48 Changements de l'information professionelle Co-Valtan-Mepha 80/12.5 mg |
-Utilisation chez les patients âgés (de plus de 65 ans)
- +Utilisation chez les patients âgés (plus de 65 ans)
-Utilisation chez les enfants et les adolescents
-L'efficacité et la sécurité de Co-Valtan-Mepha n'ont pas été étudiées chez les enfants et les adolescents.
- +Utilisation chez l'enfant et les adolescent
- +L'efficacité et la sécurité de Co-Valtan-Mepha n'ont pas été étudiées dans le traitement des enfants et des adolescents de moins de 18 ans.
-·Administration concomitante d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine (ARA), y compris Co-Valtan-Mepha, ou d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IEC) avec l'aliskirène chez les patients atteints de diabète sucré (de type 1 ou de type 2) ainsi que chez les patients atteints d'insuffisance rénale (TFG < 60 ml/min) (cf. rubrique «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA»).
- +·Administration concomitante d'antagonistes des récepteurs de l'angiotensine (ARA), y compris Co-Valtan-Mepha, ou d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IEC) avec l'aliskirène chez les patients atteints de diabète sucré (de type 1 ou de type 2) ainsi que chez les patients atteints d'insuffisance rénale (TFG <60 ml/min) (cf. rubrique «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA»).
-Chez les patients insuffisants rénaux (TFG < 60 ml/min), l'administration concomitante d'ARA, y compris de Co-Valtan-Mepha, ou d'IEC avec l'aliskirène est contre-indiquée (cf. rubrique «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA»).
- +Chez les patients insuffisants rénaux (TFG <60 ml/min), l'administration concomitante d'ARA, y compris de Co-Valtan-Mepha, ou d'IEC avec l'aliskirène est contre-indiquée (cf. rubrique «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA»).
-L'administration concomitante d'ARA, y compris de Co-Valtan-Mepha, et d'autres principes actifs bloquant le SRAA, tels que les ICE ou l'aliskirène n'est pas recommandée. Cette association est contre-indiquée chez certains patients (cf. «Contre-indications» et «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA»).
- +(cf. «Contre-indications» et «Interactions», sous-section «Double blocage du SRAA»).
-Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone avec des ARA, des IEC ou l'aliskirène: L'administration concomitante d'ARA, y compris de Co-Valtan-Mepha, avec d'autres médicaments agissant sur le SRAA est associée à une augmentation de l'incidence de l'hypotension, des syncopes, de l'hyperkaliémie et de l'insuffisance rénale (y compris d'une défaillance rénale aigüe) par rapport à une monothérapie. Chez les patients recevant Co-Valtan-Mepha et d'autres médicaments agissant sur le SRAA, il est recommandé de surveiller régulièrement la tension artérielle, la fonction rénale et le statut électrolytique (cf. rubrique «Mises en garde et précautions»).
-Chez les patients insuffisants rénaux (TFG < 60 ml/min), l'utilisation concomitante d'ARA, y compris de Co-Valtan-Mepha, ou d'IEC avec l'aliskirène est contre-indiquée (cf. rubriques «Mises en garde et précautions» et «Contre-indications»).
-L'utilisation concomitante d'ARA, y compris de Co-Valtan-Mepha, ou d'IEC avec l'aliskirène est contre-indiquée chez les patients atteints de diabète de type 1 ou de type 2 (cf. rubrique «Contre-indications»).
- +Double blocage du système rénine-angiotensine-aldostérone avec des ARA, des IEC ou l'aliskirène: L'administration concomitante d'ARA, y compris de Co-Valtan-Mepha, avec d'autres médicaments agissant sur le SRAA est associée à une augmentation de l'incidence de l'hypotension, des syncopes, de l'hyperkaliémie et de l'insuffisance rénale (y compris d'une défaillance rénale aigüe) par rapport à une monothérapie. Un double blocage du SRAA par l'utilisation concomittante d'un inhibiteur de l'ECA, d'un ARA ou de l'aliskirène n'est par conséquent pas recommandé. Lorsque le traitement avec un double blocage est considéré comme absolument nécessaire, celui-ci doit se faire sous la surveillance d'un spécialiste et en effectuant des contrôles étroits de la fonction rénale, des électrolytes et de la tension artérielle. (cf. rubrique «Mises en garde et précautions»).
- +Chez les patients insuffisants rénaux (TFG <60 ml/min), l'utilisation concomitante d'ARA, y compris de Co-Valtan-Mepha, ou d'IEC avec l'aliskirène est contre-indiquée (cf. rubriques «Mises en garde et précautions» et «Contre-indications»).
- +L'utilisation concomitante d'ARA, y compris de Co-Valtan-Mepha, ou d'IEC avec l'aliskirène est contre-indiquée chez les patients atteints de diabète de type 1 ou de type 2 (cf. rubrique «Contre-indications»). Les inhibiteurs d'ECA – y compris le Co-Valtan-Mepha – et les antagonistes du récepteur de l'angiotensine (ARA) ne devraient pas être utilisés de manière concomitante chez les patients présentant une néphropathie diabétique.
-Transporteurs: des études in vitro avec du tissu hépatique humain indiquent que le valsartan est un substrat du transporteur hépatique d'influx OATP1B1 et du transporteur hépatique d'efflux MRP2. C’est pourquoi l’exposition systémique au valsartan peut augmenter en cas d’administration concomitante d’inhibiteurs des transporteurs OATP1B1 (rifampicine, ciclosporine) ou MRP2 (ritonavir).
-Aucune interaction cliniquement significative n'a été observée entre le valsartan administré en monothérapie et les médicaments suivants: cimétidine, warfarine, furosémide, digoxine, aténolol, indométacine, hydrochlorothiazide, amlodipine, glibenclamide.
- +Transporteurs: des études in vitro avec du tissu hépatique humain indiquent que le valsartan est un substrat du transporteur hépatique d'influx OATP1B1 et du transporteur hépatique d'efflux MRP2.
- +C'est pourquoi l'exposition systémique au valsartan peut augmenter en cas d'administration concomitante d'inhibiteurs des transporteurs OATP1B1 (rifampicine, ciclosporine) ou MRP2 (ritonavir).Aucune interaction cliniquement significative n'a été observée entre le valsartan administré en monothérapie et les médicaments suivants: cimétidine, warfarine, furosémide, digoxine, aténolol, indométacine, hydrochlorothiazide, amlodipine, glibenclamide.
-Occasionnel: hypokaliémie, déshydratation.
-Fréquence inconnue: hyponatrémie.
- +Occasionnel: déshydratation.
- +Fréquence inconnue: hypokaliémie, hyponatrémie.
-Le colorant azoïque E110 contenu dans les comprimés pelliculés Co-Valtan-Mepha 80/12.5 peut provoquer des réactions d'hypersensibilité au niveau de la peau et des organes respiratoires.
- +Le colorant azoïque E110 contenu dans les comprimés pelliculés Co-Valtan-Mepha 80/12.5 peut provoquer des réactions d'hypersensibilité au niveau de la peau et des organes respiratoires.
-Occasionnel: fatigue
- +Occasionnel: fatigue.
-Une diminution de la kaliémie de plus de 20% a été constatée chez 3.7% des patients traités par le valsartan/ hydrochlorothiazide et chez 3.1% des patients sous placebo.
-Lors d'études cliniques contrôlées, une augmentation de la créatinine et une augmentation de l'azote uréique a été observée chez 1.9% resp. 14.7% des patients traités par le valsartan/ hydrochlorothiazide et chez 0.4% resp. 6.3% des patients sous placebo.
- +Une diminution de la kaliémie de plus de 20% a été constatée chez 3.7% des patients traités par le valsartan/hydrochlorothiazide et chez 3.1% des patients sous placebo.
- +Lors d'études cliniques contrôlées, une augmentation de la créatinine et une augmentation de l'azote uréique a été observée chez 1.9% resp. 14.7% des patients traités par le valsartan/hydrochlorothiazide et chez 0.4% resp. 6.3% des patients sous placebo.
-Les résultats suivants, observés en relation avec le valsartan en monothérapie, n'ont pas été constatés sous le valsartan/ hydrochlorothiazide:
- +Les résultats suivants, observés en relation avec le valsartan en monothérapie, n'ont pas été constatés sous le valsartan/hydrochlorothiazide:
-Dans des études cliniques contrôlées, une hausse significative de la concentration sérique de la créatinine, du potassium et de la bilirubine totale a été observée chez respectivement 0.8%, 4.4% et 6% des patients sous valsartan contre 1.6%, 6.4% et 12.9% des patients sous inhibiteur de l'ECA.
- +Dans des études cliniques contrôlées, une hausse significative de la concentration sanguine de la créatinine, du potassium et de la bilirubine totale a été observée chez respectivement 0.8%, 4.4% et 6% des patients sous valsartan contre 1.6%, 6.4% et 12.9% des patients sous inhibiteur de l'ECA.
-Très rare: réactions d'hypersensibilité.
- +Très rare: vasculite nécrosante, réactions d'hypersensibilité.
-Fréquent: hyponatrémie, hypomagnésiémie et hyperuricémie.
- +Fréquent: hyponatrémie, hypomagnésiémie, hyperuricémie et diminution de l'appétit.
- +Troubles psychiatriques
- +Rares: insomnie.
-Rare: céphalées, vertiges ou obnubilation, troubles du sommeil, dépression et paresthésies.
- +Rare: céphalées, vertiges ou obnubilation, dépression et paresthésies.
-Fréquent: manque d'appétit, légère nausée et vomissements.
- +Fréquent: légère nausée et vomissements.
-Très rare: vasculite nécrosante et nécrolyse épidermique toxique, réactions cutanées semblables au lupus érythémateux, réactivation d'un lupus érythémateux cutané.
- +Très rare: nécrolyse épidermique toxique, réactions cutanées semblables au lupus érythémateux, réactivation d'un lupus érythémateux cutané.
-Le site d'action principal des diurétiques thiazidiques est la partie initiale du tube contourné distal. On a pu montrer que le cortex rénal contient un récepteur de haute affinité qui représente le site de liaison primaire et d'action des diurétiques thiazidiques qui inhibent le transport du NaCl dans la partie initiale du tube contourné distal. L'action des thiazides résulte de l'inhibition du symport Na+Cl. L'influence sur la réabsorption électrolytique résulte vraisemblablement d'une occupation du site de liaison Cl sur un mode compétitif: celle-ci entraîne directement une augmentation de l'excrétion d'ions sodium et chlorure en quantité équivalente. Indirectement, elle provoque une diminution du volume plasmatique et, en conséquence, une élévation de l'activité rénine plasmatique et de la sécrétion d'aldostérone, une augmentation de l'excrétion potassique et une diminution du taux sérique de potassium.
- +Le site d'action principal des diurétiques thiazidiques est la partie initiale du tube contourné distal. On a pu montrer que le cortex rénal contient un récepteur de haute affinité qui représente le site de liaison primaire et d'action des diurétiques thiazidiques qui inhibent le transport du NaCl dans la partie initiale du tube contourné distal. L'action des thiazides résulte de l'inhibition du symport Na+Cl–. L'influence sur la réabsorption électrolytique résulte vraisemblablement d'une occupation du site de liaison Cl– sur un mode compétitif: celle-ci entraîne directement une augmentation de l'excrétion d'ions sodium et chlorure en quantité équivalente. Indirectement, elle provoque une diminution du volume plasmatique et, en conséquence, une élévation de l'activité rénine plasmatique et de la sécrétion d'aldostérone, une augmentation de l'excrétion potassique et une diminution du taux sérique de potassium.
-Après administration orale de valsartan, le pic de concentration plasmatique (Cmax) est atteint en l’espace de 2 à 4 heures.
- +Après administration orale de valsartan, le pic de concentration plasmatique (Cmax) est atteint en l'espace de 2 à 4 heures.
-Valsartan: Hydrochlorothiazide
- +Valsartan:Hydrochlorothiazide
-Dans les études de mutagénicité, de clastogénicité, de capacité de reproduction et de carcinogénicité, les résultats se sont avérés négatifs pour le valsartan.
-Il ne ressort des différentes études précliniques menées auprès de plusieurs espèces animales aucun résultat indiquant que les doses thérapeutiques de valsartan ne pouvaient pas être utilisées chez l'être humain. Lors des études précliniques de sécurité, l'administration de doses élevées de valsartan (200-600 mg/kg de poids corporel) chez le rat a entraîné une diminution des paramètres relatifs aux globules rouges (érythrocytes, hémoglobine, hématocrite) et des modifications de l'hémodynamique rénale (légère augmentation des taux plasmatiques d'urée ainsi qu'hyperplasie tubulaire rénale et basophilie chez des animaux mâles). Ces doses chez le rat (200 et 600 mg/kg/jour) représentent environ 6 à 18 fois la dose recommandée pour l'être humain sur la base de mg/m² (le calcul repose sur une dose orale de 320 mg/jour et un patient de 60 kg). Des doses similaires chez le ouistiti ont entraîné des modifications semblables, mais plus sévères, en particulier au niveau des reins où les modifications ont évolué vers une néphropathie avec augmentation des taux d'urée et de créatinine. En outre, une hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires a été observée dans les deux espèces. Toutes ces modifications résultent probablement de l'effet pharmacologique du valsartan, qui provoque une hypotension persistante, particulièrement chez le ouistiti. L'hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires ne semble pas être pertinente aux doses thérapeutiques chez l'être humain. Au cours des études sur le développement embryofoetal (segment II) menées chez la souris, le rat et le lapin, une foetotoxicité a été observée parallèlement à une toxicité maternelle, à des doses de valsartan ≥200 mg/kg/jour chez le rat et ≥10 mg/kg/jour chez le lapin. Dans une étude de toxicité sur le développement périnatal et postnatal (segment III), les ratons dont les parents avaient reçu 600 mg/kg durant le dernier trimestre et pendant la lactation ont présenté une légère diminution du taux de survie et un léger retard de développement.
- +Sur base des études classiques pour la pharmacologie de sécurité, la génotoxicité, la carcinogénicité et la fertilité, et mise à part une toxicité fœtale chez le lapin, les données précliniques ne laissent présager aucun danger particulier pour l'homme.
- +Toxicité chronique: Lors des études précliniques de sécurité, l'administration de doses élevées de valsartan (200-600 mg/kg de poids corporel/jour) chez le rat a entraîné une diminution des paramètres relatifs aux globules rouges (érythrocytes, hémoglobine, hématocrite) et des modifications de l'hémodynamique rénale (légère augmentation des taux sanguins d'urée ainsi qu'hyperplasie tubulaire rénale et basophilie chez des animaux mâles). Ces doses chez le rat (200 et 600 mg/kg/jour) représentent environ 6 à 18 fois la dose recommandée pour l'être humain sur la base de mg/m² (le calcul repose sur une dose orale de 320 mg/jour et un patient de 60 kg). Des doses similaires chez le ouistiti ont entraîné des modifications semblables, mais plus sévères, en particulier au niveau des reins où les modifications ont évolué vers une néphropathie avec augmentation des taux d'urée et de créatinine. En outre, une hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires a été observée dans les deux espèces. Toutes ces modifications résultent probablement de l'effet pharmacologique du valsartan, qui provoque une hypotension persistante, particulièrement chez le ouistiti. L'hypertrophie des cellules rénales juxtaglomérulaires ne semble pas être pertinente aux doses thérapeutiques chez l'être humain.
- +Toxicité de reproduction: Le valsartan n'a aucun effet indésirable sur la performance de reproduction de rats mâles et femelles à des doses orales de jusqu'à 200 mg/kg/jour. Au cours des études sur le développement embryofoetal (segment II) menées chez la souris, le rat et le lapin, une foetotoxicité a été observée parallèlement à une toxicité maternelle, à des doses de valsartan ≥600 mg/kg/jour chez le rat et 10 mg/kg/jour chez le lapin. Dans une étude de toxicité sur le développement périnatal et postnatal (segment III), les ratons dont les parents avaient reçu 600 mg/kg/jour durant le dernier trimestre et pendant la lactation ont présenté une légère diminution du taux de survie et un léger retard de développement.
- +Mutagénicité: Aucun potentiel mutagène n'a pu être établi pour le valsartan, que ce soit au niveau génique ou au niveau chromosomique dans différentes études standards in vitro et in vivo de génotoxicité.
- +Carcinogénicité: Il ne ressort aucun indice de carcinogénicité lors de l'administration du valsartan avec la nourriture à des dosages de jusqu'à 160 et respectivement, 200 mg/kg/jour pendant 2 ans à des souris et des rats.
- +L'hydrochlorothiazide ne s'est pas avéré tératogène et n'a pas eu d'effet sur la fertilité et la conception. Aucun potentiel tératogène n'a été mis en évidence chez trois espèces animales étudiées, qui avaient reçu au moins 10 fois la dose recommandée pour l'homme de 1 mg/kg environ. Une prise de poids réduite chez de jeunes rats allaités a été attribuée aux doses élevées (15 fois la dose clinique pour l'homme) et à l'effet diurétique de l'hydrochlorothiazide, avec les conséquences correspondantes sur la production de lait.
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-59321 (Swissmedic).
- +59'321 (Swissmedic)
-Avril 2014.
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- +Septembre 2015.
- +Numéro de version interne: 6.2
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