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Accueil - Information professionnelle sur Soliris 300 mg/30 ml - Changements - 24.08.2018
78 Changements de l'information professionelle Soliris 300 mg/30 ml
  • -Phosphate disodique heptahydrate
  • +Phosphate disodique heptahydrate
  • -de Syndrome Hémolytique et Urémique atypique (SHU atypique) (cf. « Propriétés / Effets »).
  • +de Syndrome Hémolytique et Urémique atypique (SHU atypique) (cf. « Propriétés / Effets »).
  • -·Phase d’entretien : 900 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes à la cinquième semaine, suivie de 900 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes tous les 14 jours, plus ou moins 2 jours (cf. « Propriétés / Effets »)
  • +·Phase d’entretien : 900 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes à la cinquième semaine, suivie de 900 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes tous les 14 jours, plus ou moins 2 jours (cf. « Propriétés / Effets »)
  • -·Phase d’entretien : 1200 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes à la cinquième semaine, suivie de 1200 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes tous les 14 jours ± 2 jours (cf. « Propriétés / Effets »).
  • +·Phase d’entretien : 1200 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes à la cinquième semaine, suivie de 1200 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes tous les 14 jours ± 2 jours (cf. « Propriétés / Effets »).
  • -Type d’intervention Dernière dose de Soliris Dose supplémentaire de Soliris Délai pour l’administration de la dose supplémentaire de Soliris
  • +Type d’intervention Dernière dose de Soliris Dose supplémentaire de Soliris après chaque intervention à type d’échange plasmatique ou de transfusion de plasma Délai pour l’administration de la dose supplémentaire de Soliris
  • -La solution diluée de Soliris doit être administrée par voie intraveineuse en 25 à 45 minutes chez les adultes et en 1 à 4 heures chez les patients pédiatriques en utilisant une perfusion par gravité, un pousseseringue ou une pompe volumétrique. Il n’est pas nécessaire de protéger la solution diluée de Soliris de la lumière pendant son administration au patient.
  • +La solution diluée de Soliris doit être administrée par voie intraveineuse en 25 à 45 minutes chez les adultes et en 1 à 4 heures chez les patients pédiatriques en utilisant une perfusion par gravité, un pousseseringue ou une pompe volumétrique. Il n’est pas nécessaire de protéger la solution diluée de Soliris de la lumière pendant son administration au patient.
  • -Insuffisance rénale : Aucun ajustement de la dose n’est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale. (cf. « Propriétés / Effets »).
  • +Insuffisance rénale : Aucun ajustement de la dose n’est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale. (cf. « Propriétés / Effets »).
  • -Ne pas commencer de traitement par Soliris chez les patients (cf. « Mise en garde et précautions ») :
  • +Ne pas commencer de traitement par Soliris chez les patients (cf. « Mise en garde et précautions ») :
  • -Du fait de son mécanisme d’action, l’utilisation de Soliris augmente la prédisposition du patient à une infection à méningocoque (Neisseria meningitidis). Ces patients peuvent présenter un risque d’infection par des types sérologiques rares ( X p. ex.), pouvant se traduire par la survenue d’une infection à méningocoque due à tout type sérologique. Pour réduire le risque d’infection, tous les patients doivent être vaccinés au moins 2 semaines avant l’administration de Soliris à moins que le risque de retarder le traitement par Soliris soit supérieur à celui de développer une infection à méningocoque. Les patients traités par Soliris dans un délai inférieur à 2 semaines après la vaccination antiméningoccocique doivent recevoir une antibioprophylaxie appropriée, jusqu’à 2 semaines après la vaccination. Dans la mesure où ils sont disponibles, les vaccins contre les types sérologiques A, C, Y, W135 et B sont recommandés dans la prévention des infections dues aux sérotypes méningococciques les plus souvent pathogènes. Les patients doivent être vaccinés ou revaccinés conformément aux recommandations vaccinales nationales. La vaccination peut ne pas suffire à éviter une infection à méningocoque. Les recommandations officielles relatives à l’utilisation appropriée d’antibactériens doivent être prises en compte. Des cas d’infections à méningocoque, graves ou d’évolution fatale, ont été rapportés chez des patients traités par Soliris. Tous les patients doivent être surveillés afin de dépister tout signe précoce d'infection à méningocoque, examinés immédiatement en cas de suspicion d’infection et traités par une antibiothérapie appropriée si nécessaire. Les patients doivent être informés des signes et symptômes, ainsi que de la conduite à tenir pour obtenir une prise en charge médicale immédiate.
  • +Du fait de son mécanisme d’action, l’utilisation de Soliris augmente la prédisposition du patient à une infection à méningocoque (Neisseria meningitidis). Une infection à méningocoque due à tout type sérologique peut survenir. Pour réduire le risque d’infection, tous les patients doivent être vaccinés au moins 2 semaines avant l’administration de Soliris à moins que le risque de retarder le traitement par Soliris soit supérieur à celui de développer une infection à méningocoque. Les patients pour lesquels le traitement par Soliris a été initié dans un délai inférieur à 2 semaines après la vaccination antiméningoccocique doivent recevoir une antibioprophylaxie appropriée, jusqu’à 2 semaines après la vaccination. Dans la mesure où ils sont disponibles, les vaccins contre les types sérologiques A, C, Y, W135 et B sont recommandés dans la prévention des infections dues aux sérotypes méningococciques les plus souvent pathogènes. Les patients doivent être vaccinés conformément aux recommandations vaccinales nationales.
  • +La vaccination peut suractiver le complément. Par conséquent, les patients souffrant de maladies médiées par le complément, dont l’HPN et le SHU atypique, peuvent présenter une augmentation des signes et des symptômes de leur pathologie sous-jacente, tels qu’une hémolyse (HPN) ou une MAT (SHU atypique). Les patients doivent donc être étroitement suivis, après avoir reçu la vaccination recommandée, pour surveiller les symptômes de leur maladie.
  • +La vaccination peut ne pas suffire à éviter une infection à méningocoque. Les recommandations officielles relatives à l’utilisation appropriée d’antibactériens doivent être prises en compte. Des cas d’infections à méningocoque, graves ou d’évolution fatale, ont été rapportés chez des patients traités par Soliris. Tous les patients doivent être surveillés afin de dépister tout signe précoce d'infection à méningocoque, examinés immédiatement en cas de suspicion d’infection et traités par une antibiothérapie appropriée si nécessaire. Les patients doivent être informés des signes et symptômes, ainsi que de la conduite à tenir pour obtenir une prise en charge médicale immédiate.
  • -Comme avec toutes les protéines thérapeutiques, l’administration de Soliris peut entraîner des réactions lors de la perfusion ou une immunogénicité susceptible de provoquer des réactions allergiques ou d’hypersensibilité (y compris une anaphylaxie) ; toutefois, dans les études avec Soliris dans l’HPN, le SHU atypique ou d’autres pathologies, les troubles du système immunitaire observés dans les 48 heures suivant l’administration de Soliris n’étaient pas différents de ceux observés sous placebo. Au cours des essais cliniques, aucun patient atteind d’HPN ou de SHU atypique n’a présenté de réaction à la perfusion ayant nécessité l’arrêt du traitement par Soliris. L’administration de Soliris doit être interrompue chez tous les patients présentant des réactions sévères à la perfusion ; ceux-ci doivent alors recevoir un traitement médical approprié.
  • +Comme avec toutes les protéines thérapeutiques, l’administration de Soliris peut entraîner des réactions lors de la perfusion ou une immunogénicité susceptible de provoquer des réactions allergiques ou d’hypersensibilité (y compris une anaphylaxie) ; toutefois, dans les études avec Soliris dans l’HPN, le SHU atypique ou d’autres pathologies, les troubles du système immunitaire observés dans les 48 heures suivant l’administration de Soliris n’étaient pas différents de ceux observés sous placebo. Au cours des essais cliniques, aucun patient atteint d’HPN ou de SHU atypique n’a présenté de réaction à la perfusion ayant nécessité l’arrêt du traitement par Soliris. L’administration de Soliris doit être interrompue chez tous les patients présentant des réactions sévères à la perfusion ; ceux-ci doivent alors recevoir un traitement médical approprié.
  • -Dans de rares cas, des réponses en anticorps ont été détectées chez les patients traités par Soliris au cours de toutes les études cliniques. Dans les études contrôlées versus placebo, de faible taux d’anticorps ont été rapportés avec une fréquence (3,4 %) similaire à celle observée sous placebo (4,8 %). Chez des patients atteints de SHU atypique traités par Soliris, des anticorps dirigés contre Soliris ont été détectés chez 3 patients sur 100 (3%) par un test ECL.
  • -1 patient atteint de SHU atypique sur 100 (1%) avait de faibles valeurs positives en anticorps neutralisant. Il n’a pas été observé de corrélation entre le développement d’anticorps et la réponse clinique ou les effets indésirables.
  • +Dans de rares cas, des réponses en anticorps ont été détectées chez les patients traités par Soliris au cours de toutes les études cliniques. Dans les études contrôlées versus placebo, de faible taux d’anticorps ont été rapportés avec une fréquence (3,4 %) similaire à celle observée sous placebo (4,8 %). Chez des patients atteints de SHU atypique traités par Soliris, des anticorps dirigés contre Soliris ont été détectés chez 3 patients sur 100 (3%) par un test ECL.
  • +1 patient atteint de SHU atypique sur 100 (1%) avait de faibles valeurs positives en anticorps neutralisant. Il n’a pas été observé de corrélation entre le développement d’anticorps et la réponse clinique ou les effets indésirables.
  • -Avant de débuter un traitement par Soliris, il est recommandé que les patients atteints d‘HPN ou de SHU atypique soient vaccinés conformément aux recommandations vaccinales en vigueur. De plus, tous les patients doivent être vaccinés contre le méningocoque au moins 2 semaines avant d’administrer le traitement par Soliris à moins que le risque de retarder le traitement par Soliris soit supérieur à celui de développer une infection à méningocoque. Les patients traités par Soliris dans un délai inférieur à 2 semaines après la vaccination antiméningoccocique doivent recevoir une antibioprophylaxie appropriée, jusqu’à 2 semaines après la vaccination. Dans la mesure où ils sont disponibles, les vaccins contre les types sérologiques A, C, Y, W 135 et B sont recommandés dans la prévention des infections dues aux sérotypes méningococciques les plus souvent pathogènes. (cf. Infection à méningocoque).
  • -Les patients âgés de moins de 18 ans doivent être vaccinés contre les infections à Haemophilus influenza et à pneumocoque, et conformément aux recommandations vaccinales nationales valables pour chaque tranche d’âge
  • +Avant de débuter un traitement par Soliris, il est recommandé que les patients atteints d‘HPN ou de SHU atypique soient vaccinés conformément aux recommandations vaccinales en vigueur. De plus, tous les patients doivent être vaccinés contre les infections à méningocoque au moins 2 semaines avant d’administrer le traitement par Soliris à moins que le risque de retarder le traitement par Soliris soit supérieur à celui de développer une infection à méningocoque. Les patients pour lesquels le traitement par Soliris a été initié dans un délai inférieur à 2 semaines après la vaccination antiméningoccocique doivent recevoir une antibioprophylaxie appropriée, jusqu’à 2 semaines après la vaccination. Dans la mesure où ils sont disponibles, les vaccins contre les types sérologiques A, C, Y, W 135 et B sont recommandés dans la prévention des infections dues aux sérotypes méningococciques les plus souvent pathogènes. (cf. Infection à méningocoque).
  • +Les patients âgés de moins de 18 ans doivent être vaccinés contre les infections à Haemophilus influenza et à pneumocoque, et conformément aux recommandations vaccinales nationales valables pour chaque tranche d’âge.
  • +La vaccination peut suractiver le complément. Par conséquent, les patients souffrant de maladies médiées par le complément, dont l’HPN et le SHU atypique, peuvent présenter une augmentation des signes et des symptômes de leur pathologie sous-jacente, tels qu’une hémolyse (HPN) ou une MAT (SHU atypique). Les patients doivent donc être étroitement suivis, après avoir reçu la vaccination recommandée, pour surveiller les symptômes de leur maladie.
  • -Une interruption du traitement doit être médicalement justifiée. Les patients qui interrompent le traitement par Soliris doivent être étroitement suivis afin de dépister tout signe ou symptôme d’hémolyse intravasculaire grave. Une hémolyse grave est mise en évidence par des taux sériques de LDH supérieurs au taux de LDH avant traitement, associés à l’un des signes suivants : baisse absolue de la taille du clone HPN supérieure à 25% en une semaine ou moins (en l’absence de dilution due à la transfusion), taux d’hémoglobine < 5 g/dl ou baisse du taux d’hémoglobine > 4 g/dl en une semaine ou moins ; angor, modification de l’état mental, augmentation de 50 % du taux sérique de créatinine ou thrombose. La surveillance de tout patient interrompant le traitement par Soliris doit se poursuivre pendant au moins 8 semaines pour détecter toute hémolyse grave et toute autre réaction.
  • -En cas d’apparition d’une hémolyse grave après l’arrêt du traitement par Soliris, les procédures/traitements suivants doivent être envisagés : transfusion sanguine (concentrés erythrocytaires) ou exsanguinotransfusion si le clone HPN érythrocytaire est > 50% des érythrocytes totaux, en cytométrie en flux, traitements anticoagulants, corticostéroïdes ou reprise du traitement par Soliris. Dans les études cliniques portant sur des patients atteints d’HPN, 16 patients ont interrompu le traitement par Soliris. Aucune hémolyse grave n’a été observée.
  • +Une interruption du traitement doit être médicalement justifiée. Les patients qui interrompent le traitement par Soliris doivent être étroitement suivis afin de dépister tout signe ou symptôme d’hémolyse intravasculaire grave. Une hémolyse grave est mise en évidence par des taux sériques de LDH supérieurs au taux de LDH avant traitement, associés à l’un des signes suivants : baisse absolue de la taille du clone HPN supérieure à 25% en une semaine ou moins (en l’absence de dilution due à la transfusion), taux d’hémoglobine < 5 g/dl ou baisse du taux d’hémoglobine > 4 g/dl en une semaine ou moins ; angor, modification de l’état mental, augmentation de 50 % du taux sérique de créatinine ou thrombose. La surveillance de tout patient interrompant le traitement par Soliris doit se poursuivre pendant au moins 8 semaines pour détecter toute hémolyse grave et toute autre réaction.
  • +En cas d’apparition d’une hémolyse grave après l’arrêt du traitement par Soliris, les procédures/traitements suivants doivent être envisagés : transfusion sanguine (concentrés érythrocytaires) ou exsanguinotransfusion si le clone HPN érythrocytaire est > 50% des érythrocytes totaux, en cytométrie en flux, traitements anticoagulants, corticostéroïdes ou reprise du traitement par Soliris. Dans les études cliniques portant sur des patients atteints d’HPN, 16 patients ont interrompu le traitement par Soliris. Aucune hémolyse grave n’a été observée.
  • -Tous les médecins ayant l’intention de prescrire Soliris doivent s’assurer qu’ils ont pris connaissance du guide de prescription médecin. Les médecins doivent discuter avec les patients des bénéfices et des risques du traitement par Soliris, et leur remettre le guide d’information patient et la carte de surveillance patient. Les patients devront être informés qu’en cas de fièvre, maux de tête accompagnés de fièvre et/ou de raideur de la nuque ou de sensibilité à la lumière, ils doivent solliciter immédiatement des soins médicaux car ces signes peuvent être évocateurs d’une infection à méningoccoque.
  • +Tous les médecins ayant l’intention de prescrire Soliris doivent s’assurer qu’ils ont pris connaissance du guide de prescription médecin. Les médecins doivent discuter avec les patients des bénéfices et des risques du traitement par Soliris, et leur remettre le guide d’information patient et la carte de surveillance patient. Les patients devront être informés qu’en cas de fièvre, maux de tête accompagnés de fièvre et/ou de raideur de la nuque ou de sensibilité à la lumière, ils doivent solliciter immédiatement des soins médicaux car ces signes peuvent être évocateurs d’une infection à méningocoque.
  • -Aucune donnée clinique n’est disponible chez les femmes enceintes traitées par Soliris.
  • +Aucune donnée clinique n’est disponible chez les femmes enceintes traitées par Soliris.
  • -Comme les IgG humaines traversent la barrière placentaire maternelle, l’eculizumab peut provoquer une inhibition de la voie terminale du complément dans la circulation du fœtus. Par conséquent, Soliris ne doit être administré à une femme enceinte que si son utilisation est nécessaire. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement et jusqu’à 5 mois après l’arrêt du traitement.
  • +Comme les IgG humaines traversent la barrière placentaire maternelle, l’eculizumab peut provoquer une inhibition de la voie terminale du complément dans la circulation du fœtus. Par conséquent, Soliris ne doit être administré à une femme enceinte que si son utilisation est nécessaire. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception efficace pendant le traitement et jusqu’à 5 mois après l’arrêt du traitement.
  • -On ne sait pas si l’eculizumab est excrété dans le lait maternel. Puisque de nombreux médicaments et immunoglobulines sont excrétés dans le lait maternel et étant donné la possibilité de réactions indésirables graves chez les nourrissons allaités, l’allaitement doit être interrompu au cours du traitement avec Soliris et jusqu’à 5 mois après l’arrêt du traitement.
  • +On ne sait pas si l’eculizumab est excrété dans le lait maternel. Puisque de nombreux médicaments et immunoglobulines sont excrétés dans le lait maternel et étant donné la possibilité de réactions indésirables graves chez les nourrissons allaités, l’allaitement doit être interrompu au cours du traitement avec Soliris et jusqu’à 5 mois après l’arrêt du traitement.
  • -Les effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n’ont pas été étudiés.
  • +Les effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n’ont pas été étudiés.
  • -Tableau 1 : Effets indésirables rapportées chez 302 patients inclus dans des études cliniques dans l’HPN, dans le SHU atypique et après la mise sur le marché
  • -Classes de systèmes d’organes MedDRA Très fréquent (> 1/10) Fréquent (≥1/100, < 1/10) Peu Fréquent (≥ 1/1000, <1/100)
  • -Infections et infestations Septicémie à méningocoque, Infection à Aspergillus, Arthrite bactérienne, Infection des voies respiratoires supérieures, Rhinopharyngite, Bronchite, Herpès labial, Infection des voies urinaires, Infection virale Méningite méningococcique, Infection à Neisseria, Septicémie, Choc septique, Pneumonie, Infection des voies respiratoires inférieures, Infection fongique, Infection à Haemophilus influenzae, Abcès, Cellulite, Grippe, Infection gastro-intestinale, Cystite, Infection gingivale, Infection, Sinusite, Impetigo, Infection dentaire
  • -Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl. kystes et polypes) Mélanome malin, Syndrome Myélodysplasique
  • -Affections hématologiques et du système lymphatique Thrombocytopénie, hémolyse*, Leucopénie Troubles de la coagulation agglutination des globules rouges, Facteur de coagulation anormal, Anémie, Lymphopénie
  • -Affections du système immunitaire Réaction anaphylactique Hypersensibilité
  • -Affections endocriniennes Maladie de Basedow
  • -Troubles du métabolisme et de la nutrition Diminution de l’appétit Anorexie,
  • -Affections psychiatriques Anxiété, Dépression, Insomnie, Rêves anormaux, Troubles de l’humeur, Trouble du sommeil
  • -Affections du système nerveux Céphalée (27.5%) Sensation vertigineuse, Dysgueusie, Paresthésie, Syncope, Tremblement
  • -Affections oculaires Irritation conjonctivale, Vision floue
  • -Affections de l’oreille et du labyrinthe Acouphène, Vertige
  • -Affections cardiaques Palpitation
  • -Affections vasculaires Hypotension, Bouffées de chaleur, Hématome, Hypertension artérielle accélérée, Hypertension, Trouble veineux
  • -Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Congestion nasale, Douleur pharyngo-laryngée, Dyspnée, Rhinorrhée, Toux Epistaxis, Irritation de la gorge
  • -Affections gastro-intestinales Douleur abdominale, constipation, diarrhée, dyspepsie, nausée, vomissement Météorisme abdominal, reflux gastro-oesophagien, douleur gingivale, Péritonite
  • -Affections hépatobiliaires Ictère
  • -Affections de la peau et du tissu sous-cutané Alopécie, Prurit, Eruption cutanée Hyperhidrose, Pétéchie, Dépigmentation cutanée, Urticaire, Dermatite, Erythème, Peau sèche
  • -Affections musculo-squelettiques et systémiques Arthralgie, Lombalgie, Myalgie, Spasme musculaire, Douleur de la nuque, Douleur osseuse, Douleur des extrémités Tuméfaction articulaire, Trismus
  • -Affections du rein et des voies urinaires Atteinte de la fonction rénale, Hématurie, Dysurie
  • -Affections des organes de reproduction et du sein Dysménorrhée, Erection spontanée
  • -Troubles généraux et anomalies au site d’administration Gêne thoracique, Frissons, Fatigue, Asthénie, Oedème, Fièvre, Syndrome grippal Douleur thoracique, Paresthésie au site de perfusion, Douleur au site d’injection, Sensation de chaleur, Extravasion
  • -Investigations Test de Coombs positif* Augmentation ALAT (Alanine aminotransferase), ASAT (Aspartate aminotransferase), gamma-GT (Gammaglutamyltransferase), Hématocrite diminuée, Hémoglobine diminuée
  • -Lésions, intoxications et complications liées aux procédures Réaction à la perfusion
  • +Tableau 1 : Effets indésirables rapportés chez 1284 patients inclus dans toutes les études cliniques menées avec l’eculizumab, incluant des patients atteints d’HPN et de SHU atypique, ainsi qu’après la mise sur le marché
  • +Classes de systèmes d’organes MedDRA Très fréquent (> 1/10) Fréquent (≥1/100, < 1/10) Peu Fréquent (≥ 1/1000, <1/100) Rare (≥ 1/10.000, < 1/1000)
  • +Infections et infestations Pneumonie, Infection des voies respiratoires supérieures, Rhinopharyngite, Infection des voies urinaires Infection méningococciqueb, Septicémie, Choc septique, Infection fongique, Infection virale, Bronchite, Herpès labial, Abcès, Cellulite, Grippe, Infection gastro-intestinale, Cystite, Infection, Sinusite, Infection dentaire Infection à Aspergillusa, Arthrite bactérienne, Infection gonococcique des voies génito-urinaires, Infection des voies respiratoires inférieures, Infection à Haemophilus influenzae, Impetigo, Infection gingivale
  • +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (incl. kystes et polypes) Mélanome malin, Syndrome myélodysplasique
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique Leucopénie, Anémie Thrombocytopénie, Lymphopénie Hémolyse*, Facteur de coagulation anormal, Agglutination des globules rouges, Troubles de la coagulation
  • +Affections du système immunitaire Réaction anaphylactique, Hypersensibilité
  • +Affections endocriniennes Maladie de Basedow
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition Diminution de l’appétit
  • +Affections psychiatriques Insomnie Anxiété, Dépression, Troubles de l’humeur Rêves anormaux, Trouble du sommeil
  • +Affections du système nerveux Céphalée Sensation vertigineuse, Dysgueusie, Tremblement Paresthésie Syncope
  • +Affections oculaires Vision floue Irritation conjonctivale
  • +Affections de l’oreille et du labyrinthe Acouphène, Vertige
  • +Affections cardiaques Palpitation
  • +Affections vasculaires Hypertension Hypertension artérielle accélérée, Hypotension, Bouffées de chaleur, Trouble veineux Hématome
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales Douleur oropharyngée, Toux Dyspnée, Epistaxis, Irritation de la gorge, Congestion nasale, Rhinorrhée
  • +Affections gastro-intestinales Douleur abdominale, Diarrhée, Nausée, Vomissement Péritonite, Constipation, Dyspepsie, Météorisme abdominal Reflux gastro-œsophagien, Douleur gingivale
  • +Affections hépatobiliaires Ictère
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Eruption cutanée, Alopécie, Prurit Urticaire, Erythème, Pétéchie, Hyperhidrose, Peau sèche Dermatite, Dépigmentation cutanée
  • +Affections musculo-squelettiques et systémiques Arthralgie, Myalgie, Douleur des extrémités Spasme musculaire, Douleur osseuse, Lombalgie, Douleur de la nuque, Tuméfaction articulaire Trismus
  • +Affections du rein et des voies urinaires Atteinte de la fonction rénale, Dysurie Hématurie
  • +Affections des organes de reproduction et du sein Erection spontanée Trouble du cycle menstruel
  • +Troubles généraux et anomalies au site d’administration Fièvre, Frissons, Fatigue, Syndrome grippal Œdème, Gêne thoracique, Asthénie, Douleur thoracique, Douleurs au site d’injection Extravasion, Paresthésie au site de perfusion, Sensation de chaleur
  • +Investigations Augmentation ALAT (alanine aminotransférase), ASAT (aspartate aminotransférase), gamma-GT (gammaglutamyltransférase), Hématocrite diminué, Hémoglobine diminuée Test de Coombs positif
  • +Lésions, intoxications et complications liées aux procédures Réaction à la perfusion
  • +aEffets indésirables identifiés après la mise sur le marché
  • +bLe terme « infection méningococcique » inclut le groupe de Preferred Terms (PT) suivants: septicémie méningococcique, méningite méningococcique, infection à Neisseria
  • +
  • -Dans toutes les études cliniques sur l’HPN et le SHU atypique, l’effet indésirable le plus grave était la septicémie méningococcique (cf. « Mises en garde et précautions »)..
  • +Dans toutes les études cliniques, incluant les études cliniques menées dans l’HPN et le SHU atypique, l’effet indésirable le plus grave était la septicémie méningococcique (cf. « Mises en garde et précautions »).
  • -Chez les patients atteints de SHU atypique, le profil de sécurité chez l’adolescent (âgé de 12 à moins de 18 ans) est cohérent avec celui observé chez l’adulte. Chez les patients pédiatriques atteints de SHU atypique (âgés de 2 mois à moins de 18 ans) inclus dans les études C08-002, C08-003, C09-001r et C10-003 le profil de sécurité apparait similaire à celui observé chez l’adulte atteints de SHU atypique. Le profil de sécurité dans les différents sous-groupes d’âge pédiatriques apparait similaire
  • +Chez les patients atteints de SHU atypique, le profil de sécurité chez l’adolescent (âgé de 12 à moins de 18 ans) est cohérent avec celui observé chez l’adulte. Chez les patients pédiatriques atteints de SHU atypique (âgés de 2 mois à moins de 18 ans) inclus dans les études C08-002, C08-003, C09-001r et C10-003 le profil de sécurité apparait similaire à celui observé chez l’adulte atteints de SHU atypique. Le profil de sécurité dans les différents sous-groupes d’âge pédiatriques apparait similaire
  • -Des données de sécurité supplémentaires ont été obtenues au cours de 11 études cliniques incluant 716 patients exposés à l’eculizumab et qui ont été menées dans six pathologies autres que l’HPN et le SHU atypique. Un patient non vacciné avec le diagnostic de glomérulonéphropathie membraneuse idiopathique a présenté une méningite à méningocoque. En ce qui concerne les autres effets indésirables, compte tenu de toutes les études menées en double aveugle et contrôlées contre placebo chez des patients diagnostiqués comme atteints de maladies autres que l’HPN (N=526 patients sous Soliris ; N=221 patients sous placebo), les effets indésirables rapportés sous Soliris avec une fréquence de 2 % ou plus que la fréquence signalée sous placebo étaient : infection des voies respiratoires supérieures, éruption cutanée et lésions.
  • +Des données de sécurité supplémentaires ont été obtenues au cours de 13 études cliniques incluant 982 patients exposés à l’eculizumab et qui ont été menées dans six pathologies autres que l’HPN et le SHU atypique. Un patient non vacciné avec le diagnostic de glomérulonéphropathie membraneuse idiopathique a présenté une méningite à méningocoque. Les effets indésirables rapportés chez les patients atteints de pathologies autres que l’HPN ou le SHU atypique étaient similaires à ceux rapportés chez les patients atteints d’HPN ou de SHU atypique (voir le tableau 1 ci-dessus). Aucun effet indésirable spécifique n’a été mis en évidence à partir de ces études cliniques.
  • -Dans l’étude C04-001 (TRIUMPH), des patients atteints d’HPN ayant reçu au moins 4 transfusions au cours des 12 mois précédents, avec au moins 10 % de cellules HPN confirmé par une cytométrie en flux et dont la numération plaquettaire était d’au moins 100 000/microlitre, ont été randomisés soit dans le groupe Soliris (n = 43) soit dans le groupe placebo (n = 44). Avant la randomisation, tous les patients ont participé à une période d’observation initiale pour confirmer le besoin d’une transfusion de globules rouges et identifier la concentration d’hémoglobine (le point de référence) qui définirait les résultats de stabilisation de l’hémoglobine et de transfusion de chaque patient. Le point de référence de l’hémoglobine était inférieur ou égal à 9 g/dl chez les patients symptomatiques et inférieur ou égal à 7 g/dl chez les patients asymptomatiques. Les critères principaux d’efficacité étaient la stabilisation de l’hémoglobine (patients conservant une concentration en hémoglobine supérieure au point de référence de l’hémoglobine et n’ayant eu recours à aucune transfusion pendant les 26 semaines) et le recours à une transfusion sanguine. Les critères secondaires pertinents étaient la fatigue et la qualité de vie liée à l’état de santé. L’hémolyse était contrôlée principalement par la mesure des taux sériques de LDH et le pourcentage de globules rouges HPN était contrôlé par cytométrie en flux. Les patients recevant des anticoagulants et des corticostéroïdes systémiques à l’état basal ont poursuivi ces traitements. Les principales caractéristiques démographiques initiales étaient comparables (cf. tableau 2).
  • +Dans l’étude C04-001 (TRIUMPH), des patients atteints d’HPN ayant reçu au moins 4 transfusions au cours des 12 mois précédents, avec au moins 10 % de cellules HPN confirmé par une cytométrie en flux et dont la numération plaquettaire était d’au moins 100 000/microlitre, ont été randomisés soit dans le groupe Soliris (n = 43) soit dans le groupe placebo (n = 44). Avant la randomisation, tous les patients ont participé à une période d’observation initiale pour confirmer le besoin d’une transfusion de globules rouges et identifier la concentration d’hémoglobine (le point de référence) qui définirait les résultats de stabilisation de l’hémoglobine et de transfusion de chaque patient. Le point de référence de l’hémoglobine était inférieur ou égal à 9 g/dl chez les patients symptomatiques et inférieur ou égal à 7 g/dl chez les patients asymptomatiques. Les critères principaux d’efficacité étaient la stabilisation de l’hémoglobine (patients conservant une concentration en hémoglobine supérieure au point de référence de l’hémoglobine et n’ayant eu recours à aucune transfusion pendant les 26 semaines) et le recours à une transfusion sanguine. Les critères secondaires pertinents étaient la fatigue et la qualité de vie liée à l’état de santé. L’hémolyse était contrôlée principalement par la mesure des taux sériques de LDH et le pourcentage de globules rouges HPN était contrôlé par cytométrie en flux. Les patients recevant des anticoagulants et des corticostéroïdes systémiques à l’état basal ont poursuivi ces traitements. Les principales caractéristiques démographiques initiales étaient comparables (cf. tableau 2).
  • -Concentrés érythrocytaires transfusés pendant le traitement (médiane) 10 0 < 0,001 0 < 0,001
  • +Concentrés érythrocytaires transfusés pendant le traitement (médiane) 10 0 < 0,001 0 < 0,001
  • -Dans le registre HPN, une réduction de l’hémolyse et des symptômes associés a été observée chez les patients traités par Soliris. À 6 mois, les patients sans antécédent transfusionnel de culots globulaires et traités avec SOLIRIS avaient des taux de LDH significativement (p<0.001) réduits par rapport à l’inclusion (taux de LDH médian de 305 UI/l ; Tableau 4). De plus, 74 % des patients traités par Soliris ont présenté des améliorations cliniques significatives du score FACIT-Fatigue (soit une augmentation de 4 points ou plus) et 84 % ont présenté des améliorations cliniques significatives du score de fatigue EORTC (soit une diminution de 10 points ou plus).
  • +Dans le registre HPN, une réduction de l’hémolyse et des symptômes associés a été observée chez les patients traités par Soliris. À 6 mois, les patients sans antécédent transfusionnel de culots globulaires et traités avec SOLIRIS avaient des taux de LDH significativement (p<0.001) réduits par rapport à l’inclusion (taux de LDH médian de 305 UI/l ; Tableau 4). De plus, 74 % des patients sans antécédents de transfusion traités par Soliris ont présenté des améliorations cliniques significatives du score FACIT-Fatigue (soit une augmentation de 4 points ou plus) et 84 % ont présenté des améliorations cliniques significatives du score de fatigue EORTC (soit une diminution de 10 points ou plus).
  • -Les patients étaient vaccinés contre les infections à méningocoque avant le traitement par Soliris ou ont reçu une antibioprophylaxie appropriée jusqu’à 2 semaines après la vaccination. Dans toutes les études, la dose de Soliris chez l’adulte et l’adolescent atteints de SHU atypique a été de 900 mg tous les 7 jours ± 2 jours pendant 4 semaines, suivie de 1200 mg 7 jours ± 2 jours plus tard, puis 1200 mg tous les 14 jours ± 2 jours pour la durée de l’étude. Soliris a été administré en perfusion intraveineuse pendant 35 minutes. Le schéma posologique chez les patients pédiatriques et les adolescents de moins de 40 kg a été défini sur la base d’une modélisation pharmacocinétique qui a permis de déterminer les doses recommandées et le rythme d’administration en fonction du poids corporel (cf. « Posologie / Mode d’emploi »).
  • +Les patients étaient vaccinés contre les infections à méningocoque avant le traitement par Soliris ou ont reçu une antibioprophylaxie appropriée jusqu’à 2 semaines après la vaccination. Dans toutes les études, la dose de Soliris chez l’adulte et l’adolescent atteints de SHU atypique a été de 900 mg tous les 7 jours ± 2 jours pendant 4 semaines, suivie de 1200 mg 7 jours ± 2 jours plus tard, puis 1200 mg tous les 14 jours ± 2 jours pour la durée de l’étude. Soliris a été administré en perfusion intraveineuse pendant 35 minutes. Le schéma posologique chez les patients pédiatriques et les adolescents de moins de 40 kg a été défini sur la base d’une modélisation pharmacocinétique qui a permis de déterminer les doses recommandées et le rythme d’administration en fonction du poids corporel (cf. « Posologie / Mode d’emploi »).
  • -L’étude C10-004 a inclus 41 patients qui présentaient des signes de microangiopathie thrombotique (MAT). Pour être inclus, les patients devaient avoir : un taux de plaquette au-dessous de la limite inférieure de la normale (LIN), des signes d’hémolyse comme une élévation du taux de LDH sérique, et une créatininémie au-dessus de la limite supérieure de la normale sans avoir recours à la dialyse chronique. L’âge médian des patients était de 35 ans (entre 18 et 80 ans). Tous les patients inclus dans l’étude C10-004 avaient un taux d’ADAMTS-13 au-dessus de 5 %. 51 % des patients avaient une mutation identifiée d’un facteur de régulation du complément ou des auto-anticorps. Au total, 35 patients ont reçu une PP ou un EP, ou une transfusion de PFC avant l’initiation de l’eculizumab. Le tableau 6 résume les caractéristiques cliniques et les caractéristiques liées à la maladie des patients à l’inclusion dans l’étude C10-004.
  • +L’étude C10-004 a inclus 41 patients qui présentaient des signes de microangiopathie thrombotique (MAT). Pour être inclus, les patients devaient avoir : un taux de plaquette au-dessous de la limite inférieure de la normale (LIN), des signes d’hémolyse comme une élévation du taux de LDH sérique, et une créatininémie au-dessus de la limite supérieure de la normale sans avoir recours à la dialyse chronique. L’âge médian des patients était de 35 ans (entre 18 et 80 ans). Tous les patients inclus dans l’étude C10-004 avaient un taux d’ADAMTS-13 au-dessus de 5 %. 51 % des patients avaient une mutation identifiée d’un facteur de régulation du complément ou des auto-anticorps. Au total, 35 patients ont reçu une PP ou un EP, ou une transfusion de PFC avant l’initiation de l’eculizumab. Le tableau 7 résume les caractéristiques cliniques et les caractéristiques liées à la maladie des patients à l’inclusion dans l’étude C10-004.
  • -Les patients de l’étude C10-004, ont reçu Soliris pendant au minimum 26 semaines. Après la fin de la période initiale de traitement de 26 semaines, la plupart des patients ont choisi de poursuivre le traitement de façon chronique. A la date de point, la durée médiane de traitement par Soliris était approximativement de 50 semaines (entre 13 et 86 semaines).
  • +Les patients de l’étude C10-004, ont reçu Soliris pendant au minimum 26 semaines. Après la fin de la période initiale de traitement de 26 semaines, la plupart des patients ont choisi de poursuivre le traitement de façon chronique. A la date de point, la durée médiane de traitement par Soliris était approximativement de 50 semaines (entre 13 et 86 semaines).
  • -Tableau 8 : Résultats d’éfficacité de l’étude prospective C10-004 dans le SHU atypique
  • +Tableau 8 : Résultats d’efficacité de l’étude prospective C10-004 dans le SHU atypique
  • -Réponse complète de la MAT, n (%) Durée de la réponse complète de la MAT, médiane en semaine (min, max) 23 (56) 42 (6, 74)
  • +Réponse complète de la MAT, n (%) Durée de la réponse complète de la MAT, médiane en semaine (min, max) 23 (56) 42 (6, 74)
  • -La fonction rénale, évaluée par le DFGe a été améliorée lors du traitement par Soliris. 9 des 11 patients qui avaient recours à la dialyse à l’inclusion n’en avaient plus besoin au 15e jour du traitement par Soliris. Les réponses étaient similaires quel que soit l’âge des patients allant de 5 mois à 17 ans. Dans l’étude C10-003, les réponses au traitement par Soliris étaient similaires chez les patients avec ou sans mutation identifiée des gènes codant pour les protéines régulatrices du complément ou des auto-anticorps dirigés contre le facteur H.
  • +La fonction rénale, évaluée par le DFGe a été améliorée lors du traitement par Soliris. 9 des 11 patients qui avaient recours à la dialyse à l’inclusion n’en avaient plus besoin au 15e jour du traitement par Soliris. Les réponses étaient similaires quel que soit l’âge des patients allant de 5 mois à 17 ans. Dans l’étude C10-003, les réponses au traitement par Soliris étaient similaires chez les patients avec ou sans mutation identifiée des gènes codant pour les protéines régulatrices du complément ou des auto-anticorps dirigés contre le facteur H.
  • -La clairance et la demi-vie de l’eculizumab ont été également évaluées lors d’échanges plasmatiques. Un échange plasmatique d’1 heure entraîne une réduction d’environ 50 % des concentrations d’eculizumab et la demi-vie d’élimination de l’eculizumab a été réduite de 1,3 heures. Des doses supplémentaires sont recommandées quand Soliris est administré à des patients atteints de SHU atypique recevant une PP ou un EP, ou une transfusion de PFC (cf. « posologie / Mode d’emploi »).
  • +La clairance et la demi-vie de l’eculizumab ont été également évaluées lors d’échanges plasmatiques. Un échange plasmatique d’1 heure entraîne une réduction d’environ 50 % des concentrations d’eculizumab et la demi-vie d’élimination de l’eculizumab a été réduite de 1,3 heures. Des doses supplémentaires sont recommandées quand Soliris est administré à des patients atteints de SHU atypique recevant une PP ou un EP, ou une transfusion de PFC (cf. « posologie / Mode d’emploi »).
  • -Aucune étude spécifique n’a été menée afin d’évaluer la pharmacocinétique de Soliris chez des populations particulières de patients atteints d’HPN en fonction du sexe, de la race, de l’âge (gériatrique) ou d’une insuffisance rénale ou hépatique.
  • +Aucune étude dédiée n’a été menée afin d’évaluer la pharmacocinétique de Soliris chez des populations particulières de patients atteints d’HPN identifiées en fonction du sexe, de la race, de l’âge (gériatrique) ou par la présence d’une insuffisance rénale ou hépatique.
  • -Données précliniques
  • +Données précliniques
  • -Après dilution, le médicament doit être utilisé immédiatement. Toutefois, la stabilité chimique et physique a été démontrée pendant 24 heures à une température comprise entre +2 °C et +8 °C.
  • +Après dilution, le médicament doit être utilisé immédiatement. Toutefois, la stabilité chimique et physique a été démontrée pendant 24 heures à une température comprise entre +2 °C et +8 °C.
  • -Avant administration, la solution de Soliris doit être inspectée visuellement afin de vérifier l’absence de particules et changement de couleur. La solution de Soliris est limpide et incolore.
  • +Avant administration, la solution de Soliris doit être inspectée visuellement afin de vérifier l’absence de particules et changement de couleur. La solution de Soliris est limpide et incolore.
  • -·Le volume final de la solution diluée à 5 mg/ml est de 120 ml pour des doses de 600 mg ou 180 ml pour des doses de 900 mg. La solution doit être limpide et incolore.
  • +·Le volume final de la solution diluée à 5 mg/ml est de 120 ml pour des doses de 600 mg ou 180 ml pour des doses de 900 mg. La solution doit être limpide et incolore.
  • -Giesshübelstrasse 20
  • +Giesshübelstrasse 30
  • -Août 2016
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