42 Changements de l'information professionelle Soliris 300 mg/30 ml |
-·Phase initiale : 600 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes chaque semaine pendant les 4 premières semaines.
-·Phase d’entretien : 900 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes à la cinquième semaine, suivie de 900 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes tous les 14 jours ± 2 jours (voir «Propriétés / Effets»).
- +·Phase initiale : 600 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes (35 ± 10 minutes) chaque semaine pendant les 4 premières semaines.
- +·Phase d’entretien : 900 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes (35 ± 10 minutes) à la cinquième semaine, suivie de 900 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes (35 ± 10 minutes) tous les 14 jours ± 2 jours (voir «Propriétés / Effets»).
-·Phase initiale : 900 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes chaque semaine pendant les 4 premières semaines.
-·Phase d’entretien : 1200 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes à la cinquième semaine, suivie de 1200 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes tous les 14 jours ± 2 jours (voir «Propriétés / Effets»).
- +·Phase initiale : 900 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes (35 ± 10 minutes) chaque semaine pendant les 4 premières semaines.
- +·Phase d’entretien : 1200 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes (35 ± 10 minutes) à la cinquième semaine, suivie de 1200 mg de Soliris par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes (35 ± 10 minutes) tous les 14 jours ± 2 jours (voir «Propriétés / Effets»).
-La solution diluée de Soliris doit être administrée par voie intraveineuse en 25 à 45 minutes chez les adultes et en 1 à 4 heures chez les patients pédiatriques en utilisant une perfusion par gravité, un pousse-seringue ou une pompe volumétrique. Il n’est pas nécessaire de protéger la solution diluée de Soliris de la lumière pendant son administration au patient.
-Les patients doivent être surveillés pendant l’heure qui suit la perfusion. Si un effet indésirable se produit pendant l’administration de Soliris, la perfusion peut être ralentie ou interrompue sur décision du médecin. Si la perfusion est ralentie, la durée totale de perfusion ne peut dépasser deux heures chez l’adulte et l’adolescent et quatre heures chez l’enfant de moins de 12 ans.
- +La solution diluée de Soliris doit être administrée par voie intraveineuse en 25 à 45 minutes (35 ± 10 minutes) chez les adultes et en 1 à 4 heures chez les patients pédiatriques de moins de 18 ans en utilisant une perfusion par gravité, un pousse-seringue ou une pompe volumétrique. Il n’est pas nécessaire de protéger la solution diluée de Soliris de la lumière pendant son administration au patient.
- +Les patients doivent être surveillés pendant l’heure qui suit la perfusion. Si un effet indésirable se produit pendant l’administration de Soliris, la perfusion peut être ralentie ou interrompue sur décision du médecin. Si la perfusion est ralentie, la durée totale de perfusion ne doit pas dépasser deux heures chez l’adulte et l’adolescent et quatre heures chez les patients pédiatriques de moins de 18 ans.
-·atteints de déficits héréditaires du complément
- +atteints de déficits héréditaires du complément
-Du fait de son mécanisme d’action, l’utilisation de Soliris augmente la prédisposition du patient à une infection à méningocoque (Neisseria meningitidis). Une infection à méningocoque due à tout type sérologique peut survenir. Pour réduire le risque d’infection, tous les patients doivent être vaccinés au moins 2 semaines avant l’administration de Soliris à moins que le risque de retarder le traitement par Soliris ne soit supérieur à celui de développer une infection à méningocoque. Les patients pour lesquels le traitement par Soliris a été initié dans un délai inférieur à 2 semaines après la vaccination antiméningococcique doivent recevoir une antibioprophylaxie appropriée, jusqu’à 2 semaines après la vaccination. Dans la mesure où ils sont disponibles, les vaccins contre les types sérologiques A, C, Y, W135 et B sont recommandés dans la prévention des infections dues aux sérotypes méningococciques les plus souvent pathogènes. Les patients doivent être vaccinés conformément aux recommandations vaccinales nationales.
- +Du fait de son mécanisme d’action, l’utilisation de Soliris augmente la prédisposition du patient à une infection à méningocoque (Neisseria meningitidis). Une infection à méningocoque due à tout type sérologique peut survenir. Pour réduire le risque d’infection, tous les patients doivent être vaccinés au moins 2 semaines avant l’administration de Soliris à moins que le risque de retarder le traitement par Soliris ne soit supérieur à celui de développer une infection à méningocoque. Les patients pour lesquels le traitement par Soliris a été initié dans un délai inférieur à 2 semaines après la vaccination antiméningococcique tétravalente doivent recevoir une antibioprophylaxie appropriée, jusqu’à 2 semaines après la vaccination. Dans la mesure où ils sont disponibles, les vaccins contre les types sérologiques A, C, Y, W135 et B sont recommandés dans la prévention des infections dues aux sérotypes méningococciques les plus souvent pathogènes. Les patients doivent être vaccinés conformément aux recommandations vaccinales nationales.
-Comme avec toutes les protéines thérapeutiques, l’administration de Soliris peut entraîner des réactions lors de la perfusion ou une immunogénicité susceptible de provoquer des réactions allergiques ou d’hypersensibilité (y compris une anaphylaxie); toutefois, dans les études avec Soliris dans l’HPN, le SHU atypique, la MAg réfractaire, la NMOSD ou d’autres pathologies, les troubles du système immunitaire observés dans les 48 heures suivant l’administration de Soliris n’étaient pas différents de ceux observés sous placebo. Au cours des études cliniques, aucun patient atteint d’HPN, de SHU atypique, de MAg réfractaire ou de NMOSD n’a présenté de réaction à la perfusion ayant nécessité l’arrêt du traitement par Soliris. L’administration de Soliris doit être interrompue chez tous les patients présentant des réactions sévères à la perfusion; ceux-ci doivent alors recevoir un traitement médical approprié.
- +Comme avec toutes les protéines thérapeutiques, l’administration de Soliris peut entraîner des réactions lors de la perfusion ou une immunogénicité susceptible de provoquer des réactions allergiques ou d’hypersensibilité (y compris une anaphylaxie). Au cours d’études cliniques,1 (0,9 %) patient atteint de MAg a présenté une réaction à la perfusion nécessitant l'arrêt du traitement par Soliris. Aucun des patients atteints d’HPN, de SHU atypique, ou de NMOSD n’a présenté de réaction à la perfusion ayant nécessité l’arrêt du traitement par Soliris. L’administration de Soliris doit être interrompue chez tous les patients présentant des réactions sévères à la perfusion; ceux-ci doivent alors recevoir un traitement médical approprié.
-Dans une étude contrôlée versus placebo menée dans la MAg réfractaire, aucun patient (0/62) traité par Soliris n’a développé d’anticorps anti-médicament pendant la période de 26 semaines de traitement actif.
-Dans une étude portant sur la NMOSD, contrôlée par placebo, 2 patients sur 96 (2,1 %) traités par Soliris ont développé des anticorps antimédicament (AAM) après le début de l’étude. Les deux patients étaient négatifs pour les anticorps neutralisants. Dans les échantillons positifs pour les AAM, les titres d’anticorps étaient faibles, et les anticorps transitoires.
-Il n’a pas été observé de corrélation entre le développement d’anticorps et la réponse clinique ou les effets indésirables.
- +Dans une étude contrôlée versus placebo menée dans la MAg réfractaire, aucun patient (0/62) traité par Soliris n’a développé d’anticorps anti-médicament pendant la période de 26 semaines de traitement actif, tandis que dans une étude d’extension menée dans la MAg réfractaire, 2,6 % des patients au total ont été positifs pour les anticorps anti-médicament (AAM) lors d’au moins une des visites après le début de l’étude. Les résultats positifs pour les AAM semblaient être transitoires, car il n’a pas été observé de titres positifs lors des visites suivantes et ces patients ne présentaient pas de signes cliniques évocateurs d’un effet des titres d’AAM positifs.
- +Dans une étude portant sur la NMOSD, contrôlée par placebo, 2 patients sur 95 (2,1 %) traités par Soliris ont développé des anticorps antimédicament (AAM) après le début de l’étude. Les deux patients étaient négatifs pour les anticorps neutralisants. Dans les échantillons positifs pour les AAM, les titres d’anticorps étaient faibles, et les anticorps transitoires. Il n’a pas été observé de corrélation entre le développement d’anticorps et la réponse clinique ou les effets indésirables.
-Avant de débuter un traitement par Soliris, il est recommandé que les patients atteints d’HPN, de SHU atypique, de MAg réfractaire ou de NMOSD soient vaccinés conformément aux recommandations vaccinales en vigueur. De plus, tous les patients doivent être vaccinés contre les infections à méningocoque au moins 2 semaines avant d’administrer le traitement par Soliris à moins que le risque de retarder le traitement par Soliris ne soit supérieur à celui de développer une infection à méningocoque. Les patients pour lesquels le traitement par Soliris a été initié dans un délai inférieur à 2 semaines après la vaccination antiméningococcique doivent recevoir une antibioprophylaxie appropriée, jusqu’à 2 semaines après la vaccination. Dans la mesure où ils sont disponibles, les vaccins contre les types sérologiques A, C, Y, W 135 et B sont recommandés dans la prévention des infections dues aux sérotypes méningococciques les plus souvent pathogènes (voir «Infection à méningocoque»).
- +Avant de débuter un traitement par Soliris, il est recommandé que les patients atteints d’HPN, de SHU atypique, de MAg réfractaire et de NMOSD soient vaccinés conformément aux recommandations vaccinales en vigueur. De plus, tous les patients doivent être vaccinés contre les infections à méningocoque au moins 2 semaines avant d’administrer le traitement par Soliris à moins que le risque de retarder le traitement par Soliris ne soit supérieur à celui de développer une infection à méningocoque. Les patients pour lesquels le traitement par Soliris a été initié dans un délai inférieur à 2 semaines après la vaccination antiméningococcique tétravalente doivent recevoir une antibioprophylaxie appropriée, jusqu’à 2 semaines après la vaccination. Dans la mesure où ils sont disponibles, les vaccins contre les types sérologiques A, C, Y, W 135 et B sont recommandés dans la prévention des infections dues aux sérotypes méningococciques les plus souvent pathogènes (voir «Infection à méningocoque»).
-Dans les études cliniques, les patients présentant une MAg réfractaire ont poursuivi les traitements immunosuppresseurs et anticholinestérasiques pendant le traitement par Soliris. L’arrêt des traitements immunosuppresseurs et anticholinestérasiques pendant le traitement par Soliris de la MAg réfractaire n’a pas été évalué dans des études contrôlées contre placebo.
-Dans l’étude d’extension en ouvert (étude ECU-MG-302), les médecins avaient la possibilité d’ajuster les traitements immunosuppresseurs de fond. Dans ce contexte, il a été observé une diminution de la dose quotidienne d’au moins un agent immunosuppresseur chez 47 % des patients. La raison la plus fréquente de modification du traitement immunosuppresseur était l’amélioration des symptômes de la myasthénie acquise pendant le traitement par l’eculizumab. En cas d’arrêt ou de diminution des doses des traitements immunosuppresseurs et anticholinestérasiques, les patients doivent être étroitement surveillés afin de détecter des signes d’exacerbation de la maladie.
-NMOSD
-Les patients qui ont participé aux essais cliniques portant sur la NMOSD tout en continuant à recevoir un traitement immunosuppresseur de fond ont poursuivi leur traitement immunosuppresseur pendant leur traitement par Soliris (voir «Données précliniques»). L’interruption du traitement immunosuppresseur en cas de NMOSD pendant le traitement par Soliris n’a pas été étudiée. Lorsque le traitement immunosuppresseur est réduit ou interrompu, les patients sont étroitement surveillés pour détecter les signes et les symptômes d’une éventuelle poussée de la NMOSD.
- +En cas d’arrêt ou de diminution des doses des traitements immunosuppresseurs et anticholinestérasiques, les patients doivent être étroitement surveillés afin de détecter des signes d’exacerbation de la maladie.
- +Maladie du spectre de la neuromyélite optique (NMOSD)
- +Lorsque le traitement immunosuppresseur est réduit ou interrompu, les patients sont étroitement surveillés pour détecter les signes et les symptômes d’une éventuelle poussée de la NMOSD.
-Un traitement à long terme par une immunoglobuline humaine intraveineuse (IgIV) peut compromettre le mécanisme de recyclage des anticorps monoclonaux médié par les récepteurs Fc néonataux endosomiaux comme l’éculizumab et provoquer ainsi une baisse de la concentration de l’éculizumab dans le sérum. Aucune étude n’a été réalisée avec l’éculizumab pour déterminer les interactions chez les patients traités par des IgIV.
- +Un traitement à long terme par une immunoglobuline humaine intraveineuse (IgIV) peut compromettre le mécanisme de recyclage des anticorps monoclonaux médié par les récepteurs Fc néonataux endosomiaux comme l’eculizumab et provoquer ainsi une baisse de la concentration de l’eculizumab dans le sérum
-Des données de sécurité complémentaires ont été obtenues à partir de 30 études cliniques achevées et d’une en cours de réalisation, dans lesquelles 1503 patients atteints de maladies avec implication du complément, y compris l’HPN, le SHU atypique, la MAg réfractaire et la NMOSD, ont été traités par l’eculizumab. L’effet indésirable le plus fréquent était les céphalées (survenant le plus souvent pendant la phase d’induction du traitement). L’effet indésirable le plus grave était la septicémie méningococcique.
- +Des données de sécurité complémentaires ont été obtenues à partir de 31 études cliniques achevées, dans lesquelles 1503 patients atteints de maladies avec implication du complément, y compris l’HPN, le SHU atypique, la MAg réfractaire et la NMOSD, ont été traités par l’eculizumab. L’effet indésirable le plus fréquent était les céphalées (survenant le plus souvent pendant la phase d’induction du traitement). L’effet indésirable le plus grave était la septicémie méningococcique.
-Troubles généraux et anomalies au site d’administration Fièvre, fatigue, syndrome grippal Gêne thoracique, asthénie, douleur thoracique, douleurs au site de perfusion, frissons Extravasation, paresthésie au site de perfusion, sensation de chaleur
- +Troubles généraux et anomalies au site d’administration Fièvre, fatigue, syndrome grippal Œdème, gêne thoracique, asthénie, douleur thoracique, douleurs au site de perfusion, frissons Extravasation, paresthésie au site de perfusion, sensation de chaleur
-Études incluses : asthme (C07-002), SHU atypique (C08-002, C08-003, C10-003, C10-004), dermatomyosite (C99-006), MAg (C08-001, ECU-MG-301, ECU-MG-302 données au 31 décembre. 2017), maladie du spectre de la neuromyélite optique (ECU-NMO-301), IMG (C99-004, E99-004), HPN (C02-001, C04-001, C04-002, C06-002, C07-001, E02-001, E05-001, E07-001, M07-005, X03-001, X03-001A), psoriasis (C99-007), AR (C01-004, C97-001, C99-001, E01-004, E99-001), SHU-STEC (C11-001), LED (C97-002). MedDRA version 21.0.
- +Études incluses : asthme (C07-002), SHU atypique (C08-002, C08-003, C10-003, C10-004), dermatomyosite (C99-006), MAg (C08-001, ECU-MG-301, ECU-MG-302, maladie du spectre de la neuromyélite optique (ECU-NMO-301), IMG (C99-004, E99-004), HPN (C02-001, C04-001, C04-002, C06-002, C07-001, E02-001, E05-001, E07-001, M07-005, X03-001, X03-001A), psoriasis (C99-007), AR (C01-004, C97-001, C99-001, E01-004, E99-001), SHU-STEC (C11-001), LED (C97-002). MedDRA version 21.0.
-Des données de sécurité à l’appui ont été obtenues au cours de 12 études cliniques achevées incluant 934 patients traités par l’eculizumab et qui ont été menées dans six pathologies autres que l’HPN, le SHU atypique, la MAg réfractaire ou la NMOSD Un patient non vacciné atteint de glomérulonéphropathie membraneuse idiopathique a présenté une méningite à méningocoque. Les effets indésirables rapportés chez les patients atteints de pathologies autres que l’HPN, le SHU atypique,la MAg réfractaire ou la NMOSD étaient similaires à ceux rapportés chez les patients atteints d’HPN, de SHU atypique, de MAg réfractaire ou de NMOSD (voir le tableau 1 ci-dessus). Aucun effet indésirable spécifique n’a été mis en évidence à partir de ces études cliniques.
- +Des données de sécurité à l’appui ont été obtenues au cours de 12 études cliniques achevées incluant 934 patients traités par l’eculizumab et qui ont été menées dans six pathologies autres que l’HPN, le SHU atypique, la MAg réfractaire ou la NMOSD Un patient non vacciné atteint de glomérulonéphropathie membraneuse idiopathique a présenté une méningite à méningocoque. Les effets indésirables rapportés chez les patients atteints de pathologies autres que l’HPN, le SHU atypique, la MAg réfractaire ou la NMOSD étaient similaires à ceux rapportés chez les patients atteints d’HPN, de SHU atypique, de MAg réfractaire ou de NMOSD (voir le tableau 1 ci-dessus). Aucun effet indésirable spécifique n’a été mis en évidence à partir de ces études cliniques.
-Chez les patients atteints de MAg réfractaire, l’activation non contrôlée de la voie terminale du complément provoque une lyse médiée par le complexe d’attaque membranaire (CAM) et une inflammation médiée par la protéine C5a au niveau de la jonction neuromusculaire, ce qui entraîne un défaut de transmission neuromusculaire. L’administration chronique de Soliris induit une inhibition immédiate, complète et maintenue de l’activité de la voie terminale du complément.
- +Chez les patients atteints de MAg réfractaire, l’activation non contrôlée de la voie terminale du complément provoque une lyse médiée par le complexe d’attaque membranaire (CAM) et une inflammation médiée par la protéine C5a au niveau de la jonction neuromusculaire, ce qui entraîne un défaut de transmission neuromusculaire. L’administration chronique de Soliris induit une inhibition immédiate, complète et maintenue de l’activité de la voie terminale du complément (concentrations sériques d’eculizumab ≥116 µg/ml).
-La sécurité et l’efficacité de Soliris chez les patients atteints d’HPN présentant une hémolyse ont été évaluées au cours d’une étude de 26 semaines en double aveugle, randomisée et contrôlée contre placebo (C04-001). Les patients atteints d’HPN ont été également traités par Soliris dans le cadre d’une étude de 52 semaines à un seul bras (C04-002) et dans une étude d’extension à long terme (E05-001). Les patients avaient reçu une vaccination méningococcique avant le début du traitement par Soliris. Dans toutes les études, la dose d’eculizumab était de 600 mg tous les 7 jours ± 2 jours pendant 4 semaines, suivie de 900 mg 7 jours 2 jours plus tard, puis 900 mg tous les 14 jours ± 2 jours pendant la durée de l’étude. Soliris a été administré par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes. Un registre observationnel non interventionnel des patients atteints d’HPN (M07-001) a également été mis en place pour caractériser l’évolution naturelle de l’HPN chez les patients non traités par Soliris et pour caractériser les résultats cliniques des patients traités par Soliris.
- +La sécurité et l’efficacité de Soliris chez les patients atteints d’HPN présentant une hémolyse ont été évaluées au cours d’une étude de 26 semaines en double aveugle, randomisée et contrôlée contre placebo (C04-001). Les patients atteints d’HPN ont été également traités par Soliris dans le cadre d’une étude de 52 semaines à un seul bras (C04-002) et dans une étude d’extension à long terme (E05-001). Les patients avaient reçu une vaccination méningococcique avant le début du traitement par Soliris. Dans toutes les études, la dose d’eculizumab était de 600 mg tous les 7 jours ± 2 jours pendant 4 semaines, suivie de 900 mg 7 jours 2 jours plus tard, puis 900 mg tous les 14 jours ± 2 jours pendant la durée de l’étude. Soliris a été administré par perfusion intraveineuse de 25 à 45 minutes (35 ± 10 minutes). Un registre observationnel non interventionnel des patients atteints d’HPN (M07-001) a également été mis en place pour caractériser l’évolution naturelle de l’HPN chez les patients non traités par Soliris et pour caractériser les résultats cliniques des patients traités par Soliris.
-Sur les 125 patients inclus dans l’étude ECU-MG-301, 117 patients sont entrés ensuite dans une étude d’extension à long terme (étude ECU-MG-302), au cours de laquelle ils ont tous reçu Soliris. Les patients traités précédemment par Soliris dans l’étude ECU-MG-301 ont continué à présenter un maintien de l’effet de Soliris sur tous les paramètres (scores MG-ADL, QMG, MGC et MG-QoL15) pendant 52 semaines supplémentaires de traitement par Soliris.
- +Sur les 125 patients inclus dans l’étude ECU-MG-301, 117 patients sont entrés ensuite dans une étude d’extension à long terme (étude ECU-MG-302), au cours de laquelle ils ont tous reçu Soliris. Les patients traités précédemment par Soliris dans l’étude ECU-MG-301 ont continué à présenter un maintien de l’effet de Soliris sur tous les paramètres (scores MG-ADL, QMG, MGC et MG-QoL15) pendant 130 semaines supplémentaires de traitement par l’eculizumab. Chez les patients qui avaient reçu le placebo dans l’étude ECU-MG-301 (bras placebo/eculizumab de l’étude ECU-MG-302), il a été observé une amélioration après l’instauration du traitement par l’eculizumab, qui s’est maintenue pendant plus de 130 semaines dans l’étude ECU-MG-302. La figure 1 présente la variation des scores MG-ADL (A) et QMG (B) par rapport aux scores initiaux après 26 semaines de traitement dans l’étude ECU-MG-301 et après 130 semaines de traitement (n = 80 patients) dans l’étude ECU-MG-302.
- +(image)
- +Figure 1 : Variations moyennes des scores MG-ADL (1A) et QMG (1B) par rapport aux scores initiaux dans les études ECU-MG-301 et ECU-MG-302
- +Dans l’étude ECU-MG-302, les médecins avaient la possibilité d’ajuster les traitements immunosuppresseurs de fond. Dans ce contexte, il a été observé une diminution de la dose quotidienne d’au moins un agent immunosuppresseur chez 65,0 % des patients ; le traitement immunosuppresseur en cours a été arrêté chez 43,6 % des patients. La raison la plus fréquente de modification du traitement immunosuppresseur était l’amélioration des symptômes de la myasthénie acquise généralisée.
- +Vingt-deux (22) (17,6 %) patients âgés (> 65 ans) présentant une MAg réfractaire ont été traités par Soliris dans les études cliniques. Il n’a pas été observé de différences importantes liées à l’âge en termes de sécurité et d’efficacité.
-Figure 1 : Courbe de Kaplan-Meier du délai jusqu’à la première poussée confirmée au cours de l’étude – Population globale d’analyse des données
- +Figure 1 : Courbe de Kaplan-Meier du délai jusqu’à la première poussée confirmée au cours de l’étude ECU-NMO-301 – Population globale d’analyse des données
-aBasé sur une régression de Poisson ajustée pour les strates de randomisation et le TAP historique dans les 24 mois précédant la sélection. Abbréviations: TAP = taux annualisé de poussées; IC = intervalle de confiance.
- +aBasé sur une régression de Poisson ajustée pour les strates de randomisation et le TAP historique dans les 24 mois précédant la sélection. Abréviations: TAP = taux annualisé de poussées; IC = intervalle de confiance.
-L’évaluation des modifications, du début jusqu’à la fin de l’étude, concernant les critères d’évaluation secondaires que sont le handicap neurologique (score EDSS [valeur p nominale = 0,0597] et mRS [valeur p nominale = 0,0154]), la déficience fonctionnelle (score HAI [valeur p nominale = 0,0002]), la qualité de vie (EVA EQ-5D [valeur p nominale = 0,0309] et l’index EQ-5D [valeur p nominale = 0,0077]) est favorable à l’eculizumab par rapport au placebo.
- +L’évaluation des modifications, du début jusqu’à la fin de l’étude, concernant les critères d’évaluation secondaires que sont le handicap neurologique (score EDSS [valeur p = 0,0597] et mRS [valeur p nominale = 0,0154]), la déficience fonctionnelle (score HAI [valeur p nominale = 0,0002]), la qualité de vie (EVA EQ-5D [valeur p nominale = 0,0309] et l’index EQ-5D [valeur p nominale = 0,0077]) est favorable à l’eculizumab par rapport au placebo.
-Août 2020
- +Décembre 2020
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