ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Cefepim Sandoz i.v. 500 mg - Changements - 06.02.2016
90 Changements de l'information professionelle Cefepim Sandoz i.v. 500 mg
  • -Flacons-ampoules de 500 mg, 1 g ou 2 g: poudre pour fabrication d’une solution injectable ou perfusable.
  • +Flacons perforables de 500 mg, 1 g ou 2 g: poudre pour fabrication d'une solution injectable ou perfusable.
  • -Adultes et enfants >40 kg de poids corporel atteints d’infections graves provoquées par des germes sensibles
  • -Infections des voies respiratoires inférieures (pneumonie, exacerbation aiguë d’une bronchite chronique);
  • -infections des voies urinaires supérieures (pyélonéphrite) et inférieures;
  • -infections de la peau et des parties molles (pyodermie, abcès, cellulite infectieuse, infections des plaies);
  • -cholécystite, cholangite;
  • -endométrite, salpingite;
  • -septicémie, bactériémie;
  • -fièvre en présence de neutropénie;
  • -péritonite purulente (en association avec le métronidazole).
  • -Il n’y a pas de données sur le traitement des infections du SNC.
  • -Enfants en bas âge à partir de 2 mois et enfants ≤40 kg de poids corporel atteints d’infections graves provoquées par des germes sensibles
  • -Pneumonie;
  • -infections compliquées (y compris pyélonéphrite) et non compliquées des voies urinaires;
  • -infections de la peau et des parties molles;
  • -septicémie;
  • -fièvre en présence de neutropénie; méningite bactérienne.
  • -Respecter les recommandations officielles concernant l’usage adéquat des antibiotiques, notamment les recommandations visant à prévenir un accroissement de la résistance aux antibiotiques.
  • +Adultes et enfants >40 kg de poids corporel atteints d'infections graves provoquées par des germes sensibles
  • +·Infections des voies respiratoires inférieures (pneumonie, exacerbation aiguë d'une bronchite chronique);
  • +·infections des voies urinaires supérieures (pyélonéphrite) et inférieures;
  • +·infections de la peau et des parties molles (pyodermie, abcès, cellulite infectieuse, infections des plaies);
  • +·cholécystite, cholangite;
  • +·endométrite, salpingite;
  • +·septicémie, bactériémie;
  • +·fièvre en présence de neutropénie;
  • +·péritonite purulente (en association avec le métronidazole).
  • +Il n'y a pas de données sur le traitement des infections du SNC.
  • +Enfants en bas âge à partir de 2 mois et enfants ≤40 kg de poids corporel atteints d'infections graves provoquées par des germes sensibles
  • +·Pneumonie;
  • +·infections compliquées (y compris pyélonéphrite) et non compliquées des voies urinaires;
  • +·infections de la peau et des parties molles;
  • +·septicémie;
  • +·fièvre en présence de neutropénie;
  • +·méningite bactérienne.
  • +Respecter les recommandations officielles concernant l'usage adéquat des antibiotiques, notamment les recommandations visant à prévenir un accroissement de la résistance aux antibiotiques.
  • -Céfépime Sandoz doit être administré par voie intraveineuse (i.v.) ou par voie intramusculaire (i.m.) profonde dans une grosse masse musculaire. La posologie et la voie d’application dépendent des germes, de la sévérité de l’infection, de la fonction rénale et de l’état de santé du patient (voir aussi «Remarques particulières: Instructions d’utilisation»).
  • +Céfépime Sandoz doit être administré par voie intraveineuse (i.v.) ou par voie intramusculaire (i.m.) profonde dans une grosse masse musculaire. La posologie et la voie d'application dépendent des germes, de la sévérité de l'infection, de la fonction rénale et de l'état de santé du patient (voir aussi «Remarques particulières: Instructions d'utilisation»).
  • -Localisation et type Posologie Intervalle
  • -de l’infection entre les
  • - applica-
  • - tions
  • -Infections des voies 500 mg–1 g 12 h
  • -urinaires i.v. ou i.m.
  • -Pneumonie, bronchite, 1 g i.v. 12 h
  • -infections de la peau et ou i.m.
  • -des structures cutanées
  • -Infections très graves 2 g i.v. 12 h
  • -(y compris pneumonie, septi-
  • -cémie, infections des voies
  • -urinaires, infections intra-
  • -abdominales compliquées,
  • -infections de la peau et
  • -des structures cutanées)
  • -Infections mettant la vie 2 g i.v. 8 h
  • -du patient en danger
  • -(y compris septicémie,
  • -surtout chez les
  • -patients immunodéprimés)
  • -
  • -Durée du traitement: La durée du traitement est de 7 à 10 jours en général, mais peut être prolongée en cas d’infection compliquée.
  • +Localisation et type de l'infection Posologie Intervalle entre les administrations
  • +Infections des voies urinaires 500 mg-1 g i.v. ou i.m. 12 h
  • +Pneumonie, bronchite, infections de la peau et des structures cutanées 1 g i.v. ou i.m. 12 h
  • +Infections très graves (y compris pneumonie, septicémie, infections des voies urinaires, infections intra-abdominales compliquées, infections de la peau et des structures cutanées) 2 g i.v. 12 h
  • +Infections mettant la vie du patient en danger (y compris septicémie, surtout chez les patients immunodéprimés) 2 g i.v. 8 h
  • +
  • +Durée du traitement: La durée du traitement est de 7 à 10 jours en général, mais peut être prolongée en cas d'infection compliquée.
  • -Durée du traitement: La durée du traitement est de 7 à 10 jours en général, mais peut être prolongée en cas d’infection compliquée.
  • +Durée du traitement: La durée du traitement est de 7 à 10 jours en général, mais peut être prolongée en cas d'infection compliquée.
  • -La posologie maximale quotidienne pour les enfants ne doit pas dépasser la posologie maximale pour les adultes (2 g toutes les 8 heures). Les expériences d’un traitement intramusculaire chez les enfants sont limitées.
  • +La posologie maximale quotidienne pour les enfants ne doit pas dépasser la posologie maximale pour les adultes (2 g toutes les 8 heures). Les expériences d'un traitement intramusculaire chez les enfants sont limitées.
  • -La céfépime est éliminée presque complètement par voie rénale (filtration glomérulaire). C’est pourquoi, les insuffisants rénaux (taux de filtration glomérulaire ≤50 ml/min), requièrent une adaptation de la posologie afin de compenser l’élimination ralentie. La posologie initiale recommandée pour les patients avec une insuffisance rénale légère à modérée correspond à celle administrée aux patients avec une fonction rénale normale. Pour déterminer la dose d’entretien appropriée, on devrait faire une évaluation du taux de filtration glomérulaire. Ci-dessous les posologies d’entretien recommandées:
  • -Insuffisance rénale: Posologie d’entretien pour les adultes et les enfants >40 kg de poids corporel
  • -Clairance de Posologie d’entretien recommandée/
  • -la créatinine intervalle entre les applications
  • -(ml/min)
  • - Infections Pneumonie, bronchite,
  • - des voies infections de la peau
  • - urinaires et des structures
  • - cutanées
  • -30–50 500 mg toutes 1 g toutes
  • - les 24 h les 24 h
  • -11–29 500 mg toutes 500 mg toutes
  • - les 24 h les 24 h
  • -≤10 250 mg toutes 250 mg toutes
  • - les 24 h les 24 h
  • -Hémodialyse* 500 mg toutes 500 mg toutes
  • - les 24 h les 24 h
  • -
  • -Clairance Posologie d’entretien recommandée/
  • -de la intervalle entre les applications
  • -créatinine
  • -(ml/min)
  • - Infections très Infections mettant
  • - graves (y compris la vie du patient
  • - pneumonie, septi- en danger (y com-
  • - cémie, infections pris septicémie,
  • - des voies urinaires, surtout chez les
  • - infections intra- patients immuno-
  • - abdominales compli- déprimés)
  • - quées, infections
  • - de la peau et des
  • - structures cutanées)
  • -30–50 2 g toutes 2 g toutes
  • - les 24 h les 12 h
  • -11–29 1 g toutes 2 g toutes
  • - les 24 h les 24 h
  • -≤10 500 mg toutes 1 g toutes
  • - les 24 h les 24 h
  • -Hémo- 500 mg toutes 500 mg toutes
  • -dialyse* les 24 h les 24 h
  • -
  • -* Selon un modèle pharmacocinétique, une posologie diminuée est nécessaire pour ces patients. Les patients hémodialysés sous traitement par Céfépime Sandoz devraient recevoir les posologies suivantes: Une dose de charge de 1 g le 1er jour, puis 500 mg de Céfépime Sandoz par jour. Le jour de la dialyse, Céfépime Sandoz devrait être administré après la dialyse. Si possible, Céfépime Sandoz est appliqué en même moment chaque jour.
  • -Lorsqu’on ne connaît que la créatinine sérique (Ccr), la clairance de la créatinine (Cl) peut être évaluée au moyen de l’équation (en µmol) suivante, la Ccr représentant la fonction rénale au steady-state:
  • +La céfépime est éliminée presque complètement par voie rénale (filtration glomérulaire). C'est pourquoi, les insuffisants rénaux (taux de filtration glomérulaire ≤50 ml/min), requièrent une adaptation de la posologie afin de compenser l'élimination ralentie. La posologie initiale recommandée pour les patients avec une insuffisance rénale légère à modérée correspond à celle administrée aux patients avec une fonction rénale normale. Pour déterminer la dose d'entretien appropriée, on devrait faire une évaluation du taux de filtration glomérulaire. Ci-dessous les posologies d'entretien recommandées:
  • +Insuffisance rénale: Posologie d'entretien pour les adultes et les enfants >40 kg de poids corporel
  • +Clairance de la créatinine (ml/min) Posologie d'entretien recommandée/intervalle entre les administrations
  • +Infections des voies urinaires Pneumonie, bronchite, infections de la peau et des structures cutanées
  • +30‒50 500 mg toutes les 24 h 1 g toutes les 24 h
  • +11‒29 500 mg toutes les 24 h 500 mg toutes les 24 h
  • +≤10 250 mg toutes les 24 h 250 mg toutes les 24 h
  • +Hémodialyse* 500 mg toutes les 24 h 500 mg toutes les 24 h
  • +
  • +Clairance de la créatinine (ml/min) Posologie d'entretien recommandée/intervalle entre les administrations
  • +Infections très graves (y compris pneumonie, septicémie, infections des voies urinaires, infections intra-abdominales compliquées, infections de la peau et des structures cutanées) Infections mettant la vie du patient en danger (y compris septicémie, surtout chez les patients immunodéprimés)
  • +30‒50 2 g toutes les 24 h 2 g toutes les 12 h
  • +11‒29 1 g toutes les 24 h 2 g toutes les 24 h
  • +≤10 500 mg toutes les 24 h 1 g toutes les 24 h
  • +Hémodialyse* 500 mg toutes les 24 h 500 mg toutes les 24 h
  • +
  • +* Selon un modèle pharmacocinétique, une posologie diminuée est nécessaire pour ces patients. Les patients hémodialysés sous traitement par Céfépime Sandoz devraient recevoir les posologies suivantes: Une dose de charge de 1 g le 1er jour, puis 500 mg de Céfépime Sandoz par jour. Le jour de la dialyse, Céfépime Sandoz devrait être administré après la dialyse. Si possible, Céfépime Sandoz est administré au même moment chaque jour.
  • +Lorsqu'on ne connaît que la créatinine sérique (Ccr), la clairance de la créatinine (Cl) peut être évaluée au moyen de l'équation (en µmol) suivante, la Ccr représentant la fonction rénale au steady-state:
  • -Patients dialysés: Pendant une hémodialyse d’une durée de 3 h, env. 68% de la quantité totale de céfépime initialement présente dans le corps sont éliminés. Lors de dialyse péritonéale en continu, la posologie normale recommandée peut être administrée toutes les 48 h.
  • +Patients dialysés: Pendant une hémodialyse d'une durée de 3 h, env. 68% de la quantité totale de céfépime initialement présente dans le corps sont éliminés. Lors de dialyse péritonéale en continu, la posologie normale recommandée peut être administrée toutes les 48 h.
  • -Une adaptation de la posologie devrait être considérée pour les enfants dont la fonction rénale est diminuée. Une posologie de 50 mg/kg de poids corporel pour les enfants en bas âge de plus de 2 mois et les enfants ≤40 kg, et une posologie de 30 mg/kg de poids corporel pour les enfants en bas âge de 1 à 2 mois, sont comparables à une posologie de 2 g de céfépime pour adultes. Les posologies d’entretien suivantes sont recommandées:
  • +Une adaptation de la posologie devrait être considérée pour les enfants dont la fonction rénale est diminuée. Une posologie de 50 mg/kg de poids corporel pour les enfants en bas âge de plus de 2 mois et les enfants ≤40 kg, et une posologie de 30 mg/kg de poids corporel pour les enfants en bas âge de 1 à 2 mois, sont comparables à une posologie de 2 g de céfépime pour adultes. Les posologies d'entretien suivantes sont recommandées:
  • -Posologies d’entretien chez les enfants en bas âge et les enfants ≤40 kg de poids corporel
  • -Cl (ml/min) Enfants en bas Enfants en bas
  • - âge ≥1 à 2 mois âge >2 mois et
  • - (toutes enfants ≤40 kg
  • - infections (toutes infections
  • - confondues) confondues)
  • -30–50 30 mg/kg toutes 50 mg/kg toutes
  • - les 12 h les 12 h
  • -11–29 30 mg/kg toutes 50 mg/kg toutes
  • - les 24 h les 24 h
  • -≤10 15 mg/kg toutes 25 mg/kg toutes
  • - les 24 h les 24 h
  • -
  • -Lorsqu’on ne connaît que la créatinine sérique (Ccr), la clairance de la créatinine (Cl) peut être évaluée au moyen de l’équation suivante:
  • +Posologies d'entretien chez les enfants en bas âge et les enfants ≤40 kg de poids corporel
  • +Clairance de la créatinine (ml/min) Enfants en bas âge ≥1 à 2 mois (toutes infections confondues) Enfants en bas âge >2 mois (toutes infections confondues)
  • +30‒50 30 mg/kg toutes les 12 h 50 mg/kg toutes les 12 h
  • +11‒29 30 mg/kg toutes les 24 h 50 mg/kg toutes les 24 h
  • +≤10 15 mg/kg toutes les 24 h 25 mg/kg toutes les 24 h
  • +
  • +Lorsqu'on ne connaît que la créatinine sérique (Ccr), la clairance de la créatinine (Cl) peut être évaluée au moyen de l'équation suivante:
  • -La posologie devrait être choisie avec prudence et la fonction rénale surveillée. Une adaptation de la posologie est recommandée lors d’insuffisance rénale. Voir aussi «Mises en garde et précautions» et «Instructions posologiques spéciales/Insuffisance rénale».
  • +La posologie devrait être choisie avec prudence et la fonction rénale surveillée. Une adaptation de la posologie est recommandée lors d'insuffisance rénale. Voir aussi «Mises en garde et précautions» et «Instructions posologiques spéciales/Insuffisance rénale».
  • -Une adaptation de la posologie n’est pas nécessaire, sauf en cas d’insuffisance rénale (voir «Instructions posologiques spéciales/Insuffisance rénale»).
  • +Une adaptation de la posologie n'est pas nécessaire, sauf en cas d'insuffisance rénale (voir «Instructions posologiques spéciales/Insuffisance rénale»).
  • -Chez les insuffisants rénaux, p.ex. en cas d’élimination urinaire réduite due à une insuffisance rénale (clairance de la créatinine ≤50 ml/min) ou en cas d’autres facteurs influençant la fonction rénale, la posologie de Céfépime Sandoz devrait être adaptée afin de compenser le taux d’élimination diminué. L’administration d’une dose habituelle aux patients présentant une insuffisance rénale ou d’autres facteurs prédisposants pourrait mener à des concentrations antibiotiques élevées dans le plasma et prolonger la durée du séjour de la substance antibiotique. Chez ces patients, il est donc recommandé de réduire la posologie d’entretien de Céfépime Sandoz. La posologie devrait être déterminée continuellement (en considérant le degré de l’insuffisance rénale, la sévérité de l’infection et la susceptibilité du microorganisme). Voir aussi «Instructions posologiques spéciales/Insuffisance rénale».
  • -Des cas de neurotoxicité grave ont été rapportés sous céfépime (voir aussi «Effets indésirables»). La plupart des symptômes ont été observées chez des insuffisants rénaux ayant reçu des doses de céfépime supérieures aux doses recommandées. En général, les symptômes ont disparu après l’arrêt du traitement par céfépime et/ou après une hémodialyse. Il y avait quelques cas à évolution fatale.
  • +Chez les insuffisants rénaux, p.ex. en cas d'élimination urinaire réduite due à une insuffisance rénale (clairance de la créatinine ≤50 ml/min) ou en cas d'autres facteurs influençant la fonction rénale, la posologie de Céfépime Sandoz devrait être adaptée afin de compenser le taux d'élimination diminué. L'administration d'une dose habituelle aux patients présentant une insuffisance rénale ou d'autres facteurs prédisposants pourrait mener à des concentrations antibiotiques élevées dans le plasma et prolonger la durée du séjour de la substance antibiotique. Chez ces patients, il est donc recommandé de réduire la posologie d'entretien de Céfépime Sandoz. La posologie devrait être déterminée continuellement (en considérant le degré de l'insuffisance rénale, la sévérité de l'infection et la susceptibilité du microorganisme). Voir aussi «Instructions posologiques spéciales/Insuffisance rénale».
  • +Des cas de neurotoxicité grave ont été rapportés sous céfépime (voir aussi «Effets indésirables»). La plupart des symptômes ont été observées chez des insuffisants rénaux ayant reçu des doses de céfépime supérieures aux doses recommandées. En général, les symptômes ont disparu après l'arrêt du traitement par céfépime et/ou après une hémodialyse. Il y avait quelques cas à évolution fatale.
  • -Les antibiotiques devraient être utilisés avec prudence chez les patients présentant des antécédents allergiques (particulièrement aux médicaments). Lorsqu’on observe une réaction allergique contre céfépime, il faut immédiatement arrêter le traitement et initier une thérapie adéquate.
  • +Les antibiotiques devraient être utilisés avec prudence chez les patients présentant des antécédents allergiques (particulièrement aux médicaments). Lorsqu'on observe une réaction allergique contre céfépime, il faut immédiatement arrêter le traitement et initier une thérapie adéquate.
  • -Des cas de colite pseudomembraneuse ont été rapportés, comme avec d’autres antibiotiques. Il faut en tenir compte chez les patients qui subissent des diarrhées sous un traitement antibiotique. L’arrêt de la thérapie antibiotique pourrait être suffisant en cas d’une colite bénigne tandis que les cas de moyenne à forte gravité demandent un traitement spécifique. Dans ce cas, les médicaments ayant un effet inhibiteur sur le péristaltisme sont contre-indiqués.
  • +Des cas de colite pseudomembraneuse ont été rapportés, comme avec d'autres antibiotiques. Il faut en tenir compte chez les patients qui subissent des diarrhées sous un traitement antibiotique. L'arrêt de la thérapie antibiotique pourrait être suffisant en cas d'une colite bénigne tandis que les cas de moyenne à forte gravité demandent un traitement spécifique. Dans ce cas, les médicaments ayant un effet inhibiteur sur le péristaltisme sont contre-indiqués.
  • -Comme avec les autres antibiotiques, le traitement par céfépime pourrait mener à une prolifération de germes insensibles. Des mesures adéquates sont indiquées en cas d’une surinfection.
  • +Comme avec les autres antibiotiques, le traitement par céfépime pourrait mener à une prolifération de germes insensibles. Des mesures adéquates sont indiquées en cas d'une surinfection.
  • -Les patients âgés ayant reçu les doses usuelles recommandées pour adultes, ont montré un profil d’efficacité et de sécurité similaire à celui des patients plus jeunes.
  • -Il est connu que la céfépime est principalement éliminée par les reins. C’est pourquoi, les insuffisants rénaux pourraient présenter un risque accru de réactions toxiques.
  • +Les patients âgés ayant reçu les doses usuelles recommandées pour adultes, ont montré un profil d'efficacité et de sécurité similaire à celui des patients plus jeunes.
  • +Il est connu que la céfépime est principalement éliminée par les reins. C'est pourquoi, les insuffisants rénaux pourraient présenter un risque accru de réactions toxiques.
  • -Parce qu’il y a plus grande possibilité d’une fonction rénale diminuée chez les patients âgés, il faudrait déterminer la posologie avec prudence et la fonction rénale devrait être surveillée. Lors d’insuffisance rénale on recommande une adaptation de la posologie (voir «Instructions posologiques spéciales/Insuffisance rénale»).
  • +Parce qu'il y a plus grande possibilité d'une fonction rénale diminuée chez les patients âgés, il faudrait déterminer la posologie avec prudence et la fonction rénale devrait être surveillée. Lors d'insuffisance rénale on recommande une adaptation de la posologie (voir «Instructions posologiques spéciales/Insuffisance rénale»).
  • -En regard des propriétés pharmacocinétiques de céfépime (liaison aux protéines moyenne de 16,4%, volume de distribution env. 18 l, métabolisation limitée, élimination surtout par filtration glomérulaire), on n’observera probablement que peu d’interactions avec d’autres médicaments. On a étudié le profil d’interaction entre céfépime et l’amikacine sans avoir observé des signes d’interactions.
  • +En regard des propriétés pharmacocinétiques de céfépime (liaison aux protéines moyenne de 16,4%, volume de distribution env. 18 l, métabolisation limitée, élimination surtout par filtration glomérulaire), on n'observera probablement que peu d'interactions avec d'autres médicaments. On a étudié le profil d'interaction entre céfépime et l'amikacine sans avoir observé des signes d'interactions.
  • -L’innocuité de la céfépime chez la femme enceinte n’a pas été étudiée. Des études de reproduction menées sur des animaux en utilisant des doses de céfépime jusqu’à 8 à 10 fois la posologie maximale recommandée chez l’homme, n’ont révélé aucun effet négatif direct ou indirect sur la reproduction, le développement du foetus, le déroulement de la gestation ou le développement péri- et postnatal. Etant donné que les résultats des études effectuées sur les animaux ne sont pas toujours applicables à l’être humain, la céfépime ne devrait pas être administrée pendant la grossesse qu’en cas de nécessité absolue.
  • -La céfépime est excrétée dans le lait en quantité minime. On interrompra l’allaitement avant d’initier un traitement prolongé par la céfépime.
  • +L'innocuité de la céfépime chez la femme enceinte n'a pas été étudiée. Des études de reproduction menées sur des animaux en utilisant des doses de céfépime jusqu'à 8 à 10 fois la posologie maximale recommandée chez l'homme, n'ont révélé aucun effet négatif direct ou indirect sur la reproduction, le développement du fÅ“tus, le déroulement de la gestation ou le développement péri- et postnatal. Etant donné que les résultats des études effectuées sur les animaux ne sont pas toujours applicables à l'être humain, la céfépime ne devrait être administrée qu'en cas de nécessité absolue pendant la grossesse.
  • +La céfépime est excrétée dans le lait en quantité minime. On interrompra l'allaitement avant d'initier un traitement prolongé par la céfépime.
  • -Il n’existe pas d’études adéquates. En raison d’effets indésirables possibles (p.ex. vertiges ou vision floue), il faudrait utiliser de la prudence.
  • +Il n'existe pas d'études adéquates. En raison d'effets indésirables possibles (p.ex. vertiges ou vision floue), il faudrait utiliser de la prudence.
  • +Dans des études cliniques menées sur 5598 patients traités par la céfépime, les effets secondaires les plus fréquents concernaient des effets secondaires au niveau gastro intestinal et des réactions d'hypersensibilité.
  • +
  • -«très fréquents» (>1/10), «fréquents» (>1/100 et <1/10), «occasionnels» (>1/1000 et <1/100), «rares» (>1/10’000 et <1/1000, «très rares» (<1/10’000).
  • -Infections
  • -Rarement: moniliase non spécifique.
  • -Circulation sanguine et lymphatique
  • -Rarement: anémie hémolytique.
  • -Les effets suivants transitoires ont été documentés en dehors des études de phase III: leucopénie, neutropénie, agranulocytose et thrombocytopénie.
  • -Système immunitaire
  • -Occasionnellement: prurit, urticaire.
  • -Rarement: réactions anaphylactiques.
  • -L’anaphylaxie (y compris choc anaphylactique) a été documentée en dehors des études de phase III.
  • -Système nerveux
  • -Occasionnellement: maux de tête, paresthésies.
  • -Rarement: confusion, vertige, convulsions.
  • -Les effets suivants ont été documentés en dehors des études de phase III: encéphalopathies réversibles (troubles de la conscience, y compris confusion, hallucinations, stupeur et coma), convulsions (y compris état de mal épileptique non-convulsif), myoclonie et/ou insuffisance rénale. La plupart des cas sont survenus chez des insuffisants rénaux ayant reçu des doses de céfépime supérieures à celles recommandées (voir aussi «Mises en garde et précautions: Patients avec insuffisance rénale») ou chez des insuffisants rénaux âgés ayant reçu des doses inadéquates de céfépime (voir aussi «Mises en garde et précautions: Patients âgés»).
  • -Troubles oculaires
  • -Rarement: vision floue.
  • -Oreille et conduit auditif
  • -Rarement: tinnitus.
  • -Troubles vasculaires
  • -Rarement: hypotension, vasodilatation.
  • -Organs respiratoires
  • -Rarement: dyspnoe.
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -Fréquemment: diarrhée.
  • -Occasionnellement: nausées, vomissements, moniliase orale (candidoses), colite (y compris colite pseudomembraneuse).
  • -Rarement: douleurs abdominales, perturbation du goût, constipation, ulcérations buccales.
  • -Troubles cutanés
  • -Fréquemment: éruptions cutanées (rash).
  • -Occasionnellement: érythème.
  • -Rarement: oedèmes, prurit au niveau génital.
  • -Troubles musculosquelettiques
  • -Rarement: arthralgies.
  • -Troubles généraux et réactions liées au site d’administration
  • -Troubles généraux
  • -Occasionnellement: fièvre, vaginite.
  • -Rarement: frissons.
  • -Réactions au site d’administration
  • -Fréquemment: Après administration par voie intraveineuse, réactions locales au site d’injections, phlébite, thrombophlébite, inflammation, douleurs. Après administration par voie intramusculaire, inflammation ou douleurs au site d’injection.
  • +«très fréquents» (>1/10), «fréquents» (>1/100 et <1/10), «occasionnels» (>1/1000 et <1/100), «rares» (>1/10'000 et <1/1000), «très rares» (<1/10'000).
  • +Infections et infestations
  • +Occasionnel: candidose orale, vaginite.
  • +Rare: candidose non spécifique.
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • +Très fréquent: test de Coombs positif.
  • +Fréquent: allongement du temps de prothrombine et du temps partiel de thromboplastine, anémie, éosinophilie.
  • +Occasionnel: thrombocytopénie, leucopénie, neutropénie.
  • +Fréquence inconnue: anémie aplasique1, anémie hémolytique1, agranulocytose.
  • +Affections du système immunitaire
  • +Rare: réactions allergiques.
  • +Fréquence inconnue: choc anaphylactique.
  • +Troubles du métabolisme et de la nutrition
  • +Fréquence inconnue: faux positif du test de glucose urinaire.
  • +Affections psychiatriques
  • +Fréquence inconnue: confusions, hallucination.
  • +Affections du système nerveux
  • +Occasionnel: maux de tête.
  • +Rare: paresthésies, dysgeusie, vertiges, convulsions.
  • +Fréquence inconnue: coma, stupeur, encéphalopathie, troubles de la conscience, myoclonies.
  • +Affections vasculaires
  • +Fréquent: inflammation de la paroi vasculaire au site de perfusion.
  • +Rare: vasodilatation.
  • +Fréquence inconnue: hémorragies1.
  • +Affections de l'oreille et du labyrinthe
  • +Rare: tinnitus.
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • +Rare: dyspnée.
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Fréquent: diarrhée.
  • +Occasionnel: nausées, vomissements, colite (y compris colite pseudomembraneuse).
  • +Rare: douleurs abdominales, constipation.
  • +Fréquence inconnue: troubles gastro-intestinaux.
  • +Affections hépatobilliaires
  • +Fréquent: élévation des taux sanguins d'alanine aminotransférase, d'aspartate aminotransférase, et de bilirubine.
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • +Fréquent: éruptions cutanées.
  • +Occasionnel: érythème, urticaire, prurit.
  • +Rare: Å“dèmes.
  • +Fréquence inconnue: nécrolyse épidermique toxique1, syndrome de Stevens-Johnson1, érythème multiforme1.
  • +Affections musculosquelettiques
  • +Rare: arthralgies.
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • +Occasionnel: élévation de l'urée sanguine et de la créatinine sérique.
  • +Fréquence inconnue: insuffisance rénale, néphropathie toxique1.
  • +Affections des organes de reproduction et des seins
  • +Rare: prurit génital.
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • +Fréquent: irritation au niveau du site de perfusion, douleurs et inflammations au site d'injection.
  • +Occasionnel: fièvre, inflammation au site de perfusion.
  • +Rare: frissons.
  • -Des taux de laboratoire modifiés observés pendant des études cliniques chez des patients avec des valeurs initiales normales, étaient de nature transitoire. Ceux dont la fréquence était de 1 à 2% (déviations entre parenthèses) comprennent: augmentation des transaminases (ALAT 3,6%, ASAT 2,5%), phosphatase alcaline, bilirubine totale, anémie, éosinophilie, prolongement du temps de prothrombine, temps de thromboplastine partiel (2,8%) et test de Coombs positif sans hémolyse (18,7%). Une augmentation transitoire du taux de BUN et/ou de créatinine sérique et une thrombocytopénie passagère ont été observées chez 0,5 à 1% des patients. Une leucopénie et une neutropénie transitoires ont également été constatées (<0,5%).
  • +Fréquent: élévation de la phosphatase alcaline.
  • +1 Effet secondaire observé aussi avec d'autres céphalosporines.
  • -Le profil de sécurité de céfépime chez les enfants en bas âge et les enfants est similaire à celui des adultes. L’effet indésirable le plus souvent associé au traitement par céfépime dans des études cliniques s’est traduit par éruptions cutanées (rash).
  • +Le profil de sécurité de céfépime chez les nourrissons et les enfants est similaire à celui des adultes. L'effet indésirable le plus souvent associé au traitement par céfépime dans des études cliniques s'est traduit par rougeurs cutanées.
  • -En cas de surdosage sévère (surtout chez les patients avec insuffisance rénale) les taux sériques de céfépime peuvent être abaissés par une hémodialyse. La dialyse péritonéale ne s’est pas avérée efficace. Un surdosage a été observé chez des insuffisants rénaux ayant reçu des doses élevées de céfépime.
  • +En cas de surdosage sévère (surtout chez les patients avec insuffisance rénale) les taux sériques de céfépime peuvent être abaissés par une hémodialyse. La dialyse péritonéale ne s'est pas avérée efficace. Un surdosage a été observé chez des insuffisants rénaux ayant reçu des doses élevées de céfépime.
  • -Céfépime Sandoz (céfépime) est considéré comme une céphalosporine de quatrième génération. Son effet bactéricide repose sur l’inhibition de la synthèse de la paroi cellulaire.
  • -La céfépime n’est pas hydrolysée par la plupart des bêta-lactamases, possède une faible affinité pour les bêta-lactamases codées par les chromosomes et pénètre rapidement dans les bactéries gram négatives. Des études avec Escherichia coli et Enterobacter cloacae ont montré que la céfépime présente la plus grande affinité pour la protéine de liaison à la pénicilline (PLP) 3, mais se lie également à la PLP 2 et aux PLP 1a et 1 b. La céfépime présente une significativement plus grande affinité pour la PLP 2 que d’autres céphalosporines parentérales; cela renforce probablement son effet antibactérien.
  • -L’affinité modérée pour les PLP 1a et 1b contribue probablement également à l’effet bactéricide de céfépime.
  • -L’effet bactéricide de céfépime pour de nombreux micro-organismes a été mis en évidence par des «killing-curves» et par des mesures de la concentration minimale bactéricide (CMB). Le rapport CMB/CMI était de ≤2 pour plus de 80% des germes gram positifs et gram négatifs.
  • -Spectre d’action
  • -La sensibilité à céfépime peut être mesurée par des tests de diffusion sur disque ou des tests de dilution faisant appel à des techniques standardisées comme celles qui sont recommandées par le «Clinical and Laboratory Standards» (CLSI). Les résultats de laboratoire dans les tests de dilution ou de diffusion sur disque devraient être interprétés selon les critères ci-après:
  • - Sensibi- Sensibilité Résistance
  • - lité inter-
  • - médiaire
  • -Test de dilu-
  • -tion: concen-
  • -trations
  • -inhibitrices ≤8 µg/ml 16 µg/ml ≥32 µg/ml
  • -Test de dif-
  • -fusion (disque
  • -avec 30 µg de
  • -céfépime):
  • -diamètre
  • -d’inhibition ≥18 mm 15–17 mm ≤14 mm
  • -
  • -Agents pathogènes qui, in vitro, se sont avérés sensibles à la céfépime (CMI90 ≤8 µg/ml)
  • -Aérobies gram positifs
  • -Staphylococcus aureus (y compris les souches produisant de bêta-lactamase).
  • -Staphylococcus epidermidis (y compris les souches produisant de bêta-lactamase).
  • -Staphylococcus hominis.
  • -Streptococcus agalactiae (streptocoques du groupe B).
  • -Streptococcus pneumoniae (Diplococcus pneumoniae).
  • -Streptococcus pyogenes (streptocoques du groupe A).
  • -Streptococcus viridans.
  • -Streptocoques des groupes C, F et G.
  • -Streptocoques du groupe D (S. bovis).
  • -Aérobies gram négatifs
  • -Acinetobacter calcoaceticus (Iwoffi).
  • -Aeromonas hydrophila.
  • -Campylobacter jejuni.
  • -Capnocytophaga spp.
  • -Citrobacter spp. (y compris C. diversus, C. freundii, C. amalonaticus).
  • -Enterobacter spp. (y compris E. cloacae, E. aerogenes, E. agglomerans, E. sakazakii).
  • -Escherichia coli.
  • -Gardnerella vaginalis.
  • -Haemophilus ducreyi.
  • -Haemophilus influenzae (y compris les souches résistantes à l’ampicilline).
  • -Haemophilus parainfluenzae.
  • -Hafnia alvei.
  • -Klebsiella spp. (y compris K. pneumoniae, K. oxytoca).
  • -Kluyvera spp.
  • -Morganella morganii.
  • -Moraxella catarrhalis (Branhamella catarrhalis).
  • -Neisseria gonorrhoeae.
  • -Neisseria meningitidis.
  • -Proteus spp. (P. mirabilis, P. vulgaris, P. penneri).
  • -Providencia spp. (P. stuartii, P. rettgeri, P. alcalifaciens).
  • -Pseudomonas spp. (P. aeruginosa*, P. fluorescens, P. putida, P. stutzeri, P. testosteroni).
  • -Salmonella spp.
  • -Serratia spp. (S. marcescens, S. liquefaciens).
  • -Shigella spp.
  • -Vibrio spp. (y compris Vibrio cholerae).
  • -Yersinia enterocolitica.
  • -* Si l’on tient compte des souches en partie résistantes aux autres céphalosporines, Pseudomonas aeruginosa présente une CMI90 moyenne se situant dans le domaine de «sensibilité intermédiaire». Par conséquent, dans les infections incluant P. aeruginosa, il faudrait appliquer la dose maximale de céfépime, au besoin en association avec un antibiotique complémentaire (aminoglycoside).
  • -Souches anaérobies
  • -Clostridium perfringens.
  • -Fusobacterium spp.
  • -Mobiluncus spp.
  • -Veillonella spp.
  • -Agents pathogènes ayant révélé in vitro une sensibilité intermédiaire à la céfépime (CMI90 >8 µg/ml et <32 µg/ml)
  • -Aérobies gram positifs
  • -Staphylococcus simulans, Staphylococcus warneri.
  • -Aérobies gram négatifs
  • -Acinetobacter calcoaceticus anitratus.
  • -Alcaligenes spp.
  • -Pseudomonas acidovorans.
  • -Pseudomonas paucimobilis.
  • -Pseudomonas pseudomallei.
  • -Souches anaérobies
  • -Bacteroides melaninogenicus.
  • -Bacteroides spp. d’origine buccale.
  • -Peptostreptococcus spp.
  • -Les germes à sensibilité intermédiaire sont sensibles aux doses élevées ou lorsque l’infection est limitée aux tissus et aux liquides (p.ex. le liquide interstitiel et l’urine), où l’antibiotique atteint des concentrations élevées.
  • -Agents pathogènes qui, in vitro, se sont avérés résistants à la céfépime (CMI90 ≥32 µg/ml)
  • -Aérobies gram positifs
  • -La plupart des souches d’entérocoques (p.ex. Enterococcus faecalis) et les staphylocoques résistants à la méthicilline. De nombreuses souches de Staphylococcus warneri.
  • -Aérobies gram négatifs
  • -De nombreuses souches de Pseudomonas acidovorans, Pseudomonas cepacia, Pseudomonas paucimobilis, Pseudomonas picketii, Alcaligenes spp. et Xanthomonas maltophilia.
  • -Souches anaérobies
  • -Bacteroides fragilis et Clostridium difficile.
  • +Mécanisme d'action
  • +Céfépime Sandoz (céfépime) est considéré comme une céphalosporine de quatrième génération. Son effet bactéricide repose sur l'inhibition de la synthèse de la paroi cellulaire.
  • +La céfépime n'est pas hydrolysée par la plupart des bêta-lactamases, possède une faible affinité pour les bêta-lactamases codées par les chromosomes et pénètre rapidement dans les bactéries gram négatives. Des études avec Escherichia coli et Enterobacter cloacae ont montré que la céfépime présente la plus grande affinité pour la protéine de liaison à la pénicilline (PLP) 3, mais se lie également à la PLP 2 et aux PLP 1a et 1 b. La céfépime présente une affinité significativement plus grande pour la PLP 2 que d'autres céphalosporines parentérales; cela renforce probablement son effet antibactérien.
  • +L'affinité modérée pour les PLP 1a et 1b contribue probablement également à l'effet bactéricide de céfépime.
  • +Relation entre pharmacocinétique et pharmacodynamique
  • +L'efficacité de la céfépime dépend principalement de la période au cours de laquelle le niveau de l'ingrédient actif est supérieur à la concentration minimale inhibitrice (CMI) de l'agent.
  • +Mécanismes de résistance
  • +La résistance à la céfépime peut être due aux mécanismes suivants:
  • +·inactivation par les bêta-lactamases: la céfépime peut être hydrolysée par certaines bêta-lactamases, en particulier les bêta-lactamases à large spectre (BLLS) présentes par exemple dans les souches d'Escherichia coli ou Klebsiella pneumoniae.
  • +·affinité réduite des PFP avec la céfépime: la résistance acquise aux pneumocoques et streptocoques est due à une modification des PFP existantes suite à une mutation. Cependant, la formation d'une PFP supplémentaire à affinité réduite avec la céfépime est responsable de la résistance aux staphylocoques résistants à la méticilline (oxacilline).
  • +·une pénétration insuffisante de la céfépime dans la paroi cellulaire externe des bactéries à Gram négatif peut entraîner une inhibition inappropriée des PFP.
  • +·la céfépime peut être activement transporté hors de la cellule par les pompes d'efflux.
  • +Une résistance croisée partielle ou totale de la céfépime existe avec d'autres céphalosporines et pénicillines.
  • +Test de sensibilité
  • +La sensibilité à céfépime est évaluée par les tests de dilution habituels. Les concentrations minimales inhibitrices suivantes pour les germes sensibles et résistants ont été définies:
  • +Germes Sensible Résistant
  • +Enterobacteriaceae ≤1 mg/l >4 mg/l
  • +Pseudomonas aeruginosa1) ≤8 mg/l1) >8 mg/l1)
  • +Staphylococcus spp.2) –2) –2)
  • +Streptococcus spp. (Groups A, B, C, G)3) –3) –3)
  • +Streptococcus pneumoniae ≤1 mg/l >2 mg/l
  • +Haemophilus influenzae ≤0.25 mg/l >0.25 mg/l
  • +Moraxella catarrhalis ≤4 mg/l >4 mg/l
  • +Non-species specific limits* ≤4 mg/l >8 mg/l
  • +
  • +1) Les limites se réfèrent à la thérapie à haute dose (2 g trois fois par jour)
  • +2) Pour le Staphylococcus spp., le résultat du test de l'oxacilline est utilisé. Les staphylocoques résistants à la méticilline (oxacilline) sont considérés comme résistants aux céphalosporines.
  • +3) Pour Streptococcus spp. (Groups A, B, C, G), le résultat du test de la Pénicilline G est repris
  • +* Basé principalement sur les propriétés pharmacocinétiques dans le sérum
  • +Prévalence de la résistance acquise:
  • +La prévalence de la résistance acquise des espèces individuelles peut varier à la fois localement et dans le temps. Par conséquent, en particulier pour le traitement d'infections graves, des informations locales relatives à la situation de résistance sont nécessaires. Au cas où l'efficacité de céfépime est réduite à cause de la situation de résistance locale, mieux vaut demander l'avis médical d'un spécialiste. En particulier dans les cas d'infections sévères ou d'échecs du traitement, un diagnostic microbiologique avec vérification de l'agent et de sa sensibilité à céfépime doit être effectué.
  • +Prévalence de la résistance acquise basée sur les données de ces 5 dernières années provenant de projets d'analyse et d'études de la résistance en Allemagne (date des informations: décembre 2012)
  • +Espèces sensibles
  • +Bactéries aérobies à Gram-positif
  • +Staphylococcus aureus (sensible à la méticilline)1
  • +Streptococcus pneumoniae (dont les souches résistantes à la pénicilline)
  • +Streptococcus pyogenes1
  • +Bactéries aérobies à Gram-négatif
  • +Citrobacter freundii
  • +Enterobacter aerogenes
  • +Haemophilus influenzae
  • +Moraxella catarrhalis1
  • +Morganella morganii
  • +Proteus mirabilis2
  • +Proteus vulgaris1
  • +Serratia liquefaciens1
  • +Serratia marcescens
  • +Espèces pour lesquelles la résistance acquise peut être un problème
  • +Bactéries aérobies à Gram-positif
  • +Staphylococcus aureus4
  • +Staphylococcus epidermidis3
  • +Staphylococcus haemolyticus3
  • +Staphylococcus hominis3
  • +Bactéries aérobies à Gram-négatif
  • +Acinetobacter baumannii
  • +Enterobacter cloacae
  • +Escherichia coli2
  • +Klebsiella oxytoca2
  • +Klebsiella pneumoniae2
  • +Pseudomonas aeruginosa
  • +Espèces intrinsèquement résistantes
  • +Bactéries aérobies à Gram-positif
  • +Enterococcus spp.
  • +Listeria monocytogenes
  • +Staphylococcus aureus (résistant à la méticilline)
  • +Bactéries aérobies à Gram-négatif
  • +Stenotrophomonas maltophilia
  • +Bactéries anaérobies
  • +Bacteroides fragilis
  • +Clostridium difficile
  • +Autres bactéries
  • +Chlamydia spp.
  • +Chlamydophila spp.
  • +Legionella spp.
  • +Mycoplasma spp.
  • +1 Au moment de la publication, il n'existait pas de données disponibles. Dans les principales publications, références et recommandations médicales, une sensibilité est supposée.
  • +2 Les souches de bêta-lactamases à large spectre (extended spectrum beta-lactam enzymes, ESBL) sont toujours résistantes.
  • +3 Dans au moins une région, le taux de résistance est supérieur à 50%.
  • +4 Dans l'unité de consultation externe, le taux de résistance est inférieur à 10%.
  • -La pharmacocinétique de céfépime suit une courbe linéaire dans le domaine de 250 mg à 2 g lors d’administration par voie intraveineuse et de 500 mg à 2 g lors d’administration par voie intramusculaire et ne varie pas avec la durée du traitement.
  • +La pharmacocinétique de céfépime suit une courbe linéaire dans le domaine de 250 mg à 2 g lors d'administration par voie intraveineuse et de 500 mg à 2 g lors d'administration par voie intramusculaire et ne varie pas avec la durée du traitement.
  • -Il y a complète disponibilité systémique de céfépime après administration par voie intramusculaire.
  • +La disponibilité systémique de céfépime est rapide et complète après administration par voie intramusculaire.
  • -Après administration par voie intramusculaire ou après une perfusion intraveineuse sur 30 minutes aux hommes adultes sains, les concentrations sériques moyennes (µg/ml) mesurées à différents moments étaient les suivantes:
  • -Posologie 0,5 h 1 h 2 h
  • -500 mg i.m. 8,2 12,5 12,0
  • -1 g i.m. 14,8 25,9 26,3
  • -2 g i.m. 36,1 49,9 51,3
  • -250 mg i.v. 20,1 10,9 5,9
  • -500 mg i.v. 38,2 21,6 11,6
  • -1 g i.v. 78,7 44,5 24,3
  • -2 g i.v. 163,1 85,5 44,8
  • -
  • -Posologie 4 h 8 h 12 h
  • -500 mg i.m. 6,9 1,9 0,7
  • -1 g i.m. 16,0 4,5 1,4
  • -2 g i.m. 31,5 8,7 2,3
  • -250 mg i.v. 2,6 0,5 0,1
  • -500 mg i.v. 5,0 1,4 0,2
  • -1 g i.v. 10,5 2,4 0,6
  • -2 g i.v. 19,2 3,9 1,1
  • -
  • -Les concentrations thérapeutiques sont atteintes dans différents tissus et liquides
  • -Tissu/liquide Posologie Temps moyen
  • - (i.v.) après l’admini-
  • - stration
  • -Urine 500 mg 0–4 h*
  • - 1 g 0–4 h*
  • - 2 g 0–4 h*
  • -Bile 2 g 9,4 h
  • -Liquide péritonéal 2 g 4,4 h
  • -Sérosités 2 g 1,5 h
  • -Muqueuse bronchique 2 g 4,8 h
  • -Caecum 2 g 5,7 h
  • -Vésicule biliaire 2 g 8,9 h
  • -Sputum 2 g 4,0 h
  • -Prostate 2 g 1,0 h
  • -
  • -* Urines récoltées pendant une période de 0–4 heures après l’administration.
  • -Tissu/Liquide Concentration Concentration
  • - moyenne dans plasmatique
  • - le tissu ou moyenne
  • - le liquide
  • -Urine 292 µg/ml 4,9 µg/ml**
  • - 926 µg/ml 10,5 µg/ml**
  • - 3120 µg/ml 20,1 µg/ml**
  • -Bile 17,8 µg/ml 9,2 µg/ml
  • -Liquide péritonéal 18,3 µg/ml 24,8 µg/ml
  • -Sérosités 81,4 µg/ml 72,5 µg/ml
  • -Muqueuse bronchique 24,1 µg/ml 40,4 µg/ml
  • -Caecum 5,2 µg/ml 17,8 µg/ml
  • -Vésicule biliaire 11,9 µg/ml 8,5 µg/ml
  • -Sputum 7,4 µg/ml –
  • -Prostate 31,5 µg/ml –
  • -
  • -** Concentration plasmatique 4 heures après l’administration.
  • -La distribution tissulaire relative de céfépime ne varie pas au-delà d’un domaine situé entre 250 mg à 2 g.
  • +Après administration par voie intramusculaire ou après une perfusion intraveineuse sur 30 minutes chez des hommes adultes sains, les concentrations sériques moyennes (µg/ml) mesurées à différents moments étaient les suivantes:
  • +Dose de céfépime 0,5 h 1 h 2 h 4 h 8 h 12 h
  • +500 mg i.m. 8,2 12,5 12,0 6,9 1,9 0,7
  • +1 g i.m. 14,8 25,9 26,3 16,0 4,5 1,4
  • +2 g i.m. 36,1 49,9 51,3 31,5 8,7 2,3
  • +250 mg i.v. 20,1 10,9 5,9 2,6 0,5 0,1
  • +500 mg i.v. 38,2 21,6 11,6 5,0 1,4 0,2
  • +1 g i.v. 78,7 44,5 24,3 10,5 2,4 0,6
  • +2 g i.v. 163,1 85,5 44,8 19,2 3,9 1,1
  • +
  • +Concentration moyenne du céfépime dans les tissus et liquides biologiques
  • +Tissu/liquide Dose (i.v.) Temps moyen après l'administration Concentration moyenne dans le tissu ou le liquide Concentration plasmatique moyenne
  • +Urine 500 mg 0‒4 h* 292 µg/ml 4,9 µg/ml**
  • +1 g 0‒4 h* 926 µg/ml 10,5 µg/ml**
  • +2 g 0‒4 h* 3120 µg/ml 20,1 µg/ml**
  • +Bile 2 g 9,4 h 17,8 µg/ml 9,2 µg/ml
  • +Liquide péritonéal 2 g 4,4 h 18,3 µg/ml 24,8 µg/ml
  • +Sérosités 2 g 1,5 h 81,4 µg/ml 72,5 µg/ml
  • +Muqueuse bronchique 2 g 4,8 h 24,1 µg/ml 40,4 µg/ml
  • +Caecum 2 g 5,7 h 5,2 µg/ml 17,8 µg/ml
  • +Vésicule biliaire 2 g 8,9 h 11,9 µg/ml 8,5 µg/ml
  • +Sputum 2 g 4,0 h 7,4 µg/ml -
  • +Prostate 2 g 1,0 h 31,5 µg/ml -
  • +
  • +* Urines récoltées pendant une période de 0–4 heures après l'administration.
  • +** Concentration plasmatique 4 heures après l'administration.
  • +La distribution tissulaire relative de céfépime ne varie pas au-delà d'un domaine situé entre 250 mg à 2 g.
  • -Il n’y a pas de signe indiquant une accumulation chez des volontaires sains ayant reçu durant 9 jours, toutes les 8 heures, jusqu’à 2 g de céfépime par voie intraveineuse.
  • +Il n'y a pas de signe indiquant une accumulation chez des volontaires sains ayant reçu durant 9 jours, toutes les 8 heures, jusqu'à 2 g de céfépime par voie intraveineuse.
  • -La céfépime est métabolisée de façon minime. Le N-méthylpyrrolidinoxyde (une amine tertiaire) est le métabolite primaire retrouvé dans l’urine et représente environ 7% de la dose.
  • -Elimination
  • -La demi-vie d’élimination moyenne est d’environ 2 heures.
  • -La clairance totale moyenne est de 120 ml/min et la clairance rénale moyenne de 110 ml/min. Cela indique que la céfépime est presque exclusivement éliminée par voie rénale, principalement par filtration glomérulaire. On retrouve dans l’urine env. 85% de la dose administrée sous forme inchangée et active. 12 heures après l’administration de 500 mg (par voie intraveineuse) on ne trouvait plus de concentrations mesurables de céfépime dans le plasma et en n’en trouvait plus dans l’urine après 16 heures. La concentration moyenne urinaire dans l’intervalle de 12 à 16 h après l’administration était de 17,8 µg/ml. Une application intraveineuse de 1 g ou de 2 g menait à des concentrations urinaires moyennes de 26,5 µg/ml et de 28,8 µg/ml dans l’intervalle de 12 à 24 h après l’administration. Après 24 heures, les concentrations n’étaient plus mesurables.
  • +La céfépime est métabolisé en dérivé N-méthylpyrrolidine lui-même rapidement transformé en N-oxyde. On retrouve environ 85% de la dose administrée de céfépime sous forme inchangée dans les urines, et moins de 1% sous forme de dérivé N-méthylpyrrolidine et 6,8% sous forme de N-oxyde et 2,5% sous forme d'épimère de la céfépime.
  • +Élimination
  • +La demi-vie d'élimination moyenne est d'environ 2 heures et ne varie pas en fonction de la dose administrée (250 mg à 2 g). On n'observe pas d'accumulation chez les sujets sains ayant reçu des doses allant jusqu'à 2 g i.v. toutes les 8 heures pendant 9 jours.
  • +La clairance totale moyenne est de 120 ml/min et la clairance rénale moyenne de 110 ml/min. Cela indique que la céfépime est presque exclusivement éliminée par voie rénale, principalement par filtration glomérulaire. On retrouve dans l'urine env. 85% de la dose administrée sous forme inchangée et active. 12 heures après l'administration de 500 mg (par voie intraveineuse) on ne trouvait plus de concentrations mesurables de céfépime dans le plasma et en n'en trouvait plus dans l'urine après 16 heures. La concentration moyenne urinaire dans l'intervalle de 12 à 16 h après l'administration était de 17,8 µg/ml. Une administration intraveineuse de 1 g ou de 2 g menait à des concentrations urinaires moyennes de 26,5 µg/ml et de 28,8 µg/ml dans l'intervalle de 12 à 24 h après l'administration. Après 24 heures, les concentrations n'étaient plus mesurables.
  • -Prélève- N Concen- Concen- LCR/CP
  • -ments tration tration
  • -(heures) CP (µg/ml) LCR (µg/ml)
  • -0,5 7 67,1 (51,2) 5,7 (7,3) 0,12 (0,14)
  • -1 4 44,1 (7,8) 4,3 (1,5) 0,10 (0,04)
  • -2 5 23,9 (12,9) 3,6 (2,0) 0,17 (0,09)
  • -4 5 11,7 (15,7) 4,2 (1,1) 0,87 (0,56)
  • -8 5 4,9 (5,9) 3,3 (2,8) 1,02 (0,64)
  • -
  • -L’âge des patients était de 3,1 à 14,7 ans, avec un âge moyen (écart-type) de 2,9 (3,9) ans. Lorsqu’on supposait une infection du système nerveux central, un traitement par céfépime était initié. On administrait céfépime toutes les 8 heures par voie d’une perfusion intraveineuse (50 mg/kg de poids corporel) sur 5 à 20 minutes. Les prélèvements se réfèrent à la fin de la perfusion (jour 2 ou 3 du traitement).
  • -Elimination: Après une seule application par voie intraveineuse, la clairance corporelle moyenne était de 3,3 ml/min/kg, le volume de distribution moyen de 0,3 l/kg et la demi-vie moyenne d’élimination de 1,7 heures. 60,4% de la dose appliquée ont été retrouvés sous forme inchangée dans l’urine. L’élimination de la céfépime se fait principalement par voie rénale, la clairance rénale moyenne étant de 2,0 ml/min/kg.
  • -D’autres paramètres pharmacocinétiques (après la première dose et au steady-state) étaient identiques chez les enfants en bas âge et les enfants. On n’a pas trouvé de différences dans la pharmacocinétique ni entre les enfants des diverses catégories d’âge, ni entre les garçons et les jeunes-filles.
  • +Prélèvements (heures) N Concentration CP (µg/ml) Concentration LCR (µg/ml) LCR/CP
  • +0,5 7 67,1 (51,2) 5,7 (7,3) 0,12 (0,14)
  • +1 4 44,1 (7,8) 4,3 (1,5) 0,10 (0,04)
  • +2 5 23,9 (12,9) 3,6 (2,0) 0,17 (0,09)
  • +4 5 11,7 (15,7) 4,2 (1,1) 0,87 (0,56)
  • +8 5 4,9 (5,9) 3,3 (2,8) 1,02 (0,64)
  • +
  • +L'âge des patients était de 3,1 à 14,7 ans, avec un âge moyen (écart-type) de 2,9 (3,9) ans. Lorsqu'on supposait une infection du système nerveux central, un traitement par céfépime était initié. On administrait céfépime toutes les 8 heures par voie d'une perfusion intraveineuse (50 mg/kg de poids corporel) sur 5 à 20 minutes. Les prélèvements se réfèrent à la fin de la perfusion (jour 2 ou 3 du traitement).
  • +Elimination: Après une seule application par voie intraveineuse, la clairance corporelle moyenne était de 3,3 ml/min/kg, le volume de distribution moyen de 0,3 l/kg et la demi-vie moyenne d'élimination de 1,7 heures. 60,4% de la dose appliquée ont été retrouvés sous forme inchangée dans l'urine. L'élimination de la céfépime se fait principalement par voie rénale, la clairance rénale moyenne étant de 2,0 ml/min/kg.
  • +D'autres paramètres pharmacocinétiques (après la première dose et au steady-state) étaient identiques chez les enfants en bas âge et les enfants. On n'a pas trouvé de différences dans la pharmacocinétique ni entre les enfants des diverses catégories d'âge, ni entre les garçons et les jeunes-filles.
  • -Comparé aux personnes plus jeunes, on a observé chez les patients âgés ≥65 ans, une prolongation modérée de la demi-vie d’élimination et une clairance rénale diminuée. Voir aussi «Mises en garde et précautions» et «Posologie/Mode d’emploi: Patients âgés».
  • +Comparé aux personnes plus jeunes, on a observé chez les patients âgés ≥65 ans, une prolongation modérée de la demi-vie d'élimination et une clairance rénale diminuée. Voir aussi «Mises en garde et précautions» et «Posologie/Mode d'emploi: Patients âgés».
  • -Chez les insuffisants hépatiques ayant reçu une seule fois 1 g de céfépime, la cinétique était inchangée. Voir aussi «Posologie/Mode d’emploi: Insuffisance hépatique».
  • +Chez les insuffisants hépatiques ayant reçu une seule fois 1 g de céfépime, la cinétique était inchangée. Voir aussi «Posologie/Mode d'emploi: Insuffisance hépatique».
  • -Les études menées sur des patients souffrant de troubles de la fonction rénale à différents degrés ont révélé un allongement significatif de la demi-vie d’élimination. Chez les insuffisants rénaux, le rapport entre la clairance totale et la clairance de la créatinine est linéaire (voir aussi «Instructions posologiques spéciales/Insuffisance rénale»). La demi-vie moyenne chez les patients dialysés est de 13 h lors d’hémodialyse et de 19 h lors de dialyse péritonéale continue.
  • +Les études menées sur des patients souffrant de troubles de la fonction rénale à différents degrés ont révélé un allongement significatif de la demi-vie d'élimination. Chez les insuffisants rénaux, le rapport entre la clairance totale et la clairance de la créatinine est linéaire (voir aussi «Instructions posologiques spéciales/Insuffisance rénale»). La demi-vie moyenne chez les patients dialysés est de 13 h lors d'hémodialyse et de 19 h lors de dialyse péritonéale continue.
  • -En ce qui concerne le potentiel carcinogène, il n’existe pas d’études à long terme portées sur les animaux. Des essais in vitro et in vivo quant à la génotoxicité n’ont révélé aucun effet génotoxique de céfépime. Aucune affection de la fertilité n’a été observée chez le rat.
  • +En ce qui concerne le potentiel carcinogène, il n'existe pas d'études à long terme portées sur les animaux. Des essais in vitro et in vivo quant à la génotoxicité n'ont révélé aucun effet génotoxique de céfépime. Aucune affection de la fertilité n'a été observée chez le rat.
  • -Le test direct de Coombs s’est révélé positif (sans hémolyse) chez 18,7% des patients ayant reçu céfépime deux fois par jour dans le cadre d’études cliniques.
  • -Chez des patients sous le traitement par céfépime, les mesures de la glycosurie ont révélé des faux positifs lors d’emploi de réactifs réducteurs tandis que la méthode de la glucose-oxydase n’a pas conduit à un faux positif.
  • +Le test direct de Coombs s'est révélé positif (sans hémolyse) chez 18,7% des patients ayant reçu céfépime deux fois par jour dans le cadre d'études cliniques.
  • +Chez des patients sous le traitement par céfépime, les mesures de la glycosurie ont révélé des faux positifs lors d'emploi de réactifs réducteurs tandis que la méthode de la glucose-oxydase n'a pas conduit à un faux positif.
  • -Il n’existe pas de données physico-chimiques concernant la stabilité de mélanges avec d’autres médicaments. Céfépime Sandoz ne doit être mélangé qu’avec les substances mentionnées (voir «Instructions d’utilisation»).
  • +Il n'existe pas de données physico-chimiques concernant la stabilité de mélanges avec d'autres médicaments. Céfépime Sandoz ne doit être mélangé qu'avec les substances mentionnées (voir «Instructions d'utilisation»).
  • -Ne pas utiliser au-delà de la date imprimée sur le récipient avec la mention «EXP».
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «Exp.» sur l'emballage.
  • -Céfépime Sandoz doit être conservé dans l’emballage original, à température ambiante (15 à 25 °C), à l’abri de la lumière et hors de la portée des enfants.
  • -Céfépime Sandoz en solution se conserve pendant 24 h à température ambiante et pendant 7 jours s’il est entreposé au réfrigérateur (2 à 8 °C).
  • -La solution extemporanée doit être utilisée d’emblée pour des raisons microbiologiques. Au cas où la solution ne serait pas immédiatement utilisée, la durée et les conditions d’entreposage relèvent de la responsabilité de l’usager. Autant que la reconstitution/dilution n’a pas été effectuée dans des conditions d’asepsie contrôlées et validées, elle peut être conservée pendant 24 heures au maximum et à une température de 2 à 8 °C.
  • -Instructions d’utilisation
  • +Conservé dans l'emballage original, à température ambiante (15‒25 °C), à l'abri de la lumière et hors de la portée des enfants.
  • +Céfépime Sandoz en solution se conserve pendant 24 h à température ambiante et pendant 7 jours s'il est entreposé au réfrigérateur (2‒8 °C).
  • +La solution extemporanée doit être utilisée d'emblée pour des raisons microbiologiques. Au cas où la solution ne serait pas immédiatement utilisée, la durée et les conditions d'entreposage relèvent de la responsabilité de l'usager. Autant que la reconstitution/dilution n'a pas été effectuée dans des conditions d'asepsie contrôlées et validées, elle peut être conservée pendant 24 heures au maximum et à une température de 2‒8 °C.
  • +Instructions d'utilisation
  • -L’administration par voie intraveineuse est préférable chez les patients souffrant d’infections très graves ou d’infections qui mettent la vie du patient en danger.
  • -Céfépime Sandoz, substance lyophilisée, peut être dissout dans de l’eau pour préparations injectables, dans une solution saline de 0,9% ou dans une solution de glucose 5% pour l’injection.
  • -Substance Volume Volume de Concentration
  • -lyophilisée du la solution approximative
  • - solvant prête à de la solution
  • - l’emploi prête à l’emploi
  • -500 mg 5 ml 5,6 ml 90 mg/ml
  • -1 g 10,0 ml 11,5 ml 90 mg/ml
  • -2 g 10,0 ml 12,5 ml 160 mg/ml
  • -
  • -Perfusion: Pour l’administration intraveineuse, la préparation devrait être dissout dans une solution injectable compatible (voir tableau susmentionné), puis appliquée dans 50 ou 100 ml d’une solution compatible durant 30 minutes environ (concentration finale de Céfépime Sandoz i.v.: 40 mg/ml, 20 mg/ml ou 10 mg/ml). Les solutions suivantes sont compatibles: eau pour preparations injectables, solution saline de 0,9% (avec ou sans 5% de glucose), solution de glucose (5% ou 10%) injectable, solution de lactate de Ringer injectable avec 5% de glucose.
  • -Injection: Céfépime Sandoz peut être injecté lentement dans une veine pendant 3 à 5 minutes ou il peut être introduit directement dans le tube d’une perfusion.
  • +L'administration par voie intraveineuse est préférable chez les patients souffrant d'infections très graves ou d'infections qui mettent la vie du patient en danger.
  • +Céfépime Sandoz, substance lyophilisée, peut être dissout dans de l'eau pour préparations injectables, dans une solution saline de 0,9% ou dans une solution de glucose 5% pour l'injection.
  • +Substance sèche Volume du solvant Volume de la solution prête à l'emploi Concentration approximative de la solution prête à l'emploi
  • +500 mg 5 ml 5,6 ml 90 mg/ml
  • +1 g 10 ml 11,5 ml 90 mg/ml
  • +2 g 10 ml 12,5 ml 160 mg/ml
  • +
  • +Perfusion: Si Céfépime Sandoz est administré sous forme de perfusion intraveineuse, la préparation doit être diluée dans l’une des solutions d’injection susmentionnées selon le tableau ci-dessus, puis injectée pendant environ 30 minutes dans 50 ou 100 ml d’une solution compatible (concentration finale de Céfépime Sandoz: 40 mg/ml, 20 mg/ml ou 10 mg/ml). Les solutions suivantes sont compatibles: eau pour préparations injectables, solution saline de 0,9% (avec ou sans 5% de glucose), solution de glucose (5% ou 10%) injectable, solution de lactate de Ringer injectable avec 5% de glucose.
  • +Injection: Céfépime Sandoz peut être injecté lentement dans une veine pendant 3 à 5 minutes ou il peut être introduit directement dans le tube d'une perfusion.
  • -1 g de substance lyophilisée peut être dissout dans de l’eau pour préparations injectables ou dans une solution de chlorhydrate de lidocaïne 0,5% ou 1% (sans adrénaline).
  • -Substance Volume Volume de Concentration
  • -lyophilisée du la solution approximative
  • - solvant prête à de la solution
  • - l’emploi prête à l’emploi
  • -1 g 3,0 ml 4,4 ml 240 mg/ml
  • -
  • -Remarques générales concernant l’utilisation
  • -La solution fraîchement préparée est destinée à l’usage immédiat.
  • -Si nécessaire, Céfépime Sandoz peut être associé aux aminoglycosides ou à d’autres antibiotiques (voir aussi «Mises en garde et precautions»).
  • -L’administration par voie intramusculaire se fait à différents sites d’injection et avec différentes seringues; l’administration par voie intraveineuse se fait avec différentes perfusions.
  • -Important: ne pas mélanger Céfépime Sandoz avec d’autres antibiotiques ou médications dans la même seringue ou perfusion.
  • -Avant l’administration, tous les produits à usage parentéral devraient être inspectés visuellement dans le but de détecter la présence de particules en suspension, pour autant que la solution et le récipient le permettent. Selon les conditions d’entreposage, la solution Céfépime Sandoz pourrait prendre, comme les autres céphalosporines, une teinte brune à ambrée. L’efficacité n’est pas influencée par une telle décoloration.
  • +1 g de Céfépime Sandoz poudre peut être dissout dans de l'eau pour préparations injectables ou dans une solution de chlorhydrate de lidocaïne 0,5% ou 1% (sans adrénaline).
  • +Substance sèche Volume du solvant Volume de la solution prête à l'emploi Concentration approximative de la solution prête à l'emploi
  • +1 g 3,0 ml 4,4 ml 240 mg/ml
  • +
  • +Remarques générales concernant l'utilisation
  • +La solution fraîchement préparée est destinée à l'usage immédiat.
  • +Si nécessaire, Céfépime Sandoz peut être associé aux aminoglycosides ou à d'autres antibiotiques (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +L'administration par voie intramusculaire se fait à différents sites d'injection et avec différentes seringues; l'administration par voie intraveineuse se fait avec différentes perfusions.
  • +Important: ne pas mélanger Céfépime Sandoz avec d'autres antibiotiques ou médications dans la même seringue ou perfusion.
  • +Avant l'administration, tous les produits à usage parentéral devraient être inspectés visuellement dans le but de détecter la présence de particules en suspension, pour autant que la solution et le récipient le permettent. Selon les conditions d'entreposage, la solution Céfépime Sandoz pourrait prendre, comme les autres céphalosporines, une teinte brune à ambrée. L'efficacité n'est pas influencée par une telle décoloration.
  • -Céfépime Sandoz subst sèche 500 mg flac-amp 5. (A)
  • -Céfépime Sandoz subst sèche 1 g flac-amp 5. (A)
  • -Céfépime Sandoz subst sèche 2 g flac-amp 5. (A)
  • +Céfépime Sandoz, 500 mg: 5 flacons perforables [A]
  • +Céfépime Sandoz, 1 g: 5 flacons perforables [A]
  • +Céfépime Sandoz, 2 g: 5 flacons perforables. [A]
  • -Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch.
  • -Domicile
  • -Rotkreuz.
  • +Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch; domicile: Rotkreuz.
  • -Mai 2009.
  • +Avril 2015.
2025 Â©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home