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Accueil - Information professionnelle sur Solaraze 3% - Changements - 18.07.2019
42 Changements de l'information professionelle Solaraze 3%
  • -Traitement des kératoses actiniques.
  • +Traitement des kératoses actiniques (KA).
  • -Généralement, 0,5 gramme de gel (soit environ la taille d'un petit pois) suffit pour une région de 5 cm × 5 cm. La durée d'utilisation habituelle est de 60 à 90 jours. La plus grande efficacité a été observée pour des durées de traitement à la limite supérieure de ce délai. La guérison complète de la(des) lésion(s) ou l'efficacité thérapeutique optimale peuvent ne survenir que dans un délai de 30 jours après la fin du traitement. Une quantité maximale de 5 g par jour ne doit pas être dépassée. L'efficacité à long terme n'a pas été établie.
  • -Personnes âgées:
  • +Généralement, 0,5 gramme de gel (soit environ la taille d'un petit pois) suffit pour une région de 5 cm × 5 cm. La quantité quotidienne maximale est de 5 g de Solaraze 3% Gel. Cette quantité permet de traiter simultanément une surface cutanée allant jusqu'à 125 cm2.
  • +La durée d'utilisation habituelle est de 60 à 90 jours. La plus grande efficacité a été observée pour des durées de traitement à la limite supérieure de ce délai. La guérison complète de la(des) lésion(s) ou l'efficacité thérapeutique optimale peuvent ne survenir que dans un délai de 30 jours après la fin du traitement.
  • +Il n'existe pas de données issues d'études cliniques concernant une durée de traitement supérieure à 90 jours.
  • +Instructions posologiques particulières
  • +Patients âgés:
  • -Enfants:
  • -Il n'existe pas de recommandations posologiques ni d'indications pour l'utilisation de Solaraze 3% Gel chez l'enfant.
  • +Enfants et adolescents:
  • +On ne dispose d'aucune donnée concernant l'efficacité et la sécurité d'emploi de Solaraze chez l'enfant et l'adolescent. Il n'existe aucune indication pour ce groupe d'âge.
  • +Insuffisance hépatique et rénale:
  • +Solaraze n'a pas été spécifiquement étudié chez les patients présentant des troubles de la fonction hépatique ou rénale. Aucune recommandation posologique particulière ne peut donc être formulée. Le cas échéant, se référer aux instructions concernant les préparations à base de diclofénac à usage systémique.
  • -L'utilisation de Solaraze 3% Gel est contre-indiquée pendant le troisième trimestre de la grossesse (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • +L'utilisation de Solaraze 3% Gel est contre-indiquée pendant le troisième trimestre de la grossesse (voir «Grossesse/allaitement»).
  • -En raison de la faible absorption systémique de Solaraze, la probabilité d'effets indésirables systémiques après utilisation externe de Solaraze est faible par comparaison avec la fréquence des effets indésirables observée après la prise de diclofénac par voie orale. Cependant, l'éventualité d'effets indésirables systémiques due à l'utilisation topique du diclofénac ne peut être exclue lorsque le produit est appliqué sur des zones cutanées étendues et durant une période prolongée (voir les informations professionnelles des formulations systémiques de diclofénac).
  • -Chez les patients atteints d'ulcères gastro-intestinaux actifs, d'hémorragies gastro-intestinales, d'insuffisance cardiaque, hépatique ou rénale et/ou d'antécédents correspondants, ce médicament ne doit être utilisé qu'avec prudence, car des effets indésirables systémiques (tels que néphropathies) ont été observés dans des cas isolés en rapport avec des anti-inflammatoires à usage externe.
  • -Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont connus pour avoir un effet antiagrégant plaquettaire. La prudence est donc de rigueur chez les patients présentant des hémorragies intracrâniennes ou une tendance aux saignements, même si la probabilité d'effets indésirables systémiques est faible.
  • -Eviter toute exposition directe au soleil et aux UV (solarium) pendant le traitement. Les surfaces cutanées traitées par Solaraze doivent être protégées de manière conséquente du rayonnement solaire. Le traitement doit être arrêté en cas de survenue de réactions d'hypersensibilité cutanée. Comme avec d'autres AINS, des réactions anaphylactoïdes peuvent survenir dans de rares cas, même sans exposition préalable (surtout chez les patients présentant une intolérance à l'aspirine ou la maladie de Widal).
  • -Solaraze 3% Gel ne doit pas être appliqué sur des blessures cutanées, des sites cutanés infectés ou une dermatite exfoliative. Le gel ne doit pas être mis au contact des yeux ou des muqueuses et ne doit pas être avalé.
  • -Le traitement doit être arrêté en cas de développement d'une éruption cutanée généralisée pendant l'utilisation du produit.
  • +Solaraze 3% Gel ne doit pas être appliqué sur des blessures cutanées, des sites cutanés infectés ou une dermatite exfoliative.
  • +Le gel ne doit pas être mis au contact des yeux ou des muqueuses et ne doit pas être avalé.
  • +Réactions d'hypersensibilité
  • +Le traitement doit être arrêté en cas de survenue de réactions d'hypersensibilité cutanée. Comme avec d'autres AINS, des réactions anaphylactoïdes peuvent survenir dans de rares cas, même sans exposition préalable (surtout chez les patients présentant une intolérance à l'aspirine ou la maladie de Widal).
  • +Le traitement doit être arrêté en cas de développement d'une éruption cutanée généralisée pendant l'utilisation du produit.
  • +Affections concomitantes nécessitant une prudence particulière
  • +En raison de l'absorption systémique faible du diclofénac, la probabilité d'effets indésirables systémiques en cas d'utilisation topique de Solaraze est faible par rapport à une administration orale de diclofénac. Cependant, l'éventualité d'effets indésirables systémiques également en cas d'utilisation topique de diclofénac ne peut être exclue lorsque le produit est appliqué sur des zones cutanées étendues et/ou durant une période prolongée (voir à ce propos les informations professionnelles des formulations systémiques à base de diclofénac). Solaraze doit être utilisé avec prudence en particulier chez les patients atteints d'hémorragies et d'ulcères gastro-intestinaux actifs, ou d'insuffisance cardiaque, hépatique ou rénale (également à l'anamnèse), puisque des effets indésirables systémiques (tels que des affections rénales) ont été observés dans des cas isolés en relation à une utilisation topique d'anti-inflammatoires.
  • +La prudence est également recommandée chez les patients présentant une tendance aux hémorragies ou présentant des antécédents d'hémorragies intracrâniennes, en raison de l'effet inhibiteur sur les thrombocytes des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), même si la probabilité d'effets indésirables systémiques est faible.
  • +Exposition aux UV
  • +Éviter toute exposition directe au soleil et aux rayons UV (solarium) pendant le traitement. Les surfaces cutanées traitées par Solaraze doivent être protégées de manière conséquente du rayonnement solaire.
  • -Les interactions avec les produits de protection solaire n'ont pas été étudiées, il faut donc éviter leur utilisation simultanée.
  • -En cas d'application sur de grandes surfaces, une exposition systémique importante est possible dans des cas isolés. Le cas échéant, la possibilité d'interactions correspondantes doit être envisagée.
  • +Aucune étude d'interaction n'a été menée avec Solaraze. En cas d'application sur de grandes surfaces pendant une période prolongée, une exposition systémique importante est possible dans des cas isolés. Le cas échéant, la possibilité d'interactions correspondantes doit être envisagée.
  • +On ne dispose en outre d'aucune donnée concernant de possibles interactions avec les écrans solaires. Une utilisation concomitante n'est donc pas recommandée.
  • +
  • -Une inhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir un effet défavorable sur la grossesse et/ou le développement fœto-embryonnaire. Les données d'études épidémiologiques indiquent un risque accru de fausses couches, ainsi que de malformations cardiaques et de laparoschisis après l'utilisation d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines en début de grossesse. Le risque absolu de malformations cardiovasculaires s'est accru de moins de 1% à environ 1,5%. On présume que le risque augmente avec la dose et la durée du traitement.
  • +Une inhibition de la synthèse des prostaglandines peut avoir un effet défavorable sur la grossesse et/ou le développement fœto-embryonnaire. Les données d'études épidémiologiques indiquent un risque accru de fausses couches, ainsi que de malformations cardiaques et de laparoschisis après l'utilisation d'un inhibiteur de la synthèse des prostaglandines en début de grossesse. Le risque absolu de malformations cardiovasculaires s'est accru <1% à environ 1,5%. On présume que le risque augmente avec la dose et la durée du traitement.
  • -Pendant les deux premiers trimestres de la grossesse, Solaraze 3% Gel ne doit être administré qu'en cas de nécessité absolue. Lorsque Solaraze 3% Gel est utilisé par une femme désirant une grossesse ou pendant les deux premiers trimestres de la grossesse, la dose doit être la plus faible possible (<30% de la surface corporelle) et la durée du traitement la plus courte possible (pas supérieure à 3 semaines).
  • -·allongement potentiel du temps de saignement, un effet antiagrégant plaquettaire pouvant intervenir même après administration de doses très faibles;
  • +·allongement potentiel du temps de saignement consécutif à l'inhibition de l'agrégation plaquettaire même après administration de doses très faibles;
  • -Pour ces raisons, Solaraze 3% Gel est contre-indiqué pendant le troisième trimestre de la grossesse (voir «Contre-indications»).
  • +Il en résulte que:
  • +·pendant les deux premiers trimestres de la grossesse, l'utilisation de Solaraze 3% Gel doit avoir lieu uniquement en cas de nécessité absolue. Lorsque Solaraze 3% Gel est utilisé par une femme désirant une grossesse ou pendant les deux premiers trimestres de la grossesse, la dose doit être la plus faible possible (<30% de la surface corporelle) et la durée du traitement la plus courte possible (pas supérieure à 3 semaines).
  • +·pendant le troisième trimestre de la grossesse Solaraze 3% Gel est contre-indiqué (voir «Contre-indications»).
  • +Allaitement:
  • +Comme d'autres AINS, le diclofénac est excrété en faibles quantités dans le lait maternel. À la posologie thérapeutique recommandée pour Solaraze, il ne faut toutefois s'attendre à aucune répercussion sur l'enfant allaité. En raison du manque d'études contrôlées menées chez les femmes qui allaitent, Solaraze 3% ne doit être utilisé que sur prescription médicale pendant l'allaitement. Pendant l'allaitement, Solaraze ne doit pas être appliqué dans la région des seins des femmes qui allaitent, sur des zones cutanées étendues du corps ou pendant une période prolongée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +
  • -Allaitement:
  • -Comme d'autres AINS, le diclofénac est excrété en faibles quantités dans le lait maternel. À la posologie thérapeutique recommandée pour Solaraze, il ne faut toutefois s'attendre à aucune répercussion sur l'enfant allaité. En raison du manque d'études contrôlées menées chez les femmes qui allaitent, Solaraze 3% ne doit être utilisé que sur prescription médicale pendant l'allaitement. Dans ce cas, Solaraze ne doit pas être appliqué dans la région des seins des femmes qui allaitent, sur des zones cutanées étendues du corps ou pendant une période prolongée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Fréquences: très fréquents (≥1/10), fréquents (<1/10, ≥1/100), occasionnels (<1/100, ≥1/1000), rares (<1/1000, 1/10'000) et très rares (<1/10'000).
  • +Fréquences: très fréquents (≥1/10), fréquents (1/100, <1/10), occasionnels (1/1000, <1/100), rares (1/10'000, <1/1000) et très rares (<1/10'000).
  • -Infections et infestations
  • -Très rares: éruption cutanée pustuleuse
  • -Fréquents: dermatite (y compris dermatite de contact), eczéma, sécheresse cutanée, érythème, œdème, prurit, rash, éruption cutanée squameuse, hypertrophie cutanée, ulcère cutané, éruption vésiculobulleuse.
  • +Fréquents: inflammation, irritation, douleurs et fourmillements ou vésication au site d'application; dermatite (y compris dermatite de contact), eczéma, sécheresse cutanée, érythème, œdème, prurit, rash, éruption cutanée squameuse, hypertrophie cutanée, ulcère cutané, éruption vésiculobulleuse.
  • -Très rares: réactions de photosensibilité.
  • -Des tests épicutanés effectués dans un groupe de patients préalablement traités indiquent une probabilité de 2,18% de survenue d'une sensibilisation au diclofénac à l'origine d'une dermatite de contact allergique (type IV). La signification clinique n'est pas encore connue. Une réaction croisée avec d'autres AINS est peu probable.
  • +Très rares: réactions de photosensibilité, éruption cutanée pustuleuse.
  • -Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Fréquents: réactions au site d'application, y compris inflammation, irritation cutanée, douleurs et fourmillements ou formation de vésicules dans la région traitée.
  • -Une coloration passagère des cheveux au niveau du site d'administration a été rapportée. Cette manifestation disparaît le plus souvent à l'arrêt du traitement.
  • -Investigations
  • -
  • +Des tests épicutanés effectués dans un groupe de patients préalablement traités indiquent une probabilité de 2,18% de survenue d'une sensibilisation au diclofénac à l'origine d'une dermatite de contact allergique (type IV). La signification clinique n'est pas encore connue. Une réaction croisée avec d'autres AINS est peu probable.
  • +Une coloration passagère des cheveux au niveau du site d'administration a été rapportée. Cette manifestation est le plus souvent réversible après l'arrêt du traitement.
  • -En raison de la faible résorption de Solaraze 3% Gel, il est très improbable que l'utilisation externe provoque un surdosage. La peau doit cependant être rincée à l'eau. Aucun cas clinique de surdosage n'a été rapporté suite à la prise orale de Solaraze 3% Gel.
  • +En raison de la faible résorption du diclofénac après application de Solaraze 3% Gel, il est très improbable que l'utilisation externe provoque un surdosage. La peau doit cependant être rincée à l'eau. Aucun cas clinique de surdosage n'a été rapporté suite à la prise orale de Solaraze 3% Gel.
  • -En cas de complications telles que défaillance rénale, convulsions, irritations gastro-intestinales ou dépression respiratoire, un traitement d'appoint et un traitement symptomatique sont requis. Un lavage gastrique et l'utilisation de charbon activé doivent être envisagés, notamment si la prise a eu lieu peu de temps auparavant. Etant donné le taux élevé de liaison aux protéines des AINS, des traitements spéciaux (tels que diurèse forcée et dialyse) ne sont vraisemblablement pas efficaces pour éliminer ceux-ci.
  • +En cas de complications telles que défaillance rénale, convulsions, irritations gastro-intestinales ou dépression respiratoire, des mesures thérapeutiques symptomatiques et de soutien doivent être mises en place. Un lavage gastrique et l'utilisation de charbon activé doivent être envisagés, notamment si la prise a eu lieu peu de temps auparavant. Étant donné le taux élevé de liaison aux protéines des AINS, des traitements spéciaux (tels que diurèse forcée et dialyse) ne sont vraisemblablement pas efficaces pour augmenter l'élimination de ceux-ci.
  • -Mécanisme d'action et efficacité clinique
  • -Le diclofénac est un anti-inflammatoire non stéroïdien. Le mécanisme d'action du diclofénac est inconnu dans la kératose actinique (KA) mais peut être dû à l'inhibition de la voie métabolique de la cyclo-oxygénase qui entraîne une réduction de la synthèse de la prostaglandine E2 (PGE2).
  • +Mécanisme d'action
  • +Le diclofénac est un anti-inflammatoire non stéroïdien. Le mécanisme d'action du diclofénac est inconnu dans la kératose actinique (KA) mais peut être dû à l'inhibition de la voie métabolique de la cyclo-oxygénase qui entraîne une réduction de la synthèse de la prostaglandine E2 (PGE2). De plus, des analyses immunohistochimiques de biopsies cutanées ont démontré que l'efficacité clinique du diclofénac en cas de KA repose principalement sur des effets anti-inflammatoires, anti-angiogénétiques et probablement antiprolifératifs ainsi que sur des mécanismes induisant l'apoptose.
  • -L'effet à long terme de Solaraze 3% Gel n'a pas été établi.
  • +Efficacité clinique
  • +D'autres données issues de 3 études cliniques randomisées en double aveugle, au cours desquelles Solaraze 3% Gel a, à chaque fois, été utilisé comme comparateur, sont disponibles et démontrent l'efficacité de la préparation utilisée pour le traitement de lésions de KA (y compris les lésions hyperkératosiques) sur la base de l'étude de divers critères d'évaluation. Plus particulièrement, les taux de clairance histologiques dans le bras sous Solaraze se sont situés entre 47,6% et 54,1%, alors que ces taux étaient seulement de 33,9% à 42,7% sous placebo. Une persistance de la clairance complète des lésions de KA a été démontrée 30 et 60 jours après la fin du traitement chez respectivement 37,9% et 23,4% des patients.
  • +Au cours d'une étude à trois bras menée chez 470 patients (n=470), l'efficacité de l'application topique de 5-fluorouracile (5-FU) a été comparée à Solaraze 3% Gel ainsi qu'au véhicule du 5-FU. Les deux bras actifs se sont révélés supérieurs en termes de taux de guérison histologique et complète par rapport au bras avec le véhicule. Pour Solaraze, une non-infériorité par rapport au 5-FU a pu être démontrée. Le taux de guérison histologique a toutefois été numériquement inférieur sous Solaraze, avec 54,1%, contre 70,1% sous 5-FU.
  • +Il existe en outre des données de suivi issues de cette étude, portant sur une période d'observation d'une durée totale d'un an. Une guérison complète a pu être mise en évidence après 6 et 12 mois de traitement chez respectivement 28,8% et 36,8% des patients traités par Solaraze 3% Gel, contre 18,9% et 25,0% des patients sous le véhicule du 5-FU aux mêmes moments.
  • +Une supériorité de Solaraze 3% Gel par rapport au placebo (véhicule) a pu être démontrée également chez des patients ayant bénéficié d'une transplantation d'organe et présentant un greffon stable (guérison complète des lésions de KA chez 41% contre 0%).
  • -La résorption percutanée moyenne du diclofénac est comprise entre moins de 1% et 12% avec une grande variabilité interindividuelle. Le taux de résorption dépend de la dose appliquée localement et du site d'application. En cas d'application topique, la résorption du diclofénac par un épiderme normal est comparable à celle par un épiderme pathologique, même s'il existe de grandes différences interindividuelles. La résorption systémique du diclofénac s'élève environ à 12% de la dose administrée en cas de peau lésée et à 9% en cas de peau intacte.
  • +La résorption percutanée du diclofénac se situe entre <1% et 12% et elle est comparable pour un épiderme sain et pour un épiderme malade, malgré de grandes différences individuelles. Le taux de résorption dépend de la dose appliquée localement et du site d'application.
  • -Elimination
  • -Le diclofénac et ses métabolites sont essentiellement éliminés par les urines. Après administration orale, la clearance plasmatique systémique du diclofénac est de 263 ± 56 ml/min (moyenne ± écart type). La demi-vie d'élimination plasmatique terminale est courte (1-2 heures). Les métabolites ont également des demi-vies terminales courtes de 1-3 heures.
  • +Élimination
  • +Le diclofénac et ses métabolites sont essentiellement éliminés par les urines. Après administration orale, la clairance plasmatique systémique du diclofénac est de 263 ± 56 ml/min (moyenne ± écart type). Les demi-vies plasmatiques terminales du diclofénac et de ses métabolites sont de 1 à 2 heures et de 1 à 3 heures.
  • -Les études précliniques réalisées chez le miniporc Göttingen ont montré que le diclofénac est sûr jusqu'à une posologie maximale de 45 mg/kg/jour (≈373 mg de diclofénac/jour). A cet effet, des miniporcs ont tout d'abord été traités par une dose dermique quotidienne de 30 mg/kg/jour (≈249 mg de diclofénac/jour) pendant 5 semaines, puis par une dose de 45 mg/kg/jour pendant 4 semaines. Aucun symptôme clinique significatif n'a été observé après les 9 semaines de traitement. Les miniporcs ont présenté une légère rougeur cutanée au niveau du site d'application cutané, ainsi qu'une faible diminution du nombre de globules rouges, de la concentration d'hémoglobine et de l'hématocrite. Une légère augmentation des globules blancs a été observée dans une phase thérapeutique antérieure (après 2 semaines).
  • -Dans une autre étude à long terme réalisée pendant 6 mois, les miniporcs ont tout d'abord été traités par une dose dermique quotidienne de 30 mg/kg/jour (≈249 mg de diclofénac/jour) pendant 33 jours, puis par une dose de 45 mg/kg/jour (≈373 mg de diclofénac/jour) pendant 149 jours. Aucun symptôme clinique significatif n'a été observé après les 6 mois de traitement. Les réactions cutanées se sont manifestées par de légères rougeurs cutanées, réversibles à l'arrêt du traitement. Une irritation cutanée ne peut cependant pas être exclue après 6 mois de traitement. Pendant l'application à long terme, une légère réduction du taux sanguin de l'albumine a été constatée, accompagnée parallèlement d'une augmentation du taux d'aminotransférase. Après 6 mois de traitement, l'examen histopathologique a montré dans des cas isolés des modifications érosives et ulcératives du tractus gastro-intestinal.
  • +Les études précliniques réalisées chez le miniporc Göttingen ont montré que le diclofénac est sûr jusqu'à une posologie maximale de 45 mg/kg/jour (≈373 mg de diclofénac/jour). A cet effet, des miniporcs ont tout d'abord été traités par une dose dermique quotidienne de 30 mg/kg/jour (≈249 mg de diclofénac/jour) pendant 5 semaines, puis par une dose de 45 mg/kg/jour pendant 4 semaines. Aucun symptôme clinique requérant un traitement n'a été observé après les 9 semaines de traitement. Les miniporcs ont présenté une légère rougeur cutanée au niveau du site d'application cutané, ainsi qu'une faible diminution du nombre de globules rouges, de la concentration d'hémoglobine et de l'hématocrite. Une légère augmentation des globules blancs a été observée dans une phase thérapeutique antérieure (après 2 semaines).
  • +Dans une autre étude à long terme réalisée pendant 6 mois, les miniporcs ont tout d'abord été traités par une dose dermique quotidienne de 30 mg/kg/jour (≈249 mg de diclofénac/jour) pendant 33 jours, puis par une dose de 45 mg/kg/jour (≈373 mg de diclofénac/jour) pendant 149 jours. Aucun symptôme clinique requérant un traitement n'a été observé après les 6 mois de traitement. Les réactions cutanées se sont manifestées par de légères rougeurs cutanées, réversibles à l'arrêt du traitement. Une irritation cutanée ne peut cependant pas être exclue après 6 mois de traitement. Pendant l'application à long terme, une légère réduction du taux sanguin de l'albumine a été constatée, accompagnée parallèlement d'une augmentation du taux d'aminotransférase. Après 6 mois de traitement, l'examen histopathologique a montré dans des cas isolés des modifications érosives et ulcératives du tractus gastro-intestinal.
  • -Février 2017.
  • -ALM_FI_FR_20171031
  • +Novembre 2018.
  • +ALM_FI_FR_20190619
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