8 Changements de l'information professionelle Prolia |
-Avant l'instauration du traitement, toute hypocalcémie devra être corrigée par un apport adapté en calcium et en vitamine D. Une surveillance des taux de calcium est donc recommandée avant toute utilisation. Après l'autorisation de mise sur le marché, lors de l'administration de Prolia, de rares cas d'hypocalcémie symptomatique sévère ont été rapportés. Ces cas sont survenus dans leur majorité durant les premières semaines après le début du traitement, mais ils peuvent également se produire plus tard. La plupart de ces patients présentaient un risque accru de développer une hypocalcémie, par exemple en raison d'une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine < 30 ml/min) ou d'une nécessité de dialyse. Le risque d'hypocalcémie et d'augmentation de la parathormone secondaire à celle-ci augmente parallèlement à l'insuffisance rénale. Chez de tels patients ou en présence d'autres facteurs de risque de développement d'une hypocalcémie, il est recommandé de contrôler les taux de calcium avant chaque dose et dans un délai de deux semaines après la dose initiale, ainsi qu'à l'apparition de symptômes pouvant indiquer une hypocalcémie. Ces symptômes comprennent par exemple: paresthésies, contractions, crampes musculaires, tétanie, convulsions, allongement de l'intervalle QT et altérations de l'état mental. Les patients doivent être informés des symptômes possibles d'hypocalcémie et doivent être invités à signaler à leur médecin toute apparition de tels symptômes.
- +Après l'autorisation de mise sur le marché, des cas d'hypocalcémie symptomatique sévère, y compris des cas d'issue fatale, ont été rapportés. La plupart des patients concernés présentaient un risque accru de développer une hypocalcémie, en particulier en raison d'une insuffisance rénale sévère ou d'une nécessité de dialyse (clairance de la créatinine < 30 ml/min) et d'un traitement concomitant par d'autres médicaments hypocalcémiants. Ces cas sont survenus dans leur majorité durant les premières semaines après le début du traitement, mais une manifestation ultérieure est également possible.
- +Avant l'instauration du traitement, toute hypocalcémie devra être corrigée par un apport adapté en calcium et en vitamine D. Une surveillance des taux de calcium est donc recommandée avant toute utilisation.
- +Le risque d'hypocalcémie et d'augmentation de la parathormone secondaire à celle-ci augmente parallèlement à une insuffisance rénale. Chez de tels patients ou en présence d’autres facteurs de risque de développement d'une hypocalcémie, il est recommandé de contrôler les taux de calcium avant chaque dose et dans un délai de deux semaines après la dose initiale, ainsi qu'à l'apparition de symptômes pouvant indiquer une hypocalcémie. Ces symptômes comprennent par exemple: paresthésies, contractions, crampes musculaires, tétanie, convulsions, allongement de l'intervalle QT et altérations de l'état mental. Les patients doivent être informés des symptômes possibles d'hypocalcémie et doivent être invités à signaler immédiatement à leur médecin toute apparition de tels symptômes.
-Le profil pharmacocinétique n'a pas été évalué dans des populations pédiatriques.
- +En dehors des indications approuvées, la pharmacocinétique du dénosumab a été étudiée chez les patients pédiatriques atteints d'ostéogenèse imparfaite âgés de 2 à 17 ans. Cependant, les données d'étude disponibles démontrent un rapport bénéficerisque défavorable en raison de préoccupations liées à la sécurité (voir «Mises en garde et précautions») dans cette population.
-Chez des rats nouveaunés, l'inhibition de RANKL (la cible du traitement par le denosumab) par de fortes doses d'une structure moléculaire d'ostéoprotégérine liée à un fragment Fc (OPG-Fc) a entraîné une inhibition de la croissance osseuse et de la poussée dentaire. Dans ce modèle, ces modifications ont été partiellement réversibles à l'arrêt de l'administration de l'inhibiteur de RANKL. Des primates adolescents exposés à des doses de denosumab 27 et 150 fois (10 et 50 mg/kg) plus élevées que celles correspondant à l'exposition clinique ont présenté des anomalies des cartilages de croissance.
- +Chez des rats nouveau-nés, l'inhibition de RANKL (la cible du traitement par le denosumab) par de fortes doses d'une structure moléculaire d'ostéoprotégérine liée à un fragment Fc (OPG-Fc) a entraîné une inhibition de la croissance osseuse et de la poussée dentaire. Dans ce modèle, ces modifications ont été partiellement réversibles à l'arrêt de l'administration de l'inhibiteur de RANKL. Des primates adolescents exposés à des doses de denosumab 27 et 150 fois (10 et 50 mg/kg) plus élevées que celles correspondant à l'exposition clinique ont présenté des anomalies des cartilages de croissance.
-Février 2022
-Version #021121
- +Octobre 2023
- +Version #260623
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