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Accueil - Information professionnelle sur Arlevert - Changements - 09.04.2021
60 Changements de l'information professionelle Arlevert
  • -Principes actifs: cinnarizine/diménhydrinate.
  • -Excipients: Excip. pro compresso.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -1 comprimé contient: 20 mg de cinnarizine et 40 mg de diménhydrinate.
  • -
  • +Principes actifs
  • +Cinnarizinum, Dimenhydrinatum.
  • +Excipients
  • +Carmellosum natricum conexum (E468) (contient 0,46 mg de sodium), Cellulosum microcristallinum, Hypromellosum, Magnesii stearas, Maydis amylum, Silica colloidalis anhydrica, Talcum.
  • +
  • +
  • -Traitement symptomatique des états vertigineux passagers (maximum 4 semaines).
  • +Traitement symptomatique d'états vertigineux passagers (maximum 4 semaines).
  • +Posologie usuelle
  • +
  • -En raison de labsence de données relatives à cette tranche dâge, Arlevert est déconseillé chez lenfant et ladolescent de moins de 18 ans.
  • +En raison de l'absence de données relatives à cette tranche d'âge, Arlevert est déconseillé chez l'enfant et l'adolescent de moins de 18 ans.
  • -La posologie chez les patients âgés na pas fait lobjet détudes spécifiques.
  • -Insuffisance rénale
  • -La posologie chez les patients en insuffisance rénale na pas fait lobjet détudes spécifiques.
  • -La prudence est de rigueur lors de lutilisation dArlevert chez les patients présentant une insuffisance rénale de légère à modérée. Arlevert ne doit pas être utilisé par les patients avec une clairance de la créatinine ≤25 ml/min (insuffisance rénale grave).
  • -Insuffisance hépatique
  • -On ne dispose daucune étude relative aux patients en insuffisance hépatique.
  • +La posologie chez les patients âgés n'a pas fait l'objet d'études spécifiques.
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +La posologie chez les patients en insuffisance rénale n'a pas fait l'objet d'études spécifiques.
  • +La prudence est de rigueur lors de l'utilisation d'Arlevert chez les patients présentant une insuffisance rénale de légère à modérée. Arlevert ne doit pas être utilisé par les patients avec une clairance de la créatinine ≤25 ml/min (insuffisance rénale grave).
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +On ne dispose d'aucune étude relative aux patients avec insuffisance hépatique.
  • +Durée du traitement
  • +
  • -La diphénhydramine est entièrement éliminée par voie rénale. Cest pourquoi les patients présentant une insuffisance rénale (clairance de la créatinine ≤25 ml/min) étaient exclus du programme détudes cliniques.
  • -Les patients souffrant dune insuffisance hépatique grave ne doivent pas prendre Arlevert.
  • -Étant donné que les deux principes actifs contenus dans Arlevert sont largement métabolisés par le système enzymatique hépatique du cytochrome P450, les concentrations plasmatiques des principes actifs inchangés et leurs demi-vies augmentent chez les patients souffrant dune insuffisance hépatique grave. Ce résultat a été mis en évidence pour la diphénhydramine chez les patients atteints de cirrhose. Cest pourquoi Arlevert ne doit pas être administré à des patients présentant une insuffisance hépatique grave et une porphyrie.
  • -Hypersensibilité aux principes actifs ou à lun des excipients conformément à la composition, à la diphénhydramine ou à dautres antihistaminiques de structure comparable.
  • -Les patients avec un glaucome à angle fermé, crises convulsives, suspicion de pression intracrânienne élevée, abus dalcool ou rétention urinaire en raison de pathologies urétroprostatiques, ne doivent pas prendre Arlevert.
  • -Ladministration concomitante dantibiotiques aminoglycosides doit être évitée car leur ototoxicité pourrait être masquée.
  • -La prise dArlevert est contre-indiquée chez les patients ayant des antécédents de symptômes extrapyramidaux, parkinsonisme ou dépression.
  • -Les patients avec des troubles cardiaques, ainsi que les patients qui prennent des médicaments associés à un allongement de lintervalle QT ne doivent pas être traités par Arlevert.
  • -Arlevert est contre-indiqué pendant la grossesse et lallaitement.
  • +La diphénhydramine est entièrement éliminée par voie rénale. C'est pourquoi les patients présentant une insuffisance rénale (clairance de la créatinine ≤25 ml/min) étaient exclus du programme d'études cliniques.
  • +Les patients souffrant d'une insuffisance hépatique grave ne doivent pas prendre Arlevert.
  • +Étant donné que les deux principes actifs contenus dans Arlevert sont largement métabolisés par les enzymes hépatiques du cytochrome P450, les concentrations plasmatiques des principes actifs inchangés et leurs demi-vies augmentent chez les patients souffrant d'une insuffisance hépatique grave. Ce résultat a été mis en évidence pour la diphénhydramine chez les patients atteints de cirrhose. C'est pourquoi Arlevert ne doit pas être utilisé par les patients présentant une insuffisance hépatique grave et une porphyrie.
  • +Hypersensibilité aux principes actifs ou à l'un des excipients selon la composition, à la diphénhydramine ou à d'autres antihistaminiques de structure similaire.
  • +Les patients avec un glaucome à angle fermé, crises convulsives, suspicion de pression intracrânienne élevée, abus d'alcool ou rétention urinaire en raison de pathologies urétroprostatiques, ne doivent pas prendre Arlevert.
  • +L'administration concomitante d'antibiotiques aminoglycosides doit être évitée, car leur ototoxicité pourrait être masquée.
  • +La prise d'Arlevert est contre-indiquée chez les patients ayant des antécédents de symptômes extrapyramidaux, parkinsonisme ou dépression.
  • +Les patients avec des troubles cardiaques et les patients qui prennent des médicaments associés à un allongement de l'intervalle QT ne doivent pas être traités par Arlevert.
  • +Arlevert est contre-indiqué pendant la grossesse et l'allaitement.
  • -Arlevert nentraîne pas de baisse significative de la tension artérielle, mais devrait toutefois être utilisé avec prudence chez les patients hypotendus.
  • -Arlevert doit être pris après les repas afin de réduire les irritations gastriques.
  • -La prudence est de rigueur lors de lutilisation dArlevert chez des patients avec des pathologies susceptibles dêtre aggravées par un traitement anticholinergique (par ex. pression intraoculaire élevée, sténose pyloro-duodénale, hypertrophie de la prostate, hypertension artérielle, hyperthyroïdie ou coronaropathie grave).
  • -Pendant le traitement, les patients âgés doivent en particulier être examinés pour détecter la survenue de symptômes extrapyramidaux et de dépressions. Le cas échéant, il convient d’arrêter le traitement par Arlevert.
  • +Arlevert n'entraîne pas de baisse significative de la tension artérielle, mais devrait toutefois être utilisé avec prudence chez les patients hypotendus.
  • +Arlevert doit être pris après les repas afin de minimiser les irritations gastriques.
  • +La prudence est de rigueur lors de l'utilisation d'Arlevert chez des patients avec des pathologies susceptibles d'être aggravées par un traitement anticholinergique (par ex. pression intraoculaire élevée, sténose pyloroduodénale, hypertrophie de la prostate, hypertension artérielle, hyperthyroïdie ou coronaropathie grave).
  • +Pendant le traitement, les patients âgés doivent en particulier être examinés pour détecter la survenue de symptômes extrapyramidaux et de dépressions. Le cas échéant, le traitement par Arlevert doit être arrêté.
  • +Arlevert contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • -Renforcement des effets indésirables anticholinergiques par ladministration concomitante dantidépresseurs tricycliques et de parasympatholytiques.
  • -Les médicaments à effet dépresseur sur le système nerveux central et lalcool peuvent renforcer leffet dépresseur dArlevert sur le système nerveux central.
  • -La prudence est de rigueur lors de ladministration concomitante de produits hyper- et hypotenseurs. Il faut contrôler la tension artérielle et procéder à un ajustement posologique.
  • -Leffet de la procarbazine est renforcé.
  • -Leffet des glucocorticoïdes et de lhéparine peut être réduit. Arlevert atténue les troubles de lenchaînement des mouvements induits par la phénothiazine (syndrome EPM).
  • -Ladministration concomitante dArlevert et dantibiotiques aminoglycosides peut masquer leurs effets ototoxiques.
  • -Dans le cas de tests dallergies prévus, Arlevert peut entraîner des résultats faussement négatifs.
  • -Il faut éviter toute administration concomitante de médicaments qui allongent aussi lintervalle QT (par ex., antiarythmiques de classe IA ou III, antibiotiques, antipaludéens, neuroleptiques) ou qui peuvent entraîner une hypokaliémie (par ex. certains diurétiques) (cf. «Contre-indications», «Surdosage», et «Données précliniques»).
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Renforcement des effets indésirables anticholinergiques par l'administration concomitante d'antidépresseurs tricycliques et de parasympatholytiques.
  • +Les médicaments à effet dépresseur sur le système nerveux central et l'alcool peuvent renforcer l'effet dépresseur d'Arlevert sur le système nerveux central.
  • +La prudence est de rigueur lors de l'administration concomitante de produits hyper- et hypotenseurs. Il faut contrôler la tension artérielle et procéder à un ajustement posologique.
  • +L'effet de la procarbazine est renforcé.
  • +L'effet des glucocorticoïdes et de l'héparine peut être réduit.
  • +Arlevert atténue les troubles de l'enchaînement des mouvements induits par la phénothiazine (syndrome EPM).
  • +L'administration concomitante d'Arlevert et d'antibiotiques aminoglycosides peut masquer leurs effets ototoxiques.
  • +Dans le cas de tests d'allergies prévus, Arlevert peut entraîner des résultats faussement négatifs.
  • +Il faut éviter toute utilisation concomitante avec des médicaments qui allongent aussi l'intervalle QT (par ex., antiarythmiques de classe IA ou III, antibiotiques, antipaludéens, neuroleptiques) ou qui peuvent entraîner une hypokaliémie (par ex. certains diurétiques) (voir «Contre-indications», «Surdosage», et «Données précliniques»).
  • +Grossesse, allaitement
  • -On ne dispose daucunes données cliniques relatives à des grossesses exposées ni pour l’association thérapeutique Arlevert ni pour la cinnarizine. Pour le diménhydrinate, les rapports sont contradictoires.
  • -Une étude prospective conduite chez des femmes enceintes na pas mis en évidence dindices en faveur dun lien entre l’administration de diménhydrinate et des malformations. Dans une autre étude, une association avec des anomalies cardiovasculaires et des hernies inguinales a été décrite lors dune exposition au diménhydrinate pendant la grossesse. Ces résultats nont toutefois pas été confirmés depuis par des études indépendantes.
  • -Il nexiste aucun dindice indiquant que l’administration de diménhydrinate au cours du premier trimestre entraîne une augmentation du taux davortement.
  • +On ne dispose d'aucunes données cliniques relatives à des grossesses exposées ni pour le produit combiné Arlevert ni pour la cinnarizine. Pour le diménhydrinate, les rapports sont contradictoires.
  • +Une étude prospective conduite chez des femmes enceintes n'a pas mis en évidence d'indices en faveur d'un lien entre l'utilisation de diménhydrinate et des malformations. Dans une autre étude, une association avec des anomalies cardiovasculaires et des hernies inguinales a été décrite lors d'une exposition au diménhydrinate pendant la grossesse. Ces résultats n'ont toutefois pas été confirmés depuis par des études indépendantes.
  • +Il n'existe aucun d'indice indiquant que l'utilisation de diménhydrinate au cours du premier trimestre entraîne une augmentation du taux d'avortement.
  • -Concernant l’association thérapeutique, on ne dispose daucune étude expérimentale animale sur la toxicité pour la reproduction. Les différents principes actifs contenus dans Arlevert nont pas été suffisamment étudiés chez lanimal concernant les propriétés toxicologiques pour la reproduction (cf. «Données précliniques»). On ne connaît pas le risque potentiel pour lhumain.
  • +Concernant le produit combiné, on ne dispose d'aucune étude expérimentale animale sur la toxicité sur la reproduction. Les différents principes actifs contenus dans Arlevert n'ont pas été suffisamment étudiés chez l'animal concernant les propriétés toxicologiques sur la reproduction (voir «Données précliniques»). On ne connaît pas le risque potentiel pour l'humain.
  • -Le principe actif diménhydrinate passe en faibles quantités dans le lait maternel. Arlevert est contre-indiqué pendant lallaitement car la sécurité de l’administration dArlevert pendant lallaitement nest pas prouvée et les effets néfastes sur lenfant allaité ne sont pas exclus.
  • +Le principe actif diménhydrinate passe en faibles quantités dans le lait maternel. Arlevert est contre-indiqué pendant l'allaitement, car la sécurité de l'utilisation d'Arlevert pendant l'allaitement n'est pas prouvée et des effets néfastes sur l'enfant allaité ne sont pas exclus.
  • -Arlevert peut, en particulier en début de traitement, entraîner une somnolence. Les patients dont la capacité de réaction est altérée de la sorte ne devraient pas conduire de véhicules ou utiliser de machines.
  • +Arlevert peut, en particulier en début de traitement, entraîner de la somnolence. Les patients dont la capacité de réaction est altérée de cette manière ne devraient pas conduire de véhicules ou utiliser de machines.
  • -Les effets indésirables qui ont été le plus souvent enregistrés dans des études cliniques sont la somnolence (y compris envie de dormir, fatigue, épuisement, obnubilation) chez env. 8% des patients et la sécheresse buccale chez env. 5% des patients. Ces symptômes sont généralement peu marqués et cèdent en quelques jours lors de la poursuite du traitement. La fréquence des effets indésirables survenus en rapport avec Arlevert dans des études cliniques ou ayant été spontanément signalés, est énumérée ci-dessous.
  • +Les effets indésirables qui ont été le plus souvent enregistrés dans des études cliniques sont la somnolence (y compris envie de dormir, fatigue, épuisement, endormissement) chez env. 8 % des patients et la sécheresse buccale chez env. 5 % des patients. Ces symptômes sont généralement peu marqués et disparaissent en quelques jours lors de la poursuite du traitement. Ci-dessous sont énumérées les fréquences des effets indésirables, survenus dans des études cliniques ou ayant été spontanément signalés en rapport avec Arlevert, présentés selon des classes de systèmes d'organes (MedDRA) et par catégories de fréquence, selon l'ordre suivant: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à <1/10), «occasionnels» (≥1/1000 à <1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1'000), «très rares» (<1/10'000).
  • -Très rares (<1/10’000): leucopénie, thrombopénie, anémie aplasique.
  • +Très rare: leucopénie, thrombocytopénie, anémie aplasique.
  • -Rares (≥1/10’000, <1/1000): réactions dhypersensibilité (par ex. réactions cutanées).
  • +Rare: réactions d'hypersensibilité (par ex. réactions cutanées).
  • -Fréquents (≥1/100, <1/10): somnolence, céphalées.
  • -Occasionnels (≥1/1000, <1/100): paresthésies, amnésie, acouphènes, tremblements, nervosité, convulsions.
  • +Fréquent: somnolence, céphalée.
  • +Occasionnel: paresthésie, amnésie, acouphène, tremblement, nervosité, convulsions.
  • -Rares (≥1/10’000, <1/1000): troubles visuels.
  • +Rare: perturbation visuelle.
  • -Fréquents (≥1/100, <1/10): sécheresse buccale, douleurs abdominales.
  • -Occasionnels (≥1/1000, <1/100): dyspepsie, nausées, diarrhée.
  • +Fréquent: bouche sèche, douleur abdominale.
  • +Occasionnel: dyspepsie, nausée, diarrhée.
  • -Occasionnels (≥1/1000, <1/100): transpiration, éruption cutanée.
  • -Rares (≥1/10’000, <1/1000): photosensibilité.
  • +Occasionnel: sécrétion de sueur, rash cutané.
  • +Rare: photosensibilité.
  • -Rares (≥1/10’000, <1/1000): troubles mictionnels.
  • -De plus, les effets indésirables suivants sont associés au diménhydrinate et à la cinnarizine:
  • -Diménhydrinate: excitation paradoxale (en particulier chez les enfants), aggravation dun glaucome à angle fermé existant, agranulocytose réversible.
  • -Cinnarizine: constipation, prise de poids, angine de poitrine, ictère cholestatique, symptômes moteurs extra-pyramidaux, réactions cutanées pseudo-lupiques, lichen plan.
  • +Rare: trouble mictionnel.
  • +De plus, les effets indésirables suivants sont associés au diménhydrinate et à la cinnarizine, avec une fréquence «indéterminée» (ne peut pas être définie sur la base des données disponibles):
  • +Diménhydrinate: excitation paradoxale (en particulier chez les enfants), aggravation d'un glaucome à angle fermé existant, agranulocytose réversible.
  • +Cinnarizine: constipation, gain pondéral, angine de poitrine, ictère cholestatique, symptômes moteurs extrapyramidaux, réactions cutanées pseudo-lupiques, lichen plan.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Symptômes de surdosage
  • -Somnolence, vertiges et ataxie avec manifestations anticholinergiques telles que sécheresse buccale, rougeurs de la face, pupilles dilatées, tachycardie, fièvre, céphalées et rétention urinaire, font partie des symptômes dun surdosage d’Arlevert. Des convulsions, des hallucinations, des manifestations dexcitation, une dépression respiratoire, une hypertension artérielle, des tremblements et un coma peuvent en particulier apparaître en cas de surdosage massif.
  • -Traitement d’un surdosage
  • -Les troubles cardio-pulmonaires engageant le pronostic vital doivent être immédiatement traités conformément aux règles de la médecine durgence.
  • -Surveillance de létat de conscience, du pouls, de la tension artérielle, de la température corporelle et ECG.
  • -Lors de la prise de quantités potentiellement dangereuses, des mesures primaires de décontamination (en premier lieu ladministration de charbon et, dans de rares cas, un lavage destomac) peuvent réduire les quantités potentiellement résorbables. Lindication doit être décidée au cas par cas en accord avec un centre antipoison.
  • -Chez les patients dont létat de conscience est altéré et les réflexes de protection sont limités, il est nécessaire de mettre en œuvre des mesures de protection contre laspiration (le cas échant, intubation).
  • -Dans le cas détats dagitation importants et, en particulier, en cas de convulsions, les benzodiazépines sont les produits de référence. En cas de troubles de léquilibre et dataxie, il convient de prendre le cas échéant des mesures de protection, et ce en raison du risque accru de blessures.
  • -En cas dhyperthermie, il faut entreprendre un refroidissement physique et administrer des benzodiazépines précocement.
  • -En cas dallongement de QRS et de troubles du rythme ventriculaire qui en résultent, ladministration de bicarbonate de sodium a permis darrêter les troubles du rythme cardiaque agissant sur la circulation. Lors de torsades de pointes, on recommande du sulfate de magnésium. En présence de tachycardies ventriculaires et fibrillations ventriculaires réfractaires, la lidocaïne est le traitement de référence.
  • -En cas de symptômes anticholinergiques centraux menaçants et réfractaires au traitement, on peut, comme pour dautres antihistaminiques, administrer de la physostigmine comme antidote sous monitorage (en raison des contre-indications et des EI dangereux tels que des convulsions et une systole, il est recommandé de poser lindication en accord avec un centre antipoison).
  • -Lors de doses élevées et dévolutions difficiles, il faut contrôler la créatinine-kinase comme marqueur dune rhabdomyolyse et, le cas échéant, prendre des mesures pour la protection contre une nécrose tubulaire aiguë.
  • -Compte tenu des propriétés pharmacocinétiques du diménhydrinate (liaison élevée aux protéines plasmatiques et clairance plasmatique rapide) et a priori aussi de celles de la cinnarizine en raison du groupe auquel elle appartient (on ne dispose que de peu de données pharmacocinétiques), des procédures délimination secondaires, telles que lhémodialyse et lhémoperfusion, ne sont généralement pas prometteuses.
  • +Signes et symptômes
  • +Somnolence, vertiges et ataxie avec manifestations anticholinergiques telles que sécheresse buccale, rougeurs de la face, pupilles dilatées, tachycardie, fièvre, céphalées et rétention urinaire, font partie des symptômes d'un surdosage avec Arlevert. Des convulsions, des hallucinations, des manifestations d'excitation, une dépression respiratoire, une hypertension artérielle, des tremblements et un coma peuvent en particulier apparaître en cas de surdosage massif.
  • +Traitement
  • +Les troubles cardio-pulmonaires engageant le pronostic vital doivent être immédiatement traités conformément aux règles de la médecine d'urgence.
  • +Surveillance de l'état de conscience, du pouls, de la tension artérielle, de l'ECG et de la température corporelle.
  • +Lors de la prise de quantités potentiellement dangereuses, des mesures primaires de décontamination (en premier lieu l'administration de charbon et, dans de rares cas, un lavage d'estomac) peuvent réduire les quantités potentiellement résorbables. L'indication doit être décidée au cas par cas en accord avec un centre antipoison.
  • +Chez les patients dont l'état de conscience est altéré et les réflexes de protection sont limités, il est nécessaire de mettre en œuvre des mesures de protection contre l'aspiration (év. intubation).
  • +Dans le cas d'états d'agitation importants et, en particulier, en cas de convulsions, les benzodiazépines sont le produit de choix. En cas de troubles de l'équilibre et d'ataxie, il convient de prendre le cas échéant des mesures de protection, et ce en raison du risque accru de blessures.
  • +En cas d'hyperthermie, il faut entreprendre un refroidissement physique et administrer des benzodiazépines précocement.
  • +En cas d'allongement de QRS et de troubles du rythme ventriculaire qui en résultent, l'administration de bicarbonate de sodium a permis d'arrêter les troubles du rythme cardiaque agissant sur la circulation. Lors de torsades de pointes, on recommande du sulfate de magnésium. En présence de tachycardies ventriculaires et fibrillations ventriculaires réfractaires, la lidocaïne est le produit de choix.
  • +En cas de symptômes anticholinergiques centraux menaçants et réfractaires au traitement, on peut, comme pour d'autres antihistaminiques, administrer de la physostigmine comme antidote sous monitorage (en raison des contre-indications et des effets indésirables dangereux tels que des convulsions et une asystolie, il est recommandé de poser l'indication en accord avec un centre antipoison).
  • +Lors de doses élevées et d'évolutions difficiles, il faut contrôler la créatinine-kinase comme marqueur d'une rhabdomyolyse et, le cas échéant, prendre des mesures pour la protection contre une nécrose tubulaire aiguë.
  • +Compte tenu des propriétés pharmacocinétiques du diménhydrinate (liaison élevée aux protéines plasmatiques et clairance plasmatique rapide) et a priori aussi de celles de la cinnarizine en raison du groupe auquel elle appartient (on ne dispose que de peu de données pharmacocinétiques), les procédures d'élimination secondaires, telles que l'hémodialyse et l'hémoperfusion, ne sont généralement pas prometteuses.
  • -Code ATC: N07CA52
  • -Mécanisme daction
  • -Le diménhydrinate, le sel de chlorthéophylline de la diphénhydramine, agit comme un antihistaminique avec des propriétés anticholinergiques (antimuscariniques) et présente des effets parasympatholytiques et dépresseurs sur le système nerveux central. Le principe actif entraîne des effets antivertigineux et antiémétiques par influence des noyaux vestibulaires dans la medulla oblongata et des zones voisines de déclenchement des chimiorécepteurs dans la région du 4e ventricule. Cest la raison pour laquelle le diménhydrinate agit essentiellement sur le système vestibulaire central.
  • -La cinnarizine étant un inhibiteur calcique, elle entraîne en premier lieu des effets dépresseurs sur les fonctions labyrinthiques en inhibant l’entrée d’ions calcium dans les cellules sensorielles vestibulaires. C’est la raison pour laquelle la cinnarizine agit essentiellement sur le système vestibulaire périphérique.
  • +Code ATC
  • +N07CA52
  • +Mécanisme d'action
  • +Le diménhydrinate, le sel de chlorthéophylline de la diphénhydramine, agit comme un antihistaminique avec des propriétés anticholinergiques (antimuscariniques) et présente des effets parasympatholytiques et dépresseurs sur le système nerveux central.
  • +La cinnarizine, étant un inhibiteur calcique, entraîne en premier lieu des effets dépresseurs sur les fonctions labyrinthiques en inhibant l'entrée d'ions calcium dans les cellules sensorielles vestibulaires.
  • +Pharmacodynamique
  • +Le diménhydrinate entraîne des effets antivertigineux et antiémétiques par influence des noyaux vestibulaires dans la medulla oblongata et des zones voisines de déclenchement des chimiorécepteurs dans la région du 4e ventricule. C'est la raison pour laquelle le diménhydrinate agit essentiellement sur le système vestibulaire central.
  • +La cinnarizine agit essentiellement sur le système vestibulaire périphérique.
  • -Traitement symptomatique détats vertigineux passagers (maximum 4 semaines).
  • -Le médicament na pas été étudié en rapport avec le mal des transports.
  • +Traitement symptomatique d'états vertigineux passagers (maximum 4 semaines).
  • +Le médicament n'a pas été étudié en rapport avec le mal des transports.
  • -Diphénhydramine
  • -Absorption/Distribution
  • -Le principe actif diménhydrinate est libéré à partir de l’association thérapeutique Arlevert en lespace de 6 min. à environ 80–85% et en lespace de 9 à 12 minutes à au moins 95%. La résorption gastro-intestinale du diménhydrinate est rapide.
  • -Dans le sang, le diménhydrinate se dissocie en diphénhydramine et en 8-chlorthéophylline. La biodisponibilité systémique de la diphénhydramine est faible (26–72%), ce qui repose sur un important effet de premier passage hépatique (environ 50 0/0). La diphénhydramine présente une forte liaison aux protéines plasmatiques, franchit la barrière hémato-encéphalique et passe dans le lait maternel. La concentration plasmatique maximale est atteinte au cours des 2 premières heures; la demi-vie d’élimination plasmatique est d’env. 4,5 heures. Le volume de distribution varie entre 188 et 336 I, et la clairance plasmatique est de 6381015 ml/min.
  • +Absorption
  • +Le principe actif diménhydrinate est libéré à partir du produit combiné Arlevert en l'espace de 6 min. à environ 80-85 % et en l'espace de 9 à 12 minutes à au moins 95 %. La résorption gastro-intestinale du diménhydrinate est rapide. Dans le sang, le diménhydrinate se dissocie en diphénhydramine et en 8-chlorthéophylline. La concentration plasmatique maximale est atteinte au cours des 2 premières heures; la demi-vie d'élimination plasmatique est d'env. 4,5 heures.
  • +Le principe actif cinnarizine est libéré à partir du produit combiné Arlevert en l'espace de 6 min. à environ 80-85 % et en l'espace de 9 à 12 minutes à au moins 95 %. La résorption gastro-intestinale de la cinnarizine est rapide. La cinnarizine atteint sa concentration plasmatique maximale après environ 2 heures et a une demi-vie d'élimination plasmatique d'environ 4 heures.
  • +Distribution
  • +La biodisponibilité systémique de la diphénhydramine est faible (26-72 %), ce qui repose sur un important effet de premier passage hépatique (environ 50 %). La diphénhydramine présente une forte liaison aux protéines plasmatiques, franchit la barrière placentaire et passe dans le lait maternel. Le volume de distribution varie entre 188 et 336 I, et la clairance plasmatique est de 638-1015 ml/min.
  • -La diphénhydramine est largement métabolisée dans le foie. La diphénhydramine est essentiellement métabolisée par N-déméthylation séquentielle de lamine tertiaire. Des études in vitro conduites sur des microsomes hépatiques humains indiquent une participation de diverses enzymes CYP, y compris du CYP2D6.
  • +La diphénhydramine est largement métabolisée dans le foie. La diphénhydramine est essentiellement métabolisée par N-déméthylation séquentielle de l'amine tertiaire. Des études in vitro conduites sur des microsomes hépatiques humains indiquent une participation de diverses enzymes CYP, y compris du CYP2D6.
  • +La cinnarizine est largement métabolisée dans le foie. Le métabolisme de la cinnarizine comporte des réactions d'hydroxylation aromatique, partiellement catalysées par le CYP2D6, et des réactions de N-déalkylation avec faible spécificité enzymatique CYP. Des études in vitro conduites sur des microsomes hépatiques humains indiquent une participation de diverses enzymes CYP, y compris du CYP2D6.
  • +
  • -La diphénhydramine est en majeure partie éliminée par voie rénale, essentiellement sous forme de métabolites, avec le composé désaminé acide (diphénylméthoxy) acétique comme métabolite principal (40–60%).
  • -Cinnarizine
  • -Absorption/Distribution
  • -Le principe actif cinnarizine est libéré à partir de l’association thérapeutique Arlevert en l’espace de 6 min. à environ 80–85% et en l’espace de 9 à 12 minutes à au moins 95%. La résorption gastro-intestinale de la cinnarizine est rapide.
  • -La cinnarizine atteint sa concentration plasmatique après environ 2 heures et a une demi-vie d’élimination plasmatique d’environ 4 heures.
  • -Métabolisme
  • -La cinnarizine est largement métabolisée dans le foie. Le métabolisme de la cinnarizine comporte des réactions d’hydroxylation aromatique, partiellement catalysées par le CYP2D6, et des réactions de N-déalkylation avec faible spécificité enzymatique CYP. Des études in vitro conduites sur des microsomes hépatiques humains indiquent une participation de diverses enzymes CYP, y compris du CYP2D6.
  • -Élimination
  • -L’élimination de la cinnarizine a lieu en majeure partie par voie fécale (40–60%), dans une moindre mesure aussi par voie rénale, essentiellement sous forme de métabolites comme conjugués glucuronides.
  • +L'élimination de la diphénhydramine a lieu en majeure partie par les urines, essentiellement sous forme de métabolites, avec le composé désaminé (diphénylméthoxy) acide acétique comme métabolite principal (40-60 %).
  • +L'élimination de la cinnarizine a lieu en majeure partie par voie fécale (40-60 %), dans une moindre mesure aussi par les urines, essentiellement sous forme de métabolites comme conjugués glucuronides.
  • -La cinnarizine et le diménhydrinate ont été testés in vitro à la recherche deffets mutagènes. Les tests nont mis en évidence aucun signe important de mutagénicité.
  • -On na pas mis en évidence de signes en faveur dune clastogénicité pour la cinnarizine. Le potentiel carcinogène de lassociation cinnarizine/diménhydrinate na pas été testé.
  • -Les propriétés toxicologiques pour la reproduction de lassociation des principes actifs cinnarizine et diménhydrinate nont pas été suffisamment étudiées. On ne dispose pas détudes suffisantes relatives au risque daltération de la fertilité. Les études expérimentales animales du diménhydrinate relatives aux effets embryo- et foetotoxiques étaient négatives, mais pas suffisamment importantes. Chez le lapin et la souris, la diphénhydramine, le métabolite actif du diménhydrinate, entraîne des effets embryotoxiques.
  • +La cinnarizine et le diménhydrinate ont été testés in vitro à la recherche d'effets mutagènes. Les tests n'ont mis en évidence aucun signe important de mutagénicité.
  • +On n'a pas mis en évidence de signes en faveur d'une clastogénicité pour la cinnarizine. Le potentiel carcinogène de l'association cinnarizine/diménhydrinate n'a pas été testé.
  • +Les propriétés toxicologiques sur la reproduction de l'association des principes actifs cinnarizine et diménhydrinate n'ont pas été suffisamment étudiées. On ne dispose pas d'études suffisantes relatives au risque d'altération de la fertilité. Les études expérimentales animales du diménhydrinate relatives aux effets embryo- et foetotoxiques étaient négatives, mais pas suffisamment vastes. Chez le lapin et la souris, la diphénhydramine, le métabolite actif du diménhydrinate, entraîne des effets embryotoxiques.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur lemballage.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
  • -Conserver à température ambiante (1525 °C) dans son emballage d’origine et hors de portée des enfants.
  • +Conserver à température ambiante (15-25 °C) dans l'emballage original et hors de portée des enfants.
  • -Arlevert cpr 20. (B)
  • -Arlevert cpr 50. (B)
  • -Arlevert cpr 100. (B)
  • +Arlevert comprimés x 20. (B)
  • +Arlevert comprimés x 50. (B)
  • +Arlevert comprimés x 100. (B)
  • -Décembre 2009
  • +Février 2021
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