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Accueil - Information professionnelle sur Palladon Inject 2 mg - Changements - 21.07.2021
86 Changements de l'information professionelle Palladon Inject 2 mg
  • -Palladon Inject 2 mg: citrate de sodium dihydraté, acide citrique, chlorure de sodium, hydroxyde de sodium (pour l'ajustement de la valeur du pH), acide chlorhydrique (pour l'ajustement de la valeur du pH), eau pour injections. La teneur totale en sodium est d'environ 3.5 mg par ml de solution injectable/à perfuser.
  • -Palladon Inject 10 mg: citrate de sodium dihydraté, acide citrique, chlorure de sodium, hydroxyde de sodium (pour l'ajustement de la valeur du pH), acide chlorhydrique (pour l'ajustement de la valeur du pH), eau pour injections. La teneur totale en sodium est d'environ 3 mg par ml de solution injectable/à perfuser.
  • -Palladon Inject 20 mg: citrate de sodium dihydraté, acide citrique, chlorure de sodium, hydroxyde de sodium (pour l'ajustement de la valeur du pH), acide chlorhydrique (pour l'ajustement de la valeur du pH), eau pour injections. La teneur totale en sodium est d'environ 2.5 mg par ml de solution injectable/à perfuser.
  • -Palladon Inject 50 mg: citrate de sodium dihydraté, acide citrique, chlorure de sodium, hydroxyde de sodium (pour l'ajustement de la valeur du pH), acide chlorhydrique (pour l'ajustement de la valeur du pH), eau pour injections. La teneur totale en sodium est d'environ 1 mg par ml de solution injectable/à perfuser.
  • +Palladon Inject 2 mg: citrate de sodium dihydraté, acide citrique, chlorure de sodium, acide chlorhydrique (pour l'ajustement de la valeur du pH), hydroxyde de sodium (pour l'ajustement de la valeur du pH), eau pour préparations injectables. La teneur totale en sodium est d'environ 3,5 mg par ml de solution injectable/à perfuser.
  • +Palladon Inject 10 mg: citrate de sodium dihydraté, acide citrique, chlorure de sodium, acide chlorhydrique (pour l'ajustement de la valeur du pH), hydroxyde de sodium (pour l'ajustement de la valeur du pH), eau pour préparations injectables. La teneur totale en sodium est d'environ 3,0 mg par ml de solution injectable/à perfuser.
  • +Palladon Inject 20 mg: citrate de sodium dihydraté, acide citrique, chlorure de sodium, acide chlorhydrique (pour l'ajustement de la valeur du pH), hydroxyde de sodium (pour l'ajustement de la valeur du pH), eau pour préparations injectables. La teneur totale en sodium est d'environ 2,5 mg par ml de solution injectable/à perfuser.
  • +Palladon Inject 50 mg: citrate de sodium dihydraté, acide citrique, chlorure de sodium, acide chlorhydrique (pour l'ajustement de la valeur du pH), hydroxyde de sodium (pour l'ajustement de la valeur du pH), eau pour préparations injectables. La teneur totale en sodium est d'environ 1,0 mg par ml de solution injectable/à perfuser.
  • -Douleurs modérées à fortes ou en cas d'efficacité insuffisante des analgésiques non-opioïdes et/ou des opioïdes faibles.
  • +Douleurs modérées à fortes ou en cas d'efficacité insuffisante des analgésiques non opioïdes et/ou des opioïdes faibles.
  • -En cas d'apparition de signes de surdosage, p.ex. sédation, la dose doit être réduite (voir rubrique «Surdosage»).
  • +En cas d'apparition de signes de surdosage, p. ex. sédation, la dose doit être réduite (voir «Surdosage»).
  • -Patients non habitués aux opioïdes
  • +Patients non habitués aux opioïdes (naïfs d'opioïdes)
  • -Après la détermination réussie de la dose efficace d'un autre opioïde (titration), les patients ne doivent pas passer à Palladon Inject sans une évaluation par le médecin et sans une nouvelle titration soigneuse en fonction des besoins. Dans le cas contraire, un effet analgésique continu n'est pas garanti.
  • +Après la détermination de la dose efficace d'un autre opioïde (titration), les patients ne doivent pas passer à Palladon Inject sans une évaluation par le médecin et sans une nouvelle titration minutieuse en fonction des besoins. Dans le cas contraire, un effet analgésique continu n'est pas garanti.
  • -Palladon Inject ne doit pas être administré plus longtemps qu'absolument nécessaire. Si un traitement prolongé de la douleur est nécessaire, en raison de la nature et de la sévérité de la maladie, une surveillance attentive et régulière doit être mise en place pour déterminer dans quelle mesure il faut poursuivre le traitement. Quand le recours aux opioïdes n'est plus indiqué, le traitement doit être arrêté de manière progressive (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Palladon Inject ne doit pas être administré plus longtemps qu'absolument nécessaire. Si un traitement prolongé de la douleur est nécessaire en raison de la nature et de la sévérité de la maladie, une surveillance attentive et régulière doit être mise en place pour déterminer dans quelle mesure il faut poursuivre le traitement. Quand le recours aux opioïdes n'est plus indiqué, le traitement doit être arrêté de manière progressive (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Chez les patients ayant une insuffisance hépatique modérée à sévère (score de Child-Pugh 7-15), la dose doit être réduite, puis augmentée avec une prudence particulière (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • +Chez les patients ayant une insuffisance hépatique modérée à sévère (score de Child-Pugh de 7-15), la dose doit être réduite, puis augmentée avec une prudence particulière (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Chez les patients ayant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min), la dose doit être réduite, puis augmentée avec une prudence particulière (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • +Chez les patients ayant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min), la dose doit être réduite, puis augmentée avec une prudence particulière (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Comme chez les adultes plus jeunes, la posologie doit être adaptée en fonction de l'intensité de la douleur et de la sensibilité individuelle du patient (voir rubrique «Pharmacocinétique»).
  • +Comme chez les adultes plus jeunes, la posologie doit être adaptée en fonction de l'intensité de la douleur et de la sensibilité individuelle du patient (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Palladon Inject est destiné à une injection ou perfusion sous-cutanée ou intraveineuse ainsi qu'à une administration intraveineuse contrôlée par le patient (analgésie contrôlée par le patient; ACP).
  • -Dans le cadre de l'ACP, le patient peut administrer lui-même, à intervalles rapprochés d'une durée définie et par le biais d'une pompe à perfusion programmable, de petites doses supplémentaires, p. ex. d'opioïdes, afin de parvenir à un équilibre entre analgésie et effets indésirables. La technique de l'ACP est utilisée en clinique depuis quelques années p. ex. pour l'administration intraveineuse, sous-cutanée ou péridurale d'opioïdes.
  • -Au besoin, Palladon Inject peut être diluée avec les solutions injectables ou pour perfusion suivantes: solution saline à 0,9%, solution de glucose à 5% ou eau pour préparation injectable (voir également rubrique «Remarques particulières»).
  • +Palladon Inject est destiné à une injection ou perfusion sous-cutanée ou intraveineuse ainsi qu'à une administration intraveineuse contrôlée par le patient (analgésie contrôlée par le patient, ACP).
  • +Dans le cadre de l'ACP, le patient peut administrer lui-même, à intervalles rapprochés d'une durée définie et par le biais d'une pompe à perfusion programmable, de petites doses supplémentaires, p. ex. d'opioïdes, afin de parvenir à un équilibre entre analgésie et effets indésirables. La technique de l'ACP est utilisée en clinique depuis quelques années, p. ex. pour l'administration intraveineuse, sous-cutanée ou péridurale d'opioïdes.
  • +Au besoin, Palladon Inject peut être dilué avec les solutions injectables ou pour perfusion suivantes: solution saline à 0,9%, solution de glucose à 5% ou eau pour préparation injectable (voir également «Remarques particulières»).
  • -·Dépression respiratoire sévère avec hypoxie et/ou hypercapnie,
  • -·Maladies obstructives sévères des voies respiratoires,
  • -·Syndrome abdominal aigu,
  • -·Iléus paralytique.
  • +·dépression respiratoire sévère avec hypoxie et/ou hypercapnie,
  • +·broncho-pneumopathie chronique obstructive sévère,
  • +·asthme bronchique sévère,
  • +·syndrome abdominal aigu,
  • +·iléus paralytique.
  • -Tout comme pour d'autres médicaments opioïdes, la survenue d'une dépression respiratoire constitue le principal risque en cas de surdosage (voir rubrique «Surdosage»).
  • -·cœur pulmonaire sévère, asthme bronchique sévère, dépression respiratoire,
  • -·insuffisance hépatique modérée à sévère ou insuffisance rénale sévère,
  • -·hypothyroïdie,
  • -
  • +·cœur pulmonaire sévère, dépression respiratoire,
  • +·apnée du sommeil,
  • +·prise concomitante de substances ayant un effet dépresseur sur le système nerveux central (voir «Interactions»),
  • +·traitement concomitant par des inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) (voir «Interactions»),
  • +·développement d'une tolérance, dépendance physique et symptômes de sevrage,
  • +·dépendance psychique (dépendance au médicament), antécédents d'alcoolisme ou d'usage abusif de drogues ou de médicaments,
  • +·traumatisme crânien (en raison du risque d'augmentation de la pression intracrânienne), blessures intracrâniennes, troubles de la conscience d'origine indéterminée,
  • +·hypothyroïdie, myxœdème,
  • +·insuffisance hépatique modérée à sévère,
  • +·insuffisance rénale sévère,
  • -·blessures à la tête (en raison du risque de tension intracrânienne accrue),
  • -·prise concomitante de substances dépressives centrales ou d'inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO) (voir rubrique «Interactions»),
  • -·allaitement (voir rubrique «Grossesse, Allaitement»).
  • -L'utilisation concomitante d'hydromorphone et de médicaments sédatifs tels que des benzodiazépines ou des médicaments apparentés peut entraîner une sédation, une dépression respiratoire, un coma et le décès. Du fait de ces risques, la prescription concomitante d'hydromorphone Inject avec ces médicaments sédatifs est uniquement indiquée pour les patients pour lesquels on ne dispose d'aucune autre alternative. Lorsqu'une telle prescription est néanmoins jugée nécessaire, il convient d'utiliser la dose efficace la plus faible et de limiter autant que possible la durée du traitement.
  • +·constipation,
  • +·allaitement (voir «Grossesse, Allaitement»).
  • +Dépression respiratoire
  • +Tout comme pour d'autres médicaments opioïdes, la survenue d'une dépression respiratoire constitue le principal risque en cas de surdosage (voir «Surdosage»).
  • +Troubles respiratoires associés au sommeil
  • +Les opioïdes peuvent provoquer des troubles respiratoires associés au sommeil, y compris une apnée centrale du sommeil (ACS) et une hypoxémie liée au sommeil. L'utilisation d'opioïdes peut augmenter le risque d'ACS en fonction de la dose ou renforcer une apnée du sommeil préexistante (voir «Effets indésirables»). Par conséquent, il convient d'envisager de réduire la dose totale d'opioïdes chez les patients souffrant d'ACS.
  • +Utilisation concomitante de médicaments sédatifs
  • +L'utilisation concomitante d'hydromorphone et de médicaments sédatifs tels que des benzodiazépines ou des médicaments apparentés peut entraîner une sédation, une dépression respiratoire, un coma et le décès. Du fait de ces risques, la prescription concomitante de Palladon Inject avec ces médicaments sédatifs est uniquement indiquée pour les patients pour lesquels on ne dispose d'aucune autre alternative. Lorsqu'une telle prescription est néanmoins jugée nécessaire, il convient d'utiliser la dose efficace la plus faible et de limiter autant que possible la durée du traitement.
  • -L'utilisation prolongée de Palladon Inject peut conduire au développement d'une tolérance au médicament pouvant rendre nécessaire une augmentation des doses pour parvenir à l'effet analgésique souhaité. L'utilisation chronique de Palladon Inject peut conduire à une dépendance physique et l'apparition d'un syndrome de sevrage est possible à l'arrêt abrupt du traitement. Lorsque le traitement par l'hydromorphone n'est plus nécessaire, il est conseillé de réduire progressivement la dose journalière pour éviter l'apparition de symptômes d'un syndrome de sevrage.
  • -L'hydromorphone présente un potentiel d'abus semblable aux autres agonistes opioïdes forts. Une dépendance psychique (toxicomanie médicamenteuse) peut apparaître suite à l'administration d'analgésiques opioïdes comme Palladon Inject. Une prudence particulière est donc de rigueur lors de la prescription de Palladon Inject chez les patients présentant des antécédents d'alcoolisme ou d'abus de drogues ou de médicaments.
  • -En cas d'hyperalgésie, un phénomène pouvant survenir notamment à une posologie élevée, une poursuite de l'augmentation des doses de Palladon Inject ne permet pas d'atténuer les douleurs. Une réduction de la dose ou le passage à un autre opioïde peut s'avérer nécessaire.
  • -Palladon Inject ne doit pas être administré en cas de risque d'iléus paralytique. Si l'on soupçonne un iléus paralytique ou si celui-ci apparaît en cours de traitement, le traitement avec Palladon Inject doit être interrompu immédiatement.
  • -Le moment de la première prise de Palladon Inject après l'intervention chirurgicale est déterminé à partir d'une évaluation approfondie des bénéfices et des risques pour chaque patient et dépend du type et de l'étendue de l'intervention chirurgicale, des moyens anesthésiques utilisés, des traitements concomitants et de l'état général du patient.
  • -Les patients devant se soumettre à un traitement analgésique supplémentaire (p. ex. intervention chirurgicale, bloc du plexus) ne doivent plus recevoir de Palladon Inject 4 heures avant l'intervention. Si la poursuite du traitement par Palladon Inject est indiquée, la posologie doit être adaptée aux nouveaux besoins après l'intervention.
  • -La prudence est de mise en cas de changement de traitement vers une autre forme pharmaceutique et/ou un autre médicament contenant le même principe actif. Le patient doit alors faire l'objet d'une surveillance adaptée (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Les opioïdes, tels que l'hydromorphone, peuvent influer sur l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien ou gonadique. Certaines modifications peuvent être observées telles qu'une élévation de la prolactine sérique et une diminution du taux plasmatique de cortisol et de testostérone. Ces modifications hormonales peuvent se manifester par des symptômes cliniques.
  • -Palladon Inject 10 mg, Palladon Inject 20 mg et Palladon Inject 50 mg ne sont pas appropriés pour l'instauration d'un traitement par opioïde. Ces dosages supérieurs ne peuvent être utilisés comme dose unitaire que chez les patients ne parvenant plus à une analgésie suffisante dans le cadre d'un traitement prolongé par des médicaments à base d'hydromorphone faiblement dosés (Palladon Inject 2 mg) ou par d'autres analgésiques de puissance comparable. Les doses unitaires de 10 mg, 20 mg ou 50 mg peuvent être utilisées pour remplir le réservoir d'une pompe, car le contrôle de la posologie se fait dans ce cas par le biais de la programmation de la pompe.
  • +Développement de tolérance, dépendance physique et symptômes de sevrage, hyperalgésie
  • +L'utilisation prolongée de Palladon Inject peut conduire au développement d'une tolérance au médicament pouvant rendre nécessaire une augmentation des doses pour parvenir à l'effet analgésique souhaité. L'utilisation chronique de Palladon Inject peut conduire à une dépendance physique et l'apparition d'un syndrome de sevrage est possible en cas d'arrêt abrupt du traitement. Lorsque le traitement par l'hydromorphone n'est plus nécessaire, il est conseillé de réduire progressivement la dose journalière pour éviter l'apparition de symptômes d'un syndrome de sevrage.
  • +Une hyperalgésie, au cours de laquelle une augmentation supplémentaire de la dose de Palladon Inject ne permet pas de réduire davantage la douleur, peut survenir, en particulier à une posologie élevée. Une diminution de la dose d'hydromorphone ou le passage à un autre opioïde peut alors être nécessaire.
  • +Dépendance psychique (dépendance au médicament) et antécédents d'alcoolisme ou d'usage abusif de drogues ou de médicaments
  • +L'hydromorphone présente un potentiel d'abus semblable aux autres agonistes opioïdes puissants. Une dépendance psychique (toxicomanie médicamenteuse) peut apparaître suite à l'administration d'analgésiques opioïdes comme Palladon Inject. Une prudence particulière est donc de rigueur lors de la prescription de Palladon Inject chez les patients présentant des antécédents d'alcoolisme ou d'abus de drogues ou de médicaments ou en cas de troubles psychiques.
  • +Tractus gastro-intestinal
  • +En cas d'apparition ou de suspicion d'un iléus paralytique, l'administration de Palladon Inject doit immédiatement être arrêtée.
  • +La prudence est de mise dans le cadre de l'utilisation de Palladon Inject avant une intervention chirurgicale et dans les 12 à 24 heures suivantes. Le moment de la première prise de Palladon Inject après l'intervention chirurgicale est déterminé à partir d'une évaluation approfondie des bénéfices et des risques pour chaque patient et dépend du type et de l'étendue de l'intervention chirurgicale, des moyens anesthésiques utilisés, des traitements concomitants et de l'état général du patient.
  • +Les patients devant se soumettre à un traitement analgésique supplémentaire (p. ex. intervention chirurgicale, bloc du plexus) ne doivent plus recevoir Palladon Inject 4 heures avant l'intervention. Si la poursuite du traitement par Palladon Inject est indiquée, la posologie doit être adaptée aux nouveaux besoins après l'intervention.
  • +Modifications hormonales
  • +Les opioïdes, tels que l'hydromorphone, peuvent influer sur l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien ou gonadique. Certaines modifications peuvent être observées telles qu'une élévation de la prolactine sérique et une diminution du taux plasmatique de cortisol et de testostérone.
  • +Ces modifications hormonales peuvent se manifester par des symptômes cliniques.
  • +Mode d'administration
  • +La prudence s'impose en cas de passage à une autre forme galénique et/ou à un autre médicament avec le même principe actif. Le patient doit faire l'objet d'une surveillance adéquate (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Palladon Inject 10 mg, Palladon Inject 20 mg et Palladon Inject 50 mg ne sont pas appropriés pour un traitement initial par opioïde. Ces dosages supérieurs ne peuvent être utilisés comme dose unitaire que chez les patients ne parvenant plus à une analgésie suffisante dans le cadre d'un traitement prolongé par Palladon Inject 2 mg faiblement dosé ou par d'autres analgésiques de puissance comparable. Les doses unitaires de 10 mg, 20 mg ou 50 mg peuvent être utilisées pour remplir le réservoir d'une pompe, car le contrôle de la posologie se fait dans ce cas par le biais de la programmation de la pompe.
  • -Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par ml de solition injectable, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par ml de solution injectable, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • -L'utilisation concomitante d'opioïdes avec des médicaments sédatifs tels que des benzodiazépines ou médicaments apparentés augmente le risque de sédation, dépression respiratoire, coma et décès en raison d'un effet dépresseur supplémentaire sur le SNC.
  • -Les substances ayant un effet dépresseur sur le SNC sont notamment les autres opioïdes, l'alcool, les antipsychotiques, les neuroleptiques (phénothiazines), les antidépresseurs tricycliques, les antihistaminiques H1 avec effet sédatif, les antiémétiques avec action centrale, les gabapentinoïdes (gabapentine, prégabaline), les anesthésiques (p.ex. barbituriques), les sédatifs (y compris benzodiazépines), les hypnotiques ou les anxiolytiques.
  • +L'utilisation concomitante d'opioïdes avec des médicaments sédatifs tels que des benzodiazépines ou médicaments apparentés augmente le risque de sédation, de dépression respiratoire, de coma et de décès en raison d'un effet dépresseur supplémentaire sur le SNC.
  • +Les substances ayant un effet dépresseur sur le SNC sont notamment les autres opioïdes, l'alcool, les antipsychotiques, les neuroleptiques (phénothiazines), les antidépresseurs tricycliques, les antihistaminiques H1 avec effet sédatif, les antiémétiques avec action centrale, les gabapentinoïdes (gabapentine, prégabaline), les anesthésiques (p. ex. barbituriques), les sédatifs (y compris benzodiazépines), les hypnotiques ou les anxiolytiques.
  • -La consommation concomitante d'alcool est à proscrire (voir également rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Après la prise concomitante de péthidine et d'un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO), des cas sévères d'interactions affectant le système nerveux central et les fonctions respiratoire et circulatoire ont été observés. On ne peut exclure un potentiel d'interaction semblable avec Palladon Inject. Palladon Inject n'est pas indiqué en association avec des IMAO ou dans un intervalle de 14 jours après l'arrêt d'un tel traitement (voir également rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -L'administration concomitante d'hydromorphone et d'anticholinergiques ou de médicaments ayant une action anticholinergique (p. ex.: antidépresseurs tricycliques, antihistaminiques, antipsychotiques, myorelaxants, médicaments contre la maladie de Parkinson) peut renforcer les effets indésirables anticholinergiques.
  • +La consommation concomitante d'alcool est à proscrire (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • +Après la prise concomitante de péthidine et d'un inhibiteur de la monoamine oxydase (IMAO), des cas sévères d'interactions affectant le système nerveux central et les fonctions respiratoire et circulatoire ont été observés. On ne peut exclure un potentiel d'interaction semblable avec Palladon Inject. Palladon Inject n'est pas indiqué en association avec des IMAO ou dans un intervalle de 14 jours après l'arrêt d'un tel traitement (voir également «Mises en garde et précautions»).
  • +L'administration concomitante d'hydromorphone et d'anticholinergiques ou de médicaments ayant une action anticholinergique (p. ex. antidépresseurs tricycliques, antihistaminiques, antipsychotiques, myorelaxants, médicaments contre la maladie de Parkinson) peut renforcer les effets indésirables anticholinergiques.
  • -On ne dispose d'aucune donnée clinique concernant l'utilisation de Palladon Inject pendant la grossesse ou l'accouchement. L'hydromorphone passe la barrière placentaire. Les études chez l'animal avec l'hydromorphone ont mis en évidence des effets indésirables sur le fœtus (voir rubrique «Données précliniques»).
  • -L'utilisation prolongée de Palladon Inject chez la femme enceinte peut provoquer un syndrome de sevrage chez le nouveau-né. En cas d'utilisation pendant la grossesse, Palladon Inject peut limiter la contractilité utérine et entraîner une détresse respiratoire chez le nouveau-né.
  • +On ne dispose d'aucune donnée clinique concernant l'utilisation de Palladon Inject pendant la grossesse ou l'accouchement. L'hydromorphone passe la barrière placentaire. Les études chez l'animal avec l'hydromorphone ont mis en évidence des effets indésirables sur le fœtus (voir «Données précliniques»).
  • +L'utilisation prolongée de Palladon Inject chez la femme enceinte peut provoquer un syndrome de sevrage chez le nouveau-né. En cas d'utilisation pendant l'accouchement, Palladon Inject peut limiter la contractilité utérine et entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
  • +Fertilité
  • +On ne dispose d'aucune donnée concernant la fertilité. Dans le cadre des expérimentations animales, le traitement par l'hydromorphone n'a montré aucune répercussion sur la fertilité (voir «Données précliniques»).
  • +
  • -Palladon Inject peut influencer l'aptitude à la conduite ou l'utilisation de machines, particulièrement en début de traitement, après ajustement posologique ou passage à Palladon Inject, ou en cas d'association de l'hydromorphone avec l'alcool ou des substances dépressives centrales. La mise en place de restrictions n'est pas obligatoire avec un traitement stable. De ce fait, les patients doivent discuter avec leur médecin pour savoir s'ils ont le droit de conduire ou d'utiliser des machines.
  • +Palladon Inject peut influencer l'aptitude à la conduite ou l'utilisation de machines, particulièrement en début de traitement, après ajustement posologique ou passage à Palladon Inject, ou en cas d'association de l'hydromorphone avec l'alcool ou d'autres substances ayant un effet dépresseur central. La mise en place de restrictions n'est pas obligatoire avec un traitement stable. De ce fait, les patients doivent discuter avec leur médecin pour savoir s'ils ont le droit de conduire ou d'utiliser des machines.
  • -Les fréquences sont définies comme suit: «très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (≥1/100 à <1/10), «occasionnel» (≥1/1000 à <1/100), «rare» (≥1/10 000 à <1/1000), «très rare» (<1/10 000), «fréquence indéterminée» (ne pouvant pas être évaluée à partir des données disponibles).
  • +Les fréquences sont définies comme suit: «très fréquent» (≥1/10), «fréquent» (≥1/100 à <1/10), «occasionnel» (≥1/1000 à <1/100), «rare» (≥1/10'000 à <1/1000), «très rare» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Fréquence indéterminée: réactions d'hypersensibilité (y compris gonflement oropharyngé), réactions anaphylactiques.
  • +Fréquence inconnue: réactions d'hypersensibilité (y compris gonflement oropharyngé), réactions anaphylactiques.
  • -Fréquence indéterminée: dépendance médicamenteuse, dysphorie.
  • +Fréquence inconnue: dépendance médicamenteuse, dysphorie.
  • -Occasionnel: myoclonies, paresthésie, tremblements.
  • +Occasionnel: myoclonies, paresthésies, tremblements.
  • -Fréquence indéterminée: convulsions (en particulier chez les patients épileptiques ou prédisposés aux convulsions), dyskinésie, hyperalgésie.
  • +Fréquence inconnue: convulsions (en particulier chez les patients épileptiques ou prédisposés aux convulsions), dyskinésie, hyperalgésie, syndrome d'apnées du sommeil.
  • -Fréquence indéterminée: myosis.
  • +Fréquence inconnu: myosis.
  • -Fréquence indéterminée: bradycardie, palpitations.
  • +Fréquence inconnue: bradycardie, palpitations.
  • -Fréquence indéterminée: rougeurs au visage.
  • +Fréquence inconnue: rougeurs au visage.
  • -Fréquence indéterminée: bronchospasme.
  • +Fréquence inconnue: bronchospasme.
  • -Fréquence indéterminée: iléus paralytique, dyspepsie.
  • +Fréquence inconnue: iléus paralytique, dyspepsie.
  • -Fréquence indéterminée: urticaire.
  • +Fréquence inconnue: urticaire.
  • -Fréquence indéterminée: baisse de la libido.
  • +Fréquence inconnue: baisse de la libido.
  • -Fréquence indéterminée: développement d'une tolérance, syndrome de sevrage néonatal, irritations tissulaires et indurations au site d'injection (en particulier après administration répétée par voie s.c.).
  • -* Un syndrome de sevrage peut se manifester par divers symptômes, p. ex: agitation, anxiété, nervosité, insomnie, hyperkinésie, tremblements et symptômes gastro-intestinaux.
  • +Fréquence inconnue: développement d'une tolérance, syndrome de sevrage néonatal, irritations tissulaires et indurations au site d'injection (en particulier après administration répétée par voie s.c.).
  • +* Un syndrome de sevrage peut se manifester par divers symptômes, p. ex. agitation, anxiété, nervosité, insomnie, hyperkinésie, tremblements et symptômes gastro-intestinaux.
  • -L'hydromorphone est un agoniste pur des récepteurs opiacés, avec une affinité prépondérante pour les récepteurs µ associée à une affinité faible pour les récepteurs κ. L'hydromorphone exerce son effet analgésique objectif et subjectif au niveau supraspinal et spinal en stimulant les récepteurs situés dans le SNC et dans divers organes périphériques.
  • +L'hydromorphone est un agoniste pur des récepteurs opiacés, avec une affinité prépondérante pour les récepteurs µ associée à une affinité faible pour les récepteurs κ. L'hydromorphone exerce son effet analgésique objectif et subjectif au niveau supraspinal et spinal par le biais des récepteurs situés dans le SNC et dans le système périphérique.
  • -La liaison aux protéines plasmatiques est faible (7-19%).
  • +La liaison de l'hydromorphone aux protéines plasmatiques est faible (< 10%). Ce taux reste constant jusqu'à des concentrations plasmatiques très élevées d'environ 80 ng/ml qui sont atteintes dans de rares cas avec des doses très élevées d'hydromorphone.
  • -Rien n'indique que l'hydromorphone soit métabolisée in vivo par le système enzymatique du cytochrome P450. Avec une CI50>50 μM, l'hydromorphone n'inhibe in vitro que faiblement les isoformes recombinantes du CYP, y compris CYP1A2, 2A6, 2C8, 2D6 et 3A4. Il est donc improbable que l'hydromorphone inhibe le métabolisme d'autres médicaments métabolisés par ces isoformes du CYP.
  • +Rien n'indique que l'hydromorphone soit métabolisée in vivo par le système enzymatique du cytochrome P450. Avec une CI50 > 50 μM, l'hydromorphone n'inhibe in vitro que faiblement les isoformes recombinantes du CYP, y compris CYP1A2, 2A6, 2C8, 2D6 et 3A4. Il est donc improbable que l'hydromorphone inhibe le métabolisme d'autres médicaments métabolisés par ces isoformes du CYP.
  • -Les patients ayant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min) présentent une augmentation de l'AUC de l'hydromorphone allant du double au quadruple. Par rapport aux personnes ayant une fonction rénale normale, les patients atteints d'insuffisance rénale sévère peuvent présenter des concentrations plasmatiques significativement accrues d'hydromorphone-3-glucuronide.
  • +Les patients ayant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min) présentent une augmentation de l'ASC de l'hydromorphone allant du double au quadruple. Par rapport aux personnes ayant une fonction rénale normale, les patients atteints d'insuffisance rénale sévère peuvent présenter des concentrations plasmatiques significativement accrues d'hydromorphone-3-glucuronide.
  • -Lhydromorphone na pas été mutagène dans les tests dAmes et des micronoyaux chez la souris.
  • +L'hydromorphone n'a pas été mutagène dans les tests d'Ames et des micronoyaux chez la souris.
  • -La mortalité périnatale et post-partum des ratons (F1) a augmenté aux doses de 2 mg/kg/jour et 5 mg/kg/jour et le poids corporel a été réduit pendant la période d'allaitement.
  • +La mortalité périnatale et post-partum des ratons (F1) a augmenté aux doses de 2 mg/kg/jour et 5 mg/kg/jour et le poids corporel restait réduit pendant la période d'allaitement.
  • -L'hydromorphone n'a pas été mutagène dans les tests d'Ames et des micronoyaux chez la souris.
  • -Des incompatibilités ont été observées avec des solutions diluées de Palladon Inject 50 mg/ml lorsque celles-ci ont été conservées à 25 °C pendant plus de 24 heures dans des seringues en polycarbonate. Aucun signe d'incompatibilité n'a cependant été observé lorsque ces préparations ont été conservées à 4 °C pendant 7 jours maximum.
  • -Aucun signe d'incompatibilité n'a été observé avec Palladon Inject – non dilué ou dilué dans une solution pour perfusion de chlorure de sodium à 9 mg/ml (0,9%), dans une solution pour perfusion de glucose à 50 mg/ml (5%) ou dans de l'eau pour préparations injectables – dans des marques usuelles de seringues en polypropylène ou de sacs pour perfusion en PVC ou EVA.
  • -Aucun signe d'incompatibilité n'a été observé pour Palladon Inject – non dilué ou dilué dans une solution pour perfusion de chlorure de sodium à 9 mg/ml (0,9%) ou dans de l'eau pour préparations injectables – avec les marques usuelles de modes d'administration par voie parentérale des médicaments suivants, conservés à dose élevée ou faible dans des seringues en polypropylène pendant 24 heures à température ambiante (25 °C):
  • +Des incompatibilités ont été observées avec des solutions diluées de Palladon Inject 50 mg/ml lorsque celles-ci ont été conservées à 25°C pendant plus de 24 heures dans des seringues en polycarbonate. Aucun signe d'incompatibilité n'a cependant été observé lorsque ces préparations ont été conservées à 4°C pendant 7 jours maximum.
  • +Aucun signe d'incompatibilité n'a été observé pour Palladon Inject – non dilué ou dilué dans une solution pour perfusion de chlorure de sodium à 9 mg/ml (0,9%), dans une solution pour perfusion de glucose à 50 mg/ml (5%) ou dans de l'eau pour préparations injectables – avec des marques usuelles de seringues en polypropylène ou de poches de perfusion en PVC ou EVA (éthylène-acétate de vinyle).
  • +Aucun signe d'incompatibilité n'a été observé pour Palladon Inject – non dilué ou dilué dans une solution pour perfusion de chlorure de sodium à 9 mg/ml (0,9%) ou dans de l'eau pour préparations injectables – avec les marques usuelles de formes galéniques administrées par voie parentérale des médicaments suivants, dans le cadre d'une conservation à dose élevée ou faible dans des seringues en polypropylène pendant 24 heures à température ambiante (25°C):
  • -La stabilité physico-chimique après ouverture a été démontrée pour 7 jours à des températures de 4 °C, 25 °C et 37 °C à l'exception de solutions diluées dans des seringues en polycarbonate qui ne doivent pas être conservées au-delà de 24 heures.
  • -Toutefois, du point de vue microbiologique, le produit doit être utilisé immédiatement. En cas d'utilisation différée, la durée et les conditions de conservation avant utilisation sont de la responsabilité de l'utilisateur.
  • -La préparation prête à l'emploi ne doit pas être conservée plus de 24 heures entre 2 et 8 °C, à moins que l'ouverture de l'ampoule et la dilution n'ait eu lieu dans des conditions aseptiques contrôlées et validées.
  • +La stabilité physico-chimique après ouverture a été démontrée pour 7 jours à des températures de 4°C, 25°C et 37°C à l'exception de solutions diluées dans des seringues en polycarbonate qui ne doivent pas être conservées au-delà de 24 heures.
  • +Toutefois, du point de vue microbiologique, la préparation prête à l'emploi doit être utilisée immédiatement. En cas d'utilisation différée, la durée et les conditions de conservation avant utilisation sont de la responsabilité de l'utilisateur.
  • +La préparation prête à l'emploi ne doit pas être conservée plus de 24 heures entre 2 et 8°C, à moins que l'ouverture de l'ampoule et la dilution n'ait eu lieu dans des conditions aseptiques contrôlées et validées.
  • -Conserver à température ambiante (15-25°C). Conserver hors de portée des enfants. Conserver les ampoules dans leurs cartons pour les protéger de la lumière.
  • +Conserver à température ambiante (15-25°C). Conserver hors de portée des enfants. Conserver les ampoules dans leurs cartons d'emballage pour les protéger de la lumière.
  • -59225 (Swissmedic).
  • +59225 (Swissmedic)
  • -Mai 2020.
  • +Novembre 2020
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