57 Changements de l'information professionelle Victoza 6 mg/ml |
- +En monothérapie:
- +Chez les patients chez qui un régime alimentaire et l'activité physique ne sont pas suffisants pour contrôler la glycémie, et lorsque la metformine ne peut pas être utilisée en raison d'une intolérance ou d'une contre-indication.
-·la metformine ou une sulfonylurée chez les patients n'ayant pas obtenu de contrôle glycémique adéquat malgré une monothérapie à la metformine ou une sulfonylurée à la dose maximale tolérée.
- +·la metformine ou une sulfonylurée chez les patients n'ayant pas obtenu un contrôle glycémique adéquat malgré une monothérapie à la metformine ou une sulfonylurée à la dose maximale tolérée.
-·la metformine et une sulfonylurée ou la metformine et une thiazolidindione chez les patients n'ayant pas obtenu de contrôle glycémique adéquat sous ces deux antidiabétiques oraux.
- +·la metformine et une sulfonylurée ou la metformine et une thiazolidindione chez les patients n'ayant pas obtenu un contrôle glycémique adéquat sous ces deux antidiabétiques oraux.
-Victoza est utilisé une fois par jour à n'importe quelle heure, indépendamment des heures de repas.
- +Victoza est utilisé une fois par jour à n'importe quelle heure, indépendamment des heures des repas.
-Victoza peut être utilisé en association à un traitement existant à la metformine ou en association à la metformine et à une thiazolidindione. Le traitement à la metformine et à la thiazolidindione peut alors être poursuivi à la même dose.
- +Victoza peut être utilisé en association à un traitement existant avec la metformine ou en association à la metformine et à une thiazolidindione. Le traitement avec la metformine et avec la thiazolidindione peut alors être poursuivi à la même dose.
-L'expérience avec ce traitement chez les patients atteints d'insuffisance hépatique légère à sévère est limitée.
- +Aucun ajustement posologique n'est nécessaire chez les patients atteints d'insuffisance hépatique.
-L'utilisation d'agonistes des récepteurs du GLP-1 est associée à un risque de développer une pancréatite aiguë. Des cas de pancréatite aiguë ont été rapportés aussi bien lors des essais cliniques qu'après la commercialisation. Les patients doivent être informés des symptômes caractéristiques de la pancréatite aiguë. En cas de suspicion de pancréatite, Victoza doit être arrêté; si la pancréatite aiguë est confirmée, le traitement par Victoza ne doit pas être repris. Il convient d'être extrêmement prudent chez les patients ayant eu une pancréatite dans le passé.
- +L'utilisation d'agonistes de récepteurs du GLP-1 est associée à un risque de développer une pancréatite aiguë. Des cas de pancréatite aiguë ont été rapportés aussi bien lors des essais cliniques qu'après la commercialisation. Les patients doivent être informés des symptômes caractéristiques de la pancréatite aiguë. En cas de suspicion de pancréatite, Victoza doit être arrêté; si la pancréatite aiguë est confirmée, le traitement par Victoza ne doit pas être repris. Il convient d'être extrêmement prudent chez les patients ayant eu une pancréatite dans le passé. Une augmentation isolée des enzymes pancréatiques sous traitement par Victoza (sans symptômes caractéristiques) n'indique pas nécessairement une pancréatite aiguë (voir «Effets indésirables»).
-Le liraglutide n'a pas entraîné de modification de l'AUC par rapport au paracétamol après administration d'une dose unique de 1'000 mg. La Cmax du paracétamol a diminué de 31%; la tmax a augmenté jusqu'à 15 min. Aucune adaptation de la dose n'est nécessaire lors de l'emploi simultané de paracétamol.
- +Le liraglutide n'a pas entraîné de modification de l'AUC par rapport au paracétamol après administration d'une dose unique de 1'000 mg. La Cmax du paracétamol a diminué de 31%; le tmax a augmenté jusqu'à 15 min. Aucune adaptation de la dose n'est nécessaire lors de l'emploi simultané de paracétamol.
-Le liraglutide n'a pas entraîné de modification de l'AUC par rapport à l'atorvastatine après l'administration d'une dose unique de 40 mg d'atorvastatine. C'est pourquoi aucune adaptation de la dose d'atorvastatine n'est nécessaire lors de l'administration simultanée de liraglutide. Le liraglutide a entraîné une diminution de 38% de la Cmax de l'atorvastatine et une augmentation de la tmax moyenne de 1 h à 3 h.
- +Le liraglutide n'a pas entraîné de modification de l'AUC par rapport à l'atorvastatine après l'administration d'une dose unique de 40 mg d'atorvastatine. C'est pourquoi aucune adaptation de la dose d'atorvastatine n'est nécessaire lors de l'administration simultanée de liraglutide. Le liraglutide a entraîné une diminution de 38% de la Cmax de l'atorvastatine et une augmentation du tmax moyen de 1 h à 3 h.
-Ces événements indésirables gastro-intestinaux peuvent apparaître plus souvent au début du traitement avec Victoza et s'atténuent généralement en l'espace de quelques jours ou semaines lors de la poursuite du traitement. Des céphalées et des infections des voies respiratoires supérieures ont également été rapportées souvent. En outre, les hypoglycémies étaient fréquentes, et très fréquentes lorsque Victoza est utilisé en association avec des sulfonylurées (>10% des patients). Les hypoglycémies sévères ont été observées surtout lors de l'utilisation en association avec une sulfonylurée.
- +Ces événements indésirables gastro-intestinaux peuvent apparaître plus souvent au début du traitement avec Victoza et s'atténuent généralement en l'espace de quelques jours ou semaines lors de la poursuite du traitement. Des céphalées et des infections des voies respiratoires supérieures ont également été rapportées souvent. En outre, les hypoglycémies étaient fréquentes, et très fréquentes lorsque Victoza était utilisé en association avec des sulfonylurées (>10% des patients). Les hypoglycémies sévères ont été observées surtout lors de l'utilisation en association avec une sulfonylurée.
-Occasionnels: néoplasmes dans la région de la thyroïde, augmentation de la concentration de calcitonine dans le sang et dans le goitre. La fréquence totale des effets indésirables thyroïdiens dans toutes les études de durée intermédiaire et à long terme était respectivement de 33.5, 30.0 et 21.7 événements pour 1'000 volontaires-années d'exposition pour l'ensemble des groupes liraglutide, placebo et tous comparateurs; respectivement 5.4, 2.1 et 0.8 événements pour 1'000 volontaires concernaient des effets indésirables thyroïdiens sévères.
-Des néoplasmes de la glande thyroïde, une augmentation de la concentration sanguine de calcitonine ainsi que des goitres ont été les effets indésirables de la glande thyroïde rapportés le plus fréquemment. Les fréquences par 1'000 volontaires-années étaient de 6.8, 10.9 et 5.4 sous le traitement au liraglutide, contre 6.4, 10.7 et 2.1 sous le traitement au placebo, ainsi que 2.5, 6.0 et 1.8 lors du traitement avec des préparations de comparaison.
- +Occasionnels: néoplasmes dans la région de la thyroïde, augmentation de la concentration de calcitonine dans le sang et dans le goitre. La fréquence totale des effets indésirables thyroïdiens dans toutes les études de durée intermédiaire et à long terme était respectivement de 33.5, 30.0 et 21.7 événements pour 1'000 volontaires-années d'exposition pour l'ensemble des groupes liraglutide, placebo et tous les comparateurs; respectivement 5.4, 2.1 et 0.8 événements pour 1'000 volontaires concernaient des effets indésirables thyroïdiens sévères.
- +Des néoplasmes de la glande thyroïde, une augmentation de la concentration sanguine de calcitonine ainsi que des goitres ont été les effets indésirables de la glande thyroïde rapportés le plus fréquemment. Les fréquences pour 1'000 volontaires-années étaient de 6.8, 10.9 et 5.4 sous le traitement au liraglutide, contre 6.4, 10.7 et 2.1 sous le traitement au placebo, ainsi que 2.5, 6.0 et 1.8 lors du traitement avec des préparations de comparaison.
- +Victoza est associé à une augmentation moyenne des enzymes pancréatiques lipase et amylase de 38% maximum et 21% respectivement par rapport à l'inclusion (voir «Mises en garde et précautions»). Chez la plupart des patients atteints, cette hausse des enzymes pancréatiques n'est pas liée à une pancréatite aiguë s'il n'existe aucun autre signe ou symptôme de la maladie.
- +
-Lors de l'adjonction de l'insuline détémir à Victoza 1.8 mg et à la metformine, aucune hypoglycémie sévère n'a été notée. La fréquence des hypoglycémies légères était, lors d'un traitement au liraglutide 1.8 mg, metformine et insuline détémir, de 0.228 cas par année-patient. Dans les groupes de comparaison, qui ont été tous les deux traités au liraglutide 1.8 mg et à la metformine, le taux des hypoglycémies légères dans le groupe randomisé était de 0.034 et dans le groupe non randomisé de 0.115 cas par année-patient.
- +Lors de l'adjonction de l'insuline détémir à Victoza 1.8 mg et à la metformine, aucune hypoglycémie sévère n'a été notée. La fréquence des hypoglycémies légères était, lors d'un traitement avec le liraglutide 1.8 mg, la metformine et l'insuline détémir, de 0.228 cas par année-patient. Dans les groupes de comparaison, qui ont été tous les deux traités au liraglutide 1.8 mg et à la metformine, le taux des hypoglycémies légères dans le groupe randomisé était de 0.034 et dans le groupe non randomisé de 0.115 cas par année-patient.
-Rénaux et urinaires: insuffisance rénale aigüe, insuffisance rénale.
- +Troubles rénaux et urinaires: insuffisance rénale aigüe, troubles de la fonction rénale.
-L'action du liraglutide résulte d'une interaction spécifique avec les récepteurs du GLP-1, entraînant une augmentation de la formation d'AMPc. Le liraglutide stimule la sécrétion d'insuline de façon glucose-dépendante. Il diminue simultanément la sécrétion excessive de glucagon, également de façon glucose-dépendante. Ainsi, quand la glycémie est élevée, la sécrétion d'insuline est stimulée et celle de glucagon inhibée. À l'inverse, lors d'une hypoglycémie, le liraglutide réduit la sécrétion d'insuline sans altérer celle du glucagon. Le mécanisme de diminution de la glycémie entraîne par ailleurs un léger ralentissement de la vidange gastrique. Le liraglutide réduit le poids et la masse corporelle grasse par des mécanismes diminuant la sensation de faim et l'apport énergétique.
- +L'action du liraglutide résulte d'une interaction spécifique avec les récepteurs du GLP-1, entraînant une augmentation de la formation d'AMPc. Le liraglutide stimule la sécrétion d'insuline de façon glucose-dépendante. Il diminue simultanément la sécrétion excessive de glucagon, également de façon glucose-dépendante. Ainsi, quand la glycémie est élevée, la sécrétion d'insuline est stimulée et celle du glucagon inhibée. À l'inverse, lors d'une hypoglycémie, le liraglutide réduit la sécrétion d'insuline sans altérer celle du glucagon. Le mécanisme de diminution de la glycémie entraîne par ailleurs un léger ralentissement de la vidange gastrique. Le liraglutide réduit le poids et la masse corporelle grasse par des mécanismes diminuant la sensation de faim et l'apport énergétique.
- +Le GLP-1 est un régulateur physiologique de l'appétit et de l'alimentation. Les récepteurs du GLP-1 (GLP-1R) sont présents dans différentes régions du cerveau impliquées dans la régulation de l'appétit. Des expériences animales ont montré que le liraglutide, après diffusion périphérique, était absorbé dans les régions cérébrales intervenant dans la régulation de l'appétit, p.ex. l'hypothalamus. L'activation des récepteurs du GLP-1 dans ces régions cérébrales renforce la sensation de satiété, réduit les signaux de faim, et induit donc une diminution du poids corporel.
- +
-Dans le cadre de cinq études cliniques, contrôlées, en double-aveugle, portant sur l'efficacité et la sécurité clinique de Victoza, destinées à évaluer les effets sur le contrôle glycémique, 3'992 diabétiques de type 2 ont été randomisés. Le traitement avec Victoza a apporté une amélioration cliniquement et statistiquement significative de l'HbA1c, de la glycémie plasmatique à jeun (GPJ) et de la glycémie post-prandiale (GPP) par rapport au placebo.
-Au total, 3'978 volontaires diabétiques, dont 53.7% d'hommes et 46.3% de femmes, ont participé à ces études, 2'501 étant traités avec Victoza; 797 sujets (dont 508 traités avec Victoza) étaient âgés de ≥65 ans; 113 sujets (dont 66 traités avec Victoza) étaient âgés de ≥75 ans.
- +Dans le cadre de cinq études cliniques, contrôlées, en double-aveugle, portant sur l'efficacité et la sécurité clinique de Victoza, destinées à évaluer les effets sur le contrôle glycémique, 3'992 diabétiques de type 2 ont été randomisés. Le traitement avec du liraglutide a apporté une amélioration cliniquement et statistiquement significative de l'HbA1C, de la glycémie plasmatique à jeun (GPJ) et de la glycémie post-prandiale (GPP) par rapport au placebo.
- +Au total, 3'978 volontaires diabétiques, dont 53.7% d'hommes et 46.3% de femmes, ont participé à ces études, 2'501 étant traités avec du liraglutide; 797 sujets (dont 508 traités avec Victoza) étaient âgés de ≥65 ans; 113 sujets (dont 66 traités avec Victoza) étaient âgés de ≥75 ans.
-Tableau 1: Résultats de deux études sur 26 semaines avec Victoza en association avec la metformine ou le glimépiride
-Traitement en association à la metformine 1.8 mg Victoza + metformine3 1.2 mg Victoza + metformine3 Placebo + metformine3 Glimépiride2 + metformine3
-N 242 240 121 242
-HbA1c (%) (moyenne)
-Valeur initiale 8.4 8.3 8.4 8.4
-Variation par rapport à la valeur initiale -1.0 -0.97 0.09 -0.98
-Patients (%) chez lesquels un taux d'HbA1c <7% a été atteint
-Totalité des patients 42.4 35.3 10.8 36.3
-Patients précédemment traités par un ADO 66.3 52.8 22.5 56.0
-Poids corporel (kg) (moyenne)
-Valeur initiale 88.0 88.5 91.0 89.0
-Variation par rapport à la valeur initiale -2.79 -2.58 -1.51 0.95
- +Monothérapie
- +Les patients préalablement traités par un régime alimentaire et de l'exercice physique ou un ADO en monothérapie à une dose sous-maximale présentaient une baisse plus importante du taux d'HbA1c après un traitement de 52 semaines avec 1.2 mg ou 1.8 mg de liraglutide en monothérapie par rapport à un traitement avec 8 mg de glimépiride en monothérapie (différence moyenne [IC à 95%] avec 1.2 mg -0.33 [-0.53, -0.13] et avec 1.8 mg -0.62 [-0.83, -0.42]).
- +Tableau 1: Victoza en monothérapie (52 semaines) et en association avec des antidiabétiques oraux (26 semaines)
- + N Taux d'HbA1c moyen (%) à l'inclusion Variation moyenne du taux d'HbA1c depuis l'inclusion (%) Patients (%) chez lesquels un taux d'HbA1c <7% a été atteint Poids moyen à l'inclusion (kg) Variation moyenne du poids depuis l'inclusion (kg)
- +Monothérapie
- +Liraglutide 1.2 251 8.18 -0.84 42.806 58.38 92.1 -2.05
- +Liraglutide 1.8 246 8.19 -1.14 50.96 62.08 92.6 -2.45
- +Glimépiride1 248 8.23 -0.51 27.86 30.88 93.3 1.12
- +Association à la metformine2
- +Liraglutide 1.2 240 8.3 -0.97 35.36 52.87 88.5 -2.58
- +Liraglutide 1.8 242 8.4 -1.00 42.46 66.37 88.0 -2.79
- +Placebo 121 8.4 0.09 10.86 22.57 91.0 -1.51
- +Glimépiride3 242 8.4 -0.98 36.36 56.07 89.0 0.95
- +Association au glimépiride3
- +Liraglutide 1.2 228 8.5 -1.08 34.56 57.47 80.0 0.32
- +Liraglutide 1.8 234 8.5 -1.13 41.66 55.97 83.0 -0.23
- +Placebo 114 8.4 0.23 7.56 11.87 81.9 -0.10
- +Rosiglitazone4 231 8.4 -0.44 21.96 36.17 80.6 2.11
- +Association à la metformine2+rosiglitazone5
- +Liraglutide 1.2 177 8.48 -1.48 57.56 95.3 -1.02
- +Liraglutide 1.8 178 8.56 -1.48 53.76 94.9 -2.02
- +Placebo 175 8.42 -0.54 28.16 98.5 0.60
- +Association à la metformine2+glimépiride3
- +Liraglutide 1.8 230 8.3 -1.33 53.16 85.8 -1.81
- +Placebo 114 8.3 -0.24 15.36 85.4 -0.42
- +Insuline glargine9 232 8.1 -1.09 45.86 85.2 1.62
-
-Traitement en association au glimépiride 1.8 mg Victoza + glimépiride2 1.2 mg Victoza + glimépiride2 Placebo + glimépiride2 rosiglitazone1 + glimépiride2
-N 234 228 114 231
-HbA1c (%) (moyenne)
-Valeur initiale 8.5 8.5 8.4 8.4
-Variation par rapport à la valeur initiale -1.13 -1.08 0.23 -0.44
-Patients (%) chez lesquels un taux d'HbA1c <7% a été atteint
-Totalité des patients 41.6 34.5 7.5 21.9
-Patients précédemment traités par un ADO 55.9 57.4 11.8 36.1
-Poids corporel (kg) (moyenne)
-Valeur initiale 83.0 80.0 81.9 80.6
-Variation par rapport à la valeur initiale -0.23 0.32 -0.10 2.11
-
-1 rosiglitazone 4 mg/jour;
-2 glimépiride 4 mg/jour;
-3 metformine 2000 mg/jour
-Tableau 2: Résultats de deux études sur 26 semaines avec Victoza en association avec la metformine + rosiglitazone ou glimépiride + metformine
-Traitement en association à la metformine + rosiglitazone 1.8 mg Victoza + metformine2 + rosiglitazone3 1.2 mg Victoza + metformine2 + rosiglitazone3 Placebo + metformine2 + rosiglitazone3 N/A
-N 178 177 175
-HbA1c (%) (moyenne)
-Valeur initiale 8.56 8.48 8.42
-Variation par rapport à la valeur initiale -1.48 -1.48 -0.54
-Patients (%) chez lesquels un taux d'HbA1c <7% a été atteint
-Totalité des patients 53.7 57.5 28.1
-Poids corporel (kg) (moyenne)
-Valeur initiale 94.9 95.3 98.5
-Variation par rapport à la valeur initiale -2.02 -1.02 0.60
-
-
-Traitement en association à la metformine + glimépiride 1.8 mg Victoza + metformine2 + glimépiride4 N/A Placebo+ metformine2 + glimépiride4 Insuline glargine1 + metformine2 + glimépiride4
-N 230 114 232
-HbA1c (%) (moyenne)
-Valeur initiale 8.3 8.3 8.1
-Variation par rapport à la valeur initiale -1.33 -0.24 -1.09
-Patients (%) chez lesquels un taux d'HbA1c <7% a été atteint
-Totalité des patients 53.1 15.3 45.8
-Poids corporel (kg) (moyenne)
-Valeur initiale 85.8 85.4 85.2
-Variation par rapport à la valeur initiale -1.81 -0.42 1.62
-
-1 La dose d'insuline glargine a été déterminée en ouvert, suivant le schéma de titration ci-après. L'adaptation de la dose de l'insuline glargine était gérée par le patient suite aux instructions de l'investigateur.
-2 Metformine 2000 mg/jour;
-3 rosiglitazone 4 mg deux fois/jour;
-4 glimépiride 4 mg/jour.
- +1 Glimépiride 8 mg/jour;
- +2 Metformine 2'000 mg/jour;
- +3 Glimépiride 4 mg/jour;
- +4 Rosiglitazone 4 mg/jour,
- +5 Rosiglitazone 4 mg deux fois par jour
- +6 Tous les patients;
- +7Traitement antérieur par ADO en monothérapie;
- +8 Patients précédemment traités par un régime alimentaire
- +9 La dose d'insuline glargine a été déterminée en ouvert, suivant le schéma de titration adapté. La titration de la dose d'insuline glargine était réalisée par le patient selon les instructions de l'investigateur:
-Chez les patients n'ayant pas atteint de contrôle glycémique suffisant avec Victoza et la metformine, l'adjonction de l'insuline détemir a résulté en une meilleure efficacité que sous Victoza et la metformine seule après un traitement de 26 semaines (différence thérapeutique estimée de -0.52% en termes d'HbA1c [tableau 3]).
-Tableau 3
-Résultats d'une étude de 12 + 26 semaines, lors de laquelle de l'insuline détémir a été ajoutée au liraglutide et à la metformine chez des patients n'ayant pas atteint de contrôle suffisant de la glycémie (HbA1c <7.0%) après une phase de run-in de 12 semaines sous le liraglutide.
-L'étude a initialement inclus 988 patients dans la phase de run-in. Les patients auparavant traités avec la metformine et avec une sulfonylurée ont reçu l'ordre d'arrêter le traitement par la sulfonylurée, mais tous les patients ont poursuivi leur ancien traitement avec la metformine. Après la phase de run-in, 498 patients (61% des 988 patients inclus) ont atteint un taux-cible d'HbA1c <7% avec le liraglutide et la metformine et ceux-ci ont poursuivi le traitement dans un bras «non randomisé», alors que les autres 323 patients (39%) avec une HbA1c ≥7% ont été randomisés, afin de poursuivre le traitement inchangé à 1,8 mg de liragutide et metformine comme contrôle (N= 161), ou de recevoir une intensification supplémentaire à l'insuline détémir comme traitement d'appoint (N= 162).
- +Chez les patients n'ayant pas atteint un contrôle glycémique suffisant avec Victoza et la metformine, l'adjonction de l'insuline détemir a résulté en une meilleure efficacité que sous Victoza et la metformine seule après un traitement de 26 semaines (différence thérapeutique estimée de -0.52% en termes d'HbA1c [tableau 2]).
- +Tableau 2
- +Résultats d'une étude de 12 + 26 semaines, lors de laquelle de l'insuline détémir a été ajoutée au liraglutide et à la metformine chez des patients n'ayant pas atteint un contrôle suffisant de la glycémie (HbA1c <7.0%) après une phase de run-in de 12 semaines sous le liraglutide.
- +L'étude a initialement inclus 988 patients dans la phase de run-in. Les patients auparavant traités avec la metformine et avec une sulfonylurée ont reçu l'ordre d'arrêter le traitement par la sulfonylurée, mais tous les patients ont poursuivi leur ancien traitement avec la metformine. Après la phase de run-in, 498 patients (61% des 988 patients inclus) ont atteint un taux-cible d'HbA1c <7% avec le liraglutide et la metformine et ceux-ci ont poursuivi le traitement dans un bras «non randomisé», alors que les autres 323 patients (39%) avec une HbA1c ≥7% ont été randomisés, afin de poursuivre le traitement inchangé à 1,8 mg de liragutide et metformine comme contrôle (N=161), ou de recevoir une intensification supplémentaire à l'insuline détémir comme traitement d'appoint (N=162).
- Traitement continu non randomisé Randomisé + insuline détémir Groupe de contrôle randomisé
- +Traitement continu non randomisé Randomisé + insuline détémir Groupe de contrôle randomisé
-Patients chez lesquels un taux d'HbA1c <7% a été atteint
- +Patients chez lesquels un taux d'HbA1C <7% a été atteint
-Pourcentage de patients ayant obtenu une diminution du taux d'HbA1c
- +Pourcentage de patients ayant obtenu une diminution adéquate du taux d'HbA1c
- +Sous liraglutide en monothérapie, une proportion statistiquement significativement (1.8 mg p <0.0001, 1.2 mg p = 0.0007) plus élevée de patients a atteint un taux d'HbA1c ≤7% au bout de 52 semaines par rapport aux patients traités par glimépiride.
-Dès les deux premières semaines de traitement, Victoza en monothérapie ou en association à un ou deux antidiabétiques oraux a permis une diminution de la glycémie plasmatique à jeun de 0.72-2.42 mmol/l (13–43.5 mg/dl).
- +Dès les deux premières semaines de traitement, Victoza en monothérapie et en association à un ou deux antidiabétiques oraux a permis une diminution de la glycémie plasmatique à jeun de 0.72-2.42 mmol/l (13–43.5 mg/dl).
-Les études cliniques réalisées avec Victoza mettent en évidence une amélioration de la fonction bêta-cellulaire sur la base de mesures telles que le modèle d'homéostasie de la fonction bêta-cellulaire (HOMA-B) et le rapport proinsuline/insuline. Une amélioration de la première et de la deuxième phase de sécrétion d'insuline après 52 semaines de traitement par Victoza a été démontrée dans un sousgroupe de patients présentant un diabète de type 2 (n= 29).
- +Les études cliniques réalisées avec Victoza mettent en évidence une amélioration de la fonction bêta-cellulaire sur la base de mesures telles que le modèle d'homéostasie de la fonction bêta-cellulaire (HOMA-B) et le rapport proinsuline/insuline. Une amélioration de la première et de la deuxième phase de sécrétion d'insuline après 52 semaines de traitement par Victoza a été démontrée dans un sous-groupe de patients présentant un diabète de type 2 (n= 29).
-Victoza en association à la metformine, à la metformine et à une sulfonylurée ou à la metformine et à une thiazolidindione, a permis une diminution durable du poids de 1.0 kg à 2.8 kg pendant toute la durée des études.
-La réduction de poids était d'autant plus forte que l'indice de masse corporelle (IMC) était élevé au début de l'étude.
- +Victoza en monothérapie et en association à la metformine, à la metformine et à une sulfonylurée ou à la metformine et à une thiazolidindione, a permis une diminution durable du poids de 1.0 kg à 2.8 kg pendant toute la durée des études.
- +La réduction du poids était d'autant plus forte que l'indice de masse corporelle (IMC) était élevé au début de l'étude.
-Dans une étude en double aveugle sur l'efficacité et la sécurité du liraglutide 1.8 mg, en association à l'insuline et /ou à des antidiabétiques oraux (ADO), chez les patients atteints de diabète de type 2 et présentant une insuffisance rénale modérée, le liraglutide a été supérieur au traitement placebo dans la réduction de l'HbA1c après 26 semaines (-1.05% contre -0.38%, p <0,0001). Le risque d'épisodes hypoglycémiques était similaire dans les deux groupes de traitement. Le profil de sécurité du liraglutide était généralement comparable à celui qui a été observé dans d'autres études avec le liraglutide.
- +Dans une étude en double aveugle sur l'efficacité et la sécurité du liraglutide 1.8 mg, en association à l'insuline et /ou à des antidiabétiques oraux (ADO), chez les patients atteints de diabète de type 2 et présentant une insuffisance rénale modérée, le liraglutide a été supérieur au traitement placebo dans la réduction de l'HbA1c après 26 semaines (-1.05% contre -0.38%, p <0.0001). Le risque d'épisodes hypoglycémiques était similaire dans les deux groupes de traitement. Le profil de sécurité du liraglutide était généralement comparable à celui qui a été observé dans d'autres études avec le liraglutide.
-Une analyse pharmacocinétique de population suggère que l'indice de masse corporelle (IMC) n'a aucun effet significatif sur la pharmacocinétique du liraglutide.
-Insuffisance hépatique
-La pharmacocinétique du liraglutide a été évaluée chez des sujets présentant un degré variable d'insuffisance hépatique dans une étude avec des doses uniques. L'exposition au liraglutide a diminué de 13-23% chez les sujets qui présentaient une insuffisance hépatique légère à modérée par rapport aux sujets sains.
-L'exposition était nettement diminuée (44%) chez les patients atteints d'une insuffisance hépatique sévère (score de Child Pugh >9).
-Insuffisance rénale
-L'exposition au liraglutide s'est révélée plus faible chez les sujets qui présentaient une insuffisance rénale par rapport à ceux ayant une fonction rénale normale. L'exposition au liraglutide a diminué de respectivement 33%, 14%, 27% et 28% chez les sujets présentant respectivement une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine ClCr 50-80 ml/min), modérée (ClCr 30-50 ml/min), sévère (ClCr <30 ml/min) et une insuffisance rénale terminale nécessitant une dialyse.
- +Une analyse pharmacocinétique de la population suggère que l'indice de masse corporelle (IMC) n'a aucun effet significatif sur la pharmacocinétique du liraglutide.
- +Insuffisance hépatique:
- +La pharmacocinétique du liraglutide a été évaluée chez des sujets présentant un degré variable d'insuffisance hépatique dans une étude avec des doses uniques. L'exposition totale au liraglutide a diminué de 13-23% chez les sujets qui présentaient une insuffisance hépatique légère à modérée par rapport aux sujets sains.
- +L'exposition totale était nettement diminuée (44%) chez les patients atteints d'une insuffisance hépatique sévère (score de Child Pugh >9).
- +Insuffisance rénale:
- +L'exposition au liraglutide s'est révélée plus faible chez les sujets qui présentaient une insuffisance rénale par rapport à ceux ayant une fonction rénale normale. L'exposition au liraglutide a diminué de respectivement 33%, 14%, 27% et 26% chez les sujets présentant respectivement une insuffisance rénale légère (clairance de la créatinine ClCr 50-80 ml/min), modérée (ClCr 30-50 ml/min), sévère (ClCr <30 ml/min) et une insuffisance rénale terminale nécessitant une dialyse.
-L'ajout d'autres substances à Victoza peut provoquer une dégradation du liraglutide. Victoza ne doit pas être mélangé à d'autres médicaments (p.ex. liquides de perfusion).
- +L'ajout d'autres substances à Victoza peut provoquer une dégradation du liraglutide. Victoza ne doit pas être mélangé à d'autres médicaments (p.ex. solutions pour perfusion).
-Novo Nordisk Pharma S/A, 8700 Küsnacht/ZH.
- +Novo Nordisk Pharma S/A, Zürich.
-Novembre 2015.
- +Juillet 2017.
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