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Accueil - Information professionnelle sur Docetaxel-Teva liquid 20 mg/1 ml - Changements - 21.06.2023
94 Changements de l'information professionelle Docetaxel-Teva liquid 20 mg/1 ml
  • -Le docétaxel doit être administré en perfusion intraveineuse d'1 heure toutes les 3 semaines (voir «Remarques particulières», Remarques concernant la manipulation).
  • +Le docétaxel doit être administré en perfusion intraveineuse d'1 heure toutes les 3 semaines (voir rubrique «Remarques particulières», Remarques concernant la manipulation).
  • -Les patients doivent être surveillés plus particulièrement pendant la première et la deuxième perfusion de docétaxel en raison du risque de réactions d'hypersensibilité (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Les patients doivent être surveillés plus particulièrement pendant la première et la deuxième perfusion de docétaxel en raison du risque de réactions d'hypersensibilité (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Cancer de la prostate: à cause de la prise simultanée de prednisone/prednisolone, la dose recommandée de dexaméthasone est par ex. de 8 mg p.o. 12, 3 et 1 heures avant la perfusion de docétaxel.
  • +Cancer de la prostate: à cause de la prise simultanée de prednisone/prednisolone, la dose recommandée de dexaméthasone est par ex. de 8 mg p.o. 12, 3 et 1 heure(s) avant la perfusion de docétaxel.
  • -En association au trastuzumab administré toutes les semaines, la posologie recommandée de docétaxel est de 100 mg/m2 toutes les 3 semaines. La première perfusion de docétaxel est effectuée le lendemain de la première administration de trastuzumab. Les cures suivantes de docétaxel sont administrées immédiatement après la fin de la perfusion du trastuzumab si la dose précédente de trastuzumab a été bien tolérée.
  • +En association au trastuzumab administré toutes les semaines, la posologie recommandée de docétaxel est de 100 mg/m2 toutes les 3 semaines. La première perfusion de docétaxel a été effectuée le lendemain de la première administration de trastuzumab. Les cures suivantes de docétaxel ont été administrées immédiatement après la fin de la perfusion du trastuzumab si la dose précédente de trastuzumab avait été bien tolérée.
  • -Chimiothérapie d'induction suivie de radiothérapie
  • +·Chimiothérapie d'induction suivie de radiothérapie
  • -Chimiothérapie d'induction suivie de chimio radiothérapie
  • +·Chimiothérapie d'induction suivie de chimio radiothérapie
  • -Le docétaxel en monothérapie ou combiné avec la doxorubicine/(cyclophosphamide):
  • -Pour les patients ayant présenté, pendant le traitement par docétaxel (en monothérapie ou en association avec la doxorubicine/(cyclophosphamide)) une neutropénie fébrile, une neutropénie avec un nombre de neutrophiles <500/mm³ pendant plus d'une semaine, des réactions cutanées sévères ou répétées ou des symptômes neurosensoriels sévères, la dose de docétaxel doit être réduite de 100 à 75 mg/m² respectivement de 75 à 60 mg/m2. Si ces effets secondaires persistent après une réduction à 75 mg/m², la dose doit être réduite à 60 mg/m2. Si les effets secondaires persistent à la dose de 60 mg/m2, le traitement doit être interrompu.
  • -Pour un second épisode de neutropénie fébrile ou infection, les patients devraient continuer à recevoir le G-CSF en prophylaxie et docétaxel sera réduit de 100 à 75 mg/m2 (pour AC→TH). Le docétaxel sera réduit de 75 à 60 mg/m2 pour le traitement TCH.
  • +Docétaxel en monothérapie ou combiné avec la doxorubicine/(cyclophosphamide):
  • +Pour les patients ayant présenté, pendant le traitement par docétaxel (en monothérapie ou en association avec la doxorubicine/(cyclophosphamide)) une neutropénie fébrile, une neutropénie avec un nombre de neutrophiles <500/mm³ pendant plus d'une semaine, des réactions cutanées graves ou répétées ou des symptômes neurosensoriels graves, la dose de docétaxel doit être réduite de 100 à 75 mg/m² respectivement de 75 à 60 mg/m2. Si ces effets secondaires persistent après une réduction à 75 mg/m², la dose doit être réduite à 60 mg/m2. Si les effets secondaires persistent à la dose de 60 mg/m2, le traitement doit être interrompu.
  • +Pour un second épisode de neutropénie fébrile ou infection, les patients devraient continuer à recevoir le G-CSF en prophylaxie et docétaxel sera réduit de 100 à 75 mg/m2 (pour AC→TH). Docétaxel sera réduit de 75 à 60 mg/m2 pour le traitement TCH.
  • -Pour les ajustements concernant les dosages de cisplatine et 5-FU, voir aussi les informations professionnelles correspondantes.
  • +Pour les ajustements concernant les dosages de cisplatine et 5-FU, voir aussi l'information professionnelle correspondante.
  • -D'après les données pharmacocinétiques relatives au docétaxel à 100 mg/m2 administré en monothérapie, la dose de docétaxel recommandée chez les patients ayant des transaminases (ALAT et/ou ASAT) supérieures à 1,5 fois la limite supérieure à la normale (LSN) ainsi que des phosphatases alcalines supérieures à 2,5 fois la LSN, est de 75 mg/m2. Chez les patients avec une bilirubinémie supérieure à la LSN et/ou des transaminases (ALAT et ASAT) supérieures à 3,5 fois la limite supérieure de la normale et dont le taux de phosphatases alcalines est supérieur à 6 fois la limite supérieure de la normale, une monothérapie avec le docétaxel ne doit être envisagée que si elle est strictement indiquée. Il n'y a pas de données quant à l'administration de docétaxel en association chez les patients en insuffisance hépatique. Le docétaxel est contre-indiqué en cas d'insuffisance hépatique sévère car il n'y pas de donnée clinique pour cette catégorie de patients (voir «Pharmacocinétique», «Contre-indications» et «Mises en garde et précautions»).
  • +D'après les données pharmacocinétiques relatives au docétaxel à 100 mg/m2 administré en monothérapie, la dose de docétaxel recommandée chez les patients ayant des transaminases (ALAT et/ou ASAT) supérieures à 1,5 fois la limite supérieure à la normale (LSN) ainsi que des phosphatases alcalines supérieures à 2,5 fois la LSN, est de 75 mg/m2. Chez les patients avec une bilirubine sérique supérieure à la LSN et/ou des transaminases (ALAT et ASAT) supérieures à 3,5 fois la limite supérieure de la normale et dont le taux de phosphatases alcalines est supérieur à 6 fois la limite supérieure de la normale, une monothérapie avec le docétaxel ne doit être envisagée que si elle est strictement indiquée. Il n'y a pas de données quant à l'administration de docétaxel en association chez les patients en insuffisance hépatique. Le docétaxel est contre-indiqué en cas d'insuffisance hépatique sévère car il n'y pas de donnée clinique pour ce groupe de patients (voir rubrique «Pharmacocinétique», «Contre-indications» ainsi que «Mises en garde et précautions»).
  • -Au vu des données pharmacocinétiques obtenues à partir d'un collectif important, une adaptation de la dose n'est pas nécessaire lors du traitement des patients âgés. Mais parce que les effets indésirables sont plus fréquents, les patients âgés traités par Docetaxel-Teva liquid en combinaison avec cisplatine et 5-fluorouracil devraient être suivis de près (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Au vu des données pharmacocinétiques obtenues à partir d'un collectif important, une adaptation de la dose n'est pas nécessaire lors du traitement des patients âgés. Mais parce que les effets indésirables sont plus fréquents, les patients âgés traités par Docetaxel-Teva liquid en combinaison avec cisplatine et 5-fluorouracil devraient être suivis de près (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Une prémédication par un corticoïde oral, sauf contre-indication, est conseillée pour prévenir la rétention hydrique et les réactions d'hypersensibilité (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Une prémédication par un corticoïde oral, sauf contre-indication, est conseillée pour prévenir la rétention hydrique et les réactions d'hypersensibilité (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Des réactions d'hypersensibilité étaient généralement de nature légère à modérée. Les symptômes les plus fréquemment rapportés ont été des flushs, des éruptions avec ou sans prurit, une sensation de constriction thoracique, des lombalgies, une dyspnée et une fièvre due au médicament ou des frissons.
  • +Des réactions d'hypersensibilité étaient généralement de nature légère à modérée. Les symptômes les plus fréquemment rapportés ont été des érythèmes, des éruptions avec ou sans prurit, une sensation de constriction thoracique, des lombalgies, une dyspnée et une fièvre due au médicament ou des frissons.
  • -Réactions cutanées:
  • -Des réactions indésirables cutanées graves (SCAR) telles que le Syndrome de Stevens-Johnson (SSJ), la Nécrolyse Epidermique Toxique (NET) et la pustulose exanthémateuse généralisée aiguë (PEAG)1 ont été rapportés avec le traitement par le docétaxel.
  • +Réactions cutanées: Des réactions indésirables cutanées graves (SCAR) telles que le Syndrome de Stevens-Johnson (SSJ), la Nécrolyse Epidermique Toxique (NET) et la pustulose exanthémateuse généralisée aiguë (PEAG)1 ont été rapportés avec le traitement par le docétaxel.
  • -Hématologie: la neutropénie est l'effet indésirable le plus fréquemment observé sous docétaxel. Une surveillance étroite de la formule sanguine doit être exercée chez tous les patients traités par le docétaxel. Le traitement par le docétaxel ne doit pas être repris tant que le nombre de neutrophiles n'est pas remonté à ≥1'500 cellules/mm3. Concernant une réduction de la dose pour les cures suivantes et les mesures symptomatiques appropriées voir «Posologie/Mode d'emploi».
  • +Hématologie: la neutropénie est l'effet indésirable le plus fréquemment observé sous docétaxel. Une surveillance étroite de la formule sanguine doit être exercée chez tous les patients traités par le docétaxel. Le traitement par le docétaxel ne doit pas être repris tant que le nombre de neutrophiles n'est pas remonté à ≥1'500 cellules/mm3. Concernant une réduction de la dose pour les cures suivantes et les mesures symptomatiques appropriées voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi».
  • -Inhibiteurs puissants du CYP3A4:
  • -L'utilisation concomitante de docétaxel et d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 tels que le kétoconazole, itraconazole, clarithromycine, indinavir, néfazodone, nelfinavir, ritonavir, saquinavir, télithromycine et voriconazole devrait être évitée.
  • +Inhibiteurs puissants du CYP3A4: L'utilisation concomitante de docétaxel et d'inhibiteurs puissants du CYP3A4 tels que le kétoconazole, itraconazole, clarithromycine, indinavir, néfazodone, nelfinavir, ritonavir, saquinavir, télithromycine et voriconazole devrait être évitée.
  • -On ne dispose d'aucune donnée relative aux patients qui souffrent d'une insuffisance hépatique et qui sont traités par le docétaxel en association. Le docétaxel est contre-indiqué en cas d'insuffisance hépatique sévère (voir «Posologie/Mode d'emploi» et «Contre-indications»).
  • -Il faut tenir compte de la quantité d'éthanol dans le flacon perforable de Docetaxel-Teva liquid lors de l'administration aux patients souffrants d'insuffisance hépatique (voir «Forme pharmaceutique et quantité de principe actif par unité»).
  • +On ne dispose d'aucune donnée relative aux patients qui souffrent d'une insuffisance hépatique et qui sont traités par le docétaxel en association. Docétaxel est contre-indiqué en cas d'insuffisance hépatique sévère (voir rubriques «Posologie/Mode d'emploi» et «Contre-indications»).
  • +Il faut tenir compte de la quantité d'éthanol dans le flacon de Docetaxel-Teva liquid lors de l'administration aux patients souffrants d'insuffisance hépatique (voir rubrique «Forme pharmaceutique et quantité de principe actif par unité»).
  • -Réactions gastro-intestinales:
  • -Des précautions sont recommandées pour les patients neutropéniques qui risquent plus particulièrement de développer des complications gastro-intestinales. Une entérocolite peut se développer à tout moment et peut engendrer le décès dès le premier jour de son apparition. Les patients devraient être étroitement surveillés pour des manifestations précoces de toxicité gastro-intestinale grave, telles que douleurs et sensibilité abdominales précoces, fièvre, diarrhée, avec ou sans neutropénie. Ces symptômes doivent être évalués et traités rapidement.
  • -Toxicité cardiaque: une insuffisance cardiaque a été observée chez des patientes recevant du docétaxel en association avec du trastuzumab, en particulier après une chimiothérapie contenant une anthracycline (doxorubicine ou épirubicine). Celle-ci peut être modérée à sévère, voire même d'issue fatale (voir «Effets indésirables»).
  • -Des arythmies ventriculaires, y compris des tachycardies (parfois fatales) ont été rapportées chez les patients traités avec du docétaxel en combinaison avec des traitements tels que la doxorubicine, le 5-fluorouracil et/ou le cyclophosphamide (voir section «Effets indésirables»).
  • +Réactions gastro-intestinales: Des précautions sont recommandées pour les patients neutropéniques qui risquent plus particulièrement de développer des complications gastro-intestinales. Une entérocolite peut se développer à tout moment et peut engendrer le décès dès le premier jour de son apparition. Les patients devraient être étroitement surveillés pour des manifestations précoces de toxicité gastro-intestinale grave, telles que douleurs et sensibilité abdominales précoces, fièvre, diarrhée, avec ou sans neutropénie. Ces symptômes doivent être évalués et traités rapidement.
  • +Toxicité cardiaque: une insuffisance cardiaque a été observée chez des patientes recevant du docétaxel en association avec du trastuzumab, en particulier après une chimiothérapie contenant une anthracycline (doxorubicine ou épirubicine). Celle-ci peut être modérée à sévère, voire même d'issue fatale (voir rubrique «Effets indésirables»).
  • +Des arythmies ventriculaires, y compris des tachycardies (parfois fatales) ont été rapportées chez les patients traités avec du docétaxel en combinaison avec des traitements tels que la doxorubicine, le 5-fluorouracil et/ou le cyclophosphamide (voir rubrique «Effets indésirables»).
  • -Syndrôme de lyse tumorale: des cas de syndrôme de lyse tumorale ont été rapportés avec le docétaxel (voir section «Effets indésirables»). Les patients à risques de syndrôme de lyse tumorale (c'est-à-dire avec une insuffisance rénale, une hyperuricémie ou une tumeur étendue) doivent être étroitement suivis afin de bien contrôler ce syndrôme. La déshydratation et l'hyperuricémie doivent être corrigées avant la mise en place du traitement.
  • +Syndrôme de lyse tumorale: des cas de syndrome de lyse tumorale ont été rapportés avec le docétaxel (voir rubrique «Effets indésirables»). Les patients à risques de syndrome de lyse tumorale (c'est-à-dire avec une insuffisance rénale, une hyperuricémie ou une tumeur étendue) doivent être étroitement suivis afin de bien contrôler ce syndrome. La déshydratation et l'hyperuricémie doivent être corrigées avant la mise en place du traitement.
  • +Autres
  • +Les femmes doivent prendre des mesures contraceptives efficaces pendant le traitement par docétaxel et pendant les 2 mois qui suivent l'arrêt du traitement par docétaxel. Les hommes doivent prendre des mesures contraceptives efficaces pendant le traitement par docétaxel et pendant les 4 mois qui suivent l'arrêt du traitement par docétaxel (voir rubrique «Grossesse, allaitement»).
  • +
  • -Dans le cas d'un traitement combiné avec un inhibiteur de CYP3A4, l'occurrence des effets indésirables liés à docétaxel peut augmenter, en conséquence d'un métabolisme réduit. Dans le cas où une utilisation concomitante avec un inhibiteur puissant du CYP3A4 est inévitable (kétoconazole, itraconazole, clarithromycine, indinavir, néfazodone, nelfinavir, ritonavir, saquinavir, télithromycine et voriconazole), une surveillance clinique étroite doit être faite et un ajustement de la dose de Docetaxel-Teva liquid est recommandé durant le traitement avec l'inhibiteur puissant du CYP3A4.
  • +Dans le cas d'un traitement combiné avec un inhibiteur du CYP3A4, l'occurrence des effets indésirables liés à docétaxel peut augmenter, en conséquence d'un métabolisme réduit. Dans le cas où une utilisation concomitante avec un inhibiteur puissant du CYP3A4 est inévitable (kétoconazole, itraconazole, clarithromycine, indinavir, néfazodone, nelfinavir, ritonavir, saquinavir, télithromycine et voriconazole), une surveillance clinique étroite doit être faite et un ajustement de la dose de Docetaxel-Teva liquid est recommandé durant le traitement avec l'inhibiteur puissant du CYP3A4.
  • -Des études précliniques montrent que le docétaxel a des effets embryotoxiques et fœtotoxiques chez le rat et le lapin et réduit la fertilité chez le rat. Il n'existe pas d'études sur l'utilisation du docétaxel chez la femme enceinte. Comme d'autres agents cytotoxiques, le docétaxel pourrait entraîner des lésions fœtales chez la femme enceinte; par conséquent, le docétaxel ne doit pas être administré chez la femme enceinte. Les femmes en âge de procréer qui reçoivent du docétaxel doivent éviter toute grossesse. Des mesures contraceptives doivent être prises en cours de traitement et poursuivies au moins 3 mois après la fin de la cure. En cas de grossesse, il est nécessaire d'informer immédiatement le médecin traitant.
  • +Il a été démontré que le docétaxel est génotoxique par un mécanisme aneugène.
  • +Il n'existe pas d'études sur l'utilisation du docétaxel chez la femme enceinte.
  • +Comme d'autres agents cytotoxiques, le docétaxel pourrait entraîner des lésions fœtales chez la femme enceinte; par conséquent, le docétaxel ne doit pas être administré chez la femme enceinte. Les femmes en âge de procréer qui reçoivent du docétaxel doivent éviter toute grossesse. Les hommes traités par docétaxel ne doivent pas concevoir d'enfant pendant le traitement par docétaxel et utiliser une méthode de contraception efficace pendant les 4 mois après l'arrêt du docétaxel. En cas de grossesse, il est nécessaire d'informer immédiatement le médecin traitant. Les femmes doivent utiliser une méthode de contraception efficace pendant le traitement par docétaxel et pendant les 2 mois qui suivent l'arrêt du traitement par docétaxel.
  • +Fertilité
  • +Dans les études précliniques, le docétaxel a des effets génotoxiques et peut altérer la fertilité masculine (voir rubrique «Données précliniques»). Par conséquent, les hommes traités par docétaxel doivent demander conseil pour une conservation de sperme avant le traitement par docétaxel.
  • -La fréquence des effets indésirables est indiquée comme suit: très fréquents (≥10%), fréquents (≥1,0%, <10%), occasionnels (≥0,1%, <1,0%), rares (≥0,01%, <0,1%), très rares (<0,01%).
  • +Les effets indésirables sont rangés par classe de systèmes d'organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante: «très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (≥1/100 à < 1/10), «occasionnels» (≥1/1'000 à < 1/100), «rares» (≥1/10'000 à <1/1000), «très rares» (< 1/10'000) et «Fréquence inconnue» (ne peut être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Cas isolés: tumeurs malignes primitives secondaires (voir «Description de certains effets indésirables»).
  • +Fréquence inconnue: tumeurs malignes primitives secondaires (voir «Description de certains effets indésirables»).
  • -Occasionnels: leucémie myéloïde aig (AML), syndrome myélodysplasique.
  • +Occasionnels: leucémie myéloïde aigüe (AML), syndrome myélodysplasique.
  • -Fréquents: diminution du taux de prothrombine.
  • +Fréquents: diminution du temps de prothrombine.
  • -Fréquence inconnue: syndrôme de lyse tumorale.
  • +Fréquence inconnue: syndrome de lyse tumorale.
  • -Des événements tels qu'un œdème périphérique et moins fréquemment une pleurésie, une péricardite, une ascite et une prise de poids ont été rapportés. L'œdème périphérique débute généralement au niveau des membres inférieurs et peut se généraliser avec une prise de poids de 3 kg ou plus. L'incidence et la sévérité de la rétention hydrique est dépendante de la dose de docétaxel cumulée et de la prémédication (voir «Mises en garde et précautions»). Au total, 26 patients dans le groupe TAC ont développé des évènements CHF (Congestive Heart Failure) durant la période de l'étude, dont la plupart des cas dans la période de suivi. Les évènements CHF ont entrainé 2 décès parmi les patients du groupe TAC et 4 décès parmi les patients du groupe FAC. Le risque de développer du CHF est plus élevé dans le groupe TAC durant la première année.
  • +Des événements tels qu'un œdème périphérique et moins fréquemment une pleurésie, une péricardite, une ascite et une prise de poids ont été rapportés. L'œdème périphérique débute généralement au niveau des membres inférieurs et peut se généraliser avec une prise de poids de 3 kg ou plus. L'incidence et la sévérité de la rétention hydrique est dépendante de la dose de docétaxel cumulée et de la prémédication (voir rubrique «Mises en garde et précautions»). Au total, 26 patients dans le groupe TAC ont développé une insuffisance cardiaque congestive (CHF,Congestive Heart Failure) durant la période de l'étude, dont la plupart des cas dans la période de suivi. Les évènements CHF ont entrainé 2 décès parmi les patients du groupe TAC et 4 décès parmi les patients du groupe FAC. Le risque de développer du CHF est plus élevé dans le groupe TAC durant la première année.
  • -Fréquents: insuffisance cardiaque avec la prednisone/prednisolone et la doxorubicine/le cyclophosphamide; flush, thrombophlébite avec la capécitabine.
  • +Fréquents: insuffisance cardiaque avec la prednisone/prednisolone et la doxorubicine/le cyclophosphamide; érythème, thrombophlébite avec la capécitabine.
  • -Rares: syndrome de détresse respiratoire aiguë, pneumopathie interstitielle, maladie interstitielle des poumons, insuffisance respiratoire, fibrose pulmonaire, pneumonie, phénomènes de réactivation de réaction radique, parfois associés à une issue fatale. Pneumonie d'irradiation chez les patients recevant en parallèle de la radiothérapie.
  • +Rares: syndrome de détresse respiratoire aiguë, pneumopathie interstitielle, maladie interstitielle des poumons, défaillance respiratoire, fibrose pulmonaire, pneumonie, phénomènes de réactivation de réaction radique, peuvent être associés à une issue fatale. Pneumonie d'irradiation chez les patients recevant en parallèle de la radiothérapie.
  • -Très fréquents: stomatite/pharyngite (52-65%; G3/4: 1,4-3%), vomissements (39-55%; G3/4:3,0-6,4%), nausées (49-57%; G3/4: 4,6-5,3%), diarrhée (45-56%; G3/4: 4,9-5,1%), constipation (22-27%; G3/4: 0,6-0,9%), dyspepsie (19-20%; G3/4:0,4-1,5%), douleurs abdominales ou crampes (12-13%; G3/4: 0,4-0,5%).
  • +Très fréquents: stomatite/pharyngite (52-65%; G3/4: 1,4-3%), vomissements (39-55%; G3/4:3,0-6,4%), nausées (49-57%; G3/4: 4,6-5,3%), diarrhée (45-56%; G3/4: 4,9-5,1%), constipation (22-27%; G3/4: 0,6-0,9%), dyspepsie (19-20%; G3/4:0,4-1,5%), douleurs abdominales ou convulsions (12-13%; G3/4: 0,4-0,5%).
  • -Dans l'étude TAX316 (voir «Propriétés/Effets»), les effets indésirables les plus fréquents commençant en début de traitement et ayant persisté dans la période de suivi chez les patients TAC sont décrits ci-dessous (période de suivi médian de 8 ans). La majorité de ces événements persistants ont été résolus durant la période de suivi.
  • -Réactions persistantes chez les patients ayant reçu le docétaxel en combinaison avec la doxorubicine et le cyclophosphamide. (TAX316) docétaxel 75 mg/m2 + doxorubicine 50 mg/m2 + cyclophosphamide 500 mg/m2 n = 744
  • -Type d'événement Persistant de la période de traitement dans la période de suivi: n (%) En cours à la fin de la période de suivi: n (%)
  • +Dans l'étude TAX316 (voir rubrique «Propriétés/Effets»), les effets indésirables les plus fréquents commençant en début de traitement et ayant persisté dans la période de suivi chez les patients TAC sont décrits ci-dessous (période de suivi médian de 8 ans). La majorité de ces évènements persistants ont été résolus durant la période de suivi.
  • +Réactions persistantes chez les patients ayant reçu le docétaxel en combinaison avec la doxorubicine et le cyclophosphamide. (TAX316) docétaxel 75 mg/m2 + doxorubicine 50 mg/m2 + cyclophosphamide 500 mg/m2
  • +Type d'évènement n = 744 Persistant de la période de traitement dans la période de suivi: n (%) En cours à la fin de la période de suivi: n (%)
  • -Des cas de déséquilibre électrolytique ont été rapportés. Des cas d'hyponatrémie ont été rapportés, essentiellement associés à une déshydratation, à des vomissements, ou à une pneumonie. Des cas d'hypokaliémie, d'hypomagnésémie et d'hypocalcémie ont été observés, en général associés à des désordres gastro-intestinaux et en particulier la diarrhée. Des cas de syndrôme de lyse tumorale (fréquence inconnue), parfois fatals, ont été rapportés.
  • +Des cas de déséquilibre électrolytique ont été rapportés. Des cas d'hyponatrémie ont été rapportés, essentiellement associés à une déshydratation, à des vomissements, ou à une pneumonie. Des cas d'hypokaliémie, d'hypomagnésémie et d'hypocalcémie ont été observés, en général associés à des désordres gastro-intestinaux et en particulier la diarrhée. Des cas de syndrome de lyse tumorale de fréquence inconnue, parfois fatals, ont été rapportés.
  • -De rares cas d'entérocolites, incluant des colites, des colites ischémiques et des entérocolites neutropéniques, ont été rapportés avec une potentielle issue fatale (fréquence inconnue).
  • -De rares cas de déshydratation ont été rapportés suite à des événements gastro-intestinaux incluant des entérocolites et des perforations intestinales. De rares cas d'iléus et d'occlusion intestinale ont été rapportés.
  • +De rares cas d'entérocolites, incluant des colites, des colites ischémiques et des entérocolites neutropéniques, ont été rapportés avec une potentielle issue fatale et une fréquence inconnue.
  • +De rares cas de déshydratation ont été rapportés suite à des évènements gastro-intestinaux incluant des entérocolites et des perforations intestinales. De rares cas d'iléus et d'occlusion intestinale ont été rapportés.
  • -Affections musculo-squelettiques et du tissu conjonctif
  • +Troubles musculosquelettiques
  • -Dans une étude ouverte de phase III, 1'491 femmes atteintes de cancer du sein avec atteinte ganglionnaire opérable ont été traitées soit par docétaxel 75 mg/m2, doxorubicine 50 mg/m2 et cyclophosphamide 500 mg/m2 (TAC) soit par 5-fluorouracil 500 mg/m2, doxorubicine 50 mg/m2 et cyclophosphamide 500 mg/m2 (FAC). Le traitement a été instauré dans les 60 jours suivant l'opération et comprenait 6 cycles TAC ou FAC, suivis de tamoxifène prévu durant 5 ans. Les patientes ayant subi une lumpectomie (15,9%) ou une résection de quadrant (24,9%) ont subi une radiothérapie après la chimiothérapie. La moitié des patientes ayant subi une mastectomie ont suivi une radiothérapie. 5 ans après randomisation, 23,1% des femmes dans le groupe TAC (n= 745) et 30,4% des femmes dans le groupe FAC (n= 746) présentaient une rechute ou une seconde tumeur (11,5% du taux de rechute, dont n= 7 versus 8 avec tumeur dans l'autre sein). Dans la majorité des cas, il s'agissait de métastases éloignées, hasard ratio 0,72 (95% CI 0,59, 0,88), p= 0,001. Lors de l'analyse de sous-groupes, le hasard ratio était de 0,61 (0,46, 0,82) pour 1-3 ganglions positifs et de 0,83 (0,66, 1,08) pour ≥4 ganglions positifs. Les femmes pré ménopausées présentaient de meilleurs résultats que les femmes post ménopausées; les patientes présentant un index de performance de 100% (Karnofsky) et ayant reçu une radiothérapie adjuvante présentaient également un avantage. Deux analyses intermédiaires et 1 analyse finale ont été effectuées.
  • +Dans une étude ouverte de phase III, 1'491 femmes atteintes de cancer du sein avec atteinte ganglionnaire opérable ont été traitées soit par docétaxel 75 mg/m2, doxorubicine 50 mg/m2 et cyclophosphamide 500 mg/m2 (TAC) soit par 5-fluorouracil 500 mg/m2, doxorubicine 50 mg/m2 et cyclophosphamide 500 mg/m2 (FAC). Le traitement a été instauré dans les 60 jours suivant l'opération et comprenait 6 cycles TAC ou FAC, suivis de tamoxifène prévu durant 5 ans. Les patientes ayant subi une lumpectomie (15,9%) ou une résection de quadrant (24,9%) ont subi une radiothérapie après la chimiothérapie. La moitié des patientes ayant subi une mastectomie ont suivi une radiothérapie. 5 ans après randomisation, 23,1% des femmes dans le groupe TAC (n= 745) et 30,4% des femmes dans le groupe FAC (n= 746) présentaient une rechute ou une seconde tumeur (11,5% du taux de rechute, dont n= 7 versus 8 avec tumeur dans l'autre sein). Dans la majorité des cas, il s'agissait de métastases éloignées, hasard ratio 0,72 (95% CI 0,59, 0,88), p= 0,001. Lors de l'analyse de sous-groupes, le hasard ratio était de 0,61 (0,46, 0,82) pour 1-3 ganglions positifs et de 0,83 (0,66, 1,08) pour ≥4 ganglions positifs. Les femmes pré ménopausées présentaient de meilleurs résultats que les femmes post ménopausées; les patientes présentant un index de performance de Karnofsky de 100% et ayant reçu une radiothérapie adjuvante présentaient également un avantage. Deux analyses intermédiaires et 1 analyse finale ont été effectuées.
  • -·TCH: trastuzumab 4 mg/kg en dose de charge en perfusion IV de 90 min, le 1er jour du cycle 1, suivi de trastuzumab 2 mg/kg en perfusion IV de 30 min toutes les semaines à partir du 8ème jour jusqu'à 3 semaines après le dernier cycle de chimiothérapie.Du docétaxel 75 mg/m2 est administré le 2ème jour du 1er cycle, puis au 1er jour des cycles suivants, par perfusion IV de 1 heure, suivi de carboplatine (AUC 6 mg/ml/min) en perfusion IV de 30 à 60 min, pour un total de 6 cycles de docétaxel et carboplatine. En commençant 3 semaines après le dernier cycle de chimiothérapie, trastuzumab 6 mg/kg en perfusion IV de 30 min est administré toutes les 3 semaines, pendant 1 an à partir de la date de première administration.
  • +·TCH: trastuzumab 4 mg/kg en dose de charge en perfusion IV de 90 min, le 1er jour du cycle 1, suivi de trastuzumab 2 mg/kg en perfusion IV de 30 min toutes les semaines à partir du 8ème jour jusqu'à 3 semaines après le dernier cycle de chimiothérapie.Docétaxel 75 mg/m2 est administré le 2ème jour du 1er cycle, puis au 1er jour des cycles suivants, par perfusion IV de 1 heure, suivi de carboplatine (AUC 6 mg/ml/min) en perfusion IV de 30 à 60 min, pour un total de 6 cycles de docétaxel et carboplatine. En commençant 3 semaines après le dernier cycle de chimiothérapie, trastuzumab 6 mg/kg en perfusion IV de 30 min est administré toutes les 3 semaines, pendant 1 an à partir de la date de première administration.
  • -Deux études randomisées de phase III ont été conduites chez 326 patientes atteintes de cancer du sein métastatique en échec d'un agent alkylant et chez 392 patientes en échec d'une anthracycline. Les patientes en échec d'un agent alkylant ont reçu soit le docétaxel (100 mg/m2 toutes les 3 semaines) soit la doxorubicine (75 mg/m2 toutes les 3 semaines).
  • +Deux études randomisées de phase III ont été conduites chez 326 patientes atteintes de cancer du sein métastatique en échec d'un agent alkylant et chez 392 patientes en échec d'une chimiothérapie par anthracycline. Les patientes en échec d'un agent alkylant ont reçu soit le docétaxel (100 mg/m2 toutes les 3 semaines) soit la doxorubicine (75 mg/m2 toutes les 3 semaines).
  • -Au cours de ces études de phase III, le profil de tolérance de docétaxel a été semblable à celui observé dans les études de phase II (voir «Effets indésirables»).
  • +Au cours de ces études de phase III, le profil de tolérance du docétaxel a été semblable à celui observé dans les études de phase II (voir rubrique «Effets indésirables»).
  • -·Le taux de réponse global dans la population randomisée (évaluation par l'investigateur), était de 41,6% pour l'association docétaxel/capécitabine vs 29,7% pour le docétaxel en monothérapie. Ceci a été confirmé par un comité de révision indépendant (32,2% versus 23,1%, (p= 0,025)).
  • +·Le taux de réponse global dans la population randomisée (évaluation par l'investigateur), était de 41,6% pour l'association docétaxel/capécitabine vs 29,7% pour le docétaxel en monothérapie. Ceci a été confirmé par un comité de révision indépendant (32,2% vs 23,1%, (p= 0,025)).
  • -Lors d'une étude de phase III randomisée, 1'218 patients présentant un cancer bronchique non à petites cellules non résécable de stade IIIB ou IV et n'ayant pas reçu de chimiothérapie antérieure pour cette indication, ont été inclus soit dans le bras Tax/Cis (docétaxel 75 mg/m² en perfusion de 1 heure suivi par cisplatine 75 mg/m² en 30-60 min. toutes les 3 semaines), soit dans le bras Tax/Carbo (docétaxel 75 mg/m² en perfusion d'1 heure en association au carboplatine (AUC 6 mg/ml × min) en 30-60 min. toutes les 3 semaines), soit dans le bras contrôle Vin/Cis (vinorelbine 25 mg/m² administrée en 6-10 min. à J 1, J 8, J 15 et J 22 suivi par cisplatine à 100 mg/m² administré à J 1 du cycle, répété toutes les 4 semaines).
  • +Lors d'une étude de phase III randomisée, 1'218 patients présentant un cancer bronchique non à petites cellules non résécable de stade IIIB ou IV et n'ayant pas reçu de chimiothérapie antérieure pour cette indication, ont été inclus soit dans le bras Tax/Cis (docétaxel 75 mg/m² en perfusion de 1 heure suivi par cisplatine 75 mg/m² en 30-60 min. toutes les 3 semaines), soit dans le bras Tax/Carbo (docétaxel 75 mg/m² en perfusion d'1 heure en association au carboplatine (AUC 6 mg/ml × min) en 30-60 minutes toutes les 3 semaines), soit dans le bras contrôle Vin/Cis (vinorelbine 25 mg/m² administrée en 6-10 min. à J 1, J 8, J 15 et J 22 suivi par cisplatine à 100 mg/m² administré à J 1 du cycle, répété toutes les 4 semaines).
  • -Chimiothérapie d'induction suivie de radiothérapie
  • +·Chimiothérapie d'induction suivie de radiothérapie
  • -La résection chirurgicale a été autorisée suite à la chimiothérapie, avant et après la radiothérapie. Les patients dans le bras TPF ont reçu des antibiotiques en prophylaxie avec ciprofloxacine 500 mg oralement, 2 fois par jour durant 10 jours. En commençant au jour 5 de chaque cycle ou équivalent.
  • -Le critère d'évaluation primaire de cette étude, la survie sans progression (PFS), a été plus longue dans le bras TCF en comparaison avec le bras CF, p = 0,0042 (PFS médian: 11,4 versus 8,3 mois respectivement), avec une durée globale médiane de suivi de 33,7 mois. La survie globale médiane fut aussi significativement plus longue en faveur du bras TCF en comparaison avec le bras CF (survie globale médiane: 18,6 vs 14,5 mois respectivement), avec une réduction du risque de mortalité de 28%, p= 0,0128. Le taux de réponse à la chimiothérapie était de 67,8% pour TCF vs 53,6% pour CF (p= 0,006).
  • -Chimiothérapie d'induction suivie de chimio radiothérapie
  • +La résection chirurgicale a été autorisée suite à la chimiothérapie, avant et après la radiothérapie. Les patients dans le bras TPF ont reçu des antibiotiques en prophylaxie avec ciprofloxacine 500 mg oralement, 2 fois par jour durant 10 jours. En commençant au jour 5 de chaque cycle.
  • +Le critère d'évaluation primaire de cette étude, la survie sans progression (PFS), a été plus longue dans le bras TCF en comparaison avec le bras CF, p = 0,0042 (PFS médian: 11,4 vs 8,3 mois respectivement), avec une durée globale médiane de suivi de 33,7 mois. La survie globale médiane fut aussi significativement plus longue en faveur du bras TCF en comparaison avec le bras CF (survie globale médiane: 18,6 vs 14,5 mois respectivement), avec une réduction du risque de mortalité de 28%, p= 0,0128. Le taux de réponse à la chimiothérapie était de 67,8% pour TCF vs 53,6% pour CF (p= 0,006).
  • +·Chimiothérapie d'induction suivie de chimio radiothérapie
  • -Après administration d'une dose de 100 mg/m², sous forme d'une perfusion d'une heure, la valeur de Cmax est de 3,7 µg/ml, avec une aire sous la courbe (AUC) de 4,6 h × µg/ml. Le docétaxel pénètre dans les cellules à des concentrations élevées et y persiste pendant une durée prolongée. La valeur moyenne du volume de distribution à l'équilibre est de 113 l. Le docétaxel se lie à plus de 95% aux protéines plasmatiques.
  • +Après administration d'une dose de 100 mg/m², sous forme d'une perfusion d'une heure, la Cmax est de 3,7 µg/ml, avec une aire sous la courbe (AUC) de 4,6 h × µg/ml. Le docétaxel pénètre dans les cellules à des concentrations élevées et y persiste pendant une durée prolongée. La valeur moyenne du volume de distribution à l'équilibre est de 113 l. Le docétaxel se lie à plus de 95% aux protéines plasmatiques.
  • -Le docétaxel est métabolisé par oxydation du groupement ester tertiaire butylique. Dans les 7 jours suivant la perfusion de docétaxel, 6% de la dose sont retrouvés dans les urines et 75% dans les fèces. 80% de la radioactivité retrouvée dans les fèces est excrétée au cours des premières 48 heures sous forme de métabolites inactifs (un métabolite principal et trois métabolites secondaires) et de très faibles quantités de produit inchangé (environ 8%). Des essais in vitro suggèrent que des isoenzymes de la sous-famille du cytochrome P450-3A sont impliqués dans le métabolisme du docétaxel.
  • +Le docétaxel est métabolisé par oxydation du groupement ester tertiaire butylique. Dans les 7 jours suivant la perfusion de docétaxel, 6% de la dose sont retrouvés dans les urines et 75% dans les fèces. 80% de la radioactivité retrouvée dans les fèces est excrétée au cours des premières 48 heures sous forme d'un métabolite inactif principal et de trois métabolites inactifs secondaires et de très faibles quantités de produit inchangé (environ 8%). Des essais in vitro suggèrent que des isoenzymes de la sous-famille du cytochrome P450-3A sont impliqués dans le métabolisme du docétaxel.
  • -Les demi-vies s'élèvent à t½α = 4 min, t½β = 36 min et t½γ = 11,1 h. La valeur moyenne de la clairance corporelle totale pour une dose de 100 mg/m² de docétaxel est égale à 21 l/h/m² (avec des variations interindividuelles d'environ 50%).
  • +La cinétique du docétaxel correspond à un modèle à trois compartiments, avec des demi-vies de 4 min, 36 min et 11,1 heures pour les phases α, ß et γ (phase terminale), respectivement, pour des prélèvements jusqu'à 24 heures. Une étude supplémentaire évaluant la pharmacocinétique du docétaxel à des doses similaires (35-100 mg/m²) chez des patients, mais sur un intervalle de temps plus long (plus de 22 jours) a montré une demi-vie d'élimination terminale moyenne plus longue de 91 heures (intervalle de moyenne de 61 à 120 heures).
  • +La valeur moyenne de la clairance corporelle totale pour une dose de 100 mg/m² de docétaxel est égale à 21 l/h/m² (avec des variations interindividuelles d'environ 50%).
  • -Insuffisance hépatique:
  • -Chez les patients (n= 23) présentant des valeurs de laboratoire élevées (ALAT, ASAT ≥1,5 fois la limite supérieure de la normale et phosphatase alcaline ≥2,5 fois la limite supérieure de la normale), la clairance a diminué en moyenne de 27% (voir «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Insuffisance rénale:
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Chez les patients (n= 23) présentant des valeurs de laboratoire élevées (ALAT, ASAT ≥1,5 fois la limite supérieure de la normale et phosphatase alcaline ≥2,5 fois la limite supérieure de la normale), la clairance a diminué en moyenne de 27% (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Troubles de la fonction rénale
  • -Mutagénicité
  • -Le docétaxel s'est révélé mutagène dans les tests du micronoyau et d'aberration chromosomique in vitro sur des cellules CHO-K1 ainsi que dans le test du micronoyau in vivo chez la souris. Ni le test d'Ames ni l'essai de mutation génique CHO/HGPRT n'ont mis en évidence un effet mutagène du produit. Ces résultats concordent avec l'activité pharmacologique du docétaxel.
  • +Génotoxicité
  • +Le docétaxel s'est révélé génotoxique par un mécanisme aneugène dans les tests du micronoyau et d'altération chromosomique in vitro sur des cellules CHO-K1 ainsi que dans le test du micronoyau in vivo chez la souris. Ni le test d'Ames ni l'essai de mutation génique CHO/HGPRT n'ont mis en évidence un effet mutagène. Ces résultats concordent avec l'activité pharmacologique du docétaxel.
  • -Août 2021.
  • -Numéro de version interne: 6.1
  • +Février 2023.
  • +Numéro de version interne: 7.1
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