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Accueil - Information professionnelle sur Victoza 6 mg/ml - Changements - 13.02.2023
80 Changements de l'information professionelle Victoza 6 mg/ml
  • -Principe actif:
  • +Principes actifs
  • -Excipients:
  • +Excipients
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Solution d'injection dans un stylo prérempli.
  • -1 ml de solution contient 6 mg de liraglutide (produit par génie génétique dans Saccharomyces cerevisiae).
  • -Un stylo prérempli contient 3 ml (correspondant à 18 mg de liraglutide).
  • -·en monothérapie, en cas de contre-indication ou d'intolérance à la metformine;
  • -·en association avec d'autres médicaments hypoglycémiants
  • +·en monothérapie, en cas de contre-indication ou d'intolérance à la metformine.
  • +·en association avec d'autres médicaments hypoglycémiants.
  • -Victoza est indiqué pour la prévention des événements cardiovasculaires chez les patients atteints du diabète sucré de type 2 et d'une maladie cardiovasculaire déjà établie (voir sous «Efficacité clinique»).
  • +Victoza est indiqué pour la prévention des événements cardiovasculaires chez les patients atteints du diabète sucré de type 2 et d'une maladie cardiovasculaire déjà établie (voir la section «Efficacité clinique»).
  • -Une autosurveillance glycémique n'est pas nécessaire pour ajuster la dose de Victoza. Une autosurveillance glycémique est nécessaire pour ajuster la dose de la sulfonylurée ou dinsuline, notamment lors de linstauration du traitement par Victoza et de la réduction de linsuline. Ladoption dune approche par étapes de la réduction de la dose dinsuline est recommandée.
  • +Une autosurveillance glycémique n'est pas nécessaire pour ajuster la dose de Victoza. Une autosurveillance glycémique est nécessaire pour ajuster la dose de la sulfonylurée ou d'insuline, notamment lors de l'instauration du traitement par Victoza et de la réduction de l'insuline. L'adoption d'une approche par étapes de la réduction de la dose d'insuline est recommandée.
  • -Aucun ajustement de la dose n'est nécessaire chez les adolescents et les enfants âgés de 10 ans et plus. Aucune donnée nest disponible chez les enfants de moins de 10 ans (voir sous «Propriétés/Effets»).
  • +Aucun ajustement de la dose n'est nécessaire chez les adolescents et les enfants âgés de 10 ans et plus. Aucune donnée n'est disponible chez les enfants de moins de 10 ans (voir rubrique «Propriétés/Effets»).
  • -Victoza peut être injecté dans la paroi abdominale, la cuisse ou le bras, par voie sous-cutanée. Le site et le moment de l'injection peuvent être modifiés sans adaptation de la dose.
  • +Victoza peut être injecté dans la paroi abdominale, la cuisse ou le bras, par voie sous-cutanée. Il convient de changer chaque fois de point d'injection dans la partie du corps choisie afin de réduire le risque d'amylose cutanée (voir rubrique «Effets indésirables»). Le site et le moment de l'injection peuvent être modifiés sans adaptation de la dose.
  • -Victoza (liraglutide) n'est pas de l'insuline. L'insuline ne doit pas être interrompue chez les patients qui sont dépendants de l'insuline. Des cas dacidocétose diabétique ont été rapportés chez des patients insulino-dépendants après une interruption rapide de la prise dinsuline ou une réduction rapide de la dose dinsuline (voir rubrique «Posologie/Mode demploi»).
  • +Victoza (liraglutide) n'est pas de l'insuline. L'insuline ne doit pas être interrompue chez les patients qui sont dépendants de l'insuline. Des cas d'acidocétose diabétique ont été rapportés chez des patients insulino-dépendants après une interruption rapide de la prise d'insuline ou une réduction rapide de la dose d'insuline (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Victoza contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par dose. Le médicament est donc essentiellement «sans sodium».
  • +Victoza contient moins de 1 mmol de sodium (23 mg) par dose c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • -Après l'administration d'une dose unique de 20 mg de lisinopril ou de 1 mg de digoxine avec du liraglutide, l'AUC du lisinopril et de la digoxine a été respectivement réduite de 15% et 16% et leur Cmax a diminué de respectivement 27% et 31%. Avec le liraglutide, le tmax moyen du lisinopril a été retardé, passant de 6 h à 8 h, alors que le tmax moyen de la digoxine passait de 1h à 1h50.
  • +Après l'administration d'une dose unique de 20 mg de lisinopril ou de 1 mg de digoxine avec du liraglutide, l'AUC du lisinopril et de la digoxine a été respectivement réduite de 15% et 16% et leur Cmax a diminué de respectivement 27% et 31%. Avec le liraglutide, le tmax moyen du lisinopril a été retardé, passant de 6 h à 8 h, alors que le tmax moyen de la digoxine passait de 1h à 1.5 h.
  • -Ci-après, une liste des effets secondaires rapportés dans le cadre d'études contrôlées à long terme de phase 3a et de l'étude LEADER, conformément à MedDRA. Les fréquences sont indiquées selon les conventions suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10), occasionnels (>1/1'000, <1/100), rares (≥1/10'000, <1/1'000) et très rares (<1/10'000).
  • -Infections
  • +Ci-après, une liste des effets secondaires rapportés dans le cadre d'études contrôlées à long terme de phase 3a et de l'étude LEADER, conformément à MedDRA. Les fréquences sont indiquées selon les conventions suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (>1/1'000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1'000) et très rares (<1/10'000).
  • +Infections et infestations
  • -Système immunitaire
  • +Affections du système immunitaire
  • -Troubles endocriniens
  • +Affections endocriniennes
  • -Très rare: pancréatite (y compris pancréatite nécrosante).
  • -Quelques cas de pancréatite aiguë (<0.2%) ont été rapportés durant des études de phase 3 contrôlées à long terme avec Victoza. Des cas de pancréatite ont également été rapportés après l'introduction sur le marché. Dans l'étude LEADER, l'incidence de la pancréatite aiguë confirmée par adjudication était de 0,4% pour le liraglutide et de 0,5% pour le placebo (voir sous «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»).
  • +Très rares: pancréatite (y compris pancréatite nécrosante).
  • +Quelques cas de pancréatite aiguë (<0.2%) ont été rapportés durant des études de phase 3 contrôlées à long terme avec Victoza. Des cas de pancréatite ont également été rapportés après l'introduction sur le marché. Dans l'étude LEADER, l'incidence de la pancréatite aiguë confirmée par adjudication était de 0.4% pour le liraglutide et de 0.5% pour le placebo (voir sous «Mises en garde et précautions» et «Propriétés/Effets»).
  • -Métabolisme et alimentation
  • -Fréquents: hypoglycémies.
  • -·Légère hypoglycémie (27.4%) en association avec une sulfonylurée et de la metformine: très fréquent.
  • -·Légère hypoglycémie en association avec une sulfonylurée: fréquent.
  • -·Hypoglycémie sévère en association avec une sulfonylurée: rare.Les cas d'hypoglycémie sévère peuvent survenir p.ex. lorsque le liraglutide est associé à une sulfonylurée (0.02 événements/années-patients). Lors de l'administration de liraglutide en association avec un antidiabétique oral ne faisant pas partie des sulfonylurées, très peu d'épisodes ont été observés (0.001 événements/année-patients).
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • +Fréquents: hypoglycémies, anorexie, diminution de l'appétit. Légère hypoglycémie (27.4%) en association avec une sulfonylurée et de la metformine: très fréquent.
  • +Légère hypoglycémie en association avec une sulfonylurée: fréquent.
  • +Hypoglycémie sévère en association avec une sulfonylurée: rare.
  • +Les cas d'hypoglycémie sévère peuvent survenir p.ex. lorsque le liraglutide est associé à une sulfonylurée (0.02 événements/années-patients). Lors de l'administration de liraglutide en association avec un antidiabétique oral ne faisant pas partie des sulfonylurées, très peu d'épisodes ont été observés (0.001 événements/année-patients).
  • -Lors de l'adjonction de l'insuline détémir à Victoza à 1.8 mg et à la metformine, aucune hypoglycémie sévère n'a été notée. La fréquence des hypoglycémies légères était, lors d'un traitement avec le liraglutide à 1.8 mg, la metformine et l'insuline détémir, de 0.228 cas par année-patient. Dans les groupes de comparaison, qui ont été tous les deux traités au liraglutide à 1.8 mg et à la metformine, le taux des hypoglycémies légères dans le groupe randomisé était de 0.034 et dans le groupe non randomisé de 0.115 cas par année-patient. Dans l'étude LEADER, des épisodes hypoglycémiques sévères avec le liraglutide ont été rapportés moins fréquemment qu'avec le placebo (1,0 vs 1,5 événement pour 100 patients-années, rapport de taux estimé 0,69 [0,51 à 0,93]) (voir sous «Propriétés/Effets»).
  • -Système nerveux
  • +Lors de l'adjonction de l'insuline détémir à Victoza à 1.8 mg et à la metformine, aucune hypoglycémie sévère n'a été notée. La fréquence des hypoglycémies légères était, lors d'un traitement avec le liraglutide à 1.8 mg, la metformine et l'insuline détémir, de 0.228 cas par année-patient. Dans les groupes de comparaison, qui ont été tous les deux traités au liraglutide à 1.8 mg et à la metformine, le taux des hypoglycémies légères dans le groupe randomisé était de 0.034 et dans le groupe non randomisé de 0.115 cas par année-patient. Dans l'étude LEADER, des épisodes hypoglycémiques sévères avec le liraglutide ont été rapportés moins fréquemment qu'avec le placebo (1.0 vs 1.5 événement pour 100 patients-années, rapport de taux estimé 0.69 [0.51 à 0.93]) (voir sous «Propriétés/Effets»).
  • +Affections du système nerveux
  • -Fréquent: augmentation de la fréquence cardiaque.
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • +Fréquents: augmentation de la fréquence cardiaque.
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Affections du foie et de la vésicule biliaire
  • -Peu fréquents: cholélithiase et cholécystite
  • -Des cas de lithiase biliaire (0,4%) et de cholécystite (0,1%) ont été signalés lors d'essais cliniques de phase 3a à long terme sur Victoza. Dans l'étude LEADER, l'incidence de cholélithiase et de cholécystite était de 1,5% et de 1,1% avec le liraglutide et de 1,1% et de 0,7% avec le placebo (voir sous «Propriétés/Effets»).
  • -Troubles généraux et réactions liées au site d'administration
  • -Fréquents: réactions au site d'injection.
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Occasionnels: cholélithiase et cholécystite
  • +Des cas de lithiase biliaire (0.4%) et de cholécystite (0.1%) ont été signalés lors d'essais cliniques de phase 3a à long terme sur Victoza. Dans l'étude LEADER, l'incidence de cholélithiase et de cholécystite était de 1.5% et de 1.1% avec le liraglutide et de 1.1% et de 0.7% avec le placebo (voir sous «Propriétés/Effets»).
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Fréquents: fatigue, réactions au site d'injection.
  • -Système immunitaire: réactions anaphylactiques avec symptômes supplémentaires comme une hypotension, des palpitations, une dyspnée, des œdèmes.
  • -Métabolisme et alimentation: déshydratation (voir sous «Mises en garde et précautions»).
  • -Peau: urticaire, éruption cutanée, prurit.
  • -Troubles rénaux et urinaires: insuffisance rénale aigüe, troubles de la fonction rénale.
  • -Troubles généraux et accidents liés au site d'administration: malaise.
  • +Affections du système immunitaire: réactions anaphylactiques avec symptômes supplémentaires comme une hypotension, des palpitations, une dyspnée, des œdèmes.
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition: déshydratation (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané: urticaire, éruption cutanée, prurit, amyloïdose cutanée.
  • +Affections du rein et des voies urinaires: insuffisance rénale aigüe, troubles de la fonction rénale.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration: malaise.
  • -Globalement, la fréquence, le type et la gravité des effets indésirables observés chez les adolescents et les enfants âgés de 10 ans et plus étaient comparables à ceux observés dans la population adulte. Le taux d'épisodes hypoglycémiques confirmés était plus élevé avec le liraglutide (0,58 événement/patient-année) qu'avec le placebo (0,29 événement/patient-année). Chez les patients traités par insuline avant un épisode hypoglycémique confirmé, le taux était plus élevé avec le liraglutide (1,82 événements/patient-année) que sous placebo (0,91 événement/patient-année). Aucun épisode d'hypoglycémie sévère n'est survenu dans le groupe de traitement au liraglutide.
  • -Lannonce deffets secondaires présumés après lautorisation est dune grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion deffet secondaire nouveau ou grave via le portail dannonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +Globalement, la fréquence, le type et la gravité des effets indésirables observés chez les adolescents et les enfants âgés de 10 ans et plus étaient comparables à ceux observés dans la population adulte. Le taux d'épisodes hypoglycémiques confirmés était plus élevé avec le liraglutide (0.58 événement/patient-année) qu'avec le placebo (0.29 événement/patient-année). Chez les patients traités par insuline avant un épisode hypoglycémique confirmé, le taux était plus élevé avec le liraglutide (1.82 événements/patient-année) que sous placebo (0.91 événement/patient-année). Aucun épisode d'hypoglycémie sévère n'est survenu dans le groupe de traitement au liraglutide.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Code ATC:
  • +Code ATC
  • -L'action du liraglutide résulte d'une interaction spécifique avec les récepteurs du GLP-1, entraînant une augmentation de la concentration d'AMPc. Le liraglutide stimule la sécrétion d'insuline de façon glucose-dépendante. Il diminue simultanément la sécrétion excessive de glucagon, également de façon glucose-dépendante. Ainsi, quand la glycémie est élevée, la sécrétion d'insuline est stimulée et celle du glucagon inhibée. À l'inverse, lors d'une hypoglycémie, le liraglutide réduit la sécrétion d'insuline sans altérer celle du glucagon. Le mécanisme de diminution de la glycémie entraîne par ailleurs un léger ralentissement de la vidange gastrique. Le liraglutide réduit le poids et la masse corporelle par des mécanismes diminuant la sensation de faim et l'apport énergétique.
  • +L'action du liraglutide résulte d'une interaction spécifique avec les récepteurs du GLP-1, entraînant une augmentation de la concentration d'AMPc. Le liraglutide stimule la sécrétion d'insuline de façon glucose-dépendante. Il diminue simultanément la sécrétion excessive de glucagon, également de façon glucose-dépendante. Ainsi, quand la glycémie est élevée, la sécrétion d'insuline est stimulée et celle du glucagon inhibé. À l'inverse, lors d'une hypoglycémie, le liraglutide réduit la sécrétion d'insuline sans altérer celle du glucagon. Le mécanisme de diminution de la glycémie entraîne par ailleurs un léger ralentissement de la vidange gastrique. Le liraglutide réduit le poids et la masse corporelle par des mécanismes diminuant la sensation de faim et l'apport énergétique.
  • -Auto-contrôles de la GAJ (glycémie à jeun) Augmentation de la dose de l'insuline glargine (UI)
  • -Objectif: ≤ 5.5 mmol/l (≤ 100 mg/dl) Aucun ajustement
  • - 5.5 et <6.7 mmol/l (> 100 et < 120 mg/dl) 0–2 UIa
  • - 6.7 mmol/l (≥ 120 mg/dl) 2 UI
  • +Auto-contrôles de la GAJ (glycémie à jeun) Augmentation de la dose de l'insuline glargine (UI)
  • +Objectif: ≤5.5 mmol/l (≤100 mg/dl) Aucun ajustement
  • +≥5.5 et <6.7 mmol/l (> 100 et < 120 mg/dl) 0–2 UIa
  • +≥6.7 mmol/l (≥120 mg/dl) 2 UI
  • -L'étude a initialement inclus 988 patients dans la phase de run-in. Les patients auparavant traités avec la metformine et avec une sulfonylurée ont reçu l'ordre d'arrêter le traitement par la sulfonylurée, mais tous les patients ont poursuivi leur ancien traitement avec la metformine. Après la phase de run-in, 498 patients (61% des 988 patients inclus) ont atteint un taux-cible d'HbA1c < 7% avec le liraglutide et la metformine et ceux-ci ont poursuivi le traitement dans un bras «non randomisé», alors que les autres 323 patients (39%) avec une HbA1c ≥7% ont été randomisés, afin de poursuivre le traitement inchangé à 1,8 mg de liragutide et metformine comme contrôle (n=161), ou de recevoir une intensification supplémentaire à l'insuline détémir comme traitement d'appoint (n=162).
  • +L'étude a initialement inclus 988 patients dans la phase de run-in. Les patients auparavant traités avec la metformine et avec une sulfonylurée ont reçu l'ordre d'arrêter le traitement par la sulfonylurée, mais tous les patients ont poursuivi leur ancien traitement avec la metformine. Après la phase de run-in, 498 patients (61% des 988 patients inclus) ont atteint un taux-cible d'HbA1c < 7% avec le liraglutide et la metformine et ceux-ci ont poursuivi le traitement dans un bras «non randomisé», alors que les autres 323 patients (39%) avec une HbA1c ≥7% ont été randomisés, afin de poursuivre le traitement inchangé à 1.8 mg de liragutide et metformine comme contrôle (n=161), ou de recevoir une intensification supplémentaire à l'insuline détémir comme traitement d'appoint (n=162).
  • -2 (au moment de l'entrée dans la phase de run-in, tous les patient sont passés de la metformine + sulfonylurée + liraglutide à 1.8 mg ou ont reçu le liraglutide 1.8 mg à titre de traitement d'appoint à la metformine durant 12 semaines. Dans les deux scénarios, le traitement à la metformine est resté identique ≥ 1'500 mg/jour).
  • +2 (au moment de l'entrée dans la phase de run-in, tous les patient sont passés de la metformine + sulfonylurée + liraglutide à 1.8 mg ou ont reçu le liraglutide 1.8 mg à titre de traitement d'appoint à la metformine durant 12 semaines. Dans les deux scénarios, le traitement à la metformine est resté identique ≥1'500 mg/jour).
  • -Sous liraglutide en monothérapie, une proportion statistiquement significativement (1.8 mg p < 0.0001, 1.2 mg p = 0.0007) plus élevée de patients a atteint un taux d'HbA1c ≤ 7% au bout de 52 semaines par rapport aux patients traités par glimépiride.
  • -Victoza en association à la metformine, une sulfonylurée, une thiazolidindione ou aux iSGLT2 ± metformine a permis à un nombre significativement plus grand de patients d'atteindre un taux d'HbA1c ≤ 6.5% à 26 semaines, par rapport aux patients ayant reçu ces médicaments seuls (p ≤ 0.0001).
  • -Chez les patients n'ayant pas atteint de contrôle glycémique adéquat avec Victoza + metformine, la fraction de ceux ayant atteint un taux-cible d'HbA1c < 7% et ≤ 6.5% était statistiquement significativement supérieure lors d'un traitement à l'insuline détémir + liraglutide 1.8 mg + metformine que sous un traitement au liraglutide 1.8 mg + metformine, (p ≤ 0.0001/p= 0.0016).
  • +Sous liraglutide en monothérapie, une proportion statistiquement significativement (1.8 mg p < 0.0001, 1.2 mg p = 0.0007) plus élevée de patients a atteint un taux d'HbA1c ≤7% au bout de 52 semaines par rapport aux patients traités par glimépiride.
  • +Victoza en association à la metformine, une sulfonylurée, une thiazolidindione ou aux iSGLT2 ± metformine a permis à un nombre significativement plus grand de patients d'atteindre un taux d'HbA1c ≤6.5% à 26 semaines, par rapport aux patients ayant reçu ces médicaments seuls (p ≤0.0001).
  • +Chez les patients n'ayant pas atteint de contrôle glycémique adéquat avec Victoza + metformine, la fraction de ceux ayant atteint un taux-cible d'HbA1c < 7% et ≤6.5% était statistiquement significativement supérieure lors d'un traitement à l'insuline détémir + liraglutide 1.8 mg + metformine que sous un traitement au liraglutide 1.8 mg + metformine, (p ≤0.0001/p= 0.0016).
  • -L'étude LEADER (Liraglutide Effect and Action in Diabetes Evaluation of Cardiovascular Outcome Results) est un essai clinique randomisé, multicentrique, en double aveugle dans lequel 9'340 patients ont été traités par le liraglutide (4'668) ou un placebo (4'672) en plus d'un traitement préexistant pour réduire la glycémie et les facteurs de risque cardiovasculaires (CV). Le traitement antihyperglycémiant et d'autres médicaments cardiovasculaires d'accompagnement ont pu être ajustés tout au long de l'étude selon la norme de traitement. L'utilisation de thérapies alternatives à base d'incrétine a été exclue. Ont été inclus les patients atteints de diabète sucré de type 2 âgés de 50 ans ou plus et présentant une maladie cardiovasculaire manifeste, et les patients sans maladie cardiovasculaire s'ils avaient 60 ans ou plus et avaient au moins un facteur de risque cardiovasculaire. Les patients ayant présenté un événement coronarien ou cérébrovasculaire aigu au cours des 14 derniers jours ont été exclus de l'étude. La période d'observation était d'au moins 3,5 ans (maximum de 5 ans). La population étudiée comprenait des patients atteints d'insuffisance rénale légère (n = 3'907), modérée (n = 1'934) ou sévère (n = 224). L'âge moyen était de 64 ans (4'329 patients ≥ 65 ans, 836 patients ≥ 75 ans), l'IMC moyen de 32,5 kg/m² et la durée moyenne du diabète de 12,8 ans.
  • +L'étude LEADER (Liraglutide Effect and Action in Diabetes Evaluation of Cardiovascular Outcome Results) est un essai clinique randomisé, multicentrique, en double aveugle dans lequel 9'340 patients ont été traités par le liraglutide (4'668) ou un placebo (4'672) en plus d'un traitement préexistant pour réduire la glycémie et les facteurs de risque cardiovasculaires (CV). Le traitement antihyperglycémiant et d'autres médicaments cardiovasculaires d'accompagnement ont pu être ajustés tout au long de l'étude selon la norme de traitement. L'utilisation de thérapies alternatives à base d'incrétine a été exclue. Ont été inclus les patients atteints de diabète sucré de type 2 âgés de 50 ans ou plus et présentant une maladie cardiovasculaire manifeste, et les patients sans maladie cardiovasculaire s'ils avaient 60 ans ou plus et avaient au moins un facteur de risque cardiovasculaire. Les patients ayant présenté un événement coronarien ou cérébrovasculaire aigu au cours des 14 derniers jours ont été exclus de l'étude. La période d'observation était d'au moins 3,5 ans (maximum de 5 ans). La population étudiée comprenait des patients atteints d'insuffisance rénale légère (n = 3'907), modérée (n = 1'934) ou sévère (n = 224). L'âge moyen était de 64 ans (4'329 patients ≥65 ans, 836 patients ≥75 ans), l'IMC moyen de 32.5 kg/m² et la durée moyenne du diabète de 12.8 ans.
  • -Les patients du bras liraglutide présentaient un contrôle glycémique supérieur (différence thérapeutique estimée [ETD] -0.40% [-0.45; -0.34]) et une meilleure réduction du poids corporel (ETD -2.26 [-2.54; -1.99]) par rapport au placebo jusqu'au 36ème mois inclus. Les analyses de régression post hoc de Cox indiquent que ces différences ne sont pas à elles seules responsables de la réduction du risque cardiovasculaire. La nécessité d'instaurer un traitement par l'insuline avec le liraglutide était inférieure de 48% chez les patients par rapport au placebo (RR 0,52 [0,48; 0,57]).
  • +Les patients du bras liraglutide présentaient un contrôle glycémique supérieur (différence thérapeutique estimée [ETD] -0.40% [-0.45; -0.34]) et une meilleure réduction du poids corporel (ETD -2.26 [-2.54; -1.99]) par rapport au placebo jusqu'au 36ème mois inclus. Les analyses de régression post hoc de Cox indiquent que ces différences ne sont pas à elles seules responsables de la réduction du risque cardiovasculaire. La nécessité d'instaurer un traitement par l'insuline avec le liraglutide était inférieure de 48% chez les patients par rapport au placebo (RR 0.52 [0.48; 0.57]).
  • -Au cours des études de phase 3a, le liraglutide a abaissé la pression artérielle systolique de 2,3 à 6,7 mmHg en moyenne par rapport au début du traitement et par rapport au produit de référence, qui l'a réduite de 1,9 à 4,5 mmHg. Dans l'étude LEADER, après 36 mois, la pression artérielle systolique avec le liraglutide a été abaissée par rapport au placebo (-1,4 mmHg vs -0,2 mmHg; ETD: -1,29 mmHg [-1,92; -0,48]), tandis que la pression artérielle diastolique a été moins abaissée avec le liraglutide qu'avec le placebo (-0,8 mmHg contre -1,4 mmHg, ETD: 0,59 [0,19; 0,99]). Une augmentation moyenne de la fréquence cardiaque par minute a été observée avec le liraglutide dans des essais cliniques à long terme, y compris dans l'étude LEADER, par rapport au point de référence de 2 à 3 battements par minute. Dans l'étude LEADER, aucun effet à long terme de l'augmentation de la fréquence cardiaque sur le risque d'événements cardiovasculaires n'a été observé.
  • +Au cours des études de phase 3a, le liraglutide a abaissé la pression artérielle systolique de 2.3 à 6.7 mmHg en moyenne par rapport au début du traitement et par rapport au produit de référence, qui l'a réduite de 1.9 à 4.5 mmHg. Dans l'étude LEADER, après 36 mois, la pression artérielle systolique avec le liraglutide a été abaissée par rapport au placebo (-1.4 mmHg vs -0.2 mmHg; ETD: -1.29 mmHg [-1.92; -0.48]), tandis que la pression artérielle diastolique a été moins abaissée avec le liraglutide qu'avec le placebo (-0.8 mmHg contre -1.4 mmHg, ETD: 0.59 [0.19; 0.99]). Une augmentation moyenne de la fréquence cardiaque par minute a été observée avec le liraglutide dans des essais cliniques à long terme, y compris dans l'étude LEADER, par rapport au point de référence de 2 à 3 battements par minute. Dans l'étude LEADER, aucun effet à long terme de l'augmentation de la fréquence cardiaque sur le risque d'événements cardiovasculaires n'a été observé.
  • -Dans l'étude LEADER, les événements microvasculaires comprenaient la néphropathie et la rétinopathie. L'analyse du délai avant le premier événement microvasculaire avec le liraglutide par rapport au placebo comportait un RR de 0,84 [0,73, 0,97]. Le RR pour le liraglutide vs. placebo était de 0,78 [0,67, 0,92] concernant la première apparition de la néphropathie et de 1,15 [0,87, 1,52] pour la première apparition de la rétinopathie.
  • -La différence estimée de traitement pour l'excrétion urinaire d'albumine/créatinine entre le début de l'étude et le mois 36 était de 0,81 [0,76, 0,86].
  • +Dans l'étude LEADER, les événements microvasculaires comprenaient la néphropathie et la rétinopathie. L'analyse du délai avant le premier événement microvasculaire avec le liraglutide par rapport au placebo comportait un RR de 0.84 [0.73, 0.97]. Le RR pour le liraglutide vs. placebo était de 0.78 [0.67, 0.92] concernant la première apparition de la néphropathie et de 1.15 [0.87, 1.52] pour la première apparition de la rétinopathie.
  • +La différence estimée de traitement pour l'excrétion urinaire d'albumine/créatinine entre le début de l'étude et le mois 36 était de 0.81 [0.76, 0.86].
  • -Dans une étude en double aveugle comparant l'efficacité et la sécurité de Victoza 1,8 mg par rapport au placebo en association à la metformine ± insuline chez des adolescents et des enfants âgés de 10 ans et plus, diabétiques de type 2, Victoza était supérieur au placebo au niveau du réduction du taux d'HbA1c après 26 semaines (-1,06, [-1,65, 0,46]). La différence au niveau du traitement pour l'HbA1c était de 1,3 % après 26 semaines supplémentaires d'extension en ouvert, confirmant le contrôle glycémique durable avec Victoza.
  • -Le profil d'efficacité et de sécurité de Victoza était comparable à celui observé dans la population adulte traitée au niveau du Victoza. Sur la base dun contrôle glycémique adéquat ou de la tolérance, 30 % des patients de létude sont restés à une dose de 0,6 mg, 17 % ont augmenté la dose à 1,2 mg et 53 % ont augmenté la dose à 1,8 mg.
  • +Dans une étude en double aveugle comparant l'efficacité et la sécurité de Victoza 1.8 mg par rapport au placebo en association à la metformine ± insuline chez des adolescents et des enfants âgés de 10 ans et plus, diabétiques de type 2, Victoza était supérieur au placebo au niveau du réduction du taux d'HbA1c après 26 semaines (-1.06, [-1.65, 0.46]). La différence au niveau du traitement pour l'HbA1c était de 1.3 % après 26 semaines supplémentaires d'extension en ouvert, confirmant le contrôle glycémique durable avec Victoza.
  • +Le profil d'efficacité et de sécurité de Victoza était comparable à celui observé dans la population adulte traitée au niveau du Victoza. Sur la base d'un contrôle glycémique adéquat ou de la tolérance, 30 % des patients de l'étude sont restés à une dose de 0.6 mg, 17 % ont augmenté la dose à 1.2 mg et 53 % ont augmenté la dose à 1.8 mg.
  • -Aucune étude de tolérance nayant été effectuée, ce médicament ne doit pas être mélangé à dautres médicaments.
  • +Aucune étude de tolérance n'ayant été effectuée, ce médicament ne doit pas être mélangé à d'autres médicaments.
  • -Conservation de la solution prête à l'emploi après ouverture: après la première utilisation du stylo Victoza, le produit peut être conservé 1 mois à température ambiante (pas plus de 30 °C) ou au réfrigérateur (2-8 °C).
  • +Conservation de la solution prête à l'emploi après ouverture: après la première utilisation du stylo Victoza, le produit peut être conservé 1 mois à température ambiante (ne dépassant pas 30°C) ou au réfrigérateur (2-8°C).
  • -À conserver au réfrigérateur (2-8 °C). Ne pas stocker dans le compartiment à glace ni à proximité immédiate d'éléments réfrigérants. Ne pas congeler Victoza.
  • +À conserver au réfrigérateur (2-8°C). Ne pas stocker dans le compartiment à glace ni à proximité immédiate d'éléments réfrigérants. Ne pas congeler Victoza.
  • -59329 (Swissmedic).
  • +59329 (Swissmedic)
  • -Stylo prêt à l'emploi
  • +Un stylo prérempli.
  • -Chaque stylo prêt à l'emploi contient 30 doses de 0.6 mg, 15 doses de 1.2 mg ou 10 doses de 1.8 mg.
  • +Chaque stylo prérempli contient 30 doses de 0.6 mg, 15 doses de 1.2 mg ou 10 doses de 1.8 mg.
  • -Novo Nordisk Pharma S/A, Zürich.
  • +Novo Nordisk Pharma AG, Kloten
  • +Domicile: Zürich
  • -Octobre 2021.
  • +Août 2022
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