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Accueil - Information professionnelle sur Mirtazap-Mepha 30 - Changements - 04.03.2020
80 Changements de l'information professionelle Mirtazap-Mepha 30
  • -·pour le traitement dentretien après une rémission dun épisode dépressif unipolaire obtenue sous traitement aigu par Mirtazap-Mepha, pendant une durée de 4 à 6 mois selon les recommandations thérapeutiques actuelles concernant les dépressions. Dans cette situation, il faut régulièrement évaluer le rapport bénéfice/risque.
  • -En cas de dépression unipolaire récidivante répondant initialement au traitement par la mirtazapine, on a constaté une persistance de lefficacité pendant une durée allant jusquà un an de traitement. Il faut régulièrement vérifier le rapport bénéfice/risque et tenir compte du fait quil existe aussi dautres moyens de prévenir les récidives des épisodes dépressifs unipolaires.
  • +·pour le traitement d'entretien après une rémission d'un épisode dépressif unipolaire obtenue sous traitement aigu par Mirtazap-Mepha, pendant une durée de 4 à 6 mois selon les recommandations thérapeutiques actuelles concernant les dépressions. Dans cette situation, il faut régulièrement évaluer le rapport bénéfice/risque.
  • +En cas de dépression unipolaire récidivante répondant initialement au traitement par la mirtazapine, on a constaté une persistance de l'efficacité pendant une durée allant jusqu'à un an de traitement. Il faut régulièrement vérifier le rapport bénéfice/risque et tenir compte du fait qu'il existe aussi d'autres moyens de prévenir les récidives des épisodes dépressifs unipolaires.
  • -La dose efficace journalière est habituellement comprise entre 15 et 45 mg. La dose initiale est de 15 ou 30 mg. En règle générale, leffet de la mirtazapine apparaît au bout de 1 à 2 semaines de traitement. Si la posologie est adéquate, le traitement doit donner un effet favorable au bout de 2 à 4 semaines. Si la réponse est insuffisante, il est possible daugmenter la dose jusquà la dose maximale. En labsence de réponse au cours des 2 à 4 semaines suivantes, le traitement doit être interrompu.
  • -Il est recommandé de poursuivre le traitement jusquà ce que le patient soit resté totalement asymptomatique pendant 6 mois. On peut alors diminuer le traitement progressivement.
  • +La dose efficace journalière est habituellement comprise entre 15 et 45 mg. La dose initiale est de 15 ou 30 mg. En règle générale, l'effet de la mirtazapine apparaît au bout de 1 à 2 semaines de traitement. Si la posologie est adéquate, le traitement doit donner un effet favorable au bout de 2 à 4 semaines. Si la réponse est insuffisante, il est possible d'augmenter la dose jusqu'à la dose maximale. En l'absence de réponse au cours des 2 à 4 semaines suivantes, le traitement doit être interrompu.
  • +Il est recommandé de poursuivre le traitement jusqu'à ce que le patient soit resté totalement asymptomatique pendant 6 mois. On peut alors diminuer le traitement progressivement.
  • -La posologie recommandée est la même que chez ladulte. Chez les patients âgés, toute augmentation de posologie impose une surveillance particulière pour obtenir une réponse clinique satisfaisante et sans danger.
  • +La posologie recommandée est la même que chez l'adulte. Chez les patients âgés, toute augmentation de posologie impose une surveillance particulière pour obtenir une réponse clinique satisfaisante et sans danger.
  • -Mirtazap-Mepha ne doit pas être utilisé chez lenfant et ladolescent de moins de 18 ans (voir aussi «Mises en garde et précautions»), étant donné que lefficacité na pas été démontrée dans deux études cliniques à court terme et que des réserves existent quant à la sécurité (voir «Mises en garde et précautions», «Effets indésirables» et «Propriétés/Effets»).
  • -Patients atteints dinsuffisance rénale
  • -La clairance de la mirtazapine peut être altérée chez les patients atteints dune insuffisance rénale modérée à sévère (clairance de la créatinine <40 ml/min). Ceci est à prendre en compte lors de la prescription de Mirtazap-Mepha (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Patients atteints dinsuffisance hépatique
  • -La clairance de la mirtazapine peut être altérée chez les patients atteints dinsuffisance hépatique. Ceci doit être pris en compte lors de la prescription de Mirtazap-Mepha, en particulier chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère car ces derniers nont pas fait lobjet détudes spécifiques (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -La demi-vie délimination de la mirtazapine étant de 20 à 40 heures, Mirtazap-Mepha peut être administré en une prise unique. Il doit être pris de préférence le soir au coucher. Mirtazap-Mepha peut également être administré en deux prises (une le matin et une au coucher, la dose la plus importante devant être prise au coucher).
  • -Les patients présentant une dépression doivent être traités pendant une période suffisante dau moins 6 mois pour assurer la disparition complète des symptômes.
  • -Il est recommandé darrêter le traitement par mirtazapine progressivement afin déviter les symptômes de sevrage (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • -Conduite à tenir en cas doubli de la prise des comprimés pelliculés
  • +Mirtazap-Mepha ne doit pas être utilisé chez l'enfant et l'adolescent de moins de 18 ans (voir aussi «Mises en garde et précautions»), étant donné que l'efficacité n'a pas été démontrée dans deux études cliniques à court terme et que des réserves existent quant à la sécurité (voir «Mises en garde et précautions», «Effets indésirables» et «Propriétés/Effets»).
  • +Patients atteints d'insuffisance rénale
  • +La clairance de la mirtazapine peut être altérée chez les patients atteints d'une insuffisance rénale modérée à sévère (clairance de la créatinine <40 ml/min). Ceci est à prendre en compte lors de la prescription de Mirtazap-Mepha (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Patients atteints d'insuffisance hépatique
  • +La clairance de la mirtazapine peut être altérée chez les patients atteints d'insuffisance hépatique. Ceci doit être pris en compte lors de la prescription de Mirtazap-Mepha, en particulier chez les patients présentant une insuffisance hépatique sévère car ces derniers n'ont pas fait l'objet d'études spécifiques (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +La demi-vie d'élimination de la mirtazapine étant de 20 à 40 heures, Mirtazap-Mepha peut être administré en une prise unique. Il doit être pris de préférence le soir au coucher. Mirtazap-Mepha peut également être administré en deux prises (une le matin et une au coucher, la dose la plus importante devant être prise au coucher).
  • +Les patients présentant une dépression doivent être traités pendant une période suffisante d'au moins 6 mois pour assurer la disparition complète des symptômes.
  • +Il est recommandé d'arrêter le traitement par mirtazapine progressivement afin d'éviter les symptômes de sevrage (voir aussi «Mises en garde et précautions»).
  • +Conduite à tenir en cas d'oubli de la prise des comprimés pelliculés
  • -Mode demploi
  • +Mode d'emploi
  • -Hypersensibilité au principe actif (mirtazapine) ou à lun des excipients.
  • -La mirtazapine ne doit pas être administrée en association avec des IMAO (y compris le linézolide, un antibiotique et inhibiteur non-sélectif et réversible de la monoamine oxydase), ni dans les deux semaines qui suivent larrêt dun traitement par IMAO. Inversement, il faut attendre au moins deux semaines entre larrêt dun traitement par mirtazapine et le début dun traitement par IMAO (cf. aussi «Interactions»).
  • +Hypersensibilité au principe actif (mirtazapine) ou à l'un des excipients.
  • +La mirtazapine ne doit pas être administrée en association avec des IMAO (y compris le linézolide, un antibiotique et inhibiteur non-sélectif et réversible de la monoamine oxydase), ni dans les deux semaines qui suivent l'arrêt d'un traitement par IMAO. Inversement, il faut attendre au moins deux semaines entre l'arrêt d'un traitement par mirtazapine et le début d'un traitement par IMAO (cf. aussi «Interactions»).
  • -Utilisation chez lenfant et ladolescent de moins de 18 ans
  • -Les enfants et les adolescents de moins de 18 ans ne doivent pas être traités par Mirtazap-Mepha. Des comportements de type suicidaire (tentatives de suicide et idées suicidaires) et de type hostile (principalement agressivité, comportement dopposition et colère) ont été plus fréquemment observés au cours des études cliniques chez les enfants et les adolescents traités par antidépresseurs par rapport à ceux traités par placebo. Si, en cas de nécessité clinique, la décision de traiter est néanmoins prise, le patient devra faire lobjet dune surveillance attentive pour détecter lapparition de symptômes suicidaires. De plus, on ne dispose daucune donnée de sécurité à long terme chez lenfant et ladolescent concernant la croissance, la maturation et le développement cognitif et comportemental.
  • +Utilisation chez l'enfant et l'adolescent de moins de 18 ans
  • +Les enfants et les adolescents de moins de 18 ans ne doivent pas être traités par Mirtazap-Mepha. Des comportements de type suicidaire (tentatives de suicide et idées suicidaires) et de type hostile (principalement agressivité, comportement d'opposition et colère) ont été plus fréquemment observés au cours des études cliniques chez les enfants et les adolescents traités par antidépresseurs par rapport à ceux traités par placebo. Si, en cas de nécessité clinique, la décision de traiter est néanmoins prise, le patient devra faire l'objet d'une surveillance attentive pour détecter l'apparition de symptômes suicidaires. De plus, on ne dispose d'aucune donnée de sécurité à long terme chez l'enfant et l'adolescent concernant la croissance, la maturation et le développement cognitif et comportemental.
  • -La dépression est associée à un risque accru didées suicidaires, dauto-agression et de suicide (comportement de type suicidaire). Ce risque persiste jusquà lobtention dune rémission significative. Lamélioration clinique pouvant ne pas survenir avant plusieurs semaines de traitement, les patients devront être surveillés étroitement jusquà obtention de cette amélioration. Lexpérience clinique montre que le risque suicidaire est maximal au début du rétablissement.
  • -Les patients ayant des antécédents de comportement de type suicidaire ou ceux exprimant des idées suicidaires significatives avant de débuter le traitement présentent un risque plus élevé didées suicidaires ou de tentative de suicide et doivent faire lobjet dune surveillance étroite pendant le traitement. Une méta-analyse dessais cliniques contrôlés contre placebo sur lutilisation dantidépresseurs chez ladulte présentant des troubles psychiatriques a montré une augmentation du risque de comportement de type suicidaire chez les patients de moins de 25 ans traités par antidépresseurs par rapport à ceux recevant un placebo.
  • -Une surveillance étroite des patients, et en particulier de ceux à haut risque, devra donc accompagner le traitement par antidépresseurs, particulièrement en début de traitement et lors des changements de dose. Les patients et leur entourage devront être avertis de la nécessité de surveiller la survenue dune aggravation clinique, lapparition didées ou de comportements suicidaires et tout changement inhabituel du comportement et de demander immédiatement un avis médical si ces symptômes survenaient.
  • +La dépression est associée à un risque accru d'idées suicidaires, d'auto-agression et de suicide (comportement de type suicidaire). Ce risque persiste jusqu'à l'obtention d'une rémission significative. L'amélioration clinique pouvant ne pas survenir avant plusieurs semaines de traitement, les patients devront être surveillés étroitement jusqu'à obtention de cette amélioration. L'expérience clinique montre que le risque suicidaire est maximal au début du rétablissement.
  • +Les patients ayant des antécédents de comportement de type suicidaire ou ceux exprimant des idées suicidaires significatives avant de débuter le traitement présentent un risque plus élevé d'idées suicidaires ou de tentative de suicide et doivent faire l'objet d'une surveillance étroite pendant le traitement. Une méta-analyse d'essais cliniques contrôlés contre placebo sur l'utilisation d'antidépresseurs chez l'adulte présentant des troubles psychiatriques a montré une augmentation du risque de comportement de type suicidaire chez les patients de moins de 25 ans traités par antidépresseurs par rapport à ceux recevant un placebo.
  • +Une surveillance étroite des patients, et en particulier de ceux à haut risque, devra donc accompagner le traitement par antidépresseurs, particulièrement en début de traitement et lors des changements de dose. Les patients et leur entourage devront être avertis de la nécessité de surveiller la survenue d'une aggravation clinique, l'apparition d'idées ou de comportements suicidaires et tout changement inhabituel du comportement et de demander immédiatement un avis médical si ces symptômes survenaient.
  • -Des cas daplasie médullaire, en général granulocytopénie ou agranulocytose, ont été rapportés au cours dun traitement par la mirtazapine. De rares cas dagranulocytose réversible ont été rapportés au cours détudes cliniques avec la mirtazapine. Depuis la commercialisation de la mirtazapine, de très rares cas dagranulocytose ont été rapportés, le plus souvent réversibles, mais parfois avec évolution fatale. Jusquici, les cas ayant entraîné le décès concernaient principalement des patients âgés de plus de 65 ans. Le médecin traitant doit être attentif à lapparition de symptômes tels que fièvre soudaine et élevée, inflammation de la gorge, stomatite ou autres signes dinfection; si de tels symptômes survenaient, le traitement doit être interrompu et la formule sanguine doit être contrôlée.
  • +Des cas d'aplasie médullaire, en général granulocytopénie ou agranulocytose, ont été rapportés au cours d'un traitement par la mirtazapine. De rares cas d'agranulocytose réversible ont été rapportés au cours d'études cliniques avec la mirtazapine. Depuis la commercialisation de la mirtazapine, de très rares cas d'agranulocytose ont été rapportés, le plus souvent réversibles, mais parfois avec évolution fatale. Jusqu'ici, les cas ayant entraîné le décès concernaient principalement des patients âgés de plus de 65 ans. Le médecin traitant doit être attentif à l'apparition de symptômes tels que fièvre soudaine et élevée, inflammation de la gorge, stomatite ou autres signes d'infection; si de tels symptômes survenaient, le traitement doit être interrompu et la formule sanguine doit être contrôlée.
  • -La survenue dun ictère impose larrêt du traitement.
  • +La survenue d'un ictère impose l'arrêt du traitement.
  • -Une adaptation posologique appropriée ainsi quune surveillance étroite et régulière sont nécessaires chez les patients présentant:
  • -·une épilepsie ou un syndrome cérébral organique: bien que lexpérience clinique montre que les crises épileptiques sont rares au cours dun traitement par la mirtazapine, comme les autres antidépresseurs, Mirtazap-Mepha doit être introduit avec prudence chez les patients présentant des antécédents de crises dépilepsie. Le traitement devra être arrêté chez tout patient développant des crises épileptiques ou présentant une augmentation de la fréquence des crises.
  • -·une insuffisance hépatique: après administration dune dose orale unique de 15 mg de mirtazapine, la clairance de la mirtazapine a diminué denviron 35% chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée, comparativement aux sujets dont la fonction hépatique était normale. La concentration plasmatique moyenne de mirtazapine a augmenté denviron 55%.
  • -·une insuffisance rénale: après administration dune dose orale unique de 15 mg de mirtazapine chez des patients atteints dinsuffisance rénale modérée (10 ml/min ≤ clairance de la créatinine <40 ml/min) et sévère (clairance de la créatinine <10 ml/min), la clairance de la mirtazapine a diminué respectivement de 30% et 50%, comparativement aux sujets sains. Les concentrations plasmatiques moyennes de mirtazapine ont respectivement augmenté denviron 55% et 115%. Aucune différence significative nest apparue entre les patients atteints dinsuffisance rénale légère (40 ml/min ≤ clairance de la créatinine <80 ml/min) et le groupe témoin.
  • +Une adaptation posologique appropriée ainsi qu'une surveillance étroite et régulière sont nécessaires chez les patients présentant:
  • +·une épilepsie ou un syndrome cérébral organique: bien que l'expérience clinique montre que les crises épileptiques sont rares au cours d'un traitement par la mirtazapine, comme les autres antidépresseurs, Mirtazap-Mepha doit être introduit avec prudence chez les patients présentant des antécédents de crises d'épilepsie. Le traitement devra être arrêté chez tout patient développant des crises épileptiques ou présentant une augmentation de la fréquence des crises.
  • +·une insuffisance hépatique: après administration d'une dose orale unique de 15 mg de mirtazapine, la clairance de la mirtazapine a diminué d'environ 35% chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée, comparativement aux sujets dont la fonction hépatique était normale. La concentration plasmatique moyenne de mirtazapine a augmenté d'environ 55%.
  • +·une insuffisance rénale: après administration d'une dose orale unique de 15 mg de mirtazapine chez des patients atteints d'insuffisance rénale modérée (10 ml/min ≤ clairance de la créatinine <40 ml/min) et sévère (clairance de la créatinine <10 ml/min), la clairance de la mirtazapine a diminué respectivement de 30% et 50%, comparativement aux sujets sains. Les concentrations plasmatiques moyennes de mirtazapine ont respectivement augmenté d'environ 55% et 115%. Aucune différence significative n'est apparue entre les patients atteints d'insuffisance rénale légère (40 ml/min ≤ clairance de la créatinine <80 ml/min) et le groupe témoin.
  • -·un diabète: chez les patients diabétiques, les antidépresseurs peuvent altérer léquilibre glycémique. Une adaptation de la posologie de linsuline et/ou des hypoglycémiants oraux peut savérer nécessaire et une surveillance étroite est recommandée.
  • +·un diabète: chez les patients diabétiques, les antidépresseurs peuvent altérer l'équilibre glycémique. Une adaptation de la posologie de l'insuline et/ou des hypoglycémiants oraux peut s'avérer nécessaire et une surveillance étroite est recommandée.
  • -·Une aggravation des symptômes psychotiques peut survenir en cas dadministration dantidépresseurs à des patients atteints de schizophrénie ou dautres troubles psychotiques; les pensées paranoïdes peuvent être majorées.
  • -·Les patients doivent être étroitement surveillés concernant léventuel «switch» (virage en phase maniaque). Le traitement par mirtazapine doit être arrêté chez tout patient entrant dans une phase maniaque.
  • -·Bien que la mirtazapine nentraîne pas de dépendance, lexpérience depuis la commercialisation montre que larrêt brutal dun traitement au long cours peut parfois entraîner des symptômes de sevrage. La plupart des réactions de sevrage sont modérées et spontanément réversibles. Parmi les divers symptômes de sevrage rapportés, les plus fréquents sont: sensations vertigineuses, agitation, anxiété, céphalées et nausées. Bien que ces symptômes aient été rapportés comme étant des symptômes de sevrage, il est à noter quils peuvent être liés à la pathologie sous-jacente. Comme précisé à la rubrique «Posologie/Mode demploi», il est recommandé darrêter progressivement le traitement par mirtazapine.
  • -·Des précautions doivent être prises chez les patients présentant des troubles de la miction tels quune hypertrophie prostatique et chez les patients présentant un glaucome aigu à angle fermé ou une augmentation de la pression intraoculaire (bien quil y ait peu de risque avec la mirtazapine du fait de sa très faible activité anticholinergique).
  • -·Akathisie/agitation psychomotrice: lutilisation dantidépresseurs a été associée au développement dune akathisie, caractérisée par une agitation jugée désagréable ou pénible et un besoin de bouger souvent accompagné dune incapacité à rester assis ou debout sans bouger. Ces symptômes apparaissent le plus souvent au début du traitement. Une augmentation de la dose peut être préjudiciable chez les patients développant ces symptômes.
  • +·Une aggravation des symptômes psychotiques peut survenir en cas d'administration d'antidépresseurs à des patients atteints de schizophrénie ou d'autres troubles psychotiques; les pensées paranoïdes peuvent être majorées.
  • +·Les patients doivent être étroitement surveillés concernant l'éventuel «switch» (virage en phase maniaque). Le traitement par mirtazapine doit être arrêté chez tout patient entrant dans une phase maniaque.
  • +·Bien que la mirtazapine n'entraîne pas de dépendance, l'expérience depuis la commercialisation montre que l'arrêt brutal d'un traitement au long cours peut parfois entraîner des symptômes de sevrage. La plupart des réactions de sevrage sont modérées et spontanément réversibles. Parmi les divers symptômes de sevrage rapportés, les plus fréquents sont: sensations vertigineuses, agitation, anxiété, céphalées et nausées. Bien que ces symptômes aient été rapportés comme étant des symptômes de sevrage, il est à noter qu'ils peuvent être liés à la pathologie sous-jacente. Comme précisé à la rubrique «Posologie/Mode d'emploi», il est recommandé d'arrêter progressivement le traitement par mirtazapine.
  • +·Des précautions doivent être prises chez les patients présentant des troubles de la miction tels qu'une hypertrophie prostatique et chez les patients présentant un glaucome aigu à angle fermé ou une augmentation de la pression intraoculaire (bien qu'il y ait peu de risque avec la mirtazapine du fait de sa très faible activité anticholinergique).
  • +·Akathisie/agitation psychomotrice: l'utilisation d'antidépresseurs a été associée au développement d'une akathisie, caractérisée par une agitation jugée désagréable ou pénible et un besoin de bouger souvent accompagné d'une incapacité à rester assis ou debout sans bouger. Ces symptômes apparaissent le plus souvent au début du traitement. Une augmentation de la dose peut être préjudiciable chez les patients développant ces symptômes.
  • -Lhyponatrémie, probablement due à une sécrétion inappropriée dhormone antidiurétique (SIADH), a été très rarement rapportée sous mirtazapine. Des précautions doivent être prises chez les patients à risque comme les sujets âgés ou les patients déjà traités par des médicaments connus pour provoquer une hyponatrémie.
  • +L'hyponatrémie, probablement due à une sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique (SIADH), a été très rarement rapportée sous mirtazapine. Des précautions doivent être prises chez les patients à risque comme les sujets âgés ou les patients déjà traités par des médicaments connus pour provoquer une hyponatrémie.
  • -Interactions avec des substances à activité sérotoninergique: un syndrome sérotoninergique peut survenir lorsque des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) sont administrés en association avec dautres médicaments sérotoninergiques (voir aussi «Interactions»). Des symptômes possibles du syndrome sérotoninergique sont: hyperthermie, rigidité, myoclonies, instabilité du système nerveux autonome, avec possibilité de fluctuations rapides des constantes vitales, modifications de létat mental incluant confusion, irritabilité et agitation extrême allant jusquau délire et au coma. La prudence et une surveillance clinique plus étroite simposent si ces principes actifs sont utilisés en association avec la mirtazapine. Chez les patients subissant de telles manifestations, le traitement par Mirtazap-Mepha doit être arrêté et un traitement de soutien doit être instauré pour soulager les symptômes. Daprès lexpérience depuis la commercialisation, la survenue dun syndrome sérotoninergique est très rare chez les patients traités par la mirtazapine seul (voir aussi «Effets indésirables»).
  • +Interactions avec des substances à activité sérotoninergique: un syndrome sérotoninergique peut survenir lorsque des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (ISRS) sont administrés en association avec d'autres médicaments sérotoninergiques (voir aussi «Interactions»). Des symptômes possibles du syndrome sérotoninergique sont: hyperthermie, rigidité, myoclonies, instabilité du système nerveux autonome, avec possibilité de fluctuations rapides des constantes vitales, modifications de l'état mental incluant confusion, irritabilité et agitation extrême allant jusqu'au délire et au coma. La prudence et une surveillance clinique plus étroite s'imposent si ces principes actifs sont utilisés en association avec la mirtazapine. Chez les patients subissant de telles manifestations, le traitement par Mirtazap-Mepha doit être arrêté et un traitement de soutien doit être instauré pour soulager les symptômes. D'après l'expérience depuis la commercialisation, la survenue d'un syndrome sérotoninergique est très rare chez les patients traités par la mirtazapine seul (voir aussi «Effets indésirables»).
  • -Les sujets âgés sont souvent plus sensibles, en particulier en ce qui concerne les effets indésirables des antidépresseurs. Au cours des études cliniques avec la mirtazapine, les effets indésirables nont pas été rapportés plus fréquemment chez les sujets âgés que dans les autres groupes dâge.
  • +Les sujets âgés sont souvent plus sensibles, en particulier en ce qui concerne les effets indésirables des antidépresseurs. Au cours des études cliniques avec la mirtazapine, les effets indésirables n'ont pas été rapportés plus fréquemment chez les sujets âgés que dans les autres groupes d'âge.
  • -·Les inducteurs de la CYP3A4, comme la carbamazépine et la phénytoïne, entraînent un doublement de la clairance de la mirtazapine, ce qui cause une diminution moyenne des concentrations plasmatiques de mirtazapine de respectivement 60% et 45%. Quand la carbamazépine ou tout autre inducteur du métabolisme hépatique (comme la rifampicine) est ajouté au traitement par la mirtazapine, il peut être nécessaire daugmenter la dose de mirtazapine. Si le traitement par un tel médicament est arrêté, il peut savérer nécessaire de diminuer la dose de mirtazapine.
  • -·Ladministration concomitante de kétoconazole, un puissant inhibiteur de la CYP3A4, provoque une augmentation de 40% du taux plasmatique de mirtazapine et une augmentation de 50% de lASC.
  • -·Lorsque la cimétidine (faible inhibiteur de la CYP1A2, CYP2D6 et CYP3A4) est administrée avec la mirtazapine, les concentrations plasmatiques moyennes de mirtazapine peuvent être augmentées de plus de 50%. Des précautions doivent être prises et il est éventuellement nécessaire de réduire la dose lors de ladministration concomitante de mirtazapine avec des inhibiteurs puissants de la CYP3A4, des inhibiteurs de protéase du VIH, des antifongiques azolés, lérythromycine, la cimétidine ou la néfazodone.
  • -·Les études dinteractions nont mis en évidence aucun effet pharmacocinétique pertinent en cas de traitement associant la mirtazapine à la paroxétine, lamitriptyline, la rispéridone ou le lithium.
  • +·Les inducteurs de la CYP3A4, comme la carbamazépine et la phénytoïne, entraînent un doublement de la clairance de la mirtazapine, ce qui cause une diminution moyenne des concentrations plasmatiques de mirtazapine de respectivement 60% et 45%. Quand la carbamazépine ou tout autre inducteur du métabolisme hépatique (comme la rifampicine) est ajouté au traitement par la mirtazapine, il peut être nécessaire d'augmenter la dose de mirtazapine. Si le traitement par un tel médicament est arrêté, il peut s'avérer nécessaire de diminuer la dose de mirtazapine.
  • +·L'administration concomitante de kétoconazole, un puissant inhibiteur de la CYP3A4, provoque une augmentation de 40% du taux plasmatique de mirtazapine et une augmentation de 50% de l'ASC.
  • +·Lorsque la cimétidine (faible inhibiteur de la CYP1A2, CYP2D6 et CYP3A4) est administrée avec la mirtazapine, les concentrations plasmatiques moyennes de mirtazapine peuvent être augmentées de plus de 50%. Des précautions doivent être prises et il est éventuellement nécessaire de réduire la dose lors de l'administration concomitante de mirtazapine avec des inhibiteurs puissants de la CYP3A4, des inhibiteurs de protéase du VIH, des antifongiques azolés, l'érythromycine, la cimétidine ou la néfazodone.
  • +·Les études d'interactions n'ont mis en évidence aucun effet pharmacocinétique pertinent en cas de traitement associant la mirtazapine à la paroxétine, l'amitriptyline, la rispéridone ou le lithium.
  • -·La mirtazapine ne doit pas être administrée en association avec des IMAO (y compris le linézolide, un antibiotique et inhibiteur non-sélectif et réversible, de la monoamine oxydase), ni dans les deux semaines qui suivent larrêt dun traitement par IMAO. Inversement, il faut attendre environ deux semaines entre larrêt dun traitement par mirtazapine et le début dun traitement par IMAO (cf. aussi «Contre-indications»).
  • -·De plus, comme avec les ISRS, ladministration concomitante dautres substances sérotoninergiques (L-tryptophane, triptans, tramadol, bleu de méthylène, lithium, ISRS, venlafaxine, préparations à base de millepertuis – Hypericum perforatum) peut entraîner lapparition deffets liés à la sérotonine (syndrome sérotoninergique: voir rubrique «Effets indésirables»).
  • -·La mirtazapine peut accentuer leffet sédatif des benzodiazépines ou dautres sédatifs (notamment la plupart des antipsychotiques, les antihistaminiques H1 et les opiacés); la prudence simpose lors de ladministration concomitante de tels médicaments et de la mirtazapine.
  • -·La mirtazapine peut accentuer leffet sédatif nerveux central de lalcool; les patients doivent donc renoncer à la consommation de boissons alcoolisées pendant le traitement par mirtazapine.
  • -·Lors de ladministration dune dose quotidienne de 30 mg de mirtazapine, on a constaté une augmentation statistiquement significative de lINR (International-Normalised-Ratio) chez des patients traités simultanément par la warfarine. Étant donné quune majoration de cet effet à des doses plus fortes de mirtazapine ne peut pas être exclue, il faut surveiller lINR en cas dadministration concomitante de warfarine et de mirtazapine.
  • +·La mirtazapine ne doit pas être administrée en association avec des IMAO (y compris le linézolide, un antibiotique et inhibiteur non-sélectif et réversible, de la monoamine oxydase), ni dans les deux semaines qui suivent l'arrêt d'un traitement par IMAO. Inversement, il faut attendre environ deux semaines entre l'arrêt d'un traitement par mirtazapine et le début d'un traitement par IMAO (cf. aussi «Contre-indications»).
  • +·De plus, comme avec les ISRS, l'administration concomitante d'autres substances sérotoninergiques (L-tryptophane, triptans, tramadol, bleu de méthylène, lithium, ISRS, venlafaxine, préparations à base de millepertuis – Hypericum perforatum) peut entraîner l'apparition d'effets liés à la sérotonine (syndrome sérotoninergique: voir rubrique «Effets indésirables»).
  • +·La mirtazapine peut accentuer l'effet sédatif des benzodiazépines ou d'autres sédatifs (notamment la plupart des antipsychotiques, les antihistaminiques H1 et les opiacés); la prudence s'impose lors de l'administration concomitante de tels médicaments et de la mirtazapine.
  • +·La mirtazapine peut accentuer l'effet sédatif nerveux central de l'alcool; les patients doivent donc renoncer à la consommation de boissons alcoolisées pendant le traitement par mirtazapine.
  • +·Lors de l'administration d'une dose quotidienne de 30 mg de mirtazapine, on a constaté une augmentation statistiquement significative de l'INR (International-Normalised-Ratio) chez des patients traités simultanément par la warfarine. Étant donné qu'une majoration de cet effet à des doses plus fortes de mirtazapine ne peut pas être exclue, il faut surveiller l'INR en cas d'administration concomitante de warfarine et de mirtazapine.
  • -Grossesse, allaitement
  • -Concernant lutilisation de la mirtazapine chez la femme enceinte, il nexiste aucune donnée issue détudes cliniques contrôlées. Les données limitées concernant lutilisation de la mirtazapine chez la femme enceinte ne montrent pas daugmentation du risque de malformations congénitales. Des études effectuées chez lanimal nont pas mis en évidence deffet tératogène cliniquement significatif, cependant une toxicité sur le développement a été observée (voir «Données précliniques»). La mirtazapine ne sera prescrite quavec prudence chez la femme enceinte. Si Mirtazap-Mepha est utilisé jusquà laccouchement ou peu avant, une surveillance post-natale du nouveau-né est recommandée afin de rechercher de possibles réactions de sevrage. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception adéquate pendant le traitement par Mirtazap-Mepha.
  • -Les études chez lanimal et des données limitées chez lhomme ont montré que la mirtazapine nétait excrétée dans le lait maternel quen très faibles quantités. Si un traitement par Mirtazap-Mepha savère nécessaire pendant lallaitement, il faut arrêter ce dernier.
  • +Grossesse/Allaitement
  • +Concernant l'utilisation de la mirtazapine chez la femme enceinte, il n'existe aucune donnée issue d'études cliniques contrôlées. Les données limitées concernant l'utilisation de la mirtazapine chez la femme enceinte ne montrent pas d'augmentation du risque de malformations congénitales. Des études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène cliniquement significatif, cependant une toxicité sur le développement a été observée (voir «Données précliniques»). La mirtazapine ne sera prescrite qu'avec prudence chez la femme enceinte. Si Mirtazap-Mepha est utilisé jusqu'à l'accouchement ou peu avant, une surveillance post-natale du nouveau-né est recommandée afin de rechercher de possibles réactions de sevrage. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser une contraception adéquate pendant le traitement par Mirtazap-Mepha.
  • +Les études chez l'animal et des données limitées chez l'homme ont montré que la mirtazapine n'était excrétée dans le lait maternel qu'en très faibles quantités. Si un traitement par Mirtazap-Mepha s'avère nécessaire pendant l'allaitement, il faut arrêter ce dernier.
  • -Mirtazap-Mepha peut perturber la capacité de concentration et lattention (en particulier en début de traitement).
  • -Les patients traités par des antidépresseurs doivent dans tous les cas éviter les activités potentiellement dangereuses qui exigent une bonne vigilance et une bonne concentration, comme par exemple la conduite dun véhicule ou lutilisation de machines.
  • +Mirtazap-Mepha peut perturber la capacité de concentration et l'attention (en particulier en début de traitement).
  • +Les patients traités par des antidépresseurs doivent dans tous les cas éviter les activités potentiellement dangereuses qui exigent une bonne vigilance et une bonne concentration, comme par exemple la conduite d'un véhicule ou l'utilisation de machines.
  • -Les patients dépressifs présentent des symptômes qui sont liés à la maladie elle-même. Cest pourquoi il est parfois difficile de déterminer si les symptômes sont imputables à la maladie elle-même ou au traitement par la mirtazapine.
  • -Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés, survenant chez plus de 5% des patients traités par la mirtazapine au cours détudes randomisées contrôlées versus placebo (voir ci-dessous) incluent somnolence, sédation, sécheresse buccale, prise de poids, augmentation de lappétit, étourdissement et fatigue.
  • -Tous les essais randomisés versus placebo menés chez des patients (y compris dans des indications autres que les dépressions) ont évalué les effets indésirables de la mirtazapine. La méta-analyse comporte 20 essais portant sur une durée prévue de traitement allant jusquà 12 semaines et incluant 1501 patients (134 années-patients) recevant des doses de mirtazapine allant jusquà 60 mg, et 850 patients (79 années-patients) recevant un placebo. Les phases dextension de ces essais ont été exclues de lanalyse afin dassurer la comparabilité avec le traitement par placebo.
  • -La liste ci-dessous présente lincidence des effets indésirables survenus dans les essais cliniques avec une fréquence statistiquement significativement plus élevée sous mirtazapine que sous placebo, ainsi que les effets indésirables spontanément rapportés. Pour les effets indésirables spontanément rapportés et non observés au cours des essais cliniques randomisés contrôlés par placebo, la mention «inconnue» a été inscrite pour la fréquence.
  • +Les patients dépressifs présentent des symptômes qui sont liés à la maladie elle-même. C'est pourquoi il est parfois difficile de déterminer si les symptômes sont imputables à la maladie elle-même ou au traitement par la mirtazapine.
  • +Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés, survenant chez plus de 5% des patients traités par la mirtazapine au cours d'études randomisées contrôlées versus placebo (voir ci-dessous) incluent somnolence, sédation, sécheresse buccale, prise de poids, augmentation de l'appétit, étourdissement et fatigue.
  • +Tous les essais randomisés versus placebo menés chez des patients (y compris dans des indications autres que les dépressions) ont évalué les effets indésirables de la mirtazapine. La méta-analyse comporte 20 essais portant sur une durée prévue de traitement allant jusqu'à 12 semaines et incluant 1501 patients (134 années-patients) recevant des doses de mirtazapine allant jusqu'à 60 mg, et 850 patients (79 années-patients) recevant un placebo. Les phases d'extension de ces essais ont été exclues de l'analyse afin d'assurer la comparabilité avec le traitement par placebo.
  • +La liste ci-dessous présente l'incidence des effets indésirables survenus dans les essais cliniques avec une fréquence statistiquement significativement plus élevée sous mirtazapine que sous placebo, ainsi que les effets indésirables spontanément rapportés. Pour les effets indésirables spontanément rapportés et non observés au cours des essais cliniques randomisés contrôlés par placebo, la mention «inconnue» a été inscrite pour la fréquence.
  • -Fréquence inconnue: Sécrétion inappropriée dhormone antidiurétique (ADH), hyperprolactinémie (et symptômes apparentés tels que galactorrhée et gynécomastie).
  • +Fréquence inconnue: Sécrétion inappropriée d'hormone antidiurétique (ADH), hyperprolactinémie (et symptômes apparentés tels que galactorrhée et gynécomastie).
  • -Très fréquents: Prise de poids¹ (11,6%), augmentation de lappétit¹ (11,1%).
  • +Très fréquents: Prise de poids¹ (11,6%), augmentation de l'appétit¹ (11,1%).
  • -Fréquence inconnue: Arythmies, allongement de lintervalle QT à lélectrocardiogramme,
  • -torsade de pointes7​.
  • +Fréquence inconnue: Arythmies, allongement de l'intervalle QT à l'électrocardiogramme, torsade de pointes7​.
  • -Affections gastrointestinales
  • +Affections gastro-intestinales
  • -¹ Au cours des essais cliniques, ces évènements sont survenus avec une fréquence statistiquement significativement plus élevée au cours du traitement par la mirtazapine quavec le placebo.
  • -² Au cours des essais cliniques, ces évènements sont survenus plus fréquemment pendant le traitement par le placebo quavec la mirtazapine, mais sans différence statistiquement significative.
  • -³ Au cours des essais cliniques, ces évènements sont survenus avec une fréquence statistiquement significativement plus élevée au cours du traitement par le placebo quavec la mirtazapine.
  • -4 Une diminution de la dose nentraîne généralement pas une réduction de la somnolence/sédation, mais peut compromettre lefficacité antidépressive.
  • -5 Au cours dun traitement par antidépresseur en général, une anxiété et une insomnie (qui peuvent être également des symptômes de la dépression) peuvent apparaître ou saggraver. Des cas de développement ou daggravation de lanxiété et des insomnies ont été rapportés sous traitement par mirtazapine.
  • -6 Des cas didées et de comportements suicidaires ont été rapportés pendant le traitement par mirtazapine, ou peu après son arrêt (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • -7 La majorité de ces rapports étaient liés à un surdosage ou concernaient des patients qui présentaient dautres facteurs de risque dallongement du QT ou de torsade de pointes, tels que prise concomitante de médicaments qui allongent le QTc ou présence de pathologies cardio-vasculaires (voir les rubriques «Mises en garde et précautions», «Interactions» et «Surdosage»).
  • -Les analyses de laboratoire effectuées au cours des essais cliniques ont montré des élévations transitoires des transaminases et des gamma-glutamyl-transférases (cependant, aucune augmentation de fréquence statistiquement significative des effets indésirables associés à ces élévations na été rapportée sous la mirtazapine comparativement au placebo).
  • +¹ Au cours des essais cliniques, ces évènements sont survenus avec une fréquence statistiquement significativement plus élevée au cours du traitement par la mirtazapine qu'avec le placebo.
  • +² Au cours des essais cliniques, ces évènements sont survenus plus fréquemment pendant le traitement par le placebo qu'avec la mirtazapine, mais sans différence statistiquement significative.
  • +³ Au cours des essais cliniques, ces évènements sont survenus avec une fréquence statistiquement significativement plus élevée au cours du traitement par le placebo qu'avec la mirtazapine.
  • +4 Une diminution de la dose n'entraîne généralement pas une réduction de la somnolence/sédation, mais peut compromettre l'efficacité antidépressive.
  • +5 Au cours d'un traitement par antidépresseur en général, une anxiété et une insomnie (qui peuvent être également des symptômes de la dépression) peuvent apparaître ou s'aggraver. Des cas de développement ou d'aggravation de l'anxiété et des insomnies ont été rapportés sous traitement par mirtazapine.
  • +6 Des cas d'idées et de comportements suicidaires ont été rapportés pendant le traitement par mirtazapine, ou peu après son arrêt (voir rubrique «Mises en garde et précautions»).
  • +7 La majorité de ces rapports étaient liés à un surdosage ou concernaient des patients qui présentaient d'autres facteurs de risque d'allongement du QT ou de torsade de pointes, tels que prise concomitante de médicaments qui allongent le QTc ou présence de pathologies cardio-vasculaires (voir les rubriques «Mises en garde et précautions», «Interactions» et «Surdosage»).
  • +Les analyses de laboratoire effectuées au cours des essais cliniques ont montré des élévations transitoires des transaminases et des gamma-glutamyl-transférases (cependant, aucune augmentation de fréquence statistiquement significative des effets indésirables associés à ces élévations n'a été rapportée sous la mirtazapine comparativement au placebo).
  • -Le profil des effets indésirables de la mirtazapine chez les enfants et adolescents de 7 à 18 ans était globalement similaire à celui chez les adultes. Les effets indésirables suivants ont été observés fréquemment ou très fréquemment chez les enfants dans les études cliniques: prise de poids (48,8 % sous mirtazapine vs 5,7 % sous placebo), urticaire (11,8 % sous mirtazapine vs 6,8 % sous placebo) et hypertriglycéridémie (2,9 % sous mirtazapine vs 0 % sous placebo).
  • +Le profil des effets indésirables de la mirtazapine chez les enfants et adolescents de 7 à 18 ans était globalement similaire à celui chez les adultes. Les effets indésirables suivants ont été observés fréquemment ou très fréquemment chez les enfants dans les études cliniques: prise de poids (48,8% sous mirtazapine vs 5,7% sous placebo), urticaire (11,8% sous mirtazapine vs 6,8% sous placebo) et hypertriglycéridémie (2,9% sous mirtazapine vs 0% sous placebo).
  • -Lannonce deffets secondaires présumés après lautorisation est dune grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion deffet secondaire nouveau ou grave via le portail dannonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • +L'annonce d'effets secondaires présumés après l'autorisation est d'une grande importance. Elle permet un suivi continu du rapport bénéfice-risque du médicament. Les professionnels de santé sont tenus de déclarer toute suspicion d'effet secondaire nouveau ou grave via le portail d'annonce en ligne ElViS (Electronic Vigilance System). Vous trouverez des informations à ce sujet sur www.swissmedic.ch.
  • -Lexpérience acquise à ce jour à propos du surdosage de mirtazapine seul permet de conclure que les symptômes sont généralement légers. On a signalé une dépression du système nerveux central, avec désorientation et sédation prolongée, saccompagnant dune tachycardie et dune légère hypertension ou hypotension.
  • -Cependant, des conséquences graves (y compris mortelles) sont également possibles après la prise de doses très largement supérieures aux doses thérapeutiques (surtout en cas de surdosage de plusieurs médicaments). Dans de tels cas, des allongements du QT et des torsades de pointes ont également été rapportés. En cas de surdosage, réaliser un lavage destomac et instaurer un traitement symptomatique pour soutenir les fonctions vitales. Les patients doivent être soumis à une surveillance par ECG. Lutilisation de charbon activé peut être envisagée.
  • +L'expérience acquise à ce jour à propos du surdosage de mirtazapine seul permet de conclure que les symptômes sont généralement légers. On a signalé une dépression du système nerveux central, avec désorientation et sédation prolongée, s'accompagnant d'une tachycardie et d'une légère hypertension ou hypotension.
  • +Cependant, des conséquences graves (y compris mortelles) sont également possibles après la prise de doses très largement supérieures aux doses thérapeutiques (surtout en cas de surdosage de plusieurs médicaments). Dans de tels cas, des allongements du QT et des torsades de pointes ont également été rapportés. En cas de surdosage, réaliser un lavage d'estomac et instaurer un traitement symptomatique pour soutenir les fonctions vitales. Les patients doivent être soumis à une surveillance par ECG. L'utilisation de charbon activé peut être envisagée.
  • -Mécanisme daction/ Pharmacodynamique
  • -La mirtazapine est un antagoniste central des récepteurs α2 présynaptiques, qui augmente la transmission noradrénergique et sérotoninergique centrale. Les récepteurs 5-HT1 sont les médiateurs spécifiques de laugmentation de lactivité de la sérotonine, car la mirtazapine bloque les récepteurs 5-HT2 et 5-HT3. On suppose que les deux énantiomères de la mirtazapine contribuent à son effet antidépresseur: lénantiomère S(+) en bloquant les récepteurs α2 et 5-HT2 et lénantiomère R(-) en bloquant les récepteurs 5-HT3.
  • -Leffet antagoniste de la mirtazapine sur les récepteurs H1 de lhistamine explique ses propriétés sédatives.
  • +Mécanisme d'action/Pharmacodynamique
  • +La mirtazapine est un antagoniste central des récepteurs α2 présynaptiques, qui augmente la transmission noradrénergique et sérotoninergique centrale. Les récepteurs 5-HT1 sont les médiateurs spécifiques de l'augmentation de l'activité de la sérotonine, car la mirtazapine bloque les récepteurs 5-HT2 et 5-HT3. On suppose que les deux énantiomères de la mirtazapine contribuent à son effet antidépresseur: l'énantiomère S(+) en bloquant les récepteurs α2 et 5-HT2 et l'énantiomère R(-) en bloquant les récepteurs 5-HT3.
  • +L'effet antagoniste de la mirtazapine sur les récepteurs H1 de l'histamine explique ses propriétés sédatives.
  • -La mirtazapine na pratiquement pas dactivité anticholinergique et nexerce aux doses thérapeutiques que des effets limités (p. ex. hypotension orthostatique) sur le système cardio-vasculaire.
  • +La mirtazapine n'a pratiquement pas d'activité anticholinergique et n'exerce aux doses thérapeutiques que des effets limités (p.ex. hypotension orthostatique) sur le système cardio-vasculaire.
  • -Après ladministration orale de comprimés pelliculés de mirtazapine, le principe actif (mirtazapine) est rapidement et bien absorbé. La biodisponibilité absolue est de 50% et les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes en lespace de 2 heures.
  • -La consommation daliments ne modifie pas la pharmacocinétique de la mirtazapine.
  • +Après l'administration orale de comprimés pelliculés de mirtazapine, le principe actif (mirtazapine) est rapidement et bien absorbé. La biodisponibilité absolue est de 50% et les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes en l'espace de 2 heures.
  • +La consommation d'aliments ne modifie pas la pharmacocinétique de la mirtazapine.
  • -Le taux de liaison aux protéines plasmatiques est denviron 85%.
  • +Le taux de liaison aux protéines plasmatiques est d'environ 85%.
  • -La mirtazapine est largement métabolisée. Sa biotransformation consiste essentiellement en une déméthylation et une oxydation, qui sont suivies dune conjugaison.
  • -Des études menées in vitro sur des microsomes de foie humain montrent que les enzymes CYP2D6 et CYP1A2 du cytochrome P 450 interviennent dans la formation du métabolite 8-hydroxy de la mirtazapine, tandis que lenzyme CYP3A4 est responsable de la formation des métabolites N-déméthylé et N-oxydé.
  • +La mirtazapine est largement métabolisée. Sa biotransformation consiste essentiellement en une déméthylation et une oxydation, qui sont suivies d'une conjugaison.
  • +Des études menées in vitro sur des microsomes de foie humain montrent que les enzymes CYP2D6 et CYP1A2 du cytochrome P 450 interviennent dans la formation du métabolite 8-hydroxy de la mirtazapine, tandis que l'enzyme CYP3A4 est responsable de la formation des métabolites N-déméthylé et N-oxydé.
  • -La mirtazapine est excrétée en lespace de quelques jours sous forme métabolisée, dans lurine et les selles. En moyenne, la demi-vie délimination est de 20 à 40 heures. On a parfois observé des demi-vies plus longues, pouvant aller jusquà 65 heures; des demi-vies plus courtes ont été constatées chez des hommes jeunes. La demi-vie délimination est suffisamment longue pour permettre une seule prise par jour. Létat déquilibre est atteint au bout de 3–4 jours, après quoi la mirtazapine ne saccumule plus. Dans la fourchette des doses recommandées, la pharmacocinétique de la mirtazapine est linéaire.
  • +La mirtazapine est excrétée en l'espace de quelques jours sous forme métabolisée, dans l'urine et les selles. En moyenne, la demi-vie d'élimination est de 20 à 40 heures. On a parfois observé des demi-vies plus longues, pouvant aller jusqu'à 65 heures; des demi-vies plus courtes ont été constatées chez des hommes jeunes. La demi-vie d'élimination est suffisamment longue pour permettre une seule prise par jour. L'état d'équilibre est atteint au bout de 3–4 jours, après quoi la mirtazapine ne s'accumule plus. Dans la fourchette des doses recommandées, la pharmacocinétique de la mirtazapine est linéaire.
  • -La clairance de la mirtazapine peut être diminuée en cas dinsuffisance rénale et hépatique et chez les patients âgés.
  • +La clairance de la mirtazapine peut être diminuée en cas d'insuffisance rénale et hépatique et chez les patients âgés.
  • -Les données précliniques issues des études conventionnelles de sécurité pharmacologique, de toxicologie en administration répétée, de carcinogenèse ou de génotoxicité, nont pas révélé de risque particulier pour lhomme.
  • -Dans des études de toxicité de la reproduction chez le rat et le lapin, aucun effet tératogène na été observé. Avec une exposition systémique correspondant à deux fois lexposition thérapeutique humaine maximale, on a constaté une augmentation des pertes post-implantatoires, une diminution du poids de naissance de la descendance et une réduction de la survie de cette dernière pendant les trois premiers jours de lactation chez le rat.
  • -La mirtazapine na fait preuve daucune génotoxicité dans une série détudes concernant les mutations génétiques et les lésions des chromosomes ou de lADN. Les études de cancérogénicité ont montré des tumeurs thyroïdiennes chez le rat et des néoplasies hépatiques chez la souris. Ces phénomènes sont spécifiques de ces espèces et constituent des réactions non-génotoxiques au traitement prolongé par des doses fortes dinducteurs des enzymes hépatiques.
  • +Les données précliniques issues des études conventionnelles de sécurité pharmacologique, de toxicologie en administration répétée, de carcinogenèse ou de génotoxicité, n'ont pas révélé de risque particulier pour l'homme.
  • +Dans des études de toxicité de la reproduction chez le rat et le lapin, aucun effet tératogène n'a été observé. Avec une exposition systémique correspondant à deux fois l'exposition thérapeutique humaine maximale, on a constaté une augmentation des pertes post-implantatoires, une diminution du poids de naissance de la descendance et une réduction de la survie de cette dernière pendant les trois premiers jours de lactation chez le rat.
  • +La mirtazapine n'a fait preuve d'aucune génotoxicité dans une série d'études concernant les mutations génétiques et les lésions des chromosomes ou de l'ADN. Les études de cancérogénicité ont montré des tumeurs thyroïdiennes chez le rat et des néoplasies hépatiques chez la souris. Ces phénomènes sont spécifiques de ces espèces et constituent des réactions non-génotoxiques au traitement prolongé par des doses fortes d'inducteurs des enzymes hépatiques.
  • -Les comprimés pelliculés sont ronds et brun-rouges (30 mg) ou blancs (45 mg). Sur une face, les comprimés pelliculés à 30 mg portent une rainure de sécabilité entre les marques «9» et «3», ce qui permet, au besoin, de les partager facilement en deux. Sur lautre face ils portent le code «7207». Les comprimés pelliculés à 45 mg portent sur une face le code «93» et sur lautre face le code «7208».
  • +Les comprimés pelliculés sont ronds et brun-rouges (30 mg) ou blancs (45 mg). Sur une face, les comprimés pelliculés à 30 mg portent une rainure de sécabilité entre les marques «9» et «3», ce qui permet, au besoin, de les partager facilement en deux. Sur l'autre face ils portent le code «7207». Les comprimés pelliculés à 45 mg portent sur une face le code «93» et sur l'autre face le code «7208».
  • -Conserver à température ambiante (15-25°C) et dans lemballage d'origine à labri de la lumière et de lhumidité.
  • +Conserver à température ambiante (15-25°C) et dans l'emballage d'origine à l'abri de la lumière et de l'humidité.
  • -Mirtazap-Mepha comprimés pelliculés à 45 mg (sécables) 30 (blancs) [B].
  • -Mirtazap-Mepha comprimés pelliculés à 45 mg (sécables) 100 (blancs) [B].
  • +Mirtazap-Mepha comprimés pelliculés à 45 mg 30 (blancs) [B].
  • +Mirtazap-Mepha comprimés pelliculés à 45 mg 100 (blancs) [B].
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