82 Changements de l'information professionelle Lodotra 1 mg |
-Lodotra 1 mg: silice colloïdale anhydre, croscarmellose sodique (corresponds à 0,96 mg Natrium), lactose monohydraté (42,8 mg), stéarate de magnésium, povidone, oxyde de fer rouge (E 172).
-Lodotra 2 mg: silice colloïdale anhydre, croscarmellose sodique (corresponds à 0,96 mg Natrium), lactose monohydraté (41,8 mg), stéarate de magnésium, povidone, oxyde de fer rouge (E 172).
-Lodotra 5 mg: silice colloïdale anhydre, croscarmellose sodique (corresponds à 0,96 mg Natrium), lactose monohydraté (38,8 mg), stéarate de magnésium, povidone, oxyde de fer rouge (E 172).
- +Lodotra 1 mg: silice colloïdale anhydre, croscarmellose sodique (correspondant à 0,96 mg de sodium), lactose monohydraté (42,8 mg), stéarate de magnésium, povidone, oxyde de fer rouge (E 172).
- +Lodotra 2 mg: silice colloïdale anhydre, croscarmellose sodique (correspondant à 0,96 mg de sodium), lactose monohydraté (41,8 mg), stéarate de magnésium, povidone, oxyde de fer rouge (E 172).
- +Lodotra 5 mg: silice colloïdale anhydre, croscarmellose sodique (correspondant à 0,96 mg de sodium), lactose monohydraté (38,8 mg), stéarate de magnésium, povidone, oxyde de fer rouge (E 172).
-La dose appropriée dépend de la gravité de la pathologie et de la réponse individuelle du patient. En règle générale, on recommande une dose initiale de 5 mg de prednisone. Dans certains cas, une dose initiale plus forte peut être nécessaire (10 mg de prednisone, par exemple, voir «Remplacement du traitement standard»). Des doses journalières supérieures à 10 mg ne sont pas documentées. En fonction des symptômes cliniques et de la réponse du patient, la dose initiale peut progressivement être réduite à une dose d'entretien plus faible.
- +La dose appropriée dépend de la gravité de la pathologie et de la réponse individuelle du patient. En règle générale, on recommande une dose initiale de 5 mg de prednisone. Dans certains cas, une dose initiale plus forte peut être nécessaire (p. ex. 10 mg de prednisone, voir «Remplacement du traitement standard»). Des doses journalières supérieures à 10 mg ne sont pas documentées. En fonction des symptômes cliniques et de la réponse du patient, la dose initiale peut progressivement être réduite à une dose d'entretien plus faible.
-Lodotra doit être pris à l'heure du coucher (aux environs de 22 heures) pendant ou après le dîner; il doit être avalé en entier, sans être croqué, avec une quantité suffisante de liquide. Si plus de 2 ou 3 heures se sont écoulées depuis le dîner, il est recommandé de prendre Lodotra avec un repas léger ou un en-cas (une tranche de pain avec du jambon ou du fromage, par exemple). Lodotra ne doit pas être administré à jeun, car cela pourrait diminuer sa biodisponibilité.
- +Lodotra doit être pris à l'heure du coucher (aux environs de 22 heures) pendant ou après le dîner; il doit être avalé en entier, sans être croqué, avec une quantité suffisante de liquide. Si plus de 2 ou 3 heures se sont écoulées depuis le dîner, il est recommandé de prendre Lodotra avec un repas léger ou un en-cas (p. ex. une tranche de pain avec du jambon ou du fromage). Lodotra ne doit pas être administré à jeun, car cela pourrait diminuer sa biodisponibilité.
-·Mycoses et parasitoses systémiques (nématodes, par exemple)
- +·Mycoses et parasitoses systémiques (p. ex. nématodes)
-Un traitement de plus de 2 semaines par glucocorticoïdes peut conduire à une insuffisance surrénalienne par inhibition de la sécrétion d'ACTH, pouvant aller jusqu'à une atrophie du cortex surrénalien. Le défaut fonctionnel de la glande surrénale peut durer jusqu'à une année et au-delà et représente un risque mettant en jeu le pronostic vital pour le patient en situation de stress et de surcharge. Il est indiqué d'administrer en supplément et en qualité de transition un corticoïde à action rapide avant, pendant et après l'événement stressant chez les patients exposés (intervention chirurgicale, traumatisme sévère, infection grave, par exemple).
- +Un traitement de plus de 2 semaines par glucocorticoïdes peut conduire à une insuffisance surrénalienne par inhibition de la sécrétion d'ACTH, pouvant aller jusqu'à une atrophie du cortex surrénalien. Le défaut fonctionnel de la glande surrénale peut durer jusqu'à une année et au-delà et représente un risque mettant en jeu le pronostic vital pour le patient en situation de stress et de surcharge. Il est indiqué d'administrer en supplément et en qualité de transition un corticoïde à action rapide avant, pendant et après l'événement stressant chez les patients exposés (p. ex. intervention chirurgicale, traumatisme sévère, infection grave).
-En cas de substitution, d'arrêt ou d'interruption d'un traitement prolongé, les risques suivants sont à prendre en compte: réactivation de la polyarthrite rhumatoïde, insuffisance surrénalienne aiguë (notamment en cas de sollicitations spécifiques, p.ex. pendant une infection, après un accident, lors d'un effort physique accru) et syndrome de sevrage de la cortisone.
- +En cas de substitution, d'arrêt ou d'interruption d'un traitement prolongé, les risques suivants sont à prendre en compte: réactivation de la polyarthrite rhumatoïde, insuffisance surrénalienne aiguë (notamment en cas de sollicitations spécifiques, p. ex. pendant une infection, après un accident, lors d'un effort physique accru) et syndrome de sevrage de la cortisone.
-Ce médicament contient du lactose monohydraté. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne doivent pas prendre ce médicament.
- +Ce médicament contient du lactose monohydraté. Les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit total en lactase ou un syndrome de malabsorption du glucose et du galactose (maladies héréditaires rares) ne devraient pas prendre ce médicament.
-Potentialisation possible de l'effet des glycosides suite à une carence potassique.
- +L'effet des glycosides peut être renforcée par une carence potassique.
-Augmentation de l'excrétion du potassium.
- +L'excrétion du potassium est augmentée.
-Diminution de l'effet hypoglycémiant.
- +L'effet hypoglycémiant est diminué.
-Diminution ou augmentation de l'efficacité des anticoagulants coumariniques.
- +L'effet anticoagulant est affaibli ou augmenté.
-Augmentation du risque d'hémorragies gastro-intestinales.
- +Le risque d'hémorragies gastro-intestinales est augmenté.
-Prolongement possible de la relaxation musculaire.
- +La relaxation musculaire peut se prolonger.
-Risque accru de survenue de myopathies ou cardiomyopathies.
- +Il existe un risque accru de survenue de myopathies, cardiomyopathies.
-Réduction possible de l'efficacité de la somatropine.
-Estrogènes (contraceptifs oraux, par exemple)
-Augmentation possible de l'efficacité des glucocorticoïdes.
- +L'efficacité de la somatropine peut être réduite.
- +Estrogènes (p. ex. contraceptifs oraux)
- +Les effets des glucocorticoïdes peuvent être augmentés.
-Inhibition possible du métabolisme des glucocorticoïdes.
- +Une inhibition du métabolisme des glucocorticoïdes est possible.
-Diminution de l'efficacité des glucocorticoïdes.
- +L'efficacité des glucocorticoïdes est diminuée.
-Augmentation des taux sanguins de la ciclosporine. Risque accru de crises comitiales.
- +Les taux sanguins de ciclosporine sont augmentés. Il existe un risque accru de crises cérébrales.
-Augmentation possible des effets du cyclophosphamide.
- +L'effet du cyclophosphamide peut être augmenté.
-Diminution possible de l'absorption des glucocorticoïdes. Cependant, du fait du mécanisme d'action retardé de Lodotra, une interaction entre la prednisone et les antiacides à base d'aluminium/magnésium est peu probable.
- +L'absorption des glucocorticoïdes peut être diminuée. Cependant, du fait du mécanisme d'action retardé de Lodotra, une interaction entre la prednisone et les antiacides à base d'aluminium/magnésium est peu probable.
-Suppression possible des réactions cutanées provoquées par les tests d'allergie. L'augmentation de TSH consécutive à l'administration de protiréline peut être réduite.
-Grossesse/Allaitement
- +Les réactions cutanées dans le cadre des tests d'allergie peuvent être supprimées. L'augmentation de TSH consécutive à l'administration de protiréline peut être réduite.
- +Grossesse, allaitement
-Les glucocorticoïdes sont excrétés en petites quantités dans le lait maternel (jusqu'à 0,23% d'une dose donnée). Pour les doses allant jusqu'à 10 mg/jour, la quantité ingérée par l'intermédiaire du lait maternel se situe au-dessous du seuil de détection. Aucun effet délétère pour les nourrissons n'a été rapporté à ce jour. Néanmoins, les glucocorticoïdes ne doivent être prescrits que si les bénéfices pour la mère l'emportent sur les risques pour l'enfant.
-Le rapport des concentrations dans le lait sur celles dans le plasma augmente avec les doses supérieures à 10 mg/jour (par exemple, on retrouve 25% de la concentration sérique dans le lait maternel avec 80 mg de prednisone/jour). Il est donc recommandé d'interrompre l'allaitement dans ces cas.
- +Les glucocorticoïdes sont excrétés en petites quantités dans le lait maternel (jusqu'à 0,23 % d'une dose donnée). Pour les doses allant jusqu'à 10 mg/jour, la quantité ingérée par l'intermédiaire du lait maternel se situe au-dessous du seuil de détection. Aucun effet délétère pour les nourrissons n'a été rapporté à ce jour. Néanmoins, les glucocorticoïdes ne doivent être prescrits que si les bénéfices pour la mère l'emportent sur les risques pour l'enfant.
- +Le rapport des concentrations dans le lait sur celles dans le plasma augmente avec les doses supérieures à 10 mg/jour (p. ex. on retrouve 25 % de la concentration sérique dans le lait maternel avec 80 mg de prednisone/jour). Il est donc recommandé d'interrompre l'allaitement dans ces cas.
-Très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1000, <1/100); rares (≥1/10 000, <1/1000); très rares (<1/10 000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
- +Très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1000, <1/100); rares (≥1/10'000, <1/1000); très rares (<1/10'000), fréquence indéterminée (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
-Fréquence indéterminée: tachycardie.
- +Fréquence indéterminée: tachycardie, bradycardie après l'application de fortes doses.
-Dans la première étude, une étude de phase III, multicentrique, randomisée, en double aveugle d'une durée de 12 semaines, portant sur un total de 288 patients prétraités par la prednisone ou la prednisolone, on a observé une diminution moyenne de 23% de la durée de la raideur matinale pour le groupe de relais par Lodotra à la même dose, alors que pour le groupe de référence la durée n'a pas varié. Les détails figurent dans le tableau suivant.
- +Dans la première étude, une étude de phase III, multicentrique, randomisée, en double aveugle d'une durée de 12 semaines, portant sur un total de 288 patients prétraités par la prednisone ou la prednisolone, on a observé une diminution moyenne de 23 % de la durée de la raideur matinale pour le groupe de relais par Lodotra à la même dose, alors que pour le groupe de référence la durée n'a pas varié. Les détails figurent dans le tableau suivant.
-Moyenne (écart-type) –23 (89) 0 (89)
- +Moyenne (écart-type) –23 (89) 0 (89)
-Dans une extension ultérieure de l'étude en ouvert (9 mois de traitement), la variation relative moyenne de la durée de la raideur matinale a été d'environ -50% par rapport à la durée initiale.
- +Dans une extension ultérieure de l'étude en ouvert (9 mois de traitement), la variation relative moyenne de la durée de la raideur matinale a été d'environ -50 % par rapport à la durée initiale.
-Dans la même étude, après 12 semaines de traitement, une diminution médiane de 29% de la cytokine pro-inflammatoire IL-6 a été observée dans le groupe traité par Lodotra, alors qu'aucun changement n'a été observé dans le groupe témoin ayant reçu de la prednisone classique. Après 12 mois de traitement par Lodotra, le taux d'IL-6 est resté stable.
- +Dans la même étude, après 12 semaines de traitement, une diminution médiane de 29 % de la cytokine pro-inflammatoire IL-6 a été observée dans le groupe traité par Lodotra, alors qu'aucun changement n'a été observé dans le groupe témoin ayant reçu de la prednisone classique. Après 12 mois de traitement par Lodotra, le taux d'IL-6 est resté stable.
-IL-6 [IU/l] Lodotra
- +IL-6 [IU/l] Lodotra
-0 mois Début de l'étude 860 (200, 23 000) 142
-12 mois Fin de la phase en ouvert 470 (200, 18 300) 103
- +0 mois Début de l'étude 860 (200, 23'000) 142
- +12 mois Fin de la phase en ouvert 470 (200, 18'300) 103
-Les valeurs <200 UI/l ont été considérées comme égales à 200 UI/l pour les analyses statistiques.
- +Les valeurs < 200 UI/l ont été considérées comme égales à 200 UI/l pour les analyses statistiques.
-Plus de 80% de la prednisone sont convertis en prednisolone lors du premier passage hépatique. Le rapport entre prednisone et prednisolone est d'environ 1 pour 6 à 1 pour 10. Les effets pharmacologiques de la prednisone elle-même sont négligeables. La prednisolone est le métabolite actif. Les composés sont liés de façon réversible aux protéines plasmatiques avec une forte affinité pour la transcortine (globuline liant les corticoïdes, CBG) et une faible affinité pour l'albumine plasmatique.
-Pour la plage des faibles doses (jusqu'à 5 mg), on observe environ 6% de prednisolone sous forme libre. L'élimination métabolique en fonction de la dose est linéaire dans cette plage. Dans la plage de doses supérieures à 10 mg, la capacité de liaison de la transcortine est fortement dépassée et on observe davantage de prednisolone libre. Il peut en résulter une accélération de l'élimination métabolique.
- +Plus de 80 % de la prednisone sont convertis en prednisolone lors du premier passage hépatique. Le rapport entre prednisone et prednisolone est d'environ 1 pour 6 à 1 pour 10. Les effets pharmacologiques de la prednisone elle-même sont négligeables. La prednisolone est le métabolite actif. Les composés sont liés de façon réversible aux protéines plasmatiques avec une forte affinité pour la transcortine (globuline liant les corticoïdes, CBG) et une faible affinité pour l'albumine plasmatique.
- +Pour la plage des faibles doses (jusqu'à 5 mg), on observe environ 6 % de prednisolone sous forme libre. L'élimination métabolique en fonction de la dose est linéaire dans cette plage. Dans la plage de doses supérieures à 10 mg, la capacité de liaison de la transcortine est fortement dépassée et on observe davantage de prednisolone libre. Il peut en résulter une accélération de l'élimination métabolique.
-La prednisolone est essentiellement éliminée par métabolisme hépatique, à environ 70% par glucuroconjugaison et environ 30% par sulfoconjugaison. Il existe également une conversion en 11ß, 17ß-dihydroxyandrosta-1,4-diène-3-one et en 1,4-pregnadiène-20-ol. Ces métabolites ne présentent aucune activité hormonale et subissent essentiellement une élimination rénale. Des quantités négligeables de prednisone et de prednisolone sont retrouvées sous forme inchangée dans l'urine. La demi-vie d'élimination plasmatique de la prednis(ol)one est d'environ 3 heures. Chez les patients présentant un dysfonctionnement hépatique sévère, la demi-vie peut être allongée; il convient donc d'envisager une réduction de la dose. Les effets biologiques de la prednis(ol)one persistent au-delà de sa présence dans le sérum.
- +La prednisolone est essentiellement éliminée par métabolisme hépatique, à environ 70 % par glucuroconjugaison et environ 30 % par sulfoconjugaison. Il existe également une conversion en 11ß, 17ß-dihydroxyandrosta-1,4-diène-3-one et en 1,4-pregnadiène-20-ol. Ces métabolites ne présentent aucune activité hormonale et subissent essentiellement une élimination rénale. Des quantités négligeables de prednisone et de prednisolone sont retrouvées sous forme inchangée dans l'urine. La demi-vie d'élimination plasmatique de la prednis(ol)one est d'environ 3 heures. Chez les patients présentant un dysfonctionnement hépatique sévère, la demi-vie peut être allongée; il convient donc d'envisager une réduction de la dose. Les effets biologiques de la prednis(ol)one persistent au-delà de sa présence dans le sérum.
-Concentration plasmatique maximale (Cmax): ng/ml 20,2 (18,5; 21,9) 21,8 (20,0; 23,7) 20,7 (19,0; 22,5)
-Moment du pic de concentration plasmatique (tmax): h 6,0 (4,5; 10,0) 6,5 (4,5; 9,0) 2,0 (1,0; 4,0)
-Durée du retard de libération du médicament (tlag): h 4,0 (3,5; 5,0) 3,5 (2,0; 5,5) 0,0 (0,0; 0,5)
-Aire sous la courbe de concentration en fonction du temps (AUC0–∞): ng x h/ml 110 (101; 119) 123 (114; 133) 109 (101; 118)
- +Concentration plasmatique maximale (Cmax): ng/ml 20,2 (18,5; 21,9) 21,8 (20,0; 23,7) 20,7 (19,0; 22,5)
- +Moment du pic de concentration plasmatique (tmax): h 6,0 (4,5; 10,0) 6,5 (4,5; 9,0) 2,0 (1,0; 4,0)
- +Durée du retard de libération du médicament (tlag): h 4,0 (3,5; 5,0) 3,5 (2,0; 5,5) 0,0 (0,0; 0,5)
- +Aire sous la courbe de concentration en fonction du temps (AUC0–∞): ng x h/ml 110 (101; 119) 123 (114; 133) 109 (101; 118)
-Moyennes géométriques de la méthode du moindre carré.
- +Moyennes géométriques de la méthode du moindre carré
-Pouvoir mutagène et capacité à provoquer la formation de tumeurs
- +Pouvoirs mutagène et cancérigène
-Dans les études sur la reproduction animale, les glucocorticoïdes comme la prednisone ont induit des malformations (fente palatine, malformations du squelette). Des anomalies mineures du crâne, de la mâchoire et de la langue ont été retrouvées chez le rat après administration parentérale. On a observé des retards de croissance intra-utérine (voir aussi rubrique «Grossesse/allaitement»).
- +Dans les études sur la reproduction animale, les glucocorticoïdes comme la prednisone ont induit des malformations (fente palatine, malformations du squelette). Des anomalies mineures du crâne, de la mâchoire et de la langue ont été retrouvées chez le rat après administration parentérale. On a observé des retards de croissance intra-utérine (voir aussi rubrique «Grossesse, Allaitement»).
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
-Après ouverture, ce médicament peut être conservé 14 semaines s'il est maintenu bien fermé.
- +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
- +Après ouverture, ce médicament peut être conservé pendant 14 semaines si celui-ci est maintenu bien fermé.
-60494 (Swissmedic).
- +60494 (Swissmedic)
-Mundipharma Medical Company, Hamilton/Bermuda, succursale de Bâle.
- +Mundipharma Medical Company, Hamilton/Bermuda, succursale de Bâle
-Avril 2020
- +Juin 2021
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