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Accueil - Information professionnelle sur Panprax 20 mg - Changements - 04.01.2023
90 Changements de l'information professionelle Panprax 20 mg
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Comprimés pelliculés gastrorésistants à 20 mg et 40 mg de pantoprazole.
  • -Amélioration des symptômes et guérison de la maladie de reflux gastro-œsophagien légère (grade 1 de Savary-Miller). Traitement au long cours et prévention des récidives après guérison d’une œsophagite par reflux gastro-œsophagien.
  • +Amélioration des symptômes et guérison de la maladie de reflux gastro-œsophagien légère (stade 1 selon Savary-Miller). Traitement au long cours et prévention des récidives après guérison d’une œsophagite par reflux gastro-œsophagien.
  • -Traitement de l’infection par la bactérie Helicobacter pylori dans les cas d’ulcère duodénal et d’ulcère gastrique, en association avec deux antibiotiques. Prévention des ulcères gastro-duodénaux induits par les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) chez les patients à risque élevé de développer de telles lésions et pour lesquels un traitement par AINS doit être poursuivi.
  • -Cas aigus d’ulcères duodénaux et d’ulcères gastriques. Formes légères et moyennement graves de l’œsophagite par reflux gastro-œsophagien (grade 2 et 3 de Savary-Miller). Syndrome de Zollinger-Ellison et autres affections associées à une hypersécrétion pathologique d’acide gastrique.
  • +Traitement de l’infection bactérienne par Helicobacter pylori dans les cas d’ulcère duodénal et d’ulcère gastrique, en association avec deux antibiotiques. Prévention des ulcères gastro-duodénaux induits par les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) chez les patients à risque élevé de développer de telles lésions et pour lesquels un traitement par AINS doit être poursuivi.
  • +Cas aigus d’ulcères duodénaux et d’ulcères gastriques. Formes légères et moyennement graves de l’œsophagite par reflux gastro-œsophagien (stade 2-3 selon Savary-Miller). Syndrome de Zollinger-Ellison et autres affections associées à une hypersécrétion pathologique d’acide gastrique.
  • -En règle générale, la posologie recommandée est de 1 comprimé pelliculé gastrorésistant de Panprax 20 mg par jour. Une amélioration des symptômes intervient généralement dans les 4 semaines qui suivent le début du traitement. Dans le cas contraire, il faut poursuivre le traitement par Panprax 20 mg pendant 4 semaines supplémentaires. Si les symptômes persistent, il faut procéder à d’autres examens.
  • +En règle générale, la posologie recommandée est de 1 comprimé pelliculé gastrorésistant de Panprax 20 mg par jour. Une amélioration des symptômes est habituellement obtenue dans les 4 semaines qui suivent le début du traitement. Dans le cas contraire, il faut poursuivre le traitement par Panprax 20 mg pendant 4 semaines supplémentaires. Si les symptômes persistent, il faut procéder à d’autres examens.
  • -Instructions posologiques particulières pour Panprax 20 mg
  • +Instructions spéciales pour la posologie de Panprax 20 mg
  • -Il n’est pas nécessaire d’adapter la posologie chez les patients âgés, ni chez les patients dont la fonction rénale est limitée. Une dose journalière de 40 mg au maximum ne doit pas être dépassée.
  • +Il n’est pas nécessaire d’adapter la posologie chez les patients âgés, ni chez les patients dont la fonction rénale est limitée. La dose journalière de 40 mg ne doit pas être dépassée.
  • -Le traitement combiné visant à éliminer l’infection par Helicobacter pylori est administré pendant 7 jours. Lors d’un traitement combiné recourant au métronidazole, il convient de ne pas dépasser la durée de traitement maximale recommandée de 10 jours pour le métronidazole. Afin de garantir la guérison des ulcères, il convient de respecter les recommandations posologiques relatives aux ulcères gastriques et duodénaux.
  • -Si le traitement combiné n’entre pas en ligne de compte chez un patient, parce que ce dernier n’est pas porteur d’Helicobacter pylori, Panprax 40 mg doit être administré en monothérapie selon les directives posologiques suivantes:
  • +Le traitement combiné visant à éliminer l’infection par Helicobacter pylori est pris pendant 7 jours. Lors d’un traitement combiné recourant au métronidazole, il convient de ne pas dépasser la durée de traitement maximale recommandée de 10 jours pour le métronidazole. Afin de garantir la guérison des ulcères, il convient de respecter les recommandations posologiques relatives aux ulcères gastriques et duodénaux.
  • +Si le traitement combiné n’entre pas en ligne de compte chez un patient, parce qu'il n'est pas porteur d’Helicobacter pylori, Panprax 40 mg doit être administré en monothérapie selon les directives posologiques suivantes:
  • -En règle générale, 1 comprimé pelliculé gastrorésistant de Panprax 40 mg par jour. La dose pourra être doublée dans certains cas particuliers en présence d’une œsophagite par reflux gastro-œsophagien ou d’une ulcération gastrique ou duodénale, notamment lorsque ces dernières n’ont pas répondu à d’autres médicaments (augmentation posologique à 2 comprimés pelliculés gastrorésistants de Panprax 40 mg par jour).
  • -Dans la majorité des cas, un ulcère duodénal guérit en l’espace de 2 semaines. Si un traitement de 2 semaines ne suffit pas, la guérison sera obtenue par un traitement de 2 semaines supplémentaires dans une grande majorité des cas. Dans le cas de l’ulcère gastrique et de l’œsophagite par reflux gastro-œsophagien, la guérison intervient le plus souvent en l’espace de 4 semaines.
  • -Si un traitement de 4 semaines ne suffit pas, la guérison sera obtenue par un traitement de 4 semaines supplémentaires dans la majorité des cas.
  • +En règle générale, 1 comprimé pelliculé gastrorésistant de Panprax 40 mg par jour. La dose pourra être doublée dans certains cas particuliers tout comme en présence d’une œsophagite par reflux gastro-œsophagien ou d’une ulcération gastrique ou duodénale, notamment lorsque ces dernières n’ont pas répondu à d’autres médicaments (augmentation posologique à 2 comprimés pelliculés gastrorésistants de Panprax 40 mg par jour).
  • +Dans la majorité des cas, un ulcère duodénal guérit en l’espace de 2 semaines. Si un traitement de 2 semaines ne suffit pas, la guérison sera obtenue par un traitement complémentaire de 2 semaines dans une grande majorité des cas. Dans le cas de l’ulcère gastrique et de l’œsophagite par reflux, la guérison intervient le plus souvent en l’espace de 4 semaines.
  • +Si un traitement de 4 semaines ne suffit pas, la guérison sera obtenue par un traitement complémentaire de 4 semaines dans la majorité des cas.
  • -Instructions posologiques particulières pour Panprax 40 mg
  • +Instructions spéciales pour la posologie de Panprax 40 mg
  • -On ne dispose d’aucune donnée concernant l’efficacité et la sécurité du pantoprazole à raison de 1 x 20 mg par jour dans le traitement combiné visant à éradiquer H. pylori chez les patients atteints de troubles sévères de la fonction hépatique.
  • +On ne dispose d’aucune donnée concernant l’efficacité et la sécurité du pantoprazole à raison de 1 x 20 mg par jour dans le traitement combiné visant à éradiquer H. pylori chez les patients atteints de troubles hépatiques sévères.
  • -On ne dispose d’aucune donnée clinique concernant l’efficacité et la sécurité du pantoprazole à raison de 1 x 40 mg par jour dans le traitement combiné visant à éradiquer H. pylori chez les patients atteints de troubles de la fonction rénale.
  • +On ne dispose d’aucune donnée clinique concernant l’efficacité et l'innocuité du pantoprazole à raison de 1 x 40 mg par jour dans le traitement combiné visant à éradiquer H. pylori chez les patients atteints d'insuffisance rénale.
  • -Les expériences réalisées avec 40 mg de pantoprazole chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans ne sont pas suffisantes.
  • +Il n'existe aucune expérience suffisante réalisée avec 40 mg de pantoprazole chez les enfants et les adolescents de moins de 18 ans ne sont pas suffisantes.
  • -Chez les patients présentant des troubles sévères de la fonction hépatique, un contrôle régulier du taux des enzymes hépatiques est indiqué pendant un traitement par Panprax, principalement lors d’un traitement au long cours. Interrompre l’administration de Panprax lors d’une élévation du taux des enzymes hépatiques.
  • +Chez les insuffisants hépatiques graves, un contrôle régulier du taux des enzymes hépatiques est indiqué pendant un traitement par Panprax, principalement lors d’un traitement au long cours. Interrompre l’administration de Panprax lors d’une élévation du taux des enzymes hépatiques.
  • -L’administration de Panprax 40 mg comme traitement préventif des ulcères gastro-duodénaux induits par les AINS devrait être limitée aux patients chez lesquels un traitement par AINS doit être poursuivi et qui présentent un risque accru de développer des complications gastro-duodénales. Le risque accru doit être évalué selon les facteurs de risques individuels tels que l’âge (> 65 ans), les antécédents d’ulcère gastro-duodénal ou d’hémorragie digestive haute.
  • -On ne dispose à ce jour daucune expérience concernant le traitement chez les enfants de moins de 12 ans.
  • +L’administration de Panprax 40 mg comme traitement préventif des ulcères gastro-duodénaux induits par les AINS devrait être limitée aux patients chez lesquels un traitement par AINS doit être poursuivi et qui présentent un risque accru de développer des complications gastro-duodénales. Le risque accru doit être évalué selon les facteurs de risques individuels comme par ex. l'âge (> 65 ans), les antécédents d’ulcère gastro-duodénal ou d’hémorragie digestive haute.
  • +On ne dispose à ce jour d'aucune donnée concernant le traitement chez lenfant de moins de 12 ans.
  • -Panprax n’est pas indiqué lors de troubles gastro-intestinaux légers, p. ex. lors de dyspepsie fonctionnelle.
  • +Panprax n’est pas indiqué lors de légers troubles gastro-intestinaux comme p. ex. lors de dyspepsie fonctionnelle.
  • -En présence de symptômes d’alerte (tels que perte pondérale significative et inexpliquée, vomissements répétés, dysphagie, hématémèse, anémie ou méléna) et en cas d’ulcère gastrique supposé ou existant, il faudra exclure un éventuel caractère malin, car le traitement par Panprax peut en masquer les symptômes et ainsi retarder le diagnostic.
  • -Si les symptômes persistent malgré un traitement adéquat, il convient d’envisager de procéder à des examens complémentaires.
  • +En présence de symptômes d’alerte (tels que perte pondérale significative et inexpliquée, émèse répétée, dysphagie, hématémèse, anémie ou méléna) et en cas d’ulcère gastrique supposé ou existant, il faudra exclure un éventuel caractère malin, car le traitement par Panprax peut en masquer les symptômes et ainsi retarder le diagnostic.
  • +Si les symptômes persistent malgré un traitement adéquat, il convient d’envisager de procéder à des examens supplémentaires.
  • -Comme tous les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP), le pantoprazole peut entraîner une augmentation du nombre de bactéries normalement présentes dans le tractus gastro-intestinal supérieur. Par conséquent, un traitement par Panprax peut entraîner un risque légèrement accru d’infections gastro-intestinales d’origine bactérienne, par exemple par des salmonelles, ou encore par les bactéries Campylobacter et Clostridium difficile.
  • +Comme tous les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP), le pantoprazole peut entraîner une augmentation du nombre de bactéries normalement présentes dans le tractus gastro-intestinal supérieur. Par conséquent, un traitement par Panprax peut entraîner un risque légèrement accru d’infections gastro-intestinales d’origine bactérienne, par exemple par des salmonelles, Campylobacter et Clostridium difficile.
  • -Le traitement quotidien prolongé (pendant plusieurs années) par des médicaments qui bloquent la sécrétion acide peut provoquer une malabsorption de la cyanocobalamine (vitamine B12) par hypochlorhydrie ou achlorhydrie. Une carence en cyanocobalamine doit être envisagée chez les patients atteints du syndrome de Zollinger-Ellison et dans d’autres cas hypersécrétoires pathologiques nécessitant un traitement prolongé. Cette carence peut également survenir chez les personnes présentant une baisse des réserves de l’organisme ou des facteurs de risque de réduction de l’absorption de la vitamine B12 (tels que l’âge) pendant un traitement au long cours ou en présence de symptômes cliniques importants.
  • +Le traitement quotidien prolongé (pendant plusieurs années) par des médicaments qui bloquent la sécrétion acide peut provoquer une malabsorption de la cyanocobalamine (vitamine B12) par hypochlorhydrie ou achlorhydrie. Une carence en cyanocobalamine doit être envisagée chez les patients atteints du syndrome de Zollinger-Ellison et dans des cas états hypersécrétoires pathologiques nécessitant un traitement prolongé. Cette carence peut également survenir chez les personnes présentant une baisse des réserves de l’organisme ou des facteurs de risque de réduction de l’absorption de la vitamine B12 (telles que les personnes âgées) pendant un traitement au long cours ou en présence de symptômes cliniques importants.
  • -Des cas d’hypomagnésémie sévère ont été rapportés chez des patients traités par des IPP (inhibiteurs de la pompe à protons) comme le pantoprazole pendant au moins 3 mois et dans la plupart des cas pendant un an. Des formes sévères d’hypomagnésémie telles que fatigue, tétanie, délire, crampes, vertiges et arythmie ventriculaire peuvent survenir. Elles peuvent se déclarer de manière insidieuse et ne pas être remarquées. Chez la plupart des patients concernés, l’hypomagnésémie s’est améliorée après un apport en magnésium et l’arrêt du traitement par un IPP. Chez les patients probablement traités sur une longue période ou qui prennent des IPP avec de la digoxine ou des médicaments pouvant causer une hypomagnésémie (p. ex. des diurétiques), la mesure du taux de magnésium doit être envisagée avant le traitement par IPP et pendant celui-ci à intervalles réguliers.
  • -Fractures osseuses
  • -Les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent, en particulier lorsqu’ils sont utilisés à fortes doses et sur une longue période (> 1 an), légèrement augmenter le risque de fractures de la hanche, du poignet et de la colonne vertébrale, surtout chez les personnes âgées ou celles qui présentent d’autres facteurs de risque. Des études d’observation indiquent que les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent augmenter le risque général de fractures de 10 à 40%. Une partie de cette hausse peut être le fait d’autres facteurs de risque. Les patients présentant un risque d’ostéoporose doivent être traités selon les directives cliniques actuelles et recevoir suffisamment d’apports en calcium et vitamine D.
  • +Des cas d’hypomagnésémie sévère ont été rapportés chez des patients traités avec des IPP (inhibiteurs de la pompe à protons) comme le pantoprazole pendant au moins 3 mois et dans la plupart des cas pendant un an. Des formes sévères d’hypomagnésémie telles que fatigue, tétanie, délire, crampes, vertiges et arythmie ventriculaire peuvent survenir. Elles peuvent se déclarer de manière insidieuse et ne pas être remarquées. Chez la plupart des patients concernés, l’hypomagnésémie s’est améliorée après un apport en magnésium et l’arrêt du traitement par un IPP. Chez les patients probablement traités sur une longue période ou qui prennent des IPP avec de la digoxine ou des médicaments pouvant causer une hypomagnésémie (p. ex. des diurétiques), la mesure du taux de magnésium doit être prise en considération avant le traitement par IPP et pendant celui-ci à intervalles réguliers.
  • +Des fractures osseuses
  • +Les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent, en particulier lorsqu’ils sont utilisés à fortes doses et sur une longue période (> 1 an), légèrement augmenter le risque de fractures de la hanche, du poignet et de la colonne vertébrale, surtout chez les personnes âgées ou celles qui présentent d’autres facteurs de risque. Des études d’observation indiquent que les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent augmenter le risque de fractures de 10 à 40%. Une partie de cette hausse peut être le fait d’autres facteurs de risque. Les patients présentant un risque d’ostéoporose doivent être traités selon les directives cliniques actuelles et recevoir suffisamment d’apports en calcium et vitamine D.
  • -Au cours du traitement par des médicaments antiacides, la gastrine sérique augmente en réponse à la diminution de la sécrétion acide. De la même manière, la chromogranine A (CgA) augmente en réponse à la diminution de la sécrétion acide. Cette augmentation du taux de CgA peut interférer avec les analyses réalisées lors de tumeurs neuroendocriniennes. Des données de la littérature mentionnent que tout traitement par un IPP doit être interrompu 5 à 14 jours avant un dosage de la CgA réalisé dans le cadre du bilan ou du contrôle de l’évolution de tumeurs neuroendocriniennes, car les taux de CgA accrus à la suite du traitement se normalisent en l’espace de 5 à 14 jours – ou plus dans de rares cas. Le dosage doit être répété si les taux de CgA sont encore trop élevés après ce délai.
  • +Au cours du traitement par des médicaments antiacides, la gastrine sérique augmente en réponse à la diminution de la sécrétion acide. De la même manière, la chromogranine A (CgA) augmente en réponse à la diminution de la sécrétion acide. Cette augmentation du taux de CgA peut interférer avec les analyses réalisées lors de tumeurs neuroendocriniennes. Des données de la littérature mentionnent que tout traitement par un IPP doit être interrompu 5 à 14 jours avant un dosage de la CgA réalisé dans le cadre du bilan ou du contrôle de l’évolution de tumeurs neuroendocriniennes, car les taux de CgA accrus suite au traitement se normalisent en l’espace de 5 à 14 jours – ou plus dans de rares cas. Le dosage doit être répété si les taux de CgA sont encore trop élevés après ce délai.
  • -Dans de très rares cas, les inhibiteurs de la pompe à protons sont associés à la survenue d’un lupus érythémateux cutané subaigu (LECS). Si des lésions se développent, notamment sur les zones cutanées exposées au soleil, et si elles s’accompagnent d’arthralgie, le patient doit consulter un médecin rapidement et le professionnel de santé doit envisager l’arrêt de Panprax comprimés pelliculés. La survenue d’un LECS après un traitement par un inhibiteur de la pompe à protons peut augmenter le risque de LECS lors de la prise d’autres inhibiteurs de la pompe à protons.
  • +Les inhibiteurs de la pompe à protons sont associés à de très rares cas de lupus érythémateux cutané subaigu (LECS). Si des lésions se développent, notamment sur les zones cutanées exposées au soleil, et si elles s’accompagnent d’arthralgie, le patient doit consulter un médecin rapidement et le professionnel de santé doit envisager l’arrêt de Panprax comprimés pelliculés. La survenue d’un LECS après un traitement par un inhibiteur de la pompe à protons peut augmenter le risque de LECS lors de la prise d’autres inhibiteurs de la pompe à protons.
  • -Aucune interaction cliniquement significative n’a toutefois pu être mise en évidence dans les études d’interaction menées avec des médicaments métabolisés par le biais du même système enzymatique tels que la carbamazépine, le diazépam, le glibenclamide, la nifédipine et un contraceptif oral contenant du lévonorgestrel et de l’éthinylestradiol.
  • +Aucune interaction cliniquement significative n’a toutefois pu être mise en évidence dans les études d’interaction relatives à des médicaments métabolisés par le biais du même système enzymatique tels que la carbamazépine, le diazépam, le glibenclamide, la nifédipine et un contraceptif oral contenant du lévonorgestrel et de l’éthinylestradiol.
  • +Effet de Panprax sur d'autres médicaments
  • +
  • -Il n’existe pas de données suffisantes concernant l’emploi du pantoprazole chez la femme enceinte. Des expérimentations animales révèlent une toxicité de reproduction (voir rubrique «Données précliniques»). Le risque potentiel pour l’être humain n’est pas connu.
  • +On ne dispose pas de suffisamment de données concernant l'administration du pantoprazole chez les femmes enceintes. Les expérimentations animales ont révélé une toxicité de reproduction (voir rubrique «Données précliniques»). Le risque potentiel pour l’être humain n’est pas connu.
  • -Le passage de faibles quantités dans le lait maternel a été constaté lors de l’expérimentation animale (voir également la rubrique «Pharmacocinétique»).
  • -Chez l’être humain, des cas d’excrétion de pantoprazole dans le lait maternel ont été signalés. Par conséquent, la décision relative à l’interruption ou à la poursuite de l’allaitement ou du traitement par Panprax doit s’appuyer sur une mise en balance du bénéfice de l’allaitement pour l’enfant et du bénéfice du traitement par Panprax pour la mère.
  • +Le passage du pantozole dans le lait maternel a été constaté lors de l’expérimentation animale (voir également sous «Pharmacocinétique»).
  • +Chez l’être humain, des cas de passage du pantoprazole dans le lait maternel ont été signalés. Par conséquent, la décision relative à l’interruption ou à la poursuite de l’allaitement ou du traitement par Panprax doit s’appuyer sur une mise en balance du bénéfice de l’allaitement pour l’enfant et du bénéfice du traitement par Panprax pour la mère.
  • -Il faut s’attendre à l’apparition d’effets indésirables chez environ 5% des patients. Les effets indésirables les plus fréquemment signalés sont la diarrhée et les céphalées. Ces effets indésirables apparaissent chez env. 1% des patients.
  • -Très fréquents (≥ 1/10); fréquents (≥ 1/100 à < 1/10); occasionnels (≥ 1/1 000 à < 1/100); rares (≥ 1/10’000 et < 1/1’000); très rares (< 1/10’000); fréquence non connue (ne peut pas être évaluée sur la base des données disponibles).
  • -Il est impossible d’attribuer les effets indésirables observés après la commercialisation à un groupe de fréquence. C’est pourquoi ces effets indésirables sont accompagnés de la mention «Fréquence non connue».
  • -Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets indésirables sont indiqués par ordre décroissant en fonction de leur degré de gravité.
  • -Effets indésirables observés avec le pantoprazole dans le cadre d’études cliniques et après commercialisation.
  • +Il faut s’attendre à l’apparition d’effets indésirables chez environ 5% des patients. Les effets indésirables les plus fréquemment signalés sont la diarrhée et les céphalées. Ces effets indésirables apparaissent chez environ 1% des patients.
  • +Très fréquents (≥ 1/10); fréquents (≥ 1/100 à < 1/10); occasionnels (≥ 1/1 000 à < 1/100); rares (≥ 1/10’000 et < 1/1’000); très rares (< 1/10’000); inconnus (ne peut pas être évaluée sur la base des données disponibles).
  • +Il est impossible d’attribuer les effets secondaires observés après l'introduction sur le marché à un groupe de fréquence. C’est pourquoi ces effets secondaires sont accompagnés de la mention «inconnus».
  • +Au sein de chaque groupe de fréquence, les effets secondairessont indiqués par ordre décroissant de leur degré de gravité.
  • +Effets secondaires observés avec le pantoprazole dans le cadre d’études cliniques et après l'introduction sur le marché..
  • -Fréquence non connue: hyponatrémie, hypomagnésémie.
  • -Affections psychiatriques
  • +Inconnus: Hyponatrémie, hypomagnésémie (voir «Mises en garde et précautions»). Une hypomagnésémie sévère peut être accompagnée d'une hypocalcémie et/ou d'une hypokaliémie.Affections psychiatriques
  • -Fréquence non connue: hallucinations, confusion mentale, en particulier chez les patients prédisposés ainsi qu’une aggravation en cas de préexistence de ces symptômes.
  • +Inconnus: hallucinations, confusion mentale, en particulier chez les patients prédisposés ainsi qu’une aggravation en cas de préexistence de ces symptômes.
  • -Occasionnels: diarrhée, nausées/vomissements, ballonnements et sensation de satiété, constipation, sécheresse buccale, douleurs et troubles abdominaux.
  • +Occasionnels: diarrhée, nausées/vomissements, ballonnements et sensation de satiété, constipation, sécheresse buccale, douleurs et symptômes épigastriques.
  • +Inconnus: Colite microscopique.
  • -Fréquence non connue: lésion des cellules hépatiques, jaunisse, défaillance hépatique.
  • +Inconnus: lésion des cellules hépatiques, jaunisse, insuffisance hépatique.
  • -Rares: urticaire, angioœdème.
  • +Rares: urticaire, angiœdème.
  • -Fréquence non connue: syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell, érythème polymorphe, photosensibilité.
  • -Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • +Inconnus: syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell, érythème polymorphe, photosensibilité, DRESS (exanthème médicamenteux avec éosinophilie et symptômes systémiques).Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • -Fréquence non connue: néphrite interstitielle.
  • +Inconnus: néphrite tubulo-interstitielle. (pouvant entraîner une insuffisance rénale).
  • -La sécurité d’emploi du pantoprazole a été évaluée dans des études cliniques menées auprès de 250 enfants âgés de 2 à 16 ans présentant une œsophagite par reflux gastro-œsophagien légère. La majorité des enfants étaient âgés de plus de 12 ans. Le pantoprazole a été généralement bien toléré et son profil de sécurité était comparable à celui observé chez les adultes.
  • +La sécurité d’emploi du pantoprazole a été évaluée dans des études cliniques menées avec 250 enfants âgés de 2 à 16 ans présentant une œsophagite de reflux gastro-œsophagien légère. La majorité des enfants étaient âgés de plus de 12 ans. Le pantoprazole a été généralement bien toléré et son profil de sécurité était comparable à celui observé chez les adultes.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +
  • -Mécanisme d’action et pharmacodynamique
  • +Mécanisme d’action
  • +Pharmacodynamique
  • +Efficacité clinique
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  • -Cet effet diminue de nouveau dans le cadre d’un processus de rétroaction, dans la même mesure que l’inhibition globale de la sécrétion acide. En cas de traitement au long cours par le pantoprazole, la gastrinémie à jeun augmente pour atteindre env. deux fois la normale. Une augmentation excessive de la gastrinémie reste toutefois très rare. Au terme d’un traitement par voie orale, les valeurs médianes de gastrinémie retombent nettement. La suppression de la sécrétion acide peut provoquer une multiplication de certaines cellules endocrines (cellules ECL = cellules entérochromaffine-like) par l’intermédiaire d’une augmentation de la sécrétion de gastrine. L’apparition de précurseurs de carcinoïdes (hyperplasies atypiques) ou de carcinoïdes gastriques telles que signalées dans le cadre d’expérimentations animales (voir rubrique «Données précliniques») n’a toutefois pas été observée chez l’être humain.
  • +Cet effet diminue de nouveau dans le cadre d’un processus de rétroaction, dans la même mesure que l’inhibition globale de la sécrétion acide. En cas de traitement au long cours par le pantoprazole, la gastrinémie à jeun augmente pour atteindre environ deux fois la normale. Une augmentation excessive de la gastrinémie reste toutefois très rare. Après un traitement par voie orale, les valeurs médianes de gastrinémie retombent nettement. La suppression de la sécrétion acide peut provoquer une multiplication de certaines cellules endocrines particulières (les cellules ECL) par l’intermédiaire d’une augmentation de la sécrétion de gastrine. L’apparition de précurseurs de carcinoïdes (hyperplasies atypiques) ou de carcinoïdes gastriques telle que signalée dans le cadre d’expérimentations animales (voir rubrique «Données précliniques») n’a pas été observée chez l’être humain.
  • -Études cliniques
  • -Pédiatrie
  • -L’efficacité des comprimés pelliculés de 20 et 40 mg de pantoprazole a été évaluée dans une étude randomisée menée auprès de 136 patients âgés de 12 à 16 ans présentant une œsophagite de reflux (GORD en anglais) symptomatique légère. Le pantoprazole a clairement amélioré les symptômes de la GORD.
  • +Sécurité et efficacité en pédiatrie
  • +L’efficacité des comprimés pelliculés de 20 et 40 mg de pantoprazole a été évaluée dans une étude randomisée menée avec 136 patients âgés de 12 à 16 ans présentant une œsophagite de reflux symptomatique légère (GORD). Le pantoprazole a clairement amélioré les symptômes de la GORD.
  • -Le volume de distribution est d’environ 0,15 l/kg. La liaison du pantoprazole aux protéines sériques est de 98%. Le passage transplacentaire du pantoprazole a été étudié chez des rates gravides. Le passage augmente avec la progression de la gestation. En conséquence, et indépendamment du mode d’administration, la concentration chez le fœtus augmente peu avant la mise bas. Au maximum, 0,02% de la dose administrée est excrété dans le lait maternel chez la rate. Aucune donnée n’est actuellement disponible sur l’excrétion du produit dans le lait maternel chez l’être humain.
  • +Le volume de distribution est d’environ 0,15 l/kg. La liaison du pantoprazole aux protéines sériques est de 98%. Le passage transplacentaire du pantoprazole a été étudié sur des rates gravides. Le passage augmente avec la progression de la gestation. En conséquence, et indépendamment du mode d’administration, la concentration dans le fœtus augmente peu avant la mise bas. Au maximum, 0,02% de la dose administrée ont excrétés chez la rate dans le lait maternel. Aucune donnée n’est actuellement disponible sur l’excrétion du produit par le lait chez l’être humain.
  • -Le pantoprazole est dégradé presque exclusivement par le foie. Le métabolisme du pantoprazole se fait principalement par le biais de la déméthylation médiée par le CYP2C19 et de la sulfatation subséquente, mais aussi par le biais d’autres voies métaboliques telles que l’oxydation médiée par le CYP3A4. Dans le sérum, tout comme dans l’urine, le métabolite principal est le desméthyl-pantoprazole conjugué au sulfate. La demi-vie du métabolite principal (env. 1,5 heure) est à peine plus longue que celle du pantoprazole. Le métabolite principal ne contribue pas à l’inhibition de la sécrétion acide (expérimentation animale).
  • +Le pantoprazole est dégradé presque exclusivement par le foie. Le métabolisme du pantoprazole se fait principalement par le biais de la déméthylation médiée par le CYP2C19 et de la sulfatation subséquente, mais aussi par le biais d’autres voies métaboliques telles que l’oxydation médiée par le CYP3A4. Dans le sérum, tout comme dans l’urine, le métabolite principal est le desméthyl-pantoprazole conjugué au sulfate. La demi-vie du métabolite principal (environ 1,5 heure) est à peine plus longue que celle du pantoprazole. Le métabolite principal ne contribue pas à l’inhibition de la sécrétion acide (expérimentation animale).
  • -La demi-vie d’élimination terminale a été déterminée à env. 1 h et la clairance est d’env. 0,1 l/h/kg. Dans quelques cas, un ralentissement de l’élimination a été observé chez les volontaires. En raison de l’activation spécifique dans les cellules pariétales, la demi-vie d’élimination ne présente aucune corrélation avec la durée d’action qui est beaucoup plus longue (inhibition de la sécrétion acide). La majeure partie des métabolites (env. 80%) est excrétée par voie rénale, et le reste par les selles.
  • +La demi-vie terminale d’élimination a été déterminée à environ 1 h et la clairance est d’environ 0,1 l/h/kg. Dans quelques cas, un ralentissement de l’élimination a été observé chez les volontaires. En raison de l’activation spécifique dans les cellules pariétales, la demi-vie d’élimination ne présente aucune corrélation avec la durée d’action qui est beaucoup plus longue (inhibition de la sécrétion acide). La majeure partie des métabolites (environ 80%) est excrétée par voie rénale, et le reste par les selles.
  • -Patients atteints d’insuffisance rénale
  • -Chez les patients présentant une insuffisance rénale (y compris les patients sous dialyse), aucune réduction posologique n’est nécessaire. Comme chez les volontaires sains, la demi-vie du pantoprazole est courte. Le pantoprazole n’est dialysé que dans une très faible mesure. Bien que le métabolite principal présente une demi-vie modérément plus longue (2 à 3 heures) que la substance mère, aucune accumulation ne peut se produire car l’excrétion reste malgré tout rapide.
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Patients atteints d’insuffisance d'insuffisance hépatique, patients âgés
  • +Chez les patients présentant une cirrhose du foie (Child A, Child B), la demi-vie se prolonge vers des valeurs comprises entre 3 et 6 heures (pantoprazole à raison de 20mg), et entre 7 et 9 heures (pantoprazole à raison de 40mg), et l'AUC est multipliée par un facteur de 3 à 5 (pantoprazole à raison de 20mg) et 5 à 7 (pantoprazole à raison de 40mg). Toutefois, le taux sérique maximal n'augmente que peu par rapport aux volontaires sains, d'un facteur de 1,3 (pantoprazole à raison de 20mg) et de 1,5 (pantoprazole à raison de 40mg). Une légère augmentation de l'AUC et de la Cmax chez les volontaires âgés, par rapport aux volontaires jeunes ne présente aucune pertinence clinique. Cependant, le pantoprazole doit être utilisé avec précaution chez les patients âgés (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Troubles de la fonction rénale
  • +Patients atteints d'insuffisance rénale
  • +Chez les patients présentant une insuffisance rénale (y compris les patients sous dialyse), aucune réduction posologique n’est nécessaire. Comme chez les volontaires sains, la demi-vie du pantoprazole est courte. Le pantoprazole n’est dialysé que dans une très faible mesure. Bien que le métabolite principal présente une demi-vie (2 - 3 heures) modérément plus longue que la substance mère, aucune accumulation ne peut se produire car l’excrétion reste malgré tout rapide.
  • +Enfants et adolescents
  • +Après l'administration de doses orales uniques de 20 ou 40 mg de pantoprazole chez des enfants âgés de 5 à 16 ans, l'AUC et la Cmax étaient comparables à celles constatées chez les adultes.
  • +Polymorphismes génétiques
  • +
  • -Environ 3% de la population européenne présente un déficit fonctionnel en enzyme CYP2C19 (poor metabolizers = métaboliseurs lents). Chez ces personnes, le pantoprazole sera vraisemblablement principalement catalysé par le CYP3A4. Après une administration unique de 40 mg de pantoprazole, l’AUC moyenne était environ six fois plus élevée chez les métaboliseurs lents que chez les personnes présentant une activité de l’enzyme CYP2C19 intacte (métaboliseurs rapides). La concentration plasmatique maximale moyenne avait augmenté de 60%. Ces résultats n’ont aucune influence sur la posologie du pantoprazole.
  • -Patients atteints d’insuffisance hépatique, patients âgés
  • -Chez les patients présentant une cirrhose du foie (Child A, Child B), la demi-vie se prolonge respectivement jusqu’à des valeurs comprises entre 3 et 6 heures (pantoprazole à raison de 20 mg) et entre 7 et 9 heures (pantoprazole à raison de 40 mg), et l’AUC est multipliée respectivement par un facteur 3 à 5 (pantoprazole à raison de 20 mg) et 5 à 7 (pantoprazole à raison de 40 mg). Toutefois, le taux sérique maximal n’augmente que peu par rapport au taux observé chez les volontaires sains, respectivement d’un facteur de 1,3 (pantoprazole à raison de 20 mg) et de 1,5 (pantoprazole à raison de 40 mg). Une légère augmentation de l’AUC et de la Cmax chez les volontaires âgés par rapport aux volontaires jeunes ne présente aucune pertinence clinique. Cependant, le pantoprazole doit être utilisé avec précaution chez les patients âgés (voir «Posologie/Mode d’emploi»).
  • -Pédiatrie
  • -Après l’administration de doses orales uniques de 20 ou 40 mg de pantoprazole chez des enfants âgés de 5 à 16 ans, l’AUC et la Cmax étaient comparables à celles constatées chez les adultes.
  • +Environ 3% de la population européenne présente un déficit en enzyme CYP2C19 fonctionnel (poor metabolizers = métaboliseurs lents). Chez ces personnes, le pantoprazole sera vraisemblablement principalement catalysé par le CYP3A4. Après une administration unique de 40 mg de pantoprazole, l’AUC moyenne était environ six fois plus élevée chez les métaboliseurs lents que chez les personnes présentant une activité de l’enzyme CYP2C19 intacte (métaboliseurs rapides). La concentration plasmatique maximale moyenne avait augmenté de 60%. Ces résultats n’ont aucune influence sur le dosage du pantoprazole.
  • -Les données précliniques issues d’études conventionnelles portant sur la sécurité pharmacologique, la toxicité en cas d’administration répétée et la génotoxicité ne mettent en évidence aucun risque particulier pour l’être humain.
  • +Les données précliniques issues d'essais conventionnels au sujet de la sécurité pharmacologique, de la toxicité par administrations réitérées, et de la génotoxicité ne mettent en évidence aucun risque particulier chez l’être humain.
  • -Il ressort des études de mutagénicité, des tests de transformation cellulaire et d’une étude de fixation sur l’ADN que le pantoprazole n’a pas de potentiel génotoxique.
  • -Au cours d’une étude de carcinogénicité d’une durée de 2 ans menée chez le rat (correspondant à un traitement à vie chez le rat), des néoplasies neuroendocriniennes ont été constatées. De plus, des papillomes des cellules squameuses sont apparus dans la partie proximale de l’estomac du rat. Le mécanisme entraînant la formation de carcinoïdes gastriques par les benzimidazoles substitués a été étudié de façon approfondie et permet de conclure à une réaction indirecte secondaire à l’élévation massive de la gastrinémie chez le rat au cours de l’administration chronique de la substance.
  • -Au cours des études sur 2 ans menées chez le rat et la souris femelle, une augmentation du nombre de tumeurs hépatiques a été observée et a été interprétée comme une conséquence de la vitesse importante de métabolisation hépatique du pantoprazole.
  • -Une légère augmentation des transformations néoplasiques de la thyroïde a été notée dans le groupe de rats recevant la dose la plus forte. L’apparition de ces néoplasies est associée aux modifications induites par le pantoprazole dans les processus de dégradation de la thyroxine au niveau hépatique chez le rat.
  • -Des signes de fœtotoxicité légère (ossification incomplète des os du crâne) ont été observés à des doses supérieures à 5 mg/kg administrées par voie orale dans le cadre d’une étude de reproduction menée chez le rat.
  • -Les études n’ont montré ni une influence sur la fertilité, ni un effet tératogène. Le passage transplacentaire du pantoprazole a été étudié chez le rat et augmente avec la progression de la gestation. En conséquence, la concentration du pantoprazole chez le fœtus est accrue juste avant la naissance.
  • +Il ressort des études de mutagénicité, des tests de mutation cellulaire et d’une étude de fixation sur l’ADN que le pantoprazole n’a pas de potentiel génotoxique.
  • +Au cours des études de carcinogénicité sur 2 ans menées chez le rat (correspondant à un traitement à vie chez le rat), des néoplasies neuroendocriniennes sont apparues. De plus, des papillomes des cellules squameuses sont apparus dans la partie proximale de l’estomac du rat. Le mécanisme entraînant la formation de carcinoïdes gastriques par les benzimidazoles substitués a été étudié de façon approfondie et permet de conclure à une réaction indirecte secondaire à l’élévation massive de la gastrinémie chez le rat au cours de l’administration chronique de la substance.
  • +Au cours des études sur 2 ans chez le rat et la souris femelle, une augmentation du nombre de tumeurs hépatiques a été observée et a été interprétée comme une conséquence du métabolisme hépatique important du pantoprazole.
  • +Une légère augmentation des transformations néoplasiques de la thyroïde a été notée dans le groupe de rats recevant la dose la plus forte. L’apparition de ces néoplasies est associée aux modifications induites par le pantoprazole des processus de dégradation de la thyroxine au niveau hépatique chez le rat.
  • +Toxicité sur la reproduction
  • +Des signes de fœtotoxicité (ossification incomplète des os du crâne) ont été observés à des doses supérieures à 3 mg/kg par voie orale dans une étude sur la reproduction menée chez le rat.
  • +Les essais n’ont montré ni une influence sur la fertilité, ni un effet tératogène. Le passage transplacentaire du pantoprazole a été étudié chez le rat et augmente avec la progression de la gestation. En conséquence, la concentration du pantoprazole chez le fœtus est accrue juste avant la naissance.
  • -Panprax 40 mg: emballages de 7, 15, 30 et 60 comprimés pelliculés gastrorésistants [B]
  • +Panprax 40 mg: emballages de 7, 15, 30, 60 et 100 comprimés pelliculés gastrorésistants [B]
  • -Septembre 2017
  • +Février 2021.
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