44 Changements de l'information professionelle Circadin |
-OEMéd
-Principe actif: mélatonine.
-Excipients: lactose monohydraté.
- +a. Principe actif: mélatonine
- +b. Excipients: lactose monohydraté
-Indications/Possibilités d’emploi
- +Indications/possibilités d’emploi
-Posologie/Mode d’emploi
-La posologie recommandée est d’un comprimé de 2 mg une fois par jour, 1 à 2 heures avant le coucher et après le repas. Poursuivre cette posologie pendant trois semaines.
- +Posologie/mode d’emploi
- +Adultes
- +La posologie recommandée est de 2 mg une fois par jour, 1 à 2 heures avant le coucher et après le dernier repas. Cette posologie peut être maintenue pendant trois semaines. Individuellement, et en cas d’indication médicale, le traitement peut être poursuivi jusqu’à 13 semaines (3 mois). Ceci ne devrait néanmoins pas être effectué sans évaluation médicale préalable.
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-La cause de l’insomnie doit si possible être identifiée, et les éventuels facteurs sous-jacents traités avant la prescription d’un hypnotique. Ainsi, Circadin ne devrait être prescrit que si une cause responsable de l’insomnie n’a pas été identifiée (insomnie primaire).
- +La cause de l’insomnie doit si possible être identifiée, et les éventuels facteurs sous-jacents traités avant la prescription d’un hypnotique. Ainsi, Circadin ne devrait être prescrit que si une cause responsable de l’insomnie n’a pas été identifiée (insomnie primaire).
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-In vitro , la mélatonine est inducteur des enzymes du CYP3A à des concentrations supra-thérapeutiques. La pertinence clinique de cette observation n’est pas connue. En cas d’induction, une diminution des concentrations plasmatiques des médicaments administrés simultanément est possible.
-In vitro et à des concentrations supra-thérapeutiques, la mélatonine n’est pas inducteur des enzymes du CYP1A. Il est par conséquent peu probable d’observer des interactions notables, entre la mélatonine et d’autres substances actives, découlant de l’effet de la mélatonine sur les enzymes CYP1A.
-Le métabolisme de la mélatonine est principalement médié par les enzymes du CYP1A. Par conséquent, des interactions entre la mélatonine et d’autres substances actives découlant de leur effet sur les enzymes CYP1A sont possible.
-La prudence s’impose chez les patients traités par la fluvoxamine, qui entraîne une augmentation des concentrations plasmatiques de mélatonine (de 17 fois pour l’AUC et de 12 fois pour la C) en inhibant son métabolisme par les isoenzymes CYP1A2 et CYP2C19 (CYP) du cytochrome P450. Cette association est à éviter.
-La prudence s’impose chez les patients traités par le 5- ou le 8- méthoxypsoralène (5- et 8-MOP), qui entraînent une augmentation des concentrations plasmatiques de mélatonine en inhibant son métabolisme.
-La prudence s’impose chez les patients traités par la cimétidine, un inhibiteur des CYP2D, qui augmente les concentrations plasmatiques de mélatonine en inhibant son métabolisme.
-Le tabagisme est susceptible de réduire le taux de mélatonine en raison de l’induction des CYP1A2.
-La prudence s’impose chez les patientes sous oestrogénothérapie (par ex. contraceptifs ou hormonothérapie de substitution), qui accroît les concentrations plasmatiques de mélatonine en inhibant son métabolisme par les CYP1A1 et CYP1A2.
-Les inhibiteurs des CYP1A2 tels que les quinolones sont susceptibles d’accroître l’exposition à la mélatonine.
-Les inducteurs des CYP1A2 tels que la carbamazépine et la rifampicine sont susceptibles de réduire la concentration plasmatique de la mélatonine.
-La littérature contient une multitude de données concernant l’effet des agonistes/antagonistes adrénergiques, des agonistes/antagonistes des opiacés, des antidépresseurs, des inhibiteurs de la prostaglandine, des benzodiazépines, du tryptophane et de l’alcool, sur la sécrétion de la mélatonine endogène. Aucune étude n’a été réalisée pour déterminer si ces substances actives interfèrent ou non avec les effets dynamiques ou cinétiques du Circadin.
- +Interactions pharmacocinétiques
- +·In vitro, la mélatonine est inducteur des enzymes du CYP3A à des concentrations suprathérapeutiques. La pertinence clinique de cette observation n’est pas connue. En cas d’induction, une diminution des concentrations plasmatiques des médicaments administrés simultanément est possible.
- +·In vitro et à des concentrations supra-thérapeutiques, la mélatonine n’est pas inducteur des enzymes du CYP1A. Il est par conséquent peu probable d’observer des interactions notables, entre la mélatonine et d’autres substances actives, découlant de l’effet de la mélatonine sur les enzymes CYP1A.
- +·Le métabolisme de la mélatonine est principalement médié par les enzymes du CYP1A. Par conséquent, des interactions entre la mélatonine et d’autres substances actives découlant de leur effet sur les enzymes CYP1A sont possibles.
- +·La prudence s’impose chez les patients traités par la fluvoxamine, qui entraîne une augmentation des concentrations plasmatiques de mélatonine (de 17 fois pour l’AUC et de 12 fois pour la Cmax) en inhibant son métabolisme par les isoenzymes CYP1A2 et CYP2C19 (CYP) du cytochrome P450. Cette association est à éviter.
- +·La prudence s’impose chez les patients traités par le 5- ou le 8méthoxypsoralène (5- et 8-MOP), qui entraînent une augmentation des concentrations plasmatiques de mélatonine en inhibant son métabolisme.
- +·La prudence s’impose chez les patients traités par la cimétidine, un inhibiteur des CYP2D, qui augmente les concentrations plasmatiques de mélatonine en inhibant son métabolisme.
- +·Le tabagisme est susceptible de réduire le taux de mélatonine en raison de l’induction des CYP1A2.
- +·La prudence s’impose chez les patientes sous oestrogénothérapie (par ex. contraceptifs ou hormonothérapie de substitution), qui accroît les concentrations plasmatiques de mélatonine en inhibant son métabolisme par les CYP1A1 et CYP1A2.
- +·Les inhibiteurs des CYP1A2 tels que les quinolones sont susceptibles d’accroître l’exposition à la mélatonine.
- +·Les inducteurs des CYP1A2 tels que la carbamazépine et la rifampicine sont susceptibles de réduire la concentration plasmatique de la mélatonine.
- +·La littérature contient une multitude de données concernant l’effet des agonistes/antagonistes adrénergiques, des agonistes/antagonistes des opiacés, des antidépresseurs, des inhibiteurs de la prostaglandine, des benzodiazépines, du tryptophane et de l’alcool, sur la sécrétion de la mélatonine endogène. Aucune étude n’a été réalisée pour déterminer si ces substances actives interfèrent ou non avec les effets dynamiques ou cinétiques de Circadin.
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-La consommation d’alcool doit être proscrite pendant le traitement par Circadin en raison d’une diminution de l’efficacité de Circadin sur le sommeil.
-Il est possible que Circadin amplifie les propriétés sédatives des benzodiazépines et des hypnotiques autres que les benzodiazépines, tels que le zalépon, le zolpidem et la zopiclone. Dans un essai clinique, des preuves d’une interaction pharmacodynamique transitoire entre Circadin et le zolpidem ont été observées une heure après la co-administration de ces deux produits. Leur co-administration s’est traduite par une altération accrue de l’attention, de la mémoire et de la coordination, en comparaison au zolpidem utilisé seul.
-Circadin a été co-administré dans des études avec la thioridazine et l’imipramine, deux substances actives qui agissent sur le système nerveux central. Aucune interaction pharmacocinétique cliniquement significative n’a été observée avec l’une ou l’autre de ces substances. Toutefois, la co-administration de Circadin a majoré la sensation de tranquillité et la difficulté à effectuer des tâches, en comparaison avec l’imipramine utilisée seule, et a entraîné des sensations vertigineuses plus marquées comparé à la thioridazine utilisée seule.
-Grossesse/Allaitement
-Aucune donnée n’est disponible sur l’utilisation de la mélatonine chez la femme enceinte. Les études chez l’animal n’ont pas montré d’effet délétère direct ou indirect sur la gestation, le développement embryonnaire ou foetal, l’accouchement ou le développement post-natal (voir rubrique «Données précliniques»). En l’absence de données cliniques, il est déconseillé d’utiliser ce médicament chez la femme enceinte ou qui désire le devenir.
- +·La consommation d’alcool doit être proscrite pendant le traitement par Circadin en raison d’une diminution de l’efficacité de Circadin sur le sommeil.
- +·Il est possible que Circadin amplifie les propriétés sédatives des benzodiazépines et des hypnotiques autres que les benzodiazépines, tels que le zaléplon, le zolpidem et la zopiclone. Au cours d’un essai clinique, une interaction pharmacodynamique transitoire entre Circadin et le zolpidem a été observée une heure après l’administration simultanée de ces deux produits. Leur administration simultanée s’est traduite par une altération accrue de l’attention, de la mémoire et de la coordination, comparé au zolpidem utilisé seul.
- +·Au cours d’études, Circadin a été administré simultanément avec la thioridazine et l’imipramine, deux substances actives qui agissent sur le système nerveux central. Aucune interaction pharmacocinétique cliniquement significative n’a été observée avec l’une ou l’autre de ces substances. Toutefois, l’administration concomitante de Circadin a majoré la sensation de tranquillité et la difficulté à effectuer des tâches, comparé à l’imipramine utilisée seule, et a entraîné des sensations vertigineuses plus marquées comparé à la thioridazine utilisée seule.
- +Grossesse/allaitement
- +Aucune donnée n’est disponible sur l'utilisation de la mélatonine chez la femme enceinte. Les études chez l'animal n’ont pas montré d'effet délétère direct ou indirect sur la gestation, le développement embryonnaire ou foetal, l’accouchement ou le développement post-natal (voir rubrique « Données précliniques »). En l’absence de données cliniques, il est déconseillé d’utiliser ce médicament chez la femme enceinte ou qui désire le devenir.
-Circadin a une influence modérée sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Circadin peut induire une somnolence; de ce fait, ce médicament doit être utilisé avec prudence si les effets de cette somnolence sont susceptibles de poser un problème de sécurité.
- +Circadin a une influence modérée sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. Circadin peut induire une somnolence ; de ce fait, ce médicament doit être utilisé avec prudence si les effets de cette somnolence sont susceptibles de poser un problème de sécurité.
-Dans des essais cliniques (dans le cadre desquels un total de 1361 patients ont pris Circadin et 1247 patients un placebo), 37,0% des patients recevant Circadin ont rapporté une réaction indésirable, alors que ce pourcentage était de 31,8% chez ceux ayant reçu un placebo. La comparaison des pourcentages de patients ayant eu des réactions indésirables par 100 semaines-patients a montré un pourcentage supérieur pour le placebo que pour Circadin (8,21 – placebo vs 3,17 – Circadin). Les réactions indésirables les plus fréquentes étaient: céphalées, pharyngite, mal de dos et asthénie, qui étaient fréquentes, d’après la définition MedDRA, dans le groupe sous Circadin comme dans celui sous placebo.
-Les effets indésirables suivants ont été rapportés dans les essais cliniques et ont été définis comme possiblement, probablement ou certainement dus au traitement. Un total de 6,9% des sujets recevant Circadin a rapporté un effet indésirable, comparé à 5,9% de ceux sous placebo. Seuls les effets indésirables étant survenus chez les patients à une fréquence au moins égale à celle rapportée sous placebo figurent ci-dessous.
- +Au cours d’essais cliniques (dans le cadre desquels un total de 1931 patients ont pris Circadin et 1642 patients un placebo), 48,8 % des patients recevant Circadin ont rapporté une réaction indésirable, alors que ce pourcentage était de 37,8 % chez ceux ayant reçu un placebo. La comparaison des pourcentages de patients ayant eu des réactions indésirables par 100 semaines-patient a montré un pourcentage supérieur pour le placebo que pour Circadin (5,74 – placebo vs. 3,01 – Circadin). Les réactions indésirables céphalées, nasopharyngite, mal de dos et arthralgie, étaient fréquentes, d’après la définition MedDRA, dans le groupe sous Circadin comme dans celui sous placebo.
- +Les effets indésirables suivants ont été rapportés au cours d’essais cliniques et ont été définis comme possiblement, probablement ou certainement imputables au traitement. Un total de 9,5 % des sujets recevant Circadin a rapporté un effet indésirable, comparé à 7,4 % de ceux sous placebo. Seuls les effets indésirables étant survenus chez les patients à une fréquence au moins égale à celle rapportée sous placebo figurent ci-dessous.
-Très fréquent (≥1/10); fréquent (≥1/100, <1/10); peu fréquent (≥1/1000, <1/100); rare (≥1/10’000, <1/1000); très rare (<1/10’000); fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Infections et infestations
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-Rare: Zona.
-Affections hématologiques et du système lymphatique
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-Rare: Leucopénie, thrombocytopénie.
-Troubles du métabolisme et de la nutrition
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-Rare: Hypertriglycéridémie.
-Affections psychiatriques
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-Peu fréquent: Irritabilité, nervosité, impatience, insomnie, rêves anormaux.
-Rare: Troubles de l’humeur, agressivité, agitation, pleurs, réveil tôt le matin, augmentation de la libido.
-Affections du système nerveux
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-Peu fréquent: Migraine, hyperactivité psychomotrice, sensations vertigineuses, somnolence.
-Rare: Altération de la mémoire, troubles de l’attention, sommeil de qualité médiocre.
-Affections oculaires
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-Rare: Baisse de l’acuité visuelle, vue trouble, larmoiement accru.
-Affections de l’oreille et du labyrinthe
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-Rare: Vertige positionnel.
-Affections vasculaires
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-Rare: Bouffées de chaleur.
-Affections gastro-intestinales
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-Peu fréquent: Douleurs abdominales, constipation, sécheresse buccale.
-Rare: Troubles gastro-intestinaux, gêne gastro-intestinale, vomissements, bruits intestinaux anormaux, flatulence, hypersécrétion salivaire, halitose.
-Affections hépatobiliaires
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-Peu fréquent: Hyperbilirubinémie.
-Rare: Augmentation des enzymes hépatiques, tests fonctionnels hépatiques anormaux, tests biologiques anormaux.
-Affections de la peau et du tissu sous-cutané
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-Peu fréquent: Hyperhidrose.
-Rare: Eczéma, Érythème, Rash accompagné de prurit, Prurit, Peau sèche, affections des ongles, sueurs nocturnes.
-Affections musculo-squelettiques et systémiques
- +Très fréquent (≥ 1/10); Fréquent (≥ 1/100, < 1/10); Peu fréquent (≥ 1/1 000, <1/100); Rare (≥1/10 000, <1/1 000); Très rare (< 1/10 000); fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
- +Classe de systèmes d’organes Très fréquent Fréquent Peu fréquent Rare
- +Infections et infestations Zona
- +Affections hématologiques et du système lymphatique Leucopénie, thrombocytopénie
- +Troubles de la fonction cardiaque Angor, palpitations
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition Hypertriglycéridémie, hypocalcémie, hyponatrémie
- +Affections psychiatriques Irritabilité, nervosité, impatience, insomnie, rêves anormaux Troubles de l’humeur, agressivité, agitation, pleurs, réveil tôt le matin, augmentation de la libido
- +Affections du système nerveux Migraine, léthargie, hyperactivité psychomotrice, sensations vertigineuses, somnolence Syncope, altération de la mémoire, troubles de l’attention, absence, syndrome des jambes sans repos, sommeil de qualité médiocre, paresthésie
- +Affections oculaires Baisse de l’acuité visuelle, vue trouble, larmoiement accru
- +Affections de l’oreille et du labyrinthe Vertige positionnel, vertige
- +Affections vasculaires Hypertension Bouffées de chaleur
- +Affections gastrointestinales Douleurs abdominales, douleurs gastriques, dyspepsie, sécheresse buccale, ulcération buccale Reflux gastro-œsophagien, troubles gastro-intestinaux, formation d’aphtes, ulcération linguale, dyspepsie, vomissements, bruits intestinaux anormaux, flatulence, hypersalivation, halitose, gastrite
- +Affections hépatobiliaires Hyperbilirubinémie
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané Dermatites, sudation nocturne, éruption cutanée, prurit généralisé, peau sèche Eczéma, érythème, psoriasis, affections des ongles
- +Affections musculosquelettiques et systémiques Douleurs articulaires Arthrite, crampes musculaires, douleur cervicale, crampes nocturne
- +Affections des organes de reproduction et du sein Symptômes de la ménopause Priapisme, prostatite
- +Troubles généraux et anomalies au site d’administration Asthénie, douleurs thoraciques Fatigue, douleurs, soif
- +Troubles de la fonction rénale et des voies urinaire Glycosurie, protéinurie Polyurie, hématurie, nycturie
- +Investigations Prise de poids, tests de la fonction hépatique anormaux Elévation des valeurs hépatiques, valeurs des électrolytes sanguins anormaux, tests de laboratoire anormaux
-Rare: Crampes musculaires, douleur cervicale.
-Affections des organes de reproduction et du sein
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-Rare: Priapisme.
-Troubles généraux et anomalies au site d’administration
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-Peu fréquent: Asthénie.
-Rare: Fatigue.
-Investigations
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-Peu fréquent: Prise de poids.
-Code ATC: N05CH01
- +Code ATC: N05CM17
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-Dans les essais cliniques dans lesquels des patients présentant une insomnie primaire ont reçu 2 mg de Circadin tous les soirs pendant 3 semaines, des bénéfices ont été notés chez les patients traités, comparés à ceux sous placebo, sur la latence d’endormissement (mesurée par des moyens objectifs et subjectifs), et sur la qualité subjective du sommeil et du fonctionnement durant la journée (sommeil réparateur) sans altération de la vigilance diurne.
-Dans une étude polysomnographique (PSG) comportant une période de préinclusion de 2 semaines (sous traitement par un placebo en simple insu), suivie d’une période de traitement de 3 semaines (en double insu, contrôlée versus placebo et en groupes parallèles) puis d’une période d’interruption sur 3 semaines, le temps de latence d’endormissement a été raccourci de 9 minutes, comparé au placebo.
- +Au cours d’essais cliniques chez des patients présentant une insomnie primaire et ayant reçu 2 mg de Circadin tous les soirs pendant 3 semaines, des améliorations ont été notés chez les patients traités, comparés à ceux sous placebo, sur la latence d’endormissement (mesurée par des moyens objectifs et subjectifs), et sur la qualité subjective du sommeil et du fonctionnement durant la journée (sommeil réparateur) sans altération de la vigilance diurne.
- +Au cours d’une étude polysomnographique (PSG) comportant une période de préinclusion de 2 semaines (sous traitement par un placebo en simple insu), suivie d’une période de traitement de 3 semaines (en double insu, contrôlée versus placebo et en groupes parallèles) puis d’une période d’interruption sur 3 semaines, le temps de latence d’endormissement a été raccourci de 9 minutes, comparé au placebo.
-Dans une étude chez des patients suivis en externe comportant une période initiale de préinclusion avec un placebo, une période de traitement de trois semaines randomisée, en double insu, contrôlée versus placebo, en groupes parallèles, et une période de sevrage de deux semaines sous placebo, le pourcentage de patients présentant une amélioration cliniquement significative de la qualité du sommeil et de la vigilance matinale était de 47% dans le groupe sous Circadin versus 27% dans le groupe sous placebo. En outre, la qualité du sommeil et la vigilance matinale se sont améliorées de façon significative avec Circadin, comparé au placebo. Les variables du sommeil sont progressivement revenues aux valeurs initiales sans effet rebond, sans augmentation des effets indésirables ni des symptômes de sevrage.
-Dans une seconde étude conduite selon un protocole similaire le pourcentage de patients présentant une amélioration cliniquement significative de la qualité du sommeil et de la vigilance matinale était de 26% dans le groupe sous Circadin et de 15% dans le groupe sous placebo. Circadin a raccourci de 24,3 minutes le temps de latence d’endormissement rapporté par les patients, comparé à un raccourcissement de 12,9 minutes dans le groupe sous placebo. En outre, la qualité du sommeil, le nombre de réveils nocturnes et la vigilance matinale se sont, de l’avis des patients, améliorés significativement avec Circadin, comparé au placebo.
- +Au cours d’une étude ambulatoire comportant une période initiale de préinclusion avec un placebo, une période de traitement randomisé de trois semaines, en double insu, en groupes parallèles, comparant Circadin à un placebo et une période de sevrage de deux semaines sous placebo, le pourcentage de patients présentant une amélioration cliniquement significative de la qualité du sommeil et de la vigilance matinale était de 47 % dans le groupe sous Circadin versus 27 % dans le groupe sous placebo. En outre, la qualité du sommeil et la vigilance matinale se sont améliorées de façon significative avec Circadin, comparé au placebo. Les variables du sommeil sont progressivement revenues aux valeurs initiales sans effet rebond, sans augmentation des effets indésirables ni des symptômes de sevrage.
- +Au cours d’une seconde étude ambulatoire, comportant une période initiale de préinclusion de 2 semaines sous placebo et une période de traitement de trois semaines, randomisée, en double insu, contrôlée versus placebo et en groupes parallèles, le pourcentage de patients présentant une amélioration cliniquement significative de la qualité du sommeil et de la vigilance matinale était de 26 % dans le groupe sous Circadin et de 15 % dans le groupe sous placebo. Circadin a raccourci de 24,3 minutes le temps de latence d’endormissement rapporté par les patients, comparé à un raccourcissement de 12,9 minutes dans le groupe sous placebo. En outre, la qualité du sommeil, le nombre de réveils nocturnes et la vigilance matinale se sont, selon l’avis des patients, améliorés significativement avec Circadin, comparé au placebo.
- +Absorption
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-La biodisponibilité est de l’ordre de 15%. Il se produit un important effet de premier passage avec un métabolisme de premier passage estimé de 85%. La Test obtenue 3 heures après le repas. Le taux d’absorption de la mélatonine et la Caprès administration orale de 2 mg de Circadin sont affectés par la prise d’aliments. La présence d’aliments a retardé l’absorption de la mélatonine, ce qui a retardé (T= 3,0 h versus T= 0,75 h) l’obtention du pic plasmatique et réduit la concentration plasmatique maximale après le repas (C= 1020 versus C= 1176 pg/ml).
- +La biodisponibilité est de l’ordre de 15 %. Il se produit un important effet de premier passage avec un métabolisme de premier passage estimé de 85 %. La Tmax est obtenue 3 heures après le repas. Le taux d’absorption de la mélatonine et la Cmax après administration orale de 2 mg de Circadin sont affectés par la prise d’aliments. La présence d’aliments a retardé l’absorption de la mélatonine, ce qui a retardé (Tmax=3,0 h versus Tmax= 0,75 h) l’obtention du pic plasmatique et réduit la concentration plasmatique maximale après le repas (Cmax=1020 versus Cmax=1176 pg/ml).
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-In vitro , la liaison de la mélatonine aux protéines plasmatiques est de l’ordre de 60%. Circadin se fixe principalement à l’albumine, à la glycoprotéine alpha1-acide et à la lipoprotéine haute densité.
- +In vitro, la liaison de la mélatonine aux protéines plasmatiques est de l’ordre de 60 %. Circadin se fixe principalement à l’albumine, à la glycoprotéine alpha1-acide et à la lipoprotéine haute densité.
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-La demi-vie terminale () est de 3,5 à 4 heures. Les métabolites sont éliminés par voie rénale, 89% sous la forme de conjugués sulfatés et glucoronides de la 6-hydroxymélatonine et 2% sont excrétés sous forme de mélatonine inchangée.
- +La demi-vie terminale (t½) est de 3,5 à 4 heures. Les métabolites sont éliminés par voie rénale, 89 % sous la forme de conjugués sulfatés et glucoronides de la 6-hydroxymélatonine et 2 % sont excrétés sous forme de mélatonine inchangée.
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-Chez les femmes, une augmentation de 3 à 4 fois de la Cest observée, comparé aux hommes. Un facteur de variabilité de 1 à 5 de la Ca également été observé entre différents membres du même sexe.
- +Chez les femmes, une augmentation de 3 à 4 fois de la Cmax est observée, comparé aux hommes. Un facteur de variabilité de 1 à 5 de la Cmax a également été observé entre différents membres du même sexe.
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-Le métabolisme de la mélatonine est connu pour diminuer avec l’âge. A travers différentes doses, une AUC plus importante et une Cplus élevée ont été rapportées chez des sujets plus âgés, comparé à des sujets plus jeunes, ce qui reflète le métabolisme plus faible de la mélatonine chez les personnes âgées: Cde l’ordre de 500 pg/ml chez les adultes (18–45 ans) versus 1200 pg/ml chez les personnes âgées (55–69 ans); AUC de l’ordre de 3000 pg*h/ml chez les adultes versus 5000 pg*h/ml chez les personnes âgées.
- +Personnes âgées
- +Le métabolisme de la mélatonine est connu pour diminuer avec l’âge. A travers différentes doses, une AUC plus importante et une Cmax plus élevée ont été rapportées chez des sujets plus âgés, comparé à des sujets plus jeunes, ce qui reflète le métabolisme plus faible de la mélatonine chez les personnes âgées : Cmax de l’ordre de 500 pg/ml chez les adultes (18-45 ans) versus 1200 pg/ml chez les personnes âgées (55-69 ans) ; AUC de l’ordre de 3000 pg*h/ml chez les adultes versus 5000 pg*h/mL chez les personnes âgées.
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-La dose à laquelle aucun effet indésirable ne peut être observé (NOAEL) de 15 mg/kg/jour chez le rat est équivalente à une AUC qui est considérablement plus élevée (× 15’000) que l’exposition de l’être humain à la substance après l’ingestion de Circadin 2 mg.
-Dans l’étude de cancérogénicité, une incidence accrue de tumeurs bénignes de la thyroïde a été observée avec la dose élevée (150 mg/kg, qui équivaut à une AUC × 1’500’000 par rapport à l’exposition de l’être humain à la substance après l’ingestion de Circadin 2 mg) chez le rat mâle. Le mécanisme probable d’une induction hépatique du métabolisme des hormones thyroïdiennes, qui est bien connu avec d’autres xénobiotiques, surtout chez les rongeurs, est en cours d’étude.
- +La dose à laquelle aucun effet indésirable ne peut être observé (NOAEL) de 15 mg/kg/jour chez le rat est équivalente à une AUC qui est considérablement plus élevée (x 15000) que l’exposition de l’être humain à la substance après l’ingestion de Circadin 2 mg.
- +Dans l’étude de cancérogénicité, une incidence accrue de tumeurs bénignes de la thyroïde a été observée avec la dose élevée (150 mg/kg, qui équivaut à une AUC x 1.500.000 par rapport à l’exposition de l’être humain à la substance après l’ingestion de Circadin 2 mg) chez le rat mâle. Le mécanisme probable d’une induction hépatique du métabolisme des hormones thyroïdiennes, qui est bien connu avec d’autres xénobiotiques, surtout chez les rongeurs, est en cours d’étude.
- +Incompatibilités
- +
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-A conserver à une température ne dépassant pas 25 °C.
- +A conserver à une température ne dépassant pas 25° C.
-59311 (Swissmedic).
- +59'311 (Swissmedic)
- +Présentation
- +Circadin® 2 mg, comprimés à libération prolongée, 21 [B]
-Neurim Pharmaceuticals SA, 1000 Lausanne 30.
- +Neurim Pharmaceuticals AG
- +6312 Steinhausen
-Juin 2009.
- +Mars 2011
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