ch.oddb.org
 
Apotheken | Hôpital | Interactions | LiMA | Médecin | Médicaments | Services | T. de l'Autorisation
Accueil - Information professionnelle sur Mirtazapin Streuli 30 mg - Changements - 12.09.2018
57 Changements de l'information professionelle Mirtazapin Streuli 30 mg
  • +Les comprimés filmés sont ovales, biconvexes et colorée brunâtre (30 mg) resp. blancs (45 mg).
  • +Les comprimés filmés portent sur une face la mention «I».
  • +Les comprimés filmés à 30 mg portent une rainure de sécabilité, ce qui facilite leur fractionnement en deux moitiés, au besoin.
  • -·Pour le traitement aigu des épisodes dépressifs unipolaires.
  • -·Pour le traitement d'entretien après une rémission d'un épisode dépressif unipolaire obtenue sous traitement aigu par Mirtazapine Streuli, pendant une durée de 4 à 6 mois selon les recommandations thérapeutiques actuelles concernant les dépressions. Dans cette situation, il faut régulièrement évaluer le rapport bénéfice/risque.
  • +·pour le traitement aigu des épisodes dépressifs unipolaires.
  • +·pour le traitement d'entretien après une rémission d'un épisode dépressif unipolaire obtenue sous traitement aigu par Mirtazapine Streuli, pendant une durée de 4 à 6 mois selon les recommandations thérapeutiques actuelles concernant les dépressions. Dans cette situation, il faut régulièrement évaluer le rapport bénéfice/risque.
  • -La posologie recommandée est la même que chez l'adulte. Chez les patients âgés, toute augmentation de la dose impose une surveillance particulière pour obtenir une réponse clinique satisfaisante et sans danger.
  • +La posologie recommandée est la même que chez l'adulte. Chez les patients âgés, toute augmentation de la dose impose une surveillance particulière pour obtenir une réponse satisfaisante et sans danger.
  • -La mirtazapine ne doit pas être administrée en association avec des IMAO (y compris le linézolide, un antibiotique et inhibiteur non-sélectif et réversible de la monoamine oxydase), ni dans les deux semaines qui suivent l'arrêt d'un traitement par IMAO. Inversement, il faut attendre au moins deux semaines entre l'arrêt d'un traitement par mirtazapine et le début d'un traitement par IMAO (cf. aussi «Interactions»).
  • +La mirtazapine ne doit pas être administrée en association avec des IMAO (y compris le linézolide, un antibiotique et inhibiteur non-sélectif et réversible de la monoamine oxydase), ni dans les deux semaines qui suivent l'arrêt d'un traitement par IMAO. Inversement, il faut attendre au moins deux semaines entre l'arrêt d'un traitement par la mirtazapine et le début d'un traitement par un IMAO (cf. aussi «Interactions»).
  • -Les enfants et les adolescents de moins de 18 ans ne doivent pas être traités par Mirtazapine Streuli. Des comportements de type suicidaire (tentatives de suicide et idées suicidaires) et de type hostile (principalement agressivité, comportement d'opposition et colère) ont été plus fréquemment observés au cours des études cliniques chez les enfants et les adolescents traités par antidépresseurs, par rapport à ceux traités par placebo. Si, en cas de nécessité clinique, la décision de traiter est néanmoins prise, le patient devra faire l'objet d'une surveillance attentive pour détecter l'apparition de symptômes suicidaires. De plus, on ne dispose d'aucune donnée de sécurité à long terme chez l'enfant et l'adolescent concernant la croissance, la maturation et le développement cognitif et comportemental.
  • +Les enfants et les adolescents de moins de 18 ans ne doivent pas être traités par Mirtazapine Streuli. Des comportements de type suicidaire (tentatives de suicide et idées suicidaires) et de type hostile (principalement agressivité, comportement d'opposition et colère) ont été plus fréquemment observés au cours des études cliniques chez les enfants et les adolescents traités par des antidépresseurs, par rapport à ceux traités par un placebo. Si, en cas de nécessité clinique, la décision de traiter est néanmoins prise, le patient devra faire l'objet d'une surveillance attentive pour détecter l'apparition de symptômes suicidaires. De plus, on ne dispose d'aucune donnée de sécurité à long terme chez l'enfant et l'adolescent concernant la croissance, la maturation et le développement cognitif et comportemental.
  • -Les patients ayant des antécédents de comportement de type suicidaire ou ceux exprimant des idées suicidaires significatives avant de débuter le traitement présentent un risque plus élevé d'idées suicidaires ou de tentative de suicide et doivent faire l'objet d'une surveillance étroite pendant le traitement. Une méta-analyse d'essais cliniques contrôlés par placebo sur l'utilisation d'antidépresseurs chez l'adulte présentant des troubles psychiatriques a montré une augmentation du risque de comportement de type suicidaire chez les patients de moins de 25 ans traités par antidépresseurs par rapport à ceux recevant un placebo.
  • -Une surveillance étroite des patients, et en particulier de ceux à haut risque, devra donc accompagner le traitement par antidépresseurs, particulièrement en début de traitement et lors des changements de dose. Les patients et leur entourage devront être avertis de la nécessité de surveiller la survenue d'une aggravation clinique, l'apparition d'idées ou de comportements suicidaires et tout changement inhabituel du comportement et de demander immédiatement un avis médical si ces symptômes survenaient.
  • +Les patients ayant des antécédents de comportement de type suicidaire ou ceux exprimant des idées suicidaires significatives avant de débuter le traitement présentent un risque plus élevé d'idées suicidaires ou de tentative de suicide et doivent faire l'objet d'une surveillance étroite pendant le traitement. Une méta-analyse d'essais cliniques contrôlés par placebo sur l'utilisation d'antidépresseurs chez l'adulte présentant des troubles psychiatriques a montré une augmentation du risque de comportement de type suicidaire chez les patients de moins de 25 ans traités par des antidépresseurs par rapport à ceux recevant un placebo.
  • +Une surveillance étroite des patients, et en particulier de ceux à haut risque, devra donc accompagner le traitement par des antidépresseurs, particulièrement en début de traitement et lors des changements de dose. Les patients et leur entourage devront être avertis de la nécessité de surveiller la survenue d'une aggravation clinique, l'apparition d'idées ou de comportements suicidaires et tout changement inhabituel du comportement et de demander immédiatement un avis médical si ces symptômes survenaient.
  • -·Une épilepsie ou un syndrome cérébral organique: bien que l'expérience clinique montre que les crises épileptiques sont rares au cours d'un traitement par la mirtazapine, comme avec d'autres antidépresseurs, Mirtazapine Streuli doit être introduit avec prudence chez les patients présentant des antécédents de crises d'épilepsie. Le traitement devra être arrêté chez tout patient développant des crises épileptiques ou présentant une augmentation de la fréquence des crises.
  • -·Une insuffisance hépatique: après administration d'une dose orale unique de 15 mg de mirtazapine, la clairance de la mirtazapine a diminué d'environ 35% chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée, comparativement aux sujets dont la fonction hépatique était normale. La concentration plasmatique moyenne de mirtazapine a augmenté d'environ 55%.
  • -·Une insuffisance rénale: après administration d'une dose orale unique de 15 mg de mirtazapine chez des patients atteints d'insuffisance rénale modérée (10 ml/min ≤ clairance de la créatinine <40 ml/min) et sévère (clairance de la créatinine <10 ml/min), la clairance de la mirtazapine a diminué respectivement de 30% et 50%, comparativement aux sujets sains. Les concentrations plasmatiques moyennes de mirtazapine ont respectivement augmenté d'environ 55% et 115%. Aucune différence significative n'est apparue entre les patients atteints d'insuffisance rénale légère (40 ml/min ≤ clairance de la créatinine <80 ml/min) et le groupe témoin.
  • -·Une pathologie cardiaque, telle que troubles de la conduction, angine de poitrine ou infarctus du myocarde récent: les précautions habituelles doivent être prises et les traitements concomitants administrés avec prudence.
  • -·Une pression artérielle basse.
  • -·Un diabète: chez les patients diabétiques, les antidépresseurs peuvent altérer l'équilibre glycémique. Une adaptation de la posologie de l'insuline et/ou des antidiabétiques oraux peut s'avérer nécessaire et une surveillance étroite est recommandée.
  • +·une épilepsie ou un syndrome cérébral organique: bien que l'expérience clinique montre que les crises épileptiques sont rares au cours d'un traitement par la mirtazapine, comme avec d'autres antidépresseurs, Mirtazapine Streuli doit être introduit avec prudence chez les patients présentant des antécédents de crises d'épilepsie. Le traitement devra être arrêté chez tout patient développant des crises épileptiques ou présentant une augmentation de la fréquence des crises.
  • +·une insuffisance hépatique: après administration d'une dose orale unique de 15 mg de mirtazapine, la clairance de la mirtazapine a diminué d'environ 35% chez les patients présentant une insuffisance hépatique légère à modérée, comparativement aux sujets dont la fonction hépatique était normale. La concentration plasmatique moyenne de mirtazapine a augmenté d'environ 55%.
  • +·une insuffisance rénale: après administration d'une dose orale unique de 15 mg de mirtazapine chez des patients atteints d'insuffisance rénale modérée (10 ml/min ≤ clairance de la créatinine <40 ml/min) et sévère (clairance de la créatinine <10 ml/min), la clairance de la mirtazapine a diminué respectivement de 30% et 50%, comparativement aux sujets sains. Les concentrations plasmatiques moyennes de mirtazapine ont respectivement augmenté d'environ 55% et 115%. Aucune différence significative n'est apparue entre les patients atteints d'insuffisance rénale légère (40 ml/min ≤ clairance de la créatinine <80 ml/min) et le groupe témoin.
  • +·une pathologie cardiaque, telle que troubles de la conduction, angine de poitrine ou infarctus du myocarde récent: les précautions habituelles doivent être prises et les traitements concomitants administrés avec prudence.
  • +·une pression artérielle basse.
  • +·un diabète: chez les patients diabétiques, les antidépresseurs peuvent altérer l'équilibre glycémique. Une adaptation de la posologie de l'insuline et/ou des antidiabétiques oraux peut s'avérer nécessaire et une surveillance étroite est recommandée.
  • -·Les patients doivent être étroitement surveillés concernant l'éventuel «switch» (virage en phase maniaque). Le traitement par mirtazapine doit être arrêté chez tout patient entrant dans une phase maniaque.
  • -·Bien que mirtazapine n'entraîne pas de dépendance, l'expérience depuis la commercialisation montre que l'arrêt brutal d'un traitement au long cours peut parfois entraîner des symptômes de sevrage. La plupart des réactions de sevrage sont modérées et spontanément réversibles. Parmi les divers symptômes de sevrage rapportés, les plus fréquents sont: sensations vertigineuses, agitation, anxiété, céphalées et nausées. Bien que ces symptômes aient été rapportés comme étant des symptômes de sevrage, il est à noter qu'ils peuvent être liés à la pathologie sous-jacente. Comme précisé à la rubrique «Posologie/Mode d'emploi», il est recommandé d'arrêter progressivement le traitement par mirtazapine.
  • -·Des précautions doivent être prises chez les patients présentant des troubles de la miction tels qu'une hypertrophie prostatique et chez les patients présentant un glaucome aigu à angle fermé ou une augmentation de la pression intraoculaire (bien qu'il y ait peu de risque avec mirtazapine du fait de sa très faible activité anticholinergique).
  • -·Akathisie/agitation psychomotrice: l'utilisation d'antidépresseurs a été associée au développement d'une akathisie, caractérisée par une agitation jugée désagréable ou pénible et un besoin de bouger souvent accompagné d'une incapacité à rester assis ou debout sans bouger. Ces symptômes apparaissent le plus souvent au début du traitement. Une augmentation de la dose peut être préjudiciable chez les patients développant ces symptômes.$
  • -·Après la mise sur le marché de la mirtazapine, des cas d'allongement de l'intervalle QT, de torsades de pointes, de tachycardie ventriculaire et de décès subit ont été rapportés. La majorité de ces rapports était liée à un surdosage et concernait des patients ayant présenté d'autres facteurs de risque favorisant un allongement du QT. Y compris une utilisation simultanée d'autres médicaments pouvant causer un allongement du OTc (voir «Interactions» et «Surdosage»). Les patients atteints de maladies cardio-vasculaires ou ayant des antécédents familiaux d'allongement du QT doivent être traités avec prudence, de même que les patients utilisant simultanément d'autres médicaments susceptibles de causer un allongement du QTc.
  • +·Les patients doivent être étroitement surveillés concernant l'éventuel «switch» (virage en phase maniaque). Le traitement par la mirtazapine doit être arrêté chez tout patient entrant dans une phase maniaque.
  • +·Bien que mirtazapine n'entraîne pas de dépendance, l'expérience depuis la commercialisation montre que l'arrêt brutal d'un traitement au long cours peut parfois entraîner des symptômes de sevrage. La plupart des réactions de sevrage sont modérées et spontanément réversibles. Parmi les divers symptômes de sevrage rapportés, les plus fréquents sont: sensations vertigineuses, agitation, anxiété, céphalées et nausées. Bien que ces symptômes aient été rapportés comme étant des symptômes de sevrage, il est à noter qu'ils peuvent être liés à la pathologie sous-jacente. Comme précisé à la rubrique «Posologie/Mode d'emploi», il est recommandé d'arrêter progressivement le traitement par la mirtazapine.
  • +·Des précautions doivent être prises chez les patients présentant des troubles de la miction tels qu'une hypertrophie prostatique et chez les patients présentant un glaucome aigu à angle fermé ou une augmentation de la pression intraoculaire (bien qu'il y ait peu de risque avec la mirtazapine du fait de sa très faible activité anticholinergique).
  • +·Akathisie/agitation psychomotrice: l'utilisation d'antidépresseurs a été associée au développement d'une akathisie, caractérisée par une agitation jugée désagréable ou pénible et un besoin de bouger souvent accompagné d'une incapacité à rester assis ou debout sans bouger. Ces symptômes apparaissent le plus souvent au début du traitement. Une augmentation de la dose peut être préjudiciable chez les patients développant ces symptômes.
  • +·Après la mise sur le marché de la mirtazapine, des cas d'allongement de l'intervalle QT, de torsades de pointes, de tachycardie ventriculaire et de décès subit ont été rapportés. La majorité de ces rapports était liée à un surdosage et concernait des patients ayant présenté d'autres facteurs de risque favorisant un allongement du QT, y compris une utilisation simultanée d'autres médicaments pouvant causer un allongement du OTc (voir «Interactions» et «Surdosage»). Les patients atteints de maladies cardio-vasculaires ou ayant des antécédents familiaux d'allongement du QT doivent être traités avec prudence, de même que les patients utilisant simultanément d'autres médicaments susceptibles de causer un allongement du QTc.
  • -Mirtazapine Streuli comprimés filmés contient du lactose. Les patients présentant une intolérance héréditaire au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou une malabsorption du glucose et du galactose ne doivent pas prendre ce produit.
  • +Mirtazapine Streuli comprimés filmés contient du lactose. Les patients présentant une intolérance héréditaire rare au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou une malabsorption du glucose et du galactose ne doivent pas prendre ce produit.
  • -·Les inducteurs du CYP3A4, comme la carbamazépine et la phénytoïne, entraînent un doublement de la clairance de la mirtazapine, ce qui cause une diminution moyenne des concentrations plasmatiques de mirtazapine de respectivement 60% et 45%. Quand la carbamazépine ou tout autre inducteur du métabolisme hépatique (comme la rifampicine) est ajouté au traitement par la mirtazapine, il peut être nécessaire d'augmenter la dose de mirtazapine. Si le traitement par un tel médicament est arrêté, il peut s'avérer nécessaire de diminuer la dose de mirtazapine.
  • +·Les inducteurs du CYP3A4, comme la carbamazépine et la phénytoïne, entraînent un doublement de la clairance de la mirtazapine, ce qui cause une diminution moyenne des concentrations plasmatiques de mirtazapine de respectivement 60% et 45%. Quand la carbamazépine ou tout autre inducteur du métabolisme hépatique (comme la rifampicine) sont ajoutés au traitement par la mirtazapine, il peut être nécessaire d'augmenter la dose de mirtazapine. Si le traitement par un tel médicament est arrêté, il peut s'avérer nécessaire de diminuer la dose de mirtazapine.
  • -·Lorsque la cimétidine (faible inhibiteur de la CYP1A2, CYP2D6 et CYP3A4) est administrée avec la mirtazapine, les concentrations plasmatiques moyennes de mirtazapine peuvent être augmentées de plus de 50%. Des précautions doivent être prises et il est éventuellement nécessaire de réduire la dose lors de l'administration concomitante de mirtazapine avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4, des inhibiteurs de protéase du VIH, des antifongiques azolés, l'érythromycine, la cimétidine ou la néfazodone.
  • +·Lorsque la cimétidine (faible inhibiteur du CYP1A2, CYP2D6 et CYP3A4) est administrée avec la mirtazapine, les concentrations plasmatiques moyennes de mirtazapine peuvent être augmentées de plus de 50%. Des précautions doivent être prises et il est éventuellement nécessaire de réduire la dose lors de l'administration concomitante de mirtazapine avec des inhibiteurs puissants du CYP3A4, des inhibiteurs de la protéase du VIH, des antifongiques azolés, l'érythromycine, la cimétidine ou la néfazodone.
  • -·La mirtazapine ne doit pas être administrée en association avec des IMAO (y compris le linézolide, un antibiotique et inhibiteur non-sélectif et réversible, de la monoamine oxydase), ni dans les deux semaines qui suivent l'arrêt d'un traitement par IMAO. Inversement, il faut attendre environ deux semaines entre l'arrêt d'un traitement par mirtazapine et le début d'un traitement par IMAO (cf. aussi «Contre-indications»).
  • +·La mirtazapine ne doit pas être administrée en association avec des IMAO (y compris le linézolide, un antibiotique et inhibiteur non-sélectif et réversible de la monoamine oxydase), ni dans les deux semaines qui suivent l'arrêt d'un traitement par un IMAO. Inversement, il faut attendre environ deux semaines entre l'arrêt d'un traitement par la mirtazapine et le début d'un traitement par un IMAO (cf. aussi «Contre-indications»).
  • -·La mirtazapine peut accentuer l'effet sédatif nerveux central de l'alcool; les patients doivent donc renoncer à la consommation de boissons alcoolisées pendant le traitement par mirtazapine.
  • +·La mirtazapine peut accentuer l'effet sédatif nerveux central de l'alcool; les patients doivent donc renoncer à la consommation de boissons alcoolisées pendant le traitement par la mirtazapine.
  • -Très fréquent (≥1/10); fréquent (<1/10; ≥1/100); occasionnel (<1/100; ≥1/1000,); rare (<1/1000; ≥1/10000).
  • -Troubles de la circulation sanguine et lymphatique
  • -Fréquence inconnue: Aplasie médullaire (granulocytopénie, agranulocytose, anémie aplasique, thrombocytopénie), éosinophilie.
  • +Très fréquents (≥1/10); fréquents (<1/10; ≥1/100); occasionnels (<1/100; ≥1/1000); rares (<1/1000; ≥1/10000).
  • +Circulation sanguine et lymphatique
  • +Fréquence inconnue: Aplasie médullaire (granulocytopénie, agranulocytose, anémie aplasique, et thrombocytopénie), éosinophilie.
  • -Fréquents: Rêves anormaux, confusion, anxiété2,5, insomnies3,5.
  • +Fréquents: Rêves anormaux, confusion, anxiété2,5, insomnie3,5.
  • -Fréquence inconnue: Pensées suicidaires6, comportement suicidaire5.
  • +Fréquence inconnue: Pensées suicidaires6, comportement suicidaire6.
  • -Très fréquents: Somnolence1,4 (22,8%), sédation1,4 (14,3%), céphalée2 (13,9%).
  • +Très fréquents: Somnolence1,4 (22,8%), sédation1,4 (14,3%), céphalées2 (13,9%).
  • -Fréquence inconnue: Convulsions (crises), syndrome sérotoninergique, paresthésies orales, dysarthrie.
  • +Fréquence inconnue: Convulsions (crises), syndrome sérotoninergique, paresthésie orale, dysarthrie.
  • -Fréquents: Nausées3, diarrhée2, vomissements2, constipation1.
  • +Fréquents: Nausées3, diarrhées2, vomissements2, constipation1.
  • -Fréquent: Eruption cutanée2.
  • +Fréquent: Éruption cutanée2.
  • -Troubles musculo-squelettiques
  • +Troubles musculo-squelettiques, du tissu conjonctif et des os
  • -Système de reproduction et sein
  • +Fréquence inconnue: Rhabdomyolyse.
  • +Troubles rénaux et urinaires
  • +Fréquence inconnue: Rétention urinaire.
  • +Système de reproduction et seins
  • -1 Au cours des essais cliniques, ces évènements sont survenus avec une fréquence statistiquement significativement plus élevée au cours du traitement par mirtazapine qu'avec le placebo.
  • -2 Au cours des essais cliniques, ces évènements sont survenus plus fréquemment sous placebo que sous mirtazapine, mais sans différence statistiquement significative.
  • -3 Au cours des essais cliniques, ces évènements sont survenus avec une fréquence statistiquement significativement plus élevée au cours du traitement par le placebo qu'avec mirtazapine.
  • +Investigations
  • +Fréquence inconnue: Elévation de la créatine kinase.
  • +1 Au cours des essais cliniques, ces événements sont survenus avec une fréquence statistiquement significativement plus élevée au cours du traitement par mirtazapine qu'avec le placebo.
  • +2 Au cours des essais cliniques, ces événements sont survenus plus fréquemment sous placebo que sous mirtazapine, mais sans différence statistiquement significative.
  • +3 Au cours des essais cliniques, ces événements sont survenus avec une fréquence statistiquement significativement plus élevée au cours du traitement par le placebo qu'avec mirtazapine.
  • -5 Au cours d'un traitement par antidépresseur en général, une anxiété et une insomnie (qui peuvent être également des symptômes de la dépression) peuvent apparaître ou s'aggraver. Des cas de développement ou d'aggravation de l'anxiété et des insomnies ont été rapportés sous traitement par la mirtazapine.
  • +5 Au cours d'un traitement par un antidépresseur en général, une anxiété et une insomnie (qui peuvent être également des symptômes de la dépression) peuvent apparaître ou s'aggraver. Des cas de développement ou d'aggravation de l'anxiété et des insomnies ont été rapportés sous traitement par la mirtazapine.
  • -L'effet antagoniste de mirtazapine sur les récepteurs H1 de l'histamine explique ses propriétés sédatives.
  • +L'effet antagoniste de la mirtazapine sur les récepteurs H1 de l'histamine explique ses propriétés sédatives.
  • -Des études menées in vitro sur des microsomes de foie humain montrent que les iso-enzymes CYP2D6 et CYP1A2 du cytochrome P 450 interviennent dans la formation du métabolite 8-hydroxy de la mirtazapine, tandis que l'iso-enzyme CYP3A4 est responsable de la formation des métabolites N-déméthylé et N-oxydé.
  • +Des études menées in vitro sur des microsomes de foie humain montrent que les enzymes CYP2D6 et CYP1A2 du cytochrome P 450 interviennent dans la formation du métabolite 8-hydroxy de la mirtazapine, tandis que l'enzyme CYP3A4 est responsable de la formation des métabolites N-déméthylé et N-oxydé.
  • -La clairance de mirtazapine peut être diminuée en cas d'insuffisance rénale et hépatique et chez les patients âgés.
  • +La clairance de la mirtazapine peut être diminuée en cas d'insuffisance rénale et hépatique et chez les patients âgés.
  • -Dans des études de toxicité de la reproduction chez le rat et le lapin, aucun effet tératogène n'a été observé. Avec une exposition systémique correspondant à deux fois l'exposition thérapeutique humaine maximale, on a constaté une augmentation des pertes post-implantatoires, une diminution du poids de naissance de la descendance et une réduction de la survie de cette dernière pendant les trois premiers jours de lactation chez le rat.
  • +Dans des études de toxicité de la reproduction chez le rat et le lapin, aucun effet tératogène n'a été observé. Avec une exposition systémique correspondant à deux fois l'exposition thérapeutique humaine maximale, on a constaté une augmentation des pertes post-implantatoires, une diminution du poids à la naissance de la descendance et une réduction de la survie de cette dernière pendant les trois premiers jours de lactation chez le rat.
  • -Remarque
  • -Les comprimés filmés sont ovales, biconvexes et colorée brunâtre (30 mg) resp. blancs (45 mg).
  • -Les comprimés filmés portent sur une face la mention «I».
  • -Les comprimés filmés à 30 mg portent une rainure de sécabilité, ce qui facilite leur fractionnement en deux moitiés, au besoin.
  • -Février 2015.
  • +Novembre 2017.
2025 Â©ywesee GmbH
Einstellungen | Aide | FAQ | Identification | Contact | Home