80 Changements de l'information professionelle Halaven |
-éthanol, eau pour préparations injectables.
- +0,1 ml d'éthanol, eau pour préparations injectables pour 2 ml de solution injectable. Pour l'ajustement du pH, si nécessaire: hydroxyde de sodium, acide chlorhydrique.
-HALAVEN est indiqué:
- +Halaven est indiqué:
-HALAVEN ne doit être administré que sous la surveillance d'un médecin qualifié, expérimenté dans l'utilisation correcte de médicaments cytotoxiques.
-La dose recommandée d'HALAVEN en solution prête à l'emploi est de 1,4 mg/m2 et doit être administrée par voie intraveineuse pendant 2-5 minutes aux jours 1 et 8 de chaque cycle de 21 jours. Le cas échéant, la dose peut être diluée dans un volume de solution de chlorure de sodium pour préparations injectables allant jusqu'à 100 ml.
- +Halaven ne doit être administré que sous la surveillance d'un médecin qualifié, expérimenté dans l'utilisation correcte de médicaments cytotoxiques.
- +La dose recommandée d'Halaven en solution prête à l'emploi est de 1,4 mg/m2 et doit être administrée par voie intraveineuse pendant 2-5 minutes aux jours 1 et 8 de chaque cycle de 21 jours. Le cas échéant, la dose peut être diluée dans un volume de solution de chlorure de sodium pour préparations injectables allant jusqu'à 100 ml.
-L'administration d'HALAVEN aux jours 1 ou 8 doit être reportée en présence d'un des résultats des paramètres suivants:
- +L'administration de Halaven aux jours 1 ou 8 doit être reportée en présence d'un des résultats des paramètres suivants:
-Dans les cas suivants, la dose d'HALAVEN devrait être réduite à 1,1 mg/m2: En cas de neutropénie de grade 4 pendant plus de 7 jours, neutropénie avec état fébrile ou infection, thrombopénie de grade 3 avec hémorragie ou nécessité d'une transfusion de sang complet ou de plaquettes, thrombopénie de grade 4 et en cas de toxicité non hématologique de grade 3 ou 4 au cours du cycle précédent.
-En cas de réapparition de ces effets indésirables malgré une réduction des doses à 1,1 mg/m2 on procédera éventuellement à une nouvelle réduction à 0,7 mg/m2. Si des toxicités de grade 3 à 4 surviennent malgré cette seconde réduction des doses, on évoquera l'arrêt du traitement avec HALAVEN.
-Après une réduction de la dose, la dose d'HALAVEN ne doit pas être de nouveau augmentée.
-Instructions spéciales pour la posologie:
-Patients souffrant d'insuffisance hépatique
-La dose recommandée d'HALAVEN chez les patients atteints d'une insuffisance hépatique légère (Child-Pugh A) est de 1,1 mg/m2 respectivement de 0,7 mg/m2 chez les patients atteints d'une insuffisance hépatique modérée (Child-Pugh B) administrée par voie intraveineuse pendant 2 à 5 minutes aux jours 1 et 8 d'un cycle de 21 jours (voir «Mises en garde et précautions»).
-Patients souffrant d'insuffisance rénale
- +Dans les cas suivants, la dose d'Halaven devrait être réduite à 1,1 mg/m2: En cas de neutropénie de grade 4 pendant plus de 7 jours, neutropénie avec état fébrile ou infection, thrombopénie de grade 3 avec hémorragie ou nécessité d'une transfusion de sang complet ou de plaquettes, thrombopénie de grade 4 et en cas de toxicité non hématologique de grade 3 ou 4 au cours du cycle précédent.
- +En cas de réapparition de ces effets indésirables malgré une réduction des doses à 1,1 mg/m2 on procédera éventuellement à une nouvelle réduction à 0,7 mg/m2. Si des toxicités de grade 3 à 4 surviennent malgré cette seconde réduction des doses, on évoquera l'arrêt du traitement avec Halaven.
- +Après une réduction de la dose, la dose d'Halaven ne doit pas être de nouveau augmentée.
- +Instructions posologiques particulières:
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
- +La dose recommandée d'Halaven chez les patients atteints d'une insuffisance hépatique légère (Child-Pugh A) est de 1,1 mg/m2 respectivement de 0,7 mg/m2 chez les patients atteints d'une insuffisance hépatique modérée (Child-Pugh B) administrée par voie intraveineuse pendant 2 à 5 minutes aux jours 1 et 8 d'un cycle de 21 jours (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
-La myélosuppression est dose-dépendante et se manifeste principalement par une neutropénie (voir «Effets indésirables»). Un contrôle de la formule sanguine complète doit être réalisé chez tous les patients, avant chaque dose d'HALAVEN. Le traitement par HALAVEN ne doit être instauré que chez des patients ayant un nombre absolu de neutrophiles ≥1,5× 109/l et un nombre de plaquettes >100× 109/l.
-Une neutropénie fébrile est survenue chez <5% des patients traités par HALAVEN. Les patients présentant une neutropénie fébrile, une neutropénie sévère ou une thrombocytopénie doivent être traités selon les recommandations (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
- +La myélosuppression est dose-dépendante et se manifeste principalement par une neutropénie (voir «Effets indésirables»). Un contrôle de la formule sanguine complète doit être réalisé chez tous les patients, avant chaque dose d'Halaven. Le traitement par Halaven ne doit être instauré que chez des patients ayant un nombre absolu de neutrophiles ≥1,5× 109/l et un nombre de plaquettes >100× 109/l.
- +Une neutropénie fébrile est survenue chez <5% des patients traités par Halaven. Les patients présentant une neutropénie fébrile, une neutropénie sévère ou une thrombocytopénie doivent être traités selon les recommandations (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
-Si un traitement est débuté chez des patients présentant une insuffisance cardiaque congestive, une bradycardie ou en cas de traitement simultané avec des médicaments dont on sait qu'ils allongent l'intervalle QT, une surveillance de l'ECG est recommandée. Il convient de corriger toute hypokaliémie ou hypomagnésémie avant le début du traitement par HALAVEN et ces électrolytes doivent ensuite être contrôlés régulièrement pendant le traitement. L'éribuline est déconseillée chez les patients présentant un syndrome du QT long congénital.
- +Si un traitement est débuté chez des patients présentant une insuffisance cardiaque congestive, une bradycardie ou en cas de traitement simultané avec des médicaments dont on sait qu'ils allongent l'intervalle QT, une surveillance de l'ECG est recommandée. Il convient de corriger toute hypokaliémie ou hypomagnésémie avant le début du traitement par Halaven et ces électrolytes doivent ensuite être contrôlés régulièrement pendant le traitement. L'éribuline est déconseillée chez les patients présentant un syndrome du QT long congénital.
-Une toxicité testiculaire a été observée chez le rat et le chien. En raison de la possibilité d'une stérilité irréversible à la suite du traitement d'HALAVEN, les patients de sexe masculin doivent bénéficier d'un conseil sur la conservation de sperme avant de se soumettre à une telle thérapie.
- +Une toxicité testiculaire a été observée chez le rat et le chien. En raison de la possibilité d'une stérilité irréversible à la suite du traitement d'Halaven, les patients de sexe masculin doivent bénéficier d'un conseil sur la conservation de sperme avant de se soumettre à une telle thérapie.
- +Ingrédients revêtant un intérêt particulier
- +Ce médicament contient de faibles quantités d'éthanol (voir Composition).
- +Ce médicament peut contenir de faibles quantités de sodium (moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par ml), c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
- +
-On ignore si HALAVEN passe dans le lait maternel. En raison des éventuels effets indésirables sur le nourrisson, l'allaitement est proscrit pendant le traitement par le mésilate d'éribuline.
- +On ignore si Halaven passe dans le lait maternel. En raison des éventuels effets indésirables sur le nourrisson, l'allaitement est proscrit pendant le traitement par le mésilate d'éribuline.
-HALAVEN peut provoquer des effets indésirables, tels que de la fatigue et des vertiges. Il faut conseiller aux patients présentant une fatigue ou des vertiges de renoncer à la conduite et à l'utilisation de machines.
- +Halaven peut provoquer des effets indésirables, tels que de la fatigue et des vertiges. Il faut conseiller aux patients présentant une fatigue ou des vertiges de renoncer à la conduite et à l'utilisation de machines.
-Les effets indésirables les plus nombreux chez les patients qui ont reçu la dose recommandée d'HALAVEN dans les études de phase 2 et 3 portant sur le cancer du sein et le sarcome des tissus mous sont une neutropénie et une neuropathie.
-Une neutropénie a été rapportée chez 53.6% de tous les patients traités par HALAVEN dans ces études et a entraîné l'arrêt du traitement chez <1% des patients.
-La neuropathie périphérique a été l'un des effets indésirables le plus souvent responsable d'un arrêt du traitement par HALAVEN (jusqu'à 3.4% des patients traités par HALAVEN). Une neuropathie périphérique de grade 3 ou 4 est survenue chez jusqu'à 7.5% des patients.
-Les effets indésirables énumérés ci-dessous ont été observés dans des études de phase 2 et de phase 3 chez 1963 patients atteints de cancer du sein et de sarcome des tissus mous et ayant été traités par la dose recommandée d'HALAVEN.
-Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1000, <1/100); rares (≥1/10'000, <1/1000); très rares (<1/10'000).
- +Les effets indésirables les plus nombreux chez les patients qui ont reçu la dose recommandée d'Halaven dans les études de phase 2 et 3 portant sur le cancer du sein et le sarcome des tissus mous sont une neutropénie et une neuropathie.
- +Une neutropénie a été rapportée chez 53.6% de tous les patients traités par Halaven dans ces études et a entraîné l'arrêt du traitement chez <1% des patients.
- +La neuropathie périphérique a été l'un des effets indésirables le plus souvent responsable d'un arrêt du traitement par Halaven (jusqu'à 3.4% des patients traités par Halaven). Une neuropathie périphérique de grade 3 ou 4 est survenue chez jusqu'à 7.5% des patients.
- +Les effets indésirables énumérés ci-dessous ont été observés dans des études de phase 2 et de phase 3 chez 1963 patients atteints de cancer du sein et de sarcome des tissus mous et ayant été traités par la dose recommandée d'Halaven.
- +Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10); occasionnels (≥1/1'000 à <1/100); rares (≥1/10'000 à <1/1'000); très rares (<1/10'000).
-Infections
- +Infections et infestations
-Circulation sanguine et lymphatique
- +Affections hématologiques et du système lymphatique
-Troubles psychiatriques
- +Affections psychiatriques
-Système nerveux
- +Affections du système nerveux
-Troubles de l'oreille et de l'oreille interne
- +Affections de l'oreille et du labyrinthe
-Troubles cardiaques
- +Affections cardiaques
-Troubles vasculaires
- +Affections vasculaires
-Organes respiratoires
- +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
-Troubles gastro-intestinaux
- +Affections gastro-intestinales
-Troubles hépato-biliaires
- +Affections hépatobiliaires
-Troubles cutanés
- +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
-Troubles musculosquelettiques
- +Affections musculo-squelettiques et systémiques
-Troubles rénaux et urinaires
- +Affections du rein et des voies urinaires
-Troubles généraux et réactions au site d'application
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
-Mécanisme d’action
- +Mécanisme d'action
- +Pharmacodynamique
- +-
- +
-L'efficacité d'HALAVEN dans le cancer du sein a principalement été établie dans deux études comparatives randomisées de phase 3. Dans les études, sur 1559 patientes atteintes d'un cancer du sein traitées par HALAVEN, 283 patientes (18.2%) avaient ≥65 ans.
- +L'efficacité d'Halaven dans le cancer du sein a principalement été établie dans deux études comparatives randomisées de phase 3. Dans les études, sur 1559 patientes atteintes d'un cancer du sein traitées par Halaven, 283 patientes (18.2%) avaient ≥65 ans.
-Les patientes ont été attribuées par randomisation selon un rapport 2:1 soit au traitement par HALAVEN (1,4 mg/m2 aux jours 1 et 8 d'un cycle de 21 jours, administrés par voie intraveineuse pendant 2 à 5 minutes) soit au traitement de choix du médecin (Treatment of Physician's Choice, TPC), défini comme une chimiothérapie en monothérapie, un traitement hormonal, un traitement biologique homologué pour le traitement du cancer, un traitement palliatif ou une radiothérapie selon la pratique locale. Le bras TPC a comporté 97% de chimiothérapie (26% de vinorelbine, 18% de gemcitabine, 18% de capécitabine, 16% de taxane, 9% d'anthracycline, 10% d'autres chimiothérapies) et 3% d'hormonothérapie.
- +Les patientes ont été attribuées par randomisation selon un rapport 2:1 soit au traitement par Halaven (1,4 mg/m2 aux jours 1 et 8 d'un cycle de 21 jours, administrés par voie intraveineuse pendant 2 à 5 minutes) soit au traitement de choix du médecin (Treatment of Physician's Choice, TPC), défini comme une chimiothérapie en monothérapie, un traitement hormonal, un traitement biologique homologué pour le traitement du cancer, un traitement palliatif ou une radiothérapie selon la pratique locale. Le bras TPC a comporté 97% de chimiothérapie (26% de vinorelbine, 18% de gemcitabine, 18% de capécitabine, 16% de taxane, 9% d'anthracycline, 10% d'autres chimiothérapies) et 3% d'hormonothérapie.
-La deuxième étude de phase 3 (301) portant sur les lignes de traitement antérieurs du cancer du sein métastatique était une étude randomisée ouverte menée chez 1 102 patientes atteintes de cancer du sein récidivant localement ou métastatique. L'étude comparait l'efficacité de HALAVEN n monothérapie à la capécitabine en monothérapie avec comme co-critères principaux de jugement la survie globale (SG) et la survie sans progression. Les patientes avaient été prétraitées par trois chimiothérapies dont une à l'anthracycline et une au taxane, et au maximum deux au stade avancé. Pour traiter le cancer du sein métastatique, 20,0% n'avaient pas eu de chimiothérapie préalable, 52,0% avaient eu une chimiothérapie et 27,2% deux chimiothérapies. Le statut HER2 était positif chez 15,3%, négatif chez 68,5% et inconnu chez 16,2%. 25,8% présentaient une tumeur triple négative. Les patientes étaient randomisées selon un rapport 1:1 pour être traitées soit par HALAVEN (1,4 mg/m2 les jours 1 et 8 d'un cycle de 21 jours) soit par la capécitabine (2,5 g/m2/par jour les jours 1 et 14 d'un cycle de 21 jours).
-Globalement, la survie médiane dans le groupe HALAVEN était de 15,9 mois par rapport à 14,5 mois dans le groupe capécitabine (HR 0.879; IC 95%: 0.770, 1.003; p=0,056).
-La survie sans progression médiane sous contrôle indépendant était comparable dans les deux groupes, elle était de 4,1 mois dans le groupe HALAVEN et de 4,2 mois dans le groupe capécitabine (HR 1,08; CI 95%: 0.932, 1.250). Le taux de réponse objectif, déterminé sous contrôle indépendant, était également comparable dans les deux groupes, soit de 11,0% dans le groupe HALAVEN (IC 95%: 8.5, 13.9) et de 11,5% dans le groupe capécitabine (IC 95%: 8.9, 14.5).
-Une analyse de sous-groupes effectuée chez 755 patientes atteintes d'un cancer du sein HR2 négatif et 284 patientes présentant un cancer du sein triple négatif a mis en évidence un avantage en termes de survie pour les patientes du groupe HALAVEN par rapport à celles du groupe capécitabine (tumeurs HER2 négatives: SG médiane de 15,9 mois vs 13,5 mois, HR 0,838 (IC 95%: 0.715, 0.983) valeur nominale de p=0,03; tumeurs triple négatives: SG médiane 14,4 mois vs 9,4 mois, HR 0.70 (IC 95%: 0.545, 0.906), valeur nominale de p=0,006).
- +La deuxième étude de phase 3 (301) portant sur les lignes de traitement antérieurs du cancer du sein métastatique était une étude randomisée ouverte menée chez 1 102 patientes atteintes de cancer du sein récidivant localement ou métastatique. L'étude comparait l'efficacité de Halaven en monothérapie à la capécitabine en monothérapie avec comme co-critères principaux de jugement la survie globale (SG) et la survie sans progression. Les patientes avaient été prétraitées par trois chimiothérapies dont une à l'anthracycline et une au taxane, et au maximum deux au stade avancé. Pour traiter le cancer du sein métastatique, 20,0% n'avaient pas eu de chimiothérapie préalable, 52,0% avaient eu une chimiothérapie et 27,2% deux chimiothérapies. Le statut HER2 était positif chez 15,3%, négatif chez 68,5% et inconnu chez 16,2%. 25,8% présentaient une tumeur triple négative. Les patientes étaient randomisées selon un rapport 1:1 pour être traitées soit par Halaven (1,4 mg/m2 les jours 1 et 8 d'un cycle de 21 jours) soit par la capécitabine (2,5 g/m2/par jour les jours 1 et 14 d'un cycle de 21 jours).
- +Globalement, la survie médiane dans le groupe Halaven était de 15,9 mois par rapport à 14,5 mois dans le groupe capécitabine (HR 0.879; IC 95%: 0.770, 1.003; p=0,056).
- +La survie sans progression médiane sous contrôle indépendant était comparable dans les deux groupes, elle était de 4,1 mois dans le groupe Halaven et de 4,2 mois dans le groupe capécitabine (HR 1,08; CI 95%: 0.932, 1.250). Le taux de réponse objectif, déterminé sous contrôle indépendant, était également comparable dans les deux groupes, soit de 11,0% dans le groupe Halaven (IC 95%: 8.5, 13.9) et de 11,5% dans le groupe capécitabine (IC 95%: 8.9, 14.5).
- +Une analyse de sous-groupes effectuée chez 755 patientes atteintes d'un cancer du sein HR2 négatif et 284 patientes présentant un cancer du sein triple négatif a mis en évidence un avantage en termes de survie pour les patientes du groupe Halaven par rapport à celles du groupe capécitabine (tumeurs HER2 négatives: SG médiane de 15,9 mois vs 13,5 mois, HR 0,838 (IC 95%: 0.715, 0.983) valeur nominale de p=0,03; tumeurs triple négatives: SG médiane 14,4 mois vs 9,4 mois, HR 0.70 (IC 95%: 0.545, 0.906), valeur nominale de p=0,006).
-Les patients devaient présenter une progression dans les 6 mois suivant la dernière chimiothérapie. Ils ont été randomisés selon un rapport 1:1 pour être traités soit par HALAVEN (1,4 mg/m² les jours 1 et 8 d'un cycle de 21 jours), soit par dacarbazine (850 mg/m², 1000 mg/m² ou 1200 mg/m² tous les 21 jours, dans ce cas, la dose était déterminée par le médecin investigateur avant la randomisation).
-Dans l'étude 309, la survie globale (SG) dans le groupe traité par HALAVEN était statistiquement sensiblement meilleure que dans le groupe témoin. La durée médiane de survie globale était supérieure de 2 mois dans le groupe HALAVEN (13.5 mois pour le groupe traité par HALAVEN contre 11.5 mois pour le groupe traité par dacarbazine), avec un hazard ratio de 0.768 (IC 95%: 0.618, 0.954) et une valeur p statistiquement significative de 0.0169. La durée médiane d'exposition était de 10 semaines pour l'éribuline et 12, 8.5 et 6.2 semaines pour la dose initiale prévue de 850 mg/m², 1000 mg/m² ou 1200 mg/m² de dacarbazine.
-La durée médiane de SG dans le sous-groupe liposarcome (n=143) s'est élevée à 15.6 mois pour le groupe traité par HALAVEN contre 8.4 mois dans le groupe traité par dacarbazine (HR 0.511; IC 95%: 0.346, 0.753). Dans le sous-groupe léiomyosarcome, la durée de SG médiane était de 12.7 mois pour le groupe traité par HALAVEN contre 13 mois pour le groupe traité par dacarbazine (HR 0.927; IC 95%: 0.714, 1.203).
-Dans le sous-groupe liposarcome, la durée médiane de survie sans progression était de 2.9 mois pour le groupe traité par HALAVEN contre 1.7 mois pour le groupe traité par dacarbazine (HR 0.521; IC 95%; 0.346, 0.784). Dans le sous-groupe léiomyosarcome, la durée médiane de survie sans progression était de 2.2 mois pour le groupe traité par HALAVEN contre 2.6 mois pour le groupe traité par dacarbazine (HR 1.072; IC 95%: 0.835, 1.375). L'effet thérapeutique d'HALAVEN était limité aux patients présentant un liposarcome, sur la base de l'analyse de la SG des sous-groupes préalablement projetée. Il n'y a eu aucune différence en ce qui concerne l'efficacité entre l'éribuline et la dacarbazine chez les patients présentant un léiomyosarcome à un stade avancé ou métastasé.
- +Les patients devaient présenter une progression dans les 6 mois suivant la dernière chimiothérapie. Ils ont été randomisés selon un rapport 1:1 pour être traités soit par Halaven (1,4 mg/m² les jours 1 et 8 d'un cycle de 21 jours), soit par dacarbazine (850 mg/m², 1000 mg/m² ou 1200 mg/m² tous les 21 jours, dans ce cas, la dose était déterminée par le médecin investigateur avant la randomisation).
- +Dans l'étude 309, la survie globale (SG) dans le groupe traité par Halaven était statistiquement sensiblement meilleure que dans le groupe témoin. La durée médiane de survie globale était supérieure de 2 mois dans le groupe Halaven (13.5 mois pour le groupe traité par Halaven contre 11.5 mois pour le groupe traité par dacarbazine), avec un hazard ratio de 0.768 (IC 95%: 0.618, 0.954) et une valeur p statistiquement significative de 0.0169. La durée médiane d'exposition était de 10 semaines pour l'éribuline et 12, 8.5 et 6.2 semaines pour la dose initiale prévue de 850 mg/m², 1000 mg/m² ou 1200 mg/m² de dacarbazine.
- +La durée médiane de SG dans le sous-groupe liposarcome (n=143) s'est élevée à 15.6 mois pour le groupe traité par Halaven contre 8.4 mois dans le groupe traité par dacarbazine (HR 0.511; IC 95%: 0.346, 0.753). Dans le sous-groupe léiomyosarcome, la durée de SG médiane était de 12.7 mois pour le groupe traité par Halaven contre 13 mois pour le groupe traité par dacarbazine (HR 0.927; IC 95%: 0.714, 1.203).
- +Dans le sous-groupe liposarcome, la durée médiane de survie sans progression était de 2.9 mois pour le groupe traité par Halaven contre 1.7 mois pour le groupe traité par dacarbazine (HR 0.521; IC 95%; 0.346, 0.784). Dans le sous-groupe léiomyosarcome, la durée médiane de survie sans progression était de 2.2 mois pour le groupe traité par Halaven contre 2.6 mois pour le groupe traité par dacarbazine (HR 1.072; IC 95%: 0.835, 1.375). L'effet thérapeutique d'Halaven était limité aux patients présentant un liposarcome, sur la base de l'analyse de la SG des sous-groupes préalablement projetée. Il n'y a eu aucune différence en ce qui concerne l'efficacité entre l'éribuline et la dacarbazine chez les patients présentant un léiomyosarcome à un stade avancé ou métastasé.
- +Absorption
- +-
- +
-Insuffisance hépatique
- +Troubles de la fonction hépatique
-Insuffisance rénale
- +Troubles de la fonction rénale
-Toxicologie de reproduction
- +Toxicité sur la reproduction
-Aucune étude de compatibilité n'ayant été effectuée, ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments.
-La solution injectable HALAVEN ne doit pas être diluée dans une solution pour perfusion de glucose à 5%.
- +En l'absence d'étude de compatibilité, ce médicament ne doit pas être mélangé à d'autres médicaments.
- +La solution injectable Halaven ne doit pas être diluée dans une solution pour perfusion de glucose à 5%.
-Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention EXP sur le récipient.
-La solution injectable HALAVEN ne contient pas d'agent conservateur.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +La solution injectable Halaven ne contient pas d'agent conservateur.
-La stabilité chimique et physique de la solution d'HALAVEN diluée dans une solution de chlorure de sodium à 0.9% (0.02 mg/ml à 0.2 mg/ml) a été démontrée pendant 24 heures à 2-8 °C dans des seringues ou dans des poches à perfusion i.v. en polyoléfine.
-D'un point de vue microbiologique, HALAVEN doit être utilisé immédiatement après ouverture. Si cela n'est pas possible, les délais d'utilisation et les conditions de stockage relèvent de la responsabilité de l'utilisateur et ne doivent normalement pas dépasser 24 heures à 2-8 °C, sauf si le prélèvement du contenu du flacon et la dilution ont été faits dans des conditions d'asepsie contrôlées et validées.
-Remarques concernant le stockage
- +La stabilité chimique et physique de la solution d'Halaven diluée dans une solution de chlorure de sodium à 0.9% (0.02 mg/ml à 0.2 mg/ml) a été démontrée pendant 24 heures à 2-8 °C dans des seringues ou dans des poches à perfusion i.v. en polyoléfine.
- +D'un point de vue microbiologique, Halaven doit être utilisé immédiatement après ouverture. Si cela n'est pas possible, les délais d'utilisation et les conditions de stockage relèvent de la responsabilité de l'utilisateur et ne doivent normalement pas dépasser 24 heures à 2-8 °C, sauf si le prélèvement du contenu du flacon et la dilution ont été faits dans des conditions d'asepsie contrôlées et validées.
- +Remarques particulières concernant le stockage
-HALAVEN est un médicament anticancéreux cytotoxique et, comme avec d'autres substances toxiques, la prudence est requise lors de sa manipulation. Le port de gants, de lunettes et de vêtements de protection est recommandé. En cas de contact de la solution avec la peau, celle-ci devra être lavée immédiatement et soigneusement à l'eau et au savon. En cas de contact avec les muqueuses, celles-ci devront être rincées abondamment à l'eau. HALAVEN ne doit être préparé et administré que par un personnel spécialement formé à la manipulation des agents cytotoxiques. Les femmes enceintes ne doivent pas manipuler HALAVEN.
- +Halaven est un médicament anticancéreux cytotoxique et, comme avec d'autres substances toxiques, la prudence est requise lors de sa manipulation. Le port de gants, de lunettes et de vêtements de protection est recommandé. En cas de contact de la solution avec la peau, celle-ci devra être lavée immédiatement et soigneusement à l'eau et au savon. En cas de contact avec les muqueuses, celles-ci devront être rincées abondamment à l'eau. Halaven ne doit être préparé et administré que par un personnel spécialement formé à la manipulation des agents cytotoxiques. Les femmes enceintes ne doivent pas manipuler Halaven.
-Flacon de 5 ml en verre de type I avec un bouchon en caoutchouc butyle et une capsule en aluminium de type flip-off, contenant 2 ml de solution (0,5 mg/ml).
-Chaque carton contient 1 flacon perforable. [A]
- +HALAVEN 1 mg / 2 ml: 1 flacon de 2 ml de solution injectable [A]
-Septembre 2020.
- +Février 2021.
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