59 Changements de l'information professionelle Pamorelin LA 22.5 mg |
- +Puberté précoce centrale (central precocious puberty, CPP) chez les enfants de 2 ans et plus avec un début de la CPP avant 8 ans chez les filles et 9 ans chez les garçons.
- +Mode d'administration
- +La préparation Pamorelin LA 22,5 mg doit être injectée par voie intramusculaire.
- +Du fait que Pamorelin LA 22,5 mg est une suspension de microgranules, toute injection intravasculaire doit absolument être évitée. Le site d'injection doit changer périodiquement.
-La posologie usuelle est d'une injection intramusculaire de Pamorelin LA 22,5 mg toutes les 24 semaines sous contrôle médical.
-Instructions posologiques particulières
-Contrôle du traitement
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- +La posologie usuelle pour toutes les indications est d'une injection intramusculaire de Pamorelin LA 22,5 mg toutes les 24 semaines sous contrôle médical.
-Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
-Aucune adaptation de la posologie n'est requise pour les patients souffrant d'une fonction hépatique limitée.
-Patients présentant des troubles de la fonction rénale
-Aucune adaptation de la posologie n'est requise pour les patients souffrant d'une fonction rénale limitée.
- +Puberté précoce centrale
- +Le traitement des enfants par Pamorelin LA 22,5 mg doit se faire sous la surveillance générale d'un endocrino-pédiatre, d'un pédiatre ou d'un endocrinologue ayant une expertise dans le traitement de la puberté précoce centrale.
- +Afin d'assurer la surveillance du traitement, des dosages hormonaux adaptés doivent être réalisés entre 1 et 2 mois après l'injection de la première dose, puis à la discrétion du médecin traitant. La taille de l'enfant doit être mesurée tous les 3 à 6 mois. Il faut également procéder à une surveillance régulière de l'âge osseux.
- +Le traitement doit être arrêté chez les filles avant l'âge de 11 ans et chez les garçons avant l'âge de 12 ans.
- +Instructions posologiques particulières
- +Enfants et adolescents
- +La sécurité et l'efficacité de Pamorelin LA 22,5 mg n'ont pas été étudiées chez les enfants de moins de 2 ans. Une utilisation dans cette classe d'âge n'est donc pas recommandée.
-Aucune indication de ce médicament n'existe pour les femmes ménopausées.
-Enfants et adolescents
-La sécurité et l'efficacité de Pamorelin LA 22,5 mg n'ont pas été étudiées chez les enfants et les adolescents. Aucune indication n'existe donc pour ce groupe d'âge.
-Mode d'administration
-Du fait que Pamorelin LA 22,5 mg est une suspension d'un microgranulés, toute injection intravasculaire doit absolument être évitée.Le site d'injection doit changer périodiquement.
- +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
- +Aucune adaptation de la posologie n'est requise pour les patients souffrant d'une fonction rénale limitée.
- +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
- +Aucune adaptation de la posologie n'est requise pour les patients souffrant d'une fonction hépatique limitée.
-Hypersensibilité à la triptoréline, à d'autres analogues GnRH, ou à l'un des excipients selon la composition.
- +Grossesse et l'allaitement (voir «Grossesse/Allaitement»).
- +Hypersensibilité à la triptoréline, à d'autres analogues de la GnRH, ou à l'un des excipients selon la composition.
-Réactions allergiques:
-Peu après l'injection de Pamorelin LA 22,5 mg ont été observées quelques rares réactions allergiques. De rares cas de choc anaphylactique et d'oedème angioneurotique ont été décrits après administration de triptoréline. Paresthésies et migraines sévères sont rares. Dans les cas graves ou récidivants, interrompre le traitement.
-Patients sous anticoagulants:
- +Mises en garde générales
- +Réactions d'hypersensibilité:
- +Peu après l'injection de Pamorelin LA 22,5 mg ont été observées quelques rares réactions allergiques. De rares cas de choc anaphylactique et d'oedème angioneurotique ont été décrits après administration de triptoréline.
- +Patients sous anticoagulants
-Des troubles de l'humeur allant jusqu'à des dépressions (dont certaines sévères) ont été rapportés sous traitement par triptoréline. Les patients souffrant de dépression (même dans leur anamnèse) doivent donc être étroitement surveillés pendant la prise de Pamorelin LA 22,5 mg.
-Apoplexie hypophysaire: De rares cas d'apoplexie hypophysaire (syndrome clinique résultant d'un infarcissement hypophysaire) ont été décrits après administration d'agonistes de la GnRH. Un adénome hypophysaire a été diagnostiqué dans la plupart de ces cas. La plupart des cas se sont produits dans les 2 semaines, certains dans l'heure ayant suivi la première injection. L'apoplexie hypophysaire s'est manifestée par céphalées soudaines, vomissements, troubles visuels, ophtalmoplégie, altération de l'état mental et parfois collapsus cardiovasculaire.
-Une intervention médicale immédiate est indispensable.
-Il ne faut donc pas administrer d'agoniste de la GnRH en cas d'adénome hypophysaire connu.
-Cancer de la prostate
-Comme les autres agonistes de la GnRH, la triptoréline provoque une ascension passagère du taux de testostérone circulante au cours de la première semaine après la première injection de la forme à libération retardée du principe actif. Ce qui est également possible si l'intervalle entre 2 injections est > 24 semaines. Contrairement à la chute du taux de testostérone suite à une orchidectomie, un faible pourcentage de patients (<5%) peut présenter une aggravation passagère des signes et symptômes de carcinome prostatique en raison de l'ascension initiale du taux de testostérone circulante. Ce qui se manifeste la plupart du temps par une aggravation des douleurs cancéreuses, principalement par une neuropathie, une hématurie et des douleurs osseuses pouvant être maîtrisées par un traitement symptomatique. Des cas isolés peuvent présenter une aggravation de leurs symptômes, soit une obstruction de l'uretère ou du sphincter vésical, ou une compression médullaire par métastases, pouvant s'accompagner de paralysies avec ou sans issue fatale.
- +Des troubles de l'humeur allant jusqu'à des dépressions (dont certaines sévères) ont été rapportés sous traitement par triptoréline. De rares cas d'idées suicidaires ou de tentatives de suicide ont également été rapportés sous traitement par d'autres analogues de la GnRH. Les patients souffrant de dépression (même dans leur anamnèse) doivent donc être étroitement surveillés pendant la prise de Pamorelin LA 22,5 mg. Les patients ou les parents et personnes qui s'occupent des enfants doivent être avertis du risque d'apparition de tels symptômes (et de la possibilité d'une aggravation d'une dépression préexistante).
- +Convulsions
- +Des cas de convulsions ont été rapportés sous traitement par des analogues de la GnRH, en particulier chez les femmes et les enfants. Certains de ces patients présentaient des facteurs de risque de convulsions (comme des antécédents d'épilepsie, des tumeurs intracrâniennes ou un traitement concomitant avec des médicaments connus pour présenter un risque de réactions sous forme de convulsions). Mais des cas de convulsions chez des patients ne présentant aucun facteur de risque de ce type ont également été déclarés.
- +Autres précautions
- +Paresthésies et migraines sévères sont rares. Dans les cas graves ou récidivants, interrompre le traitement.
- +Une augmentation des lymphocytes a été rapportée chez des patients traités par des analogues de la GnRH.
- +Mises en garde dans le traitement du cancer de la prostate
- +Cancer de la prostate: Comme les autres agonistes de la GnRH, la triptoréline provoque une ascension passagère du taux de testostérone circulante au cours de la première semaine après la première injection de la forme à libération retardée du principe actif. Ce qui est également possible si l'intervalle entre 2 injections est > 24 semaines. Contrairement à la chute du taux de testostérone suite à une orchidectomie, un faible pourcentage de patients (<5%) peut présenter une aggravation passagère des signes et symptômes de carcinome prostatique en raison de l'ascension initiale du taux de testostérone circulante. Ce qui se manifeste la plupart du temps par une aggravation des douleurs cancéreuses, principalement par une neuropathie, une hématurie et des douleurs osseuses pouvant être maîtrisées par un traitement symptomatique. Des cas isolés peuvent présenter une aggravation de leurs symptômes, soit une obstruction de l'urètre ou du sphincter vésical, ou une compression médullaire par métastases, pouvant s'accompagner de paralysies avec ou sans issue fatale.
-Risque de diabètes / risque cardiovasculaire: Un risque accru de diabète sucré et / ou d'événements cardiovasculaires a été rapporté chez les hommes traités avec des agonistes de la GnRH. Il est donc conseillé de surveiller les patients souffrant d'hypertension, d'hyperlipidémie ou de troubles cardio-vasculaires à l'égard de ce risque au cours du traitement par la triptoréline.
-Effet sur l'intervalle QT/QTc: La privation d'androgène à long terme peut prolonger l'intervalle QT. Il est donc conseillé de surveiller les patients ayant un syndrome d'allongement de l'intervalle QT, des troubles électrolytiques ou une insuffisance cardiaque. L'utilisation concomitante de triptoréline avec des médicaments connus pour allonger l'intervalle QT ou capables d'induire des torsades de pointes tels que les anti-arythmiques de classe IA (ex. quinidine, disopyramide) ou de classe III (ex. amiodarone, sotalol) doit être évaluée avec précaution (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Apoplexie hypophysaire: De rares cas d'apoplexie hypophysaire (syndrome clinique résultant d'un infarcissement hypophysaire) ont été décrits chez les hommes traités avec des agonistes de la GnRH. Un adénome hypophysaire a été diagnostiqué dans la plupart de ces cas. La plupart des cas se sont produits dans les 2 semaines, certains dans l'heure ayant suivi la première injection. L'apoplexie hypophysaire s'est manifestée par céphalées soudaines, vomissements, troubles visuels, ophtalmoplégie, altération de l'état mental et parfois collapsus cardiovasculaire.
- +Une intervention médicale immédiate est indispensable.
- +Il ne faut donc pas administrer d'agoniste de la GnRH en cas d'adénome hypophysaire connu.
-Une augmentation des lymphocytes a été rapportée chez des patients traités par des analogues de la GnRH.
-Mise en garde particulière:
- +Effet sur l'intervalle QT/QTc: La privation d'androgène à long terme peut prolonger l'intervalle QT. Il est donc conseillé de surveiller les patients ayant un syndrome d'allongement de l'intervalle QT, des troubles électrolytiques ou une insuffisance cardiaque. L'utilisation concomitante de triptoréline avec des médicaments connus pour allonger l'intervalle QT ou capables d'induire des torsades de pointes tels que les antiarythmiques de classe IA (ex. quinidine, disopyramide) ou de classe III (ex. amiodarone, sotalol) doit être évaluée avec précaution.
- +Risque de diabètes / risque cardiovasculaire: Un risque accru de diabète sucré et / ou d'événements cardiovasculaires a été rapporté chez les hommes traités avec des agonistes de la GnRH. Il est donc conseillé de surveiller les patients souffrant d'hypertension, d'hyperlipidémie ou de troubles cardio-vasculaires à l'égard de ce risque au cours du traitement par la triptoréline.
- +Mises en gardes dans le traitement de la puberté précoce centrale
- +Le diagnostic de CPP doit être confirmé avant l'instauration du traitement par des dosages hormonaux adaptés (p.ex. un test de stimulation GnRH) et la présence avérée des symptômes cliniques correspondants.
- +Les pseudo-pubertés précoces (hyperplasie ou tumeur des glandes surrénales ou des gonades) et les pubertés précoces indépendantes des gonadotrophines (testotoxicose, hyperplasie familiale des cellules de Leydig) devront être exclues.
- +Il faut en outre exclure l'existence d'une tumeur intracrânienne. Aucune donnée n'est disponible concernant une utilisation de Pamorelin 22,5 mg chez des patients pédiatriques présentant une tumeur intracrânienne. Il faut donc procéder dans ce cas à une évaluation individuelle approfondie du rapport bénéfice-risque.
- +Chez les filles, il convient de confirmer que la patiente n'est pas enceinte avant de prescrire de la triptoréline.
- +Au cours du premier mois de traitement chez les filles, la stimulation ovarienne initiale suivie par la suppression des taux des œstrogènes induits par le traitement, peuvent conduire à des saignements vaginaux d'intensité légère ou modérée. Les parents doivent être informés de la survenue possible de tels saignements. Le médecin devra être consulté si les saignements persistent.
- +Hypertension intracrânienne idiopathique: Une hypertension intracrânienne idiopathique (pseudotumeur cérébrale) a été rapportée chez des patients pédiatriques recevant la triptoréline. Les patients doivent être avertis des signes et symptômes d'hypertension intracrânienne idiopathique, qui consistent en des maux de tête sévères ou récurrents, des troubles de la vision, des douleurs derrière l'œil, des étourdissements, des nausées et des acouphènes. En cas d'hypertension intracrânienne idiopathique, l'arrêt de la triptoréline doit être envisagé.
- +Epiphysiolyse: Une épiphysiolyse de la hanche peut se produire après l'arrêt du traitement. Il se pourrait que ce soit consécutif à l'affaiblissement du cartilage de conjugaison en raison des faibles concentrations en œstrogène pendant le traitement et à l'augmentation de la vitesse de croissance qui se produit après l'arrêt du traitement et qui faciliterait le déplacement des épiphyses.
- +Densité osseuse: Le traitement par les agonistes de la GnRH peut entraîner une diminution de la densité minérale osseuse (DMO). Toutefois, après l'arrêt du traitement, le bilan ultérieur de la masse osseuse est préservé et le pic de croissance de la masse osseuse à la fin de la puberté ne semble pas être affecté par le traitement. Il n'existe cependant aucune donnée à long terme sur l'évolution de la densité minérale osseuse après l'arrêt d'un traitement par triptoréline chez les enfants.
- +Autres précautions chez les enfants
- +A l'arrêt du traitement, le développement pubertaire reprend.
- +Les données relatives à la fertilité des patientes traitées par les analogues de la GnRH pendant l'enfance sont encore limitées. Chez la plupart des filles, la ménarche survient environ 1 an après la fin du traitement.
- +La sécurité et l'efficacité de Pamorelin 22,5 mg n'ont été étudiées que chez les enfants atteints de puberté précoce centrale. Une utilisation chez des enfants ne présentant pas des taux de LH élevés n'est donc pas recommandée.
- +Il n'existe que des données limitées concernant l'efficacité de Pamorelin 22,5 mg chez les garçons (voir rubrique «Propriétés / Effets»).
- +Excipients pharmaceutiques revêtant un intérêt particulier
- +Interactions pharmacodynamiques
-Études in vitro
-Les cytochromes P450 (CYP) sont peu probablement impliqués dans le métabolisme et l'élimination de la triptoréline. De plus, des données in vitro ont montré que la triptoréline n'est pas un inhibiteur ou un inducteur de CYP, ni un substrat ou inhibiteur de P-glycoprotein (P-gp). Par conséquent, les interactions médicamenteuses avec la triptoréline sont peu probables.
- +Interactions pharmacocinétiques
- +Les cytochromes P450 (CYP) sont peu probablement impliqués dans le métabolisme et l'élimination de la triptoréline. De plus, des données in vitro ont montré que la triptoréline n'est pas un inhibiteur ou un inducteur de CYP, ni un substrat ou inhibiteur de P-glycoprotéine (Pgp). Par conséquent, les interactions pharmacocinétiques avec la triptoréline sont peu probables.
-L'emploi de Pamorelin LA 22,5 mg n'est pas prévu chez les femmes.
- +Aucune étude n'a été réalisée chez les femmes enceintes. La triptoréline est contre-indiquée pendant la grossesse, car l'utilisation des agonistes de la GnRH est associée à un risque d'avortement et d'anomalies fœtales.
-L'emploi de Pamorelin LA 22,5 mg n'est pas prévu chez les femmes.
- +On ignore si la triptoréline passe dans le lait maternel ou pourrait influer la production de lait maternel. La triptoréline est contre-indiquée pendant l'allaitement.
-Des réactions allergiques ont été constatées sporadiquement peu après l'injection de Pamorelin LA 22,5 mg, qui ont régressé sous traitement conventionnel.
- +Quelques rares réactions allergiques ont été constatées peu après l'injection de Pamorelin LA 22,5 mg, qui ont régressé sous traitement conventionnel.
- +Les effets indésirables les plus fréquents observés sous traitement par la triptoréline ont été attribuables à ses effets physiologiques prévus: ascension initiale du taux de testostérone, suivie d'une suppression quasi-totale de la testostérone.
- +
-Une aggravation des douleurs cancéreuses peut survenir pendant 7 à 10 jours après la première injection, du fait de l'augmentation passagère du taux de testostérone (voir « Mises en garde et précautions»). Ces douleurs régressent habituellement dès que le carcinome répond au traitement. Un traitement temporaire par un antiandrogène peut être envisagé.
-Les effets indésirables les plus fréquents observés sous traitement par la triptoréline ont été attribuables à ses effets physiologiques prévus: ascension initiale du taux de testostérone, suivie d'une suppression quasi-totale de la testostérone. Parmi les effets indésirables observés très fréquemment figurent bouffées de chaleur (50%), impuissance (4%) et baisse de la libido (3%).
-Les effets indésirables suivants, pour lesquels une relation avec le traitement a été jugée au moins possible, ont été signalés, mais une relation causale est souvent difficile à affirmer chez les patients ayant un carcinome prostatique métastatique. En fonction de leur incidence ces effets indésirables sont classés comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1'000, <1/100); rares (≥1/10'000, <1/1'000); très rares (<1/10'000), inconnus (reposant principalement sur des annonces spontanées provenant de la surveillance du marché, la fréquence précise ne pouvant être indiquée)
- +Une aggravation des douleurs cancéreuses peut survenir pendant 7 à 10 jours après la première injection, du fait de l'augmentation passagère du taux de testostérone (voir «Mises en garde et précautions»). Ces douleurs régressent habituellement dès que le carcinome répond au traitement. Un traitement temporaire par un antiandrogène peut être envisagé.
- +Les effets observés le plus fréquemment étaient les bouffées de chaleur (70%), les douleurs osseuses (26%) et la diminution du volume des organes génitaux (12%).
- +Les effets indésirables suivants ont été signalés lors des essais cliniques ou de la pharmacovigilance. En fonction de leur incidence ces effets indésirables sont classés comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1'000, <1/100); rares (≥1/10'000, <1/1'000); très rares (<1/10'000), inconnus (reposant principalement sur des annonces spontanées provenant de la surveillance du marché, la fréquence précise ne pouvant être indiquée)
-Occasionnel: infections urinaires
- +Occasionnel: infections urinaires.
-Troubles endocriniens
-Très fréquent: diminution de volume des organes génitaux (12,2%).
-Rare: migraine, dysgueusie, convulsion, compression médullaire, hypoesthésie.
- +Rare: migraine, dysgueusie, compression médullaire, hypoesthésies.
- +Inconnu: convulsions.
- +Pendant la phase post-marketing, de rares cas d'apoplexie hypophysaire ont été décrits (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Très fréquent: bouffées de chaleur (70%).
-Très fréquent: douleurs osseuses (25,8%).
-Fréquent: dorsalgies, douleurs dans les jambes, arthralgie, myalgie, crampes musculaires des membres inférieurs.
- +Très fréquent: douleurs osseuses (26%).
- +Fréquent: dorsalgies, douleurs dans les jambes, arthralgies, myalgies, crampes musculaires des membres inférieurs.
- +Très fréquent: diminution de volume des organes génitaux (12%).
- +
-Très fréquent: bouffées de chaleur (70.4%).
-Fréquent: douleurs, fatigue, douleurs thoraciques, asthénie, douleurs au site d'injection, œdème périphérique.
- +Fréquent: douleurs, fatigue, douleurs thoraciques, asthénie, douleurs au site d'injection, œdèmes périphérique.
-Pendant la phase post-marketing, de rares cas d'apoplexie hypophysaire ont été décrits (voir «Mises en garde et précautions»).
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- +Sécurité dans la population pédiatrique (Puberté précoce centrale)
- +Les effets indésirables suivants ont été signalés lors de l'utilisation de préparations à base de triptoréline au cours d'essais cliniques ou de la pharmacovigilance. En fonction de leur incidence les effets indésirables sont classés comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100, <1/10); occasionnels (≥1/1'000, <1/100); rares (≥1/10'000, <1/1'000); très rares (<1/10'000), inconnu (reposant principalement sur des annonces spontanées provenant de la surveillance du marché, la fréquence précise ne pouvant être indiquée).
- +Système immunitaire
- +Fréquent: réactions d'hypersensibilité (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
- +Inconnu: choc anaphylactique, œdème angioneurotique.
- +Troubles endocriniens
- +Inconnu: augmentation de la prolactinémie.
- +Troubles du métabolisme et de la nutrition
- +Fréquent: prise de poids.
- +Occasionnel: obésité.
- +Troubles psychiatriques
- +Occasionnel:changements d'humeur.
- +Inconnu: dépression, nervosité, labilité émotionnelle.
- +Système nerveux
- +Fréquent: céphalées.
- +Inconnu: convulsions, hypertension intracrânienne idiopathique (pseudotumeur cérébrale).
- +Troubles oculaires
- +Occasionnel: troubles visuels.
- +Inconnu: perturbations du champ visuel.
- +Troubles vasculaires
- +Fréquent: bouffées de chaleur.
- +Inconnu: hypertension.
- +Organes respiratoires
- +Occasionnel: épistaxis.
- +Troubles gastro-intestinaux.
- +Fréquent: douleurs abdominales.
- +Occasionnel: nausée, constipation, vomissement.
- +Troubles cutanés et tissus sous-cutanés
- +Fréquent: acné.
- +Occasionnel: prurit, urticaire, éruption cutanée.
- +Troubles musculosquelettiques
- +Occasionnel: douleur à la nuque.
- +Inconnu: myalgie.
- +Organes de reproduction et seins
- +Très fréquent: saignements vaginaux (incluant hémorragie vaginale, saignement de retrait, hémorragie utérine, pertes vaginales, saignements vaginaux, y compris spotting).
- +Occasionnel: Douleurs mammaires.
- +Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
- +Fréquent: réaction au site d'injection (incluant douleur au site d'injection douleurs, érythème et inflammation).
- +Inconnu: malaise.
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-Les caractéristiques pharmacologiques de triptoréline et son mode d'administration rendent tout surdosage accidentel ou intentionnel improbable. L'expérimentation animale montre qu'aucun autre effet que l'effet thérapeutique prévu sur la concentration des hormones sexuelles et le système reproducteur ne se produit, même à des doses plus élevées de triptoréline.
- +Les caractéristiques pharmacologiques de triptoréline rendent tout surdosage accidentel ou intentionnel improbable. L'expérimentation animale montre qu'aucun autre effet que l'effet thérapeutique prévu sur la concentration des hormones sexuelles et le système reproducteur ne se produit, même à des doses plus élevées de triptoréline.
- +Chez les enfants avec puberté précoce, l'inhibition de l'hyperactivité gonadotrope hypophysaire conduit à une baisse des taux de LH selon le test de stimulation de GnRH (ou agoniste de la GnRH) et à la suppression de la sécrétion d'oestradiol et de testostérone chez les filles et les garçons, respectivement. On peut s'attendre, après l'arrêt du traitement par triptoréline, à ce que les processus de maturation physiologiques reprennent dès que les gonadotrophines ont à nouveau atteint des taux du stade prépubère.
- +Cancer de la prostate
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-Chez les patients avec un cancer de la prostate localement avancé, plusieurs études cliniques, randomisées, à long terme, ont démontré le bénéfice d'une privation androgénique associée à la radiothérapie (RT) en comparaison à la RT seule (RTOG 85-31, RTOG 86-10, EORTC 22863, D'Amico et al., JAMA, 2008). Dans un essai clinique randomisé de phase III, (EORTC 22961) incluant 970 patients atteints de cancer de la prostate localement avancé (principalement T2c-T4, avec des patients T1c à T2b avec un envahissement ganglionnaire régional) et traités par radiothérapie, 483 patients ont été traités par une suppression androgénique courte (6 mois) associée et 487 patients par une suppression androgénique longue (3 ans ) associée. Une analyse de non-infériorité a comparé le traitement hormonal concomitant et adjuvant court par rapport au traitement hormonal concomitant et adjuvant long par agonistes de la GnRH (principalement la triptoréline (62,2%) ou la goséréline (30,1%)). Globalement, la mortalité totale à 5 ans était de 19,0% dans le groupe «traitement hormonal court» et de 15,2% dans le groupe «traitement hormonal long», soit un risque relatif de 1,42 (IC unilatéral à 95,71% =1,79; IC à 95,71% =[ 1,09; 1,85]; p=0,65 pour la non infériorité et p=0,0082 pour le test post-hoc de différence entre les groupes de traitement). La mortalité à 5 ans spécifiquement liée au cancer de la prostate était 4,78% dans le groupe «traitement hormonal court» et de 3,2% dans le groupe «traitement hormonal long», soit un risque relatif de 1,71 (IC 95% =[1,14 à 2,57]; p=0,002). Les données cliniques de cinq études publiées ont été analysées (EORTC 22863, RTOG 85-31, RTOG 92-02, RTOG 86-10 et D'Amico et al., JAMA, 2008). Elles ont toutes démontré un avantage de l'association des analogues de la GnRH avec la radiothérapie. Dans les études publiées, il n'était pas possible de clairement différentier les populations respectives des indications du cancer de la prostate localement avancé et du cancer de la prostate localisé à haut risque.
- +Lors d'un essai clinique randomisé de phase III, (EORTC 22961) incluant 970 patients atteints de cancer de la prostate localement avancé (principalement T2c-T4, avec des patients T1c à T2b avec un envahissement ganglionnaire régional) et traités par radiothérapie, 483 patients ont été traités par une suppression androgénique courte (6 mois) associée et 487 patients par une suppression androgénique longue (3 ans) associée. Globalement, la mortalité totale à 5 ans était de 19% dans le groupe «traitement hormonal court» et de 15% dans le groupe «traitement hormonal long», soit un risque relatif de 1,42. La mortalité à 5 ans spécifiquement liée au cancer de la prostate était 5% dans le groupe «traitement hormonal court» et de 3% dans le groupe «traitement hormonal long», soit un risque relatif de 1,71.
- +Puberté précoce centrale:
- +Lors d'une étude clinique non comparative, 44 enfants atteints de puberté précoce centrale (39 filles et 5 garçons) ont reçu 2 injections intramusculaires de Pamorelin LA 22,5 mg à un intervalle de 6 mois et ont fait l'objet d'une surveillance pendant 12 mois (48 semaines). La suppression des concentrations de LH stimulée à des taux prépubères a été atteinte chez 93% et 98% des sujets aux 6ème et 12ème mois respectivement.
- +Par la suite, une régression ou une stabilisation des caractéristiques sexuels secondaires est constatée ainsi qu'un ralentissement de la maturation osseuse accélérée et de la croissance. Après 6 mois de traitement, plus de 90% des filles, et 3 des 5 garçons atteignent des taux de LH correspondant à un niveau prépubertaire. Vu le nombre très limité de garçons inclus dans l'étude, il n'est pas possible d'exclure d'éventuelles différences dans la réponse au traitement en fonction du sexe.
-Après une injection intramusculaire unique de Pamorelin LA 22,5 mg chez des patients atteints de carcinome prostatique, le tmax était de 3 (2-12) heures et la Cmax (0-169 jours) de 40,0 (22,2-76,8) ng/ml. Aucune accumulation cliniquement significative n'a été observée à la suite de la deuxième injection.
- +Après une injection intramusculaire unique de Pamorelin LA 22,5 mg chez des patients atteints de carcinome prostatique, le tmax était de 3 (2-12) heures et la Cmax (0-169 jours) de 40,0 (22,2-76,8) ng/ml.
- +Aucune accumulation cliniquement significative n'a été observée à la suite de la deuxième injection.
-Aucun métabolite de la triptoréline n'a été découvert chez l'être humain. Mais les données pharmacocinétiques humaines montrent que les fragments C-terminaux produits par destruction tissulaire sont soit entièrement détruits dans les tissus, soit rapidement définitivement détruits dans le plasma soit éliminés par les reins.
- +Aucun métabolite de la triptoréline n'a été découvert chez l'être humain. Mais les données pharmacocinétiques humaines montrent que les fragments C-terminaux produits par destruction tissulaire sont soit entièrement détruits dans les tissus, soit rapidement définitivement détruits dans le plasma soit éliminés par les reins. L'implication des enzymes CYP450 dans le métabolisme est peu probable.
-Troubles de la fonction hépatique
-Chez les patients ayant une fonction hépatique limitée, la demi-vie de Pamorelin était de 7,65 heures. La part de triptoréline non métabolisée éliminée par les urines s'est accrue à 62% chez ces patients, ce qui indique que le foie joue un rôle important dans l'élimination de la triptoréline.
-Troubles de la fonction rénale
-Une fonction rénale limitée entraîne un retard dans l'élimination de la triptoréline.
-La demi-vie était de 6,7 heures chez les patients ayant une insuffisance rénale modérée (clearance de la créatinine moyenne de 40 ml/min) et de 7,8 heures chez les patients souffrant d'insuffisance rénale grave (clearance de la créatinine moyenne de 8,9 ml/min).
- +Enfants et adolescents
- +Il n'existe que des données pharmacocinétiques limitées chez les patients pédiatriques. La Cmax et le Tmax ne diffèrent pas de manière significative de ceux des adultes.
-Polymorphismes génétiques
-Ethnicité : L'influence de la race sur la pharmacocinétique de la triptoréline n'a pas été étudiée.
- +Troubles de la fonction rénale
- +En cas d'insuffisance rénale, la clairance de la triptoréline diminue proportionnellement à celle de la créatinine. Ainsi, chez les patients adultes atteints d'insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine moyenne de 40 ml/min), l'AUC était environ le double de celle de patients ayant une fonction rénale normale, et chez les patients atteints d'insuffisance rénale sévère (clairance de la créatinine moyenne de 8,9 ml/min), elle était environ 2,5 fois plus élevée.
- +La demi-vie était de 6,7 heures chez les patients ayant une insuffisance rénale modérée et de 7,8 heures chez les patients souffrant d'insuffisance rénale grave.
- +Troubles de la fonction hépatique
- +Chez les patients adultes ayant une fonction hépatique limitée, l'AUC de la triptoréline était environ 3,7 fois plus élevée que chez des sujets sains la demi-vie était de 7,65 heures. La part de triptoréline non métabolisée éliminée par les urines s'est accrue à 62% chez ces patients.
-Toxicité à long terme (ou toxicité en cas d'administration répétée)
- +Toxicité en cas d'administration répétée
-Stabilité
- +Conservation
-Juin 2023
-02-010626/10
- +Septembre 2023
- +02-010626/11
-3 Prendre la seringue, la tenir par le connecteur (rotatif) plastique entre l'index et le pouce d'une main puis dévisser son capuchon de l'autre main. En tenant toujours la seringue par le connecteur rotatif, l'attacher verticalement à l'adaptateur en opérant un demi-tour dans le sens des aiguilles d'une montre (seulement jusqu'à ce qu'une résistance soit resentie). Attention un serrage excessif peut entraîner une déconnexion et des fuites. (image) (image)
- +3 Prendre la seringue, la tenir par le connecteur (rotatif) plastique entre l'index et le pouce d'une main puis dévisser son capuchon de l'autre main. En tenant toujours la seringue par le connecteur rotatif, l'attacher verticalement à l'adaptateur en opérant un demi-tour dans le sens des aiguilles d'une montre (seulement jusqu'à ce qu'une résistance soit ressentie). Attention un serrage excessif peut entraîner une déconnexion et des fuites. (image) (image)
-5 Tenir tout le dispositif (seringue + adaptateur + flacon) fermement dans la main puis agiter le vigoureusement de haut en bas pendant 30 secondes. Vérifier l'apparence de la suspension en regardant par le fond du flacon. La suspension devrait être d'apparence homogène, épaisse et laiteuse. Agiter le dispositif de nouveau en cas de sédimentation. Si une partie de la suspension remonte dans la seringue pendant l'agitation, pousser le piston pour remettre la suspension dans le flacon et agiter à nouveau avant de passer à l'étape suivante. Le produit doit maintenant être injecté dans les 2 minutes. (image)
-6 Tourner immédiatement le dispositif de sorte à ce que le flacon soit en haut et la seringue en bas et tirer doucement la tige du piston afin d'aspirer tout le contenu du flacon dans la seringue. (image) (image)
-7 Une fois tout le contenu aspiré dans la seringue,chasser l'air de la seringue dans le flacon. S'arrêter quand la suspension arrive à la base de la tête de la seringue. Déconnecter la seringue de l'adaptateur en tenant la seringue d'une main et de l'autre main tourner l'adaptateur dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. En tenant la seringue par le connecteur rotatif, attacher l'aiguille pour injection. S'assurer que le produit est homogène, épais, laiteux et qu'il n'y a pas de sédimentation avant l'injection. (image) (image) (image)
-8 Déplacez la gaine de sécurité en arrière de l'aiguille et vers le corps de la seringue. La gaine de sécurité reste dans la position où elle a été mise. Retirer la protection transparente de l'aiguille. Ne pas amorcer l'aiguille avec la suspension. La seringue contenant la suspension est maintenant prête à être administrée. La suspension doit être administrée immédiatement (moins de 2 minutes après reconstitution) pour éviter un épaississement excessif de la suspension. (image) (image)
-9 Injecter la suspension relativement rapidement et sans interruption par voie intramusculaire. Veiller à ce que toute la quantité de produit soit injectée dans les 10 secondes sans interruption. Les sites d'injection doivent être alternés. Activer le système de sécurité de l'aiguille d'injection en centrant votre pouce ou votre index sur la zone texturée de la gaine de sécurité et en le poussant vers l'avant sur l'aiguille jusqu'à ce que vous entendiez ou sentiez qu'il se verrouille. Effectuer l'operation avec une seule main et activer le mécanisme loin de vous et des autres. Jeter immédiatement la seringue dans un conteneur pour objets tranchants après une seule utilisation. (image) (image)
- +5 Tenir tout le dispositif (seringue + adaptateur + flacon) fermement dans la main puis agiter le vigoureusement de haut en bas pendant 30 secondes. Vérifier l'apparence de la suspension en regardant par le fond du flacon. La suspension devrait être d'apparence homogène, épaisse et laiteuse. Agiter le dispositif de nouveau en cas de sédimentation. Si une partie de la suspension remonte dans la seringue pendant l'agitation, pousser le piston pour remettre la suspension dans le flacon et agiter à nouveau avant de passer à l'étape suivante. Le produit doit maintenant être injecté dans les 2 minutes.
- +6 Tourner immédiatement le dispositif de sorte à ce que le flacon soit en haut et la seringue en bas et tirer doucement sur la tige du piston afin d'aspirer tout le contenu du flacon dans la seringue. (image) (image)
- +7 Une fois tout le contenu aspiré dans la seringue, chasser l'air de la seringue dans le flacon. S'arrêter quand la suspension arrive à la base de la tête de la seringue. (image)
- + Déconnecter la seringue de l'adaptateur en tenant la seringue d'une main et de l'autre main tourner l'adaptateur dans le sens inverse des aiguilles d'une montre. En tenant la seringue par le connecteur rotatif, attacher l'aiguille pour injection. S'assurer que le produit est homogène, épais, laiteux et qu'il n'y a pas de sédimentation avant l'injection. (image) (image)
- +8 Déplacez la gaine de sécurité en arrière de l'aiguille et vers le corps de la seringue. La gaine de sécurité reste dans la position où elle a été mise. Retirer la protection transparente de l'aiguille. (image)
- + Ne pas amorcer l'aiguille avec la suspension. La seringue contenant la suspension est maintenant prête à être administrée. La suspension doit être administrée immédiatement (moins de 2 minutes après reconstitution) pour éviter un épaississement excessif de la suspension. (image)
- +9 Injecter la suspension relativement rapidement et sans interruption par voie intramusculaire. Veiller à ce que toute la quantité de produit soit injectée dans les 10 secondes sans interruption. Les sites d'injection doivent être alternés. Activer le système de sécurité de l'aiguille d'injection en centrant votre pouce ou votre index sur la zone texturée de la gaine de sécurité et en le poussant vers l'avant sur l'aiguille jusqu'à ce que vous entendiez ou sentiez qu'il se verrouille. Effectuer l'opération avec une seule main et activer le mécanisme loin de vous et des autres. Jeter immédiatement la seringue dans un conteneur pour objets tranchants après une seule utilisation. (image) (image)
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