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Accueil - Information professionnelle sur Olanzapin-Mepha 2.5 - Changements - 20.02.2018
66 Changements de l'information professionelle Olanzapin-Mepha 2.5
  • -Personnes âgées: Chez les personnes âgées (65 ans et plus) en bonne santé, le temps de demi-vie de l'olanzapine est prolongé. Il faut compter avec la même variabilité pharmacocinétique que chez les personnes jeunes. Pour une dose de 5 à 20 mg/jour, le profil de sécurité de l'olanzapine est comparable chez les jeunes et chez les vieux. En général, on recommande une adaptation du dosage chez les personnes âgées: le dosage initial chez les vieillards étant de 5 mg/jour.
  • +Personnes âgées: Chez les personnes âgées (65 ans et plus) en bonne santé, le temps de demi-vie de l'olanzapine est prolongé. Il faut compter avec la même variabilité pharmacocinétique que chez les personnes jeunes. Pour une dose de 5 à 20 mg/jour, le profil de sécurité de l'olanzapine est comparable chez les jeunes et chez les personnes âgées. En général, on recommande une adaptation du dosage chez les personnes âgées: le dosage initial chez les personnes âgées étant de 5 mg/jour.
  • -Au cas où une augmentation de la posologie de 2,5 mg s'avérait nécessaire, les comprimés d'Olanzapine-Mepha seront prescrits (voir également «Interactions», «Pharmacocinétique»).
  • +Au cas où une augmentation de la posologie de 2,5 mg s'avérerait nécessaire, les comprimés d'Olanzapine-Mepha seront prescrits (voir également «Interactions», «Pharmacocinétique»).
  • -Psychose/troubles du comportement chez les patients souffrant de démence:
  • +Psychose/troubles du comportement chez les patients souffrant de démence
  • -Syndrome neuroleptique malin (SNM):
  • -De rares cas de SNM ont été signalés chez des patients sous olanzapine. Le SNM est une affection susceptible de constituer un danger vital, en rapport avec la prise de neuroleptiques. Cliniquement, le SNM se manifeste par une augmentation de la température corporelle (hyperthermie), une rigidité musculaire, une modification de l'état mental et une instabilité du système nerveux autonome (pulsations ou tension artérielle irrégulières, tachycardie, sueurs et troubles du rythme cardiaque). D'autres symptômes peuvent être une augmentation de la créatinine-phosphokinase, une myoglobinurie (rhabdomyolyse) et une insuffisance rénale. En pareil cas ou face à une fièvre inexpliquée même sans manifestations cliniques concomitantes de SNM, le traitement de tous les neuroleptiques, incluant l'olanzapine, doivent être interrompus.
  • -Hyperglycémie/Diabète:
  • -Chez les patients diabétiques ou présentant une légère élévation de la glycémie (100126 mg/dl à jeun, 140200 mg/dl non à jeun), l'olanzapine ne sera prescrite qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfices/risques.
  • -Des hyperglycémies, parfois marquées et occasionnellement accompagnées d'une acidocétose ou d'un coma hyperosmolaire, mais rarement à issue fatale,
  • -ont été rapportées chez des patients traités par des neuroleptiques atypiques dont l'olanzapine. Des études épidémiologiques ont montré un risque accru d'effets indésirables induits par l'hyperglycémie lors d'un traitement par des neuroleptiques atypiques. Il n'existe pas d'estimation précise du risque de survenue d'événements indésirables liés à une augmentation de la glycémie chez des patients traités par des antipsychotiques atypiques.
  • +Syndrome neuroleptique malin (SNM)
  • +De rares cas de SNM ont été signalés chez des patients sous olanzapine. Le SNM est une affection susceptible de constituer un danger vital, en rapport avec la prise de neuroleptiques. Cliniquement, le SNM se manifeste par une augmentation de la température corporelle (hyperthermie), une rigidité musculaire, une modification de l'état mental et une instabilité du système nerveux autonome (pulsations ou tension artérielle irrégulières, tachycardie, sueurs et troubles du rythme cardiaque). D'autres symptômes peuvent être une augmentation de la créatinine-phosphokinase, une myoglobinurie (rhabdomyolyse) et une insuffisance rénale. En pareil cas ou face à une forte fièvre inexpliquée même sans manifestations cliniques concomitantes de SNM, le traitement de tous les neuroleptiques, incluant l'olanzapine, doivent être interrompus.
  • +Hyperglycémie/Diabète
  • +Chez les patients diabétiques ou présentant une légère élévation de la glycémie (100-126 mg/dl à jeun, 140-200 mg/dl non à jeun), l'olanzapine ne sera prescrite qu'après une évaluation soigneuse du rapport bénéfices/risques.
  • +Des hyperglycémies, parfois marquées et occasionnellement accompagnées d'une acidocétose ou d'un coma hyperosmolaire, mais rarement à issue fatale, ont été rapportées chez des patients traités par des neuroleptiques atypiques dont l'olanzapine. Des études épidémiologiques ont montré un risque accru d'effets indésirables induits par l'hyperglycémie lors d'un traitement par des neuroleptiques atypiques. Il n'existe pas d'estimation précise du risque de survenue d'événements indésirables liés à une augmentation de la glycémie chez des patients traités par des antipsychotiques atypiques.
  • -L'arrêt soudain du traitement à l'olanzapine a été suivi rarement (>0,01% et <0,1%) de symptômes aigus tels que sueurs, insomnie, tremblement, anxiété, nausée ou vomissement ont été rapportés. Avant d'arrêter un traitement avec l'olanzapine, on envisagera une réduction graduelle de la dose.
  • +L'arrêt soudain du traitement à l'olanzapine a été suivi rarement (>0,01% et <0,1%) des symptômes aigus tels que sueurs, insomnie, tremblement, anxiété, nausée ou vomissement. Avant d'arrêter un traitement avec l'olanzapine, on envisagera une réduction graduelle de la dose.
  • -Des atteintes thromboemboliques veineuses ont été très rarement rapportées avec l'olanzapine (<0,01%). Il n'a pas été établi de lien de causalité entre la survenue de ces atteintes et le traitement par l'olanzapine.
  • -Cependant les patients schizophrènes présentant souvent des facteurs de risque thromboembolique veineux, tout facteur de risque potentiel d'atteintes thromboemboliques veineuses, p.ex. l'immobilisation prolongée, doit être identifié et des mesures préventives mises en œuvre.
  • +Des atteintes thromboemboliques veineuses ont été très rarement rapportées avec l'olanzapine (<0,01%). Il n'a pas été établi de lien de causalité entre la survenue de ces atteintes et le traitement par l'olanzapine. Cependant les patients schizophrènes présentant souvent des facteurs de risque thromboembolique veineux, tout facteur de risque potentiel d'atteintes thromboemboliques veineuses, p.ex. l'immobilisation prolongée, doit être identifié et des mesures préventives mises en oeuvre.
  • -Occasionnellement au cours d'essais cliniques avec l'olanzapine orale, une hypotension orthostatique a été observée chez des patients âgés. Si des neuroleptiques sont indiqués, il est conseillé de contrôler la tension artérielle à intervalles réguliers chez les patients de plus de 65 ans.
  • +Occasionnellement au cours d'essais cliniques avec d'olanzapine orale, une hypotension orthostatique a été observée chez des patients âgés. Si des neuroleptiques sont indiqués, il est conseillé de contrôler la tension artérielle à intervalles réguliers chez les patients de plus de 65 ans.
  • -Des DRESS ont été observées durant l'exposition à l'olanzapine. La DRESS est une combinaison de trois ou plus des symptômes suivants: réaction cutanée (comme une éruption ou une dermatite exfoliative), éosinophilie, fièvre, lymphadénopathie, et une ou plusieurs complications systémiques telles que hépatite, néphrite, pneumonite, myocardite et péricardite. En cas de suspicion de DRESS Olanzapin-Mepha doit être interrompu.
  • +Des DRESS ont été observées durant l'exposition à l'olanzapine. La DRESS est une combinaison de trois ou plus des symptômes suivants: réaction cutanée (comme une éruption ou une dermatite exfoliative), éosinophilie, fièvre, lymphadénopathie, et une ou plusieurs complications systémiques telles que hépatite, néphrite, pneumonite, myocardite et péricardite. En cas de suspicion de DRESS Olanzapine-Mepha doit être interrompu.
  • -L'olanzapine n'inhibe pas les principales isoenzymes du CYP450 in vitro (c'est-à-dire 1A2, 2D6, 2C9, 2C19, 3A4). Par conséquent, aucune interaction particulière n'est attendue comme cela a pu être vérifié au cours d'études in vivo au cours desquelles aucune inhibition du métabolisme des produits actifs suivants n'a été mise en évidence: antidépresseurs tricycliques (représentant principalement la voie du CYP2D6), la warfarine (CYP2C9), la théophylline (CYP1A2), ou le diazépam (CYP3A4 et 2C19).
  • +L'olanzapine n'inhibe pas les principales isoenzymes du CYP450 in vitro (c'est-à-dire 1A2, 2D6, 2C9, 2C19, 3A4). Par conséquent, aucune interaction particulière n'est attendue comme cela a pu être vérifié au cours d'études in vivo au cours desquelles aucune inhibition du métabolisme des produits actifs suivants n'a été mise en évidence: antidépresseurs tricycliques (représentant principalement la voie du CYP2D6), la warfarine (CYP2C9), la théophylline (CYP1A2) ou le diazépam (CYP3A4 et 2C19).
  • -Le suivi des taux plasmatiques du Divalproex (valproate) n'a pas montré la nécessité d'adapter la posologie du Divalproex (valproate) après l'instauration d'un traitement oral par l'olanzapine.
  • +Le suivi des taux plasmatiques du Divalproex (valproate) n'a pas montré la nécessité d'adapter la posologie du Divalproex après l'instauration d'un traitement par l'olanzapine.
  • -Des études animales ont mis en évidence des effets secondaires affectant le fœtus et il n'existe aucune étude contrôlée et suffisamment documentée chez les femmes enceintes. L'attention des patientes sera donc attirée sur le fait qu'elle doivent avertir leur médecin en cas de grossesse débutante ou de projet de grossesse en cours de traitement à l'olanzapine. L'expérience chez l'homme étant limitée, l'olanzapine ne sera administré lors d'une grossesse que si les avantages éventuels justifient le risque fœtal potentiel.
  • +Des études animales ont mis en évidence des effets secondaires affectant le foetus et il n'existe aucune étude contrôlée et suffisamment documentée chez les femmes enceintes. L'attention des patientes sera donc attirée sur le fait qu'elles doivent avertir leur médecin en cas de grossesse débutante ou de projet de grossesse en cours de traitement à l'olanzapine. L'expérience chez l'homme étant limitée, ce médicament ne sera administré lors d'une grossesse que si les avantages éventuels justifient le risque foetal potentiel.
  • -Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (≥1% des patients) au cours des essais cliniques ont été: somnolence, prise de poids, éosinophilie, augmentation des taux de prolactine, de cholestérol, de la glycémie et de la triglycéridémie (voir «Mises en garde et précautions»), glucosurie, augmentation de l'appétit, sensation vertigineuse, acathisie, parkinsonisme, leucopénie, neutropénie (voir «Mises en garde et précautions»), dyskinésie, hypotension orthostatique, effets anticholinergiques, élévations transitoires asymptomatiques des aminotransférases hépatiques (voir «Mises en garde et précautions»), rash, asthénie, fatigue, pyrexie, arthralgie, phosphatase alcaline sanguine augmentée, gamma-glutamyltransférase augmentée, uricémie augmentée, créatine phosphokinase sanguine augmentée et oedème.
  • -La liste des effets indésirables présentés dans le tableau suivant a été établie à partir du recueil des évènements indésirables et des examens de laboratoire issus de la notification spontanée et des essais cliniques.
  • -Les fréquences sont définies comme suit: fréquent (≥1/100 à <1/10); occasionnel (≥1/1000 à <1/100); rare (≥1/10'000 à <1/1000); fréquence inconnue (la fréquence exacte ne peut être estimée essentiellement sur la base des rapports spontanés issus de la surveillance postcommercialisation).
  • +Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés (≥1% des patients) au cours des essais cliniques ont été: somnolence, prise de poids, éosinophilie, augmentation des taux de prolactine, de cholestérol, de la glycémie et de la triglycéridémie (voir «Mises en garde et précautions»), glucosurie, augmentation de l'appétit, sensation vertigineuse, acathisie, parkinsonisme, leucopénie, neutropénie (voir «Mises en garde et précautions»), dyskinésie, hypotension orthostatique, effets anticholinergiques, élévations transitoires asymptomatiques des aminotransférases hépatiques (voir «Mises en garde et précautions»), rash, asthénie, fatigue, pyréxie, arthralgie, phosphatase alcaline sanguine augmentée, gamma-glutamyltransférase augmentée, uricémie augmentée, créatine phosphokinase sanguine augmentée et oedème.
  • +La liste des effets indésirables présentés ci-après a été établie à partir du recueil des évènements indésirables et des examens de laboratoire issus de la notification spontanée et des essais cliniques.
  • +La fréquence des effets indésirables est indiquée comme suit: «très fréquent (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10'000), «très rares» (<1/10'000).
  • -Affections du Système immunitaire
  • +Affections du système immunitaire
  • -Occasionnel: Apparition ou exacerbation d'un diabète, associés parfois à une acidocétose ou un coma, avec une issue fatale pour certains cas (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Occasionnel: apparition ou exacerbation d'un diabète, associés parfois à une acidocétose ou un coma, avec une issue fatale pour certains cas (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Très fréquents: Somnolence (17,6%). Chez les patients souffrant de la maladie de Parkinson, on a rapporté plus souvent une péjoration des symptômes de Parkinson et des hallucinations.
  • +Très fréquent: Somnolence (17,6%). Chez les patients souffrant de la maladie de Parkinson, on a rapporté plus souvent une péjoration des symptômes de Parkinson et des hallucinations.
  • -Occasionnel: Convulsions, dans la plupart des cas lorsque des antécédents de convulsions ou des facteurs de risque de convulsions ont été rapportés. Dystonie (y compris crises oculogyres), dyskinésie tardive, amnésie.
  • -Rare: Syndrome malin des neuroleptiques (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Occasionnel: convulsions, dans la plupart des cas lorsque des antécédents de convulsions ou des facteurs de risque de convulsions ont été rapportés. Dystonie (y compris crises oculogyres), dyskinésie tardive, amnésie, syndrome des jambes sans repos.
  • +Rare: syndrome malin des neuroleptiques (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Rare: Tachycardie ventriculaire/fibrillation, mort subite (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Rare: tachycardie ventriculaire/fibrillation, mort subite (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Très fréquent: Hypotension orthostatique (20.7%).
  • +Très fréquent: Hypotension orthostatique (20,7%).
  • -Affections gastrointestinales
  • +Affections gastro-intestinales
  • -Occasionnel: Ballonnements.
  • +Occasionnel: distension abdominale.
  • -Affections musculo-squelettiques et, du tissu conjonctif
  • +Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • -Très rare: réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic, DRESS) (voir «Mises en grade et précautions»).
  • +Très rare: réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms, DRESS) (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Très fréquent: Augmentation de la prolactinémie (30.3%) (voir note 8 ci-dessous).
  • +Très fréquent: Augmentation de la prolactinémie (30,3%) (voir note 8 ci-dessous).
  • -Prise de poids lors d'un traitement à long terme (au moins 48 semaines)
  • -Très fréquent: 64.4% des patients avec prise de poids de plus de 7%, 31.7% des patients avec prise de poids de plus de 15%, 12.3% des patients avec prise de poids de plus de 25%.
  • +Prise de poids lors d'un traitement à long terme (au-moins 48 semaines)
  • +Très fréquent: 64,4% des patients avec prise de poids de plus de 7%, 31,7% des patients avec prise de poids de plus de 15%, 12,3% des patients avec prise de poids de plus de 25%.
  • -La proportion de patients ayant présenté des modifications indésirables cliniquement significatives du poids (augmentation), du glucose, du cholestérol total/HDL/LDL ou des triglycérides a augmenté au cours du temps. Chez les patients adultes qui ont suivi 912 mois de traitement, le taux d'augmentation de la glycémie sanguine moyenne a diminué après 46 mois environ.
  • +La proportion de patients ayant présenté des modifications indésirables cliniquement significatives du poids (augmentation), du glucose, du cholestérol total/HDL/LDL ou des triglycérides a augmenté au cours du temps. Chez les patients adultes qui ont suivi 9-12 mois de traitement, le taux d'augmentation de la glycémie sanguine moyenne a diminué après 4-6 mois environ.
  • -Conformément à la manifestation clinique, un traitement symptomatique et le contrôle des fonctions organiques nécessaires à la survie doivent être mis en œuvre, y compris le traitement de l'hypotension ou du collapsus circulatoire et le soutien des fonctions respiratoires.
  • +Conformément à la manifestation clinique, un traitement symptomatique et le contrôle des fonctions organiques nécessaires à la survie doivent être mis en oeuvre, y compris le traitement de l'hypotension ou du collapsus circulatoire et le soutien des fonctions respiratoires.
  • -L'olanzapine est un neuroleptique atypique avec une action antimaniaque et stabilisatrice de l'humeur, présentant une affinité pour le 5HT2A/2C, le 5HT3 et le 5HT6, la dopamine D4, D3, D1, D2, les récepteurs muscariniques cholinergiques (m1m5), les récepteurs adrénergiques α1 et les récepteurs histaminiques H1. Des études cliniques observant le comportement des patients réalisées avec l'olanzapine concordent avec les profils de liaisons aux récepteurs.
  • -Dans une étude PET avec des doses uniques de 10 mg chez des volontaires sains, l'olanzapine donnait une meilleure saturation des récepteurs 5HT2A que des récepteurs dopaminergiques D2. La saturation D2 était inférieure à celle observée avec les neuroleptiques conventionnels. Ce type d'action peut expliquer le faible taux d'effets secondaires extrapyramidaux et de dyskinésies tardives observés avec olanzapine au cours des études cliniques, tout autant que son effet favorable sur la symptomatique négative et positive.
  • +L'olanzapine est un neuroleptique atypique avec une action antimaniaque et stabilisatrice de l'humeur, présentant une affinité pour le 5HT2A/2C, le 5HT3 et le 5HT6, la dopamine D4, D3, D1, D2, les récepteurs muscariniques cholinergiques (m1m5), les récepteurs adrénergiques α1 et les récepteurs histaminiques H1. Des études cliniques observant le comportement des patients réalisées avec l'olanzapine concordent avec les profils de liaisons aux récepteurs.
  • +Dans une étude PET avec des doses uniques de 10 mg chez des volontaires sains, l'olanzapine donnait une meilleure saturation des récepteurs 5HT2A que des récepteurs dopaminergiques D2. La saturation D2 était inférieure à celle observée avec les neuroleptiques conventionnels. Ce type d'action peut expliquer le faible taux d'effets secondaires extrapyramidaux et de dyskinésies tardives observés avec l'olanzapine au cours des études cliniques, tout autant que son effet favorable sur la symptomatique négative et positive.
  • -Après administration per os, Olanzapine-Mepha est bien résorbé et le pic plasmatique est atteint dans un intervalle de 5 à 8 heures. La résorption n'est pas influencée par les repas.
  • +Après administration per os, l'olanzapine est bien résorbé et le pic plasmatique est atteint dans un intervalle de 5 à 8 heures. La résorption n'est pas influencée par les repas.
  • -La liaison de l'olanzapine aux protéines plasmatiques atteignait environ 93% pour des concentrations situées entre 7 et 1'000 ng/ml. L'olanzapine se lie essentiellement à l'albumine et aux glycoprotéines acides α1.
  • +La liaison de l'olanzapine aux protéines plasmatiques atteignait environ 93% pour des concentrations situées entre 7 et 1000 ng/ml. L'olanzapine se lie essentiellement à l'albumine et aux glycoprotéines acides α1.
  • -Chez les personnes âgées en bonne santé, le temps de demi-vie moyen de l'olanzapine est rallongé par rapport à des sujets jeunes, sains. Chez les vieillards, les concentrations d'olanzapine après une prise de 5 mg, étaient plus élevées suite à l'allongement de la demi-vie et la clairance plasmatique, plus faible (19 l/h.).
  • -Les comprimés orodispersibles Olanzapine-Mepha oro sont équivalents aux comprimés Olanzapine-Mepha – l'absorption étant comparable pour une même vitesse et un même mélange, et le dosage ainsi que la fréquence de prises sont les mêmes qu'avec les comprimés d'olanzapine. Les comprimés orodispersibles Olanzapine-Mepha oro peuvent être prescrits comme alternative aux comprimés Olanzapine-Mepha.
  • +Chez les personnes âgées en bonne santé, le temps de demi-vie moyen de l'olanzapine est rallongé par rapport à des sujets jeunes, sains. Chez les personnes âgées, les concentrations d'olanzapine après une prise de 5 mg, étaient plus élevées suite à l'allongement de la demi-vie et la clairance plasmatique, plus faible (19 l/h).
  • +Les comprimés orodispersibles Olanzapine-Mepha oro sont équivalents aux comprimés Olanzapine-Mepha – l'absorption étant comparable pour une même vitesse et un même mélange, et le dosage ainsi que la fréquence de prises sont les mêmes qu'avec les comprimés d'olanzapine.
  • +Les comprimés orodispersibles Olanzapine-Mepha oro peuvent être prescrits comme alternative aux comprimés Olanzapine-Mepha.
  • -La clairance plasmatique de l'olanzapine s'est avérée plus faible chez les personnes âgées que chez les jeunes, chez les femmes que chez les hommes et chez les non-fumeurs que chez les fumeurs. Mais cette influence de l'âge, du sexe ou du tabagisme sur la clairance de l'olanzapine était relativement faible comparativement à l'ensemble des variations interindividuelles.
  • +La clairance plasmatique de l'olanzapine s'est avérée plus faible chez les personnes âgées que chez les jeunes, chez les femmes que chez les hommes et chez les non-fumeurs que chez les fumeurs. Mais cette influence de l'âge, du sexe ou du tabagisme sur la clairance de l'olanzapine était relativement faible comparativement à l'ensemble des variations inter-individuelles.
  • -Octobre 2016.
  • -Numéro de version interne: 9.2
  • +Juillet 2017.
  • +Numéro de version interne: 10.1
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