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Accueil - Information professionnelle sur Budenofalk 2 mg - Changements - 22.03.2021
66 Changements de l'information professionelle Budenofalk 2 mg
  • -Principe actif: Budésonide.
  • -Excipients: Propylène glycol, gaz propulseurs, Excipiens ad emulsionem.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Mousse rectale.
  • -Aspect: mousse compacte, crémeuse, blanche à blanc-grisâtre.
  • -1 dose contient 2 mg de budésonide.
  • -
  • +Principes actifs
  • +Budésonide.
  • +Excipients
  • +Alcool cétylique (8,4 mg par pulvérisation), alcool cétostéarylique (12,6-15,12 mg par pulvérisation), polysorbate 60, eau purifiée, édétate sodique, éther stéarylique de macrogol 10, propylène glycol (E 1520; 600,3 mg par pulvérisation), acide citrique monohydraté.
  • +Gaz propulseurs: butane, isobutane, propane.
  • +
  • +
  • -Posologie
  • -Adultes: 1× par jour, 1 dose contenant 2 mg de budésonide.
  • -Enfants: Budenofalk Mousse rectale ne devrait pas être administré aux enfants, en raison de l'expérience limitée avec ce groupe d'âge.
  • -Mode d'emploi
  • +Posologie usuelle
  • +Adultes: 1 pulvérisation de 2 mg de budésonide une fois par jour.
  • +Enfants: Budenofalk mousse rectale ne doit pas être administré aux enfants, en raison de l'expérience limitée dans cette catégorie d'âge.
  • +Durée du traitement
  • +La durée d'utilisation est déterminée par le médecin traitant. En général, la poussée aiguë, après laquelle Budenofalk mousse rectale ne doit plus être utilisé, cède après 6 à 8 semaines.
  • +Mode d'administration
  • -Budenofalk Mousse rectale peut être administré le matin ou le soir.
  • -Munir tout d'abord le flacon d'un applicateur puis agiter vivement pendant environ 15 secondes, avant d'introduire l'applicateur aussi profondément que possible dans le rectum sans que cela devienne inconfortable pour le patient. Il faut prendre garde au fait que le dosage n'est suffisamment précis que si la tête de la pompe est dirigée le plus verticalement possible vers le bas. Pour administrer une dose de Budenofalk Mousse rectale, presser à fond sur la tête de la pompe et la relâcher lentement. Après l'application de la mousse, on laissera l'applicateur en place pendant 10 à 15 secondes avant de le retirer du rectum.
  • -Les meilleurs résultats sont obtenus lorsque l'intestin est vidé avant l'application de Budenofalk Mousse rectale.
  • -C'est le médecin traitant qui détermine la durée du traitement. En général, la poussée aiguë disparaît après 6 à 8 semaines. Budenofalk Mousse rectale ne doit pas être utilisé au-delà de la fin de la poussée aiguë.
  • +Budenofalk mousse rectale peut être administré le matin ou le soir.
  • +Munir d'abord le flacon d'un applicateur, puis agiter vivement pendant environ 15 secondes avant d'introduire l'applicateur aussi profondément que possible dans le rectum sans que cela devienne inconfortable pour le patient. Tenir compte du fait que le dosage n'est suffisamment précis que si la tête de la pompe est dirigée le plus verticalement possible vers le bas. Pour administrer une dose de Budenofalk mousse rectale, presser à fond sur la tête de la pompe puis la relâcher lentement. Après l'administration de la mousse, laisser l'applicateur en place pendant 10 à 15 secondes avant de le retirer du rectum.
  • +Les meilleurs résultats sont obtenus lorsque l'intestin a été vidé avant l'utilisation de Budenofalk mousse rectale.
  • -Budenofalk Mousse rectale ne doit pas être utilisé en cas
  • -d'hypersensibilité au budésonide ou à l'un des autres composants;
  • -d'infections locales de l'intestin (bactéries, champignons, amibes, virus);
  • -de cirrhose du foie et de signes d'hypertension portale, par ex. au stade avancé d'une cirrhose biliaire primitive.
  • +Ne pas utiliser Budenofalk mousse rectale dans les cas suivants:
  • +hypersensibilité au budésonide ou à l'un des excipients du produit; cirrhose hépatique.
  • -Un traitement par Budenofalk Mousse rectale mène à des taux systémiques de stéroïdes plus bas qu'un traitement par des corticoïdes à action systémique. De ce fait, le passage d'un autre traitement stéroïdien à Budenofalk Mousse rectale peut provoquer des symptômes liés à la modification du taux systémique de stéroïdes.
  • -Une surveillance médicale particulière est de rigueur si le patient souffre d'une ou de plusieurs des maladies suivantes: tuberculose, hypertension, diabète sucré, ostéoporose, ulcère peptique (ulcère gastrique ou duodénal), glaucome, cataracte ou encore en cas de fréquence familiale accrue de diabète ou de glaucome.
  • +Le traitement par Budenofalk mousse rectale peut entraîner des niveaux systémiques plus faibles de stéroïdes qu'un traitement par des glucocorticoïdes conventionnels par voie orale. Le passage d'une stéroïdothérapie à une autre peut entraîner une récurrence des symptômes en raison de changements des concentrations systémiques de stéroïdes.
  • +La prudence est de mise chez les patients souffrant d'hypertension, de diabète, d'ostéoporose, d'ulcère gastro-intestinal, de glaucome ou de cataracte, ayant des antécédents familiaux de diabète ou de glaucome ou d'autres circonstances dans lesquelles les glucocorticoïdes peuvent avoir des effets indésirables.
  • +En particulier si le médicament est utilisé à forte dose sur une période prolongée, il est important de noter que certains effets indésirables systémiques des stéroïdes peuvent se produire (voir la rubrique «Effets indésirables»).
  • -Budenofalk Mousse rectale ne devrait pas être utilisé chez l'enfant et l'adolescent, les expériences avec ces groupes d'âge étant insuffisantes.
  • +Budenofalk mousse rectale ne doit pas être utilisé chez l'enfant et l'adolescent, en raison de l'expérience insuffisante dans ces catégories d'âge.
  • -L'inhibition des réactions inflammatoires et du système immunitaire augmente la susceptibilité aux infections et leur degré de gravité. Leur manifestation clinique peut être atypique. Des infections graves telles que la septicémie et la tuberculose peuvent être masquées et atteindre un stade avancé avant d'être identifiées.
  • -Il faut prêter une attention particulière à l'éventualité d'une infection par le virus de la varicelle car, chez les patients immunosupprimés, cette affection peut présenter une évolution sévère allant jusqu'à engager le pronostic vital. Il faut instruire les patients qui n'ont pas encore eu cette maladie à éviter tout contact étroit avec des personnes atteintes de varicelle ou de zona (Herpes zoster). En cas de contamination, les patients devront consulter immédiatement un médecin. Il convient de procéder à une immunisation passive par l'immunoglobuline contre la varicelle et le zona chez tous les patients non immunisés qui reçoivent des corticoïdes à action systémique ou en ont reçu au cours des trois derniers mois, dans le cas où ces patients auraient pu être contaminés par le virus de la varicelle. L'immunisation doit se faire dans les dix jours qui suivent l'exposition. En cas d'éruption de la varicelle, la maladie nécessite un traitement spécifique immédiat. Des mesures de précaution doivent également être prises dans le cas d'une possible infection par la rougeole.
  • +L'inhibition des réactions inflammatoires et du système immunitaire augmente le risque d'infection et leur degré de sévérité. Le risque d'exacerbation des infections bactériennes, fongiques et virales pendant le traitement par des glucocorticoïdes doit être soigneusement pris en compte. Leur manifestation clinique peut souvent être atypique et des infections graves telles que le sepsis et la tuberculose peuvent être masquées et atteindre un stade avancé avant d'être identifiées.
  • +Varicelle
  • +La varicelle est particulièrement préoccupante, car cette maladie normalement sans danger peut avoir des conséquences fatales chez les patients immunoprimés. Les patients sans antécédents de varicelle doivent éviter tout contact avec des patients atteints de varicelle ou de zona et doivent immédiatement consulter le médecin en cas d'exposition.
  • +Chez l'enfant, les parents doivent être informés de ces mesures. Une immunisation passive par des immunoglobulines varicelle-zona (VZIG) est nécessaire chez les patients exposés non immunisés s'ils prennent des glucocorticoïdes systémiques ou en ont pris dans les 3 mois précédents; l'administration doit avoir lieu dans les 10 jours suivant l'exposition à la varicelle. Si le diagnostic de varicelle est confirmé, une prise en charge immédiate par un spécialiste s'impose. Le traitement par les glucocorticoïdes ne doit pas être interrompu et la dose sera éventuellement augmentée.
  • +Rougeole
  • +Les patients traités par Budenofalk mousse rectale dont le système immunitaire est affaibli doivent recevoir de l'immunoglobuline normale le plus rapidement possible en cas d'exposition à la rougeole.
  • -Il ne faut pas administrer de vaccins vivants aux personnes dont la réponse immunitaire est diminuée. La formation d'anticorps après l'administration d'autres vaccins (vaccins inactivés) peut être diminuée.
  • -La prudence est de mise chez les patients qui présentent une insuffisance fonctionnelle hépatique légère à modérée.
  • -En cas de troubles fonctionnels hépatiques graves, lors du traitement par Budenofalk Mousse rectale, tout comme lors d'un traitement par d'autres glucocorticoïdes, il y a une réduction de l'élimination du médicament et une augmentation de la biodisponibilité systémique; on exclura donc de traiter ces patients par le budésonide (voir «Contre-indications»).
  • -Budenofalk Mousse rectale peut diminuer la réponse au stress de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien. Par conséquent, lors d'opérations ou d'autres situations de stress, il faut administrer simultanément un glucocorticoïde à action systémique.
  • -Il faut éviter un traitement concomitant par le kétoconazole ou par d'autres inhibiteurs puissants du CYP3A car l'inhibition de la dégradation oxydative du budésonide peut s'accompagner d'une élévation des taux plasmatiques du budésonide (voir «Interactions»).
  • -Il faut prendre garde en outre au fait que l'administration d'une dose plus forte que celle de la posologie indiquée peut entraîner l'apparition d'effets indésirables systémiques du type de ceux induits par les glucocorticoïdes (voir «Effets indésirables»).
  • -L'alcool cétylique et l'acide sorbique peuvent provoquer localement des irritations cutanées limitées (p.ex. dermatite de contact).
  • -Le propylène glycol peut provoquer des irritations cutanées.
  • +Les vaccins vivants ne doivent pas être administrés aux personnes ayant une réponse immunitaire insuffisante. La production d'anticorps en réponse à d'autres vaccins peut être diminuée. Les glucocorticoïdes peuvent supprimer l'axe hypophyso-surrénalien et réduire la réponse au stress. En cas d'opération ou d'autres facteurs de stress, l'administration supplémentaire de glucocorticoïdes systémiques est recommandée.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +L'expérience chez des patients atteints d'une cholangite biliaire primitive (CBP) à un stade avancé s'accompagnant d'une cirrhose hépatique a démontré que, pour l'ensemble des patients atteints d'un grave trouble de la fonction hépatique, une disponibilité systémique accrue du budésonide était à prévoir.
  • +Chez les patients atteints de maladies hépatiques sans cirrhose hépatique, une dose journalière de 9 mg de budésonide par voie orale s'est toutefois avérée sûre et bien tolérée. En conséquence, il n'est pas nécessaire d'émettre une recommandation posologique particulière pour les patients souffrant de maladies hépatiques sans cirrhose ou dont la fonction hépatique n'est que légèrement altérée.
  • +L'administration simultanée de kétoconazole ou d'autres inhibiteurs du CYP3A doit être évitée (voir la rubrique «Interactions»).
  • +Troubles visuels
  • +Des troubles visuels peuvent apparaître lors de l'utilisation des glucocorticoïdes par voie systémique ou locale. Si un patient présente des symptômes tels qu'une vision trouble ou d'autres troubles visuels, il convient de l'adresser à un ophtalmologue afin d'évaluer les causes possibles; figurent notamment parmi celles-ci des troubles tels que la cataracte, le glaucome ou des maladies rares comme la choriorétinopathie séreuse centrale (CSC), qui ont été rapportées après l'administration de glucocorticoïdes systémiques ou topiques.
  • +Budenofalk mousse rectale contient 600,3 mg de propylène glycol (E 1520) par pulvérisation. Le propylène glycol peut provoquer des irritations cutanées.
  • +Ce médicament contient de l'alcool cétostéarylique et de l'alcool cétylique, qui peuvent provoquer des réactions cutanées localisées (par ex. une dermite de contact).
  • +Interactions pharmacocinétiques
  • +Cytochrome P450, inhibiteurs du CYP3A4
  • +Il est à prévoir que l'administration concomitante d'inhibiteurs du CYP3A, y compris de produits contenant du cobicistat, augmente le risque d'effets secondaires systémiques. Cette association doit être évitée, sauf si les bénéfices sont supérieurs au risque accru d'effets secondaires systémiques des glucocorticoïdes; dans ce cas, les patients doivent être surveillés en vue de détecter de tels effets secondaires.
  • +En cas d'administration concomitante de kétoconazole 200 mg une fois par jour par voie orale, les concentrations plasmatiques de budésonide (dose unique de 3 mg) sont multipliées par 6 environ. Ces concentrations sont multipliées par 3 lorsque le kétoconazole est administré 12 heures après le budésonide. Les données disponibles étant insuffisantes pour formuler des recommandations posologiques, il convient d'éviter cette association.
  • +D'autres inhibiteurs puissants du CYP3A4 (par ex. le ritonavir, l'itraconazole, la clarithromycine) peuvent également augmenter les concentrations plasmatiques de budésonide. En outre, il convient d'éviter la prise concomitante de jus de pamplemousse.
  • +Inducteurs du CYP3A4
  • +Les préparations à base de carbamazépine et de rifampicine, par ex., peuvent réduire la disponibilité systémique mais aussi locale du budésonide au niveau de la muqueuse intestinale. Un ajustement de la dose de budésonide peut s'avérer nécessaire.
  • +Substrats du CYP3A4
  • +Les substances métabolisées par le CYP3A4 peuvent entrer en concurrence avec le budésonide et entraîner une élévation des concentrations plasmatiques de budésonide, pour autant que l'affinité de la substance concurrente au CYP3A4 soit plus élevée. Inversement, la liaison du budésonide au CYP3A4 peut être plus forte et provoquer une élévation des concentrations plasmatiques de la substance concurrente et, de ce fait, rendre nécessaire une adaptation/réduction posologique de cette substance. Une élévation des concentrations plasmatiques de glucocorticoïdes et un renforcement de leur action ont été observés chez les femmes sous œstrogènes ou contraceptifs oraux. Cet effet n'a pas été observé chez les femmes prenant des contraceptifs oraux faiblement dosés. Étant donné que le traitement par budésonide peut réprimer la fonction des corticosurrénales, le test de stimulation à l'ACTH utilisé pour diagnostiquer une insuffisance hypophysaire peut donner des résultats erronés (faibles valeurs).
  • -L'excrétion de potassium peut être renforcée.
  • -Interactions pharmacocinétiques
  • -Cytochrome P450 3A (CYP3A)
  • -Inhibiteurs puissants du CYP3A: Les corticostéroïdes (y compris le budésonide) sont métabolisés par le CYP3A4. L'administration concomitante d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 (par ex. kétoconazole, itraconazole, clarythromycine, ritonavir, produits qui contiennent du cobicistat) peut entraîner une augmentation de l'exposition aux corticostéroïdes et, de ce fait, un risque accru d'effets secondaires systémiques des corticostéroïdes. Le bénéfice d'une administration concomitante doit être soigneusement pesé au regard du risque potentiel d'effets systémiques des corticostéroïdes; le cas échéant, on surveillera les patients pour détecter la survenue d'éventuels effets secondaires systémiques des corticostéroïdes.
  • -En plus il faudrait renoncer à la prise concomitante de jus de pamplemousse.
  • -Inducteurs du CYP3A comme p.ex. la carbamazépine et la rifampicine peuvent réduire l'effet aussi bien systémique que local du budésonide sur la muqueuse intestinale. Une adaptation de la posologie du budésonide peut s'avérer nécessaire.
  • -Substrats du CYP3A comme p.ex. l'éthinylestradiol, entrent en concurrence avec le budésonide pour leur métabolisme. Si l'affinité pour le CYP3A de la substance concurrente est plus forte, cela peut entraîner une augmentation de la concentration plasmatique de budésonide. Si le budésonide se lie plus fortement au CYP3A que la substance concurrente, cela peut entraîner une élévation du taux plasmatique de cette dernière. Une adaptation de la dose de budésonide ou de la substance concurrente peut s'avérer nécessaire.
  • -Chez des femmes qui prenaient simultanément des estrogènes ou des contraceptifs oraux, des taux plasmatiques de corticostéroïdes élevés et un effet plus marqué de corticostéroïdes ont été rapportés. Cette interaction n'a pas été observée dans le cas d'une prise de contraceptifs combinés faiblement dosés.
  • +L'excrétion du potassium peut être renforcée.
  • -On ne dispose pas d'expériences sur l'utilisation de Budenofalk Mousse rectale pendant la grossesse. Des études chez l'animal ont montré une toxicité de reproduction (voir «Données précliniques»). Budenofalk Mousse rectale ne doit pas être utilisé pendant la grossesse sauf en cas de nécessité absolue.
  • -Les femmes en âge de procréer doivent exclure une éventuelle grossesse avant le traitement et appliquer des mesures contraceptives appropriées pendant le traitement.
  • -On ignore si, comme d'autres glucocorticoïdes, le budésonide passe dans le lait maternel. Par conséquent, les femmes ne doivent pas allaiter pendant le traitement par Budenofalk Mousse rectale.
  • +Grossesse
  • +Il existe peu de données sur l'issue de la grossesse chez des femmes traitées par budésonide par voie orale. Bien que les données sur l'utilisation du budésonide par inhalation chez un grand nombre de femmes enceintes n'aient révélé aucun effet indésirable, la concentration plasmatique maximale du budésonide pendant un traitement par Budenofalk mousse rectale est probablement plus élevée qu'après une prise de budésonide par inhalation. Dans les études chez l'animal, le budésonide, comme d'autres glucocorticoïdes, a provoqué des anomalies du développement fœtal (voir la rubrique «Donnés précliniques»). La pertinence clinique de ces observations chez l'être humain n'est pas établie.
  • +Pendant la grossesse, l'administration doit être évitée sauf en présence d'arguments solides pouvant justifier le traitement par Budenofalk mousse rectale.
  • +Allaitement
  • +Le budésonide passe dans le lait maternel (on dispose de données sur l'excrétion après une administration par inhalation). Par conséquent, l'allaitement ne doit pas être pratiqué pendant le traitement par Budenofalk mousse rectale, sauf en cas de nécessité absolue.
  • +Fertilité
  • +On ne dispose pas de données sur l'effet du budésonide sur la fertilité humaine. Dans les études animales, la fertilité n'a pas été affectée par l'administration du budésonide (voir «Données précliniques»).
  • -Aucune étude correspondante n'a été effectuée.
  • +Il n'y a pas d'effet négatif connu.
  • -Dans l'évaluation des effets indésirables, les fréquences sont indiquées comme suit:
  • -Très fréquents: (≥1/10).
  • -Fréquents: (≥1/100 à <1/10).
  • -Occasionnels: (≥1/1000 à <1/100).
  • -Rares: (≥1/10'000 à <1/1000).
  • -Très rares: (<1/10'000), y compris cas isolés.
  • -Des effets indésirables ont été rapportés chez 8% des patients dans les études cliniques menées avec Budenofalk Mousse rectale. Les effets indésirables fréquents ont été des brûlures dans le rectum ou des sensations douloureuses; occasionnellement, des nausées, des céphalées, une élévation des valeurs fonctionnelles hépatiques sont apparues.
  • -Dans le détail, les effets indésirables suivants ont été observés dans le cadre d'études cliniques:
  • +La fréquence des effets indésirables est définie selon la convention suivante:
  • +très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1000), très rares (<1/10'000).
  • +Des effets indésirables ont été rapportés chez 8% des patients dans les études cliniques menées sur Budenofalk mousse rectale. Des brûlures dans le rectum ou des sensations douloureuses ont été fréquemment rapportées de même que, occasionnellement, des nausées, des céphalées et une élévation des paramètres hépatiques.
  • +Les effets indésirables suivants ont en outre été observés dans le cadre des études cliniques avec Budenofalk mousse rectale:
  • -Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
  • -Occasionnels: anémie, élévation de la vitesse de sédimentation du sang, leucocytose.
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Occasionnels: élévation de la vitesse de sédimentation, leucocytose.
  • -Occasionnels: augmentation de l'appétit.
  • -Troubles psychiatriques
  • +Occasionnels: appétit augmenté.
  • +Affections psychiatriques
  • -Troubles du système nerveux
  • -Occasionnels: céphalées, vertige, parosmie.
  • -Troubles vasculaires
  • -Occasionnels: hypertension.
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -Occasionnels: nausée, douleurs abdominales, dyspepsie, flatulences, fausses sensations dans la région abdominale, fissure anale, stomatite aphteuse, besoin plus fréquent d'aller à la selle, hémorroïdes, hémorragie rectale.
  • -Troubles hépato-biliaires
  • +Affections du système nerveux
  • +Occasionnels: vertiges, parosmie.
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Occasionnels: nausées, douleurs abdominales, ballonnements, sensations anormales dans la région abdominale, fissure anale, stomatite aphteuse, défécation impérieuse plus fréquente, hémorragie rectale.
  • +Affections hépatobiliaires
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • -Occasionnels: acné, sueurs profuses.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Occasionnels: sudation augmentée.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Fréquents: sensation de brûlure dans le rectum et sensation douloureuse.
  • +Occasionnels: asthénie, augmentation du poids corporel.
  • -Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
  • -Fréquents: sensation de brûlure et sensation douloureuse dans le rectum.
  • -Occasionnels: asthénie, augmentation du poids corporel.
  • -Lors de l'utilisation de Budenofalk Mousse rectale, des effets indésirables peuvent se manifester occasionnellement, qui sont typiques des glucocorticoïdes à action systémique. Les effets indésirables ci-après dépendent de la dose, de la durée du traitement, de l'administration concomitante ou antérieure d'un traitement par d'autres glucocorticoïdes et de la sensibilité individuelle du patient.
  • -Troubles du système immunitaire
  • -Inhibition des processus immunitaires (p.ex. augmentation du risque d'infection).
  • +Occasionnellement, des effets indésirables typiques des glucocorticoïdes systémiques peuvent survenir. Ces effets indésirables dépendent de la dose, de la durée du traitement, de l'administration concomitante ou antérieure d'un traitement par d'autres glucocorticoïdes et de la sensibilité individuelle du patient.
  • +Certains de ces effets secondaires n'ont été observés qu'après la prise prolongée de budésonide par voie orale.
  • +En raison de son action locale, Budenofalk mousse rectale est généralement associé à un risque d'effets indésirables plus faible que celui observé lors de l'administration de glucocorticoïdes à action systémique.
  • +Les effets indésirables typiques des glucocorticoïdes systémiques sont:
  • +Affections du système immunitaire
  • +Fréquents: augmentation du risque d'infection.
  • -Syndrome de Cushing: visage lunaire, obésité tronculaire, diminution de la tolérance au glucose, diabète sucré, rétention sodée avec formation d'oedèmes, augmentation de l'excrétion de potassium, inactivité ou atrophie du cortex surrénalien, retard de croissance chez l'enfant, troubles de la sécrétion d'hormones sexuelles (p.ex. aménorrhée, hirsutisme, impuissance).
  • -Troubles psychiatriques
  • -Dépressions, irritabilité, euphorie.
  • -Troubles oculaires
  • -Glaucome, cataracte.
  • -Troubles du système nerveux
  • -Pseudotumeur cérébrale, éventuellement oedème papillaire additionnel chez l'adolescent.
  • -Troubles vasculaires
  • -Élévation du risque de thrombose, angéite (syndrome de sevrage après un traitement prolongé).
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -Troubles gastriques, ulcère gastrique, pancréatite.
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • -Exanthème allergique, vergetures, pétéchies, ecchymoses, retards de cicatrisation.
  • -En raison de la teneur en acide sorbique, des réactions cutanées locales telles que dermatites de contact peuvent se produire.
  • -Troubles musculo-squelettiques, du tissu conjonctif et des os
  • -Nécroses osseuses aseptiques (tête du fémur et de l'humérus), myalgies diffuses et faiblesse musculaire, ostéoporose.
  • -Certains de ces effets indésirables n'ont éobservés qu'après une utilisation prolongée de budésonide administré par voie orale.
  • +Fréquents: syndrome de Cushing (faciès lunaire, obésité du tronc, diminution de la tolérance au glucose, diabète sucré, rétention sodique avec formation d'œdèmes, augmentation de l'excrétion du potassium, inactivité ou atrophie des corticosurrénales, trouble de la sécrétion des hormones sexuelles (p.ex. aménorrhée, hirsutisme, impuissance)).
  • +Très rares: retard de croissance chez l'enfant.
  • +Affections psychiatriques
  • +Fréquents: dépression, irritabilité, euphorie.
  • +Occasionnels: hyperactivité psychomotrice, anxiété.
  • +Rares: agressivité.
  • +Affections du système nerveux
  • +Fréquents: céphalées.
  • +Très rares: pseudotumeur cérébrale (hypertension intracrânienne bénigne), y compris œdème papillaire chez l'adolescent.
  • +Affections oculaires
  • +Rares: glaucome, cataracte, vision trouble (voir la rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections vasculaires
  • +Fréquents: hypertension.
  • +Très rares: risque accru de thrombose, vascularite (syndrome de sevrage après un traitement prolongé).
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Fréquents: dyspepsie.
  • +Occasionnels: ulcère gastrique ou duodénal.
  • +Rares: pancréatite.
  • +Très rares: constipation.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Fréquents: exanthème allergique, vergetures pourpres, pétéchies, acné stéroïdienne, retard de cicatrisation, dermite de contact.
  • +Rares: ecchymoses.
  • +Affections musculo-squelettiques et systémiques
  • +Fréquents: douleurs musculaires et articulaires, faiblesse et spasmes musculaires, ostéoporose.
  • +Rares: ostéonécrose.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Très rares: fatigue, malaise.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de sansont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Aucun cas de surdosage au budésonide n'est connu à ce jour. Au vu des propriétés de Budenofalk Mousse rectale, il est improbable qu'un surdosage ait des conséquences toxiques.
  • +Aucun cas de surdosage n'est connu à ce jour.
  • -Code ATC: A07EA06
  • +Code ATC
  • +A07EA06
  • -Le mécanisme d'action précis du budésonide dans le traitement de la colite ulcéreuse/proctosigmoïdite n'est pas encore entièrement élucidé. Des résultats d'études cliniques pharmacologiques et d'autres études contrôlées suggèrent fortement que le budésonide agit principalement sur des points d'impact situés dans l'intestin.
  • -Pharmacodynamie
  • -Le budésonide est un glucocorticoïde qui exerce un puissant effet anti-inflammatoire local. Par rapport à des doses cliniquement équivalentes de glucocorticoïdes systémiques, le budésonide entraîne une suppression significativement plus faible de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien et a moins d'influence sur des paramètres inflammatoires. Le budésonide exerce un effet dépendant de la dose sur les taux plasmatiques de cortisol.
  • +Le mécanisme d'action précis du budésonide dans le traitement de la colite ulcéreuse/proctosigmoïdite n'est pas encore entièrement élucidé. Les résultats des études cliniques pharmacologiques et d'autres études contrôlées suggèrent fortement que le budésonide agit principalement sur des cibles locales dans l'intestin.
  • +Pharmacodynamique
  • +Le budésonide est un glucocorticoïde qui exerce un puissant effet anti-inflammatoire local. Par rapport à des doses cliniquement équivalentes de glucocorticoïdes systémiques, le budésonide entraîne une suppression significativement plus faible de l'axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien et a moins d'influence sur les marqueurs de l'inflammation. Le budésonide exerce un effet dépendant de la dose sur les concentrations plasmatiques de cortisol.
  • +Efficacité clinique
  • +Aucune donnée.
  • +
  • -Informations générales sur le budésonide
  • +Considérations spécifiques à Budenofalk mousse rectale
  • -Après administration orale, la disponibilité systémique du budésonide est d'environ 10%.
  • +Après administration rectale, les aires sous la courbe de la concentration en fonction du temps est légèrement plus élevée qu'après une administration orale (contrôle historique). En moyenne, les concentrations maximales sont atteintes dans les 2 à 3 heures qui suivent l'administration de Budenofalk mousse rectale. On peut exclure toute accumulation après une administration répétée.
  • -Le budésonide a un grand volume de distribution (environ 3 l/kg). La liaison aux protéines plasmatiques s'élève en moyenne à 85–90%.
  • +Un examen scintigraphique réalisé suite à l'administration de Budenofalk mousse rectale marqué au technétium a montré une bonne distribution de la mousse jusqu'au milieu du côlon sigmoïde chez des patients souffrant de colite ulcéreuse. Dans la moitié proximale du côlon sigmoïde, la distribution de la mousse n'était plus que moyennement satisfaisante.
  • +Considérations générales sur le budésonide
  • +Absorption
  • +Après administration orale, la disponibilité systémique du budésonide est d'environ 10 %.
  • +Distribution
  • +Le budésonide a un volume de distribution élevé (environ 3 l/kg). La liaison aux protéines plasmatiques s'élève en moyenne à 85 %-90 %.
  • -Le budésonide subit un métabolisme hépatique intense (environ 90%) pour donner des métabolites exerçant un faible effet glucocorticoïde. En comparaison avec le budésonide, l'effet glucocorticoïde des principaux métabolites, le 6β-hydroxybudésonide et la 16α-hydroxyprednisolone, formés tous deux par la voie du CYP3A, est inférieur à 1%.
  • +Le budésonide est largement métabolisé dans le foie (environ 90 %) en métabolites présentant une activité glucocorticoïde faible. L'activité glucocorticoïde des principaux métabolites formés via le CYP3A, 6β-hydroxybudésonide et 16α-hydroxyprednisolone, représente moins de 1 % de celle du budésonide.
  • -Cinétique pour certains groupes de patients (patients souffrant d'insuffisance hépatique)
  • -En fonction du type et de la gravité de la maladie hépatique, le métabolisme du budésonide par la voie du CYP3A peut être réduit chez ces patients.
  • -Informations spécifiques sur Budenofalk Mousse rectale
  • -Absorption
  • -Après administration rectale, les aires sous la courbe de la concentration en fonction du temps sont un peu plus grandes qu'après administration orale (contrôle historique). En moyenne, les taux maximums sont atteints après 2 à 3 heures lors de l'administration de Budenofalk Mousse rectale. Une accumulation après administrations multiples a pu être exclue.
  • -Distribution
  • -Un examen scintigraphique avec Budenofalk Mousse rectale marqué au technétium a montré une bonne distribution de la mousse jusqu'au milieu du côlon sigmoïde chez des patients souffrant de colite ulcéreuse. Dans la moitié proximale du côlon sigmoïde, la distribution de la mousse n'était que limitée.
  • -
  • +Cinétique pour certains groupes de patients
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +En fonction du type et de la sévérité de la maladie hépatique, le métabolisme du budésonide par la voie du CYP3A peut être réduit chez ces patients.
  • -La bonne tolérance locale de Budenofalk Mousse rectale a été démontrée dans une étude préclinique chez le chien.
  • -Après administration répétée de budésonide (à une dose comparable à celle utilisée chez l'humain), une réduction du nombre des leucocytes (en particulier des lymphocytes) et une régression du thymus ont été observées chez le rat. On a relevé des signes d'atrophie par inactivité des glandes surrénales. Au niveau des mamelles, une prolifération accrue des conduits lactifères et une augmentation de l'activité sécrétoire ont été constatées.
  • -Dans une étude à long terme (104 semaines) chez des rates, l'hématocrite, l'hémoglobine et le nombre des érythrocytes ont été réduits. Dans les groupes qui ont reçu les mêmes doses, une tendance à une élévation du nombre des neutrophiles et à une réduction du nombre des lymphocytes, des éosinophiles et des normocytes a été constatée. Le nombre des lymphocytes était réduit de manière significative (effet immunosuppresseur) uniquement chez les rats mâles et la phosphatase alcaline était légèrement augmentée.
  • -Chez le chien, des valeurs diminuées du «packed cell volume», une augmentation de la concentration de la phosphatase alcaline et de l'alanine aminotransférase (ALAT), une atrophie des glandes surrénales et du système lymphatique, une augmentation de la teneur en lipides du myocarde et de la teneur en glycogène du foie (augmentation de la taille du foie) ont été constatées.
  • +Toxicité locale
  • +La bonne tolérance locale de Budenofalk mousse rectale a été démontrée dans une étude préclinique chez le chien.
  • +Toxicité en cas d'administration répétée
  • +Les données précliniques issues des études de toxicité aiguë, subchronique et chronique du budésonide ont montré une régression du thymus et des surrénales et une réduction des lymphocytes. Ces effets étaient moins ou aussi prononcés que ceux observés avec d'autres glucocorticoïdes. Comme pour les autres glucocorticoïdes, ces effets stéroïdiens peuvent également être pertinents chez l'être humain, en fonction de la dose, de la durée d'utilisation et de la maladie. Une légère augmentation du nombre des foyers basophiles hépatiques a été observée lors d'études de toxicité chronique chez le rat.
  • -Des rats mâles qui ont été traités pendant 104 semaines avec le budésonide ont présendes fréquences légèrement augmentées de foyers hépatiques basophiles par rapport aux animaux témoins. Les fréquences de néoplasies hépatocellulaires primaires (0,025 et 0,05 mg/kg de poids corporel par jour), d'astrocytomes (rats mâles, 0,05 mg/kg de poids corporel par jour) et de tumeurs mammaires (rates, 0,05 mg/kg de poids corporel par jour) ont été significativement augmentées dans l'étude de carcinogénicité. Les tumeurs hépatiques sont probablement dues à des effets anabolisants et à la charge métabolique accrue du foie. Ces résultats représentent un effet de classe dans lequel les récepteurs des glucocorticoïdes sont vraisemblablement impliqués.
  • -Toxicité de reproduction
  • -Dans les essais chez l'animal, les glucocorticoïdes induisent des effets tératogènes chez diverses espèces (fente palatine, malformations du squelette). À ce jour, l'importance clinique de ces propriétés n'est pas clarifiée. Chez des rongeurs, le budésonide administré par voie sous-cutanée a induit les altérations déjà connues pour d'autres glucocorticoïdes.
  • -Des études chez l'animal ont également montré que l'administration de glucocorticoïdes de synthèse pendant la gestation peut entraîner un risque accru de retard du développement intra-utérin et des pathologies cardio-vasculaires et/ou métaboliques à l'âge adulte, ainsi que des modifications permanentes de la densité des récepteurs des glucocorticoïdes, du métabolisme de neurotransmetteurs et du comportement.
  • +Les études de carcinogéniciont montré une incidence accrue de néoplasies hépatocellulaires primaires, d'astrocytomes (chez le rat mâle) et de tumeurs mammaires (chez le rat femelle). Ces tumeurs sont dues vraisemblablement à l'augmentation de la charge métabolique sur le foie et à des effets anaboliques, des effets également mis en évidence pour d'autres glucocorticostéroïdes lors d'études réalisées chez le rat, et qui constituent donc un effet de classe chez cette espèce.
  • +Toxicité sur la reproduction
  • +Le budésonide n'a pas eu d'effet sur la fertilité des rats. Chez l'animal gravide, le budésonide, comme d'autres glucocorticoïdes, a causé la mort des fœtus et provoqué des anomalies du développement fœtal (portée plus petite, retard de croissance intra-utérin et anomalies du squelette). Certains glucocorticoïdes ont été associés à l'apparition de fentes palatines chez l'animal. La pertinence clinique de ces observations n'est pas encore établie pour l'être humain (voir «Grossesse, Allaitement»).
  • -Influence sur les méthodes de diagnostic
  • -Non pertinent.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de 4 semaines après la première administration.
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Ne pas conserver au-dessus de 25 °C. Ne pas conserver au réfrigérateur ni congeler.
  • +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Stabilité après ouverture
  • +Délai d'utilisation après l'administration de la première pulvérisation: 4 semaines.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Ne pas conserver au-dessus de 25 °C.
  • +Ne pas conserver au réfrigérateur.
  • +Ne pas congeler.
  • +Conserver hors de portée des enfants.
  • +
  • -Le contenu du flacon est sous pression et contient 6,5 pour cent (poids/poids) de gaz propulseurs inflammables. Tenir à distance de sources d'ignition – y compris de cigarettes. Ne pas utiliser à proximité d'une flamme ou de matériel incandescent. Protéger du rayonnement solaire direct. Ne pas ouvrir de force, percer ou incinérer les flacons vides, même après les avoir utilisés entièrement.
  • +Le flacon est sous pression et contient 6,5 % en poids de gaz propulseurs inflammables. Maintenir à distance de toute source d'ignition – y compris la cigarette. Ne pas vaporiser à proximité d'une flamme ou de matières incandescentes. Protéger d'une exposition directe aux rayons du soleil. Ne pas forcer l'ouverture, percer ni incinérer les flacons vides, même usagés.
  • -Budenofalk mousse rectale 14 administrations. (B)
  • -Budenofalk mousse rectale 2 × 14 administrations. (B)
  • -Flacon sous pression en aluminium avec valve doseuse et 14 applicateurs en PVC recouverts de paraffine visqueuse et de vaseline blanche pour l'administration de la mousse, et 14 sachets en plastique pour l'élimination hygiénique des applicateurs. (B)
  • +Budenofalk mousse rectale 14 pulvérisations. (B)
  • +Budenofalk mousse rectale 2 x 14 pulvérisations. (B)
  • +Flacon sous pression en aluminium muni d'une valve doseuse avec 14 applicateurs en PVC recouverts de paraffine visqueuse et de vaseline blanche pour l'administration de la mousse et 14 sachets en plastique pour l'élimination hygiénique des applicateurs. (B)
  • -Dr. Falk Pharma AG, 8152 Opfikon
  • +Dr. Falk Pharma AG, 8152 Opfikon.
  • -Octobre 2018.
  • +Octobre 2020.
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