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Accueil - Information professionnelle sur Simponi 50 mg - Changements - 07.07.2017
180 Changements de l'information professionelle Simponi 50 mg
  • -·dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde active modérée à sévère chez l'adulte, lorsque la réponse aux antirhumatismaux modificateurs de la maladie (DMARD), y compris le MTX, a été inadéquate. Il a été démontré que Simponi améliore la fonction physique dans cette population de patients;
  • -·dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde sévère active et évolutive chez l'adulte n'ayant encore jamais été traité par MTX. Chez ces patients, il a été démontré que Simponi en association avec le MTX améliore la fonction physique et réduit le taux de progression des destructions articulaires, évalué à l'aide de radiographies.
  • +·dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde active modérée à sévère chez l'adulte, lorsque la réponse aux antirhumatismaux modificateurs de la maladie (DMARD), y compris le MTX, a été insuffisante. Il a été démontré que Simponi améliore la fonction physique dans cette population de patients;
  • +·dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde sévère active et évolutive chez l'adulte n'ayant encore jamais été traité par MTX. Chez ces patients, il a été démontré que Simponi en association avec le MTX améliore la fonction physique et réduit le taux de progression des endommagements articulaires, évalués à l'aide de radiographies.
  • -Simponi, seul ou en association avec le MTX, est indiqué dans le traitement du rhumatisme psoriasique actif et évolutif chez l'adulte, lorsque la réponse à un précédent traitement de fond antirhumatismal (DMARD) a été inadéquate. Il a été démontré que Simponi améliore la fonction physique et réduit le taux de progression des destructions articulaires périphériques, évalué à l'aide de radiographies, chez les patients souffrant de sous-types polyarticulaires symétriques de la maladie (voir «Propriétés/Effets»).
  • +Simponi, seul ou en association avec le MTX, est indiqué dans le traitement du rhumatisme psoriasique actif et évolutif chez l'adulte, lorsque la réponse à un précédent traitement de fond antirhumatismal (DMARD) a été insuffisante. Il a été démontré que Simponi améliore la fonction physique et réduit le taux de progression des endommagements articulaires périphériques, évalués à l'aide de radiographies, chez les patients souffrant de sous-types polyarticulaires symétriques de la maladie (voir «Propriétés/Effets»).
  • -Simponi est indiqué dans le traitement de la spondylarthrite ankylosante active sévère chez les adultes qui n'ont pas répondu de manière adéquate à un traitement conventionnel.
  • +Simponi est indiqué dans le traitement de la spondylarthrite ankylosante active sévère chez les adultes qui ont répondu de manière insuffisante à un traitement conventionnel.
  • -Simponi est indiqué pour le traitement chez l'adulte de la spondylarthrite axiale non radiographique active sévère, avec signes d'inflammation objectivés par l'élévation de la protéine C-réactive (CRP) et l'imagerie par résonance magnétique (IRM), n'ayant pas répondu de manière adéquate au traitement par les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ou affectant des patients intolérants aux AINS.
  • +Simponi est indiqué dans le traitement de la spondylarthrite axiale non radiographique active sévère chez les adultes, avec des signes objectifs d'inflammation avec une élévation de la protéine C-réactive (CRP) et un constat par imagerie par résonance magnétique (IRM), ayant répondu de manière insuffisante au traitement par les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) ou ne les ayant pas tolérés.
  • -Simponi 50 mg administré une fois par mois, à la même date chaque mois.
  • +Simponi 50 mg est administré une fois par mois, à la même date chaque mois.
  • -Simponi 50 mg administré une fois par mois, à la même date chaque mois.
  • +Simponi 50 mg est administré une fois par mois, à la même date chaque mois.
  • -L'efficacité et la sécurité de Simponi chez les patients âgés de moins de 18 ans n'ont pas encore été étudiées. Il n'existe aucune donnée à ce sujet.
  • +La sécurité et l'efficacité de Simponi chez les patients âgés de moins de 18 ans n'ont pas encore été étudiées. Il n'existe aucune donnée à ce sujet.
  • -Injection par voie sous-cutanée: après avoir été formés de manière appropriée à la technique d'injection sous-cutanée, les patients peuvent s'injecter eux-mêmes Simponi si leur médecin considère que cela est approprié, avec un suivi médical si nécessaire. Les patients doivent être informés de la nécessité d'injecter la quantité totale de Simponi selon les instructions complètes d'administration fournies dans la notice. Si plusieurs injections sont nécessaires, celles-ci doivent être réalisées à différents endroits du corps. Pour les instructions d'administration, voir «Remarques particulières – Remarques concernant la manipulation».
  • +Injection par voie sous-cutanée: après avoir été formés de manière appropriée à la technique d'injection sous-cutanée, les patients peuvent s'injecter eux-mêmes Simponi si leur médecin considère que cela est approprié, avec un suivi médical si nécessaire. Les patients doivent être informés de la nécessité d'injecter la quantité totale de Simponi selon les instructions complètes d'administration fournies dans la notice. Si plusieurs injections sont nécessaires, celles-ci doivent être réalisées à différents endroits du corps. Pour les instructions d'administration, voir rubrique «Remarques particulières – Remarques concernant la manipulation».
  • -Les patients doivent faire l'objet d'une surveillance attentive au regard des infections y compris la tuberculose avant, pendant et après le traitement par Simponi. L'élimination du golimumab pouvant prendre jusqu'à 5 mois, la surveillance doit être maintenue pendant toute cette période. Simponi ne doit pas être ré-administré si le patient développe une infection grave ou un sepsis (voir rubrique «Contre-indications»).
  • -Simponi ne doit pas être administré à des patients atteints d'une infection aigüe cliniquement significative. Des précautions doivent être prises lorsque l'utilisation de Simponi est envisagée chez des patients présentant une infection chronique ou des antécédents d'infection récurrente. Les patients doivent être avertis du risque infectieux et éviter l'exposition à tout facteur de risque potentiel d'infection.
  • -Les patients traités par anti-TNF présentent un risque plus important de développer une infection grave. Des infections bactériennes (notamment sepsis et pneumonie), mycobactériennes (notamment TB), fongiques invasives ou opportunistes, dont certaines d'évolution fatale, ont été rapportées chez des patients traités par Simponi. Les patients présentaient souvent une atteinte plutôt disséminée que localisée. Des cas de tuberculose, d'histoplasmose et d'herpès disséminés ont ainsi été rapportés. Certaines de ces infections graves ont été observées chez des patients sous traitement immunosuppresseur concomitant, ce qui, en plus de leur maladie sous-jacente, pourrait les prédisposer aux infections. Les patients qui développent une nouvelle infection au cours d'un traitement par Simponi doivent être étroitement surveillés et bénéficier d'une évaluation diagnostique complète. L'administration de Simponi doit être interrompue si un patient développe une nouvelle infection grave ou un sepsis, et un traitement antimicrobien ou antifongique approprié doit être initié jusqu'à ce que l'infection soit contrôlée.
  • -Pour les patients ayant séjourné ou voyagé dans des régions endémiques pour les infections fongiques invasives telles que histoplasmose, coccidioïdomycose ou blastomycose, le rapport bénéfice/risque du traitement par Simponi doit être soigneusement pris en compte avant l'initiation ou la poursuite du traitement. Chez ces patients à risque, il y a lieu de suspecter une infection fongique invasive en cas de maladie systémique grave. La recherche d'antigènes et d'anticorps peut être négative chez certains patients porteurs d'une infection active. L'examen de diagnostic et les mesures thérapeutiques, y compris un éventuel traitement antifongique empirique, doivent être menés avec l'avis d'un spécialiste des infections fongiques invasives. Le risque d'infection fongique grave, qu'il faut parfois estimer sans pouvoir le confirmer par des tests de laboratoire spécifiques, doit être mis dans la balance avec les risques d'un traitement antimycotique.
  • +Les patients doivent faire l'objet d'une surveillance attentive au regard des infections y compris la tuberculose avant, pendant et après le traitement par Simponi. L'élimination du golimumab pouvant prendre jusqu'à 5 mois, la surveillance doit être maintenue pendant toute cette période. Le traitement avec Simponi doit être arrêté si le patient développe une infection grave ou un sepsis (voir rubrique «Contre-indications»).
  • +Simponi ne doit pas être administré à des patients atteints d'une infection aigüe cliniquement significative. Des précautions doivent être prises lorsque l'utilisation de Simponi est envisagée chez des patients présentant une infection chronique resp. des antécédents d'infection récurrente connue. Les patients doivent être informés des facteurs de risque possibles d'appariation d'infections qui sont à éviter.
  • +Les patients traités par anti-TNF présentent un risque plus important de développer une infection grave. Des infections bactériennes (notamment sepsis et pneumonie), mycobactériennes (notamment TB), mycoses systémiques ou infections opportunistes, dont certaines d'évolution tale, ont été rapportées chez des patients traités par Simponi. Les patients présentaient souvent une atteinte plutôt disséminée que localisée. Des cas de tuberculose, d'histoplasmose et d'herpès disséminés ont ainsi été rapportés. Certaines de ces infections graves ont été observées chez des patients sous traitement immunosuppresseur concomitant, ce qui, en plus de leur maladie sous-jacente, pourrait les prédisposer aux infections. Les patients qui développent une nouvelle infection au cours d'un traitement par Simponi doivent être étroitement surveillés et bénéficier d'une évaluation diagnostique complète. L'administration de Simponi doit être interrompue si un patient développe une nouvelle infection grave ou un sepsis, et un traitement antimicrobien ou antifongique approprié doit être initié jusqu'à ce que l'infection soit sous contrôle.
  • +Pour les patients ayant séjourné ou voyagé dans des régions endémiques pour les mycoses systémiques telles que histoplasmose, coccidioïdomycose ou blastomycose, le rapport bénéfice/risque du traitement par Simponi doit être soigneusement pris en compte avant l'initiation ou la poursuite du traitement. Chez ces patients à risque, il y a lieu de suspecter une infection fongique invasive en cas de maladie systémique grave. La recherche d'antigènes et d'anticorps peut être négative chez certains patients porteurs d'une infection active. L'examen de diagnostic et les mesures thérapeutiques, y compris une éventuelle thérapie antifongique empirique, doivent être menés avec l'avis d'un spécialiste des infections fongiques invasives. Le risque d'infection fongique grave, qu'il faut parfois estimer sans pouvoir le confirmer par des tests de laboratoire spécifiques, doit être mis dans la balance avec les risques d'une thérapie antimycotique.
  • -Des cas de tuberculose ont été rapportés chez des patients traités par Simponi. On a pu constater que dans la majorité des cas, la tuberculose était de type extrapulmonaire, localisée ou disséminée.
  • -Avant l'instauration du traitement par Simponi, tous les patients doivent faire l'objet d'une recherche de tuberculose active ou inactive («latente»). Cette recherche doit comprendre un entretien médical détaillé précisant les antécédents personnels de tuberculose ou d'éventuels contacts antérieurs avec un patient atteint de tuberculose et les traitements immunosuppresseurs anciens et/ou en cours. Des tests appropriés, tels que l'intradermo-réaction ou l'analyse de sang et une radiographie thoracique, doivent être réalisés chez tous les patients (conformément aux éventuelles recommandations locales). Il est recommandé de consigner les dates de ces examens sur la carte de signalement patient. Il est rappelé aux prescripteurs qu'une intradermo-réaction peut s'avérer faussement négative, surtout chez les patients gravement malades ou immunodéprimés.
  • +Des cas de tuberculose ont été rapportés chez des patients traités par Simponi. On a pu constater que dans la majorité des cas, la tuberculose était de type extrapulmonaire, qui se manifestait soit comme maladie localisée ou disséminée.
  • +Avant l'instauration du traitement par Simponi, tous les patients doivent faire l'objet d'une recherche de tuberculose active ou inactive («latente»). Cette recherche doit comprendre une anamnèse clinique détaillée qui tient compte des aspects suivants: présence d'une tuberculose dans l'anamnèse ou d'éventuels contacts antérieurs avec un patient atteint de tuberculose et les traitements immunosuppresseurs anciens et/ou en cours. Des tests de dépistage appropriés, tels que test cutané à la tuberculine ou test sanguin de tuberculose et une radiographie thoracique, doivent être réalisés chez tous les patients (conformément aux éventuelles recommandations locales). Il est recommandé de consigner les dates de ces examens sur la carte de signalement du patient. Il est rappelé aux prescripteurs le risque de résultats faussement négatifs pour le test cutané à la tuberculine, surtout chez les patients gravement malades ou immunodéprimés.
  • -Si une tuberculose inactive («latente») est diagnostiquée, un traitement adapté à une tuberculose latente doit être démarré avec un traitement antituberculeux avant d'instaurer un traitement par Simponi et ce, conformément aux recommandations locales.
  • -Chez les patients présentant des facteurs de risque multiples ou significatifs de tuberculose, et présentant un résultat négatif au test de dépistage d'une tuberculose latente, un traitement antituberculeux doit être envisagé avant d'initier un traitement par Simponi. La prise d'un traitement antituberculeux doit également être envisagée avant d'instaurer un traitement par Simponi chez des patients présentant des antécédents de tuberculose latente ou active pour qui le bon déroulement du traitement ne peut pas être confirmé.
  • +Si une tuberculose inactive («latente») est diagnostiquée, un traitement adapté à une tuberculose latente doit être démarré avec une thérapie antituberculeux avant d'instaurer un traitement par Simponi et ce, conformément aux recommandations locales.
  • +Chez les patients présentant des facteurs de risque multiples ou significatifs de tuberculose, et présentant un résultat négatif au test de dépistage d'une tuberculose latente, un traitement antituberculeux doit être envisagé avant d'initier un traitement par Simponi. Une thérapie antituberculeuse doit également être envisagée avant d'instaurer un traitement par Simponi chez des patients présentant des antécédents de tuberculose latente ou active pour qui une thérapie appropriée ne peut pas être confirmée.
  • -Une réactivation de l'hépatite B est survenue chez des patients porteurs chroniques de ce virus (c'est-à-dire, positifs pour l'antigène de surface) qui ont reçu un anti-TNF, y compris Simponi. Pour certains de ces cas, l'évolution a été fatale.
  • +Une réactivation de l'hépatite B est survenue chez des patients porteurs chroniques de ce virus (c'est-à-dire, positifs pour l'antigène de surface) qui ont reçu un anti-TNF, y compris Simponi. Pour certains de ces cas, l'évolution a été tale.
  • -Il faut surveiller étroitement les patients porteurs de VHB nécessitant un traitement par Simponi pour déceler les signes ou symptômes révélateurs d'une infection active de VHB tout au long du traitement par Simponi et plusieurs mois après la fin de celui-ci. Aucune donnée pertinente pour traiter les patients porteurs de VHB par un traitement antiviral conjointement avec un anti-TNF n'est disponible afin de prévenir une réactivation du VHB. Chez les patients qui développent une réactivation du VHB, le traitement par Simponi doit être interrompu et un traitement antiviral efficace avec un traitement complémentaire approprié, doit être instauré.
  • +Il faut surveiller étroitement les patients porteurs de VHB nécessitant un traitement par Simponi pour déceler les signes ou symptômes d'une infection active de VHB tout au long du traitement par Simponi et plusieurs mois après la fin de celui-ci. Aucune donnée pertinente pour traiter les patients porteurs de VHB par un traitement antiviral conjointement avec un anti-TNF n'est disponible afin de prévenir une réactivation du VHB. Chez les patients qui développent une réactivation du VHB, le traitement par Simponi doit être interrompu et un traitement antiviral efficace avec un traitement complémentaire approprié, doit être instauré.
  • -Le rôle potentiel d'un traitement anti-TNF dans le développement des tumeurs malignes est inconnu. Au vu des connaissances actuelles, on ne peut exclure le risque de développer des lymphomes, une leucémie ou d'autres tumeurs malignes chez des patients traités par anti-TNF. Des précautions doivent être prises lors de l'utilisation d'un traitement par anti-TNF chez des patients présentant des antécédents de tumeur maligne ou lors de la poursuite du traitement chez des patients qui développent une tumeur maligne.
  • +Le rôle potentiel d'un traitement anti-TNF dans le développement des tumeurs malignes est inconnu. Au vu des connaissances actuelles, on ne peut exclure le risque potentiel de développer des lymphomes, une leucémie ou d'autres tumeurs malignes chez des patients traités par anti-TNF. Des précautions doivent être prises lors de l'utilisation d'un traitement par anti-TNF chez des patients présentant des antécédents de tumeur maligne ou lors de la poursuite du traitement chez des patients qui développent une tumeur maligne.
  • -Des tumeurs malignes, dont certaines d'évolution fatale, ont été rapportées après la commercialisation chez des enfants, des adolescents et des jeunes adultes (jusqu'à 22 ans) traités par des agents anti-TNF (initiation du traitement ≤18 ans). Environ la moitié des cas étaient des lymphomes. Les autres cas correspondaient à d'autres types très différents de tumeurs malignes, incluant des tumeurs malignes rares habituellement associées à une immunosuppression. Le risque de développer des tumeurs malignes chez les enfants et les adolescents traités par anti-TNF ne peut être exclu.
  • +Des tumeurs malignes, dont certaines d'évolution tale, ont été rapportées après la commercialisation chez des enfants, des adolescents et des jeunes adultes (jusqu'à 22 ans) traités par des agents anti-TNF (initiation du traitement ≤18 ans). Environ la moitié des cas étaient des lymphomes. Les autres cas correspondaient à d'autres types très différents de tumeurs malignes, incluant des tumeurs malignes rares habituellement associées à une immunosuppression. Le risque de développer des tumeurs malignes chez les enfants et les adolescents traités par anti-TNF ne peut être exclu.
  • -Dans les phases contrôlées des études cliniques menées avec tous les anti-TNF, y compris Simponi, le nombre de cas de lymphomes observés était plus important chez les patients recevant un traitement anti-TNF que chez les patients du groupe contrôle. Au cours des études cliniques de Simponi de phase IIb et de phase III pour le traitement de la PR, du RP et de la SA, l'incidence des lymphomes chez les patients traités par Simponi était plus élevée que celle attendue dans la population générale. Des cas de leucémie ont été rapportés chez des patients traités par anti-TNF, y compris Simponi. Il existe un risque accru de développer un lymphome ou une leucémie chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde de longue date, hautement active et inflammatoire, ce qui complique l'évaluation du risque.
  • -De rares cas de lymphomes hépatospléniques à lymphocytes T ont été rapportés après commercialisation chez des patients traités par d'autres anti-TNF (voir «Effets indésirables»). Cette forme rare de lymphome à lymphocytes T est caractérisée par une évolution très agressive et une issue habituellement fatale. La majorité des cas a été observée chez des adolescents ou des jeunes adultes de sexe masculin qui recevaient presque tous un traitement simultané par azathioprine (AZA) ou 6-mercaptopurine (6-MP) en raison de maladies inflammatoires chroniques de l'intestin. Le risque potentiel de l'association entre AZA ou 6-MP et Simponi doit être considéré avec précaution. Un risque de développer un lymphome hépatosplénique à lymphocytes T ne peut pas être exclu chez les patients traités par des anti-TNF.
  • +Dans les phases contrôlées des études cliniques menées avec tous les anti-TNF, y compris Simponi, le nombre de cas de lymphomes observés était plus important chez les patients recevant un traitement anti-TNF que chez les patients du groupe contrôle. Au cours des études cliniques de Simponi de phase IIb et de phase III pour le traitement de la PR, du RP et de la SA, l'incidence des lymphomes chez les patients traités par Simponi était plus élevée que celle attendue dans la population générale. Des cas de leucémie ont été rapportés chez des patients traités par anti-TNF, y compris Simponi. Il existe un risque de base accru de développer un lymphome ou une leucémie chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde de longue date, hautement active et inflammatoire, ce qui complique l'évaluation du risque.
  • +De rares cas de lymphomes hépatospléniques à lymphocytes T ont été rapportés après commercialisation chez des patients traités par d'autres anti-TNF (voir «Effets indésirables»). Cette forme rare de lymphome à lymphocytes T est caractérisée par une évolution très agressive et une issue habituellement tale. La majorité des cas a été observée chez des adolescents ou des jeunes adultes de sexe masculin qui recevaient presque tous un traitement simultané par azathioprine (AZA) ou 6-mercaptopurine (6-MP) en raison de maladies inflammatoires chroniques de l'intestin. Le risque potentiel de l'association entre AZA ou 6-MP et Simponi devrait être considéré avec précaution. Un risque de développer un lymphome hépatosplénique à lymphocytes T ne peut pas être exclu chez les patients traités par des anti-TNF.
  • -Lors d'une étude clinique exploratoire évaluant l'utilisation de Simponi chez des patients atteints d'asthme sévère persistant, plus de tumeurs malignes ont été rapportées chez les patients traités par Simponi que chez les patients du groupe contrôle (voir rubrique «Effets indésirables»). La significativité de ce résultat n'est pas connue.
  • +Lors d'une étude clinique exploratoire évaluant l'utilisation de Simponi chez des patients atteints d'asthme bronchiale sévère persistant, plus de tumeurs malignes ont été rapportées chez les patients traités par Simponi que chez les patients du groupe contrôle (voir rubrique «Effets indésirables»). La significativité de ce résultat n'est pas connue.
  • -Des mélanomes ont été rapportés chez des patients ayant reçu un anti-TNF, dont des patients ayant reçu Simponi. Des carcinomes à cellules de Merkel ont été rapportés chez des patients ayant reçu un anti-TNF (voir «Effets indésirables»). Des examens réguliers de la peau sont recommandés chez tous les patients, et plus particulièrement chez les patients présentant des facteurs de risque de cancers cutanés.
  • +Des mélanomes et des carcinomes à cellules de Merkel ont été rapportés chez des patients ayant reçu un anti-TNF, y compris Simponi. Des examens réguliers de la peau sont recommandés chez tous les patients, et plus particulièrement chez les patients présentant des facteurs de risque de cancers cutanés.
  • -Des cas d'aggravation d'insuffisance cardiaque congestive (ICC) et de nouvelle survenue d'ICC ont été rapportés avec les anti-TNF, y compris Simponi. Certains ont eu une issue fatale. Lors d'une étude clinique sur un autre anti-TNF, une aggravation de l'insuffisance cardiaque congestive et une augmentation de la mortalité due à l'ICC ont été observées. Simponi n'a pas été étudié chez des patients atteints d'ICC. Simponi doit être utilisé avec précaution chez les patients atteints d'insuffisance cardiaque légère (classe I/II de la NYHA). Les patients doivent être étroitement surveillés et Simponi doit être interrompu chez les patients qui développent de nouveaux symptômes ou une aggravation de leur insuffisance cardiaque (voir rubrique «Contre-indications»).
  • +Des cas d'aggravation d'insuffisance cardiaque congestive (ICC) et de nouvelle survenue d'ICC ont été rapportés avec les anti-TNF, y compris Simponi. Certains ont eu une issue tale. Lors d'une étude clinique sur un autre anti-TNF, une aggravation de l'insuffisance cardiaque congestive et une augmentation de la mortalité due à l'ICC ont été observées. Simponi n'a pas été étudié chez des patients atteints d'ICC. Simponi doit être utilisé avec précaution chez les patients atteints d'insuffisance cardiaque légère (classe I/II de la NYHA). Les patients doivent être étroitement surveillés et Simponi doit être interrompu chez les patients qui développent de nouveaux symptômes ou une aggravation de leur insuffisance cardiaque (voir rubrique «Contre-indications»).
  • -L'utilisation d'anti-TNF, y compris Simponi, a été associée à des cas d'exacerbation ou d'apparition de nouveaux symptômes cliniques et/ou de signes radiographiques de troubles démyélinisants du système nerveux central, y compris la sclérose en plaques et les troubles démyélinisants périphériques. Chez les patients atteints de troubles démyélinisants pré-existants ou récents, le rapport bénéfice/risque d'un traitement anti-TNF doit être pris en compte avant d'initier un traitement par Simponi.
  • +L'utilisation d'anti-TNF, y compris Simponi, a été associée à des cas d'exacerbation ou d'apparition de nouveaux symptômes cliniques et/ou de signes radiographiques de troubles démyélinisants du système nerveux central, y compris la sclérose en plaques et les troubles démyélinisants périphériques. Chez les patients atteints de troubles démyélinisants pré-existants ou récents, le rapport bénéfice/risque d'un traitement anti-TNF doit être pris soigneusement en compte avant d'initier un traitement par Simponi.
  • -La déficience relative en TNF-alpha due au traitement anti-TNF peut déclencher une réaction auto-immune. Si un patient développe des symptômes évocateurs d'un syndrome type lupus à la suite d'un traitement par Simponi et qu'il présente des anticorps anti-ADN double brin, le traitement par Simponi doit alors être interrompu (voir rubrique «Effets indésirables»).
  • +La déficience relative en TNF-alpha due au traitement anti-TNF peut déclencher une réaction auto-immune. Si un patient développe des symptômes évocateurs d'un syndrome type lupus à la suite d'un traitement par Simponi et qu'il présente des anticorps anti-ADN double brin, la thérapie par Simponi doit alors être interrompu (voir rubrique «Effets indésirables»).
  • -Depuis leur commercialisation, des cas de pancytopénie, leucopénie, neutropénie, anémie aplasique et thrombocytopénie ont été rapportés chez des patients traités par anti-TNF. Des cytopénies, y compris une pancytopénie ont rarement été rapportés avec Simponi dans les études cliniques. Il doit être conseillé à tous les patients de demander immédiatement un avis médical s'ils présentent des signes ou des symptômes suggérant des troubles sanguins (tels que fièvre persistante, ecchymoses, saignements, pâleur). L'arrêt de Simponi devra être envisagé pour les patients chez qui des anomalies hématologiques significatives seront confirmées.
  • +Après commercialisation, des cas de pancytopénie, leucopénie, neutropénie, anémie aplasique et thrombocytopénie ont été rapportés chez des patients traités par anti-TNF. Des cytopénies, y compris une pancytopénie ont rarement été rapportés avec Simponi dans les études cliniques. Il doit être conseillé à tous les patients de demander immédiatement un avis médical s'ils présentent des signes ou des symptômes suggérant des troubles sanguins (tels que fièvre persistante, ecchymoses, saignements, pâleur). L'arrêt de Simponi devra être envisagé pour les patients chez lesquels des anomalies hématologiques significatives seront confirmées.
  • -Des cas d'infections graves et de neutropénie ont été observés dans des études cliniques lors de l'administration simultanée d'anakinra et d'un autre anti-TNF, l'étanercept, sans bénéfice clinique supplémentaire. En raison de la nature des effets indésirables observés avec cette combinaison thérapeutique, des effets toxiques similaires peuvent également résulter de l'association d'anakinra et d'autres anti-TNF. L'association de Simponi et d'anakinra n'est pas recommandée.
  • +Des cas d'infections graves et de neutropénies ont été observés dans des études cliniques lors de l'administration simultanée d'anakinra et d'un autre anti-TNF, l'étanercept, sans bénéfice clinique supplémentaire. En raison de la nature des effets indésirables observés avec cette combinaison thérapeutique, des effets toxiques similaires peuvent également résulter de l'association d'anakinra et d'autres anti-TNF. L'association de Simponi et d'anakinra n'est pas recommandée.
  • -Le remplacement d'un médicament biologique par un autre doit être fait avec précaution parce que l'activité biologique parallèle des deux médicaments pourrait accroître encore le risque d'infections.
  • +Le changement d'un médicament biologique à un autre doit être fait avec précaution parce que l'activité biologique parallèle des deux médicaments pourrait accroître encore le risque d'infections.
  • -Les patients traités par Simponi pourront être vaccinés de manière concomitante, sauf en cas de vaccins vivants. Pour les patients recevant un traitement par anti-TNF, les données sur la réponse à la vaccination avec des vaccins vivants ou sur la transmission secondaire de l'infection par des vaccins vivants sont limitées. L'utilisation de vaccins vivants peut entraîner des infections cliniques, y compris des infections disséminées.
  • -D'autres utilisations d'agents infectieux thérapeutiques, tels que des bactéries vivantes atténuées (par exemple l'instillation vésicale de BCG dans le traitement d'un cancer) pourraient entraîner des infections cliniques, y compris des infections disséminées. Il est recommandé de ne pas administrer d'agents infectieux thérapeutiques de façon concomitante avec Simponi.
  • +Les patients traités par Simponi peuvent être vaccinés de manière concomitante, sauf en cas de vaccins vivants. Pour les patients recevant un traitement par anti-TNF, les données sur la réponse à la vaccination avec des vaccins vivants ou sur la transmission secondaire de l'infection par des vaccins vivants sont limitées. L'utilisation de vaccins vivants peut entraîner des infections cliniques, y compris des infections disséminées.
  • +L'utilisation d'autres d'agents infectieux thérapeutiques, tels que des bactéries vivantes atténuées (par exemple l'instillation vésicale de BCG dans le traitement d'un cancer) peut entraîner des infections cliniques, y compris des infections disséminées. Il est recommandé de ne pas administrer d'agents infectieux thérapeutiques de façon concomitante avec Simponi.
  • -Au cours des études de phase III dans le traitement de la PR, du RP et de la SA, aucune différence globale n'a été observée concernant les effets indésirables (EI), les effets indésirables graves (EIG) et les infections graves chez des personnes âgées d'au moins 65 ans traitées par Simponi par rapport aux patients plus jeunes. Les données disponibles chez les patients atteints de RCH ne permettent aucune conclusion à ce sujet. Toutefois, des précautions et une attention particulière à l'égard de la survenue d'infections doivent être prises lors du traitement des sujets âgés.
  • +Au cours des études de phase III dans le traitement de la PR, du RP et de la SA, aucune différence globale n'a été observée concernant les effets indésirables (EI), les effets indésirables graves (EIG) et les infections graves chez des personnes âgées d'au moins 65 ans traitées par Simponi par rapport aux patients plus jeunes. Les données disponibles chez les patients atteints de RCH ne permettent aucune conclusion à ce sujet. Toutefois, des précautions et une attention particulière à l'égard de la survenue d'infections doivent être prises lors du traitement des patients âgés.
  • -Aucune étude spécifique de Simponi n'a été menée sur des patients atteints d'insuffisance rénale ou hépatique. Simponi doit être utilisé avec précaution chez des sujets atteints de troubles de la fonction hépatique (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • +Aucune étude spécifique sur l'utilisation de Simponi n'a été menée sur des patients atteints d'insuffisance rénale ou hépatique. Simponi doit être utilisé avec précaution chez des sujets atteints de troubles de la fonction hépatique (voir rubrique «Posologie/Mode d'emploi»).
  • -Simponi contient du sorbitol (E420). Les patients souffrant de pathologies héréditaires rares d'intolérance au fructose ne doivent pas prendre Simponi.
  • +Simponi contient du sorbitol (E420). Les patients souffrant d'intolérance au fructose, une pathologie héréditaire rare, ne doivent pas prendre Simponi.
  • -Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception appropriée afin de prévenir toute grossesse et poursuivre son utilisation pendant au moins 6 mois après le dernier traitement par golimumab.
  • +Les femmes en âge de procréer doivent utiliser des mesures de contraception fiables et poursuivre son utilisation pendant au moins 6 mois après le dernier traitement par golimumab.
  • -On ignore si golimumab est excrété dans le lait maternel ou absorbé systématiquement après ingestion. Il a été montré que golimumab passait dans le lait maternel des singes et, comme de nombreuses immunoglobulines humaines sont excrétées dans le lait maternel, les femmes ne doivent pas allaiter pendant au moins 6 mois après le traitement par golimumab.
  • +On ignore si golimumab passe dans le lait maternel ou est absorbé systématiquement après l'administration. Il a été montré que golimumab passait dans le lait maternel des singes et, comme de nombreuses immunoglobulines humaines sont excrétées dans le lait maternel, les femmes ne doivent pas allaiter pendant au moins 6 mois après le traitement par golimumab.
  • -Les infections des voies respiratoires supérieures ont été l'effet indésirable (EI) le plus fréquemment décrit dans la phase contrôlée des études pivots sur la PR, le RP, la SA, la SA-nr et la RCH. Cet EI s'est produit chez 12,6% des patients avec le golimumab, par rapport à 11,0% des patients des groupes de contrôle. Les EI les plus sérieux décrits sous Simponi englobent des infections sérieuses (y compris sepsis, pneumonie, tuberculose, infections fongiques invasives et infections opportunistes), des maladies démyélinisantes, une hypertension, des lymphomes, une réactivation du VHB, une insuffisance cardiaque décompensée, des processus auto-immuns (syndrome pseudo-lupique), des réactions hématologiques, des réactions d'hypersensibilité systémiques graves (y compris des réactions anaphylactiques), des vascularites, un psoriasis (réapparition ou aggravation d'un psoriasis préexistant), des cancers de la peau, une sarcoïdose ou une réaction pseudo-sarcoïdosique et une leucémie (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Les effets indésirables du médicament (EI) observés lors dessais cliniques et rapportés depuis la commercialisation dans le monde de golimumab sont listés dans le tableau 1. Les effets indésirables sont listés par classes de système dorganes et par fréquence en utilisant la convention suivante: très fréquent (≥1/10); fréquent (<1/10, ≥1/100); occasionnel (<1/100, ≥1/1000); rare (<1/1000, ≥1/10'000); très rare (<1/10'000); cas isolés (fréquence ne pouvant pas être évaluée daprès les données disponibles).
  • +Les infections des voies respiratoires supérieures ont été l'effet indésirable (EI) le plus fréquemment décrit dans la phase contrôlée des études pivots sur la PR, le RP, la SA, la SA-nr et la RCH. Cet EI s'est produit chez 12,6% des patients traités par le golimumab, par rapport à 11,0% des patients des groupes de contrôle. Les EI les plus sérieux décrits sous Simponi englobent des infections sérieuses (y compris sepsis, pneumonie, tuberculose, infections fongiques invasives et infections opportunistes), des maladies démyélinisantes, une hypertension, des lymphomes, une réactivation du VHB, une insuffisance cardiaque décompensée, des processus auto-immuns (syndrome pseudo-lupique), des réactions hématologiques, des réactions d'hypersensibilité systémiques graves (y compris des réactions anaphylactiques), des vascularites, un psoriasis (réapparition ou aggravation d'un psoriasis préexistant), des cancers de la peau, une sarcoïdose ou une réaction pseudo-sarcoïdosique et une leucémie (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Les effets indésirables du médicament (EI) observés lors d'essais cliniques et rapportés depuis la commercialisation dans le monde de golimumab sont listés dans le tableau 1. Les effets indésirables sont listés par classes de système d'organes et par fréquence en utilisant la convention suivante: très fréquent (≥1/10); fréquent (<1/10, ≥1/100); occasionnel (<1/100, ≥1/1000); rare (<1/1000, ≥1/10'000); très rare (<1/10'000); cas isolés (fréquence ne pouvant pas être évaluée d'après les données disponibles).
  • -Fréquent: Infections bactériennes (telles qu'une inflammation du tissu sous-cutané), infection des voies aériennes inférieures (telles que pneumonie), infections virales (telles que grippe et herpès), bronchite, sinusite, infections fongiques superficielles, abcès
  • -Occasionnel: Sepsis (y compris choc septique), pyélonéphrite
  • +Fréquent: Infections bactériennes (telles qu'une inflammation du tissu sous-cutané), infection des voies respiratoires inférieures (telles que pneumonie), infections virales (telles que grippe et herpès), bronchite, sinusite, infections fongiques superficielles, abcès
  • +Occasionnel: Sepsis, y compris choc septique, pyélonéphrite
  • -Néoplasmes bénins, malins et non précisés (y compris kystes et polypes)
  • +Tumeurs bénignes, malignes et non précisées (y compris kystes et polypes)
  • -Rare: Lymphome, leucémie, mélanome
  • -Cas isolés: Lymphome hépatosplénique à lymphocytes T*, carcinome à cellules de Merkel*
  • -Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
  • +Rare: Lymphome, leucémie, mélanome, carcinome à cellules de Merkel
  • +Cas isolés: Lymphome hépatosplénique à lymphocytes T*
  • +Affections hématologiques et du système lymphatique
  • -Rare: Anémie aplasique*
  • -Troubles du système immunitaire
  • +Rare: Anémie aplasique
  • +Affections du système immunitaire
  • -Troubles endocriniens
  • -Occasionnel: Trouble thyroïdien (tels que hypothyroïdie, hyperthyroïdie et goitre)
  • +Affections endocriniennes
  • +Occasionnel: Troubles thyroïdiens (tels que hypothyroïdie, hyperthyroïdie et goitre)
  • -Occasionnel: Augmentation du taux de glucose dans le sang, augmentation des lipides
  • -Troubles psychiatriques
  • +Occasionnel: Taux de glucose élevé, lipides élevés
  • +Affections psychiatriques
  • -Troubles du système nerveux
  • +Affections du système nerveux
  • -Troubles oculaires
  • -Occasionnel: Troubles visuels (tels que vision floue et diminution de l'acuité visuelle), conjonctivite, allergie oculaire (tels que prurit et irritation)
  • -Troubles cardiaques
  • +Affections oculaires
  • +Occasionnel: Troubles visuels (tels que vision floue et diminution de l'acuité visuelle), conjonctivite, réaction allergique à l'œil (tels que prurit et irritation)
  • +Affections cardiaques
  • -Troubles vasculaires
  • +Affections vasculaires
  • -Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux
  • +Affections respiratoires, thoraciques et médiastinales
  • -Troubles gastro-intestinaux
  • -Fréquent: Dyspepsie, douleur gastro-intestinale et abdominale, nausées, troubles inflammatoires gastro-intestinaux (tels que gastrite et colite), stomatite
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Fréquent: Dyspepsie, douleurs gastro-intestinales et abdominales, nausées, affections inflammatoires gastro-intestinales (telles que gastrite et colite), stomatite
  • -Troubles hépato-biliaires
  • -Fréquent: Augmentation de l'alanine-aminotransférase, augmentation de l'aspartate-aminotransférase
  • +Affections hépatobiliaires
  • +Fréquent: Augmentation des taux d'alanineaminotransférase (ALAT/TGP), augmentation des taux d'aspartateaminotransférase (ASAT/TGO)
  • -Troubles cutanés et des tissus sous-cutanés
  • +Affections de la peau et du tissu sous-cutané
  • -Troubles musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • +Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif
  • -Troubles rénaux et urinaires
  • +Affections du rein et des voies urinaires
  • -Troubles des organes de reproduction et des seins
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • -Troubles généraux et accidents liés au site d'administration
  • +Troubles généraux et anomalies au site d'administration
  • -Blessure, empoisonnement et complications en cas d'intervention
  • +Lésions, intoxications et complications d'interventions
  • -* Observés avec d'autres anti-TNF, jusqu'ici non observés dans des études cliniques avec golimumab
  • +* Observés avec d'autres anti-TNF, cependant pas avec golimumab.
  • -Des effets indésirables généraux sont présentés ci-après pour lensemble des indications de golimumab, indépendamment de la posologie, sur une période médiane de suivi denviron 4 ans. Les durées médianes dose-spécifiques de suivi étaient denviron 2 ans pour la dose de 50 mg et denviron 3 ans pour la dose de 100 mg, car certains patients ont changé de posologie.
  • +Des effets indésirables généraux sont présentés ci-après pour l'ensemble des indications de golimumab, indépendamment de la posologie, sur une période d'observation médiane de suivi d'environ 4 ans. Les périodes d'observation médianes dose-spécifiques de suivi étaient d'environ 2 ans pour la dose de 50 mg et d'environ 3 ans pour la dose de 100 mg, car certains patients ont changé de posologie.
  • -Linfection des voies respiratoires supérieures a été leffet indésirable le plus fréquemment observé lors de la phase contrôlée des études pivots, survenant chez 12,6% des patients traités par golimumab (incidence pour 100 sujets-années: 60,8; IC à 95%: 55,0-67,1) comparé à 11,0% chez les patients du groupe contrôle (incidence pour 100 sujets-années: 54,5; IC à 95%: 46,1-64,0). Dans les phases contrôlées et non contrôlées des études cliniques avec un suivi médian d'approximativement 4 ans, lincidence pour 100 sujets-années des infections des voies respiratoires supérieures était de 34,9 évènements (IC à 95%: 33,8-36,0) chez les patients traités par golimumab.
  • -Lors de la phase contrôlée des études pivots, des infections ont été observées chez 23,0% des patients traités par golimumab (incidence pour 100 sujets-années: 132,0; IC à 95%: 123,3-141,1) contre 20,2% chez les patients du groupe contrôle (incidence pour 100 sujets-années: 122,3; IC à 95%: 109,5-136,2). Dans les parties contrôlées et non contrôlées des études cliniques avec un suivi médian d'approximativement 4 ans, lincidence pour 100 sujets-années des infections était de 81,1 évènements (IC à 95%: 79,5-82,8) chez les patients traités par golimumab.
  • +L'infection des voies respiratoires supérieures a été l'effet indésirable le plus fréquemment observé lors de la phase contrôlée des études pivots, survenant chez 12,6% des patients traités par golimumab (incidence pour 100 sujets-années: 60,8; IC à 95%: 55,0-67,1) comparé à 11,0% chez les patients du groupe contrôle (incidence pour 100 sujets-années: 54,5; IC à 95%: 46,1-64,0). Dans les phases contrôlées et non contrôlées des études cliniques après une période d'observation médiane d'approximativement 4 ans, l'incidence pour 100 sujets-années des infections des voies respiratoires supérieures était de 34,9 évènements (IC à 95%: 33,8-36,0) chez les patients traités par golimumab.
  • +Lors de la phase contrôlée des études pivots, des infections ont été observées chez 23,0% des patients traités par golimumab (incidence pour 100 sujets-années: 132,0; IC à 95%: 123,3-141,1) contre 20,2% chez les patients du groupe contrôle (incidence pour 100 sujets-années: 122,3; IC à 95%: 109,5-136,2). Dans les parties contrôlées et non contrôlées des études cliniques avec une période d'observation médiane d'approximativement 4 ans, l'incidence pour 100 sujets-années des infections était de 81,1 évènements (IC à 95%: 79,5-82,8) chez les patients traités par golimumab.
  • -Dans les phases contrôlées et non contrôlées des études pivots avec un suivi médian allant jusquà 3 ans, il y avait une plus grande incidence d'infections graves, incluant les infections opportunistes et la TB chez les patients recevant golimumab 100 mg par rapport aux patients recevant golimumab 50 mg. L'incidence pour 100 sujets-années de toutes les infections graves était de 4,1 (IC à 95%: 3,6-4,5), chez les patients recevant golimumab 100 mg et de 2,5 (IC à 95%: 2,0-3,1) chez les patients recevant golimumab 50 mg.
  • +Dans les phases contrôlées et non contrôlées des études pivots avec une période d'observation médiane allant jusqu'à 3 ans, il y avait une plus grande incidence d'infections graves, incluant les infections opportunistes et la tuberculose chez les patients recevant golimumab 100 mg par rapport aux patients recevant golimumab 50 mg. L'incidence pour 100 sujets-années de toutes les infections graves était de 4,1 (IC à 95%: 3,6-4,5), chez les patients recevant golimumab 100 mg et de 2,5 (IC à 95%: 2,0-3,1) chez les patients recevant golimumab 50 mg.
  • -Lors des études pivots, lincidence des lymphomes chez les patients traités par golumimab a été supérieure à celle attendue dans la population générale. Dans les parties contrôlées et non contrôlées des études cliniques avec un suivi médian allant jusquà 3 ans, une plus grande incidence de lymphome a été observée chez les patients recevant golimumab 100 mg comparé aux patients recevant golimumab 50 mg. Un lymphome a été diagnostiqué chez 11 sujets (10 dans le groupe traité par golimumab 100 mg et 1 dans le groupe traité par golimumab 50 mg). L'incidence (IC à 95%) pour 100 sujets-années de suivi était de 0,13 (0,06-0,24) évènement pour golimumab 100 mg, 0,03 (0,00-0,15) évènement pour golimumab 50 mg et 0,00 (0,00-0,57) évènement pour le groupe placebo. La majorité des lymphomes est survenue au cours de létude GO-AFTER, qui incluait des patients exposés auparavant à des anti-TNF, atteints dune maladie de durée plus longue et réfractaire à plus de traitements (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Lors des études pivots, l'incidence des lymphomes chez les patients traités par golumimab a été supérieure à celle attendue dans la population générale. Dans les parties contrôlées et non contrôlées des études cliniques avec une période d'observation médiane allant jusqu'à 3 ans, une plus grande incidence de lymphome a été observée chez les patients recevant golimumab 100 mg comparé aux patients recevant golimumab 50 mg. Un lymphome a été diagnostiqué chez 11 sujets (10 dans le groupe traité par golimumab 100 mg et 1 dans le groupe traité par golimumab 50 mg). L'incidence (IC à 95%) pour 100 sujets-années de suivi était de 0,13 (0,06-0,24) évènement pour golimumab 100 mg, 0,03 (0,00-0,15) évènement pour golimumab 50 mg et 0,00 (0,00-0,57) évènement pour le groupe placebo. La majorité des lymphomes est survenue au cours de l'étude GO-AFTER, qui incluait des patients exposés auparavant à des anti-TNF, atteints d'une maladie de durée plus longue et réfractaire à plus de traitements (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Dans les phases contrôlées des études pivots avec un suivi d’approximativement 4 ans lincidence des tumeurs malignes autres que le lymphome (excepté les cancers de la peau autres que le mélanome) était comparable dans le groupe golimumab et dans le groupe contrôle. Pendant toute la durée du suivi denviron 4 ans, lincidence de tumeurs malignes hors lymphomes (excepté les cancers de la peau autres que le mélanome) était similaire à celle observée dans la population générale.
  • -Dans les phases contrôlées et non contrôlées des études pivots avec un suivi médian allant jusquà 3 ans, un cancer de la peau autre que le mélanome a été diagnostiqué chez 5 sujets dans le groupe placebo, 10 sujets dans le groupe golimumab 50 mg et 31 sujets dans le groupe golimumab 100 mg. L'incidence (IC à 95%) pour 100 sujets-années de suivi était de 0,36 (0,26-0,49) évènement pour les groupes golimumab combinés et 0,87 (0,28-2,04) évènement pour le groupe placebo.
  • -Dans les phases contrôlées et non contrôlées des études pivots avec un suivi médian allant jusquà 3 ans, des tumeurs malignes, qui n'étaient pas un mélanome, un cancer de la peau autre que le mélanome ou un lymphome, ont été diagnostiquées chez 5 sujets dans le groupe placebo, 21 sujets dans le groupe golimumab 50 mg et 34 sujets dans le groupe golimumab 100 mg. L'incidence (IC à 95%) pour 100 sujets-années de suivi était de 0,48 (0,36-0,62) évènement pour les groupes golimumab combinés et 0,87 (0,28-2,04) évènement pour le groupe placebo (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Cas rapportés lors détudes cliniques dans l’asthme
  • -Lors dune étude clinique exploratoire, les patients atteints dasthme persistant sévère ont reçu une dose de charge de golimumab (150% de la dose de traitement attribuée) par voie sous-cutanée à la semaine 0 suivie dune dose de golimumab 200 mg, de golimumab 100 mg ou de golimumab 50 mg toutes les 4 semaines par voie sous-cutanée jusquà la semaine 52. 8 tumeurs malignes ont été observées dans le groupe de traitement golimumab combiné (n=230) et aucune dans le groupe placebo (n=79). Un lymphome a été rapporté chez 1 patient, un cancer de la peau autre que le mélanome chez 2 patients et dautres tumeurs malignes chez 5 patients. Aucun groupement spécifique selon un type quelconque de tumeur maligne na été défini.
  • -Au cours de la phase contrôle contre placebo de lessai clinique, lincidence (IC à 95%) de toutes les tumeurs malignes par 100 sujets-années de suivi était de 3,19 (1,38-6,28) dans le groupe golimumab. Dans cette étude, lincidence (IC à 95%) par 100 sujets-années de suivi chez les sujets traités par golimumab était de 0,40 (0,01-2,20) pour le lymphome, 0,79 (0,10-2,86) pour les cancers de la peau autre que le mélanome et 1,99 (0,64-4,63) pour les autres tumeurs malignes. Pour les sujets sous placebo, lincidence (IC à 95%) par 100 sujets-années de suivi de ces tumeurs malignes était de 0,00 (0,00-2,94). La pertinence clinique de ce résultat est inconnue.
  • -Troubles neurologiques
  • -Dans les parties contrôlées et non contrôlées des études pivots avec un suivi médian allant jusquà 3 ans, une plus grande incidence des troubles démyélinisants a été observée chez les patients recevant golimumab 100 mg par rapport aux patients recevant golimumab 50 mg (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Dans les phases contrôlées des études pivots avec une période d'observation d'approximativement 4 ans l'incidence des tumeurs malignes autres que le lymphome (excepté les cancers de la peau autres que le mélanome) était comparable dans le groupe golimumab et dans le groupe contrôle. Pendant toute la durée du suivi d'environ 4 ans, l'incidence de tumeurs malignes hors lymphomes (excepté les cancers de la peau autres que le mélanome) était similaire à celle observée dans la population générale.
  • +Dans les phases contrôlées et non contrôlées des études pivots avec une période d'observation médiane allant jusqu'à 3 ans, un cancer de la peau autre que le mélanome a été diagnostiqué chez 5 sujets dans le groupe placebo, 10 sujets dans le groupe golimumab 50 mg et 31 sujets dans le groupe golimumab 100 mg. L'incidence (IC à 95%) pour 100 sujets-années de suivi était de 0,36 (0,26-0,49) évènement pour les groupes golimumab combinés et 0,87 (0,28-2,04) évènement pour le groupe placebo.
  • +Dans les phases contrôlées et non contrôlées des études pivots avec une période d'observation médiane allant jusqu'à 3 ans, des tumeurs malignes, qui n'étaient pas un mélanome, un cancer de la peau autre que le mélanome ou un lymphome, ont été diagnostiquées chez 5 sujets dans le groupe placebo, 21 sujets dans le groupe golimumab 50 mg et 34 sujets dans le groupe golimumab 100 mg. L'incidence (IC à 95%) pour 100 sujets-années de suivi était de 0,48 (0,36-0,62) évènement pour les groupes golimumab combinés et 0,87 (0,28-2,04) évènement pour le groupe placebo (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Cas rapportés lors d'études cliniques lors d'utilisation pour l'asthme
  • +Lors d'une étude clinique exploratoire, les patients atteints d'asthme bronchiale persistant sévère ont reçu une dose de charge de golimumab (150% de la dose de traitement attribuée) par voie sous-cutanée à la semaine 0 suivie d'une dose de golimumab 200 mg, de golimumab 100 mg ou de golimumab 50 mg toutes les 4 semaines par voie sous-cutanée jusqu'à la semaine 52. 8 tumeurs malignes ont été observées dans le groupe de patients traités par golimumab combiné (n=230) et aucune dans le groupe placebo (n=79). Un lymphome a été rapporté chez 1 patient, un cancer de la peau autre que le mélanome chez 2 patients et d'autres tumeurs malignes chez 5 patients. Aucun groupement spécifique selon un type quelconque de tumeur maligne n'a été défini.
  • +Au cours de la phase contrôle contre placebo de l'essai clinique, l'incidence (IC à 95%) de toutes les tumeurs malignes par 100 sujets-années de suivi était de 3,19 (1,38-6,28) dans le groupe golimumab. Dans cette étude, l'incidence (IC à 95%) par 100 sujets-années de suivi chez les sujets traités par golimumab était de 0,40 (0,01-2,20) pour le lymphome, 0,79 (0,10-2,86) pour les cancers de la peau autre que le mélanome et 1,99 (0,64-4,63) pour les autres tumeurs malignes. Pour les sujets sous placebo, l'incidence (IC à 95%) par 100 sujets-années de suivi de ces tumeurs malignes était de 0,00 (0,00-2,94). La pertinence clinique de cette observation est inconnue.
  • +Evènements neurologiques
  • +Dans les parties contrôlées et non contrôlées des études pivots avec une période d'observation médiane allant jusqu'à 3 ans, une incidence plus élevée des troubles démyélinisants a été observée chez les patients recevant golimumab 100 mg par rapport aux patients recevant golimumab 50 mg (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Lors de la phase contrôlée d'études pivots sur la PR et le RP, une légère augmentation du taux dALAT (>1 et <3× la limite normale supérieure (LNS)) a été observée en proportions comparables chez les patients traités par golimumab et les patients du groupe contrôle (22,1% à 27,4% des patients); dans les études sur la SA et la SA-nr, une légère augmentation du taux dALAT a été observée chez un nombre plus important de patients traités par golimumab (26,9%) que chez les patients du groupe contrôle (10,6%). Dans les phases contrôlées et non contrôlées des études pivots sur la PR et le RP avec une durée médiane de suivi denviron 5 ans, lincidence de la légère augmentation du taux dALAT était comparable chez les patients traités par golimumab et chez les patients du groupe contrôle. Dans la population atteinte de SA, lincidence de la légère augmentation du taux dALAT était supérieure chez les patients traités par golimumab que chez les patients du groupe contrôle. Dans la phase contrôlée d'études pivots sur la RCH, une légère augmentation du taux d'ALAT (>1 et <3× la LNS) a été observée pendant la phase d'induction de golimumab en proportions comparables chez les patients traités par Simponi et les patients du groupe contrôle (8,0% contre 6,9%). Dans les phases contrôlées et non contrôlées des études pivots sur la RCH avec un suivi médian d'environ 2 ans, l'incidence d'une légère augmentation du taux d'ALAT était de 24,7% chez les patients ayant reçu golimumab pendant la phase dentretien de l'étude sur la RCH.
  • -Lors de la phase contrôlée des études pivots sur la PR et la SA, laugmentation du taux dALAT à ≥5× LNS était peu fréquente et observée chez un nombre plus important de patients traités par golimumab (0,4% à 0,9%) que de patients du groupe contrôle (0,0%). Cette tendance na pas été observée dans la population atteinte de RP. Au cours des phases contrôlées et non contrôlées des études sur la PR, le RP et la SA avec un suivi médian de 5 années, lincidence dune augmentation du taux dALAT de ≥5 x LNS était comparable chez les patients traités par golimumab et chez les patients du groupe contrôle. En général, ces augmentations ont été asymptomatiques et les anomalies ont diminué ou se sont résolues soit en maintenant, soit en interrompant le traitement par golimumab, soit en modifiant la prise de médicaments concomitants. Aucun cas na été rapporté pendant les phases contrôlées et non contrôlées de létude sur la SA-nr (jusquà un an). Lors de la phase contrôlée d'études pivots sur la RCH, une augmentation du taux dALAT ≥5× LNS a été observée pendant la phase d'induction de golimumab en proportions comparables chez les patients traités par Simponi et les patients du groupe placebo (0,3% contre 1,0%). Dans les parties contrôlées et non contrôlées des études pivots sur la RCH avec un suivi médian d’approximativement 2 ans, l'incidence d'une augmentation du taux d'ALAT ≥5× LNS était de 0,8% chez les patients ayant reçu golimumab pendant la phase dentretien de l'étude sur la RCH.
  • -Au cours des études pivots sur la PR, le RP, la SA et la SA-nr, un patient présentant des anomalies hépatiques préexistantes et recevant des médicaments pouvant y être associés, a reçu du golimumab dans une étude sur la PR et a développé une hépatite fatale non infectieuse accompagnée dun ictère. Le rôle de golimumab comme facteur associé ou aggravant ne peut pas être exclu.
  • -Réactions au site dinjection
  • -Des réactions au site dinjection ont été observées lors de la phase contrôlée des études pivots chez 5,4% des patients traités par golimumab par rapport à 2,0% chez les patients du groupe contrôle. La présence danticorps anti-golimumab peut augmenter le risque de réactions au site dinjection. La majorité des réactions au site dinjection étaient légères ou modérées, et la manifestation la plus fréquente a été un érythème au site dinjection. Les réactions au site dinjection nont généralement pas nécessité larrêt du traitement.
  • -Lors des essais contrôlés de phase IIb et III sur la PR, le RP, la SA, la SA-nr, lasthme persistant sévère, et des essais de phase II/III sur la RCH, aucun patient traité par golimumab na développé de réaction anaphylactique.
  • +Lors de la phase contrôlée d'études pivots sur la PR et le RP, une légère augmentation du taux d'ALAT (>1 et <3× la limite normale supérieure (LNS)) a été observée en proportions comparables chez les patients traités par golimumab et les patients du groupe contrôle (22,1% à 27,4% des patients); dans les études sur la SA et la SA-nr, une légère augmentation du taux d'ALAT a été observée chez un nombre plus important de patients traités par golimumab (26,9%) que chez les patients du groupe contrôle (10,6%). Dans les phases contrôlées et non contrôlées des études pivots sur la PR et le RP avec une durée médiane de suivi d'environ 5 ans, l'incidence de la légère augmentation du taux d'ALAT était comparable chez les patients traités par golimumab et chez les patients du groupe contrôle. Dans la population atteinte de SA, l'incidence de la légère augmentation du taux d'ALAT était supérieure chez les patients traités par golimumab que chez les patients du groupe contrôle. Dans la phase contrôlée d'études pivots sur la RCH, une légère augmentation du taux d'ALAT (>1 et <3× la LNS) a été observée pendant la phase d'induction de golimumab en proportions comparables chez les patients traités par Simponi et les patients du groupe contrôle (8,0% contre 6,9%). Dans les phases contrôlées et non contrôlées des études pivots sur la RCH avec une période d'observation médiane d'environ 2 ans, l'incidence d'une légère augmentation du taux d'ALAT était de 24,7% chez les patients ayant reçu golimumab pendant la phase d'entretien de l'étude sur la RCH.
  • +Lors de la phase contrôlée des études pivots sur la PR et la SA, l'augmentation du taux d'ALAT à ≥5× LNS était peu fréquente et observée chez un nombre plus important de patients traités par golimumab (0,4% à 0,9%) que de patients du groupe contrôle (0,0%). Cette tendance n'a pas été observée dans la population atteinte de RP. Au cours des phases contrôlées et non contrôlées des études sur la PR, le RP et la SA avec une période d'observation médiane de 5 années, l'incidence d'une augmentation du taux d'ALAT de ≥5× LNS était comparable chez les patients traités par golimumab et chez les patients du groupe contrôle. En général, ces augmentations ont été asymptomatiques et les changements ont diminué ou se sont résolues soit en maintenant, soit en interrompant le traitement par golimumab, soit en modifiant la prise de médicaments concomitants. Aucun cas n'a été rapporté pendant les phases contrôlées et non contrôlées de l'étude sur la SA-nr (jusqu'à un an). Lors de la phase contrôlée d'études pivots sur la RCH, une augmentation du taux d'ALAT ≥5× LNS a été observée pendant la phase d'induction de golimumab en proportions comparables chez les patients traités par Simponi et les patients du groupe placebo (0,3% contre 1,0%). Dans les parties contrôlées et non contrôlées des études pivots sur la RCH avec une période d'observation médiane d'approximativement 2 ans, l'incidence d'une augmentation du taux d'ALAT ≥5× LNS était de 0,8% chez les patients ayant reçu golimumab pendant la phase d'entretien de l'étude sur la RCH.
  • +Au cours des études pivots sur la PR, le RP, la SA et la SA-nr, un patient présentant des anomalies hépatiques préexistantes et recevant des médicaments pouvant y être associés, a reçu du golimumab dans une étude sur la PR et a développé une hépatite létal non infectieuse accompagnée d'un ictère. Le rôle de golimumab comme facteur associé ou aggravant ne peut pas être exclu.
  • +Réactions au site d'injection
  • +Des réactions au site d'injection ont été observées lors de la phase contrôlée des études pivots chez 5,4% des patients traités par golimumab par rapport à 2,0% chez les patients du groupe contrôle. La présence d'anticorps anti-golimumab peut augmenter le risque de réactions au site d'injection. La majorité des réactions au site d'injection était légère ou modérée, et la manifestation la plus fréquente a été un érythème au site d'injection. Les réactions au site d'injection n'ont généralement pas nécessité l'arrêt du traitement.
  • +Lors des essais contrôlés de phase IIb et III sur la PR, le RP, la SA, la SA-nr, l'asthme bronchiale persistant sévère, et des essais de phase II/III sur la RCH, aucun patient traité par golimumab n'a développé de réaction anaphylactique.
  • -Dans les phases contrôlées et non contrôlées des études pivots au cours dune année de suivi, 3,5% des patients traités par golimumab et 2,3% des patients du groupe contrôle ont développé des anticorps anti-nucléaires (à des titres de 1/160 ou supérieurs). La production danticorps anti-ADN double brin a été observée après un suivi dune année à une fréquence de 1,1% chez des patients pour qui la recherche danticorps anti-ADN double brin était négative au début de létude.
  • +Dans les phases contrôlées et non contrôlées des études pivots au cours d'une année de suivi, 3,5% des patients traités par golimumab et 2,3% des patients du groupe contrôle ont développé pour la première fois des anticorps anti-nucléaires (à des titres de 1/160 ou supérieurs). La production d'anticorps anti-ADN double brin a été observée après un suivi d'une année à une fréquence de 1,1% chez des patients pour qui la recherche d'anticorps anti-ADN double brin était négative au début de l'étude.
  • -Au cours des études de phase III sur la PR, le RP, la SA et la SA-nr, jusquà la semaine 52, les anticorps anti-golimumab, qui étaient presque tous neutralisants in vitro dans les cas testés, ont été détectés chez 5% (119/2255) des patients traités par le golimumab. Des taux comparables ont été constatés pour toutes les indications rhumatologiques. Il résulte de lassociation du MTX au traitement une proportion moindre de patients présentant des anticorps anti-golimumab par rapport aux patients recevant du golimumab sans MTX (respectivement environ 3% [41/1236] versus 8% [78/1019]).
  • -Au cours des études de phase II et III sur la RCH jusqu'à la semaine 54, des anticorps anti-golimumab ont été détectés chez 3% (26/946) des patients traités par golimumab. In vitro, 68% (21/31) des patients ayant un résultat positif aux anticorps présentaient des anticorps neutralisants. L'association d'immunomodulateurs (azathioprine, 6-mercaptopurine et MTX) au traitement a conduit à un nombre plus faible de patients avec des anticorps anti-golimumab (1%, 4/308) par rapport aux patients qui ont été traités par golimumab sans immunomodulateurs (3%, 22/638). Parmi les patients restés dans les phases dextension et disposant déchantillons évaluables jusquà la semaine 228, des anticorps anti-golimumab ont été observés chez 4% (23/604) des patients traités par golimumab. In vitro, 82% (18/22) des patients positifs aux anticorps présentaient des anticorps neutralisants.
  • -La présence danticorps anti-golimumab est associée à des concentrations résiduelles plus faibles et peut diminuer lefficacité chez certains patients et augmenter le risque de réactions au site dinjection, cependant, le faible nombre de patients positifs aux anticorps anti-golimumab limite la capacité à tirer des conclusions définitives entre la formation des anticorps anti-golimumab et lefficacité clinique ou les paramètres de sécurité (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -Les analyses dimmunogénicité étant spécifiques au produit et au protocole de test utilisé, la comparaison des taux danticorps avec ceux issus dautres produits est inappropriée.
  • +Au cours des études de phase III sur la PR, le RP, la SA et la SA-nr, jusqu'à la semaine 52, les anticorps anti-golimumab, qui étaient presque tous neutralisants in vitro dans les cas testés, ont été détectés chez 5% (119/2255) des patients traités par le golimumab. Des taux comparables ont été constatés pour toutes les indications rhumatologiques. Il résulte de l'association du MTX au traitement une proportion moindre de patients présentant des anticorps anti-golimumab par rapport aux patients recevant du golimumab sans MTX (respectivement environ 3% [41/1236] versus 8% [78/1019]).
  • +Au cours des études de phase II et III sur la RCH jusqu'à la semaine 54, des anticorps anti-golimumab ont été détectés chez 3% (26/946) des patients traités par golimumab. In vitro, 68% (21/31) des patients ayant un résultat positif aux anticorps présentaient des anticorps neutralisants. L'association d'immunomodulateurs (azathioprine, 6-mercaptopurine et MTX) au traitement a conduit à un nombre plus faible de patients avec des anticorps anti-golimumab (1%, 4/308) par rapport aux patients qui ont été traités par golimumab sans immunomodulateurs (3%, 22/638). Parmi les patients restés dans les phases d'extension et disposant d'échantillons évaluables jusqu'à la semaine 228, des anticorps anti-golimumab ont été observés chez 4% (23/604) des patients traités par golimumab. In vitro, 82% (18/22) des patients positifs aux anticorps présentaient des anticorps neutralisants.
  • +La présence d'anticorps anti-golimumab est associée à des concentrations résiduelles plus faibles et peut diminuer l'efficacité chez certains patients et augmenter le risque de réactions au site d'injection, cependant, le faible nombre de patients positifs aux anticorps anti-golimumab limite la capacité à tirer des conclusions définitives entre la formation des anticorps anti-golimumab et l'efficacité clinique ou les paramètres de sécurité (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +Les analyses d'immunogénicité étant spécifiques au produit et au protocole de test utilisé, la comparaison des taux d'anticorps avec ceux issus d'autres produits n'est pas admissible.
  • -Une amélioration des taux de protéine C-réactive (CRP) a été observée comparativement aux groupes placebo et le traitement par Simponi a permis d'obtenir des réductions significatives des taux sériques d'IL-6, d'ICAM-1, de métalloprotéinase matricielle-3 (MMP-3) et du facteur de croissance de l'endothélium vasculaire (VEGF) par rapport au traitement de référence. De plus, les taux de TNF-α ont été réduits chez les patients atteints de PR et de SA et les taux d'IL-8 ont été réduits chez les patients atteints de RP. Ces modifications ont été rapportées lors de la première évaluation (semaine 4) après l'administration initiale de Simponi et se sont généralement maintenues jusqu'à la semaine 24.
  • +Une amélioration des taux de protéine C-réactive (CRP) a été observée comparativement aux groupes placebo et le traitement par Simponi a permis d'obtenir des réductions significatives des taux sériques d'IL-6, d'ICAM-1, de métalloprotéinase matricielle-3 (MMP-3) et du facteur de croissance de l'endothélium vasculaire (VEGF) par rapport aux valeurs initiales. De plus, les taux de TNF-α ont été réduits chez les patients atteints de PR et de SA et les taux d'IL-8 ont été réduits chez les patients atteints de RP. Ces modifications ont été rapportées lors de la première évaluation (semaine 4) après l'administration initiale de Simponi et se sont généralement maintenues jusqu'à la semaine 24.
  • -L'étude GO-AFTER a évalué 445 patients ayant été précédemment traités avec un ou plusieurs anti-TNF, l'adalimumab, l'étanercept ou l'infliximab. Les patients randomisés ont reçu soit le placebo, Simponi 50 mg ou Simponi 100 mg. Les patients étaient autorisés à poursuivre en association un traitement par DMARD avec le MTX, la sulfasalazine (SSZ), et/ou l'hydroxychloroquine (HCQ) au cours de l'étude. Les raisons d'arrêt des précédents traitements par anti-TNF étaient un manque d'efficacité (58%), un problème de tolérance (13%) et/ou des raisons autres que la tolérance ou l'efficacité (29%, principalement pour des raisons financières).
  • +L'étude GO-AFTER a évalué 445 patients ayant été précédemment traités avec un ou plusieurs anti-TNF, l'adalimumab, l'étanercept ou l'infliximab. Les patients randomisés ont reçu soit le placebo, Simponi 50 mg ou Simponi 100 mg. Les patients étaient autorisés à poursuivre en association un traitement par DMARD avec le MTX, la sulfasalazine (SSZ), et/ou l'hydroxychloroquine (HCQ) au cours de l'étude. Les raisons d'arrêt des précédents traitements par anti-TNF étaient un manque d'efficacité (58%), une intolérance (13%) et/ou des raisons autres que la tolérance ou l'efficacité (29%, principalement pour des raisons financières).
  • -Dans l'étude GO-FORWARD, les critères (co-)primaires étaient le pourcentage de patients ayant atteint une réponse ACR20 à la semaine 14 et l'amélioration du score du Health Assessment Questionnaire (HAQ) à la semaine 24 par rapport à la valeur initiale. Dans l'étude GO-AFTER, le critère primaire était le pourcentage de patients ayant atteint une réponse ACR20 à la semaine 14. Dans l'étude GO-BEFORE, les critères co-primaires étaient le pourcentage de patients ayant atteint une réponse ACR50 à la semaine 24 et les variations du score Sharp-van-der-Heijde modifié (vdH-S) à la semaine 52 par rapport à la valeur initiale. En plus du/des critère(s) principal(aux), d'autres évaluations de l'impact du traitement par Simponi sur les signes et symptômes de l'arthrite, la réponse radiographique, la fonction physique et la qualité de vie liée à l'état de santé ont été effectuées.
  • +Dans l'étude GO-FORWARD, les critères (co-)principaux d'évaluation étaient le pourcentage de patients ayant atteint une réponse ACR20 à la semaine 14 et l'amélioration du score du Health Assessment Questionnaire (HAQ) à la semaine 24 par rapport à la valeur initiale. Dans l'étude GO-AFTER, le critère principale d'évaluation était le pourcentage de patients ayant atteint une réponse ACR20 à la semaine 14. Dans l'étude GO-BEFORE, les critères co-principaux d'évaluation étaient le pourcentage de patients ayant atteint une réponse ACR50 à la semaine 24 ainsi que les variations du score Sharp-van-der-Heijde modifié (vdH-S) à la semaine 52 par rapport à la valeur initiale. En plus du/des critère(s) principal(aux) d'évaluation, d'autres effets du traitement par Simponi sur les symptômes de l'arthrite, la réponse radiographique, la fonction physique et la qualité de vie liée à l'état de santé ont été effectués.
  • -Signes et symptômes:
  • -Les principaux résultats reposant sur l'ACR à 14, à 24 et à 52 semaines pour le dosage de 50 mg de Simponi dans les études GO-FORWARD, GO-AFTER et GO-BEFORE sont indiqués dans le tableau 2 et sont décrits ci-dessous. Des résultats ont été observés lors de la première évaluation (semaine 4) après la première administration de Simponi.
  • +Symptômes:
  • +Les principaux résultats reposant sur la réponse ACR à 14, à 24 et à 52 semaines pour le dosage de 50 mg de Simponi dans les études GO-FORWARD, GO-AFTER et GO-BEFORE sont indiqués dans le tableau 2 et sont décrits ci-dessous. Des résultats ont été observés lors de la première évaluation (semaine 4) après la première administration de Simponi.
  • -Dans l'étude GO-AFTER, le pourcentage de patients traités par Simponi ayant une réponse ACR 20 était supérieur à celui des patients sous placebo, quelle que soit la raison invoquée pour l'arrêt du traitement du ou des précédents traitements par anti-TNF.
  • +Dans l'étude GO-AFTER, le pourcentage de patients traités par Simponi ayant une réponse ACR20 était supérieur à celui des patients sous placebo, quelle que soit la raison invoquée pour l'arrêt de la thérapie du ou des précédents traitements par anti-TNF.
  • - GO-FORWARD PR active malgré le traitement de MTX GO-AFTER PR active, traitée précédemment par un ou plusieurs anti-TNF GO-BEFORE PR active, patients naïfs de tout traitement par le MTX
  • + GO-FORWARD PR active malgré la thérapie de MTX GO-AFTER PR active, prétraitée par un ou plusieurs anti-TNF GO-BEFORE PR active, patients naïfs de tout traitement par le MTX
  • -a n indique le nombre de patients randomisés; le nombre réel de patients évalués pour chaque critère principal peut varier selon le moment.
  • +a n indique le nombre de patients randomisés; le nombre réel de patients évalués pour chaque critère d'évaluation principal peut varier selon le moment.
  • -Dans les études GO-FORWARD et GO-AFTER, des résultats significatifs d'un point de vue clinique et statistique du Disease Activity Scale (DAS) 28 ont été observés à chaque point d'évaluation prédéfini, à la semaine 14 et à la semaine 24 (p ≤0,001). Chez les patients restés sous le traitement par Simponi pour lequel ils avaient été randomisés au début de l'étude, la réponse DAS28 s'est maintenue jusqu'à la semaine 104. Chez les patients restés dans l'étude et traités par Simponi, la réponse DAS28 était similaire dans la période entre la semaine 104 et la semaine 256.
  • +Dans les études GO-FORWARD et GO-AFTER, des réponses significatives d'un point de vue clinique et statistique selon le Disease Activity Scale (DAS) 28 ont été observés à chaque point d'évaluation prédéfini, à la semaine 14 et à la semaine 24 (p ≤0,001). Chez les patients restés sous le traitement par Simponi pour lequel ils avaient été randomisés au début de l'étude, la réponse selon le DAS28 s'est maintenue jusqu'à la semaine 104. Chez les patients restés dans l'étude et traités par Simponi, la réponse selon le DAS28 était similaire dans la période entre la semaine 104 et la semaine 256.
  • -Dans l'étude GO-BEFORE, le degré de détérioration structurelle a été évalué sur la base des variations du score vdH-S par rapport à la valeur initiale. Le score vdH-S est un score composite de la détérioration structurelle, avec évaluation radiologique de l'étendue et du nombre des érosions articulaires et des pincements de l'interligne articulaire au niveau des mains/poignets et des pieds. Les principaux résultats observés avec la dose de 50 mg de Simponi à la semaine 52 sont présentés dans le Tableau 3.
  • -Le nombre de patients sans survenue de nouvelles érosions/avec variation de ≤0 du score vdH-S total par rapport à la valeur initiale a été significativement plus élevé sous Simponi que dans le groupe de contrôle (p=0,003). Les résultats radiologiques à la semaine 52 se sont maintenus jusqu'à la semaine 104. Chez les patients restés dans l'étude et traités par Simponi, les résultats radiologiques étaient similaires dans la période entre la semaine 104 et la semaine 256.
  • +Dans l'étude GO-BEFORE, le degré de détérioration structurelle a été évalué sur la base des variations du score vdH-S par rapport à la valeur initiale. Le score vdH-S est un score composite de la détérioration structurelle, avec évaluation radiologique de l'étendue et du nombre des érosions articulaires ainsi que des pincements de l'interligne articulaire au niveau des mains/poignets et des pieds. Les principaux résultats observés avec la dose de 50 mg de Simponi à la semaine 52 sont présentés dans le Tableau 3.
  • +Le nombre de patients sans survenue de nouvelles érosions resp. avec variation de ≤0 du score vdH-S total par rapport à la valeur initiale a été significativement plus élevé sous Simponi que dans le groupe de contrôle (p=0,003). Les résultats radiologiques décrits à la semaine 52 se sont maintenus jusqu'à la semaine 104. Chez les patients restés dans l'étude et traités par Simponi, les résultats radiologiques étaient similaires dans la période entre la semaine 104 et la semaine 256.
  • -La fonction physique et le handicap lié à la maladie ont été évalués par un critère principal distinct reposant sur la composante handicap (DI) lié à la maladie du questionnaire de qualité de vie (HAQ-DI) dans les études GO-FORWARD et GO-AFTER. Lors de ces études, Simponi a démontré une amélioration significative d'un point de vue clinique et statistique du score HAQ-DI entre l'inclusion et la semaine 24 comparé aux patients du groupe contrôle. Chez les patients ayant poursuivi le traitement par Simponi auquel ils avaient été assignés par randomisation au début de l'étude, l'amélioration du HAQ-DI s'est maintenue jusqu'à la semaine 104. Chez les patients restés dans l'étude et traités par Simponi, les améliorations du HAQ-DI étaient similaires entre la semaine 104 et la semaine 256.
  • +La fonction physique et le handicap ont été déterminés par un critère d'évaluation distinct en fonction de l'index d'handicap (DI) du HAQ-DI dans les études GO-FORWARD et GO-AFTER. Lors de ces études, Simponi a démontré une amélioration significative d'un point de vue clinique et statistique du score HAQ-DI entre l'inclusion et la semaine 24 comparé aux patients du groupe contrôle. Chez les patients ayant poursuivi le traitement par Simponi auquel ils avaient été assignés par randomisation au début de l'étude, l'amélioration du HAQ-DI s'est maintenue jusqu'à la semaine 104. Chez les patients restés dans l'étude et traités par Simponi, les améliorations du HAQ-DI étaient similaires entre la semaine 104 et la semaine 256.
  • -La tolérance et l'efficacité de Simponi ont été évaluées dans une étude multicentrique, randomisée, en double-insu, contrôlée versus placebo (GO-REVEAL) auprès de 405 adultes atteints de RP actif (≥3 articulations gonflées et ≥3 articulations douloureuses) malgré un traitement anti-inflammatoire non-stéroïdien (AINS) ou DMARD. Un RP avait été diagnostiqué chez les patients de cette étude depuis au moins 6 mois et ceux-ci avaient un psoriasis de degré au moins léger. Des patients de chacun des sous-types de rhumatisme psoriasique ont été inclus, y compris l'arthrite polyarticulaire sans nodule rhumatoïde (43%), l'arthrite périphérique asymétrique (30%), l'arthrite digitale interphalangienne distale - IPD (15%), la spondylite avec arthrite périphérique (11%) et l'arthrite mutilante (1%). Un précédent traitement par anti-TNF n'était pas admis. Simponi ou le placebo étaient administrés par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines. Les patients ont été assignés par randomisation au placebo, Simponi 50 mg ou Simponi 100 mg. Les patients ayant reçu le placebo sont passés à Simponi 50 mg à partir de la semaine 24. À la semaine 52, les patients ont été inclus dans l'étude d'extension à long terme.
  • -Environ 48% des patients ont continué à prendre des doses stables de méthotrexate (≤25 mg/semaine). Les critères co-primaires étaient définis comme le pourcentage de patients présentant une réponse ACR20 à la semaine 14 et comme la variation du score vdH-S total modifié pour le RP à la semaine 24 par rapport à la valeur initiale.
  • +L'efficacité et la sécurité de Simponi ont été évaluées dans une étude multicentrique, randomisée, en double-insu, contrôlée versus placebo (GO-REVEAL) auprès de 405 adultes atteints de RP actif (≥3 articulations gonflées et ≥3 articulations douloureuses) malgré un traitement anti-inflammatoire non-stéroïdien (AINS) ou DMARD. Un RP avait été diagnostiqué chez les patients de cette étude depuis au moins 6 mois et ceux-ci avaient un psoriasis de degré au moins léger. Des patients de chacun des sous-types de rhumatisme psoriasique ont été inclus, y compris l'arthrite polyarticulaire sans nodule rhumatoïde (43%), l'arthrite périphérique asymétrique (30%), l'arthrite digitale interphalangienne distale - IPD (15%), la spondylite avec arthrite périphérique (11%) et l'arthrite mutilante (1%). Un précédent traitement par anti-TNF n'a pas été admis. Simponi ou le placebo étaient administrés par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines. Les patients ont été assignés par randomisation au placebo, Simponi 50 mg ou Simponi 100 mg. Les patients ayant reçu le placebo sont passés à Simponi 50 mg à partir de la semaine 24. À la semaine 52, les patients ont été inclus dans l'étude d'extension à long terme.
  • +Chez 48% des patients l'administration de doses stables de méthotrexate (≤25 mg/semaine) a été maintenue. Les critères co-principaux d'évaluation étaient définis comme le pourcentage de patients présentant une réponse ACR20 à la semaine 14 et comme la variation du score vdH-S total modifié pour le RP à la semaine 24 par rapport à la valeur initiale.
  • -Une réponse a été observée lors de la première évaluation (semaine 4) après la première administration de Simponi. Des réponses ACR 20 comparables à la semaine 14 ont été observées chez des patients atteints d'arthrite polyarticulaire sans nodule rhumatoïde et d'arthrite périphérique asymétrique, sous-types de RP. Le nombre de patients atteints d'autres sous-types de RP était trop faible pour permettre une évaluation significative. Les réponses observées dans les groupes traités par Simponi étaient comparables chez les patients recevant du MTX de manière concomitante et ceux n'en recevant pas. Sur 146 patients qui avaient été assignés par randomisation au traitement par Simponi 50 mg, 70 patients avaient toujours le même traitement à la semaine 104. Sur ces 70 patients, une réponse ACR 20, 50 et 70 a été enregistrée respectivement chez 64, 46 et 31 patients. Chez les patients restés dans l'étude et traités par Simponi, des taux similaires de réponses ACR20, 50 et 70 ont été observés dans la période entre la semaine 104 et la semaine 256.
  • -De plus, une réponse DAS28 statistiquement significative (p <0,05) a été observée aux semaines 14 et 24.
  • -À la semaine 24, des améliorations des paramètres caractéristiques de l'activité périphérique du rhumatisme psoriasique (telles que le nombre d'articulations gonflées, nombre d'articulations douloureuses, dactylite et enthésite) ont été observées chez les patients traités par Simponi. Le traitement par Simponi a permis d'obtenir des améliorations significatives de la fonction physique évaluée par le HAQ-DI, ainsi que des améliorations significatives de la qualité de vie mesurée par les scores globaux des composantes physiques et mentales du SF-36. Chez les patients restés sous le traitement comprenant Simponi auquel ils avaient été assignés par randomisation au début de l'étude, la réponse DAS28 et HAQ-DI s'est maintenue jusqu'à la semaine 104. Chez les patients restés dans l'étude et traités par Simponi, la réponse DAS28 et HAQ-DI était similaire entre la semaine 104 et la semaine 256.
  • +Une réponse a été observée lors de la première évaluation (semaine 4) après la première administration de Simponi. Des réponses ACR 20 comparables à la semaine 14 ont été observées chez des patients atteints d'arthrite polyarticulaire sans nodule rhumatoïde et d'arthrite périphérique asymétrique, sous-types de RP. Le nombre de patients atteints d'autres sous-types de RP était trop faible pour permettre une évaluation significative. Les réponses observées dans les groupes traités par Simponi étaient comparables chez les patients recevant du MTX de manière concomitante et ceux n'en recevant pas. Sur 146 patients qui avaient été assignés par randomisation au traitement par Simponi 50 mg, 70 patients avaient toujours le même traitement à la semaine 104. Sur ces 70 patients, une réponse ACR20, 50 et 70 a été enregistrée respectivement chez 64, 46 et 31 patients. Chez les patients restés dans l'étude et traités par Simponi, des taux similaires de réponses ACR20, 50 et 70 ont été observés dans la période entre la semaine 104 et la semaine 256.
  • +De plus, une réponse selon le DAS28 statistiquement significative (p <0,05) a été observée aux semaines 14 et 24.
  • +À la semaine 24, des améliorations des paramètres caractéristiques de l'activité périphérique du rhumatisme psoriasique (telles que le nombre d'articulations gonflées, nombre d'articulations douloureuses, dactylite et enthésite) ont été observées chez les patients traités par Simponi. Le traitement par Simponi a permis d'obtenir des améliorations significatives de la fonction physique évaluée par le HAQ-DI, ainsi que des améliorations significatives de la qualité de vie mesurée par les scores globaux des composantes physiques et mentales du SF-36. Chez les patients restés sous le traitement comprenant Simponi auquel ils avaient été assignés par randomisation au début de l'étude, la réponse selon le DAS28 et HAQ-DI s'est maintenue jusqu'à la semaine 104. Chez les patients restés dans l'étude et traités par Simponi, la réponse selon le DAS28 et HAQ-DI était similaire entre la semaine 104 et la semaine 256.
  • -La tolérance et l'efficacité de Simponi ont été évaluées lors d'une étude multicentrique, randomisée, en double-insu, contrôlée contre placebo (GO-RAISE) chez 356 patients adultes atteints de spondylarthrite ankylosante active (définie par le score BASDAI (Bath Ankylosing Spondylitis Disease Activity Index ≥4 et une EVA pour des douleurs totales dorsales 4, sur une échelle de 0 à 10 cm). Les patients inclus dans cette étude étaient atteints d'une maladie active malgré un précédent traitement ou un traitement courant par AINS ou DMARD et n'avaient encore jamais été traités par anti-TNF. Simponi ou le placebo étaient administrés par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines. Les patients étaient randomisés pour recevoir soit du placebo, Simponi 50 mg ou Simponi 100 mg et étaient autorisés à poursuivre leur traitement DMARD de façon concomitante (MTX, SSZ et/ou HCQ). Le critère principal était le pourcentage de patients ayant une réponse ASAS 20 (Ankylosing Spondylitis Assessment Study Group) à la semaine 14. Les données d'efficacité contrôlées contre placebo ont été recueillies et analysées jusqu'à la semaine 24.
  • +L'efficacité et la sécurité de Simponi ont été évaluées lors d'une étude multicentrique, randomisée, en double-insu, contrôlée contre placebo (GO-RAISE) chez 356 patients adultes atteints de spondylarthrite ankylosante active (définie par le score BASDAI (Bath Ankylosing Spondylitis Disease Activity Index) ≥4 et une EVA pour des douleurs totales dorsales 4, sur une échelle de 0 à 10 cm). Les patients inclus dans cette étude étaient atteints d'une maladie active malgré un précédent traitement ou un traitement courant par AINS ou DMARD et n'avaient encore jamais été traités par anti-TNF. Simponi ou le placebo étaient administrés par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines. Les patients étaient randomisés pour recevoir soit du placebo, Simponi 50 mg ou Simponi 100 mg et étaient autorisés à poursuivre leur traitement DMARD de façon concomitante (MTX, SSZ et/ou HCQ). Le critère principal d'évaluation était le pourcentage de patients ayant une réponse ASAS 20 (Ankylosing Spondylitis Assessment Study Group) à la semaine 14. Les données d'efficacité contrôlées contre placebo ont été recueillies et analysées jusqu'à la semaine 24.
  • -Chez les patients restés dans l'étude et traités par Simponi, les réponses ASAS 20 et ASAS 40 étaient similaires entre la semaine 24 et la semaine 256.
  • -Des réponses BASDAI 50, 70 et 90 statistiquement significatives (p ≤0,017) ont également été observées aux semaines 14 et 24. Des améliorations des mesures clé de l'activité de la maladie ont été observées lors de la première évaluation (semaine 4) après la première administration de Simponi et se sont maintenues jusqu'à la semaine 24. Chez les patients restés dans l'étude et traités par Simponi, des taux similaires de variations du BASDAI ont été observés entre la semaine 24 et la semaine 256. Une efficacité comparable a été observée chez les patients, indépendamment de l'utilisation de DMARD (MTX, sulfasalazine et/ou hydroxychloroquine), de l'antigène HLA-B27 ou du taux initial de CRP évalués par les réponses ASAS 20 à la semaine 14.
  • -Il résulte du traitement par Simponi une amélioration significative de la fonction physique évaluée par les variations du BASFI entre la semaine 0 et les semaines 14 (p <0,001) et 24. La qualité de vie par rapport à la maladie selon la composante physique du score SF-36 a été également améliorée significativement aux semaines 14 et 24. Chez les patients restés dans l'étude et traités par Simponi, les améliorations de la fonction physique et de la qualité de vie liée à la maladie étaient similaires entre la semaine 24 et la semaine 256.
  • +Chez les patients restés dans l'étude et traités par Simponi, les réponses ASAS 20 et ASAS 40 étaient similaires entre la semaine 24 jusqu'à la semaine 256.
  • +Des réponses BASDAI 50, 70 et 90 statistiquement significatives (p ≤0,017) ont également été observées aux semaines 14 et 24. Des améliorations des mesures clé de l'activité de la maladie ont été observées lors de la première évaluation (semaine 4) après la première administration de Simponi et se sont maintenues jusqu'à la semaine 24. Chez les patients restés dans l'étude et traités par Simponi, des taux similaires de variations du BASDAI ont été observés entre la semaine 24 jusqu'à la semaine 256. Une efficacité comparable a été observée chez les patients, indépendamment de l'utilisation de DMARD (MTX, sulfasalazine et/ou hydroxychloroquine), de l'antigène HLA-B27 ou du taux initial de CRP évalués par les réponses ASAS 20 à la semaine 14.
  • +Il résulte du traitement par Simponi une amélioration significative de la fonction physique évaluée par les variations du BASFI entre la semaine 0 et les semaines 14 (p <0,001) et 24. La qualité de vie par rapport à la maladie selon la composante physique du score SF-36 a été également améliorée significativement aux semaines 14 et 24. Chez les patients restés dans l'étude et traités par Simponi, les améliorations de la fonction physique et de la qualité de vie liée à la maladie étaient similaires entre la semaine 24 jusqu'à la semaine 256.
  • -L'efficacité et la sécurité d'emploi de Simponi ont été étudiées dans le cadre d'une étude multicentrique, randomisée, en double insu, contrôlée avec placebo (GO-AHEAD), menée chez 197 patients adultes présentant une spondylarthrite axiale non radiographique active sévère (définie comme une atteinte remplissant les critères de classification de la spondylarthrite axiale du groupe ASAS mais non les critères de New York modifiés pour la SA). Les patients de cette étude présentaient, en dépit d'un traitement antérieur par les AINS, une maladie active (définie par un score BASDAI ≥4 et une valeur ≥4 sur l'échelle visuelle analogique [EVA] de 0 à 10 cm pour les douleurs dorsales globales) et n'avaient pas été traités auparavant avec des agents biologiques, y compris les anti-TNF. Les patients ont été randomisés pour recevoir soit une administration sous-cutanée de placebo, soit une injection de Simponi 50 mg toutes les 4 semaines. La seizième semaine, les patients sont passés à une phase ouverte au cours de laquelle ils ont tous reçu du Simponi 50 mg par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines, jusqu'à la semaine 48. Lévaluation de lefficacité a eu lieu jusquà la semaine 52 et lévaluation de la sécurité jusquà la semaine 60. Environ 93% des patients qui recevaient Simponi au début de la phase dextension ouverte (semaine 16) ont poursuivi leur traitement jusquà la fin de létude (semaine 52) et 44% des patients ont reçu un traitement continu à partir de la semaine 0. Des analyses ont été réalisées aussi bien sur le groupe de tous les patients traités (all treated, AT, n=197) que sur le groupe présentant des signes d'inflammation définis comme une CRP élevée et des signes de sacro-iliite active à l'IRM au début de l'étude. Les données d'efficacité contrôlées par placebo ont été recueillies jusqu'à la semaine 16 et analysées. Le critère d'évaluation principal était le nombre de patients ayant une réponse ASAS 20 à la semaine 16. Les principaux résultats sont résumés et décrits dans le Tableau 6.
  • +L'efficacité et la sécurité d'emploi de Simponi ont été étudiées dans le cadre d'une étude multicentrique, randomisée, en double insu, contrôlée avec placebo (GO-AHEAD), menée chez 197 patients adultes présentant une spondylarthrite axiale non radiographique active sévère (définie comme une atteinte remplissant les critères de classification de la spondylarthrite axiale du groupe ASAS mais non les critères de New York modifiés pour la SA). Les patients de cette étude présentaient, en dépit d'un traitement antérieur par les AINS, une maladie active (définie par un score BASDAI ≥4 et une valeur ≥4 sur l'échelle visuelle analogique [EVA] de 0 à 10 cm pour les douleurs dorsales globales) et n'avaient pas été traités auparavant avec des agents biologiques, y compris les anti-TNF. Les patients ont été randomisés pour recevoir soit une administration sous-cutanée de placebo, soit une injection de Simponi 50 mg toutes les 4 semaines. La seizième semaine, les patients sont passés à une phase ouverte au cours de laquelle ils ont tous reçu du Simponi 50 mg par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines, jusqu'à la semaine 48. L'évaluation de l'efficacité a eu lieu jusqu'à la semaine 52 et l'évaluation de la sécurité jusqu'à la semaine 60. Environ 93% des patients qui recevaient Simponi au début de la phase d'extension ouverte (semaine 16) ont poursuivi leur traitement jusqu'à la fin de l'étude (semaine 52) et 44% des patients ont reçu un traitement continu à partir de la semaine 0. Des analyses ont été réalisées aussi bien sur le groupe de tous les patients traités (all treated, AT, n=197) que sur le groupe présentant des signes d'inflammation définis comme une CRP élevée et des signes de sacro-iliite active à l'IRM au début de l'étude. Les données d'efficacité contrôlées par placebo ont été recueillies jusqu'à la semaine 16 et analysées. Le critère d'évaluation principal était le nombre de patients ayant une réponse ASAS 20 à la semaine 16. Les principaux résultats sont résumés et décrits dans le Tableau 6.
  • - Placebo Simponi 50 mg Placebo Simponi 50 mg
  • +Placebo Simponi 50 mg Placebo Simponi 50 mg
  • -Nc 87 74 23 21
  • +nc 87 74 23 21
  • -** <0,0001 pour Simponi par rapport au placebo
  • +** p <0,0001 pour Simponi par rapport au placebo
  • -Une amélioration statistiquement significative des symptômes de la SA-nr active sévère a été mise en évidence chez les patients traités avec Simponi 50 mg par rapport au placebo à la semaine 16 (Tableau 6). Les douleurs dorsales globales et nocturnes, évaluées à l'aide de l'EVA, montrent également une amélioration statistiquement significative entre la valeur initiale et la semaine 16 (p <0,0001). Les patients traités avec Simponi 50 mg affichaient une amélioration statistiquement significative de l'activité de la maladie, mesurée par le score ASDAS-C (p <0,0001). Une amélioration similaire des symptômes a été observée entre les semaines 16 et 24 chez les patients restant dans l'étude qui ont été traités ensuite avec Simponi 50 mg.
  • +Une amélioration statistiquement significative des symptômes de la SA-nr active sévère a été mise en évidence chez les patients traités avec Simponi 50 mg par rapport au placebo à la semaine 16 (Tableau 6). Les douleurs dorsales globales et nocturnes, évaluées à l'aide de l'EVA, montrent également une amélioration statistiquement significative entre la valeur initiale et la semaine 16 (p <0,0001). Les patients traités avec Simponi 50 mg affichaient une amélioration statistiquement significative de l'activité de la maladie, mesurée par le score ASDAS-C (p <0,0001). Une amélioration similaire des symptômes a été observée entre les semaines 16 et 24 chez les patients restant dans l'étude qui ont été traités avec Simponi 50 mg.
  • -La mobilité du rachis a été mesurée à l'aide de l'index BASMI (Bath Ankylosing Spondylitis Metrology Index) au début de l'étude et à la semaine 16. Les patients traités avec Simponi 50 mg affichaient une amélioration statistiquement significative de l'activité de la maladie par rapport à ceux traités avec le placebo (p <0,0001).
  • +La mobilité du rachis a été mesurée à l'aide de l'index BASMI (Bath Ankylosing Spondylitis Metrology Index) au début de l'étude et à la semaine 16. Les patients traités avec Simponi 50 mg affichaient des améliorations statistiquement significatives par rapport à ceux traités avec le placebo (p <0,0001).
  • -Le traitement avec Simponi a permis des améliorations considérables de la fonction physique grâce à l'évolution du score BASFI à la semaine 16 (p <0,001) par rapport à la valeur initiale. La qualité de vie liée à l'état de santé, mesurée par le score de la composante physique du SF-36, était elle aussi améliorée significativement à la semaine 16.
  • -Pour tous les critères décrits ci-dessus, les améliorations observées à la semaine 16 chez des patients traités par Simponi 50 mg ont persisté chez les patients restés dans létude à la semaine 52.
  • +Le traitement avec Simponi a permis des améliorations considérables de la fonction physique grâce aux variations du score BASFI à la semaine 16 (p <0,001) par rapport à la valeur initiale. La qualité de vie liée à l'état de santé, mesurée par le score de la composante physique du SF-36, était elle aussi améliorée significativement à la semaine 16.
  • +Pour tous les critères d'évaluation décrits ci-dessus, les améliorations observées à la semaine 16 chez des patients traités par Simponi 50 mg ont persisté chez les patients restés dans l'étude à la semaine 52.
  • -Dans l'étude sur la phase d'induction (PURSUIT-Induction) ont été traités pendant 6 semaines des patients atteints de rectocolite hémorragique active modérée à sévère (score Mayo de 6 à 12; dont ≥2 à l'endoscopie), qui n'avait pas suffisamment répondu à un traitement conventionnel ou ne l'avaient pas supporté ou avaient besoin de corticostéroïdes. Dans la partie de l'étude réservée à la recherche de la dose, les patients ont été randomisés dans un des 4 groupes de traitement: 400 mg Simponi administré par voie sous-cutanée (s.c.) à la semaine 0 et 200 mg à la semaine 2 (400 mg/200 mg), 200 mg Simponi s.c. à la semaine 0 et 100 mg à la semaine 2 (200 mg/100 mg), 100 mg Simponi s.c. à la semaine 0 et 50 mg à la semaine 2 (100 mg/50 mg) ou placebo s.c. à la semaine 0 et 2 (Placebo). Dans la partie de l'étude réservée à la confirmation de la dose ont été randomisés 761 patients qui ont reçu soit 400 mg Simponi s.c. à la semaine 0 et 200 mg à la semaine 2, soit 200 mg Simponi s.c. à la semaine 0 et 100 mg à la semaine 2, soit le placebo s.c. à la semaine 0 et 2. L'association de doses stables de corticostéroïdes, d'aminosalicylates oraux et/ou de médicaments immunomodulateurs était autorisée. Cette étude a évalué l'efficacité de Simponi jusqu'à la semaine 6.
  • -Les résultats de l'étude pour le traitement d'entretien (PURSUIT-Maintenance) reposent sur l'évaluation de 456 patients, qui ont répondu cliniquement lors de la phase préalable d'induction de Simponi. Toutes les 4 semaines, les patients randomisés ont reçu par voie sous-cutanée soit 50 mg de Simponi, soit 100 mg de Simponi, soit le placebo. L'association de doses stables d'aminosalicylates oraux et/ou de médicaments immunomodulateurs était autorisée. Les corticostéroïdes devaient être arrêtés progressivement au début de l'étude sur le traitement d'entretien. Cette étude a évalué l'efficacité de Simponi jusqu'à la semaine 54. Des analyses post-hoc ont été réalisées dans des sous-groupes représentatifs des catégories de poids corporel <80 kg et ≥80 kg. Les patients qui étaient en traitement dentretien jusquà la semaine 54 étaient aptes à poursuivre le traitement dans une étude dextension et lefficacité a été évaluée jusquà la semaine 216.
  • +Dans l'étude sur la phase d'induction (PURSUIT-Induction) ont été traités pendant 6 semaines des patients atteints de rectocolite hémorragique active modérée à sévère (score Mayo de 6 à 12; dont ≥2 à l'endoscopie), qui n'avait pas suffisamment répondu à un traitement conventionnel ou ne l'avaient pas supporté ou avaient besoin de corticostéroïdes. Dans la partie de l'étude réservée à la recherche de la dose, les patients ont été randomisés dans un des 4 groupes de traitement: 400 mg Simponi administré par voie sous-cutanée (s.c.) à la semaine 0 et 200 mg à la semaine 2 (400 mg/200 mg), 200 mg Simponi s.c. à la semaine 0 et 100 mg à la semaine 2 (200 mg/100 mg), 100 mg Simponi s.c. à la semaine 0 et 50 mg à la semaine 2 (100 mg/50 mg) ou placebo s.c. à la semaine 0 et 2 (Placebo). Dans la partie de l'étude réservée à la confirmation de la dose ont été randomisés 761 patients qui ont reçu soit 400 mg Simponi s.c. à la semaine 0 et 200 mg à la semaine 2, soit 200 mg Simponi s.c. à la semaine 0 et 100 mg à la semaine 2, soit le placebo s.c. à la semaine 0 et 2. L'association de doses stables d'aminosalicylates oraux, de corticostéroïdes et/ou de médicaments immunomodulateurs était autorisée. Cette étude a évalué l'efficacité de Simponi jusqu'à la semaine 6.
  • +Les résultats de l'étude pour le traitement d'entretien (PURSUIT-Maintenance) reposent sur l'évaluation de 456 patients, qui ont répondu cliniquement lors de la phase préalable d'induction de Simponi. Toutes les 4 semaines, les patients randomisés ont reçu par voie sous-cutanée soit 50 mg de Simponi, soit 100 mg de Simponi, soit le placebo. L'association de doses stables d'aminosalicylates oraux et/ou de médicaments immunomodulateurs était autorisée. Les corticostéroïdes devaient être arrêtés progressivement au début de l'étude sur le traitement d'entretien. Cette étude a évalué l'efficacité de Simponi jusqu'à la semaine 54. Des analyses post-hoc ont été réalisées dans des sous-groupes représentatifs des catégories de poids corporel <80 kg et ≥80 kg. Les patients qui étaient en traitement d'entretien jusqu'à la semaine 54 étaient aptes à poursuivre le traitement dans une étude d'extension et l'efficacité a été évaluée jusqu'à la semaine 216.
  • -
  • -Patients <80 kg 30% (31/105) 49%* (53/108) 49%** (49/100)
  • +Patients <80 kg 30% (31/105) 49%* (53/108) 49%** (49/100)
  • -Parmi les 54% (247/456) de patients associant des corticostéroïdes au traitement au début de l'étude PURSUIT-Maintenance, la proportion de patients présentant une réponse clinique durable jusqu'à la semaine 54 et ne recevant pas de corticostéroïdes en médication concomitante à la semaine 54 était plus importante dans le groupe 50 mg (38%, 30/78) et dans le groupe 100 mg Simponi (30%, 25/82) que dans le groupe placebo (21%, 18/87). La proportion de patients chez qui les corticostéroïdes pouvaient être arrêtés à la semaine 54 était plus importante dans le groupe 50 mg (41%, 32/78) et le groupe 100 mg Simponi (33%, 27/82) que dans le groupe placebo (22%, 19/87). Parmi les patients admis dans létude dextension, la proportion de patients sans corticostéroïdes sest maintenue en général jusquà la semaine 216.
  • +Parmi les 54% (247/456) de patients associant des corticostéroïdes au traitement au début de l'étude PURSUIT-Maintenance, la proportion de patients présentant une réponse clinique durable jusqu'à la semaine 54 et ne recevant pas de corticostéroïdes en médication concomitante à la semaine 54 était plus importante dans le groupe 50 mg (38%, 30/78) et dans le groupe 100 mg Simponi (30%, 25/82) que dans le groupe placebo (21%, 18/87). La proportion de patients chez qui les corticostéroïdes pouvaient être arrêtés à la semaine 54 était plus importante dans le groupe 50 mg (41%, 32/78) et le groupe 100 mg Simponi (33%, 27/82) que dans le groupe placebo (22%, 19/87). Parmi les patients admis dans l'étude d'extension, la proportion de patients sans corticostéroïdes s'est maintenue en général jusqu'à la semaine 216.
  • -Environ 63% des patients qui ont reçu Simponi au début de létude dextension (semaine 56) ont poursuivi le traitement jusquà la fin de létude (dernière administration de golimumab à la semaine 212). Environ 38% des patients qui ont reçu Simponi au début de létude PURSUIT-Maintenance ont poursuivi le traitement jusquà la fin de létude (dernière administration de golimumab à la semaine 212).
  • +Environ 63% des patients qui ont reçu Simponi au début de l'étude d'extension (semaine 56) ont poursuivi le traitement jusqu'à la fin de l'étude (dernière administration de golimumab à la semaine 212). Environ 38% des patients qui ont reçu Simponi au début de l'étude PURSUIT-Maintenance ont poursuivi le traitement jusqu'à la fin de l'étude (dernière administration de golimumab à la semaine 212).
  • -Lorsque 50 mg de golimumab est administrée par voie sous-cutanée à des patients atteints de PR, de RP ou de SA toutes les 4 semaines, les concentrations sériques ont atteint un état d'équilibre à la semaine 12. L'association du MTX à 50 mg de golimumab par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines a permis d'obtenir une moyenne des concentrations sériques résiduelles stables (± écart-type) d'environ 0,6 ± 0,4 µg/ml chez des patients atteints de PR active malgré un traitement par MTX, et environ 0,5 ± 0,4 µg/ml chez des patients atteints de RP actif et environ 0,8 ± 0,4 µg/ml chez des patients atteints de SA. Les taux sériques résiduels moyens du golimumab à l'état d'équilibre chez les patients atteints de SA-nr étaient comparables à ceux observés chez les patients souffrant de SA après une injection sous-cutanée de 50 mg de golimumab toutes les 4 semaines.
  • +Lorsque 50 mg de golimumab est administrée par voie sous-cutanée à des patients atteints de PR, de RP ou de SA toutes les 4 semaines, les concentrations sériques ont atteint un état d'équilibre à la semaine 12. L'association du MTX à 50 mg de golimumab par voie sous-cutanée toutes les 4 semaines a permis d'obtenir une moyenne des concentrations sériques résiduelles stables (± écart-type) d'environ 0,6 ± 0,4 µg/ml chez des patients atteints de PR active malgré un traitement par MTX, resp. d'environ 0,5 ± 0,4 µg/ml chez des patients atteints de RP actif et resp. d'environ 0,8 ± 0,4 µg/ml chez des patients atteints de SA. Les taux sériques résiduels moyens du golimumab à l'état d'équilibre chez les patients atteints de SA-nr étaient comparables à ceux observés chez les patients souffrant de SA après une injection sous-cutanée de 50 mg de golimumab toutes les 4 semaines.
  • -Poids: l'augmentation du poids s'accompagnait d'une tendance à une clairance apparente et un volume de distribution plus élevés et ainsi à une exposition plus basse à golimumab. Chez les patients atteints de RCH, la clairance apparente et le volume de distribution étaient estimés respectivement à 56% et 61% plus élevés chez les patients pesant un poids plus important (>84 kg) par rapport aux patients plus légers (<60 kg). L'effet du poids corporel sur la clairance apparente et le volume de distribution de golimumab semble être cohérent pour les patients atteints de PR, RP, SA ou RCH.
  • +Poids: l'augmentation du poids corporel s'accompagnait d'une tendance à une clairance apparente et un volume de distribution plus élevés et ainsi à une exposition plus basse à golimumab. Chez les patients atteints de RCH, la clairance apparente et le volume de distribution étaient estimés respectivement à 56% resp. 61% plus élevés chez les patients pesant un poids plus important (>84 kg) par rapport aux patients plus légers (<60 kg). L'effet du poids corporel sur la clairance apparente et le volume de distribution de golimumab semble être cohérent pour les patients atteints de PR, RP, SA ou RCH.
  • -Les données non cliniques issues des études conventionnelles de pharmacologie, de sécurité, de toxicologie en administration répétée et de toxicités affectant la reproduction et le développement n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme.
  • -Aucune étude sur la mutagénicité, la fertilité chez l'animal ni sur la cancérogenèse à long-terme n'a été réalisée sur golimumab.
  • -Dans une étude sur la fertilité et la fonction reproductive en général chez la souris, l'utilisation d'un anticorps analogue qui inhibe de manière sélective l'activité fonctionnelle du TNF-α de la souris, le nombre de souris gestantes avait été réduit. On ne sait pas encore si ce résultat était dû à des effets sur les mâles et/ou les femelles. Dans une étude de toxicité pour le développement menée sur des souris après l'administration du même anticorps analogue et chez des singes cynomolgus prenant du golimumab, aucun signe de toxicité maternelle, d'embryotoxicité ou de tératogénicité n'a été décelé.
  • +Les données non cliniques issues des études conventionnelles de pharmacologie de sécurité, de toxicologie en administration répétée et de toxicités affectant la reproduction et le développement n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme.
  • +Aucune étude sur la mutagénicité ou la fertilité chez l'animal ni sur la cancérogenèse à long-terme n'a été réalisée sur golimumab.
  • +Dans une étude sur la fertilité et la fonction reproductive en général chez la souris, l'utilisation d'un anticorps analogue qui inhibe de manière sélective l'activité fonctionnelle du TNF-α de la souris, le nombre de souris gestantes avait été réduit. On ne sait pas encore si ce résultat était dû à l'effet de l'anticorps analogue sur les mâles et/ou les femelles. Dans une étude de toxicité pour le développement menée sur des souris après l'administration du même anticorps analogue et chez des singes cynomolgus prenant du golimumab, aucun signe de toxicité maternelle, d'embryotoxicité ou de tératogénicité n'a été décelé.
  • -Simponi est fourni sous forme de seringue préremplie/injecteur prérempli (stylo prérempli) à usage unique appelé SmartJect. Chaque boîte de Simponi est fournie avec la notice d'utilisation qui décrit de façon complète le mode d'emploi de la seringue/du stylo. Après avoir retiré la seringue/le stylo du réfrigérateur, il est nécessaire d'attendre 30 minutes afin que la seringue/le stylo atteigne la température ambiante. Simponi peut alors seulement être injecté. La seringue/le stylo ne doit pas être secoué.
  • +Simponi est fourni sous forme de seringue préremplie resp. dans un injecteur prérempli (stylo prérempli) à usage unique appelé SmartJect. Chaque emballage de Simponi est fournie avec la notice d'utilisation qui décrit de manière détaillée le mode d'emploi de la seringue/du stylo. Après avoir retiré la seringue préremplie/l'injecteur prérempli du réfrigérateur, il est nécessaire d'attendre 30 minutes afin que la seringue préremplie/l'injecteur prérempli atteigne la température ambiante. Simponi peut alors seulement être injecté. La seringue préremplie/l'injecteur prérempli ne doit pas être secoué.
  • -Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément à la réglementation nationale en vigueur.
  • +Tout produit non utilisé ou déchet doit être éliminé conformément aux exigences nationales en vigueur.
  • -Simponi est disponible en boîtes contenant 1 seringue préremplie et en conditionnement multiple contenant 3 (3 boîtes de 1) seringues préremplies (uniquement de 50 mg, non disponible dans le commerce); ainsi qu'en boîtes contenant 1 stylo prérempli et en conditionnement multiple contenant 3 (3 boîtes de 1) stylos préremplis (uniquement de 50 mg, non disponible dans le commerce). (B)
  • +Simponi est disponible en emballages contenant 1 seringue préremplie et en conditionnement multiple contenant 3 (3 emballages de 1) seringues préremplies (uniquement de 50 mg, non disponible dans le commerce); ainsi qu'en emballages contenant 1 injecteur prérempli et en conditionnement multiple contenant 3 (3 emballages de 1) injecteurs préremplis (uniquement de 50 mg, non disponible dans le commerce). (B)
  • -Octobre 2016.
  • -S-HQSPC-MK8259-SOi-032016/MK8259-CHE-2016-013880
  • +Mai 2017.
  • +S-CCDS-MK8259-SOi-112016a/MK8259-CHE-2016-014091
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