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Home - Fachinformation zu Signifor 0.3 mg/1 ml - Änderungen - 11.12.2020
58 Änderungen an Fachinfo Signifor 0.3 mg/1 ml
  • -Principe actif: Pasireotidum (ut Pasireotidum diaspartas)
  • -Excipients: Mannitolum, Acidum tartaricum, Aqua ad iniectabilia.
  • -Forme galénique et quantité de principe actif par unité
  • -Solution injectable en ampoules.
  • -Solution limpide et incolore.
  • -Une ampoule de 1 ml contient 0.3 mg de pasiréotide.
  • -Une ampoule de 1 ml contient 0.6 mg de pasiréotide.
  • -Une ampoule de 1 ml contient 0.9 mg de pasiréotide.
  • -
  • +Principes actifs
  • +Pasireotidum (ut Pasireotidum diaspartas)
  • +Excipients
  • +Mannitol, acide tartrique, hydroxyde de sodium, eau pour solution injectable. La teneur maximale en sodium par ampoule est de 0.3 mg.
  • +
  • +
  • -Groupes de patients particuliers
  • -Patients insuffisants rénaux
  • -Aucun ajustement de la dose n’est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale (cf. «Pharmacocinétique»).
  • -Patients insuffisants hépatiques
  • +Patients présentant des troubles de la fonction hépatique
  • +Patients présentant des troubles de la fonction rénale
  • +Aucun ajustement de la dose n’est nécessaire chez les patients présentant une insuffisance rénale (cf. «Pharmacocinétique»).
  • +Patients âgés
  • +Les données concernant l’utilisation de Signifor chez les patients de plus de 65 ans sont limitées. Aucune donnée n’indique qu’un ajustement posologique est nécessaire chez les patients âgés.
  • -Patients âgés (de plus de 65 ans)
  • -Les données concernant l’utilisation de Signifor chez les patients de plus de 65 ans sont limitées. Aucune donnée n’indique qu’un ajustement posologique est nécessaire chez les patients âgés.
  • +Prise retardée
  • +En cas d’oubli d’une dose de Signifor, l’injection suivante doit être administrée à l’heure prévue. Ne pas administrer une dose double pour rattraper un oubli.
  • -Des modifications de la régulation du glucose sont attendues au cours du traitement de la maladie de M. Cushing par le pasiréotide. Une hyperglycémie, une augmentation de la glycémie à jeun et de l’HbA1c, et moins souvent une hypoglycémie, ont été observées au cours des études cliniques réalisées. La survenue d’une hyperglycémie est corrélée à une diminution de la sécrétion d’insuline et des hormones incrétines (c.-à-d. glucagon-like peptide-1 [GLP-1] et glucose-dependent insulinotropic polypeptide [GIP]). Le degré du trouble de la régulation du glucose est plus important en présence d’un état prédiabétique et d’un diabète sucré manifeste. Le statut glycémique (glycémie à jeun [GAJ] et HbA1c) doit être évalué avant l’instauration du traitement et surveillé régulièrement au cours du traitement. L’automesure de la glycémie et/ou la mesure de la GAJ doivent être effectuées toutes les semaines pendant les deux à trois premiers mois du traitement, puis périodiquement lorsque cela est cliniquement justifié, ainsi que toutes les semaines pendant les deux à quatre premières semaines suivant une augmentation de la dose. La GAJ doit être surveillée jusqu’à trois semaines après la fin du traitement et les taux d’HbA1c jusqu’à trois mois après la fin du traitement.
  • -En cas de survenue d’une hyperglycémie, il est indiqué d’instaurer ou d’ajuster un traitement de l’hyperglycémie, en utilisant des incrétines, des sécrétagogues de l’insuline et/ou de l’insuline. Si l’hyperglycémie ne peut être contrôlée malgré un traitement médical approprié, la dose de Signifor doit être réduite ou le traitement arrêté. Les patients atteints de maladie de Cushing et présentant un mauvais contrôle glycémique (défini comme des taux d’HbA1c >8% sous traitement antidiabétique) ont un risque plus élevé de développer une hyperglycémie sévère et des complications associées (p. ex. acidocétose). Chez les patients présentant un mauvais contrôle glycémique, la prise en charge et la surveillance du diabète doivent être intensifiés avant et pendant le traitement.
  • +Des modifications de la régulation du glucose sont attendues au cours du traitement de la maladie de M. Cushing par le pasiréotide. Des hyperglycémies, une augmentation de la glycémie à jeun et de l’HbA1c, et moins souvent des hypoglycémies, ont été observées au cours des études cliniques réalisées. La survenue d’une hyperglycémie est corrélée à une diminution de la sécrétion d’insuline et des hormones incrétines (c.-à-d. glucagon-like peptide-1 [GLP-1] et glucose-dependent insulinotropic polypeptide [GIP]). Le degré du trouble de la régulation du glucose est plus important en présence d’un état prédiabétique et d’un diabète sucré manifeste. Le statut glycémique (glycémie à jeun [GAJ] et HbA1c) doit être évalué avant l’instauration du traitement et surveillé régulièrement au cours du traitement. L’automesure de la glycémie et/ou la mesure de la GAJ doivent être effectuées toutes les semaines pendant les deux à trois premiers mois du traitement, puis périodiquement lorsque cela est cliniquement justifié, ainsi que toutes les semaines pendant les deux à quatre premières semaines suivant une augmentation de la dose. La GAJ doit être surveillée jusqu’à trois semaines après la fin du traitement et les taux d’HbA1c jusqu’à trois mois après la fin du traitement.
  • +En cas de survenue d’une hyperglycémie, il est indiqué d’instaurer ou d’ajuster un traitement de l’hyperglycémie, en utilisant des incrétines, des sécrétagogues de l’insuline et/ou de l’insuline. Si l’hyperglycémie ne peut être contrôlée malgré un traitement médical approprié, la dose de Signifor doit être réduite ou le traitement arrêté.
  • +Après la mise sur le marché, des cas d’acidocétose ont été rapportés pendant le traitement avec le pasiréotide, que les patients aient ou non présenté un diabète avant le début du traitement. Il existait dans certains cas des facteurs de prédisposition tels que des maladies aiguës, des infections, des maladies du pancréas (par ex. tumeurs malignes du pancréas ou opérations du pancréas) ou abus d’alcool. Tous les patients présentant des symptômes qui suggèrent une acidose métabolique sévère doivent être examinés pour rechercher une acidocétose. Ces symptômes sont souvent aspécifiques et comprennent, par exemple, une soif excessive, une perte d’appétit, des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements, une dyspnée, une fatigue inhabituelle ou un épuisement et un état confusionnel. Le patient doit être informé du risque (et en particulier de l’augmentation du risque liée, par exemple, à une consommation excessive d’alcool ou à un jeûne prolongé) et des symptômes possibles de l’acidocétose. Il doit également être informé que, si de tels symptômes surviennent, il est nécessaire de consulter sans tarder un médecin.
  • +Chez les patients ayant un mauvais contrôle glycémique (défini comme un taux d’HbA1c >8 % sous traitement antidiabétique), la prise en charge et la surveillance du diabète doivent être intensifiées avant et pendant le traitement avec Signifor.
  • --Une étude chez des volontaires sains a révélé que le pasiréotide allonge l’intervalle QT sur l’ECG. La pertinence clinique de cet allongement est inconnue. Un QTcF > 500 ms a été mesuré chez 2/201 patients. Ces épisodes ont été sporadiques, sont survenus une seule fois et n’ont pas eu de conséquence clinique. Aucun épisode de «torsade de pointes» n’a été observé dans ces études ou dans des études cliniques réalisées dans d’autres populations de patients. Le pasiréotide doit être utilisé avec prudence chez les patients présentant un risque accru de prolongation de l’intervalle QT, p. ex. en cas de syndrome du QT long congénital.
  • +·Une étude chez des volontaires sains a révélé que le pasiréotide allonge l’intervalle QT sur l’ECG. La pertinence clinique de cet allongement est inconnue. Un QTcF > 500 ms a été mesuré chez 2/201 patients. Ces épisodes ont été sporadiques, sont survenus une seule fois et n’ont pas eu de conséquence clinique. Aucun épisode de «torsade de pointes» n’a été observé dans ces études ou dans des études cliniques réalisées dans d’autres populations de patients. Le pasiréotide doit être utilisé avec prudence chez les patients présentant un risque accru de prolongation de l’intervalle QT, p. ex. en cas de syndrome du QT long congénital.
  • -La cholélithiase est un effet indésirable connu du traitement à long terme par des analogues de la somatostatine et elle a été observée fréquemment au cours des études cliniques menées avec le pasiréotide. Il est donc recommandé de pratiquer une échographie de la vésicule biliaire avant le traitement par Signifor, puis tous les 6 à 12 mois. Une cholélithiase chez les patients traités par Signifor est en grande partie asymptomatique; les lithiases symptomatiques doivent être traités conformément à la pratique clinique.
  • +La cholélithiase est un effet indésirable connu du traitement à long terme par des analogues de la somatostatine et elle a été observée fréquemment au cours des études cliniques menées avec le pasiréotide. Il est donc recommandé de pratiquer une échographie de la vésicule biliaire avant le traitement par Signifor, puis tous les 6 à 12 mois. Une cholélithiase chez les patients traités par Signifor est en grande partie asymptomatique; les lithiases symptomatiques doivent être traitées conformément à la pratique clinique. Des cas de cholangite, résultant, dans la plupart des cas, d’une complication d’une cholélithiase, ont été rapportés sous traitement avec Signifor après la mise sur le marché.
  • -Une déficience en hormones hypophysaires est une conséquence fréquente des opérations transsphénoïdales et est encore plus fréquente après une radiothérapie de l’hypophyse. Les patients atteints de maladie de Morbus Cushing dont l’évolution est persistante ou récidivante peuvent donc présenter une déficience en une ou plusieurs hormones hypophysaires. L’action pharmacologique du pasiréotide simulant l’action de la somatostatine, l’inhibition d’hormones hypophysaires autres que l’ACTH ne peut pas être exclue. Une surveillance de la fonction hypophysaire (p. ex. TSH/T4 libre, GH/IGF-1) doit donc être réalisée avant le début du traitement par Signifor et périodiquement au cours du traitement, en cas d’indication clinique.
  • +Une déficience en hormones hypophysaires est une conséquence fréquente des opérations transsphénoïdales et est encore plus fréquente après une radiothérapie de l’hypophyse. Les patients atteints de maladie de Morbus Cushing dont l’évolution est persistante ou récidivante peuvent donc présenter une déficience en une ou plusieurs hormones hypophysaires. L’action pharmacologique du pasiréotide simulant l’action de la somatostatine, l’inhibition d’hormones hypophysaires autres que l’ACTH ne peut pas être exclue. Une surveillance de la fonction hypophysaire (p. ex. TSH/T4 libre, GH/IGF-1) doit donc être réalisée avant le début du traitement par Signifor et périodiquement au cours du traitement, en cas d’indication clinique.
  • +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par unité posologique, c.-à-d. qu’il est essentiellement «sans sodium».
  • +
  • -Influence du pasiréotide sur la pharmacocinétique d’autres médicaments
  • +Interactions pharmacodynamiques
  • +La prudence est recommandée en cas d’administration concomitante de Signifor et de médicaments antiarythmiques ou de principes actifs susceptibles de prolonger l’intervalle QT (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • +Influence du pasiréotide sur la pharmacocinétique d’autres substances
  • -Interactions pharmacodynamiques
  • -La prudence est recommandée en cas d’administration concomitante de Signifor et de médicaments antiarythmiques ou de principes actifs susceptibles de prolonger l’intervalle QT (cf. «Mises en garde et précautions»).
  • -Grossesse/Allaitement
  • +Grossesse, Allaitement
  • -Au total, 201 patients atteints de maladie de Morbus Cushing ont reçu un traitement par Signifor dans les études de phases II et III. Le profil de sécurité de Signifor correspond à celui de la classe des analogues de la somatostatine, à l’exception d’une incidence et d’une sévérité accrues des hyperglycémies sous Signifor. Les données ci-dessous concernent 162 patients atteints de maladie de Cushing, ayant été traités dans l’étude de phase III par 0.6 mg ou 0.9 mg de Signifor deux fois par jour. La fréquence et la sévérité des effets indésirables ont été comparables dans les deux groupes posologiques. La plupart des effets ont été de grade 1 ou 2 (57.4%). Des effets indésirables de grade 3 ont été observés chez 35.8% des patients et des effets de grade 4 chez 2.5% des patients; ceux-ci étaient le plus souvent liés à une hyperglycémie. Les EI les plus fréquents (incidence >10%) ont été: diarrhée, nausées, douleurs abdominales, cholélithiase, hyperglycémie, diabète sucré, fatigue et augmentation de l’HbA1c.
  • +Au total, 201 patients atteints de maladie de Morbus Cushing ont reçu un traitement par Signifor dans les études de phases II et III. Le profil de sécurité de Signifor correspond à celui de la classe des analogues de la somatostatine, à l’exception d’une incidence et d’une sévérité accrues des hyperglycémies sous Signifor. Les données ci-dessous concernent 162 patients atteints de maladie de Cushing, ayant été traités dans l’étude de phase III par 0.6 mg ou 0.9 mg de Signifor deux fois par jour. La fréquence et la sévérité des effets indésirables ont été comparables dans les deux groupes posologiques. La plupart des effets ont été de grade 1 ou 2 (57.4 %). Des effets indésirables de grade 3 ont été observés chez 35.8 % des patients et des effets de grade 4 chez 2.5 % des patients; ceux-ci étaient le plus souvent liés à une hyperglycémie. Les EI les plus fréquents (incidence >10 %) ont été: diarrhée, nausées, douleurs abdominales, cholélithiase, hyperglycémie, diabète sucré, fatigue et augmentation de l’HbA1c.
  • -Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 et <1/10); occasionnels (≥1/1000 et <1/100).
  • -Dans chaque catégorie de fréquence, les effets indésirables sont classés par ordre décroissant de sévérité.
  • +Les fréquences sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10); fréquents (≥1/100 et <1/10); occasionnels (≥1/1000 et <1/100); fréquence inconnue (principalement basés sur des rapports spontanés de pharmacovigilance, sans que la fréquence exacte puisse être estimée).
  • +Dans chaque catégorie de fréquence, les effets indésirables sont classés par ordre décroissant de sévérité
  • -Très fréquents: hyperglycémie (38,9%), diabète sucré (17,9%).
  • +Très fréquents: hyperglycémie (38,9 %), diabète sucré (17,9 %).
  • +Fréquence inconnue: acidocétose
  • +
  • -Très fréquents: diarrhée (54,9%), nausées (46,9%), douleurs abdominales (20,4%).
  • +Très fréquents: diarrhée (54,9 %), nausées (46,9 %), douleurs abdominales (20,4 %).
  • -Très fréquents: cholélithiase (29,6%).
  • +Très fréquents: cholélithiase (29,6 %).
  • -Très fréquents: réactions au site d’injection (13,6%), fatigue (11,7%).
  • +Très fréquents: réactions au site d’injection (13,6 %), fatigue (11,7 %).
  • -Très fréquents: augmentation de l’hémoglobine glycosylée (10,5%).
  • +Très fréquents: augmentation de l’hémoglobine glycosylée (10,5 %).
  • +L’annonce d’effets secondaires présumés après l’autorisation est d’une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d’effet secondaire nouveau ou grave via le portail d’annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +Signes et symptômes
  • +Traitement
  • +
  • -Code ATC: H01CB05
  • +Code ATC
  • +H01CB05
  • -Propriétés pharmacodynamiques
  • +Pharmacodynamique
  • -Dans une étude de phase I chez des sujets normaux, le pasiréotide a été administré avec ou sans antidiabétiques oraux (metformine, natéglinide, vildagliptine, liraglutide) pendant 7 jours. Un test oral de tolérance au glucose a été effectué avant le début du traitement et au jour 7. Dans les 5 bras de l’étude, l’AUC du glucose a augmenté de plus de 100% après la première administration de pasiréotide par rapport à la valeur initiale. Au jour 7, la différence par rapport à la valeur initiale a été de 69% sans antidiabétiques, de 60% en cas d’association avec la metformine, de 49% avec le natéglinide, de 38% avec la vildagliptine et de 19% avec le liraglutide. Cela est en corrélation avec une réduction de 79% de la sécrétion d’insuline que la vildagliptine et le liraglutide ont en partie antagonisée. La metformine n’a pas eu d’effet important.
  • +Dans une étude de phase I chez des sujets normaux, le pasiréotide a été administré avec ou sans antidiabétiques oraux (metformine, natéglinide, vildagliptine, liraglutide) pendant 7 jours. Un test oral de tolérance au glucose a été effectué avant le début du traitement et au jour 7. Dans les 5 bras de l’étude, l’AUC du glucose a augmenté de plus de 100 % après la première administration de pasiréotide par rapport à la valeur initiale. Au jour 7, la différence par rapport à la valeur initiale a été de 69 % sans antidiabétiques, de 60 % en cas d’association avec la metformine, de 49 % avec le natéglinide, de 38 % avec la vildagliptine et de 19 % avec le liraglutide. Cela est en corrélation avec une réduction de 79 % de la sécrétion d’insuline que la vildagliptine et le liraglutide ont en partie antagonisée. La metformine n’a pas eu d’effet important.
  • -L’effet de Signifor sur l’intervalle QT a été évalué dans deux études sur le QT (ouvertes, contrôlées, cross-over ciblées). Dans les deux études, un effet du pasiréotide sur l’intervalle QT a été observé. Dans l’une des études réalisée avec une posologie de 1950 μg deux fois par jour, le QTcF moyen maximal mesuré par rapport au placebo a été de 17.5 ms (IC à 90%: 15.53; 19.38). Dans l’autre étude réalisée à des doses de 600 μg deux fois par jour et de 1950 μg deux fois par jour, le QTcI moyen mesuré par rapport au placebo a été respectivement de 13.19 ms (IC à 90%: 11.38; 15.01) et de 16.12 ms (IC à 90%: 14.30; 17.95 ms). Une réduction de la fréquence cardiaque est survenue aux deux posologies avec un écart maximal par rapport au placebo après 1 heure pour le pasiréotide 600 μg deux fois par jour (-10.39 bpm) et après 30 minutes pour le pasiréotide 1950 μg deux fois par jour (-14.91 bpm).
  • +L’effet de Signifor sur l’intervalle QT a été évalué dans deux études sur le QT (ouvertes, contrôlées, cross-over ciblées). Dans les deux études, un effet du pasiréotide sur l’intervalle QT a été observé. Dans l’une des études réalisée avec une posologie de 1950 μg deux fois par jour, le QTcF moyen maximal mesuré par rapport au placebo a été de 17.5 ms (IC à 90 %: 15.53; 19.38). Dans l’autre étude réalisée à des doses de 600 μg deux fois par jour et de 1950 μg deux fois par jour, le QTcI moyen mesuré par rapport au placebo a été respectivement de 13.19 ms (IC à 90 %: 11.38; 15.01) et de 16.12 ms (IC à 90 %: 14.30; 17.95 ms). Une réduction de la fréquence cardiaque est survenue aux deux posologies avec un écart maximal par rapport au placebo après 1 heure pour le pasiréotide 600 μg deux fois par jour (-10.39 bpm) et après 30 minutes pour le pasiréotide 1950 μg deux fois par jour (-14.91 bpm).
  • -Après 6 mois, une normalisation du taux moyen de CLU a été observée chez 14.6% (IC à 95% de 7.0 à 22.3) des patients du groupe traité par 0.6 mg de pasiréotide deux fois par jour et chez 26.3% (IC à 95% de 16.6 à 35.9) des patients du groupe traité par 0.9 mg de pasiréotide deux fois par jour.
  • -L’étude a satisfait l’objectif principal d’efficacité dans le groupe traité par 0.9 mg deux fois par jour, car la limite inférieure de l’IC à 95% est supérieure au seuil prédéfini de 15%. Ce succès thérapeutique observé dans le groupe ayant reçu 0.9 mg deux fois par jour a cependant semblé être plus important chez les patients qui avaient un taux initial moyen de CLU plus faible. Dans les deux groupes de doses, Signifor a déjà entraîné une réduction rapide et nette du CLU moyen après un mois et cette réduction s’est maintenue pendant toute la durée du traitement. Le taux de succès après 12 mois était comparable à celui observé après 6 mois et s’est élevé à 13.4% dans le groupe traité par 0.6 mg deux fois par jour et à 25.0% dans le groupe traité par 0.9 mg deux fois par jour. Le taux de succès des patients contrôlés (CLU ≤1.0 x LSN) et partiellement contrôlés (CLU >1.0 x LSN, mais avec une diminution du CLU ≥50%) après 6 mois a été respectivement de 34% (0.6 mg deux fois par jour) et de 41% (0.9 mg deux fois par jour) des patients randomisés. Les patients non contrôlés après un ou deux mois ont eu une plus forte probabilité (90%) d’être encore non contrôlés après 6 et 12 mois.
  • -Une réduction significative du taux médian de CLU a été constatée dans les deux bras thérapeutiques. Après 6 mois, le pourcentage médian de réduction du taux de CLU était de 47.9% dans les deux groupes thérapeutiques (0.6 et 0.9 deux fois par jour) et après 12 mois, le pourcentage de réduction du taux de CLU était de 67.6% pour le groupe traité par 0.6 deux fois par jour et de 62.4% pour le groupe traité par 0.9 deux fois par jour.
  • +Après 6 mois, une normalisation du taux moyen de CLU a été observée chez 14.6 % (IC à 95 % de 7.0 à 22.3) des patients du groupe traité par 0.6 mg de pasiréotide deux fois par jour et chez 26.3 % (IC à 95 % de 16.6 à 35.9) des patients du groupe traité par 0.9 mg de pasiréotide deux fois par jour.
  • +L’étude a satisfait l’objectif principal d’efficacité dans le groupe traité par 0.9 mg deux fois par jour, car la limite inférieure de l’IC à 95 % est supérieure au seuil prédéfini de 15 %. Ce succès thérapeutique observé dans le groupe ayant reçu 0.9 mg deux fois par jour a cependant semblé être plus important chez les patients qui avaient un taux initial moyen de CLU plus faible. Dans les deux groupes de doses, Signifor a déjà entraîné une réduction rapide et nette du CLU moyen après un mois et cette réduction s’est maintenue pendant toute la durée du traitement. Le taux de succès après 12 mois était comparable à celui observé après 6 mois et s’est élevé à 13.4 % dans le groupe traité par 0.6 mg deux fois par jour et à 25.0 % dans le groupe traité par 0.9 mg deux fois par jour. Le taux de succès des patients contrôlés (CLU ≤1.0 x LSN) et partiellement contrôlés (CLU >1.0 x LSN, mais avec une diminution du CLU ≥50 %) après 6 mois a été respectivement de 34 % (0.6 mg deux fois par jour) et de 41 % (0.9 mg deux fois par jour) des patients randomisés. Les patients non contrôlés après un ou deux mois ont eu une plus forte probabilité (90 %) d’être encore non contrôlés après 6 et 12 mois.
  • +Une réduction significative du taux médian de CLU a été constatée dans les deux bras thérapeutiques. Après 6 mois, le pourcentage médian de réduction du taux de CLU était de 47.9 % dans les deux groupes thérapeutiques (0.6 et 0.9 deux fois par jour) et après 12 mois, le pourcentage de réduction du taux de CLU était de 67.6 % pour le groupe traité par 0.6 deux fois par jour et de 62.4 % pour le groupe traité par 0.9 deux fois par jour.
  • -Le pasiréotide a un volume de distribution (Vz/F) >100 l et est présent principalement dans le plasma (91%). La liaison aux protéines plasmatiques est modérée (88%) et est indépendante de la concentration.
  • +Le pasiréotide a un volume de distribution (Vz/F) >100 l et est présent principalement dans le plasma (91 %). La liaison aux protéines plasmatiques est modérée (88 %) et est indépendante de la concentration.
  • -Le pasiréotide est éliminé essentiellement sous forme inchangée par la bile et seulement dans une faible mesure par les reins. 55.9 ± 6.63% du pasiréotide radiomarqué ont été retrouvés pendant les 10 premiers jours après l’administration, dont 48.3 ± 8.16% de la radioactivité a été mesurée dans les fèces et 7.63 ± 2.03% dans l’urine.
  • +Le pasiréotide est éliminé essentiellement sous forme inchangée par la bile et seulement dans une faible mesure par les reins. 55.9 ± 6.63 % du pasiréotide radiomarqué ont été retrouvés pendant les 10 premiers jours après l’administration, dont 48.3 ± 8.16 % de la radioactivité a été mesurée dans les fèces et 7.63 ± 2.03 % dans l’urine.
  • -Enfants
  • -La pharmacocinétique du pasiréotide n’a pas été étudiée dans ce groupe d’âge.
  • -Patients âgés (de plus de 65 ans)
  • -Les analyses pharmacocinétiques de population indiquent que l’âge n’a pas d’effet notable sur la pharmacocinétique du pasiréotide. Cependant, aucune étude pharmacocinétique spécifique n’a éeffectuée chez les patients ≥65 ans.
  • -Patients insuffisants rénaux
  • +Troubles de la fonction hépatique
  • +Dans une étude clinique réalisée chez des patients insuffisants hépatiques (Child-Pugh A, B et C) auxquels une dose unique de 600 µg de pasiréotide a été administrée par voie sous-cutanée sous forme de Signifor s.c., des expositions significativement plus élevées ont été retrouvées en cas d’insuffisance hépatique modérée à sévère (Child-Pugh B et C) par rapport aux sujets ayant une fonction hépatique normale. Après correction des effets des covariantes (âge, BMI et albumine), l’AUCinf a augmende 60 % à 79 %, la Cmax de 67 % à 69 %, et la CL/F a diminué de 37 % et 44 % par rapport au groupe contrôle. .
  • +Troubles de la fonction rénale
  • -Patients insuffisants hépatiques
  • -Dans une étude clinique réalisée chez des patients insuffisants hépatiques (Child-Pugh A, B et C) auxquels une dose unique de 600 µg de pasiréotide a été administrée par voie sous-cutanée sous forme de Signifor s.c., des expositions significativement plus élevées ont été retrouvées en cas d’insuffisance hépatique modérée à sévère (Child-Pugh B et C) par rapport aux sujets ayant une fonction hépatique normale. Après correction des effets des covariantes (âge, BMI et albumine), l’AUCinf a augmenté de 60% à 79%, la Cmax de 67% à 69%, et la CL/F a diminué de 37% et 44% par rapport au groupe contrôle.
  • +Patients âgés
  • +Les analyses pharmacocinétiques de population indiquent que l’âge n’a pas d’effet notable sur la pharmacocinétique du pasiréotide. Cependant, aucune étude pharmacocinétique spécifique n’a été effectuée chez les patients ≥65 ans.
  • +Enfants et adolescents
  • +La pharmacocinétique du pasiréotide n’a pas été étudiée dans ce groupe d’âge..
  • +Pharmacologie de sécurité
  • +Mutagénicité
  • +Carcinogénicité
  • +Toxicité sur la reproduction
  • -Mode d’emploi
  • -Signifor est administré par voie sous-cutanée en auto-injection. Pour prévenir tout inconfort local, il est recommandé de laisser la solution se réchauffer à température ambiante avant l’injection. Le médecin ou un professionnel de la santé doit apprendre au patient comment injecter Signifor par voie sous-cutanée.
  • -Il faut éviter les injections répétées au niveau du même site ou de sites proches dans un court délai. L’injection ne doit pas être faite au niveau de sites présentant des signes d’irritations ou d’inflammations. Les sites d’injection privilégiés sont la cuisse et la région abdominale (à l’exception du nombril et de la taille).
  • -Les ampoules ne doivent être ouvertes qu’immédiatement avant l’utilisation et tout reste doit être éliminé.
  • -Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention EXP sur le récipient.
  • -Remarques concernant le stockage
  • -Conserver les médicaments hors de portée des enfants.
  • +Le médicament ne doit pas être utilisé au-delà de la date figurant après la mention «EXP» sur l’emballage.
  • +Remarques particulières concernant le stockage
  • +Conserver hors de portée des enfants.
  • -Précautions spéciales pour l’élimination
  • +Mode d’emploi
  • +Signifor est administré par voie sous-cutanée en auto-injection. Pour prévenir tout inconfort local, il est recommandé de laisser la solution se réchauffer à température ambiante avant l’injection. Le médecin ou un professionnel de la santé doit apprendre au patient comment injecter Signifor par voie sous-cutanée.
  • +Il faut éviter les injections répétées au niveau du même site ou de sites proches dans un court délai. L’injection ne doit pas être faite au niveau de sites présentant des signes d’irritations ou d’inflammations. Les sites d’injection privilégiés sont la cuisse et la région abdominale (à l’exception du nombril et de la taille).
  • +Les ampoules ne doivent être ouvertes qu’immédiatement avant l’utilisation et tout reste doit être éliminé.
  • +Précautions spéciales d’élimination
  • -Recordati AG, 6340 Baar
  • +Recordati AG, 6340 Baar.
  • -Novembre 2017
  • +Octobre 2020
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