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Accueil - Information professionnelle sur Signifor 0.3 mg/1 ml - Changements - 19.03.2025
22 Changements de l'information professionelle Signifor 0.3 mg/1 ml
  • -La dose initiale recommandée de Signifor est de 0.6 mg deux fois par jour en injection sous-cutanée (s.c.).
  • -En cas de suspicion d’effets indésirables, la dose de Signifor peut être passagèrement réduite. Il est recommandé de réduire la dose par paliers de 0.3 mg deux fois par jour.
  • +La dose initiale recommandée de Signifor est de 0.6 mg deux fois par jour en injection sous-cutanée (s.c.). En cas de suspicion d’effets indésirables, la dose de Signifor peut être passagèrement réduite. Il est recommandé de réduire la dose par paliers de 0.3 mg deux fois par jour.
  • -En cas d’oubli d’une dose de Signifor, l’injection suivante doit être administrée à l’heure prévue. Ne pas administrer une dose double pour rattraper un oubli.
  • -Des modifications de la régulation du glucose sont attendues au cours du traitement de la maladie de M. Cushing par le pasiréotide. Des hyperglycémies, une augmentation de la glycémie à jeun et de l’HbA1c, et moins souvent des hypoglycémies, ont été observées au cours des études cliniques réalisées. La survenue d’une hyperglycémie est corrélée à une diminution de la sécrétion d’insuline et des hormones incrétines (c.-à-d. glucagon-like peptide-1 [GLP-1] et glucose-dependent insulinotropic polypeptide [GIP]). Le degré du trouble de la régulation du glucose est plus important en présence d’un état prédiabétique et d’un diabète sucré manifeste. Le statut glycémique (glycémie à jeun [GAJ] et HbA1c) doit être évalué avant l’instauration du traitement et surveillé régulièrement au cours du traitement. L’automesure de la glycémie et/ou la mesure de la GAJ doivent être effectuées toutes les semaines pendant les deux à trois premiers mois du traitement, puis périodiquement lorsque cela est cliniquement justifié, ainsi que toutes les semaines pendant les deux à quatre premières semaines suivant une augmentation de la dose. La GAJ doit être surveillée jusqu’à trois semaines après la fin du traitement et les taux d’HbA1c jusqu’à trois mois après la fin du traitement.
  • +Des modifications de la régulation du glucose sont attendues au cours du traitement de la maladie de M. Cushing par le pasiréotide. Des hyperglycémies, une augmentation de la glycémie à jeun et de l’HbA1c, et moins souvent des hypoglycémies, ont été observées au cours des études cliniques réalisées. La survenue d’une hyperglycémie est corrélée à une diminution de la sécrétion d’insuline et des hormones incrétines (c.-à-d. glucagon-like peptide-1 [GLP-1] et glucosedependent insulinotropic polypeptide [GIP]). Le degré du trouble de la régulation du glucose est plus important en présence d’un état prédiabétique et d’un diabète sucré manifeste. Le statut glycémique (glycémie à jeun [GAJ] et HbA1c) doit être évalué avant l’instauration du traitement et surveillé régulièrement au cours du traitement. L’automesure de la glycémie et/ou la mesure de la GAJ doivent être effectuées toutes les semaines pendant les deux à trois premiers mois du traitement, puis périodiquement lorsque cela est cliniquement justifié, ainsi que toutes les semaines pendant les deux à quatre premières semaines suivant une augmentation de la dose. La GAJ doit être surveillée jusqu’à trois semaines après la fin du traitement et les taux d’HbA1c jusqu’à trois mois après la fin du traitement.
  • -en cas de survenue d’un ictère ou d’autres signes évocateurs d’une altération cliniquement significative de la fonction hépatique
  • -en cas d’élévation persistante des taux d’aspartate aminotransférase (ASAT) ou d’alanine aminotransférase (ALAT) à ≥ 5 x LSN
  • -en cas d’élévation concomitante des taux d’ALAT ou d’ASAT à ≥ 3 x LSN et de la bilirubine à ≥ 2 x LSN.
  • +·en cas de survenue d’un ictère ou d’autres signes évocateurs d’une altération cliniquement significative de la fonction hépatique
  • +·en cas d’élévation persistante des taux d’aspartate aminotransférase (ASAT) ou d’alanine aminotransférase (ALAT) à ≥ 5 x LSN
  • +·en cas d’élévation concomitante des taux d’ALAT ou d’ASAT à ≥ 3 x LSN et de la bilirubine à ≥ 2 x LSN.
  • -Le pasiréotide est modérément lié aux protéines, présente une grande stabilité métabolique et n’est ni un substrat, ni un inhibiteur, ni un inducteur des principales enzymes hépatiques basées sur le CYP450. Le pasiréotide semble être un substrat du transporteur d’efflux glycoprotéine P (P-gp). Toutefois, le pasiréotide n’est pas un inducteur de la P-gp à des concentrations cliniquement significatives. Le pasiréotide n’est pas un substrat du transporteur d’efflux BCRP (breast cancer resistance protein) ni des transporteurs d’influx OCT1 (organic cation transporter 1) et OATP (organic anion-transporting polypeptide) 1B1, 1B3 ou 2B1. À des concentrations cliniquement significatives, on ne s’attend pas à ce que le pasiréotide inhibe l’UGT1A1 (uridine diphosphate glucuronosyltransférase 1A1), les transporteurs d’influx OATP 1B1 ou 1B3 ou les transporteurs d’efflux P-gp, BCRP, MRP2 (multiresistance protein 2) et BSEP (bile salt export pump).
  • +Le pasiréotide est modérément lié aux protéines, présente une grande stabilité métabolique et n’est ni un substrat, ni un inhibiteur, ni un inducteur des principales enzymes hépatiques basées sur le CYP450. Le pasiréotide semble être un substrat du transporteur d’efflux glycoprotéine P (P-gp). Toutefois, le pasiréotide n’est pas un inducteur de la P-gp à des concentrations cliniquement significatives. Le pasiréotide n’est pas un substrat du transporteur d’efflux BCRP (breast cancer resistance protein) ni des transporteurs d’influx OCT1 (organic cation transporter 1) et OATP (organic aniontransporting polypeptide) 1B1, 1B3 ou 2B1. À des concentrations cliniquement significatives, on ne s’attend pas à ce que le pasiréotide inhibe l’UGT1A1 (uridine diphosphate glucuronosyltransférase 1A1), les transporteurs d’influx OATP 1B1 ou 1B3 ou les transporteurs d’efflux P-gp, BCRP, MRP2 (multiresistance protein 2) et BSEP (bile salt export pump).
  • -Influence du pasiréotide sur la pharmacocinétique d’autres substances
  • +Influence de SIGNIFOR sur la pharmacocinétique d’autres substances
  • -Dans chaque catégorie de fréquence, les effets indésirables sont classés par ordre décroissant de sévérité
  • +Dans chaque catégorie de fréquence, les effets indésirables sont classés par ordre décroissant de sévérité.
  • +Fréquence inconnue : Stéatorrhée, selles décolorées.
  • -Fréquents: cholécystite, cholestase, augmentation de la gamma-glutamyltransférase, augmentation de l'alanine aminotransférase, augmentation de l’aspartate aminotransférase.
  • +Fréquents: cholécystite, cholestase, augmentation de la gammaglutamyltransférase, augmentation de l'alanine aminotransférase, augmentation de l’aspartate aminotransférase.
  • -Dans une étude clinique réalisée chez des patients insuffisants hépatiques (Child-Pugh A, B et C) auxquels une dose unique de 600 µg de pasiréotide a été administrée par voie sous-cutanée sous forme de Signifor s.c., des expositions significativement plus élevées ont été retrouvées en cas d’insuffisance hépatique modérée à sévère (Child-Pugh B et C) par rapport aux sujets ayant une fonction hépatique normale. Après correction des effets des covariantes (âge, BMI et albumine), l’AUCinf a augmenté de 60 % à 79 %, la Cmax de 67 % à 69 %, et la CL/F a diminué de 37 % et 44 % par rapport au groupe contrôle. .
  • +Dans une étude clinique réalisée chez des patients insuffisants hépatiques (Child-Pugh A, B et C) auxquels une dose unique de 600 µg de pasiréotide a été administrée par voie sous-cutanée sous forme de Signifor s.c., des expositions significativement plus élevées ont été retrouvées en cas d’insuffisance hépatique modérée à sévère (Child-Pugh B et C) par rapport aux sujets ayant une fonction hépatique normale. Après correction des effets des covariantes (âge, BMI et albumine), l’AUCinf a augmenté de 60 % à 79 %, la Cmax de 67 % à 69 %, et la CL/F a diminué de 37 % et 44 % par rapport au groupe contrôle.
  • -La pharmacocinétique du pasiréotide n’a pas été étudiée dans ce groupe d’âge..
  • +La pharmacocinétique du pasiréotide n’a pas été étudiée dans ce groupe d’âge.
  • -Recordati AG, 6340 Baar.
  • +Recordati AG, 6340 Baar
  • -Octobre 2020
  • +Février 2025
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