'hypertension et de diabète de type 2, avec protéinurie ≥900 mg/jour et créatinine sérique comprise entre 1,0 et 3,0 mg/dl, les effets à long terme (en moyenne, 2,6 ans) d'irbésartan sur la progression de la néphropathie et de la mortalité totale ont été étudiés. En fonction de la tolérance au produit, les patients sont passés d'une dose de 75 mg à une dose d'entretien de 300 mg d'irbésartan, de 2,5 mg à 10 mg d'amlodipine ou de placebo. Alors que dans le groupe irbésartan et dans le groupe amlodipine des taux d'hypertension comparables ont été atteints, l'irbésartan a obtenu, outre l'abaissement de la tension artérielle, une diminution significative du risque relatif par rapport au critère d'évaluation primaire combiné (doublement de la créatininémie, néphropathie terminale ou mortalité totale): diminution du risque relatif de 20% contre le placebo (p=0,024) et de 23% par rapport à l'amlodipine (p=0,006). Entre les trois groupes, on n'a pas observé de différences significatives en ce qui concerne le critère d'évaluation secondaire (évènements cardiovasculaires fatals ou non fatals).
-L'essai concernant l'effet de l'irbésartan sur la micro-albuminurie, IRMA 2 («Irbesartan MicroAlbuminuria in Type 2 Diabetes»), était une étude contrôlée en double aveugle de la morbidité, réalisée auprès de 590 patients atteints d'hypertension artérielle et de diabète de type 2, avec micro-albuminurie (30–300 mg/jour) et fonction rénale normale (créatininémie ≤1,5 mg/dl chez l'homme et ≤1,1 mg/dl chez la femme). L'étude a évalué les effets à long terme (2 ans) d'irbésartan sur la progression vers une protéinurie clinique (manifeste): élimination d'albumine dans l'urine (EUA) >300 mg/jour et augmentation de l'EUA d'au moins 30% par rapport à la valeur de départ. Dans les 3 groupes de traitement, l'effet de l'irbésartan 150 mg, 300 mg et du placebo a été étudié, sachant que dans les trois branches de l'étude, un médicament adjuvant était autorisé (tous les antihypertenseurs, excepté les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, les inhibiteurs de l'ECA et les inhibiteurs calciques dihydropyridine). Alors que des pressions artérielles comparables ont été atteintes dans tous les groupes de traitement l'irbésartan 300 mg a diminué de manière significative le risque relatif de 70% vs placebo (p=0,0004) et l'irbésartan 150 mg de manière non significative de 39% (p=0,085) vs placebo. Au bout de trois mois, il était déjà possible d'identifier un ralentissement de la progression vers une protéinurie clinique, qui s'est maintenu sur la durée de l'étude de 2 ans. Une régression à une albuminurie normalisée (<30 mg/jour) a été observée plus souvent sous irbésartan 300 mg (34%) que sous placebo (21%).
- +L'irbésartan n'exerce aucun effet notable sur les taux sanguins de triglycérides et de cholestérol. Il n'influence pas non plus l'uricémie ou la sécrétion d'acide urique.
- +Néphropathie diabétique
- +L'essai clinique IDNT réalisé sur l'irbésartan et portant sur la néphropathie diabétique («Irbesartan Diabetic Nephropathy Trial»), était une étude contrôlée en double aveugle sur la morbidité et la mortalité, au cours de laquelle l'irbésartan, l'amlodipine et un placebo ont été comparés. Dans les trois groupes de traitement, un médicament adjuvant était autorisé (tous les antihypertenseurs excepté les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, les inhibiteurs de l'ECA et les inhibiteurs du canal calcique). Chez 1715 patients randomisés atteints d'hypertension et de diabète de type 2, avec protéinurie ≥900 mg/jour et créatinine sérique comprise entre 1,0 et 3,0 mg/dl, les effets à long terme (en moyenne, 2,6 ans) de l'irbésartan sur la progression de la néphropathie et de la mortalité totale ont été étudiés. En fonction de la tolérance au produit, les patients sont passés d'une dose de 75 mg à une dose d'entretien de 300 mg d'irbésartan, de 2,5 mg à 10 mg d'amlodipine ou de placebo. Alors que dans le groupe irbésartan et dans le groupe amlodipine des taux d'hypertension comparables ont été atteints, l'irbésartan a obtenu, outre l'abaissement de la tension artérielle, une diminution significative du risque relatif par rapport au critère d'évaluation primaire combiné (doublement de la créatininémie, néphropathie terminale ou mortalité totale): diminution du risque relatif de 20% contre le placebo (p=0,024) et de 23% par rapport à l'amlodipine (p=0,006). Entre les trois groupes, on n'a pas observé de différences significatives en ce qui concerne le critère d'évaluation secondaire (évènements cardiovasculaires fatals ou non fatals).
- +L'essai concernant l'effet de l'irbésartan sur la micro-albuminurie, IRMA 2 («Irbesartan MicroAlbuminuria in Type 2 Diabetes»), était une étude contrôlée en double aveugle de la morbidité, réalisée auprès de 590 patients atteints d'hypertension artérielle et de diabète de type 2, avec micro-albuminurie (30–300 mg/jour) et fonction rénale normale (créatininémie ≤1,5 mg/dl chez l'homme et ≤1,1 mg/dl chez la femme). L'étude a évalué les effets à long terme (2 ans) de l'irbésartan sur la progression vers une protéinurie clinique (manifeste): élimination d'albumine dans l'urine (EUA) >300 mg/jour et augmentation de l'EUA d'au moins 30% par rapport à la valeur de départ. Dans les 3 groupes de traitement, l'effet de l'irbésartan 150 mg, 300 mg et du placebo a été étudié, sachant que dans les trois branches de l'étude, un médicament adjuvant était autorisé (tous les antihypertenseurs, excepté les antagonistes des récepteurs de l'angiotensine II, les inhibiteurs de l'ECA et les inhibiteurs calciques dihydropyridine). Alors que des pressions artérielles comparables ont été atteintes dans tous les groupes de traitement l'irbésartan 300 mg a diminué de manière significative le risque relatif de 70% vs placebo (p=0,0004) et l'irbésartan 150 mg de manière non significative de 39% (p=0,085) vs placebo. Au bout de trois mois, il était déjà possible d'identifier un ralentissement de la progression vers une protéinurie clinique, qui s'est maintenu sur la durée de l'étude de 2 ans. Une régression à une albuminurie normalisée (<30 mg/jour) a été observée plus souvent sous irbésartan 300 mg (34%) que sous placebo (21%).
-Elimination
- +Élimination
-Insuffisance rénale:
-Les paramètres pharmacocinétiques de l'irbésartan ne sont pas modifiés significativement chez les insuffisants rénaux ou chez les patients soumis à une hémodialyse. L'irbésartan n'est pas éliminé par hémodialyse.
-Insuffisance hépatique:
- +Troubles de la fonction hépatique
-Patients âgés:
-La disponibilité systémique d'irbésartan a été légèrement plus élevée chez les personnes âgées (AUC et Cmax plus élevées, clairance plus faible) par rapport à de jeunes volontaires, sans toutefois avoir de signification clinique.
- +Troubles de la fonction rénale
- +Les paramètres pharmacocinétiques de l'irbésartan ne sont pas modifiés significativement chez les insuffisants rénaux ou chez les patients soumis à une hémodialyse. L'irbésartan n'est pas éliminé par hémodialyse.
- +Patients âgés
- +La disponibilité systémique de l'irbésartan a été légèrement plus élevée chez les personnes âgées (AUC et Cmax plus élevées, clairance plus faible) par rapport à de jeunes volontaires, sans toutefois avoir de signification clinique.
-Mutagénicité / Carcinogénicité / Tératogénicité
-Il n'y a pas d'indices d'un effet mutagène ou cancérogène.
-Chez le lapin, des avortements ou des résorptions précoces (y compris létaux pour le fœtus) ont été observés à des doses significativement toxiques pour la lapine.
- +Toxicité en cas d'administration répétée
- +Il n'y a pas eu de preuve de toxicité systémique ou d'organe cible anormale à des doses cliniquement pertinentes. Dans les études de sécurité non cliniques, de fortes doses d'irbésartan (≥250 mg/kg/jour chez le rat et ≥100 mg/kg/jour chez le macaque) ont entraîné une réduction des paramètres des globules rouges (érythrocytes, hémoglobine, hématocrite).
- +À très fortes doses (≥500 mg/kg/jour), des modifications dégénératives du rein (telles que néphrite interstitielle, distension tubulaire, tubules basophiles, augmentation des concentrations plasmatiques d'urée et de créatinine) ont été induites par l'irbésartan chez le rat et le macaque et sont considérées comme secondaires aux effets hypotenseurs du médicament qui ont entraîné une diminution de la perfusion rénale. En outre, l'irbésartan a induit une hyperplasie et une hypertrophie des cellules juxtaglomérulaires (chez le rat à ≥90 mg/kg/jour, chez le macaque à ≥10 mg/kg/jour). Tous ces changements ont été considérés comme étant causés par l'action pharmacologique de l'irbésartan. Pour les doses thérapeutiques d'irbésartan chez l'homme, une hyperplasie et une hypertrophie des cellules juxtaglomérulaires rénales ne semble pas pertinente.
- +Mutagénicité/Carcinognécité
- +L'irbésartan n'a montré aucun signe de mutagénicité, clastogénicité et carcinogénicité.
- +Toxicité sur la reproduction
- +La fertilité et les fonctions de reproduction n'ont pas été affectées dans les études sur les rats mâles et femelles, même à des doses orales d'irbésartan entraînant une certaine toxicité chez les parents (de 50 à 650 mg/kg/jour), y compris la mortalité à la dose la plus élevée. Aucun effet significatif sur le nombre de corps jaunes, d'implants ou de fœtus vivants n'a été observé. L'irbésartan n'a pas affecté la survie, le développement ou la reproduction de la progéniture. Des études sur les animaux indiquent que l'irbésartan radiomarqué est détecté chez les fœtus de rats et de lapins.
- +Les études menées chez l'animal avec l'irbésartan ont mis en évidence des effets toxiques transitoires (augmentation de la formation de cavernes au niveau rénal et pelvien, hydro-uretère ou oedème sous cutanés) chez les foetus de rats. Ces effets n'étaient plus retrouvés après la naissance. L'irbésartan est excrété dans le lait des rates allaitantes. Suite à l'administration d'irbésartan à ces rates, un léger retard de la prise de poids a été observé dans la portée avant sevrage.
- +Chez le lapin, des avortements ou des résorptions précoces ont été observés à des doses entraînant des effets toxiques importants y compris létaux pour la mère.
-L'irbésartan est excrété dans le lait des rates allaitantes. Suite à l'administration d'irbésartan à ces rates, un léger retard de la prise de poids a été observé dans la portée avant sevrage.
-Conserver dans l'emballage original, à température ambiante (15–25 °C), à l'abri de l'humidité et hors de la portée des enfants.
- +Conserver dans l'emballage original, à température ambiante (15–25°C), à l'abri de l'humidité et hors de la portée des enfants.
-Avril 2018
- +Avril 2021
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