64 Changements de l'information professionelle Mycamine 50 mg |
-Principe actif: micafungine sous forme sodique.
-Excipients: lactose monohydraté, acide citrique et hydroxyde de sodium.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-Micafungine 50 mg sous forme sodique. Poudre pour solution pour perfusion.
-Micafungine 100 mg sous forme sodique. Poudre pour solution pour perfusion.
- +Principes actifs
- +Micafungine sous forme sodique.
- +Excipients
- +Lactose monohydraté, acide citrique (pour l'ajustement du pH), hydroxyde de sodium (pour l'ajustement du pH).
- +Teneur totale en sodium par flacon 50 mg: max. 1 mg
- +Teneur totale en sodium par flacon 100 mg: max. 2 mg
- +
-Mycamine a été essentiellement testé sur des patients atteints de candidémie. On ne dispose que de données limitées sur les formes invasives (p.ex. les candidoses disséminées ou hépatospléniques). La micafungine n'a pas été testée chez les patients atteints d'endocardite, de méningite ou d'ostéomyélite à Candida (cf. «Propriétés/Effets»).
- +Mycamine a été essentiellement testé sur des patients atteints de candidémie. On ne dispose que de données limitées sur les formes invasives (p.ex. les candidoses disséminées ou hépatospléniques). La micafungine n'a pas été testée chez les patients atteints d'endocardite, de méningite ou d'ostéomyélite à Candida (voir «Propriétés/Effets»).
-Mycamine a été essentiellement testé sur des patients atteints de candidémie. On ne dispose que de données limitées sur les formes invasives (p.ex. candidoses disséminées Candida endocarditis, candidoses hépatospléniques) (cf. «Propriétés/Effets»).
- +Mycamine a été essentiellement testé sur des patients atteints de candidémie. On ne dispose que de données limitées sur les formes invasives (p.ex. candidoses disséminées Candida endocarditis, candidoses hépatospléniques) (voir «Propriétés/Effets»).
-Avant de prescrire Mycamine, une évaluation rigoureuse du rapport bénéfice/risque doit être effectuée, en tenant compte en particulier du risque potentiel de tumeur hépatique (cf. «Mises en garde et précautions»).
- +Avant de prescrire Mycamine, une évaluation rigoureuse du rapport bénéfice/risque doit être effectuée, en tenant compte en particulier du risque potentiel de tumeur hépatique (voir «Mises en garde et précautions»).
-Avant le traitement, réaliser une culture fongique et autres tests de laboratoires pertinents, y compris histopathologiques, afin d'isoler et identifier le ou les agent(s) pathogène(s). Le traitement peut débuter avant de connaître les résultats de ces cultures ou examens de laboratoire. Une fois les résultats connus, adapter en conséquence le traitement antifongique.
-La posologie de Mycamine dépend du poids du patient (cf. les tableaux ci-dessous):
- +Avant le traitement, réaliser une culture fongique et autres tests de laboratoires pertinents, y compris histopathologiques, afin d'isoler et identifier le ou les agent(s) pathogène(s).
- +Le traitement peut débuter avant de connaître les résultats de ces cultures ou examens de laboratoire. Une fois les résultats connus, adapter en conséquence le traitement antifongique.
- +La posologie de Mycamine dépend du poids du patient (voir les tableaux ci-dessous):
-Indication Poids corporel >40 kg Poids corporel ≤40 kg
- +Indication Poids corporel> 40 kg Poids corporel ≤40 kg
-Enfants dès 4 mois et adolescents <16 ans
- +Enfants dès 4 mois et adolescents < 16 ans
-Indication Poids corporel >40 kg Poids corporel ≤40 kg
- +Indication Poids corporel > 40 kg Poids corporel ≤40 kg
-Instructions pour la reconstitution, cf. «Instructions pour la préparation de la solution pour perfusion».
- +Instructions pour la reconstitution, voir «Remarque concernant la manipulation».
-Candidoses invasives: les infections à Candida doivent être traitées pendant 14 jours au moins. Le traitement antifongique doit se poursuivre une semaine au moins après deux hémocultures négatives consécutives et après résolution des symptômes cliniques de l'infection.
-Candidoses œsophagiennes: le traitement des candidoses œsophagiennes par Mycamine doit se poursuivre une semaine au moins après résolution des symptômes cliniques de l'infection.
-Instructions spéciales pour la posologie
- +Candidoses invasives
- +Les infections à Candida doivent être traitées pendant 14 jours au moins. Le traitement antifongique doit se poursuivre une semaine au moins après deux hémocultures négatives consécutives et après résolution des symptômes cliniques de l'infection.
- +Candidoses œsophagiennes
- +Le traitement des candidoses œsophagiennes par Mycamine doit se poursuivre une semaine au moins après résolution des symptômes cliniques de l'infection.
- +Instructions posologiques particulières
-Insuffisance hépatique
-Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire en cas d'insuffisance hépatique légère à modérée (Child Pugh A ou B) (cf. «Pharmacocinétique»).
-Concernant l'insuffisance hépatique sévère, les données sont insuffisantes. Le traitement par Mycamine n'est pas recommandé chez ces patients. (cf. «Mises en garde et précautions»).
-Insuffisance rénale
-Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire en cas d'insuffisance rénale (cf. «Pharmacocinétique»).
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
- +Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire en cas d'insuffisance hépatique légère à modérée (Child Pugh A ou B) (voir «Pharmacocinétique»).
- +Concernant l'insuffisance hépatique sévère, les données sont insuffisantes. Le traitement par Mycamine n'est pas recommandé chez ces patients. (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
- +Aucune adaptation de la posologie n'est nécessaire en cas d'insuffisance rénale (voir «Pharmacocinétique»).
-Le développement de foyers d'altérations hépatocytaires (foci of altered hepatocytes, FHA) et de tumeurs hépatocellulaires après un traitement d'une durée de trois mois ou plus a été observé chez le rat (cf. «Données précliniques»). Le seuil présumé de développement de tumeurs chez le rat se situe approximativement dans la fourchette de l'exposition clinique. La pertinence de cette donnée lors de l'utilisation thérapeutique chez l'homme ne peut être écartée. La fonction hépatique doit faire l'objet d'une surveillance étroite au cours d'un traitement par micafungine. Afin de réduire les risques de régénération adaptative et de formation potentielle ultérieure de tumeur hépatique, l'interruption précoce du traitement est recommandée en présence d'une élévation importante et persistante des transaminases. Le traitement par la micafungine doit être conduit après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque, en particulier chez les patients ayant une altération sévère de la fonction hépatique ou des atteintes hépatiques chroniques connues pour représenter un stade précancéreux telles qu'une fibrose hépatique avancée, une cirrhose, une hépatite virale, des hépatopathies néonatales ou des déficits enzymatiques congénitaux, ou en cas de traitement concomitant (notamment s'il s'agit d'un traitement hépatotoxique et/ou génotoxique).
- +Le développement de foyers d'altérations hépatocytaires (foci of altered hepatocytes, FHA) et de tumeurs hépatocellulaires après un traitement d'une durée de trois mois ou plus a été observé chez le rat (voir «Données précliniques»). Le seuil présumé de développement de tumeurs chez le rat se situe approximativement dans la fourchette de l'exposition clinique. La pertinence de cette donnée lors de l'utilisation thérapeutique chez l'homme ne peut être écartée. La fonction hépatique doit faire l'objet d'une surveillance étroite au cours d'un traitement par micafungine. Afin de réduire les risques de régénération adaptative et de formation potentielle ultérieure de tumeur hépatique, l'interruption précoce du traitement est recommandée en présence d'une élévation importante et persistante des transaminases. Le traitement par la micafungine doit être conduit après une évaluation soigneuse du rapport bénéfice/risque, en particulier chez les patients ayant une altération sévère de la fonction hépatique ou des atteintes hépatiques chroniques connues pour représenter un stade précancéreux telles qu'une fibrose hépatique avancée, une cirrhose, une hépatite virale, des hépatopathies néonatales ou des déficits enzymatiques congénitaux, ou en cas de traitement concomitant (notamment s'il s'agit d'un traitement hépatotoxique et/ou génotoxique).
-Une toxicité testiculaire a été observée chez l'animal (cf. «Données précliniques»). La micafungine pourrait potentiellement affecter la fertilité masculine chez l'homme.
- +Une toxicité testiculaire a été observée chez l'animal (voir «Données précliniques»). La micafungine pourrait potentiellement affecter la fertilité masculine chez l'homme.
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par flacon, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
- +
-femme enceinte. Chez l'animal, la micafungine traverse la barrière placentaire et une toxicité sur la reproduction a été observée (cf. «Données précliniques»). On ne sait pas si ce risque potentiel est présent chez l'homme.
- +femme enceinte. Chez l'animal, la micafungine traverse la barrière placentaire et une toxicité sur la reproduction a été observée (voir «Données précliniques»). On ne sait pas si ce risque potentiel est présent chez l'homme.
-L'effet de la micafungine sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'a pas fait l'objet d'études. Cependant, des réactions indésirables telles que vertige ou somnolence peuvent survenir et affecter l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. (cf. «Effets indésirables»).
- +L'effet de la micafungine sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n'a pas fait l'objet d'études. Cependant, des réactions indésirables telles que vertige ou somnolence peuvent survenir et affecter l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines. (voir «Effets indésirables»).
- +Traitement
- +
-Code ATC: J02AX05
-Mécanisme d'action
- +Code ATC
- +J02AX05
- +Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
-Candidémie et candidose invasive: dans une étude internationale de non-infériorité randomisée et en double aveugle, 392 patients atteints de candidémie et/ou de candidose invasive non préalablement traitée par antifongiques ont reçu soit de la micafungine (100 mg/jour ou 2 mg/kg/jour) soit de l'amphotéricine B liposomale (3 mg/kg) sur une durée de traitement médiane de 15 jours (4-42 jours). Cette étude a prouvé la non-infériorité de la micafungine face à l'amphotéricine B liposomale.
- +Candidémie et candidose invasive
- +Dans une étude internationale de non-infériorité randomisée et en double aveugle, 392 patients atteints de candidémie et/ou de candidose invasive non préalablement traitée par antifongiques ont reçu soit de la micafungine (100 mg/jour ou 2 mg/kg/jour) soit de l'amphotéricine B liposomale (3 mg/kg) sur une durée de traitement médiane de 15 jours (4-42 jours). Cette étude a prouvé la non-infériorité de la micafungine face à l'amphotéricine B liposomale.
-Candidose œsophagienne: dans une étude randomisée en double aveugle, 518 patients atteints de candidose œsophagienne non préalablement traitée par antifongique ont reçu soit de la micafungine (150 mg/jour) soit du fluconazole (200 mg/jour) sur une durée de traitement médiane de 14 jours. Au terme du traitement, un score endoscopique de 0 (guérison endoscopique) a été observé chez 87,7% de patients (228/260) du groupe micafungine vs 88,0% (227/258) du groupe fluconazole (IC à 95% de la différence [-5,9%, 5,3%]). Cette étude a prouvé la non-infériorité de la micafungine face au fluconazole.
- +Candidose œsophagienne
- +Dans une étude randomisée en double aveugle, 518 patients atteints de candidose œsophagienne non préalablement traitée par antifongique ont reçu soit de la micafungine (150 mg/jour) soit du fluconazole (200 mg/jour) sur une durée de traitement médiane de 14 jours. Au terme du traitement, un score endoscopique de 0 (guérison endoscopique) a été observé chez 87,7% de patients (228/260) du groupe micafungine vs 88,0% (227/258) du groupe fluconazole (IC à 95% de la différence [-5,9%, 5,3%]). Cette étude a prouvé la non-infériorité de la micafungine face au fluconazole.
-Les preuves d'efficacité du traitement de la candidose invasive affectant le SNC (méningo-encéphalite à Candida) sont insuffisantes. En particulier, la dose requise pour le traitement de cette forme de manifestation n'est pas connue, car seules des données cliniques extrêmement limitées sont disponibles. L'activité de la micafungine a été démontrée dans le tissu cérébral d'un modèle animal et, dans des cas individuels, la micafungine a été détectée dans le LCR de patients pédiatriques chez qui on soupçonnait une méningo-encéphalite à candida. Les données cliniques limitées suggèrent qu'une dose de 10 mg/kg/jour est nécessaire chez les patients âgés de moins de 4 mois pour le traitement de la candidose avec méningo-encéphalite, mais les données sont insuffisantes pour des recommandations de dosage spécifiques. Dans les études publiées, des doses allant jusqu'à 15 mg/kg/jour ont été étudiées sans que des signaux de sécurité supplémentaires soient observés.
- +Les preuves d'efficacité du traitement de la candidose invasive affectant le SNC (méningo-encéphalite à Candida) sont insuffisantes. En particulier, la dose requise pour le traitement de cette forme de manifestation n'est pas connue, car seules des données cliniques extrêmement limitées sont disponibles. L'activité de la micafungine a été démontrée dans le tissu cérébral d'un modèle animal et, dans des cas individuels, la micafungine a été détectée dans le LCR de patients pédiatriques chez qui on soupçonnait une méningoencéphalite à candida. Les données cliniques limitées suggèrent qu'une dose de 10 mg/kg/jour est nécessaire chez les patients âgés de moins de 4 mois pour le traitement de la candidose avec méningo-encéphalite, mais les données sont insuffisantes pour des recommandations de dosage spécifiques. Dans les études publiées, des doses allant jusqu'à 15 mg/kg/jour ont été étudiées sans que des signaux de sécurité supplémentaires soient observés.
- +Absorption
- +
-La fraction de micafungine liée aux protéines plasmatiques (essentiellement à l'albumine) dépasse 99%,
- +La fraction de micafungine liée aux protéines plasmatiques (essentiellement à l'albumine) dépasse 99%.
-Enfants et adolescents
- +Patients pédiatriques
-Troubles de la fonction hépatique
- +Troubles hépatiques
-Troubles de la fonction rénale
- +Troubles rénaux
-Sexe/appartenance ethnique
- +Sexe, appartenance ethnique
-Dans des études avec administration répétée de micafungine (≥13 semaines) chez le rat, des hépatocytes prénéoplasiques (FAH) se sont développés de manière dose-dépendante, ce qui était plus fréquent chez les femelles. Les FAH observés ne semblaient pas être réversibles avant 13 semaines après l'arrêt de la micafungine. Des études de cancérogénicité standard n'ont pas été réalisées avec la micafungine. Toutefois, le développement de FAH a été étudié dans deux études menées sur des rats femelles recevant de la micafungine (20 ou 32 mg/kg/jour) pendant une période de traitement de 3 et 6 mois respectivement, avec une période de suivi de 20 et 18 mois après l'arrêt de la micafungine. Aux deux doses, les FAH étaient significativement plus fréquents après 6 mois de traitement (par rapport au groupe témoin). Les deux études ont également montré une augmentation de l'incidence des tumeurs hépatocellulaires à 20 (32 mg/kg/jour) et 18 (les deux doses) mois après la fin du traitement. On estime que le seuil de développement des tumeurs est inférieur à 20 mg/kg/jour. L'exposition systémique au seuil supposé de développement des tumeurs chez les rats (c'est-à-dire la dose à laquelle aucune tumeur du foie et de FAH n'a été détecté) se situait dans la plage de l'exposition clinique. La pertinence de ces résultats pour l'utilisation thérapeutique de la micafungine chez l'homme n'est pas connue.
- +Dans des études avec administration répétée de micafungine (≥13 semaines) chez le rat, des hépatocytes prénéoplasiques (FAH) se sont développés de manière dose-dépendante, ce qui était plus fréquent chez les femelles. Les FAH observés ne semblaient pas être réversibles avant 13 semaines après l'arrêt de la micafungine.
- +Des études de cancérogénicité standard n'ont pas été réalisées avec la micafungine. Toutefois, le développement de FAH a été étudié dans deux études menées sur des rats femelles recevant de la micafungine (20 ou 32 mg/kg/jour) pendant une période de traitement de 3 et 6 mois respectivement, avec une période de suivi de 20 et 18 mois après l'arrêt de la micafungine. Aux deux doses, les FAH étaient significativement plus fréquents après 6 mois de traitement (par rapport au groupe témoin). Les deux études ont également montré une augmentation de l'incidence des tumeurs hépatocellulaires à 20 (32 mg/kg/jour) et 18 (les deux doses) mois après la fin du traitement. On estime que le seuil de développement des tumeurs est inférieur à 20 mg/kg/jour. L'exposition systémique au seuil supposé de développement des tumeurs chez les rats (c'est-à-dire la dose à laquelle aucune tumeur du foie et de FAH n'a été détecté) se situait dans la plage de l'exposition clinique.
- +La pertinence de ces résultats pour l'utilisation thérapeutique de la micafungine chez l'homme n'est pas connue.
-Stabilité et conservation
- +Stabilité
-Flacon non ouvert
-Ne pas conserver au-dessus de 25°C.
- +Stabilité après ouverture
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Ne pas conserver au-dessus de 25°C.
- +Conserver hors de portée des enfants.
- +
-Dose (mg) Nombre de flacons de Mycamine à utiliser (mg/flacon) Volume de chlorure de sodium (0.9%) ou de glucose (5%) à ajouter par flacon Volume de la poudre reconstituée poudre reconstituée Concentration finale de la solution pour perfusion standard (ajustée à 100 ml)
- +Dose (mg) Nombre de flacons de Mycamine à utiliser (mg/flacon) Volume de chlorure de sodium (0.9 %) ou de glucose (5 %) à ajouter par flacon Volume de la poudre reconstituée Concentration finale de la solution pour perfusion standard (ajustée à 100 ml)
-60724 (Swissmedic).
- +60724 (Swissmedic)
-Mycamine 50 mg
-1 flacon contenant 50 mg poudre pour la préparation d'une solution pour perfusion. [A]
-Mycamine 100 mg
-1 flacon contenant 100 mg poudre pour la préparation d'une solution pour perfusion. [A]
- +MYCAMINE 50 mg
- +1 flacon contenant 50 mg poudre poudre pour solution à diluer pour perfusion. [A]
- +MYCAMINE 100 mg
- +1 flacon contenant 100 mg poudre pour solution à diluer pour perfusion. [A]
-Astellas Pharma AG, 8304 Wallisellen.
- +Astellas Pharma AG, 8304 Wallisellen
-Janvier 2020.
- +Octobre 2021
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