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Home - Fachinformation zu Ibandronat Sandoz i.v. - Änderungen - 02.02.2017
70 Änderungen an Fachinfo Ibandronat Sandoz i.v.
  • -Principe actif: acidum ibandronicum (ut natrii ibandronas hydricus).
  • -Excipients: natrii chloridum, acidum citricum, natrii hydroxidum, acidum hydrochloricum, aqua ad iniectabilia pro 3 ml.
  • +Principe actif: Acidum ibandronicum (ut natrii ibandronas hydricus).
  • +Excipients: Natrii chloridum, acidum citricum, natrii hydroxidum, acidum hydrochloricum, aqua ad iniectabilia pro 3 ml.
  • -Traitement de lostéoporose chez la femme ménopausée, pour la réduction du risque de fractures vertébrales.
  • +Traitement de l'ostéoporose chez la femme ménopausée, pour la réduction du risque de fractures vertébrales.
  • -La dose recommandée dIbandronate Sandoz i.v. est de 3 mg; elle est administrée tous les trois mois en injection intraveineuse de 15–30 secondes.
  • -La voie dadministration intraveineuse doit être strictement respectée.
  • -Si ladministration dune dose a été oubliée, celle-ci doit avoir lieu aussi tôt que possible. Les injections suivantes doivent intervenir tous les trois mois à partir de la date de la dernière injection.
  • -Les patientes doivent recevoir du calcium et/ou de la vitamine D à titre complémentaire (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -La durée optimale du traitement dune ostéoporose par des bisphosphonates nest pas établie. La nécessité de poursuivre le traitement par Ibandronate Sandoz i.v. doit être réévaluée à intervalles réguliers, en tenant compte du bénéfice et des risques éventuels pour le patient en question, notamment après une durée dutilisation de cinq ans ou plus.
  • -Patientes avec insuffisance rénale
  • -Aucun ajustement de la dose nest nécessaire chez les patientes présentant une insuffisance rénale légère à modérée (créatinine sérique ≤200 µmol/l (2,3 mg/dl) ou clairance de la créatinine ≥30 ml/min).
  • -Linjection intraveineuse de 3 mg dIbandronate Sandoz i.v. tous les trois mois nest pas recommandée chez les patientes dont le taux sérique de créatinine est supérieur à 200 µmol/l (2,3 mg/dl) ou chez lesquelles la clairance de la créatinine (mesurée ou estimée) est inférieure à 30 ml/min (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Patientes avec insuffisance hépatique
  • -Aucun ajustement de la dose nest nécessaire (voir «Pharmacocinétique»).
  • -Patientes âgées
  • -Aucun ajustement de la dose nest nécessaire (voir «Pharmacocinétique»).
  • +La dose recommandée d'Ibandronate Sandoz i.v. est de 3 mg; elle est administrée tous les trois mois en injection intraveineuse de 15–30 secondes.
  • +La voie d'administration intraveineuse doit être strictement respectée.
  • +Si l'administration d'une dose a été oubliée, celle-ci doit avoir lieu aussi tôt que possible. Les injections suivantes doivent intervenir tous les trois mois à partir de la date de la dernière injection.
  • +Les patients doivent recevoir du calcium et/ou de la vitamine D à titre complémentaire (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +La durée optimale du traitement d'une ostéoporose par des bisphosphonates n'est pas établie. La nécessité de poursuivre le traitement par Ibandronate Sandoz i.v. doit être réévaluée à intervalles réguliers, en tenant compte du bénéfice et des risques éventuels pour le patient en question, notamment après une durée d'utilisation de cinq ans ou plus.
  • +Patients avec insuffisance rénale
  • +Aucun ajustement de la dose n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale légère à modérée (créatinine sérique ≤200 µmol/l (2,3 mg/dl) ou clairance de la créatinine ≥30 ml/min).
  • +L'injection intraveineuse de 3 mg d'Ibandronate Sandoz i.v. tous les trois mois n'est pas recommandée chez les patients dont le taux sérique de créatinine est supérieur à 200 µmol/l (2,3 mg/dl) ou chez lesquelles la clairance de la créatinine (mesurée ou estimée) est inférieure à 30 ml/min (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Patients avec insuffisance hépatique
  • +Aucun ajustement de la dose n'est nécessaire (voir «Pharmacocinétique»).
  • +Patients âgés
  • +Aucun ajustement de la dose n'est nécessaire (voir «Pharmacocinétique»).
  • -On ne dispose daucun élément sur la sécurité demploi et lefficacité dIbandronate Sandoz i.v. chez lenfant et ladolescent de moins de 18 ans. Aussi Ibandronate Sandoz i.v. ne doit-il pas être utilisé en pédiatrie.
  • +On ne dispose d'aucun élément sur la sécurité d'emploi et l'efficacité d'Ibandronate Sandoz i.v. chez l'enfant et l'adolescent de moins de 18 ans. Aussi Ibandronate Sandoz i.v. ne doit-il pas être utilisé en pédiatrie.
  • -Ibandronate Sandoz i.v. est contre-indiqué chez les patientes présentant une hypersensibilité au principe actif ou à lun des excipients conformément à la composition.
  • -Ibandronate Sandoz i.v. est contre-indiqué chez les patientes présentant une hypocalcémie non corrigée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Ibandronate Sandoz i.v. est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité au principe actif ou à l'un des excipients conformément à la composition.
  • +Ibandronate Sandoz i.v. est contre-indiqué chez les patients présentant une hypocalcémie non corrigée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -La prudence est de rigueur en cas dhypersensibilité connue à légard dautres bisphosphonates.
  • -Chez des patients traités avec lacide ibandronique par voie intraveineuse, des cas de réactions anaphylactiques/choc anaphylactique, y compris des événements avec issue mortelle, ont été rapportés.
  • -LorsquIbandronate Sandoz est administré par voie intraveineuse, un soutien médical et des mesures de surveillance appropriés doivent être disponibles. En cas de réactions anaphylactiques ou dautres réactions graves allergiques ou dhypersensibilité, la perfusion doit être interrompue immédiatement et un traitement approprié instauré.
  • -Comme dautres bisphosphonates administrés par voie intraveineuse, Ibandronate Sandoz i.v. peut entraîner une baisse transitoire des taux sériques de calcium.
  • -Une hypocalcémie ainsi que dautres troubles éventuels du métabolisme osseux et minéral doivent être traités efficacement avant le début du traitement par Ibandronate Sandoz i.v. Un apport suffisant de calcium et de vitamine D est essentiel chez toutes les patientes.
  • -La voie dadministration intraveineuse doit être strictement respectée. Il faut veiller à éviter toute administration intra-artérielle ou paraveineuse dIbandronate Sandoz i.v., car cela pourrait entraîner des lésions tissulaires.
  • -Les patientes souffrant dautres maladies ou prenant des médicaments pouvant avoir de potentiels effets indésirables sur le rein doivent être examinées régulièrement pendant le traitement, conformément aux règles de bonne pratique médicale.
  • -Des ostéonécroses de la mâchoire, généralement associées à une extraction dentaire et/ou à une infection locale (ostéomyélite comprise), ont été signalées chez des cancéreux recevant un traitement par des bisphosphonates administrés essentiellement par voie intraveineuse. Nombre de ces patients recevaient simultanément une chimiothérapie et des corticoïdes. Une ostéonécrose de la mâchoire a également été rapportée chez des patients ostéoporotiques traités par des bisphosphonates oraux.
  • -Un examen dentaire accompagné éventuellement des mesures de prévention appropriées devrait être envisagé avant un traitement par des bisphosphonates chez des patientes présentant des facteurs de risque (cancer, chimiothérapie, radiothérapie, corticoïdes, mauvaise hygiène buccale, par exemple).
  • -Les patients développant une ostéonécrose de la mâchoire sous traitement par des bisphosphonates doivent être adressés à un spécialiste.
  • +La prudence est de rigueur en cas d'hypersensibilité connue à l'égard d'autres bisphosphonates.
  • +Chez des patients traités avec l'acide ibandronique par voie intraveineuse, des cas de réactions anaphylactiques/choc anaphylactique, y compris des événements avec issue mortelle, ont été rapportés.
  • +Lorsqu'Ibandronate Sandoz est administré par voie intraveineuse, un soutien médical et des mesures de surveillance appropriés doivent être disponibles. En cas de réactions anaphylactiques ou d'autres réactions graves allergiques ou d'hypersensibilité, la perfusion doit être interrompue immédiatement et un traitement approprié instauré.
  • +Comme d'autres bisphosphonates administrés par voie intraveineuse, Ibandronate Sandoz i.v. peut entraîner une baisse transitoire des taux sériques de calcium.
  • +Une hypocalcémie ainsi que d'autres troubles éventuels du métabolisme osseux et minéral doivent être traités efficacement avant le début du traitement par Ibandronate Sandoz i.v. Un apport suffisant de calcium et de vitamine D est essentiel chez toutes les patients.
  • +La voie d'administration intraveineuse doit être strictement respectée. Il faut veiller à éviter toute administration intra-artérielle ou paraveineuse d'Ibandronate Sandoz i.v., car cela pourrait entraîner des lésions tissulaires.
  • +Les patients souffrant d'autres maladies ou prenant des médicaments pouvant avoir de potentiels effets indésirables sur le rein doivent être examinées régulièrement pendant le traitement, conformément aux règles de bonne pratique médicale.
  • +Une ostéonécrose de la mâchoire (ONM) a été rapportée chez des patients traités par des bisphosphonates. La plupart des cas concernaient des patients atteints de cancer ayant subi des interventions dentaires, mais certains cas sont survenus chez des patients atteints d'ostéoporose postménopausique et porteurs d'autres diagnostics. Les ostéonécroses de la mâchoire sont généralement en rapport avec des extractions dentaires et/ou des infections locales (dont une ostéomyélite). Les facteurs de risque connus d'une ostéonécrose de la mâchoire comprennent des affections cancéreuses, des traitements associés (p.ex. chimiothérapie, y compris inhibiteurs de l'angiogenèse, radiothérapie, corticostéroïdes) et des comorbidités (p.ex. anémie, coagulopathie, infection, affections dentaires préexistantes). La plupart des cas rapportés concernaient des patients ayant reçu un traitement intraveineux par des bisphosphonates, mais certains cas sont survenus chez des patients traités par voie orale.
  • +Chez les patients développant une ostéonécrose de la mâchoire (ONM) pendant un traitement par bisphosphonates, une chirurgie dentaire peut entraîner une aggravation de leur état. Pour les patients nécessitant des interventions dentaires, on ne dispose d'aucune donnée indiquant si l'arrêt du traitement par les bisphosphonates réduit le risque d'ONM. Avant l'instauration d'un traitement par des bisphosphonates, un examen dentaire avec des mesures de précaution appropriées doit être envisagé chez les patients présentant des facteurs de risque simultanés (p.ex. cancer, chimiothérapie, radiothérapie, corticostéroïdes, mauvaise hygiène buccale). L'évaluation clinique par le médecin traitant doit servir de guide pour établir le plan thérapeutique de chaque patient, en tenant compte du rapport bénéfice-risque individuel.
  • +Des cas d'ostéonécrose au niveau d'autres sites buccofaciaux, y compris le conduit auditif externe, ont également été rapportés chez des patients traités par des bisphosphonates, dont l'acide ibandronique. Les facteurs de risque sont similaires à ceux de l'ONM. De petites blessures répétées (p.ex. usage habituel de bâtonnets ouatés) peuvent figurer parmi les facteurs de risque supplémentaires. La possibilité d'une ostéonécrose du conduit auditif externe doit être envisagée chez les patients traités par des bisphosphonates qui présentent des symptômes auriculaires, y compris des otites chroniques.
  • -Des fractures fémorales atypiques, sous-trochantériennes et diaphysaires, ont été rapportées au cours du traitement par des bisphosphonates, essentiellement chez des patients ayant reçu un traitement antiostéoporotique prolongé. Ces fractures transversales ou obliques courtes peuvent survenir à un endroit quelconque le long du fémur, entre la région située immédiatement au-dessous du petit trochanter et les condyles. Ces fractures surviennent après un traumatisme minime ou en labsence de traumatisme et certains patients ressentent déjà des semaines ou des mois avant la formation dune fracture fémorale complète, des douleurs au niveau de la cuisse ou de laine, souvent associées à des signes radiologiques dune fracture de stress. Les fractures sont souvent bilatérales; une fracture controlatérale doit donc être recherchée chez les patients qui sont traités par des bisphosphonates et souffrent dune fracture du fût fémoral. Une mauvaise consolidation de ces fractures a également été rapportée. Chez les patients chez qui lon suspecte une fracture atypique du fémur, il faut envisager larrêt du traitement par les bisphosphonates jusquà lévaluation du patient basée sur le rapport bénéfice/risques individuel.
  • +Des fractures fémorales atypiques, sous-trochantériennes et diaphysaires, ont été rapportées au cours du traitement par des bisphosphonates, essentiellement chez des patients ayant reçu un traitement antiostéoporotique prolongé. Ces fractures transversales ou obliques courtes peuvent survenir à un endroit quelconque le long du fémur, entre la région située immédiatement au-dessous du petit trochanter et les condyles. Ces fractures surviennent après un traumatisme minime ou en l'absence de traumatisme et certains patients ressentent déjà des semaines ou des mois avant la formation d'une fracture fémorale complète, des douleurs au niveau de la cuisse ou de l'aine, souvent associées à des signes radiologiques d'une fracture de stress. Les fractures sont souvent bilatérales; une fracture controlatérale doit donc être recherchée chez les patients qui sont traités par des bisphosphonates et souffrent d'une fracture du fût fémoral. Une mauvaise consolidation de ces fractures a également été rapportée. Chez les patients chez qui l'on suspecte une fracture atypique du fémur, il faut envisager l'arrêt du traitement par les bisphosphonates jusqu'à l'évaluation du patient basée sur le rapport bénéfice/risques individuel.
  • -Des études pharmacocinétiques sur les interactions, réalisées chez des femmes ménopausées, nont mis en évidence aucun potentiel dinteraction avec le tamoxifène ou avec un traitement hormonal substitutif (estrogènes). Aucune interaction na été observée chez les patientes avec plasmocytome lors de ladministration simultanée d’Ibandronate Sandoz i.v. et de melphalan/prednisolone.
  • -Libandronate ninhibe pas le système hépatique du cytochrome P450.
  • +Des études pharmacocinétiques sur les interactions, réalisées chez des femmes ménopausées, n'ont mis en évidence aucun potentiel d'interaction avec le tamoxifène ou avec un traitement hormonal substitutif (estrogènes). Aucune interaction n'a été observée chez les patients avec plasmocytome lors de l'administration simultanée d'acide ibandronique et de melphalan/prednisolone.
  • +L'ibandronate n'inhibe pas le système hépatique du cytochrome P450.
  • -Ibandronate Sandoz i.v. ne doit pas être utilisé durant la grossesse et lallaitement.
  • -On ne dispose pas de données suffisantes sur lutilisation de ce médicament chez la femme enceinte. Des études chez le rat ont mis en évidence certains effets toxiques sur la reproduction (voir «Données précliniques»). Le risque potentiel pour lêtre humain nest pas connu.
  • -On ignore si lacide ibandronique peut passer dans le lait maternel. Dans des études réalisées chez le rat en période dallaitement, de faibles concentrations dacide ibandronique ont été observées dans le lait maternel après administration intraveineuse.
  • +Ibandronate Sandoz i.v. ne doit pas être utilisé durant la grossesse et l'allaitement.
  • +On ne dispose pas de données suffisantes sur l'utilisation de ce médicament chez la femme enceinte. Des études chez le rat ont mis en évidence certains effets toxiques sur la reproduction (voir «Données précliniques»). Le risque potentiel pour l'être humain n'est pas connu.
  • +On ignore si l'acide ibandronique peut passer dans le lait maternel. Dans des études réalisées chez le rat en période d'allaitement, de faibles concentrations d'acide ibandronique ont été observées dans le lait maternel après administration intraveineuse.
  • -Aucune étude correspondante na été effectuée.
  • +Aucune étude correspondante n'a été effectuée.
  • -Les effets indésirables rapportés comme étant reliés à Ibandronate Sandoz i.v. dans les études sont consignés ci-dessous répartis par les classes dorganes.
  • -Les fréquences ont été définies comme suit: fréquemment (≥1/100), occasionnellement (≥1/1000 à <1/100), rarement (≥1/10000 à <1/1000) et très rarement (<1/10'000).
  • +Les effets indésirables rapportés comme étant reliés à Ibandronate Sandoz i.v. dans les études sont consignés ci-dessous répartis par les classes d'organes.
  • +Les fréquences ont été définies comme suit: fréquemment (≥1/100), occasionnellement (≥1/1'000 à <1/100), rarement (≥1/10'000 à <1/1'000) et très rarement (<1/10'000).
  • -Rarement: réactions dhypersensibilité.
  • -Très rarement: Des cas de réactions anaphylactiques/choc anaphylactique, y compris des événements avec issue mortelle, ont été rapportés chez des patients traités par lacide ibandronique (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Rarement: réactions d'hypersensibilité.
  • +Très rarement: Des cas de réactions anaphylactiques/choc anaphylactique, y compris des événements avec issue mortelle, ont été rapportés chez des patients traités par l'acide ibandronique (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Très rarement: uvéite, iridosclérite, sclérite. Des événements oculaires inflammatoires, tels quune uvéite, une épisclérite et une sclérite ont été rapportés au cours du traitement par des bisphosphonates, dont lacide ibandronique. Dans certains cas, ces événements nont pas guéri avant larrêt du bisphosphonate.
  • +Très rarement: uvéite, iridosclérite, sclérite. Des événements oculaires inflammatoires, tels qu'une uvéite, une épisclérite et une sclérite ont été rapportés au cours du traitement par des bisphosphonates, dont l'acide ibandronique. Dans certains cas, ces événements n'ont pas guéri avant l'arrêt du bisphosphonate.
  • -Rarement: oedème de Quincke, oedème facial, urticaire.
  • +Rarement: œdème de Quincke, œdème facial, urticaire.
  • -Fréquemment: arthralgies, myalgies, douleurs de lappareil locomoteur, douleurs dorsolombaires.
  • +Fréquemment: arthralgies, myalgies, douleurs de l'appareil locomoteur, douleurs dorsolombaires.
  • -Très rarement: Une ostéonécrose de la mâchoire a été signalée chez des patients recevant d’acide ibandronique. La plupart des rapports concernaient des patients cancéreux, mais il était aussi question de patients traités pour une ostéoporose. Les ostéonécroses de la mâchoire surviennent généralement en relation avec des extractions dentaires et/ou des infections locales (ostéomyélite comprise). Un diagnostic de cancer, une chimiothérapie, une radiothérapie, l’administration de corticoïdes ainsi qu’une mauvaise hygiène buccale ont également été évoqués en tant que facteurs de risque (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Très rarement: osteonécrose de la mâchoire et d'autres sites buccofaciaux, y compris du conduit auditif externe (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Occasionnellement: réactions au site dinjection, asthénie.
  • +Occasionnellement: réactions au site d'injection, asthénie.
  • -Aucune information spécifique nest disponible concernant le traitement dun surdosage par Ibandronate Sandoz i.v.
  • -Un surdosage par voie intraveineuse peut entraîner une hypocalcémie ou une hypomagnésémie. Une baisse cliniquement significative des taux sériques de calcium, de phosphate et de magnésium doit être corrigée par ladministration intraveineuse de gluconate de calcium, de phosphate de potassium ou de sodium, ou de sulfate de magnésium.
  • +Aucune information spécifique n'est disponible concernant le traitement d'un surdosage par Ibandronate Sandoz i.v.
  • +Un surdosage par voie intraveineuse peut entraîner une hypocalcémie ou une hypomagnésémie. Une baisse cliniquement significative des taux sériques de calcium, de phosphate et de magnésium doit être corrigée par l'administration intraveineuse de gluconate de calcium, de phosphate de potassium ou de sodium, ou de sulfate de magnésium.
  • -Mécanisme daction
  • -Lacide ibandronique fait partie du groupe des bisphosphonates azotés, qui agissent sur le tissu osseux. Son effet sélectif repose sur sa haute affinité pour la substance minérale de los. Il inhibe lactivité des ostéoclastes sans toutefois compromettre leur recrutement.
  • -Lacide ibandronique réduit la résorption osseuse sans avoir daction directe sur la formation des os.
  • +Mécanisme d'action
  • +L'acide ibandronique fait partie du groupe des bisphosphonates azotés, qui agissent sur le tissu osseux. Son effet sélectif repose sur sa haute affinité pour la substance minérale de l'os. Il inhibe l'activité des ostéoclastes sans toutefois compromettre leur recrutement.
  • +L'acide ibandronique réduit la résorption osseuse sans avoir d'action directe sur la formation des os.
  • -Chez lanimal, les marqueurs biochimiques du remodelage osseux (désoxypyridinoline ainsi que télopeptides C et N du collagène de type I, par exemple) dans le sérum et lurine diminuent, la densité minérale osseuse (DMO) augmente et la fréquence des fractures baisse.
  • -Linjection intraveineuse dacide ibandronique a entraîné une baisse du taux sérique de télopeptide C de la chaîne alpha du collagène de type 1 (CTX) en lespace de 3–7 jours à partir du début du traitement et a abaissé la concentration dostéocalcine en lespace de trois mois.
  • -Après larrêt du traitement, le taux de résorption osseuse est remonté à des valeurs pathologiques, telles quelles existaient avant le traitement et telles quelles sont typiquement observées lors dostéoporose postménopausique.
  • -Lanalyse histologique de matériel osseux prélevé par biopsie chez des femmes ménopausées traitées pendant deux à trois ans par des doses orales quotidiennes de 2,5 mg dacide ibandronique ou par des injections intraveineuses pouvant atteindre 1 mg tous les trois mois a mis en évidence une qualité normale des os et na fourni aucun élément évoquant un trouble de la minéralisation.
  • +Chez l'animal, les marqueurs biochimiques du remodelage osseux (désoxypyridinoline ainsi que télopeptides C et N du collagène de type I, par exemple) dans le sérum et l'urine diminuent, la densité minérale osseuse (DMO) augmente et la fréquence des fractures baisse.
  • +L'injection intraveineuse d'acide ibandronique a entraîné une baisse du taux sérique de télopeptide C de la chaîne alpha du collagène de type 1 (CTX) en l'espace de 3–7 jours à partir du début du traitement et a abaissé la concentration d'ostéocalcine en l'espace de trois mois.
  • +Après l'arrêt du traitement, le taux de résorption osseuse est remonté à des valeurs pathologiques, telles qu'elles existaient avant le traitement et telles qu'elles sont typiquement observées lors d'ostéoporose postménopausique.
  • +L'analyse histologique de matériel osseux prélevé par biopsie chez des femmes ménopausées traitées pendant deux à trois ans par des doses orales quotidiennes de 2,5 mg d'acide ibandronique ou par des injections intraveineuses pouvant atteindre 1 mg tous les trois mois a mis en évidence une qualité normale des os et n'a fourni aucun élément évoquant un trouble de la minéralisation.
  • -Injection intraveineuse de 3 mg dacide ibandronique i.v. tous les trois mois
  • -Une étude multicentrique randomisée de deux ans (BM16550), menée en double insu chez 1386 femmes âgées de 55 à 80 ans, souffrant dostéoporose postménopausique, a montré que linjection intraveineuse de 3 mg dacide ibandronique tous les trois mois ou de 2 mg tous les deux mois était, en termes de DMO, aussi efficace que la prise dune dose orale quotidienne de 2,5 mg dacide ibandronique. Le paramètre primaire defficacité était laugmentation de la DMO au niveau de la colonne lombaire avec comparaison entre linjection i.v. et le traitement oral. Après un an, laugmentation de la DMO lombaire dans le groupe sous injection intraveineuse de 3 mg tous les trois mois (n= 365) était de 4,8% (IC à 95%: 4,5%–5,2%) par rapport à la valeur initiale, contre 3,8% (IC à 95%: 3,4%–4,2%) dans le groupe sous 2,5 mg par jour par voie orale (n= 377).
  • -En termes de DMO lombaire, la différence entre les deux traitements était de 1,05% (IC à 95%: 0,53%–1,57%; p <0,001). Laugmentation moyenne de la DMO au niveau de la hanche était de 2,1% sous traitement i.v. et de 1,5% sous traitement oral. En ce qui concerne la DMO au niveau du col du fémur et du trochanter, les résultats étaient également meilleurs sous traitement i.v.
  • -Lanalyse après deux ans a démontré une poursuite au cours de la deuxième année, de laugmentation significative de la DMO au niveau de la colonne lombaire (6,3%), de la hanche totale (3,1%) et du col du fémur (2,8%) et du trochanter (4,9%) dans le groupe qui recevait une injection intraveineuse de 3 mg tous les trois mois (n= 334).
  • -En ce qui concerne le télopeptide C-terminal du collagène de type 1 (CTX), la modification médiane après 12 mois était de 58,6% par rapport à la valeur initiale.
  • -Administration orale quotidienne de 2,5 mg dacide ibandronique
  • -Une étude randomisée menée en double insu pendant 3 ans, contrôlée contre placebo, a mis en évidence, au niveau de la colonne lombaire, une diminution statistiquement significative du nombre de nouvelles fractures vertébrales cliniques et de nouvelles fractures attestées par radiographie et morphométrie. Ont été incluses dans létude des femmes âgées de 55 à 80 ans, ménopausées depuis au moins 5 ans, présentant une densité minérale osseuse (DMO) lombaire inférieure de 2 à 5 ET à la valeur moyenne préménopausique (score T) dans au moins une vertèbre (L1–L4) et ayant déjà eu une à quatre fractures vertébrales. Toutes les patientes ont reçu 500 mg de calcium et 400 UI de vitamine D par jour. Lefficacité du traitement a été analysée chez 2929 patientes.
  • -2,5 mg dacide ibandronique a entraîné une baisse statistiquement significative, de 62%, du risque relatif de nouvelles fractures vertébrales attestées par radiographie. Les fractures vertébrales cliniques, elles aussi, ont significativement diminué de 49%.
  • +Injection intraveineuse de 3 mg d'acide ibandronique tous les trois mois
  • +Une étude multicentrique randomisée de deux ans (BM16550), menée en double insu chez 1386 femmes âgées de 55 à 80 ans, souffrant d'ostéoporose postménopausique, a montré que l'injection intraveineuse de 3 mg d'acide ibandronique tous les trois mois ou de 2 mg tous les deux mois était, en termes de DMO, aussi efficace que la prise d'une dose orale quotidienne de 2,5 mg d'acide ibandronique. Le paramètre primaire d'efficacité était l'augmentation de la DMO au niveau de la colonne lombaire avec comparaison entre l'injection i.v. et le traitement oral.
  • +Après un an, l'augmentation de la DMO lombaire dans le groupe sous injection intraveineuse de 3 mg tous les trois mois (n= 365) était de 4,8% (IC à 95%: 4,5%–5,2%) par rapport à la valeur initiale, contre 3,8% (IC à 95%: 3,4%–4,2%) dans le groupe sous 2,5 mg par jour par voie orale (n= 377).
  • +En termes de DMO lombaire, la différence entre les deux traitements était de 1,05% (IC à 95%: 0,53%–1,57%; p <0,001). L'augmentation moyenne de la DMO au niveau de la hanche était de 2,1% sous traitement i.v. et de 1,5% sous traitement oral. En ce qui concerne la DMO au niveau du col du fémur et du trochanter, les résultats étaient également meilleurs sous traitement i.v.
  • +L'analyse après deux ans a démontré une poursuite au cours de la deuxième année, de l'augmentation significative de la DMO au niveau de la colonne lombaire (6,3%), de la hanche totale (3,1%) et du col du fémur (2,8%) et du trochanter (4,9%) dans le groupe qui recevait une injection intraveineuse de 3 mg tous les trois mois (n= 334).
  • +En ce qui concerne le télopeptide C-terminal du collagène de type 1 (CTX), la modification médiane après 12 mois était de -58,6% par rapport à la valeur initiale.
  • +Administration orale quotidienne de 2,5 mg d'acide ibandronique
  • +Une étude randomisée menée en double insu pendant 3 ans, contrôlée contre placebo, a mis en évidence, au niveau de la colonne lombaire, une diminution statistiquement significative du nombre de nouvelles fractures vertébrales cliniques et de nouvelles fractures attestées par radiographie et morphométrie. Ont été incluses dans l'étude des femmes âgées de 55 à 80 ans, ménopausées depuis au moins 5 ans, présentant une densité minérale osseuse (DMO) lombaire inférieure de 2 à 5 ET à la valeur moyenne préménopausique (score T) dans au moins une vertèbre (L1–L4) et ayant déjà eu une à quatre fractures vertébrales. Toutes les patients ont reçu 500 mg de calcium et 400 UI de vitamine D par jour. L'efficacité du traitement a été analysée chez 2929 patients.
  • +2,5 mg d'acide ibandronique a entraîné une baisse statistiquement significative, de 62%, du risque relatif de nouvelles fractures vertébrales attestées par radiographie. Les fractures vertébrales cliniques, elles aussi, ont significativement diminué de 49%.
  • -Lors dadministration quotidienne, on a observé au bout de trois ans une augmentation de 5,3% de la DMO lombaire par rapport au groupe placebo (plus calcium et vitamine D) et de 6,5% par rapport à la valeur initiale.
  • -Après un arrêt du traitement, la résorption osseuse retrouve les valeurs qui étaient les siennes avant linstauration du traitement.
  • -Lanalyse histologique des biopsies osseuses effectuées chez des femmes ménopausées après 2 et 3 ans de traitement a mis en évidence une qualité normale des os et na fourni aucun élément évoquant un trouble de la minéralisation.
  • +Lors d'administration quotidienne, on a observé au bout de trois ans une augmentation de 5,3% de la DMO lombaire par rapport au groupe placebo (plus calcium et vitamine D) et de 6,5% par rapport à la valeur initiale.
  • +Après un arrêt du traitement, la résorption osseuse retrouve les valeurs qui étaient les siennes avant l'instauration du traitement.
  • +L'analyse histologique des biopsies osseuses effectuées chez des femmes ménopausées après 2 et 3 ans de traitement a mis en évidence une qualité normale des os et n'a fourni aucun élément évoquant un trouble de la minéralisation.
  • -Après lexposition systémique initiale, lacide ibandronique se lie rapidement aux os ou est éliminé dans lurine. Le volume de distribution terminal apparent est dau moins 90 l et on estime que 40–50% de la dose circulante atteignent le tissu osseux. Dans une étude, la liaison aux protéines dans du sérum humain in vitro était comprise entre 99,5 et 90,0% pour des concentrations dibandronate allant de 2 à 10 ng/ml; dans une autre étude, elle était denviron 85,7% pour des concentrations allant de 0,5 à 10 ng/ml.
  • +Après l'exposition systémique initiale, l'acide ibandronique se lie rapidement aux os ou est éliminé dans l'urine. Le volume de distribution terminal apparent est d'au moins 90 l et on estime que 40–50% de la dose circulante atteignent le tissu osseux. Dans une étude, la liaison aux protéines dans du sérum humain in vitro était comprise entre 99,5 et 90,0% pour des concentrations d'ibandronate allant de 2 à 10 ng/ml; dans une autre étude, elle était d'environ 85,7% pour des concentrations allant de 0,5 à 10 ng/ml.
  • -On ne dispose daucune donnée laissant supposer que lacide ibandronique est métabolisé chez lanimal ou chez lhomme.
  • +On ne dispose d'aucune donnée laissant supposer que l'acide ibandronique est métabolisé chez l'animal ou chez l'homme.
  • -40–50% dacide ibandronique sont soustraits à la circulation par le biais de labsorption osseuse, le reste étant éliminé sous forme inchangée par voie rénale.
  • -La demi-vie délimination terminale est de lordre de 10 à 72 heures.
  • -La clairance totale de lacide ibandronique est faible (84–160 ml/min). La clairance rénale est de 50–60%.
  • +40–50% d'acide ibandronique sont soustraits à la circulation par le biais de l'absorption osseuse, le reste étant éliminé sous forme inchangée par voie rénale.
  • +La demi-vie d'élimination terminale est de l'ordre de 10 à 72 heures.
  • +La clairance totale de l'acide ibandronique est faible (84–160 ml/min). La clairance rénale est de 50–60%.
  • -Patientes avec insuffisance rénale
  • -Il existe une relation linéaire entre la clairance rénale de lacide ibandronique et la clairance de la créatinine.
  • -Aucun ajustement de la dose nest nécessaire chez les patientes présentant une insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine ≥30 ml/min).
  • -Chez les patientes présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) et ayant reçu pendant 23 jours 10 mg dacide ibandronique par jour par voie orale, lexposition au produit (AUC) a été deux à trois fois plus élevée que chez les patientes avec fonction rénale normale (clairance de la créatinine >90 ml/min). Après administration intraveineuse de 0,5 mg dacide ibandronique, lexposition au produit chez les patientes avec insuffisance rénale sévère a été environ trois fois plus élevée que chez les patientes dont la fonction rénale était normale. Chez les patientes avec insuffisance rénale sévère, la clairance totale a diminué de 66% et la clairance rénale de 77%. Libandronate a été bien toléré par des sujets sains et des patientes présentant une insuffisance rénale à divers degrés.
  • -Patientes avec insuffisance hépatique
  • -On ne dispose daucune donnée pharmacocinétique chez les patientes présentant une insuffisance hépatique.
  • -Le foie ne joue pas de rôle déterminant dans la clairance de lacide ibandronique, puisque celui-ci est non pas métabolisé, mais soustrait à la circulation générale par élimination rénale et par absorption dans le tissu osseux. Cest pourquoi aucun ajustement de la dose nest nécessaire chez les patientes avec insuffisance hépatique.
  • -Patientes âgées
  • -La diminution de la fonction rénale avec lâge doit être prise en considération.
  • +Patients avec insuffisance rénale
  • +Il existe une relation linéaire entre la clairance rénale de l'acide ibandronique et la clairance de la créatinine.
  • +Aucun ajustement de la dose n'est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale légère à modérée (clairance de la créatinine ≥30 ml/min).
  • +Chez les patients présentant une insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine <30 ml/min) et ayant reçu pendant 23 jours 10 mg d'acide ibandronique par jour par voie orale, l'exposition au produit (AUC) a été deux à trois fois plus élevée que chez les patients avec fonction rénale normale (clairance de la créatinine >90 ml/min). Après administration intraveineuse de 0,5 mg d'acide ibandronique, l'exposition au produit chez les patients avec insuffisance rénale sévère a été environ trois fois plus élevée que chez les patients dont la fonction rénale était normale. Chez les patients avec insuffisance rénale sévère, la clairance totale a diminué de 66% et la clairance rénale de 77%. L'ibandronate a été bien toléré par des sujets sains et des patients présentant une insuffisance rénale à divers degrés.
  • +Patients avec insuffisance hépatique
  • +On ne dispose d'aucune donnée pharmacocinétique chez les patients présentant une insuffisance hépatique.
  • +Le foie ne joue pas de rôle déterminant dans la clairance de l'acide ibandronique, puisque celui-ci est non pas métabolisé, mais soustrait à la circulation générale par élimination rénale et par absorption dans le tissu osseux. C'est pourquoi aucun ajustement de la dose n'est nécessaire chez les patients avec insuffisance hépatique.
  • +Patients âgés
  • +La diminution de la fonction rénale avec l'âge doit être prise en considération.
  • -Aucune donnée pharmacocinétique nest disponible chez des sujets de moins de 18 ans.
  • +Aucune donnée pharmacocinétique n'est disponible chez des sujets de moins de 18 ans.
  • -Dans des études sur ladministration chronique du médicament, le rein a été le siège principal des effets toxiques, indépendamment du schéma posologique et de la voie dadministration (i.v. ou orale); la toxicité secondaire sest exercée au niveau du foie et du tractus intestinal.
  • -Il na pas été effectué détudes sur ladministration orale intermittente de doses élevées.
  • -La tolérance locale de la solution injectée par voie i.v. est acceptable. En cas dinjection incorrecte (s.c., i.a., p.v.), de fortes réactions locales peuvent survenir.
  • +Dans des études sur l'administration chronique du médicament, le rein a été le siège principal des effets toxiques, indépendamment du schéma posologique et de la voie d'administration (i.v. ou orale); la toxicité secondaire s'est exercée au niveau du foie et du tractus intestinal.
  • +Il n'a pas été effectué d'études sur l'administration orale intermittente de doses élevées.
  • +La tolérance locale de la solution injectée par voie i.v. est acceptable. En cas d'injection incorrecte (s.c., i.a., p.v.), de fortes réactions locales peuvent survenir.
  • -On na observé aucun signe évocateur dun potentiel cancérogène. Des tests de génotoxicité nont fourni aucun indice sur une éventuelle activité génétique de lacide ibandronique.
  • +On n'a observé aucun signe évocateur d'un potentiel cancérogène. Des tests de génotoxicité n'ont fourni aucun indice sur une éventuelle activité génétique de l'acide ibandronique.
  • -Ladministration orale dacide ibandronique chez le rat et le lapin na permis de mettre en évidence aucun effet toxique ou tératogène sur le foetus. Chez le rat, ladministration dune dose au moins 35 fois supérieure à lexposition prévisible chez lhomme na montré aucun effet indésirable sur le développement de la descendance F1. Les effets indésirables de lacide ibandronique, observés dans le cadre détudes portant sur la toxicité sur la reproduction chez le rat, étaient semblables à ceux observés pour la classe des bisphosphonates en général. Font partie de ces effets indésirables: diminution du nombre de points de nidation, influence négative sur laccouchement naturel (dystocie) et augmentation des altérations viscérales (syndrome pyélo-urétéral).
  • +L'administration orale d'acide ibandronique chez le rat et le lapin n'a permis de mettre en évidence aucun effet toxique ou tératogène sur le fœtus. Chez le rat, l'administration d'une dose au moins 35 fois supérieure à l'exposition prévisible chez l'homme n'a montré aucun effet indésirable sur le développement de la descendance F1. Les effets indésirables de l'acide ibandronique, observés dans le cadre d'études portant sur la toxicité sur la reproduction chez le rat, étaient semblables à ceux observés pour la classe des bisphosphonates en général. Font partie de ces effets indésirables: diminution du nombre de points de nidation, influence négative sur l'accouchement naturel (dystocie) et augmentation des altérations viscérales (syndrome pyélo-urétéral).
  • -La solution injectable dIbandronate Sandoz i.v. ne doit pas être mélangée à des solutions contenant du calcium ni à dautres médicaments pour administration intraveineuse.
  • +La solution injectable d'Ibandronate Sandoz i.v. ne doit pas être mélangée à des solutions contenant du calcium ni à d'autres médicaments pour administration intraveineuse.
  • -Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «Exp.» sur le récipient.
  • -Les solutions dIbandronate Sandoz i.v. à 3 mg/3 ml diluées dans du NaCl à 0,9% ou du glucose à 5% doivent être utilisées au plus tard dans les 24 heures suivant leur préparation et être conservées au réfrigérateur à 2–8 °C.
  • +Ce médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur le récipient.
  • +Les solutions d'Ibandronate Sandoz i.v. à 3 mg/3 ml diluées dans du NaCl à 0,9% ou du glucose à 5% doivent être utilisées au plus tard dans les 24 heures suivant leur préparation et être conservées au réfrigérateur à 2–8 °C.
  • -Conserver dans lemballage original, à température ambiante (15–25 °C) et hors de la portée des enfants.
  • +Conserver dans l'emballage original, à température ambiante (15–25 °C) et hors de la portée des enfants.
  • -Au cas où le médicament serait administré via une tubulure de perfusion intraveineuse déjà en place, nutiliser comme diluant quun soluté isotonique de chlorure de sodium ou une solution de dextrose à 5%. Cela vaut également pour les solutions de rinçage daiguilles butterfly et dautres instruments.
  • +Au cas où le médicament serait administré via une tubulure de perfusion intraveineuse déjà en place, n'utiliser comme diluant qu'un soluté isotonique de chlorure de sodium ou une solution de dextrose à 5%. Cela vaut également pour les solutions de rinçage d'aiguilles butterfly et d'autres instruments.
  • -Mars 2015.
  • +Mai 2016.
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