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Accueil - Information professionnelle sur Acido-X - Changements - 29.11.2017
70 Changements de l'information professionelle Acido-X
  • -Principe actif: Pantoprazolum ut Pantoprazolum natricum sesquihydricum.
  • -Excipients: Comprimé pelliculé gastro-résistant: E216, E218; excipiens pro compresso obducto.
  • +Principe actif
  • +Pantoprazolum ut Pantoprazolum natricum sesquihydricum.
  • +Excipients
  • +E216, E218; excipiens pro compresso obducto.
  • -1 comprimé pelliculé gastro-résistant d'Acido-X contient: 20 mg de pantoprazolum.
  • +1 comprimé pelliculé gastro-résistant dAcido-X contient: 20 mg de pantoprazolum.
  • -Traitement à court terme des symptômes du reflux gastro-oesophagien (p.ex. brûlures d'estomac, renvois acides) chez l'adulte.
  • +Traitement à court terme des symptômes du reflux gastro-œsophagien (par ex. brûlures destomac, renvois acides) chez ladulte.
  • -La dose quotidienne recommandée est d'un comprimé pelliculé gastro-résistant d'Acido-X.
  • -Pour améliorer les symptômes, il peut s'avérer nécessaire de prendre des comprimés pelliculés pendant 2 à 3 jours successifs. Le traitement doit être arrêté dès que le soulagement des symptômes est complet.
  • +La dose quotidienne recommandée est dun comprimé pelliculé gastro-résistant dAcido-X.
  • +Pour améliorer les symptômes, il peut savérer nécessaire de prendre des comprimés pelliculés pendant 2 à 3 jours successifs. Le traitement doit être arrêté dès que le soulagement des symptômes est complet.
  • -Si les symptômes ne s'améliorent pas en l'espace de 2 semaines de traitement continu, une consultation médicale s'impose.
  • -Les comprimés pelliculés gastro-résistants d'Acido-X ne doivent pas être mâchés ni divisés, mais avalés entiers avec un peu d'eau une heure avant le repas.
  • +Si les symptômes ne saméliorent pas en lespace de 2 semaines de traitement continu, une consultation médicale simpose.
  • +Les comprimés pelliculés gastro-résistants dAcido-X ne doivent pas être mâchés ni divisés, mais avalés entiers avec un peu deau une heure avant le repas.
  • -Aucun ajustement de dose n'est nécessaire chez les patients âgés ainsi que chez les patients insuffisants rénaux ou hépatiques.
  • +Aucun ajustement de dose nest nécessaire chez les patients âgés ainsi que chez les patients insuffisants rénaux ou hépatiques.
  • -Acido-X n'est pas recommandé pour les enfants et les adolescents de moins de 18 ans, car on ne dispose que de données limitées pour ce groupe d'âge.
  • +Acido-X nest pas recommandé pour les enfants et les adolescents de moins de 18 ans, car on ne dispose que de données limitées pour ce groupe dâge.
  • -Ne pas utiliser Acido-X en cas d'hypersensibilité connue au principe actif, aux benzimidazoles substitués ou à l'un des composants d'Acido-X.
  • +Ne pas utiliser Acido-X en cas dhypersensibilité connue au principe actif, aux benzimidazoles substitués ou à lun des composants dAcido-X.
  • -Une consultation médicale s'impose en cas de:
  • -perte de poids inexpliquée, anémie, hémorragies gastro-intestinales, dysphagie, vomissements ou hématémèses répétés, antécédents d'ulcères gastriques ou interventions chirurgicales gastro-intestinales, car le traitement par Acido-X peut masquer les symptômes d'une maladie sérieuse, retardant ainsi la pose du diagnostic. Il est essentiel d'exclure toute affection maligne;
  • -·prise ininterrompue de médicaments contre des troubles digestifs ou des renvois acides pendant plus de 4 semaines, car les symptômes devraient alors être sous contrôle;
  • -·ictère ou troubles de la fonction hépatique;
  • -·présence simultanée d'une autre maladie sérieuse;
  • -·patients âgés de plus de 55 ans et présentant des symptômes récents ou récemment modifiés.
  • +Une consultation médicale simpose en cas de:
  • +perte de poids inexpliquée, anémie, hémorragies gastro-intestinales, dysphagie, vomissements ou hématémèses répétés, antécédents dulcères gastriques ou interventions chirurgicales gastro-intestinales, car le traitement par Acido-X peut masquer les symptômes dune maladie sérieuse, retardant ainsi la pose du diagnostic. Il est essentiel dexclure toute affection maligne;
  • +prise ininterrompue de médicaments contre des troubles digestifs ou des renvois acides pendant plus de 4 semaines, car les symptômes devraient alors être sous contrôle;
  • +ictère ou troubles de la fonction hépatique;
  • +présence simultanée dune autre maladie sérieuse;
  • +patients âgés de plus de 55 ans et présentant des symptômes récents ou récemment modifiés.
  • -Avant de prendre Acido-X, les patients doivent consulter leur médecin si une endoscopie ou un test respiratoire à l'urée C13 doit être prochainement effectué.
  • -Les patients ne doivent pas prendre simultanément d'autres inhibiteurs de la pompe à protons ou antagonistes H2.
  • +Avant de prendre Acido-X, les patients doivent consulter leur médecin si une endoscopie ou un test respiratoire à lurée C13 doit être prochainement effectué.
  • +Les patients ne doivent pas prendre simultanément dautres inhibiteurs de la pompe à protons ou antagonistes H2.
  • -Les patients peuvent ressentir un premier soulagement des symptômes après environ un jour de traitement par le pantoprazole, mais une prise pendant 7 jours peut s'avérer nécessaire pour obtenir le contrôle complet des brûlures d'estomac. Les patients ne doivent pas prendre le pantoprazole à titre préventif.
  • -Une diminution de l'acidité gastrique provoquée par différents facteurs – y compris suite à la prise d'inhibiteurs de la pompe à protons – augmente le nombre de bactéries normalement présentes dans le tractus gastro-intestinal. Un traitement par des médicaments réduisant l'acidité augmente légèrement le risque d'infections gastro-intestinales, par exemple à salmonelles, Camphylobacter ou Clostridium difficile.
  • -Des cas d'hypomagnésémie sévère ont été rapportés chez des patients traités avec des IPP (inhibiteurs de la pompe à protons) comme le pantoprazole pendant au moins 3 mois et dans la plupart des cas pendant un an. Des formes sévères d'hypomagnésémie telles que fatigue, tétanie, délire, crampes, vertiges et arythmie ventriculaire peuvent survenir. Elles peuvent se déclarer de manière insidieuse et ne pas être remarquées. Chez la plupart des patients concernés, l'hypomagnésémie s'est améliorée après un apport en magnésium et l'arrêt du traitement avec un IPP.
  • -Chez les patients probablement traités sur une longue période ou qui prennent des IPP avec de la digoxine ou des médicaments pouvant causer l'hypomagnésémie (p.ex. diurétiques), la mesure du taux de magnésium doit être prise en considération avant le traitement par IPP et pendant celui-ci à intervalles réguliers.
  • -Les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent, en particulier lorsqu'ils sont utilisés à fortes doses et sur une longue période (>1 an), légèrement augmenter le risque de fractures de la hanche, du poignet et de la colonne vertébrale, surtout chez les personnes âgées ou celles qui présentent d'autres facteurs de risque. Des études d'observation indiquent que les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent augmenter le risque de fractures de 10 à 40%. Une partie de cette hausse peut être le fait d'autres facteurs de risque. Les patients présentant un risque d'ostéoporose doivent être traités selon les directives cliniques actuelles et recevoir suffisamment d'apports en calcium et vitamine D.
  • +Les patients peuvent ressentir un premier soulagement des symptômes après environ un jour de traitement par le pantoprazole, mais une prise pendant 7 jours peut savérer nécessaire pour obtenir le contrôle complet des brûlures destomac. Les patients ne doivent pas prendre le pantoprazole à titre préventif.
  • +Infections gastro-intestinales bactériennes
  • +Une diminution de lacidité gastrique provoquée par différents facteurs – y compris suite à la prise dinhibiteurs de la pompe à protons – augmente le nombre de bactéries normalement présentes dans le tractus gastro-intestinal. Un traitement par des médicaments réduisant lacidité augmente légèrement le risque dinfections gastro-intestinales, par exemple à salmonelles, Camphylobacter ou Clostridium difficile.
  • +Hypomagnésémie
  • +Des cas dhypomagnésémie sévère ont été rapportés chez des patients traités avec des IPP (inhibiteurs de la pompe à protons) comme le pantoprazole pendant au moins 3 mois et dans la plupart des cas pendant un an. Des formes sévères dhypomagnésémie telles que fatigue, tétanie, délire, crampes, vertiges et arythmie ventriculaire peuvent survenir. Elles peuvent se déclarer de manière insidieuse et ne pas être remarquées. Chez la plupart des patients concernés, lhypomagnésémie sest améliorée après un apport en magnésium et larrêt du traitement avec un IPP.
  • +Chez les patients probablement traités sur une longue période ou qui prennent des IPP avec de la digoxine ou des médicaments pouvant causer lhypomagnésémie (par ex. diurétiques), la mesure du taux de magnésium doit être prise en considération avant le traitement par IPP et pendant celui-ci à intervalles réguliers.
  • +Influence sur l'absorption de la vitamine B12
  • +Le traitement quotidien prolongé (pendant plusieurs années) par des médicaments qui bloquent la sécrétion acide peut provoquer une malabsorption de la cyanocobalamine (vitamine B12) par hypochlorhydrie ou achlorhydrie. Une carence en cyanocobalamine doit être envisagée chez les patients atteints d'états hypersécrétoires pathologiques nécessitant un traitement prolongé, chez les personnes présentant une baisse des réserves de l'organisme ou des facteurs de risque de réduction de l'absorption de la vitamine B12 (telles que les personnes âgées) pendant un traitement au long cours ou en présence de symptômes cliniques importants.
  • +Fractures osseuses
  • +Les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent, en particulier lorsquils sont utilisés à fortes doses et sur une longue période (>1 an), légèrement augmenter le risque de fractures de la hanche, du poignet et de la colonne vertébrale, surtout chez les personnes âgées ou celles qui présentent dautres facteurs de risque. Des études dobservation indiquent que les inhibiteurs de la pompe à protons peuvent augmenter le risque de fractures de 10 à 40%. Une partie de cette hausse peut être le fait dautres facteurs de risque. Les patients présentant un risque dostéoporose doivent être traités selon les directives cliniques actuelles et recevoir suffisamment dapports en calcium et vitamine D.
  • +Influence des tests de laboratoire
  • +Au cours du traitement par des médicaments antiacides, la gastrine sérique augmente en réponse à la diminution de la sécrétion acide. De la même manière, la chromogranine A (CgA) augmente en réponse à la diminution de la sécrétion acide. Cette augmentation du taux de CgA peut interférer avec les analyses réalisées lors de tumeurs neuroendocriniennes. Des données de la littérature mentionnent que tout traitement par un IPP doit être interrompu 5 à 14 jours avant un dosage de la CgA réalisé dans le cadre du bilan ou du contrôle de l'évolution de tumeurs neuroendocriniennes, car les taux de CgA accrus suite au traitement se normalisent en l'espace de 5 à 14 jours – ou plus dans de rares cas. Le dosage doit être répété si les taux de CgA sont encore trop élevés après ce délai.
  • +Lupus érythémateux cutané subaigu (LECS)
  • +Les inhibiteurs de la pompe à protons sont associés à de très rares cas de lupus érythémateux cutané subaigu (LECS). Si des lésions se développent, notamment sur les zones cutanées exposées au soleil, et si elles s'accompagnent d'arthralgie, le patient doit consulter un médecin rapidement et le professionnel de santé doit envisager l'arrêt d’Acido-X. La survenue d'un LECS après un traitement par un inhibiteur de la pompe à protons peut augmenter le risque de LECS lors de la prise d'autres inhibiteurs de la pompe à protons.
  • +
  • -Impact du pantoprazole sur la résorption d'autres médicaments
  • -En raison de l'inhibition profonde et prolongée de la sécrétion d'acide gastrique, le pantoprazole peut réduire l'absorption des médicaments dont la biodisponibilité dépend du pH, par exemple les antifongiques azolés tels que le kétoconazole, l'itraconazole, le posaconazole, ainsi que d'autres médicaments tels que l'erlotinib.
  • -Etudes d'interactions
  • -Le pantoprazole est essentiellement métabolisé au niveau hépatique par le système enzymatique du cytochrome P450. La principale voie métabolique est la déméthylation par le CYP2C19; les autres voies métaboliques incluent l'oxydation par le CYP3A4.
  • -Aucun signe d'interaction cliniquement significative n'a toutefois été décelé dans le cadre des études d'interactions qui ont été menées avec des médicaments métabolisés par le même système enzymatique, notamment la carbamazépine, le diazépam, le glibenclamide, la nifédipine et un contraceptif oral contenant du lévonorgestrel et de l'éthinylestradiol.
  • -Les résultats des études d'interactions ont montré que le pantoprazole n'a aucune influence sur la métabolisation des principes actifs par les cytochromes CYP1A2 (caféine, théophylline), CYP2C9 (piroxicam, diclofénac, naproxène), CYP2D6 (métoprolol) et CYP2E1 (éthanol), et qu'il n'interfère pas avec la glycoprotéine P impliquée dans l'absorption de la digoxine.
  • -De même, l'administration concomitante d'antiacides ne donne lieu à aucune interaction.
  • +Impact du pantoprazole sur la résorption dautres médicaments
  • +En raison de linhibition profonde et prolongée de la sécrétion dacide gastrique, le pantoprazole peut réduire labsorption des médicaments dont la biodisponibilité dépend du pH, par exemple les antifongiques azolés tels que le kétoconazole, litraconazole, le posaconazole, ainsi que dautres médicaments tels que lerlotinib.
  • +Etudes dinteractions
  • +Le pantoprazole est essentiellement métabolisé au niveau hépatique par le système enzymatique du cytochrome P450. La principale voie métabolique est la déméthylation par le CYP2C19; les autres voies métaboliques incluent loxydation par le CYP3A4.
  • +Aucun signe dinteraction cliniquement significative na toutefois été décelé dans le cadre des études dinteractions qui ont été menées avec des médicaments métabolisés par le même système enzymatique, notamment la carbamazépine, le diazépam, le glibenclamide, la nifédipine et un contraceptif oral contenant du lévonorgestrel et de léthinylestradiol.
  • +Les résultats des études dinteractions ont montré que le pantoprazole na aucune influence sur la métabolisation des principes actifs par les cytochromes CYP1A2 (caféine, théophylline), CYP2C9 (piroxicam, diclofénac, naproxène), CYP2D6 (métoprolol) et CYP2E1 (éthanol), et quil ninterfère pas avec la glycoprotéine P impliquée dans labsorption de la digoxine.
  • +De même, ladministration concomitante dantiacides ne donne lieu à aucune interaction.
  • -Bien qu'aucune interaction n'ait été observée avec la phenprocoumone et la warfarine lors d'études pharmacocinétiques menées chez l'être humain, des cas isolés de modifications de l'INR ont été rapportés après la commercialisation (phase post-marketing). En conséquence, un contrôle du temps de prothrombine/INR est recommandé chez les patients traités par des anticoagulants de type coumarinique après l'instauration d'un traitement par pantoprazole, après son arrêt ainsi que lors d'une utilisation irrégulière de pantoprazole.
  • +Bien quaucune interaction nait été observée avec la phenprocoumone et la warfarine lors détudes pharmacocinétiques menées chez lêtre humain, des cas isolés de modifications de lINR ont été rapportés après la commercialisation (phase post-marketing). En conséquence, un contrôle du temps de prothrombine/INR est recommandé chez les patients traités par des anticoagulants de type coumarinique après linstauration dun traitement par pantoprazole, après son arrêt ainsi que lors dune utilisation irrégulière de pantoprazole.
  • -La prise concomitante de dexlansoprazole et d'inhibiteurs de protéases du VIH dont l'absorption est dépendante d'un faible pH gastrique (tels que l'atazanavir et le nelfinavir) n'est pas recommandée, car ceci diminue nettement leur biodisponibilité.
  • +La prise concomitante de pantoprazole et d'inhibiteurs de protéases du VIH dont l'absorption est dépendante d'un faible pH gastrique (tels que l'atazanavir et le nelfinavir) n'est pas recommandée, car ceci diminue nettement leur biodisponibilité.
  • -Les données disponibles sur l'administration de pantoprazole chez la femme enceinte ne sont pas suffisantes.
  • +Les données disponibles sur ladministration de pantoprazole chez la femme enceinte ne sont pas suffisantes.
  • -Le passage de faibles quantités dans le lait maternel a été constaté en expérimentation animale (voir également «Pharmacocinétique»). Lors de la décision quant à l'arrêt/la poursuite de l'allaitement ou à l'arrêt/la poursuite du traitement par Acido-X, il s'agit dès lors de bien soupeser les avantages de l'allaitement pour l'enfant ainsi que ceux du traitement par Acido-X pour la mère.
  • +Le passage de pantoprazole dans le lait maternel a été constaté lors d'expérimentations animales (voir également «Pharmacocinétique»). Il a été rapporté que le pantoprazole peut être excrété dans le lait maternel humain. Acido-X ne doit pas être utilisé pendant l'allaitement.
  • -Environ 5% des patients présentent des effets indésirables. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés sont les diarrhées et les céphalées avec une prévalence d'environ 1%.
  • -Les effets indésirables sont listés par classe de fréquence en utilisant les catégories suivantes: très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1'000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1'000), très rares (<1/10'000), inconnus (impossible à évaluer sur la base des données disponibles).
  • +Environ 5% des patients présentent des effets indésirables. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés sont les diarrhées et les céphalées avec une prévalence denviron 1%.
  • +Les effets indésirables sont listés par classe de fréquence en utilisant les catégories suivantes: Très fréquents (≥1/10), fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10000 à <1/1000), très rares (<1/10000), inconnus (impossible à évaluer sur la base des données disponibles).
  • -A l'intérieur de chaque classe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre de gravité décroissant.
  • +A lintérieur de chaque classe de fréquence, les effets indésirables sont présentés par ordre de gravité décroissant.
  • -Affections gastro-intestinaux
  • -Occasionnels: diarrhée, nausées/vomissements, ballonnements et lourdeurs d'estomac, constipation, sécheresse buccale, douleurs et symptômes épigastriques.
  • +Affections gastro-intestinales
  • +Fréquents: polypes bénins sur les glandes du fundus.
  • +Occasionnels: diarrhée, nausées/vomissements, ballonnements et lourdeurs destomac, constipation, sécheresse buccale, douleurs et symptômes épigastriques.
  • -Inconnus: syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell, érythème polymorphe, réactions de photosensibilité.
  • +Inconnus: syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell, érythème polymorphe, réactions de photosensibilité, lupus érythémateux cutané subaigu (voir «Mises en garde et précautions»).
  • -Organes reproducteurs et glandes mammaires
  • +Affections des organes de reproduction et du sein
  • -Rares: augmentation de la température corporelle, oedèmes périphériques.
  • +Rares: augmentation de la température corporelle, œdèmes périphériques.
  • -Les symptômes d'un surdosage ne sont pas connus chez l'être humain. Dans certains cas isolés, des doses de 240 mg ont été administrées par voie IV sur 2 minutes et ont été bien tolérées. Hormis l'instauration d'un traitement symptomatique d'appoint, aucune recommandation thérapeutique spécifique ne peut être donnée en cas de surdosage avec signes cliniques d'intoxication.
  • +Les symptômes dun surdosage ne sont pas connus chez lêtre humain. Dans certains cas isolés, des doses de 240 mg ont été administrées par voie IV sur 2 minutes et ont été bien tolérées. Hormis linstauration dun traitement symptomatique dappoint, aucune recommandation thérapeutique spécifique ne peut être donnée en cas de surdosage avec signes cliniques dintoxication.
  • -Mécanisme d'action et pharmacodynamique
  • -Le pantoprazole appartient à la classe des inhibiteurs de la pompe à protons. Il conduit d'une manière spécifique et dépendant de la dose à une inhibition de l'enzyme H+/K+-ATPase des cellules pariétales, responsable de la sécrétion de l'acide gastrique.
  • -Le pantoprazole est un benzimidazole substitué. Après sa résorption, il s'accumule dans le compartiment acide des cellules pariétales, où il est transformé en sa forme active, un sulfénamide cyclique. Ce dernier se fixe ensuite à l'enzyme H+/K+-ATPase et inhibe ainsi la pompe à protons. On obtient ainsi une inhibition durable de la sécrétion basale et de la sécrétion stimulée de l'acide gastrique.
  • -Comme l'action du pantoprazole est distale au niveau des récepteurs (sur la pompe à protons), il diminue la sécrétion acide indépendamment de l'origine du stimulus (acétylcholine, histamine, gastrine).
  • -Après administration orale ou intraveineuse, le pantoprazole inhibe de manière dose-dépendante la sécrétion d'acide gastrique stimulée par la pentagastrine. Chez des volontaires, une dose orale de 40 mg a permis d'atteindre une inhibition de 51% le jour 1 et de 85% le jour 7. Toujours sous l'effet de 40 mg par voie orale, l'acidité basale sur 24 heures a baissé de 37% le jour 1 et de 98% le jour 7.
  • -La sélectivité du pantoprazole repose sur sa capacité à ne déployer la totalité de ses effets que dans le milieu fortement acide (pH <3) des cellules pariétales, alors qu'il reste largement inactif à pH plus élevé. En conséquence, le pantoprazole ne peut développer un effet pharmacologique complet, et donc un effet thérapeutique, que dans les cellules pariétales de l'estomac possédant une activité acide.
  • -Dans le cadre d'un processus de rétroaction, cet effet diminue de nouveau dans la même mesure que l'inhibition globale de la sécrétion acide. Dans les traitements au long cours par le pantoprazole, les taux de gastrine à jeun s'inscrivent à la hausse pour atteindre environ le double des valeurs normales. Mais dans la plupart des cas, les concentrations de gastrine n'augmentent pas de manière excessive. Après un traitement par voie orale, les valeurs médianes de la gastrine retombent nettement. La suppression de la sécrétion acide peut provoquer une multiplication de cellules endocrines particulières (les cellules ECL ou entérochromaffines) par l'intermédiaire d'une augmentation de la sécrétion de gastrine (hyperplasie simple à adénomateuse). Cependant, l'apparition de précurseurs carcinoïdes (hyperplasie atypique) ou de tumeurs carcinoïdes gastriques telle qu'elle a été décrite chez l'animal (voir «Données précliniques») n'a pas été observée chez l'homme.
  • -Au vu des résultats des expériences menées sur l'animal, il n'est pas totalement exclu que les traitements à long terme de plus d'un an par le pantoprazole aient un impact sur les paramètres endocriniens de la thyroïde.
  • +Mécanisme daction et pharmacodynamique
  • +Le pantoprazole appartient à la classe des inhibiteurs de la pompe à protons. Il conduit dune manière spécifique et dépendant de la dose à une inhibition de lenzyme H+/K+-ATPase des cellules pariétales, responsable de la sécrétion de lacide gastrique.
  • +Le pantoprazole est un benzimidazole substitué. Après sa résorption, il saccumule dans le compartiment acide des cellules pariétales, où il est transformé en sa forme active, un sulfénamide cyclique. Ce dernier se fixe ensuite à lenzyme H+/K+-ATPase et inhibe ainsi la pompe à protons. On obtient ainsi une inhibition durable de la sécrétion basale et de la sécrétion stimulée de lacide gastrique.
  • +Comme laction du pantoprazole est distale au niveau des récepteurs (sur la pompe à protons), il diminue la sécrétion acide indépendamment de lorigine du stimulus (acétylcholine, histamine, gastrine).
  • +Après administration orale ou intraveineuse, le pantoprazole inhibe de manière dose-dépendante la sécrétion dacide gastrique stimulée par la pentagastrine. Chez des volontaires, une dose orale de 40 mg a permis datteindre une inhibition de 51% le jour 1 et de 85% le jour 7. Toujours sous leffet de 40 mg par voie orale, lacidité basale sur 24 heures a baissé de 37% le jour 1 et de 98% le jour 7.
  • +La sélectivité du pantoprazole repose sur sa capacité à ne déployer la totalité de ses effets que dans le milieu fortement acide (pH <3) des cellules pariétales, alors quil reste largement inactif à pH plus élevé. En conséquence, le pantoprazole ne peut développer un effet pharmacologique complet, et donc un effet thérapeutique, que dans les cellules pariétales de lestomac possédant une activité acide.
  • +Dans le cadre dun processus de rétroaction, cet effet diminue de nouveau dans la même mesure que linhibition globale de la sécrétion acide. Dans les traitements au long cours par le pantoprazole, les taux de gastrine à jeun sinscrivent à la hausse pour atteindre environ le double des valeurs normales. Mais dans la plupart des cas, les concentrations de gastrine naugmentent pas de manière excessive. Après un traitement par voie orale, les valeurs médianes de la gastrine retombent nettement. La suppression de la sécrétion acide peut provoquer une multiplication de cellules endocrines particulières (les cellules ECL ou entérochromaffines) par lintermédiaire dune augmentation de la sécrétion de gastrine (hyperplasie simple à adénomateuse). Cependant, lapparition de précurseurs carcinoïdes (hyperplasie atypique) ou de tumeurs carcinoïdes gastriques telle quelle a été décrite chez lanimal (voir «Données précliniques») na pas été observée chez lhomme.
  • +Au vu des résultats des expériences menées sur lanimal, il nest pas totalement exclu que les traitements à long terme de plus dun an par le pantoprazole aient un impact sur les paramètres endocriniens de la thyroïde.
  • -Le pantoprazole est entièrement résorbé après administration par voie orale. Le taux maximal de principe actif est déjà atteint après une prise orale unique de 20 mg de pantoprazole. Les concentrations sériques maximales, d'environ 1–1,5 µg/ml, sont atteintes en moyenne environ 2,5 heures après l'administration et demeurent à ce niveau, même après une administration multiple.
  • -Les caractéristiques pharmacocinétiques restent les mêmes après une administration unique ou une administration multiple. A l'intervalle posologique étudié de 10 à 80 mg, le pantoprazole présente une cinétique presque linéaire. La biodisponibilité absolue des comprimés pelliculés est de 77%. La prise concomitante de nourriture n'affecte pas l'AUC ni la concentration sérique maximale, ni donc la biodisponibilité. Seule la variabilité du délai d'absorption est augmentée par la prise simultanée de nourriture.
  • +Le pantoprazole est entièrement résorbé après administration par voie orale. Le taux maximal de principe actif est déjà atteint après une prise orale unique de 20 mg de pantoprazole. Les concentrations sériques maximales, denviron 1-1.5 µg/ml, sont atteintes en moyenne environ 2.5 heures après ladministration et demeurent à ce niveau, même après une administration multiple.
  • +Les caractéristiques pharmacocinétiques restent les mêmes après une administration unique ou une administration multiple. A lintervalle posologique étudié de 10 à 80 mg, le pantoprazole présente une cinétique presque linéaire. La biodisponibilité absolue des comprimés pelliculés est de 77%. La prise concomitante de nourriture naffecte pas lAUC ni la concentration sérique maximale, ni donc la biodisponibilité. Seule la variabilité du délai dabsorption est augmentée par la prise simultanée de nourriture.
  • -Le volume de distribution est d'environ 0,15 l/kg. La liaison du pantoprazole aux protéines sériques est de 98%. Le passage transplacentaire du pantoprazole a été étudié sur des rates gravides. Le passage augmente avec l'avancement de la gestation. En conséquence, et indépendamment du mode d'administration, la concentration dans le foetus est accrue peu avant la mise bas.
  • -Au plus, 0,02% de la dose administrée sont excrétés chez le rat dans le lait maternel. Aucune donnée n'est actuellement disponible sur l'excrétion du produit dans le lait chez la femme.
  • +Le volume de distribution est denviron 0.15 l/kg. La liaison du pantoprazole aux protéines sériques est de 98%. Le passage transplacentaire du pantoprazole a été étudié sur des rates gravides. Le passage augmente avec lavancement de la gestation. En conséquence, et indépendamment du mode dadministration, la concentration dans le fœtus est accrue peu avant la mise bas.
  • +Au plus, 0.02% de la dose administrée sont excrétés chez le rat dans le lait maternel. Aucune donnée nest actuellement disponible sur lexcrétion du produit dans le lait chez la femme.
  • -Le pantoprazole est dégradé presque exclusivement par le foie. La principale voie métabolique est la déméthylation par le CYP2C19 avec sulfatation consécutive; les autres voies métaboliques incluent l'oxydation par le CYP3A4. Dans le sérum, tout comme dans l'urine, le métabolite principal est le desméthyl-pantoprazole conjugué au sulfate. La demi-vie du métabolite principal (environ 1,5 heure) n'est que marginalement supérieure à celle du pantoprazole. Le métabolite principal ne contribue pas à l'inhibition de l'acidité (expérimentation animale).
  • +Le pantoprazole est dégradé presque exclusivement par le foie. La principale voie métabolique est la déméthylation par le CYP2C19 avec sulfatation consécutive; les autres voies métaboliques incluent loxydation par le CYP3A4. Dans le sérum, tout comme dans lurine, le métabolite principal est le desméthyl-pantoprazole conjugué au sulfate. La demi-vie du métabolite principal (environ 1.5 heure) nest que marginalement supérieure à celle du pantoprazole. Le métabolite principal ne contribue pas à linhibition de lacidité (expérimentation animale).
  • -La demi-vie terminale d'élimination a été déterminée à environ 1 heure et la clairance est d'environ 0,1 l/h/kg. Dans quelques cas, un ralentissement de l'élimination a été observé chez des volontaires. En raison de l'activation spécifique dans les cellules pariétales, la demi-vie d'élimination ne présente aucune corrélation avec la durée d'action, qui est beaucoup plus longue (inhibition de la sécrétion acide). La majeure partie des métabolites (environ 80%) est excrétée par voie rénale, et le reste par les selles.
  • +La demi-vie terminale délimination a été déterminée à environ 1 heure et la clairance est denviron 0.1 l/h/kg. Dans quelques cas, un ralentissement de lélimination a été observé chez des volontaires. En raison de lactivation spécifique dans les cellules pariétales, la demi-vie délimination ne présente aucune corrélation avec la durée daction, qui est beaucoup plus longue (inhibition de la sécrétion acide). La majeure partie des métabolites (environ 80%) est excrétée par voie rénale, et le reste par les selles.
  • -Patients atteints d'insuffisance rénale
  • -Chez les patients présentant une insuffisance rénale (y compris les patients sous dialyse), aucune réduction posologique n'est nécessaire. Comme chez les volontaires sains, la demi-vie du pantoprazole est courte. Le pantoprazole n'est dialysé que dans une très faible mesure. Bien que le métabolite principal présente une demi-vie (2-3 heures) modérément supérieure à celle de la substance mère, aucune accumulation ne peut se produire, l'excrétion étant malgré tout rapide.
  • +Patients atteints dinsuffisance rénale
  • +Chez les patients présentant une insuffisance rénale (y compris les patients sous dialyse), aucune réduction posologique nest nécessaire. Comme chez les volontaires sains, la demi-vie du pantoprazole est courte. Le pantoprazole nest dialysé que dans une très faible mesure. Bien que le métabolite principal présente une demi-vie (2-3 heures) modérément supérieure à celle de la substance mère, aucune accumulation ne peut se produire, lexcrétion étant malgré tout rapide.
  • -Environ 3% de la population européenne présente une déficience fonctionnelle en enzyme CYP2C19 (poor metabolizers = métaboliseurs lents). Chez ces individus, le métabolisme du pantoprazole est probablement catalysé par le CYP3A4. Après une administration unique de 40 mg de pantoprazole, l'AUC moyenne était environ six fois plus élevée chez les métaboliseurs lents que chez les sujets chez lesquels l'enzyme CYP2C19 a une activité normale (extensive metabolizers). Le pic plasmatique moyen était augmenté d'environ 60%. Ces observations n'ont aucune incidence sur la posologie du pantoprazole.
  • -Patients atteints d'insuffisance hépatique, patients âgés
  • -Chez les patients présentant une cirrhose du foie (Child A, Child B), la demi-vie passe à des valeurs comprises entre 3 et 6 heures (pantoprazole 20 mg), et entre 7 et 9 heures (pantoprazole 40 mg), et l'AUC est multipliée par un facteur de 3 à 5 (pantoprazole 20 mg) et 5 à 7 (pantoprazole 40 mg). Toutefois, le taux sérique maximal n'augmente que peu par rapport aux volontaires sains, d'un facteur de 1,3 (pantoprazole 20 mg) et de 1,5 (pantoprazole 40 mg). Une légère augmentation de l'AUC et de la Cmax chez les volontaires âgés, par rapport aux volontaires jeunes, n'a aucune pertinence clinique.
  • +Environ 3% de la population européenne présente une déficience fonctionnelle en enzyme CYP2C19 (poor metabolizers = métaboliseurs lents). Chez ces individus, le métabolisme du pantoprazole est probablement catalysé par le CYP3A4. Après une administration unique de 40 mg de pantoprazole, lAUC moyenne était environ six fois plus élevée chez les métaboliseurs lents que chez les sujets chez lesquels lenzyme CYP2C19 a une activité normale (extensive metabolizers). Le pic plasmatique moyen était augmenté denviron 60%. Ces observations nont aucune incidence sur la posologie du pantoprazole.
  • +Patients atteints dinsuffisance hépatique, patients âgés
  • +Chez les patients présentant une cirrhose du foie (Child A, Child B), la demi-vie passe à des valeurs comprises entre 3 et 6 heures (pantoprazole 20 mg), et entre 7 et 9 heures (pantoprazole 40 mg), et lAUC est multipliée par un facteur de 3 à 5 (pantoprazole 20 mg) et 5 à 7 (pantoprazole 40 mg). Toutefois, le taux sérique maximal naugmente que peu par rapport aux volontaires sains, dun facteur de 1.3 (pantoprazole 20 mg) et de 1.5 (pantoprazole 40 mg). Une légère augmentation de lAUC et de la Cmax chez les volontaires âgés, par rapport aux volontaires jeunes, na aucune pertinence clinique.
  • -Les données précliniques issues d'essais conventionnels sur la pharmacologie de sécurité, la toxicité après administration réitérée et la génotoxicité ne mettent en évidence aucun risque particulier chez l'être humain.
  • +Les données précliniques issues dessais conventionnels sur la pharmacologie de sécurité, la toxicité après administration réitérée et la génotoxicité ne mettent en évidence aucun risque particulier chez lêtre humain.
  • -Les études de mutagénicité, les tests de mutation cellulaire et une étude de fixation sur l'ADN permettent de conclure que le pantoprazole ne présente aucun potentiel génotoxique.
  • -Au cours d'une étude de carcinogénicité sur 2 ans menée chez le rat (correspondant à un traitement à vie chez le rat), des tumeurs neuroendocrines ont été retrouvées. De plus, des papillomes des cellules squameuses sont apparus dans l'estomac antérieur du rat. Le mécanisme entraînant la formation de tumeurs carcinoïdes gastriques par les benzimidazoles substitués a été étudié de façon approfondie et permet de conclure qu'il s'agit d'une réaction indirecte à l'élévation massive du taux de gastrine sérique chez le rat lors de l'administration chronique de la substance.
  • -Durant les études menées sur 2 ans chez le rat et la souris femelle, une augmentation du nombre des tumeurs hépatiques a été observée et est interprétée comme une conséquence de l'important métabolisme hépatique du pantoprazole.
  • -Une légère augmentation des transformations néoplasiques de la thyroïde a par ailleurs été observée dans le groupe de rats ayant reçu la plus forte dose. L'apparition de ces néoplasies est associée aux modifications induites par le pantoprazole dans la dégradation de la thyroxine au niveau hépatique chez le rat.
  • -La dose thérapeutique chez l'être humain étant faible, aucun effet sur la glande thyroïde n'est attendu.
  • -Une étude de reproduction chez le rat avec administration par voie orale a permis de mettre en évidence des signes de légère foetotoxicité (ossification incomplète du crâne) au-delà d'un dosage de 5 mg/kg.
  • -Les essais n'ont montré aucune influence sur la fertilité ni aucun effet tératogène. Le passage transplacentaire du pantoprazole a été étudié chez le rat et augmente avec l'avancement de la gestation. En conséquence, la concentration du pantoprazole chez le foetus est accrue peu avant la mise bas.
  • +Les études de mutagénicité, les tests de mutation cellulaire et une étude de fixation sur lADN permettent de conclure que le pantoprazole ne présente aucun potentiel génotoxique.
  • +Au cours dune étude de carcinogénicité sur 2 ans menée chez le rat (correspondant à un traitement à vie chez le rat), des tumeurs neuroendocrines ont été retrouvées. De plus, des papillomes des cellules squameuses sont apparus dans lestomac antérieur du rat. Le mécanisme entraînant la formation de tumeurs carcinoïdes gastriques par les benzimidazoles substitués a été étudié de façon approfondie et permet de conclure quil sagit dune réaction indirecte à lélévation massive du taux de gastrine sérique chez le rat lors de ladministration chronique de la substance.
  • +Durant les études menées sur 2 ans chez le rat et la souris femelle, une augmentation du nombre des tumeurs hépatiques a été observée et est interprétée comme une conséquence de limportant métabolisme hépatique du pantoprazole.
  • +Une légère augmentation des transformations néoplasiques de la thyroïde a par ailleurs été observée dans le groupe de rats ayant reçu la plus forte dose. Lapparition de ces néoplasies est associée aux modifications induites par le pantoprazole dans la dégradation de la thyroxine au niveau hépatique chez le rat.
  • +La dose thérapeutique chez lêtre humain étant faible, aucun effet sur la glande thyroïde nest attendu.
  • +Une étude de reproduction chez le rat avec administration par voie orale a permis de mettre en évidence des signes de légère fœtotoxicité (ossification incomplète du crâne) au-delà dun dosage de 5 mg/kg.
  • +Les essais nont montré aucune influence sur la fertilité ni aucun effet tératogène. Le passage transplacentaire du pantoprazole a été étudié chez le rat et augmente avec lavancement de la gestation. En conséquence, la concentration du pantoprazole chez le fœtus est accrue peu avant la mise bas.
  • -Conserver à température ambiante (15-25 °C) et hors de la portée des enfants.
  • +Conserver à température ambiante (15-25°C) et hors de la portée des enfants.
  • -Acido-X, comprimés pelliculés gastro-résistants 7. [C]
  • -Acido-X, comprimés pelliculés gastro-résistants 14. [C]
  • +Acido-X, comprimés pelliculés gastrorésistants 7. [C]
  • +Acido-X, comprimés pelliculés gastrorésistants 14. [C]
  • -Mai 2016.
  • +Juillet 2017.
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