68 Changements de l'information professionelle Cytarabin Sandoz 40 mg/2 ml |
-Principe actif: Cytarabinum.
-Excipients: Natrii lactatis solutio, acidum lacticum, natrii chloridum (seulement la concentration de 20 mg/ml), aqua ad iniectabilia q.s. ad solutionem.
-Forme galénique et quantité de principe actif par unité
-Cytarabine Sandoz solution à diluer pour solution injectable/pour perfusion i.v/s.c./intrathécale, flacons-perforables à :
-40 mg/2 ml, 100 mg/5 ml (concentration = 20 mg/ml).
-500 mg/10 ml, 1000 mg/20 ml, 2000 mg/40 ml (concentration = 50 mg/ml).
- +Principes actifs
- +Cytarabinum.
- +Excipients
- +Natrii lactatis solutio, acidum lacticum, natrii chloridum (seulement la concentration de 20 mg/ml), aqua ad iniectabilia q.s. ad solutionem.
-Le traitement d'induction dans la leucémie myéloïde aiguë a généralement lieu avec la cytarabine en association à d'autres cytostatiques. La dose standard de cytarabine est de 100–200 mg/m²/jour en perfusion intraveineuse continue pendant 7 jours. L'administration de Cytarabine Sandoz à la dose élevée de 2–3 g/m² aura lieu par voie intraveineuse sur 1–3 heures à intervalles de 12 heures pendant 2–6 jours.
- +Le traitement d'induction dans la leucémie myéloïde aiguë a généralement lieu avec la cytarabine en association à d'autres cytostatiques. La dose standard de cytarabine est de 100‒200 mg/m²/jour en perfusion intraveineuse continue pendant 7 jours. L'administration de Cytarabine Sandoz à la dose élevée de 2‒3 g/m² aura lieu par voie intraveineuse sur 1‒3 heures à intervalles de 12 heures pendant 2‒6 jours.
-La dose de prévention lors de leucémie lymphatique aiguë et de traitement de la méningite lymphomateuse est de 30 mg/m² de surface corporelle de cytarabine, 15 mg/m² de surface corporelle de succinate sodique d'hydrocortisone et elle est déterminée en fonction de l'âge pour le méthotrexate (<1 an: 6 mg; ≥1 an: 8 mg; ≥2 ans: 10 mg; ≥3 ans: 12 mg; ≥9 ans: 15 mg; cf. aussi l'information professionnelle sur le méthotrexate). La dose unique maximale absolue de méthotrexate, administrée par voie intrathécale, s'élève à 15 mg. Lorsque le tableau clinique méningé aigu a été traité avec succès, la poursuite d'une prévention par l'association des 3 produits cités peut être avantageuse.
- +La dose de prévention lors de leucémie lymphatique aiguë et de traitement de la méningite est de 30 mg/m² de surface corporelle de cytarabine, 15 mg/m² de surface corporelle de succinate sodique d'hydrocortisone et elle est déterminée en fonction de l'âge pour le méthotrexate (<1 an: 6 mg; ≥1 an: 8 mg; ≥2 ans: 10 mg; ≥3 ans: 12 mg; ≥9 ans: 15 mg; cf. aussi l'information professionnelle sur le méthotrexate). La dose unique maximale absolue de méthotrexate, administrée par voie intrathécale, s'élève à 15 mg. Lorsque le tableau clinique méningé aigu a été traité avec succès, la poursuite d'une prévention par l'association des 3 produits cités peut être avantageuse.
-La posologie de Cytarabine Sandoz devra être diminuée ou le médicament supprimé aux premiers signes d'une dépression sévère de la moelle osseuse. Si le taux des thrombocytes tombe au-dessous de 50× 109/l et celui des granulocytes au-dessous de 1× 109/l, l'arrêt de Cytarabine Sandoz doit être envisagé. Le traitement pourra être poursuivi lorsque les taux des thrombocytes et des granulocytes périphériques seront remontés aux valeurs citées plus haut. Ces directives peuvent être modifiées en fonction des signes de toxicité extra-médullaire ou en fonction de la rapidité de la baisse du nombre des éléments cellulaires sanguins. Toutefois, attendre la normalisation hématologique totale avant la reprise du traitement peut conduire à une perte de contrôle de la maladie.
- +La posologie de Cytarabine Sandoz devra être diminuée ou le médicament supprimé aux premiers signes d'une dépression sévère de la moelle osseuse. Si le taux des thrombocytes tombe au-dessous de 50x 109/l et celui des granulocytes au-dessous de 1x 109/l, l'arrêt de Cytarabine Sandoz doit être envisagé. Le traitement pourra être poursuivi lorsque les taux des thrombocytes et des granulocytes périphériques seront remontés aux valeurs citées plus haut. Ces directives peuvent être modifiées en fonction des signes de toxicité extra-médullaire ou en fonction de la rapidité de la baisse du nombre des éléments cellulaires sanguins. Toutefois, attendre la normalisation hématologique totale avant la reprise du traitement peut conduire à une perte de contrôle de la maladie.
-Des contrôles réguliers du nombre des thrombocytes et leucocytes, ainsi que l'examen de la moelle osseuse, sont indispensables chez les patients sous cytarabine. Une dépression de la moelle osseuse d'origine médicamenteuse avec baisse du nombre de thrombocytes au-dessous de 50× 109/l et de granulocytes au-dessous de 1× 109/l exige soit l'interruption du traitement, soit une modification de la posologie. La diminution des éléments cellulaires du sang peut persister également après l'arrêt de la cytarabine et n'atteindre son niveau maximum qu'après 12 à 24 jours sans médication. Si nécessaire, le traitement pourra être repris dès l'apparition de signes objectifs d'un rétablissement de la moelle osseuse. Toutefois, attendre la normalisation hématologique totale avant la reprise du traitement peut exposer à une progression incontrôlable de la maladie.
- +Des contrôles réguliers du nombre des thrombocytes et leucocytes, ainsi que l'examen de la moelle osseuse, sont indispensables chez les patients sous cytarabine. Une dépression de la moelle osseuse d'origine médicamenteuse avec baisse du nombre de thrombocytes au-dessous de 50x 109/l et de granulocytes au-dessous de 1x 109/l exige soit l'interruption du traitement, soit une modification de la posologie. La diminution des éléments cellulaires du sang peut persister également après l'arrêt de la cytarabine et n'atteindre son niveau maximum qu'après 12 à 24 jours sans médication. Si nécessaire, le traitement pourra être repris dès l'apparition de signes objectifs d'un rétablissement de la moelle osseuse. Toutefois, attendre la normalisation hématologique totale avant la reprise du traitement peut exposer à une progression incontrôlable de la maladie.
-Un traitement à haute dose par 2–3 g/m² de cytarabine peut entraîner une toxicité neurologique centrale, gastro-intestinale ou pulmonaire sévère, en partie fatale. Les réactions suivantes peuvent survenir: toxicité cornéenne et conjonctivite hémorragique réversibles; dysfonction cérébrale et cérébelleuse le plus souvent réversible, y compris modifications de la personnalité, somnolence, convulsions et coma; ulcérations gastro-intestinales sévères, y compris pneumatose kystique de l'intestin susceptible d'entraîner une péritonite, une septicémie et un abcès hépatique. Nécroses intestinales, colite nécrosante, atteinte hépatique avec hyperbilirubinémie. La toxicité pulmonaire comprend en particulier les réactions suivantes: œdème pulmonaire et syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA).
- +Un traitement à haute dose par 2‒3 g/m² de cytarabine peut entraîner une toxicité neurologique centrale, gastro-intestinale ou pulmonaire sévère, en partie fatale. Les réactions suivantes peuvent survenir: toxicité cornéenne et conjonctivite hémorragique réversibles; dysfonction cérébrale et cérébelleuse le plus souvent réversible, y compris modifications de la personnalité, somnolence, convulsions et coma; ulcérations gastro-intestinales sévères, y compris pneumatose kystique de l'intestin susceptible d'entraîner une péritonite, une septicémie et un abcès hépatique, nécroses intestinales, colite nécrosante, atteinte hépatique avec hyperbilirubinémie. La toxicité pulmonaire comprend en particulier les réactions suivantes: œdème pulmonaire et syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA).
-L'administration de vaccins vivants ou atténués à des patients immunosupprimés par une chimiothérapie (y compris la cytarabine) peut entraîner des infections sévères, voire fatales. L'immunisation par des vaccins vivants devrait être évitée chez les patients sous cytarabine. Il faut tenir compte du fait que la protection vaccinale peut être diminuée en cas d'immunisation par des vaccins atténués ou tués.
- +L'administration de vaccins vivants ou atténués à des patients immunosupprimés par une chimiothérapie (y compris la cytarabine) peut entraîner des infections sévères, voire fatales. L'immunisation par des vaccins vivants devrait être évitée chez les patients sous cytarabine.
- +Il faut tenir compte du fait que la protection vaccinale peut être diminuée en cas d'immunisation par des vaccins atténués ou tués.
- +Grossesse
- +Allaitement
- +
-L’effet indésirable le plus important de Cytarabine Sandoz est la dépression médullaire avec leucopénie, thrombopénie et anémie. Les effets indésirables moins sévères regroupent nausée, vomissement, diarrhée et douleurs abdominales, ulcérations orales et troubles de la fonction hépatique.
- +L'effet indésirable le plus important de Cytarabine Sandoz est la dépression médullaire avec leucopénie, thrombopénie et anémie. Les effets indésirables moins sévères regroupent nausée, vomissement, diarrhée et douleurs abdominales, ulcérations orales et troubles de la fonction hépatique.
-Avec les posologies élevées (2–3 g/m²) et à l’inverse des schémas thérapeutiques conventionnels, des complications parfois menaçant le pronostic vital ont été observées au niveau du système nerveux central, des yeux, du tube digestif et des poumons.
- +Avec les posologies élevées (2‒3 g/m²) et à l'inverse des schémas thérapeutiques conventionnels, des complications parfois menaçant le pronostic vital ont été observées au niveau du système nerveux central, des yeux, du tube digestif et des poumons.
-L’administration par voie intrathécale peut provoquer une toxicité systémique. Les effets indésirables les plus fréquents lors de l’administration par voie intrathécale sont les nausées, les vomissements et la fièvre; ces réactions sont le plus souvent légères et limitées.
-Chez l’enfant, des cas de leucoencéphalopathie nécrosante, en partie avec des convulsions, sont survenus; ces patients avaient en partie été traités par une injection intrathécale de méthotrexate et/ou d’hydrocortisone, ainsi que par une irradiation simultanée du système nerveux central. Par ailleurs, des cas de paraplégie et de neurotoxicité isolée ont été observés. Chez deux patients, une cécité est survenue au stade de rémission après un traitement par chimiothérapie systémique, irradiation prophylactique du SNC et administration intrathécale de cytarabine.
- +L'administration par voie intrathécale peut provoquer une toxicité systémique. Les effets indésirables les plus fréquents lors de l'administration par voie intrathécale sont les nausées, les vomissements et la fièvre; ces réactions sont le plus souvent légères et limitées.
- +Chez l'enfant, des cas de leucoencéphalopathie nécrosante, en partie avec des convulsions, sont survenus; ces patients avaient en partie été traités par une injection intrathécale de méthotrexate et/ou d'hydrocortisone, ainsi que par une irradiation simultanée du système nerveux central.
- +Par ailleurs, des cas de paraplégie et de neurotoxicité isolée ont été observés. Chez deux patients, une cécité est survenue au stade de rémission après un traitement par chimiothérapie systémique, irradiation prophylactique du SNC et administration intrathécale de cytarabine.
-«très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10’000), «très rares» (<1/10’000), «fréquence inconnue» (la fréquence ne peut pas être estimée sur la base des données disponibles).
- +«très fréquents» (≥1/10), «fréquents» (<1/10, ≥1/100), «occasionnels» (<1/100, ≥1/1000), «rares» (<1/1000, ≥1/10'000), «très rares» (<1/10'000), «fréquence inconnue» (la fréquence ne peut pas être estimée sur la base des données disponibles).
-Très fréquent: insuffisance médullaire, thrombopénie, anémie, anémie mégaloblastique, leucopénie, neutropénie, réticulocytopénie. La sévérité dépend de la dose administrée et du schéma thérapeutique. Aux doses thérapeutiques, une baisse des leucocytes et des thrombocytes est prévisible en l’espace d’une semaine, avec un nadir autour de 12–14 jours.
- +Très fréquent: insuffisance médullaire, thrombopénie, anémie, anémie mégaloblastique, leucopénie, neutropénie, réticulocytopénie. La sévérité dépend de la dose administrée et du schéma thérapeutique. Aux doses thérapeutiques, une baisse des leucocytes et des thrombocytes est prévisible en l'espace d'une semaine, avec un nadir autour de 12‒14 jours.
-Fréquence inconnue: cas isolés de réactions anaphylactiques (voir «Mises en garde et précautions»), œdème d’origine allergique.
- +Fréquence inconnue: cas isolés de réactions anaphylactiques (voir «Mises en garde et précautions»), œdème d'origine allergique.
-Cas isolés de paraplégie, d’encéphalite nécrosante.
- +Cas isolés de paraplégie, d'encéphalite nécrosante.
-Fréquent: lésions réversibles de la cornée et conjonctivite (peut survenir en association avec une éruption; conjonctivite hémorragique possible lors de traitement à haute dose). Une conjonctivite peut être évitée ou atténuée par l’administration préventive de collyre à base de corticoïdes.
- +Fréquent: lésions réversibles de la cornée et conjonctivite (peut survenir en association avec une éruption; conjonctivite hémorragique possible lors de traitement à haute dose). Une conjonctivite peut être évitée ou atténuée par l'administration préventive de collyre à base de corticoïdes.
-Très fréquent: syndrome de détresse respiratoire aiguë (Respiratory Distress Syndrome) avec œdème pulmonaire rapidement évolutif dû à une augmentation de la perméabilité des capillaires alvéolaires, et cardiomégalie marquée sur la radiographie (10–30% lors de traitement à haute dose, occasionnel aux doses conventionnelles). Ces complications pulmonaires sont généralement réversibles.
- +Très fréquent: syndrome de détresse respiratoire aiguë (Respiratory Distress Syndrome) avec œdème pulmonaire rapidement évolutif dû à une augmentation de la perméabilité des capillaires alvéolaires, et cardiomégalie marquée sur la radiographie (10‒30% lors de traitement à haute dose, occasionnel aux doses conventionnelles). Ces complications pulmonaires sont généralement réversibles.
-Très rare: pneumonie interstitielle diffuse lors d’un traitement par 1 g/m² de la cytarabine avec ou sans l’adjonction d’un autre cytostatique (sans lien direct avec la cytarabine).
- +Très rare: pneumonie interstitielle diffuse lors d'un traitement par 1 g/m² de la cytarabine avec ou sans l'adjonction d'un autre cytostatique (sans lien direct avec la cytarabine).
-Fréquent: nausée et vomissements durant jusqu’à plusieurs heures après l’administration (notamment après une injection intraveineuse rapide), colite nécrosante (traitement à haute dose), stomatite, inflammations ou ulcérations orales ou anales, diarrhée, douleurs abdominales, oesophagite, douleurs dans la gorge.
-Rare: sous traitement à haute dose, nécroses ou ulcérations gastro-intestinales sévères, y compris pneumatose kystique de l’intestin, susceptibles de provoquer une péritonite, une septicémie ou des abcès hépatiques.
-Cas d’ulcère œsophagien. Cas isolés de pancréatite aiguë lors de l’administration de cytarabine en association avec d’autres produits.
- +Fréquent: nausée et vomissements durant jusqu'à plusieurs heures après l'administration (notamment après une injection intraveineuse rapide), colite nécrosante (traitement à haute dose), stomatite, inflammations ou ulcérations orales ou anales, diarrhée, douleurs abdominales, oesophagite, douleurs dans la gorge.
- +Rare: sous traitement à haute dose, nécroses ou ulcérations gastro-intestinales sévères, y compris pneumatose kystique de l'intestin, susceptibles de provoquer une péritonite, une septicémie ou des abcès hépatiques.
- +Cas d'ulcère œsophagien. Cas isolés de pancréatite aiguë lors de l'administration de cytarabine en association avec d'autres produits.
-Troubles généraux et anomalies au site d’administration
- +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
-Rare: manifestations inflammatoires douloureuses ou cellulite au site d’injection après une injection sous-cutanée.
- +Rare: manifestations inflammatoires douloureuses ou cellulite au site d'injection après une injection sous-cutanée.
-Le syndrome de la cytarabine se caractérise par de la fièvre, des myalgies et des douleurs osseuses, occasionnellement des douleurs thoraciques, un exanthème maculopapuleux, une conjonctivite et une sensation de malaise général. Ce syndrome survient généralement 6 à 12 heures après l’administration du produit. L’administration de corticoïdes s’est avérée utile pour le traitement ou la prévention de ce syndrome. Si les symptômes apparaissent comme répondant à un traitement, l’administration de corticoïdes associée à la poursuite du traitement doit être prise en considération.
- +Le syndrome de la cytarabine se caractérise par de la fièvre, des myalgies et des douleurs osseuses, occasionnellement des douleurs thoraciques, un exanthème maculopapuleux, une conjonctivite et une sensation de malaise général. Ce syndrome survient généralement 6 à 12 heures après l'administration du produit. L'administration de corticoïdes s'est avérée utile pour le traitement ou la prévention de ce syndrome. Si les symptômes apparaissent comme répondant à un traitement, l'administration de corticoïdes associée à la poursuite du traitement doit être prise en considération.
- +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
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-Code ATC: L01BC01
-Mécanisme d'action/pharmacodynamie
-Cytarabine Sandoz contient comme principe actif la cytarabine (1-bêta-D-arabinosyl-4-amino-2(1H)pyrimidinone). La cytarabine est un nucléoside pyrimidique de synthèse qui se distingue des nucléosides physiologiques cytidine et désoxycytidine uniquement par son sucre: dans la molécule de cytarabine se trouve l'arabinose, qui remplace le ribose ou le désoxyribose. La cytarabine est un antagoniste de la pyrimidine.
- +Code ATC
- +L01BC01
- +Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
- +Cytarabine Sandoz contient comme principe actif la cytarabine (1-bêta-D-arabinosyl-4-amino-2(1H) pyrimidinone). La cytarabine est un nucléoside pyrimidique de synthèse qui se distingue des nucléosides physiologiques cytidine et désoxycytidine uniquement par son sucre: dans la molécule de cytarabine se trouve l'arabinose, qui remplace le ribose ou le désoxyribose. La cytarabine est un antagoniste de la pyrimidine.
- +Efficacité clinique
- +Aucune information disponible.
- +
-Elimination
- +Élimination
-La cytarabine est mutagène en expérimentation animale. Chez l'être humain, une augmentation des lésions chromosomiques a été observée dans les lymphocytes périphériques après traitement par cytarabine.
-Aucune étude à long terme n'a été menée sur le potentiel cancérogène. Des études menées sur la souris et le rat pendant 6 mois n'ont mis en évidence aucun signe indiquant une accentuation du potentiel cancérogène.
- +La cytarabine est mutagène en expérimentation animale. Chez l'être humain, une augmentation des lésions chromosomiques a été observée dans les lymphocytes périphériques après traitement par cytarabine. Aucune étude à long terme n'a été menée sur le potentiel cancérogène. Des études menées sur la souris et le rat pendant 6 mois n'ont mis en évidence aucun signe indiquant une accentuation du potentiel cancérogène.
-Il y a incompatibilité physique entre la cytarabine et l’héparine, l’insuline, le 5-fluorouracile, les pénicillines comme l’oxacilline ou la pénicilline G, ainsi que le succinate sodique de méthylprednisolone.
-La solution à diluer pour solution injectable/pour perfusion peut être diluée dans une solution de chlorure de sodium à 0,9%, de glucose à 5% ou une solution de Ringer pour donner une concentration finale de 0,1 à 20 mg/ml.
- +Il y a incompatibilité physique entre la cytarabine et l'héparine, l'insuline, le 5-fluorouracile, les pénicillines comme l'oxacilline ou la pénicilline G, ainsi que le succinate sodique de méthylprednisolone.
- +La solution à diluer pour solution injectable/pour perfusion peut être diluée dans une solution de chlorure de sodium à 0,9%, de glucose à 5% ou une solution de Ringer pour donner une concentration finale de 0,1 à 20 mg/ml.
-Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
-Remarques concernant le stockage
-Conserver dans l’emballage original, à température ambiante (15–25 °C) et hors de la portée des enfants. Ne pas tenir au réfrigérateur ou congeler.
- +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l'emballage.
- +Remarques particulières concernant le stockage
- +Conserver dans l'emballage original, à température ambiante (15‒25 °C) et hors de la portée des enfants. Ne pas tenir au réfrigérateur ou congeler.
-Comme pour tous les cytostatiques, les directives usuelles des cytostatiques doivent être suivies lors de la préparation de solution à diluer pour solution injectable/pour perfusion de cytarabine et de leur élimination.
- +Comme pour tous les cytostatiques, les directives usuelles des cytostatiques doivent être suivies lors de la préparation de solution à diluer pour solution injectable/pour perfusion de cytarabine et de leur élimination.
-Pour la posologie de 100–200 mg/m²/jour, diluer le volume nécessaire de Cytarabine Sandoz dans 1 litre ou dans un autre volume souhaité avec une solution de NaCl à 0,9%, de glucose à 5% ou de solution de Ringer et administrer en perfusion intraveineuse continue sur 24 heures. Pour la posologie élevée de 2–3 g/m², ajouter Cytarabine Sandoz à 250–500 ml de solution de glucose à 5%, de NaCl à 0,9% ou de solution de Ringer et administrer en perfusion intraveineuse sur 1–3 heures. Il ne faut pas utiliser de solvant contenant de l'alcool benzylique lors du traitement à haute dose.
- +Pour la posologie de 100‒200 mg/m²/jour, diluer le volume nécessaire de Cytarabine Sandoz dans 1 litre ou dans un autre volume souhaité avec une solution de NaCl à 0,9%, de glucose à 5% ou de solution de Ringer et administrer en perfusion intraveineuse continue sur 24 heures. Pour la posologie élevée de 2‒3 g/m², ajouter Cytarabine Sandoz à 250‒500 ml de solution de glucose à 5%, de NaCl à 0,9% ou de solution de Ringer et administrer en perfusion intraveineuse sur 1‒3 heures. Il ne faut pas utiliser de solvant contenant de l'alcool benzylique lors du traitement à haute dose.
-Pour diluer, utiliser une solution de NaCl à 0,9%. La concentration finale doit être calculée de sorte que 10 ml de solution injectable seront administrés par m² de surface corporelle, ou que l’administration actuelle soit de 10 ml au moins.
- +Pour diluer, utiliser une solution de NaCl à 0,9%. La concentration finale doit être calculée de sorte que 10 ml de solution injectable seront administrés par m² de surface corporelle, ou que l'administration actuelle soit de 10 ml au moins.
-Cytarabine Sandoz ne contient pas d’agent conservateur.
-La préparation prête à l’emploi doit être utilisée immédiatement après l’ouverture.
- +Cytarabine Sandoz ne contient pas d'agent conservateur.
- +La préparation prête à l'emploi doit être utilisée immédiatement après l'ouverture.
-Du point de vue microbiologique, les solutions pour perfusion doivent être administrées immédiatement après leur préparation et peuvent être conservées au réfrigérateur (2–8 °C) au maximum pendant 24 heures.
- +Du point de vue microbiologique, les solutions pour perfusion doivent être administrées immédiatement après leur préparation et peuvent être conservées au réfrigérateur (2‒8 °C) au maximum pendant 24 heures.
-61226 (Swissmedic).
- +61226 (Swissmedic)
-Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch; domicile: Rotkreuz.
- +Sandoz Pharmaceuticals SA, Risch; domicile: Rotkreuz
-Février 2018.
- +Mai 2019
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