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Accueil - Information professionnelle sur Vimovo - Changements - 12.12.2022
84 Changements de l'information professionelle Vimovo
  • -povidone K90
  • -dioxyde de silicium colloïdal anhydre
  • -stéarate de magnésium
  • +Povidone K90
  • +Dioxyde de silicium colloïdal anhydre
  • +Stéarate de magnésium
  • -ester triéthylique de l'acide citrique
  • -polysorbate 80
  • -monostéarate de glycérol 40-55
  • -env. 20 µg de parahydroxybenzoate de méthyle
  • -env. 10 µg de parahydroxybenzoate de propyle
  • -copolymère acide méthacrylique/ester éthylique de l'acide acrylique (1:1) dispersion (30 %)
  • +Ester triéthylique de l'acide citrique
  • +Polysorbate 80
  • +Monostéarate de glycérol 40-55
  • +Env. 20 µg de parahydroxybenzoate de méthyle
  • +Env. 10 µg de parahydroxybenzoate de propyle
  • +Copolymère acide méthacrylique/ester éthylique de l'acide acrylique (1:1) dispersion (30 %)
  • -dioxyde de titane
  • -polydextrose (E1200)
  • -hypromellose 3 mPas
  • -hypromellose 6 mPas
  • -hypromellose 50 mPas
  • -macrogol 8000 (polyéthylène glycol)
  • +Dioxyde de titane
  • +Polydextrose (E1200)
  • +Hypromellose 3 mPas
  • +Hypromellose 6 mPas
  • +Hypromellose 50 mPas
  • +Macrogol 8000 (polyéthylène glycol)
  • -hypromellose 3 mPas
  • -macrogol 8000 (polyéthylène glycol)
  • -polysorbate 80
  • +Hypromellose 3 mPas
  • +Macrogol 8000 (polyéthylène glycol)
  • +Polysorbate 80
  • -oxyde de fer jaune (E172)
  • -dioxyde de titane
  • -hypromellose 3 mPas
  • -hypromellose 6 mPas
  • -macrogol 8000 (polyéthylène glycol)
  • +Oxyde de fer jaune (E172)
  • +Dioxyde de titane
  • +Hypromellose 3 mPas
  • +Hypromellose 6 mPas
  • +Macrogol 8000 (polyéthylène glycol)
  • -hypromellose 3 mPas
  • -macrogol 8000 (polyéthylène glycol)
  • +Hypromellose 3 mPas
  • +Macrogol 8000 (polyéthylène glycol)
  • -cire de carnauba
  • +Cire de carnauba
  • -oxyde de fer noir (E172)
  • -hypromellose 6 mPas
  • -propylène glycol.
  • +Oxyde de fer noir (E172)
  • +Hypromellose 6 mPas
  • +Propylène glycol.
  • -·Hypersensibilité au naproxène, à l'ésoméprazole, aux dérivés benzimidazolés ou à l'un des excipients selon la composition.
  • +·Hypersensibilité au naproxène, à l'ésoméprazole, aux benzimidazoles substitués ou à l'un des excipients selon la composition.
  • -Vimovo contient de l'ésoméprazole afin de réduire l'incidence d'effets indésirables gastro-intestinaux du naproxène, notamment d'ulcérations. Bien que les ulcères gastriques soient significativement plus rares sous Vimovo que sous naproxène seul, le développement d'ulcérations et de complications associées aux ulcères ne peut pas être exclu (voir «Pharmacodynamie»).
  • +Vimovo contient de l'ésoméprazole afin de réduire l'incidence des effets indésirables gastro-intestinaux du naproxène, y compris des ulcérations. Bien que les ulcères gastriques soient significativement plus rares sous Vimovo que sous naproxène seul, le développement d'ulcérations et des complications associées aux ulcères ne peut pas être exclu (voir «Pharmacodynamie»).
  • -Les patients avec antécédents de toxicité gastro-intestinale, surtout s'il s'agit de patients âgés, doivent signaler tout symptôme abdominal inhabituel (notamment d'hémorragie gastro-intestinale), particulièrement au début du traitement.
  • -La prudence est de rigueur chez les patients qui prennent un AINS en même temps que d'autres médicaments susceptibles d'accroître le risque d'ulcérations ou d'hémorragies, tels que les corticoïdes oraux, les anticoagulants (par ex. la warfarine), les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ou les antiagrégants plaquettaires (par ex. l'aspirine; pour des informations sur l'utilisation de Vimovo en association avec de l'aspirine à faible dose, voir «Interactions»).
  • +Les patients ayant des antécédents de toxicité gastro-intestinale, surtout s'il s'agit de patients âgés, doivent signaler tout symptôme abdominal inhabituel (notamment d'hémorragie gastro-intestinale), particulièrement au début du traitement.
  • +La prudence est de rigueur chez les patients qui prennent un AINS en même temps que d'autres médicaments susceptibles d'accroître le risque d'ulcérations ou d'hémorragies, tels que les corticoïdes oraux, les anticoagulants (par ex. la warfarine), les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine ou les antiagrégants plaquettaires tels que l'aspirine; (pour des informations sur l'utilisation de Vimovo en association avec de l'aspirine à faible dose, voir «Interactions»).
  • -Ésoméprazole: en présence de signes alarmants, comme une perte de poids involontaire significative, des vomissements persistants, une dysphagie, une hématémèse ou un méléna, et si l'on suspecte un ulcère gastrique, il convient d'en exclure le caractère malin avant d'initier le traitement par le sel de magnésium d'ésoméprazole, car le traitement peut masquer les symptômes et retarder le diagnostic.
  • +Ésoméprazole: en présence de signes alarmants, comme une perte de poids involontaire significative, des vomissements persistants, une dysphagie, une hématémèse ou un méléna, et si l'on suspecte un ulcère gastrique, il convient d'en exclure le caractère malin avant d'initier le traitement par l'ésoméprazole magnésium, car le traitement peut masquer les symptômes et retarder le diagnostic.
  • -Ce risque impose également d'utiliser la dose efficace la plus faible et de limiter la durée du traitement dans toute la mesure du possible.
  • +Ce risque impose également d'utiliser la dose efficace la plus faible et pendant la durée de traitement la plus courte possible.
  • -Chez certains patients, surtout ceux dont le débit sanguin rénal est réduit suite à un volume extracellulaire insuffisant, une cirrhose hépatique, un syndrome de perte de sel, une insuffisance cardiaque congestive ou une maladie rénale préexistante, des tests de la fonction rénale doivent être faits avant et pendant le traitement par Vimovo. C'est également le cas pour certains patients âgés chez lesquels une atteinte de la fonction rénale peut être prévisible, ainsi que les patients utilisant des diurétiques, des inhibiteurs de l'ECA ou des antagonistes du récepteur de l'angiotensine II. Pour éviter une éventuelle accumulation excessive des métabolites du naproxène, on envisagera une réduction de la dose journalière chez ces patients.
  • +Chez certains patients, surtout ceux dont le débit sanguin rénal est réduit en raison d'un volume extracellulaire insuffisant, d'une cirrhose hépatique, d'un syndrome de perte de sel, d'une insuffisance cardiaque congestive ou d'une maladie rénale préexistante, des tests de la fonction rénale doivent être réalisés avant et pendant le traitement par Vimovo. C'est également le cas pour certains patients âgés chez lesquels une atteinte de la fonction rénale peut être prévisible, ainsi que les patients utilisant des diurétiques, des inhibiteurs de l'ECA ou des antagonistes du récepteur de l'angiotensine II. Pour éviter une éventuelle accumulation excessive des métabolites du naproxène, on envisagera une réduction de la dose journalière chez ces patients.
  • -Lupus érythémateux cutané subaigu: Les inhibiteurs de la pompe à protons sont associés à des cas très peu fréquents de Lupus érythémateux cutané subaigu (LECS). Si des lésions se développent, notamment sur les zones cutanées exposées au soleil, et si elles s'accompagnent d'arthralgie, le patient doit consulter un médecin rapidement et le professionnel de santé doit envisager d'arrêter Vimovo. La survenue d'un LECS après traitement par un inhibiteur de la pompe à protons peut augmenter le risque de LECS avec d'autres inhibiteurs de la pompe à protons.
  • +Lupus érythémateux cutané subaigu: Les inhibiteurs de la pompe à protons sont associés à des cas très rares de Lupus érythémateux cutané subaigu (LECS). Si des lésions se développent, notamment sur les zones cutanées exposées au soleil, et si elles s'accompagnent d'arthralgie, le patient doit consulter un médecin rapidement et le professionnel de santé doit envisager d'arrêter Vimovo. La survenue d'un LECS après traitement antérieur par un inhibiteur de la pompe à protons peut augmenter le risque de LECS avec d'autres inhibiteurs de la pompe à protons.
  • -Naproxène: des réactions d'hypersensibilité peuvent se produire chez les personnes prédisposées. Des réactions anaphylactiques (anaphylactoïdes) peuvent se produire chez des patients avec ou sans antécédents d'hypersensibilité ou d'exposition à l'aspirine, à d'autres AINS ou aux médicaments contenant du naproxène. De telles réactions peuvent aussi survenir chez des personnes avec antécédent d'angio-œdème, de réactivité bronchospastique (par exemple asthme), de rhinite ou de polypes nasaux.
  • +Naproxène: des réactions d'hypersensibilité peuvent se produire chez les personnes prédisposées. Des réactions anaphylactiques (anaphylactoïdes) peuvent se produire chez des patients avec ou sans antécédents d'hypersensibilité ou d'exposition à l'aspirine, à d'autres AINS ou aux médicaments contenant du naproxène. De telles réactions peuvent aussi survenir chez des personnes ayant des antécédents d'angio-œdème, de réactivité bronchospastique (par exemple asthme), de rhinite ou de polypes nasaux.
  • -Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
  • +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c.-à-d. qu'il est pratiquement «sans sodium».
  • -Il existe des rapports d'interactions entre l'oméprazole (mélange racémique de D et S ésoméprazole) et certains antirétroviraux. La signification clinique et les mécanismes sous-jacents de ces interactions ne sont pas toujours connus. Une augmentation du pH gastrique sous oméprazole pourrait modifier l'absorption de l'antirétroviral. D'autres mécanismes pouvant être à l'origine d'interactions sont liés au CYP2C19. On a également rapporté que les taux sériques de certains antirétroviraux, dont l'atazanavir et le nelfinavir, étaient réduits lors d'une administration concomitante d'oméprazole. L'administration concomitante d'oméprazole et de médicaments tels que l'atazanavir ou le nelfinavir n'est donc pas recommandée. Pour certains antirétroviraux, par exemple le saquinavir, on a rapporté des taux sériques augmentés. Et pour d'autres antirétroviraux, on a rapporté des taux sériques inchangés lors d'une administration concomitante d'oméprazole. En raison de la similarité des propriétés pharmacodynamiques et pharmacocinétiques de l'oméprazole et de l'ésoméprazole, l'administration concomitante d'ésoméprazole et d'antirétroviraux tels que l'atazanavir et le nelfinavir n'est pas recommandée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +Il existe des rapports d'interactions entre l'oméprazole, le racémique de l'ésoméprazole et certains antirétroviraux. La signification clinique et les mécanismes sous-jacents de ces interactions ne sont pas connus dans tous les cas. Une augmentation du pH gastrique sous oméprazole pourrait modifier l'absorption de l'antirétroviral. D'autres mécanismes pouvant être à l'origine d'interactions sont liés au CYP2C19. On a également rapporté que les taux sériques de certains antirétroviraux, dont l'atazanavir et le nelfinavir, étaient réduits lors d'une administration concomitante d'oméprazole. L'administration concomitante d'oméprazole et de médicaments tels que l'atazanavir ou le nelfinavir n'est donc pas recommandée. Pour certains antirétroviraux, par exemple le saquinavir, on a rapporté des taux sériques augmentés. Et pour d'autres antirétroviraux, on a rapporté des taux sériques inchangés lors d'une administration concomitante d'oméprazole. En raison de la similarité des propriétés pharmacodynamiques et pharmacocinétiques de l'oméprazole et de l'ésoméprazole, l'administration concomitante d'ésoméprazole et d'antirétroviraux tels que l'atazanavir et le nelfinavir n'est pas recommandée (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -·L'administration concomitante d'ésoméprazole et d'un inhibiteur combiné du CYP2C19 et du CYP3A4 (par exemple le voriconazole) peut plus que doubler la Cmax et l'AUC de l'ésoméprazole.
  • -·L'administration concomitante d'ésoméprazole et de clarithromycine (500 mg 2× par jour) - inhibiteur du CYP3A4 - a provoqué un doublement de l'AUC de l'ésoméprazole.
  • +·L'administration concomitante d'ésoméprazole et d'un inhibiteur combiné du CYP2C19 et du CYP3A4 (par exemple le voriconazole) peut plus que doubler la Cmax et l'ASC de l'ésoméprazole.
  • +·L'administration concomitante d'ésoméprazole et de clarithromycine (500 mg 2× par jour) - inhibiteur du CYP3A4 - a provoqué un doublement de l'ASC de l'ésoméprazole.
  • -L'oméprazole agit tout comme l'ésoméprazole comme inhibiteur du CYP2C19. Dans une étude croisée auprès de volontaires sains, l'administration de 40 mg d'oméprazole a augmenté la Cmax et l'AUC du cilostazol de respectivement 18% et 26%, et d'un métabolite actif du cilostazol de respectivement 29% et 69%.
  • +L'oméprazole agit tout comme l'ésoméprazole comme inhibiteur du CYP2C19. Dans une étude croisée auprès de volontaires sains, l'administration de 40 mg d'oméprazole a augmenté la Cmax et l'ASC du cilostazol de respectivement 18% et 26%, et d'un métabolite actif du cilostazol de respectivement 29% et 69%.
  • -Le naproxène passe dans le lait maternel. On ignore si l'ésoméprazole passe dans le lait maternel, aucune étude n'ayant été réalisée chez la femme qui allaite. Par mesure de précaution, les femmes qui allaitent ne doivent donc pas prendre Vimovo. Si le traitement est indispensable, l'allaitement doit être interrompu et remplacé par du lait infantile.
  • +Le naproxène passe dans le lait maternel humain. On ignore si l'ésoméprazole passe dans le lait maternel humain, aucune étude n'ayant été réalisée chez la femme qui allaite. Par mesure de précaution, les femmes qui allaitent ne doivent donc pas prendre Vimovo. Si le traitement est indispensable, l'allaitement doit être interrompu et remplacé par du lait infantile.
  • -Lors de la conduite de véhicules et de la manipulation de machines, il faut tenir compte du fait que certains des effets indésirables rapportés suite à l'utilisation de Vimovo - par exemple vertiges - peuvent réduire la capacité de réaction.
  • +Lors de la conduite de véhicules et de la manipulation de machines, il faut tenir compte du fait que certains des effets indésirables rapportés à la suite de l'utilisation de Vimovo - par exemple vertiges - peuvent réduire la capacité de réaction.
  • -Les effets indésirables sont classés ci-dessous par fréquence et par classe de systèmes d'organes. Les catégories de fréquence sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1000), très rares (<1/10'000), fréquence indéterminée (fréquence ne pouvant pas être estimée sur la base des données disponibles).
  • +Les effets indésirables sont classés ci-dessous par fréquence et par spécialités médicales. Les catégories de fréquence sont définies comme suit: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1000), très rares (<1/10'000), fréquence indéterminée (fréquence ne pouvant pas être estimée sur la base des données disponibles).
  • -Fréquents: étourdissements, somnolence, céphalées, obnubilation, vertige rotatoire.
  • +Fréquents: vertiges, somnolence, céphalées, obnubilation, vertige rotatoire.
  • +Très rares: pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG). Syndrome d’hypersensibilité médicamenteuse systémique avec éosinophilie (DRESS).
  • +
  • -Très rares: érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique (NET), Lupus érythémateux cutané subaigu (LECS). Pustulose exanthématique aiguë généralisée (PEAG), réaction d'hypersensibilité médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques (DRESS).
  • +Très rares: érythème polymorphe, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique (NET), Lupus érythémateux cutané subaigu (LECS).
  • -Un surdosage significatif de naproxène peut se manifester par une léthargie, des vertiges, une somnolence, des douleurs épigastriques, une gêne abdominale, un pyrosis, des troubles digestifs, des nausées, une altération transitoire de la fonction hépatique, une hypoprothrombinémie, un dysfonctionnement rénal, une acidose métabolique, de l'apnée, une désorientation ou des vomissements. Des hémorragies gastro-intestinales peuvent se produire. Une hypertension, une insuffisance rénale aiguë, une dépression respiratoire et un coma peuvent survenir mais sont rares. Des réactions anaphylactoïdes ont été signalées après l'administration thérapeutique d'AINS et peuvent également se produire en cas de surdosage. Quelques patients ont eu des convulsions, mais il n'est pas établi qu'elles étaient dues au médicament ou non. On ignore quelle dose de médicament mettrait la vie en péril.
  • +Un surdosage significatif de naproxène peut se manifester par une léthargie, des vertiges, une somnolence, des douleurs épigastriques, une gêne abdominale, un pyrosis, des troubles digestifs, des nausées, une altération transitoire de la fonction hépatique, une hypoprothrombinémie, un dysfonctionnement rénal, une acidose métabolique, de l'apnée, une désorientation ou des vomissements. Des hémorragies gastro-intestinales peuvent se produire. Une hypertension, une insuffisance rénale aiguë, une dépression respiratoire et un coma peuvent survenir mais sont rares. Des réactions anaphylactoïdes ont été signalées après l'administration thérapeutique d'AINS et peuvent également se produire en cas de surdosage. Quelques patients ont eu des convulsions, mais il n'est pas établi qu'elles étaient dues au médicament. On ignore quelle dose de médicament mettrait la vie en péril.
  • -Vimovo a été conçu comme un comprimé à libération séquentielle composé d'une couche extérieure de sel de magnésium d'ésoméprazole à libération immédiate et d'un noyau de naproxène portant un enrobage gastrorésistant. Ainsi, l'ésoméprazole est libéré dans l'estomac avant que le naproxène ne se dissolve dans l'intestin grêle. L'enrobage gastrorésistant empêche la libération du naproxène à un pH inférieur à 5.
  • +Vimovo a été conçu comme un comprimé à libération séquentielle composé d'une couche extérieure d'ésoméprazole magnésium à libération immédiate et d'un noyau de naproxène portant un enrobage gastrorésistant. Ainsi, l'ésoméprazole est libéré dans l'estomac avant que le naproxène ne se dissolve dans l'intestin grêle. L'enrobage gastrorésistant empêche la libération du naproxène à un pH inférieur à 5.
  • -Après l'administration chez des volontaires sains de trois formulations de Vimovo (naproxène 500 mg en association avec 10 mg, 20 mg ou 30 mg d'ésoméprazole) deux fois par jour pendant une période de 9 jours, le pH gastrique a été maintenu au-dessus de 4 pendant une durée moyenne respective de 9.8 heures, 17.1 heures et 18.4 heures sur 24 heures. La variabilité interindividuelle de la durée de maintien d'un pH >4, exprimée sous forme de coefficient de variation (CV), a été respectivement de 55%, de 18% et de 16%.
  • +Après l'administration chez des volontaires sains de trois formulations de Vimovo (naproxène 500 mg en association avec 10 mg, 20 mg ou 30 mg d'ésoméprazole) deux fois par jour pendant une période de 9 jours, le pH gastrique a été maintenu au-dessus de 4 pendant une durée moyenne respective de 9,8 heures, 17,1 heures et 18,4 heures sur 24 heures. La variabilité interindividuelle de la durée de maintien d'un pH >4, exprimée sous forme de coefficient de variation (CV), a été respectivement de 55%, de 18% et de 16%.
  • -Deux études randomisées contrôlées en double aveugle ont démontré une réduction significative de l'incidence d'ulcères gastriques (définition: érosion ≥3 mm, profondeur non définie) lors d'un traitement de 6 mois avec Vimovo 500 mg/20 mg deux fois par jour, par rapport au naproxène gastrorésistant 500 mg deux fois par jour. Dans les deux études, la fréquence des ulcères gastriques a été respectivement de 7.1% et 4.1% sous Vimovo, et de 24.3% et 23.1% sous naproxène gastrorésistant. Dans ces études comparatives, Vimovo a également significativement réduit la survenue d'événements indésirables prédéfinis dus aux AINS au niveau du tractus gastro-intestinal supérieur par comparaison avec le naproxène gastrorésistant (52.3% versus 69.0% dans une étude, 54.3% versus 71.9% dans l'autre étude). La réduction de l'incidence d'ulcères gastriques a été observée également dans un collectif partiel de patients (groupé sur les deux études) avec prise concomitante d'aspirine à faible dose (≤325 mg par jour). Dans ce groupe, la fréquence des ulcères gastriques était de 3.9% sous Vimovo et de 28.4% sous naproxène gastrorésistant (p <0.001).
  • -Dans ces études, la durée moyenne de traitement a été de 152 jours pour les patients sous Vimovo et de 124 jours pour les patients sous naproxène seul. Les arrêts prématurés de traitement ont été significativement plus rares chez les patients traités par Vimovo que chez les patients traités par naproxène gastrorésistant (7.9% versus 12.5%). Une proportion significativement plus faible de patients sous Vimovo (4.0%) a quitté l'étude en raison d'effets indésirables prédéfinis dus aux AINS au niveau du tractus gastro-intestinal supérieur (y compris des ulcères duodénaux) comparativement aux patients du groupe naproxène (12%). L'effet analgésique/antiinflammatoire du naproxène n'a pas été contrôlé dans ces deux études.
  • -Dans deux études en double aveugle contrôlées par placebo chez des patients atteints de gonarthrose, Vimovo a été administré à raison de 500 mg/20 mg deux fois par jour pour le traitement des signes et symptômes de l'arthrose et comparé à 200 mg de célécoxib une fois par jour pendant une période de 12 semaines. L'effet antalgique a été évalué sur la base des variations des scores WOMAC dans les domaines «douleurs» et «fonction» et des «Patient Global Assessment Scores» depuis le début de l'étude. Les résultats du Vimovo et du célécoxib étaient comparables. Le temps écoulé entre le début du traitement par Vimovo ou célécoxib et le début de l'effet antalgique était comparable. Le taux d'arrêts prématurés de l'étude pour cause d'effets indésirables a été comparable entre les patients sous Vimovo (6,9%) et les patients sous célécoxib (7.8%).
  • +Deux études randomisées contrôlées en double aveugle ont démontré une réduction significative de l'incidence d'ulcères gastriques (définition: érosion ≥3 mm, profondeur non définie) lors d'un traitement de 6 mois avec Vimovo 500 mg/20 mg deux fois par jour, par rapport au naproxène gastrorésistant 500 mg deux fois par jour. Dans les deux études, la fréquence des ulcères gastriques a été respectivement de 7,1% et 4,1% sous Vimovo, et de 24,3% et 23,1% sous naproxène gastrorésistant. Dans ces études comparatives, Vimovo a également significativement réduit la survenue d'événements indésirables prédéfinis dus aux AINS au niveau du tractus gastro-intestinal supérieur par comparaison avec le naproxène gastrorésistant (52,3% versus 69,0% dans une étude, 54,3% versus 71,9% dans l'autre étude). La réduction de l'incidence d'ulcères gastriques a été observée également dans un collectif partiel de patients (groupé sur les deux études) avec prise concomitante d'aspirine à faible dose (≤325 mg par jour). Dans ce groupe, la fréquence des ulcères gastriques était de 3,9% sous Vimovo et de 28,4% sous naproxène gastrorésistant (p <0,001).
  • +Dans ces études, la durée moyenne de traitement a été de 152 jours pour les patients sous Vimovo et de 124 jours pour les patients sous naproxène seul. Les arrêts prématurés de traitement ont été significativement plus rares chez les patients traités par Vimovo que chez les patients traités par naproxène gastrorésistant (7,9% versus 12,5%). Une proportion significativement plus faible de patients sous Vimovo (4,0%) a quitté l'étude en raison d'effets indésirables prédéfinis dus aux AINS au niveau du tractus gastro-intestinal supérieur (y compris des ulcères duodénaux) comparativement aux patients du groupe naproxène (12%). L'effet analgésique/antiinflammatoire du naproxène n'a pas été contrôlé dans ces deux études.
  • +Dans deux études en double aveugle contrôlées par placebo chez des patients atteints de gonarthrose, Vimovo a été administré à raison de 500 mg/20 mg deux fois par jour pour le traitement des signes et symptômes de l'arthrose et comparé à 200 mg de célécoxib une fois par jour pendant une période de 12 semaines. L'effet antalgique a été évalué sur la base des variations des scores WOMAC dans les domaines «douleurs» et «fonction» et des «Patient Global Assessment Scores» depuis le début de l'étude. Les résultats de Vimovo et du célécoxib étaient comparables. Le temps écoulé entre le début du traitement par Vimovo ou célécoxib et le début de l'effet antalgique était comparable. Le taux d'arrêts prématurés de l'étude pour cause d'effets indésirables a été comparable entre les patients sous Vimovo (6,9%) et les patients sous célécoxib (7,8%).
  • -Pour la dose de 500 mg, une bio-équivalence a été démontrée entre Vimovo et le naproxène gastrorésistant, sur la base de l'aire sous la courbe (AUC) des concentrations plasmatiques en fonction du temps et de la concentration plasmatique maximale (Cmax) du naproxène.
  • +Pour la dose de 500 mg, une bio-équivalence a été démontrée entre Vimovo et le naproxène gastrorésistant, sur la base de l'aire sous la courbe (ASC) des concentrations plasmatiques en fonction du temps et de la concentration plasmatique maximale (Cmax) du naproxène.
  • -Le volume de distribution du naproxène est de 0,16 l/kg. Aux concentrations thérapeutiques, le naproxène est lié à plus de 99% à l'albumine. Avec des doses de naproxène supérieures à 500 mg par jour, on observe une augmentation moins que proportionnelle des taux plasmatiques en raison d'une augmentation de la clairance provoquée par la saturation de la liaison aux protéines plasmatiques à de plus hautes doses (concentration minimale moyenne à l'état d'équilibre Css de 36.5, 49.2 et 56.4 mg/l avec des doses quotidiennes respectives de 500 mg, 1000 mg et 1500 mg de naproxène). La forme anionique du naproxène a été retrouvée dans le lait maternel à une concentration correspondant environ à 1% de la concentration plasmatique maximale (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • +Le volume de distribution du naproxène est de 0,16 l/kg. Aux concentrations thérapeutiques, le naproxène est lié à plus de 99% à l'albumine. Avec des doses de naproxène supérieures à 500 mg par jour, on observe une augmentation moins que proportionnelle des taux plasmatiques en raison d'une augmentation de la clairance provoquée par la saturation de la liaison aux protéines plasmatiques à de plus hautes doses (concentration minimale moyenne à l'état d'équilibre Css de 36,5, 49,2 et 56,4 mg/l avec des doses quotidiennes respectives de 500 mg, 1000 mg et 1500 mg de naproxène). La forme anionique du naproxène a été retrouvée dans le lait maternel à une concentration correspondant environ à 1% de la concentration plasmatique maximale (voir «Grossesse/Allaitement»).
  • -Le volume de distribution apparent à l'état d'équilibre chez le sujet sain est d'environ 0.22 l/kg de poids corporel. L'ésoméprazole est lié à 97% aux protéines plasmatiques.
  • +Le volume de distribution apparent à l'état d'équilibre chez le sujet sain est d'environ 0,22 l/kg de poids corporel. L'ésoméprazole est lié à 97% aux protéines plasmatiques.
  • -L'aire sous la courbe des concentrations plasmatiques en fonction du temps (AUC) augmente après l'administration répétée d'ésoméprazole. Cette augmentation est dépendante de la dose et conduit à une relation non-linéaire entre la dose et l'AUC après administration répétée. Cette dépendance temps et dose est due à une diminution du métabolisme de premier passage et de la clairance systémique, probablement à cause d'une inhibition de l'enzyme CYP2C19 par l'ésoméprazole et/ou son métabolite sulfone. Une augmentation de l'absorption de l'ésoméprazole lors de l'administration répétée de Vimovo contribue probablement aussi à la dépendance temps et dose (voir «Absorption»).
  • +L'aire sous la courbe des concentrations plasmatiques en fonction du temps (ASC) augmente après l'administration répétée d'ésoméprazole. Cette augmentation est dépendante de la dose et conduit à une relation non-linéaire entre la dose et l'ASC après administration répétée. Cette dépendance temps et dose est due à une diminution du métabolisme de premier passage et de la clairance systémique, probablement à cause d'une inhibition de l'enzyme CYP2C19 par l'ésoméprazole et/ou son métabolite sulfone. Une augmentation de l'absorption de l'ésoméprazole lors de l'administration répétée de Vimovo contribue probablement aussi à la dépendance temps et dose (voir «Absorption»).
  • -La clairance du naproxène est de 0.13 ml/min/kg. Environ 95% de chaque dose de naproxène sont éliminés dans les urines, principalement sous forme de naproxène (<1%), de 6-O-desméthyl-naproxène (<1%) ou de leurs conjugués (66 à 92%). Une faible quantité, 3% ou moins de la dose administrée, est éliminée dans les selles. Chez les patients présentant une insuffisance rénale, les métabolites peuvent s'accumuler (voir «Mises en garde et précautions»).
  • +La clairance du naproxène est de 0,13 ml/min/kg. Environ 95% de chaque dose de naproxène sont éliminés dans les urines, principalement sous forme de naproxène (<1%), de 6-O-desméthyl-naproxène (<1%) ou de leurs conjugués (66 à 92%). Une faible quantité, 3% ou moins de la dose administrée, est éliminée dans les selles. Chez les patients présentant une insuffisance rénale, les métabolites peuvent s'accumuler (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Après administration de Vimovo deux fois par jour, la demi-vie moyenne d'élimination de l'ésoméprazole est d'environ 1 heure le premier jour, aussi bien après la dose du matin qu'après la dose du soir. Elle est légèrement plus longue à l'état d'équilibre (1.2 à 1.5 heure).
  • +Après administration de Vimovo deux fois par jour, la demi-vie moyenne d'élimination de l'ésoméprazole est d'environ 1 heure le premier jour, aussi bien après la dose du matin qu'après la dose du soir. Elle est légèrement plus longue à l'état d'équilibre (1,2 à 1,5 heure).
  • -Ésoméprazole: en cas d'insuffisance hépatique légère à modérée, le métabolisme de l'ésoméprazole peut être altéré. En cas d'insuffisance hépatique sévère, le taux de métabolisation est diminué, ce qui fait doubler l'AUC de l'ésoméprazole.
  • +Ésoméprazole: en cas d'insuffisance hépatique légère à modérée, le métabolisme de l'ésoméprazole peut être altéré. En cas d'insuffisance hépatique sévère, le taux de métabolisation est diminué, ce qui fait doubler l'ASC de l'ésoméprazole.
  • -Naproxène: des études montrent que, bien que la concentration plasmatique totale de naproxène soit inchangée, la fraction libre plasmatique du naproxène est augmentée chez les patients âgés; la fraction non liée correspond toutefois à <1% de la concentration totale de naproxène. Les concentrations minimales de naproxène libre trouvées chez les patients âgés sont de 0.12% à 0.19% de la concentration totale de naproxène, par rapport à 0.05% à 0.075% chez des volontaires sains plus jeunes. La signification clinique de ces observations est incertaine; il est cependant possible que l'augmentation de la concentration du naproxène libre soit associée à une incidence accrue d'effets indésirables à une dose donnée chez certains patients âgés.
  • +Naproxène: des études montrent que, bien que la concentration plasmatique totale de naproxène soit inchangée, la fraction libre plasmatique du naproxène est augmentée chez les patients âgés; la fraction non liée correspond toutefois à <1% de la concentration totale de naproxène. Les concentrations minimales de naproxène libre trouvées chez les patients âgés sont de 0,12% à 0,19% de la concentration totale de naproxène, par rapport à 0,05% à 0,075% chez des volontaires sains plus jeunes. La signification clinique de ces observations est incertaine; il est cependant possible que l'augmentation de la concentration du naproxène libre soit associée à une incidence accrue d'effets indésirables à une dose donnée chez certains patients âgés.
  • -Ésoméprazole: environ 3% de la population possèdent une enzyme CYP2C19 non fonctionnelle. On parle dans ce cas de métaboliseurs lents. Chez ce groupe de patients, le métabolisme de l'ésoméprazole est essentiellement catalysé par le CYP3A4. Après administration répétée d'ésoméprazole 40 mg une fois par jour, l'AUC moyenne était augmentée de 35% à 65% chez les métaboliseurs lents par rapport aux métaboliseurs rapides. Les concentrations plasmatiques maximales moyennes étaient augmentées d'environ 60%.
  • +Ésoméprazole: environ 3% de la population possèdent une enzyme CYP2C19 non fonctionnelle. On parle dans ce cas de métaboliseurs lents. Chez ce groupe de patients, le métabolisme de l'ésoméprazole est essentiellement catalysé par le CYP3A4. Après administration répétée d'ésoméprazole 40 mg une fois par jour, l'ASC moyenne était augmentée de 35% à 65% chez les métaboliseurs lents par rapport aux métaboliseurs rapides. Les concentrations plasmatiques maximales moyennes étaient augmentées d'environ 60%.
  • -Après administration d'une dose unique de 40 mg d'ésoméprazole, l'AUC moyenne est supérieure d'environ 30% chez les femmes comparativement aux hommes. Toutefois, après administrations répétées une fois par jour, plus aucune différence n'a été observée. Ces observations sont sans conséquence sur la posologie de Vimovo.
  • +Après administration d'une dose unique de 40 mg d'ésoméprazole, l'ASC moyenne est supérieure d'environ 30% chez les femmes comparativement aux hommes. Toutefois, après administrations répétées une fois par jour, plus aucune différence n'a été observée. Ces observations sont sans conséquence sur la posologie de Vimovo.
  • -Les études comparatives précliniques, basées sur des études classiques de toxicité avec administrations répétées, de génotoxicité et de toxicité sur la reproduction, n'ont révélé aucun risque particulier chez l'homme. Une hyperplasie des cellules ECL et des tumeurs carcinoïdes ont été observées dans les études de carcinogénicité chez le rat traité avec le mélange racémique. Ces modifications sont le résultat d'une hypergastrinémie prononcée et prolongée due à la réduction de la sécrétion gastrique acide en raison du traitement prolongé par des inhibiteurs de la sécrétion acide.
  • +Les études comparatives précliniques, basées sur des études classiques de toxicité avec administrations répétées, de génotoxicité et de toxicité sur la reproduction, n'ont révélé aucun risque particulier chez l'humain. Une hyperplasie des cellules ECL et des tumeurs carcinoïdes ont été observées dans les études de carcinogénicité chez le rat traité avec le mélange racémique. Ces modifications sont le résultat d'une hypergastrinémie prononcée et prolongée due à la réduction de la sécrétion gastrique acide en raison du traitement prolongé par des inhibiteurs de la sécrétion acide.
  • -Conserver le flacon (avec déshydratant intégré dans le bouchon) fermé afin de le protéger de l'humidité.
  • -Les flacons contiennent deux sachets avec gel de silice comme l'absorbeur d'humidité. Ces sachets ne doivent pas être avalés.
  • +Conserver le flacon correctement fermé afin de le protéger de l'humidité.
  • +Les flacons de 30 et 60 comprimés pelliculés contiennent soit un agent déshydratant intégré dans le bouchon (flacon rond), soit deux sachets avec gel de silice comme absorbeur d'humidité (flacon rectangulaire). Ces sachets ne sont pas destinés à être ingérés.
  • -Vimovo 500 mg/20 mg: 30 et 60 comprimés pelliculés (récipient en matière plastique avec dessicant) [B]
  • +Vimovo 500 mg/20 mg: 30 et 60 comprimés pelliculés (récipient en matière plastique avec agent dessicant) [B]
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