138 Changements de l'information professionelle Atorva Viatris 10 mg |
-Noyau du comprimé: calcii carbonas, cellulosum microcristallinum, lactosum monohydricum (27.25 mg), carmellosum natricum conexum (corresp. 1.123 mg natrium), polysorbatum 80, hydroxypropylcellulosum (E463), magnesii stearas.
- +Noyau du comprimé: calcii carbonas, cellulosum microcristallinum, lactosum monohydricum (27,25 mg), carmellosum natricum conexum (corresp. 1,123 mg natrium), polysorbatum 80, hydroxypropylcellulosum (E463), magnesii stearas.
-Teneur en sodium: 1.123 mg par comprimé pelliculé.
-Ce médicament contient 0.00004 mg d'acide benzoïque par comprimé pelliculé.
- +Teneur en sodium: 1,123 mg par comprimé pelliculé.
- +Ce médicament contient 0,00004 mg d'acide benzoïque par comprimé pelliculé.
-Noyau du comprimé: calcii carbonas, cellulosum microcristallinum, lactosum monohydricum (54.50 mg), carmellosum natricum conexum (corresp. 2.246 mg natrium), polysorbatum 80, hydroxypropylcellulosum (E463), magnesii stearas.
- +Noyau du comprimé: calcii carbonas, cellulosum microcristallinum, lactosum monohydricum (54,50 mg), carmellosum natricum conexum (corresp. 2,246 mg natrium), polysorbatum 80, hydroxypropylcellulosum (E463), magnesii stearas.
-Teneur en sodium: 2.246 mg par comprimé pelliculé.
-Ce médicament contient 0.00008 mg d'acide benzoïque par comprimé pelliculé.
- +Teneur en sodium: 2,246 mg par comprimé pelliculé.
- +Ce médicament contient 0,00008 mg d'acide benzoïque par comprimé pelliculé.
-Noyau du comprimé: calcii carbonas, cellulosum microcristallinum, lactosum monohydricum (109.00 mg), carmellosum natricum conexum (corresp. 4.493 mg natrium), polysorbatum 80, hydroxypropylcellulosum (E463), magnesii stearas.
- +Noyau du comprimé: calcii carbonas, cellulosum microcristallinum, lactosum monohydricum (109,00 mg), carmellosum natricum conexum (corresp. 4,493 mg natrium), polysorbatum 80, hydroxypropylcellulosum (E463), magnesii stearas.
-Teneur en sodium: 4.493 mg par comprimé pelliculé.
-Ce médicament contient 0.00016 mg d'acide benzoïque par comprimé pelliculé.
- +Teneur en sodium: 4,493 mg par comprimé pelliculé.
- +Ce médicament contient 0,00016 mg d'acide benzoïque par comprimé pelliculé.
-Noyau du comprimé: calcii carbonas, cellulosum microcristallinum, lactosum monohydricum (218.00 mg), carmellosum natricum conexum (corresp. 8.986 mg natrium), polysorbatum 80, hydroxypropylcellulosum (E463), magnesii stearas.
- +Noyau du comprimé: calcii carbonas, cellulosum microcristallinum, lactosum monohydricum (218,00 mg), carmellosum natricum conexum (corresp. 8,986 mg natrium), polysorbatum 80, hydroxypropylcellulosum (E463), magnesii stearas.
-Teneur en sodium: 8.986 mg par comprimé pelliculé.
-Ce médicament contient 0.00032 mg d'acide benzoïque par comprimé pelliculé.
- +Teneur en sodium: 8,986 mg par comprimé pelliculé.
- +Ce médicament contient 0,00032 mg d'acide benzoïque par comprimé pelliculé.
-Réduction des taux trop élevés de cholestérol total et de cholestérol-LDL chez les patients présentant une hypercholestérolémie familiale à l'état homozygote, en traitement complémentaire à d'autres thérapies hypolipémiantes (p.ex. aphérèse des LDL) ou en monothérapie si d'autres mesures thérapeutiques ne sont pas disponibles.
- +Réduction des taux trop élevés de cholestérol total et de cholestérol-LDL chez les patients présentant une hypercholestérolémie familiale à l'état homozygote, en traitement complémentaire à d'autres thérapies hypolipémiantes (p.ex. hémaphérèse des LDL) ou en monothérapie si d'autres mesures thérapeutiques ne sont pas disponibles.
-Avant d'être traité par atorvastatine, le patient devra être soumis à un régime alimentaire visant à faire baisser le taux de cholestérol et devra continuer le régime pendant la durée du traitement par atorvastatine.
- +Avant d'être traité par atorvastatine, le patient devra être soumis à un régime alimentaire destiné à faire baisser le taux de cholestérol et devra continuer le régime pendant la durée du traitement par atorvastatine.
-Dans leur grande majorité, les patients répondent favorablement à l'administration de 10 mg d'atorvastatine 1x par jour. Un effet notable peut être observé en l'espace de 2 semaines. En général, l'effet maximum se manifeste dès 4 semaines de traitement et se maintient en cas de traitement prolongé.
- +Dans leur grande majorité, les patients répondent favorablement à l'administration de 10 mg d'atorvastatine 1x par jour. Un effet notable peut être observé en l'espace de 2 semaines. En général, l'effet maximal se manifeste au bout de 4 semaines déjà et se maintient en cas de traitement prolongé.
-Adultes: La posologie recommandée est de 10-80 mg/jour. Dans une étude menée chez des patients atteints d'hypercholestérolémie familiale à l'état homozygote, la plupart des patients ont répondu à une posologie de 80 mg d'atorvastatine par une réduction du taux de cholestérol-LDL de plus de 15% (18 à 45%).
- +Adultes: La posologie recommandée est de 10-80 mg/jour. Dans une étude menée chez des patients atteints d'hypercholestérolémie familiale à l'état homozygote, la plupart des patients a répondu à une posologie de 80 mg d'atorvastatine par une réduction du taux de cholestérol-LDL de plus de 15% (18-45%).
-Utilisation combinée avec d'autres médicaments
-L'association d'atorvastatine et de divers médicaments (p.ex. ciclosporine, clarithromycine, itraconazole et divers inhibiteurs de protéases) augmente le risque d'apparition d'une myopathie. Aussi faut-il respecter des recommandations posologiques différentes. Celles-ci sont mentionnées sous la rubrique «Mises en garde et précautions/Effets sur la musculature», ainsi que sous «Interactions».
- +Traitement associé
- +L'association d'atorvastatine et de divers médicaments (p.ex. ciclosporine, clarithromycine, itraconazole et divers inhibiteurs de protéases) augmente le risque d'apparition d'une myopathie. Aussi faut-il respecter des recommandations posologiques différentes. Celles-ci sont mentionnées sous la rubrique «Mises en garde et précautions - Effets sur la musculature», ainsi que sous «Interactions».
-Une insuffisance rénale n'influence ni les concentrations plasmatiques ni les effets de l'atorvastatine sur les lipides. Une adaptation de la posologie n'est donc pas nécessaire (voir «Mises en garde et précautions/Effets sur la musculature»).
- +Une insuffisance rénale n'influence ni les concentrations plasmatiques ni les effets de l'atorvastatine sur les lipides. Une adaptation de la posologie n'est donc pas nécessaire (voir «Mises en garde et précautions - Effets sur la musculature»).
-Patients souffrant d'une pathologie active du foie ou présentant une élévation durable et d'origine incertaine des transaminases sériques à plus du triple de la valeur normale, d'une cholestase et de myopathies.
- +Patients souffrant d'une pathologie active du foie ou présentant une élévation durable et d'origine incertaine des transaminases sériques à plus du triple de la valeur normale, d'une cholestase et de myopathie.
-Comme c'est le cas pour d'autres inhibiteurs de l'HMG-CoA-réductase, on a également observé sous atorvastatine des valeurs de transaminases sériques modérément élevées. Ces changements, intervenus peu après le début du traitement, étaient dose-dépendants et souvent transitoires, non accompagnés de symptômes et n'ont pas nécessité un arrêt du traitement. Dans le cadre des études cliniques, moins de 1% des patients ont présenté des élévations sensibles (plus de 3 fois la valeur normale) et persistantes de l'activité enzymatique. Dans les études cliniques, la fréquence de ces événements était respectivement de 0.2%, 0.2%, 0.6% et 2.3% pour les doses de 10 mg, 20 mg, 40 mg et 80 mg d'atorvastatine. Ces élévations n'étaient, en général, pas accompagnées d'ictères ni d'autres symptômes cliniques. Après réduction de la posologie, interruption ou arrêt du médicament, les transaminases sont retombées aux valeurs précédant le début du traitement.
-L'atorvastatine doit être utilisée avec prudence chez les patients qui consomment des quantités non négligeables d'alcool et/ou qui présentent déjà des antécédents de maladie hépatique.
- +Comme c'est le cas pour d'autres inhibiteurs de l'HMG-CoA-réductase, on a également observé sous atorvastatine des valeurs de transaminases sériques modérément élevées. Ces changements, intervenus peu après le début du traitement, étaient dose-dépendants et souvent transitoires, non accompagnés de symptômes et n'ont pas nécessité un arrêt du traitement. Dans le cadre des études cliniques, moins de 1% des patients ont présenté des élévations sensibles (plus de 3 fois la valeur normale) et persistantes de l'activité enzymatique. Dans les études cliniques, la fréquence de ces événements était respectivement de 0,2%, 0,2%, 0,6% et 2,3% pour les doses de 10 mg, 20 mg, 40 mg et 80 mg d'atorvastatine. Ces élévations n'étaient, en général, pas accompagnées d'ictères ni d'autres symptômes cliniques. Après réduction de la posologie, interruption ou arrêt du médicament, les transaminases sont retombées aux valeurs précédant le début du traitement.
- +L'atorvastatine devrait être utilisée avec prudence chez les patients qui consomment des quantités non négligeables d'alcool et/ou présentant un antécédent de maladie hépatique.
-Une analyse post-hoc des sous-types d'accident vasculaire cérébral a été réalisée chez les patients indemnes de cardiopathie coronarienne ayant récemment fait un accident vasculaire cérébral (AVC) ou un accident ischémique transitoire (AIT). Les résultats ont montré que l'incidence d'un AVC hémorragique était plus élevée chez les patients qui avaient commencé un traitement par atorvastatine à 80 mg que chez les patients sous placebo. Le risque accru a été observé notamment chez les patients qui avaient fait un AVC hémorragique ou un infarctus lacunaire avant leur inclusion dans l'étude. Le rapport bénéfice/risque d'un traitement par atorvastatine à 80 mg est incertain chez le patient ayant des antécédents d'AVC hémorragique ou lacunaire. En conséquence, le risque potentiel d'un AVC hémorragique doit être soigneusement évalué avant le début du traitement.
- +Une analyse post-hoc des sous-types d'accident vasculaire cérébral a été réalisée chez les patients indemnes de cardiopathie coronarienne ayant récemment fait un accident vasculaire cérébral (AVC) ou un accident ischémique transitoire (AIT). Les résultats ont montré que l'incidence d'un AVC hémorragique était plus élevée chez les patients qui avaient commencé un traitement par atorvastatine à 80 mg que chez les patients sous placebo. Le risque accru a été observé en particulier chez les patients qui avaient fait un infarctus hémorragique ou lacunaire avant leur inclusion dans l'étude. Le rapport bénéfice/risque d'un traitement par atorvastatine à 80 mg est incertain chez le patient avec antécédents d'infarctus hémorragique ou lacunaire. En conséquence, le risque potentiel d'un infarctus hémorragique doit être soigneusement évalué avant le début du traitement.
-Dans de très rares cas, on a rapporté la survenue d'une myopathie nécrosante auto-immune (immune-mediated necrotizing myopathy; IMNM) pendant ou après le traitement avec certaines statines. Les caractéristiques cliniques d'une IMNM sont une faiblesse musculaire proximale persistante et une augmentation du taux de créatine-kinase dans le sérum sanguin qui perdure malgré l'arrêt du traitement aux statines.
-Il convient d'informer les patients de la nécessité de se manifester immédiatement lors de l'apparition de troubles musculaires, en particulier si ces troubles sont accompagnés de fièvre et/ou d'épuisement. Le traitement d'atorvastatine doit être immédiatement interrompu en cas d'élévation significative des valeurs de la créatine phosphokinase (CPK), ou de diagnostic ou de suspicion de myopathie.
- +Dans de très rares cas, on a rapporté la survenue d'une myopathie nécrosante auto-immune (immune-mediated necrotizing myopathy; IMNM) pendant ou après le traitement avec certaines statines. Les caractéristiques cliniques d'une IMNM sont une faiblesse musculaire proximale persistante et une augmentation du taux de créatine-kinase dans le sérum sanguin qui perdure malgré l'arrêt du traitement par les statines.
- +Les patients doivent être informés qu'ils devront se manifester immédiatement lors de l'apparition de troubles musculaires, en particulier si ces troubles sont accompagnés de fièvre et/ou d'épuisement. Le traitement d'atorvastatine doit être immédiatement interrompu en cas d'élévation significative des valeurs de la créatine phosphokinase (CPK), ou de diagnostic ou de suspicion de myopathie.
- +En cas d'administration concomitante d'inhibiteurs de l'HMG-CoA-réductase (p.ex. atorvastatine) et de daptomycine, le risque de myopathie et/ou de rhabdomyolyse peut être accru (voir «Interactions»). Il convient d'envisager d'interrompre temporairement le traitement par Atorva Viatris chez les patients traités par daptomycine, sauf si la nécessité d'une utilisation concomitante l'emporte sur le risque. Si une administration concomitante n'est pas évitable, les taux de CK doivent être mesurés deux à trois fois par semaine et il convient de surveiller rigoureusement les patients pour détecter tout signe ou symptôme évocateur d'une myopathie.
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-Des cas de rhabdomyolyse (dont quelques décès) chez des patients ayant reçu des préparations systémiques à base d'acide fusidique en association avec des statines ont été rapportés (voir «Interactions»).
- +On a rapporté des cas de rhabdomyolyse (y compris quelques décès) chez des patients ayant reçu des préparations systémiques à base d'acide fusidique en association avec des statines (voir «Interactions»).
-Le traitement aux statines peut reprendre 7 jours après la dernière prise d'acide fusidique.
- +Le traitement par les statines peut reprendre 7 jours après la dernière prise d'acide fusidique.
-Il existe des indices suggérant que les statines en tant que classe de substances augmentent la glycémie et que chez certains patients porteurs d'un risque élevé de développer un diabète futur, elles sont susceptibles de provoquer une hyperglycémie, qui requiert un traitement de diabète adéquat. Ce risque est toutefois compensé par la réduction du risque vasculaire par les statines et ne devrait donc pas conduire à une interruption du traitement par les statines. En accord avec les directives nationales, les patients à risque (glycémie à jeun de 5.6 à 6.9 mmol/l, IMC >30 kg/m2, valeur élevée de triglycérides, hypertension), doivent être surveillés tant sur le plan clinique qu'en ce qui concerne les valeurs de laboratoire importantes.
- +Il existe des indices suggérant que les statines en tant que classe de substances augmentent la glycémie et que chez certains patients porteurs d'un risque élevé de développer un diabète futur, elles sont susceptibles de provoquer une hyperglycémie, qui requiert un traitement d'antidiabétique adéquat. Ce risque est toutefois compensé par la réduction du risque vasculaire par les statines et ne devrait donc pas conduire à une interruption du traitement par les statines. En accord avec les directives nationales, les patients à risque (glycémie à jeun de 5,6 à 6,9 mmol/l, IMC >30 kg/m2, valeur élevée de triglycérides, hypertension), doivent être surveillés tant sur le plan clinique qu'en ce qui concerne les valeurs de laboratoire importantes.
-La créatine-phosphokinase (CPK) ne devrait pas être mesurée après des efforts physiques intenses ou si une autre cause est susceptible de provoquer une élévation du taux de CPK, car cela complique l'interprétation des données. Si, au début du traitement, les taux de CPK sont nettement trop élevés (plus de 5 fois la valeur supérieure de la norme) il est recommandé de procéder, à des fins de vérification, à de nouvelles mesures dans un délai de 5 à 7 jours.
- +La créatine-phosphokinase (CPK) ne devrait pas être mesurée après des efforts physiques intenses ou si une autre cause est susceptible de provoquer une élévation du taux de CPK, car cela complique l'interprétation des données. Si, avant le début du traitement, les taux de CPK sont nettement augmentés (plus de 5 fois la limite supérieure de la normale) il faudrait procéder, à des fins de vérification, à de nouvelles mesures en l'espace de 5 à 7 jours.
-Les statines doivent être prescrites avec prudence aux patients présentant des facteurs prédisposant à l'apparition d'une rhabdomyolyse. Des mesures de la créatine-phosphokinase doivent être effectuées avant un traitement aux statines dans les cas suivants:
- +Les statines doivent être prescrites avec prudence aux patients présentant des facteurs prédisposant à l'apparition d'une rhabdomyolyse. Des mesures de la créatine-phosphokinase doivent être effectuées avant un traitement par les statines dans les cas suivants:
-·patients âgés (>70 ans). Une telle mesure devrait être envisagée lorsque ce type de patients présente des facteurs prédisposant à l'apparition d'une rhabdomyolyse.
-Dans de telles situations, il est nécessaire de procéder à une analyse précise des avantages et des risques et d'effectuer une surveillance clinique. Si, en début de traitement, les taux de CPK sont nettement trop élevés (plus de 5 fois la valeur supérieure de la norme), il convient de renoncer à commencer une thérapie.
- +·patients âgés (>70 ans). Une telle mesure doit être envisagée lorsque ce type de patients présente des facteurs prédisposant à l'apparition d'une rhabdomyolyse.
- +Dans de telles situations, il est nécessaire de procéder à une analyse précise des bénéfices et des risques et d'effectuer une surveillance clinique. Si, avant le traitement, les taux de CPK sont nettement augmentés (plus de 5 fois la limite supérieure de la normale), il convient de renoncer à commencer une thérapie.
-Si au cours d'un traitement par statines, un patient souffre de douleurs, de faiblesse ou de crampes musculaires, le taux de CPK doit être mesuré. Si le taux sanguin est significativement élevé (plus de 5 fois la valeur supérieure de la norme), le traitement doit être arrêté.
-L'arrêt du traitement doit être envisagé lorsque les symptômes musculaires se révèlent importants et qu'ils constituent une gêne permanente, même si les taux de CPK sont inférieurs à 5 fois la valeur supérieure de la norme.
-Un nouveau traitement par la même statine ou une autre statine peut être envisagé avec un dosage minimal et une surveillance accrue lorsque les symptômes disparaissent et que le taux de CPK s'est normalisé.
- +Si au cours d'un traitement par statines, un patient souffre de douleurs, de faiblesse ou de crampes musculaires, le taux de CPK doit être mesuré. Si le taux sanguin est significativement augmenté (plus de 5 fois la limite supérieure de la normale), le traitement doit être arrêté.
- +L'arrêt du traitement doit être envisagé lorsque les symptômes musculaires se révèlent importants et qu'ils constituent une gêne permanente, même si les taux de CPK sont inférieurs à 5 fois la limite supérieure de la normale.
- +Un nouveau traitement par la même statine ou une statine alternative peut être envisagé avec un dosage minimal et une surveillance accrue lorsque les symptômes disparaissent et que le taux de CPK s'est normalisé.
-La prudence est de mise en cas de changement de traitement vers une autre forme pharmaceutique et/ou un autre médicament contenant le même principe actif. Le patient doit alors faire l'objet d'une surveillance adaptée.
- +La prudence est de mise en cas de changement de traitement vers une autre forme galénique et/ou un autre médicament contenant le même principe actif. Le patient doit alors faire l'objet d'une surveillance adaptée.
-Ce médicament contient du lactose. Les patients atteints de la rare intolérance héréditaire au galactose, d'un déficit total en lactase ou d'une malabsorption du glucose et du galactose ne doivent pas prendre ce médicament.
-Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c.-à-d. qu'il est essentiellement «sans sodium».
-Ce médicament contient 0.00004 mg, 0.00008 mg, 0.00016 mg resp. 0.00032 mg d'acide benzoïque par comprimé pelliculé de 10 mg, 20 mg, 40 mg resp. 80 mg.
- +Ce médicament contient du lactose. Les patients atteints de la rare intolérance héréditaire au galactose, d'un déficit total en lactase ou d'une malabsorption du glucose et du galactose ne doivent pas utiliser ce médicament.
- +Ce médicament contient moins de 1 mmol (23 mg) de sodium par comprimé pelliculé, c.-à-d. qu'il est pratiquement «sans sodium».
- +Ce médicament contient 0,00004 mg, 0,00008 mg, 0,00016 mg resp. 0,00032 mg d'acide benzoïque par comprimé pelliculé de 10 mg, 20 mg, 40 mg resp. 80 mg.
-Le risque de myopathie sous inhibiteur de l'HMG-CoA-réductase est augmenté en cas de traitement simultané par la ciclosporine et d'autres immunosuppresseurs, les fibrates, l'acide nicotinique (niacine), des inhibiteurs du cytochrome P450 3A4/des transporteurs ou les antifongiques azolés (voir «Mises en garde et précautions/Effets sur la musculature» et «Pharmacocinétique»).
- +Le risque de myopathie sous inhibiteur de l'HMG-CoA-réductase est augmenté en cas de traitement simultané par la ciclosporine et d'autres immunosuppresseurs, les fibrates, l'acide nicotinique (niacine), des inhibiteurs du cytochrome P450 3A4/des transporteurs ou les antifongiques azolés (voir «Mises en garde et précautions - Effets sur la musculature» et «Pharmacocinétique»).
-·Érythromycine/clarithromycine: Chez les sujets sains, la prise simultanée d'érythromycine 500 mg 4x par jour a entraîné une augmentation des concentrations plasmatiques de l'atorvastatine. L'AUC de l'atorvastatine après administration simultanée de 80 mg d'atorvastatine et de clarithromycine 500 mg 2x/jour était augmentée de manière significative (voir «Pharmacocinétique/Tableau 2»). Chez les patients qui reçoivent l'association, la plus faible dose d'atorvastatine nécessaire doit être utilisée avec prudence. En cas de doses d'atorvastatine supérieures à 20 mg, une surveillance clinique des patients est recommandée.
-·Inhibiteurs de la protéase: L'administration simultanée d'atorvastatine 10-40 mg et (d'associations) d'inhibiteurs de la protéase du VIH (p.ex. lopinavir, nelfinavir, ritonavir, saquinavir) ou d'inhibiteurs de la protéase de l'hépatite C (p.ex. télaprévir, glécaprévir/pibrentasvir) a entraîné une augmentation significative des concentrations plasmatiques de l'atorvastatine (voir «Pharmacocinétique/Tableau 2»). Pour cette raison, chez les patients traités par l'association d'inhibiteurs de la protéase du VIH tipranavir/ritonavir ou par le télaprévir, un inhibiteur de la protéase de l'hépatite C, la dose quotidienne de 10 mg d'atorvastatine ne doit pas être dépassée. L'utilisation simultanée de préparations contenant du glécaprévir ou du pibrentasvir est contre-indiquée (voir «Contre-indications»). Les patients qui prennent les inhibiteurs de la protéase du VIH lopinavir/ritonavir, saquinavir/ritonavir, darunavir/ritonavir, fosamprénavir, fosamprénavir/ritonavir, nelfinavir ou les inhibiteurs de la protéase de l'hépatite C bocéprévir, elbasvir/grazoprévir ou siméprévir (non autorisé en Suisse) doivent être traités avec prudence et à la plus faible dose d'atorvastatine nécessaire. Les patients doivent faire l'objet d'une étroite surveillance.
-·Cimétidine: Aucune interaction cliniquement significative n'a été rapportée dans une étude des interactions entre l'atorvastatine et la cimétidine (voir «Pharmacocinétique/Tableau 2»).
-·Diltiazem: Lors de l'administration simultanée d'une dose unique d'atorvastatine (40 mg) et de diltiazem (240 mg par jour à l'état d'équilibre [steady state]), on a observé une augmentation des concentrations plasmatiques de l'atorvastatine (voir «Pharmacocinétique/Tableau 2»).
-·Itraconazole: L'administration concomitante d'atorvastatine (20-40 mg) et d'itraconazole (200 mg) était associée à une augmentation de l'AUC de l'atorvastatine (voir «Pharmacocinétique/Tableau 2»). Les patients recevant cette association doivent être traités avec prudence et à la plus faible dose d'atorvastatine nécessaire.
-·Jus de pamplemousse: Le jus de pamplemousse contient une ou plusieurs substances inhibitrices du CYP3A4; il peut donc entraîner une élévation du taux plasmatique de médicaments métabolisés via le CYP3A4, en particulier lors de consommation excessive (>1.2 l/jour) (voir «Pharmacocinétique/Tableau 2»).
-La prudence est par conséquent de rigueur lors de la prise simultanée d'inhibiteurs du CYP3A4 (antibiotiques macrolides, y compris l'érythromycine et la clarithromycine, le kétoconazole, l'itraconazole, le voriconazole, les inhibiteurs de la protéase, le diltiazem et la ciclosporine). Voir «Mises en garde et précautions/Effets sur la musculature».
-Inhibiteurs des transporteurs: L'atorvastatine est un substrat des transporteurs hépatiques (voir «Pharmacocinétique/Tableau 2»). L'administration concomitante de 10 mg d'atorvastatine et de 5.2 mg/kg/jour de ciclosporine a entraîné une augmentation de l'exposition à l'atorvastatine (rapport AUC: 8.7, voir «Pharmacocinétique»). La ciclosporine est un inhibiteur du polypeptide transporteur d'anions organiques 1B1 (OATP1B1), de l'OATP1B3, de la Multidrug Resistance Protein 1 (MDR1) et de la protéine de résistance du cancer du sein (breast cancer resistance protein, BCRP) ainsi que du CYP3A4, c'est pourquoi elle augmente l'exposition à l'atorvastatine. La dose quotidienne de 10 mg d'atorvastatine ne doit pas être dépassée (voir «Mises en garde et précautions/Tableau 1»). Une surveillance clinique de ces patients est recommandée.
- +·Érythromycine/clarithromycine: Chez les sujets sains, la prise simultanée d'érythromycine 500 mg 4x par jour a entraîné une augmentation des concentrations plasmatiques de l'atorvastatine. L'AUC de l'atorvastatine après administration simultanée de 80 mg d'atorvastatine et de clarithromycine 500 mg 2x/jour était augmentée de manière significative (voir «Pharmacocinétique - Tableau 2»). Chez les patients qui reçoivent l'association, la plus faible dose d'atorvastatine nécessaire doit être utilisée, et ce, avec prudence. En cas de doses d'atorvastatine supérieures à 20 mg, une surveillance clinique des patients est recommandée.
- +·Inhibiteurs de la protéase: L'administration simultanée d'atorvastatine 10-40 mg et (d'associations) d'inhibiteurs de la protéase du VIH (p.ex. lopinavir, nelfinavir, ritonavir, saquinavir) ou d'inhibiteurs de la protéase de l'hépatite C (p.ex. télaprévir, glécaprévir/pibrentasvir) a entraîné une augmentation significative des concentrations plasmatiques de l'atorvastatine (voir «Pharmacocinétique - Tableau 2»). Pour cette raison, chez les patients traités par l'association d'inhibiteurs de la protéase du VIH tipranavir/ritonavir ou par le télaprévir, un inhibiteur de la protéase de l'hépatite C, la dose quotidienne de 10 mg d'atorvastatine ne doit pas être dépassée. L'utilisation simultanée de préparations contenant du glécaprévir ou du pibrentasvir est contre-indiquée (voir «Contre-indications»). Les patients qui prennent les inhibiteurs de la protéase du VIH lopinavir/ritonavir, saquinavir/ritonavir, darunavir/ritonavir, fosamprénavir, fosamprénavir/ritonavir, nelfinavir ou les inhibiteurs de la protéase de l'hépatite C bocéprévir, elbasvir/grazoprévir ou siméprévir (non autorisé en Suisse) doivent être traités avec prudence et à la plus faible dose d'atorvastatine nécessaire. Les patients doivent faire l'objet d'une étroite surveillance.
- +·Cimétidine: Aucune interaction cliniquement significative n'a été rapportée dans une étude des interactions entre l'atorvastatine et la cimétidine (voir «Pharmacocinétique - Tableau 2»).
- +·Diltiazem: Lors de l'administration simultanée d'une dose unique d'atorvastatine (40 mg) et de diltiazem (240 mg par jour à l'état d'équilibre [steady state]), on a observé une augmentation des concentrations plasmatiques de l'atorvastatine (voir «Pharmacocinétique - Tableau 2»).
- +·Itraconazole: L'administration concomitante d'atorvastatine (20-40 mg) et d'itraconazole (200 mg) était associée à une augmentation de l'AUC de l'atorvastatine (voir «Pharmacocinétique - Tableau 2»). Les patients recevant cette association doivent être traités avec prudence et à la plus faible dose d'atorvastatine nécessaire.
- +·Jus de pamplemousse: Le jus de pamplemousse contient une ou plusieurs substances inhibitrices du CYP3A4; il peut donc entraîner une élévation du taux plasmatique de médicaments métabolisés via le CYP3A4, en particulier lors d'une consommation excessive (>1,2 l/jour) (voir «Pharmacocinétique - Tableau 2»).
- +La prudence est par conséquent de mise lors de la prise simultanée d'inhibiteurs du CYP3A4 (antibiotiques macrolides, y compris l'érythromycine et la clarithromycine, le kétoconazole, l'itraconazole, le voriconazole, les inhibiteurs de la protéase, le diltiazem et la ciclosporine). Voir «Mises en garde et précautions - Effets sur la musculature».
- +Inhibiteurs des transporteurs: L'atorvastatine est un substrat des transporteurs hépatiques (voir «Pharmacocinétique - Tableau 2»). L'administration concomitante de 10 mg d'atorvastatine et de 5,2 mg/kg/jour de ciclosporine a entraîné une augmentation de l'exposition à l'atorvastatine (rapport AUC: 8,7, voir «Pharmacocinétique»). La ciclosporine est un inhibiteur du polypeptide transporteur d'anions organiques 1B1 (OATP1B1), de l'OATP1B3, de la Multidrug Resistance Protein 1 (MDR1) et de la protéine de résistance du cancer du sein (breast cancer resistance protein, BCRP) ainsi que du CYP3A4, c'est pourquoi elle augmente l'exposition à l'atorvastatine. La dose quotidienne de 10 mg d'atorvastatine ne doit pas être dépassée (voir «Mises en garde et précautions - Tableau 1»). Une surveillance clinique de ces patients est recommandée.
-L'administration simultanée de 20 mg d'atorvastatine et de letermovir (480 mg par jour) a entraîné une élévation de la concentration plasmatique de l'atorvastatine (rapport AUC: 3.29; voir «Pharmacocinétique/Tableau 2»). Le letermovir inhibe les transporteurs d'efflux P-gp, BCRP, MRP2, OAT2 ainsi que les transporteurs hépatiques OATP1B1 et OATP1B3, ce qui entraîne une élévation de la concentration plasmatique de l'atorvastatine. La dose quotidienne de 20 mg d'atorvastatine ne doit pas être dépassée (voir «Mises en garde et précautions/Tableau 1»). L'ampleur des interactions induites par le CYP3A et l'OATP1B1/B3 peut varier si le letermovir est administré simultanément avec la ciclosporine. L'utilisation d'atorvastatine n'est donc pas recommandée chez les patients traités par l'association letermovir/ciclosporine.
-L'elbasvir et le grazoprévir sont des inhibiteurs de l'OATP1B1, de l'OATP1B3, de la MDR1 et de la BCRP, c'est pourquoi ils augmentent l'exposition à l'atorvastatine. Les patients qui reçoivent cette association doivent être traités avec prudence et à la plus faible dose d'atorvastatine nécessaire (voir «Mises en garde et précautions/Tableau 1»). La dose quotidienne d'atorvastatine ne doit pas dépasser 20 mg.
-Inducteurs du cytochrome P450 3A4: L'administration simultanée d'atorvastatine et d'inducteurs du CYP3A4 (p.ex. éfavirenz, rifampicine) peut entraîner une diminution d'importance variable des concentrations plasmatiques de l'atorvastatine. En raison du double mécanisme d'interaction de la rifampicine (induction du CYP3A4 et inhibition du transporteur de la captation hépatique OATP1B1), il est conseillé de prendre l'atorvastatine et la rifampicine simultanément, car la prise de l'atorvastatine à distance de la rifampicine a été associée à une réduction significative des concentrations plasmatiques de l'atorvastatine (voir «Pharmacocinétique/Tableau 2»).
-Digoxine: La prise concomitante de doses multiples de digoxine et de 10 mg d'atorvastatine n'a entraîné aucune élévation de la concentration plasmatique de digoxine à l'état d'équilibre. En revanche, la concentration plasmatique de digoxine a augmenté après la prise concomitante de digoxine et de 80 mg d'atorvastatine par jour (rapport AUC: 1.15; voir «Pharmacocinétique/Tableau 3»). Les patients sous digoxine doivent donc être surveillés en conséquence.
-Gemfibrozil/fibrates: La prise simultanée de fibrates peut augmenter le risque de survenue d'une myopathie déclenchée par l'atorvastatine. Selon les résultats d'études in vitro, le gemfibrozil inhibe la glucuronidation de l'atorvastatine. Cela peut éventuellement conduire à une augmentation des taux plasmatiques d'atorvastatine (voir «Pharmacocinétique/Tableau 2»). L'utilisation simultanée de gemfibrozil et d'atorvastatine doit être évitée. L'utilisation simultanée d'autres fibrates et d'atorvastatine doit être effectuée avec prudence (voir «Mises en garde et précautions/Effets sur la musculature»).
- +L'utilisation simultanée d'atorvastatine 20 mg et de letermovir (480 mg par jour) a entraîné une augmentation de la concentration plasmatique d'atorvastatine (rapport AUC: 3,29; voir «Pharmacocinétique - Tableau 2»). Le letermovir inhibe les transporteurs d'efflux que sont la P-gp, la BCRP, la MRP2, l'OAT2 et les transporteurs hépatiques que sont l'OATP1B1 et l'OATP1B3, ce qui entraîne une augmentation de la concentration plasmatique d'atorvastatine. La dose quotidienne de 20 mg d'atorvastatine ne doit pas être dépassée (voir «Mises en garde et précautions - Tableau 1»). L'ampleur des interactions induites par le CYP3A et l'OATP1B1/1B3 peut varier en cas d'utilisation simultanée de letermovir et de ciclosporine. De ce fait, l'utilisation d'atorvastatine n'est pas recommandée chez les patients traités avec l'association letermovir/ciclosporine.
- +L'elbasvir et le grazoprévir sont des inhibiteurs de l'OATP1B1, de l'OATP1B3, de la MDR1 et de la BCRP, c'est pourquoi ils augmentent l'exposition à l'atorvastatine. Les patients qui reçoivent cette association doivent être traités avec prudence et à la plus faible dose d'atorvastatine nécessaire (voir «Mises en garde et précautions - Tableau 1»). La dose quotidienne d'atorvastatine ne doit pas dépasser 20 mg.
- +Inducteurs du cytochrome P450 3A4: L'administration simultanée d'atorvastatine et d'inducteurs du CYP3A4 (p.ex. éfavirenz, rifampicine) peut entraîner une diminution d'importance variable des concentrations plasmatiques de l'atorvastatine. En raison du double mécanisme d'interaction de la rifampicine (induction du CYP3A4 et inhibition du transporteur de la captation hépatique OATP1B1), il est conseillé de prendre l'atorvastatine et la rifampicine simultanément, car la prise de l'atorvastatine à distance de la rifampicine a été associée à une réduction significative des concentrations plasmatiques de l'atorvastatine (voir «Pharmacocinétique - Tableau 2»).
- +Digoxine: La prise concomitante de doses multiples de digoxine et de 10 mg d'atorvastatine n'a entraîné aucune élévation de la concentration plasmatique de digoxine à l'état d'équilibre. En revanche, la concentration plasmatique de digoxine a augmenté après la prise concomitante de digoxine et de 80 mg d'atorvastatine par jour (rapport AUC: 1,15; voir «Pharmacocinétique - Tableau 3»). Les patients sous digoxine doivent donc être surveillés en conséquence.
- +Gemfibrozil/fibrates: La prise simultanée de fibrates peut augmenter le risque de survenue d'une myopathie déclenchée par l'atorvastatine. Selon les résultats d'études in vitro, le gemfibrozil inhibe la glucuronidation de l'atorvastatine. Ceci peut éventuellement conduire à une augmentation des taux plasmatiques d'atorvastatine (voir «Pharmacocinétique - Tableau 2»). L'utilisation simultanée de gemfibrozil et d'atorvastatine doit être évitée. L'utilisation simultanée d'autres fibrates et d'atorvastatine doit être effectuée avec prudence (voir «Mises en garde et précautions - Effets sur la musculature»).
-Contraceptifs oraux: La prise simultanée d'atorvastatine et de contraceptifs oraux contenant de la noréthindrone et de l'éthinylestradiol a entraîné des élévations de l'AUC de la noréthindrone (rapport AUC: 1.28) et de l'éthinylestradiol (rapport AUC: 1.19; voir «Pharmacocinétique/Tableau 3»). Cette information doit être prise en compte dans le choix de la posologie d'un contraceptif oral.
-Inhibiteurs de la glycoprotéine P: L'atorvastatine et certains de ses métabolites sont des substrats de la glycoprotéine P. Les inhibiteurs de la glycoprotéine P (la ciclosporine p.ex.) peuvent augmenter la biodisponibilité de l'atorvastatine.
-Colestipol: Les concentrations plasmatiques d'atorvastatine ont été abaissées par la prise concomitante de colestipol (rapport des concentrations: 0.74; voir «Pharmacocinétique/Tableau 2»). Toutefois, après la prise simultanée d'atorvastatine et de colestipol, l'abaissement du taux de lipides a été plus prononcé qu'après la prise unique de l'un ou l'autre des médicaments.
-Antiacides: La prise simultanée d'atorvastatine et d'une suspension d'antiacide à base de magnésium et d'hydroxyde d'aluminium comme substances actives a entraîné un abaissement de la concentration plasmatique de l'atorvastatine (rapport AUC: 0.66; voir «Pharmacocinétique/Tableau 2: Al/Mg hydroxide»). L'abaissement du cholestérol-LDL est resté inchangé.
- +Contraceptifs oraux: La prise simultanée d'atorvastatine et de contraceptifs oraux contenant de la noréthindrone et de l'éthinylestradiol a entraîné des élévations de l'AUC de la noréthindrone (rapport AUC: 1,28) et de l'éthinylestradiol (rapport AUC: 1,19; voir «Pharmacocinétique - Tableau 3»). Cette information devrait être prise en compte dans le choix de la posologie d'un contraceptif oral.
- +Inhibiteurs de la glycoprotéine P: L'atorvastatine et certains de ses métabolites sont des substrats de la glycoprotéine P. Les inhibiteurs de la glycoprotéine P (p.ex. la ciclosporine) peuvent augmenter la biodisponibilité de l'atorvastatine.
- +Colestipol: Les concentrations plasmatiques d'atorvastatine ont été abaissées par la prise concomitante de colestipol (rapport des concentrations: 0,74; voir «Pharmacocinétique - Tableau 2»). Toutefois, après la prise simultanée d'atorvastatine et de colestipol, l'abaissement du taux de lipides a été plus prononcé qu'après la prise unique de l'un ou l'autre des médicaments.
- +Antiacides: La prise simultanée d'une suspension d'antiacide à base de magnésium et d'hydroxyde d'aluminium comme principes actifs et d'atorvastatine a entraîné un abaissement de la concentration plasmatique de l'atorvastatine (rapport AUC: 0,66; voir «Pharmacocinétique - Tableau 2: Al/Mg hydroxide»). L'abaissement du cholestérol-LDL est resté inchangé.
-Dérivés de la coumarine (warfarine): L'administration simultanée d'atorvastatine et de warfarine a entraîné une légère diminution du temps de prothrombine au début du traitement par atorvastatine; le temps de prothrombine s'est toutefois normalisé en l'espace de 2 semaines. Il n'en demeure pas moins que les patients sous warfarine doivent continuer à être surveillés régulièrement si un traitement par atorvastatine est instauré simultanément. Des cas isolés de prolongation du temps de prothrombine et une modification de l'INR ont été rapportés lors de la prise concomitante d'atorvastatine et de warfarine.
- +Dérivés de la coumarine (warfarine): L'administration simultanée d'atorvastatine et de warfarine a entraîné une légère diminution du temps de prothrombine au début du traitement par atorvastatine; le temps de prothrombine s'est toutefois normalisé en l'espace de 2 semaines. Il n'en demeure pas moins que les patients sous warfarine doivent continuer à être surveillés régulièrement si un traitement par atorvastatine est instauré simultanément. Des cas isolés d'allongement du temps de prothrombine et de l'INR ont été rapportés lors de la prise concomitante d'atorvastatine et de warfarine.
-Sulfonylurées: Des cas isolés d'hyperglycémie ont été observés lors de l'administration concomitante d'atorvastatine et d'une sulfonylurée.
-Amlodipine: Une étude d'interactions médicamenteuses menée chez des volontaires sains ayant reçu simultanément 80 mg d'atorvastatine et 10 mg d'amlodipine a mis en évidence une augmentation de l'exposition à l'atorvastatine, cliniquement non significative (rapport AUC: 1.18; voir «Pharmacocinétique/Tableau 2»).
-Préparations systémiques à base d'acide fusidique: Aucune étude d'interaction n'a été effectuée avec l'atorvastatine et l'acide fusidique. L'association de statines, y compris d'Atorva Viatris, avec de l'acide fusidique peut entraîner l'apparition d'une rhabdomyolyse à l'issue potentiellement fatale. On a rapporté des cas de rhabdomyolyse (dont quelques décès) chez des patients ayant reçu des préparations systémiques à base d'acide fusidique en association avec des statines (voir «Mises en garde et précautions»). Le mécanisme de cette interaction demeure inconnu.
- +Daptomycine: Des cas de myopathie et/ou de rhabdomyolyse ont été rapportés lors de l'administration concomitante d'inhibiteurs de l'HMG-CoA-réductase (p.ex. atorvastatine) et de daptomycine. Si une administration concomitante n'est pas évitable, une surveillance clinique appropriée est recommandée (voir «Mises en garde et précautions»).
- +Sulfonylurées: Des cas isolés d'hyperglycémie ont été observés lors de l'administration concomitante d'atorvastatine et de sulfonylurées.
- +Amlodipine: Une étude d'interactions médicamenteuses menée chez des volontaires sains ayant reçu simultanément 80 mg d'atorvastatine et 10 mg d'amlodipine a mis en évidence une augmentation de l'exposition à l'atorvastatine, cliniquement non significative (rapport AUC: 1,18; voir «Pharmacocinétique - Tableau 2»).
- +Préparations systémiques à base d'acide fusidique: Aucune étude d'interaction n'a été effectuée avec l'atorvastatine et l'acide fusidique. L'association de statines, y compris d'Atorva Viatris, avec de l'acide fusidique peut entraîner l'apparition d'une rhabdomyolyse à l'issue potentiellement fatale. On a rapporté des cas de rhabdomyolyse (y compris quelques décès) chez des patients ayant reçu des préparations systémiques à base d'acide fusidique en association avec des statines (voir «Mises en garde et précautions»). Le mécanisme de cette interaction demeure inconnu.
-L'athérosclérose est un processus chronique et l'interruption d'un traitement hypolipémiant pendant la grossesse devrait, à long terme, n'avoir qu'une faible influence sur le résultat du traitement d'une hypercholestérolémie primaire. En outre, le cholestérol et d'autres molécules intervenant dans la biosynthèse du cholestérol représentent des composants essentiels au développement fœtal. Cela s'applique à la synthèse des stéroïdes et des membranes cellulaires. En tant qu'inhibiteur de la HMG CoA-réductase, l'atorvastatine peut, si elle est administrée à une femme enceinte, entraîner une lésion du fœtus consécutive à la réduction de la biosynthèse du cholestérol.
- +L'athérosclérose est un processus chronique et l'interruption d'un traitement hypolipémiant pendant la grossesse devrait, à long terme, n'avoir qu'une faible influence sur le résultat du traitement d'une hypercholestérolémie primaire. En outre, le cholestérol et d'autres molécules intervenant dans la biosynthèse du cholestérol représentent des composants essentiels au développement fœtal. Ceci s'applique à la synthèse des stéroïdes et des membranes cellulaires. En tant qu'inhibiteur de la HMG CoA-réductase, l'atorvastatine peut, si elle est administrée à une femme enceinte, être délétère pour le fœtus, suite à la réduction de la biosynthèse du cholestérol.
-On ignore si l'atorvastatine ou ses métabolites passent dans le lait maternel. Étant donné le risque potentiel encouru par le nourrisson, les mères sous traitement par atorvastatine doivent s'abstenir d'allaiter (voir «Contre-indications»).
- +On ignore si l'atorvastatine ou ses métabolites sont excrétés dans le lait maternel. Étant donné le risque potentiel encouru par le nourrisson, les mères sous traitement par atorvastatine doivent s'abstenir d'allaiter (voir «Contre-indications»).
-En raison d'effets indésirables possibles, la capacité de réaction, l'aptitude à conduire un véhicule et à utiliser des outils et des machines peuvent être altérées.
- +A cause d'effets indésirables possibles, la capacité de réaction, l'aptitude à conduire un véhicule et à utiliser des outils et des machines peuvent être altérées.
-Parmi les 16'066 patients traités en moyenne durant 53 semaines, 5.2% des patients sous atorvastatine ont interrompu leur traitement en raison d'effets indésirables versus 4.0% des patients sous placebo (source: base de données des essais cliniques contrôlés par placebo avec 8755 patients sous atorvastatine vs 7311 patients sous placebo).
- +Parmi les 16'066 patients traités en moyenne durant 53 semaines, 5,2% des patients sous atorvastatine ont interrompu leur traitement en raison d'effets indésirables versus 4,0% des patients sous placebo (source: base de données des essais cliniques contrôlés par placebo avec 8755 patients sous atorvastatine vs. 7311 patients sous placebo).
-Les effets indésirables sont rangés par classes de système d'organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante: fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1000), très rares (<1/10'000), fréquence indéterminée (provenant essentiellement des déclarations spontanées issues de la surveillance post-marketing, la fréquence exacte ne peut pas être estimée).
- +Les effets indésirables sont rangés par classes de système d'organes de la classification MedDRA et par fréquence selon la convention suivante: fréquents (≥1/100 à <1/10), occasionnels (≥1/1000 à <1/100), rares (≥1/10'000 à <1/1000), très rares (<1/10'000), fréquence inconnue (provenant essentiellement des déclarations spontanées issues de la surveillance post-marketing, la fréquence exacte ne peut pas être estimée).
-Occasionnels: hypoglycémie, anorexie, prise de poids.
- +Occasionnels: hypoglycémie, anorexie, poids augmenté.
-Très rares: amnésie, agueusie.
-Fréquence indéterminée: myasthénie.
- +Très rares: amnésie, perte du goût.
- +Fréquence inconnue: myasthénie.
-Occasionnels: vision trouble.
-Rares: trouble de la vue.
-Fréquence indéterminée: myasthénie oculaire.
- +Occasionnels: vision floue.
- +Rares: trouble visuel.
- +Fréquence inconnue: myasthénie oculaire.
-Très rares: perte de l'audition.
- +Très rares: perte auditive.
- +Affections vasculaires
- +Rares: vascularite.
-Fréquents: douleurs pharyngées et laryngées, épistaxis.
- +Fréquents: douleurs pharyngées et laryngées, saignement de nez.
-Occasionnels: douleurs abdominales, vomissements, renvois.
- +Occasionnels: douleurs abdominales, vomissement, éructation.
- +Très rares: insuffisance hépatique.
-Rares: angioœdème.
-Très rares: syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique, érythème multiforme.
- +Rares: angio-œdème, réaction médicamenteuse lichénoïde.
- +Très rares: syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Debré-Lamy-Lamotte, érythème polymorphe.
-Fréquents: myalgie, arthralgie, douleurs des extrémités, douleurs musculosquelettiques, crampes musculaires, gonflements des articulations.
-Occasionnels: douleurs dorsales, cervicalgies, fatigue musculaire.
- +Fréquents: myalgie, arthralgie, douleurs dans les membres, douleurs musculo-squelettiques, crampes musculaires, articulations gonflées.
- +Occasionnels: dorsalgie, cervicalgie, fatigue musculaire.
-Fréquence indéterminée: myopathie nécrosante auto-immune (voir «Mises en garde et précautions/Effets sur la musculature»).
-La rhabdomyolyse est une maladie potentiellement mortelle (voir «Mises en garde et précautions/Effets sur la musculature»).
- +Fréquence inconnue: myopathie nécrosante à médiation immunitaire (voir «Mises en garde et précautions - Effets sur la musculature»).
- +La rhabdomyolyse est une maladie potentiellement mortelle (voir «Mises en garde et précautions - Effets sur la musculature»).
-Occasionnels: leucocyturie.
-Les effets indésirables graves suivants ont en outre été rapportés pour cette classe de substances: syndrome d'hypersensibilité, y compris syndrome de type lupus érythémateux, vasculite, purpura, anémie hémolytique, hépatite chronique active, rares cirrhose et nécrose hépatique fulminante.
- +Occasionnels: leucocytes urinaires.
- +Les effets indésirables graves suivants ont en outre été décrits pour cette classe de substances: syndrome d'hypersensibilité, y compris syndrome de type lupus érythémateux, vasculite, purpura, anémie hémolytique, hépatite chronique évolutive, rares cirrhose et nécrose hépatique fulminante.
-Il n'existe pas de traitement spécial pour les cas de surdosage. Si un cas de surdosage se présente, il conviendra d'administrer au patient un traitement symptomatique et, si nécessaire, de prendre des mesures de soutien. Il convient de réaliser des tests de la fonction hépatique et de contrôler les taux sériques de CPK. Étant donné la forte capacité de la substance active à se lier aux protéines du plasma, il ne faut pas escompter une accélération significative de la clairance de l'atorvastatine par hémodialyse.
- +Il n'existe pas de traitement spécial pour les cas de surdosage. Si un cas de surdosage se présente, il conviendra d'administrer au patient un traitement symptomatique et, si nécessaire, de prendre des mesures de soutien. Il convient de réaliser des tests de la fonction hépatique et de contrôler les taux sériques de CPK. Étant donné la forte capacité du principe actif à se lier aux protéines du plasma, il ne faut pas escompter une accélération significative de la clairance de l'atorvastatine par hémodialyse.
-L'atorvastatine abaisse les taux plasmatiques de cholestérol et de lipoprotéines en inhibant la HMG-CoA-réductase ainsi que la synthèse du cholestérol dans le foie et augmente ainsi le nombre de récepteurs LDL hépatiques à la surface des cellules, ce qui a pour effet de stimuler l'entrée et la dégradation des LDL.
- +L'atorvastatine abaisse les taux plasmatiques de cholestérol et de lipoprotéines en inhibant la HMG-CoA-réductase ainsi que la synthèse du cholestérol dans le foie et augmente ainsi le nombre de récepteurs LDL hépatiques à la surface des cellules, ce qui a pour effet de stimuler le captage et la dégradation des LDL.
-Dans une étude de dose-effet, on a pu montrer que l'atorvastatine abaisse les taux de cholestérol total (30-46%), de cholestérol-LDL (41-61%), l'apolipoprotéine B (34-50%) et les triglycérides (14-33%) et provoque simultanément, à des degrés variables, une élévation des taux de cholestérol-HDL et d'apolipoprotéine A. Des résultats similaires ont été observés dans une même mesure lors d'études cliniques chez les patients présentant une hypercholestérolémie familiale à l'état hétérozygote, des formes mixtes d'hyperlipidémie et des formes non familiales d'hypercholestérolémie, y compris les patients souffrant de diabète sucré non insulino-dépendant. Dans les formes mixtes de dyslipidémies riches en triglycérides, une diminution efficace du taux de triglycérides peut être obtenue par un traitement par niacine ou fibrates.
- +Dans une étude de dose-effet, on a pu montrer que l'atorvastatine abaisse les taux de cholestérol total (30-46%), de cholestérol-LDL (41-61%), d'apolipoprotéine B (34-50%) et de triglycérides (14-33%), et provoque simultanément, à des degrés variables, une élévation des taux de cholestérol-HDL et d'apolipoprotéine A. Des résultats similaires ont été observés dans une même mesure chez les patients présentant une hypercholestérolémie familiale à l'état hétérozygote, des formes mixtes d'hyperlipidémie et des formes non familiales d'hypercholestérolémie, y compris les patients souffrant de diabète sucré non insulino-dépendant. Dans les formes mixtes de dyslipidémies riches en triglycérides, une diminution efficace du taux de triglycérides peut être obtenue par un traitement par niacine ou fibrates.
-Dans l'étude ASCOT (Anglo-Scandinavian Cardiac Outcomes Trial), une étude à double insu et contrôlée par placebo, les patients, recevant ou non un traitement antihypertenseur, ont été randomisés soit dans un groupe de traitement par amlodipine, soit dans un groupe de traitement par bêtabloquant. Les patients présentant un taux de cholestérol total ≤6.5 mmol/l (soit 251 mg/dl) remplissaient le critère d'inclusion pour le bras de l'étude avec hypolipémiant (ASCOT-LLA). Ils ont été randomisés dans deux groupes et ont reçu soit 10 mg d'atorvastatine, soit un placebo. Dans ce bras de l'étude, le temps de suivi médian a été de 3.3 ans.
- +Dans l'étude ASCOT (Anglo-Scandinavian Cardiac Outcomes Trial), une étude à double insu et contrôlée par placebo, les patients, recevant ou non un traitement antihypertenseur, ont été randomisés soit dans un groupe de traitement par amlodipine, soit dans un groupe de traitement par bêtabloquant. Les patients présentant un taux de cholestérol total ≤6,5 mmol/l (soit 251 mg/dl) remplissaient le critère d'inclusion pour le bras de l'étude avec hypolipémiant (ASCOT-LLA). Ils ont été randomisés dans deux groupes et ont reçu soit 10 mg d'atorvastatine, soit un placebo. Dans ce bras de l'étude, la durée de suivi a été de 3,3 ans.
-19'342 patients ont été inclus dans l'étude, dont 10'305 dans le bras avec hypolipémiant (strate avec cholestérol total ≤6.5 mmol/l). Un cinquième des patients était de sexe féminin. Le taux d'interruption prématurée de l'étude a été de 16.1% pour le groupe atorvastatine et de 20.3% pour le placebo.
-Le critère principal (combinaison de cardiopathie coronaire fatale et d'infarctus du myocarde non fatal) a révélé une différence hautement significative par un hazard ratio de 0.64 (IC 95%, 0.50-0.83) (p=0.0005; atorvastatine 1.9%, placebo 3.0%). Le risque d'infarctus du myocarde symptomatique et non fatal a baissé de manière significative (p=0.0001; atorvastatine 0.9%, placebo 1.8%). Le nombre d'événements coronaires à issue fatale a été de 41 dans le groupe atorvastatine, par rapport à 46 dans le groupe placebo. Le nombre d'événements non mortels a été de 60 sous atorvastatine et de 108 sous placebo. En outre, l'atorvastatine a permis de réduire significativement la fréquence totale des événements cardiovasculaires et des interventions de revascularisation, à raison de 20% (p=0.0008; atorvastatine 7.6%, placebo 9.5%), le nombre des interventions de revascularisation ayant baissé de 42% (p=0.0002; atorvastatine 1.4%, placebo 2.5%). La fréquence totale des événements coronaires a elle aussi baissé significativement de 29% (p=0.0006; atorvastatine 3.5%, placebo 4.8%).
- +19'342 patients ont été inclus dans l'étude, dont 10'305 dans le bras avec hypolipémiant (strate avec cholestérol total ≤6,5 mmol/l). Un cinquième des patients était de sexe féminin. Le taux d'interruption prématurée de l'étude a été de 16,1% pour le groupe atorvastatine et de 20,3% pour le placebo.
- +Le critère principal (combinaison de cardiopathie coronaire fatale et d'infarctus du myocarde non fatal) a révélé une différence hautement significative par un hazard ratio de 0,64 (IC 95%, 0,50-0,83) (p=0,0005; atorvastatine 1,9%, placebo 3,0%). Le risque d'infarctus du myocarde symptomatique et non fatal a baissé de manière significative (p=0,0001; atorvastatine 0,9%, placebo 1,8%). Le nombre d'événements coronaires à issue fatale a été de 41 dans le groupe atorvastatine, contre 46 dans le groupe placebo. Le nombre d'événements non mortels a été de 60 sous atorvastatine et de 108 sous placebo. En outre, l'atorvastatine a permis de réduire significativement la fréquence totale des événements cardiovasculaires et des interventions de revascularisation, à raison de 20% (p=0,0008; atorvastatine 7,6%, placebo 9,5%), le nombre des interventions de revascularisation ayant baissé de 42% (p=0,0002; atorvastatine 1,4%, placebo 2,5%). La fréquence totale des événements coronaires a elle aussi baissé significativement de 29% (p=0,0006; atorvastatine 3,5%, placebo 4,8%).
-Le NNT se monte à 90-100 pour 3.3 ans.
-L'étude CARDS (Collaborative Atorvastatin Diabetes Study) a évalué l'effet de l'atorvastatine sur les maladies cardiovasculaires mortelles et non mortelles chez le patient diabétique de type 2. L'étude a été réalisée sur 2838 patients diabétiques de type 2 (40 à 75 ans) sans antécédents de maladie cardiovasculaire et montrant un taux de cholestérol-LDL de ≤4.14 mmol/l (160 mg/dl) et des taux de triglycérides de ≤6.78 mmol/l (600 mg/dl). De plus, tous les patients avaient au moins 1 des facteurs de risque suivants: hypertension artérielle (80%), tabagisme (23%), rétinopathie (30%), microalbuminurie (9%) ou macroalbuminurie (3%).
-Pendant l'étude à double aveugle, randomisée, multicentrique et contrôlée par placebo, les patients ont reçu soit 10 mg d'atorvastatine par jour (n=1428) soit un placebo (n=1410) lors d'un suivi moyen de 3.9 ans. Un bénéfice significatif du traitement par atorvastatine ayant été très tôt observé concernant le critère primaire, l'étude CARDS a été terminée 2 ans plus tôt que prévu.
- +Le NNT s'élève à 90-100 pour 3,3 ans.
- +L'étude CARDS (Collaborative Atorvastatin Diabetes Study) a évalué l'effet de l'atorvastatine sur les maladies cardiovasculaires mortelles et non mortelles chez les patients diabétiques de type 2. L'étude a été réalisée sur 2838 patients diabétiques de type 2 (40-75 ans) sans antécédents de maladie cardiovasculaire et montrant un taux de cholestérol-LDL de ≤4,14 mmol/l (160 mg/dl) et des taux de triglycérides de ≤6,78 mmol/l (600 mg/dl). De plus, tous les patients avaient au moins 1 des facteurs de risque suivants: hypertension artérielle (80%), tabagisme (23%), rétinopathie (30%), microalbuminurie (9%) ou macroalbuminurie (3%).
- +Lors de l'étude à double aveugle, randomisée, multicentrique et contrôlée par placebo, les patients ont reçu soit 10 mg d'atorvastatine par jour (n=1428) soit un placebo (n=1410) lors d'un suivi moyen de 3,9 ans. Parce qu'un bénéfice significatif du traitement par atorvastatine a été observé très tôt concernant l'efficacité primaire, l'étude CARDS a été terminée 2 ans plus tôt que prévu.
-Événements cardiovasculaires sévères (infarctus aigu du myocarde mortel et non mortel, infarctus du myocarde silencieux, mort coronarienne subite, angor instable, pontage aorto-coronarien, ACTP, revascularisation, accident vasculaire cérébral) 37% 83 contre 127 3.2% 0.0010
-Infarctus du myocarde (infarctus aigu du myocarde mortel et non mortel, infarctus du myocarde silencieux) 42% 38 contre 64 1.9% 0.0070
-Accident vasculaire cérébral (mortel et non mortel) 48% 21 contre 39 1.3% 0.0163
- +Événements cardiovasculaires sévères (infarctus aigu du myocarde mortel et non mortel, infarctus du myocarde silencieux, mort coronarienne subite, angor instable, pontage aorto-coronarien, ACTP, revascularisation, accident vasculaire cérébral) 37% 83 contre 127 3,2% 0,0010
- +Infarctus du myocarde (infarctus aigu du myocarde mortel et non mortel, infarctus du myocarde silencieux) 42% 38 contre 64 1,9% 0,0070
- +Accident vasculaire cérébral (mortel et non mortel) 48% 21 contre 39 1,3% 0,0163
-1 Calculé à partir de la différence entre les taux d'événements (données brutes) durant un temps de suivi médian de 3.9 ans.
- +1 Calculé à partir de la différence entre les taux d'événements (données brutes) durant un temps de suivi médian de 3,9 ans.
-Aucun indice n'existe suggérant une différence des effets du traitement due au sexe des patients, à leur âge ou à la valeur initiale de cholestérol-LDL.
-Une réduction du risque relatif de 27% a été observée pour la mortalité globale (82 décès dans le groupe placebo contre 61 décès dans le bras de traitement; p=0.0592).
- +Aucun indice n'a suggéré une différence des effets du traitement due au sexe des patients, à leur âge ou à la valeur initiale de cholestérol-LDL.
- +Une réduction du risque relatif de 27% a été observée pour la mortalité globale (82 décès dans le groupe placebo contre 61 décès dans le bras de traitement; p=0,0592).
-L'étude Stroke Prevention by Aggressive Reduction in Cholesterol Levels (SPARCL) a évalué l'effet de l'administration d'atorvastatine à 80 mg/jour ou de placebo sur la survenue d'un accident vasculaire cérébral chez 4731 patients qui avaient eu un AVC ou un AIT dans les 6 mois précédents et qui étaient indemnes de cardiopathie coronarienne connue. 60% des patients étaient des hommes. L'âge se situait entre 21 et 92 ans (moyenne d'âge de 63 ans) et la valeur initiale moyenne du cholestérol-LDL était de 133 mg/dl (3.4 mmol/l). La valeur moyenne du cholestérol-LDL pendant le traitement par atorvastatine était de 73 mg/dl (1.9 mmol/l) et de 129 mg/dl (3.3 mmol/l) sous placebo. La durée moyenne d'observation (follow-up) s'élevait à 4.9 ans.
-L'atorvastatine à 80 mg a réduit de 15% le risque de survenue du critère primaire d'évaluation, à savoir un accident vasculaire cérébral mortel ou non, par rapport au placebo (HR 0.85; IC 95%, 0.72-1.00; p=0.05 ou après ajustement des facteurs du stade initial 0.84; IC 95%, 0.71-0.99; p=0.03). La mortalité en général (toutes causes confondues) s'élevait à 9.1% sous atorvastatine (216/2365) contre 8.9% sous placebo (211/2366).
-Une analyse post-hoc a montré que l'atorvastatine à 80 mg diminuait l'incidence d'un accident vasculaire cérébral ischémique par rapport au placebo (218/2365, 9.2% contre 274/2366, 11.6%, p=0.01) et augmentait l'incidence d'un accident vasculaire cérébral hémorragique (55/2365, 2.3% contre 33/2366, 1.4%, p=0.02).
-Le risque de survenue d'un AVC hémorragique était plus élevé chez les patients qui avaient déjà fait un AVC hémorragique avant leur entrée dans l'étude (7/45 sous atorvastatine contre 2/48 sous placebo; HR 4.06; IC 95%, 0.84-19.57). Le risque de survenue d'un AVC ischémique était comparable dans les deux groupes (3/45 sous atorvastatine contre 2/48 sous placebo; HR 1.64; IC 95%, 0.27-9.82).
-Le risque de survenue d'un AVC hémorragique était plus élevé chez les patients qui avaient déjà fait un infarctus lacunaire avant leur entrée dans l'étude (20/708 sous atorvastatine contre 4/701 sous placebo; HR 4.99; IC 95%, 1.71-14.61). Malgré tout, le risque de survenue d'un AVC ischémique a également été baissé chez ces patients (79/708 sous atorvastatine contre 102/701 sous placebo; HR 0.76; IC 95%, 0.57-1.02). Toutefois, il est possible que le risque net de survenue d'un accident vasculaire cérébral augmente chez les patients ayant des antécédents d'infarctus lacunaire lors de l'administration d'atorvastatine à 80 mg/jour.
-La mortalité totale sous atorvastatine était de 15.6% (7/45) par rapport à 10.4% (5/48) dans le sous-groupe des patients présentant des antécédents d'AVC hémorragique. La mortalité totale sous atorvastatine dans le sous-groupe des patients ayant des antécédents d'infarctus lacunaire était de 10.9% (77/708) contre 9.1% (64/701) sous placebo.
- +L'étude Stroke Prevention by Aggressive Reduction in Cholesterol Levels (SPARCL) a évalué l'effet de l'administration d'atorvastatine à 80 mg/jour ou de placebo sur la survenue d'un accident vasculaire cérébral chez 4731 patients qui avaient fait un AVC ou un AIT dans les 6 mois précédents et qui étaient indemnes de cardiopathie coronarienne connue. 60% des patients étaient des hommes. L'âge se situait entre 21 et 92 ans (moyenne d'âge de 63 ans) et la valeur initiale moyenne du cholestérol-LDL était de 133 mg/dl (3,4 mmol/l). La valeur moyenne du cholestérol-LDL pendant le traitement par atorvastatine était de 73 mg/dl (1,9 mmol/l) et de 129 mg/dl (3,3 mmol/l) sous placebo. La durée moyenne d'observation (follow-up) s'élevait à 4,9 ans.
- +L'atorvastatine à 80 mg a réduit de 15% le risque de survenue du critère primaire d'évaluation, soit un accident vasculaire cérébral mortel ou non, par rapport au placebo (HR 0,85; IC 95%, 0,72-1,00; p=0,05 ou après ajustement des facteurs du stade initial 0,84; IC 95%, 0,71-0,99; p=0,03). La mortalité en général (toutes les causes) s'élevait à 9,1% sous atorvastatine (216/2365) contre 8,9% sous placebo (211/2366).
- +Une analyse post-hoc a montré que l'atorvastatine à 80 mg diminuait l'incidence d'un accident vasculaire cérébral ischémique par rapport au placebo (218/2365, 9,2% contre 274/2366, 11,6%, p=0,01) et augmentait l'incidence d'un accident vasculaire cérébral hémorragique (55/2365, 2,3% contre 33/2366, 1,4%, p=0,02).
- +Le risque de survenue d'un AVC hémorragique était plus élevé chez les patients qui avaient déjà fait un AVC hémorragique avant leur entrée dans l'étude (7/45 sous atorvastatine contre 2/48 sous placebo; HR 4,06; IC 95%, 0,84-19,57). Le risque de survenue d'un AVC ischémique était comparable dans les deux groupes (3/45 sous atorvastatine contre 2/48 sous placebo; HR 1,64; IC 95%, 0,27-9,82).
- +Le risque de survenue d'un AVC hémorragique était plus élevé chez les patients qui avaient déjà fait un infarctus lacunaire avant leur entrée dans l'étude (20/708 sous atorvastatine contre 4/701 sous placebo; HR 4,99; IC 95%, 1,71-14,61). Malgré tout, le risque de survenue d'un AVC ischémique a également été baissé chez ces patients (79/708 sous atorvastatine contre 102/701 sous placebo; HR 0,76; IC 95%, 0,57-1,02). Toutefois, il est possible que le risque net de survenue d'un accident vasculaire cérébral augmente chez les patients avec antécédents d'infarctus lacunaire lors de l'administration d'atorvastatine à 80 mg/jour.
- +La mortalité totale sous atorvastatine était de 15,6% (7/45) contre 10,4% (5/48) dans le sous-groupe des patients avec antécédents d'AVC hémorragique. La mortalité totale sous atorvastatine dans le sous-groupe des patients avec antécédents d'infarctus lacunaire était de 10,9% (77/708) contre 9,1% sous placebo (64/701).
-L'atorvastatine administrée par voie orale est rapidement absorbée, les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes après 1 à 2 heures. L'ampleur de l'absorption augmente proportionnellement à la dose de substance active. La biodisponibilité absolue de l'atorvastatine est d'environ 14% et les formes actives disponibles par voie systémique s'élèvent à environ 30%. La faible disponibilité systémique est attribuée à la clairance présystémique au niveau de la muqueuse gastro-intestinale et/ou à un effet de premier passage hépatique. La nourriture n'a pas d'influence sur la résorption.
- +L'atorvastatine administrée par voie orale est rapidement absorbée, les concentrations plasmatiques maximales sont atteintes après 1-2 heures. L'ampleur de l'absorption augmente proportionnellement à la dose de substance active. La biodisponibilité absolue de l'atorvastatine est d'environ 14%, et les formes actives disponibles par voie systémique s'élèvent à environ 30%. La faible disponibilité systémique est attribuée à la clairance présystémique au niveau de la muqueuse gastro-intestinale et/ou à un effet de premier passage hépatique. La nourriture n'a pas d'influence sur la résorption.
-La demi-vie moyenne d'élimination plasmatique de l'atorvastatine est d'environ 14 heures chez l'être humain. La demi-vie de l'activité d'inhibition de la HMG-CoA-réductase dure à peu près 20 à 30 heures. Elle est due à la contribution des métabolites actifs qui possèdent une longue vie. Moins de 2% d'une dose d'atorvastatine administrée par voie orale est retrouvée dans l'urine.
- +La demi-vie moyenne d'élimination plasmatique de l'atorvastatine est d'environ 14 heures chez l'être humain. La demi-vie de l'activité d'inhibition de la HMG-CoA-réductase dure à peu près 20 à 30 heures. Elle est due à la contribution des métabolites actifs qui possèdent une longue vie. Moins de 2% d'une dose d'atorvastatine administrée par voie orale est retrouvée dans les urines.
-Les concentrations d'atorvastatine chez les femmes (Cmax supérieure d'environ 20%, AUC inférieure de 10%) diffèrent de celles observées chez les hommes. Ces différences n'ont pas d'importance clinique, ne se traduisant par aucune différence cliniquement significative entre hommes et femmes au niveau de l'effet sur les lipides.
- +Les concentrations d'atorvastatine chez les femmes (Cmax supérieure d'environ 20%, AUC inférieure de 10%) diffèrent de celles observées chez les hommes. Ces différences n'ont pas eu d'importance clinique, ne se traduisant par aucune différence cliniquement significative entre hommes et femmes au niveau de l'effet sur les lipides.
-#Ciclosporine 5.2 mg/kg/jour, dose stable 10 mg 1x/jour pour 28 jours 8.7 10.7
-#Tipranavir 500 mg 2x/jour/ritonavir 200 mg 2x/jour, 7 jours 10 mg en prise unique 9.4 8.6
-#Glécaprévir 400 mg 1x/jour/pibrentasvir 120 mg 1x/jour, 7 jours 10 mg 1x/jour pendant 7 jours 8.3 22.0
-# Télaprévir 750 mg toutes les 8 h, 10 jours 20 mg en prise unique 7.9 10.6
-#Elbasvir 50 mg 1x/jour/grazoprévir 200 mg 1x/jour, 13 jours 10 mg en prise unique 1.95 4.3
-#Bocéprévir 800 mg 3x/jour, 7 jours 40 mg en prise unique 2.3 2.7
-#Siméprévir 150 mg 1x/jour, 10 jours 40 mg en prise unique 2.12 1.7
-#Lopinavir 400 mg 2x/jour/ritonavir 100 mg 2x/jour, 14 jours 20 mg 1x/jour pour 4 jours 5.9 4.7
-#‡Saquinavir 400 mg 2x/jour/ritonavir 400 mg 2x/jour, 15 jours 40 mg 1x/jour pour 4 jours 3.9 4.3
-#Clarithromycine 500 mg 2x/jour, 9 jours 80 mg 1x/jour pour 8 jours 4.5 5.4
-#Darunavir 300 mg 2x/jour/ritonavir 100 mg 2x/jour, 9 jours 10 mg 1x/jour pour 4 jours 3.4 2.2
-#Itraconazole 200 mg 1x/jour, 4 jours 40 mg en prise unique 3.3 1.20
-#Letermovir 480 mg 1x/jour, 10 jours 20 mg en prise unique 3.29 2.17
-#Fosamprenavir 700 mg 2x/jour/ritonavir 100 mg 2x/jour, 14 jours 10 mg 1x/jour pour 4 jours 2.5 2.8
-#Fosamprénavir 1400 mg 2x/jour, 14 jours 10 mg 1x/jour pour 4 jours 2.3 4.0
-#Nelfinavir 1250 mg 2x/jour, 14 jours 10 mg 1x/jour pour 28 jours 1.74 2.2
-#* Jus de pamplemousse, 240 ml, 1x/jour 40 mg en prise unique 1.37 1.16
-Diltiazem 240 mg 1x/jour, 28 jours 40 mg en prise unique 1.51 1.00
-Érythromycine 500 mg 4x/jour, 7 jours 10 mg en prise unique 1.33 1.38
-Amlodipine 10 mg en une prise unique 80 mg en prise unique 1.18 0.91
-Cimétidine 300 mg 4x/jour, 2 semaines 10 mg 1x/jour pour 2 semaines 1.00 0.89
-Colestipol 10 g 2x/jour, 24 semaines 40 mg 1x/jour pour 8 semaines N/A 0.74**
-Al/Mg hydroxide 30 ml 4x/jour, 17 jours 10 mg 1x/jour pour 15 jours 0.66 0.67
-Éfavirenz 600 mg 1x/jour, 14 jours 10 mg pour 3 jours 0.59 1.01
-#Rifampicine 600 mg 1x/jour, 7 jours (administration simultanée) † 40 mg en prise unique 1.12 2.9
-#Rifampicine 600 mg 1x/jour, 5 jours (administration distincte) † 40 mg en prise unique 0.20 0.60
-#Gemfibrozil 600 mg 2x/jour, 7 jours 40 mg en prise unique 1.35 1.00
-#Fénofibrate 160 mg 1x/jour, 7 jours 40 mg en prise unique 1.03 1.02
- +#Ciclosporine 5,2 mg/kg/jour, dose stable 10 mg 1x/jour pendant 28 jours 8,7 10,7
- +#Tipranavir 500 mg 2x/jour/ritonavir 200 mg 2x/jour, 7 jours 10 mg en prise unique 9,4 8,6
- +#Glécaprévir 400 mg 1x/jour/pibrentasvir 120 mg 1x/jour, 7 jours 10 mg 1x/jour pendant 7 jours 8,3 22,0
- +# Télaprévir 750 mg toutes les 8 h, 10 jours 20 mg en prise unique 7,9 10,6
- +#Elbasvir 50 mg 1x/jour/grazoprévir 200 mg 1x/jour, 13 jours 10 mg en prise unique 1,95 4,3
- +#Bocéprévir 800 mg 3x/jour, 7 jours 40 mg en prise unique 2,3 2,7
- +#Siméprévir 150 mg 1x/jour, 10 jours 40 mg en prise unique 2,12 1,7
- +#Lopinavir 400 mg 2x/jour/ritonavir 100 mg 2x/jour, 14 jours 20 mg 1x/jour pendant 4 jours 5,9 4,7
- +#‡Saquinavir 400 mg 2x/jour/ritonavir 400 mg 2x/jour, 15 jours 40 mg 1x/jour pendant 4 jours 3,9 4,3
- +#Clarithromycine 500 mg 2x/jour, 9 jours 80 mg 1x/jour pendant 8 jours 4,5 5,4
- +#Darunavir 300 mg 2x/jour/ritonavir 100 mg 2x/jour, 9 jours 10 mg 1x/jour pendant 4 jours 3,4 2,2
- +#Itraconazole 200 mg 1x/jour, 4 jours 40 mg en prise unique 3,3 1,20
- +#Letermovir 480 mg 1x/jour, 10 jours 20 mg en prise unique 3,29 2,17
- +#Fosamprenavir 700 mg 2x/jour/ritonavir 100 mg 2x/jour, 14 jours 10 mg 1x/jour pendant 4 jours 2,5 2,8
- +#Fosamprénavir 1400 mg 2x/jour, 14 jours 10 mg 1x/jour pendant 4 jours 2,3 4,0
- +#Nelfinavir 1250 mg 2x/jour, 14 jours 10 mg 1x/jour pendant 28 jours 1,74 2,2
- +#* Jus de pamplemousse, 240 ml, 1x/jour 40 mg en prise unique 1,37 1,16
- +Diltiazem 240 mg 1x/jour, 28 jours 40 mg en prise unique 1,51 1,00
- +Érythromycine 500 mg 4x/jour, 7 jours 10 mg en prise unique 1,33 1,38
- +Amlodipine 10 mg en une prise unique 80 mg en prise unique 1,18 0,91
- +Cimétidine 300 mg 4x/jour, 2 semaines 10 mg 1x/jour pendant 2 semaines 1,00 0,89
- +Colestipol 10 g 2x/jour, 24 semaines 40 mg 1x/jour pendant 8 semaines N/A 0,74**
- +Al/Mg hydroxide 30 ml 4x/jour, 17 jours 10 mg 1x/jour pendant 15 jours 0,66 0,67
- +Éfavirenz 600 mg 1x/jour, 14 jours 10 mg pour 3 jours 0,59 1,01
- +#Rifampicine 600 mg 1x/jour, 7 jours (administration simultanée) † 40 mg en prise unique 1,12 2,9
- +#Rifampicine 600 mg 1x/jour, 5 jours (administration distincte) † 40 mg en prise unique 0,20 0,60
- +#Gemfibrozil 600 mg 2x/jour, 7 jours 40 mg en prise unique 1,35 1,00
- +#Fénofibrate 160 mg 1x/jour, 7 jours 40 mg en prise unique 1,03 1,02
-& Rapport entre la comédication et l'utilisation d'atorvastatine seule.
-# Pour la signification clinique, voir « Mises en garde et précautions/Effets sur la musculature » et «Interactions».
-* Lors de consommation excessive de jus de pamplemousse (≥750 ml à 1.2 l/jour), des augmentations plus importantes de l'AUC (rapport AUC jusqu'à 2.5) et/ou de la Cmax (rapport Cmax jusqu'à 1.71) ont été rapportées.
-** Rapport calculé à partir d'une valeur unique, 8 à 16 h après la prise.
- +& Rapport entre la co-médication et l'utilisation d'atorvastatine seule.
- +# Pour la signification clinique, voir « Mises en garde et précautions - Effets sur la musculature » et «Interactions».
- +* Lors d'une consommation excessive de jus de pamplemousse (≥750 ml-1,2 l/jour), des augmentations plus importantes de l'AUC (rapport AUC jusqu'à 2,5) et/ou de la Cmax (rapport Cmax jusqu'à 1,71) ont été rapportées.
- +** Rapport calculé à partir d'une valeur unique, 8-16 h après la prise.
-80 mg 1x/jour pour 15 jours Antipyrine, 600 mg en prise unique 1.3 0.89
-80 mg 1x/jour pour 10 jours Digoxine 0.25 mg 1x/jour, 20 jours# 1.15 1.20
-40 mg 1x/jour pour 22 jours Contraceptifs oraux 1x/jour, 2 mois
- ·Noréthistérone 1 mg 1.28 1.23
- ·Éthinylestradiol 35 μg 1.19 1.30
-10 mg en prise unique Tipranavir 500 mg 2x/jour/ritonavir 200 mg 2x/jour pour 7 jours 1.08 0.96
-10 mg 1x/jour pour 4 jours Fosamprénavir 1400 mg 2x/jour pour 14 jours 0.73 0.82
-10 mg 1x/jour pour 4 jours Fosamprénavir 700 mg 2x/jour/ritonavir 100 mg 2x/jour pour 14 jours 0.99 0.94
- +80 mg 1x/jour pendant 15 jours Antipyrine, 600 mg en prise unique 1,3 0,89
- +80 mg 1x/jour pendant 10 jours Digoxine 0,25 mg 1x/jour, 20 jours# 1,15 1,20
- +40 mg 1x/jour pendant 22 jours Contraceptifs oraux 1x/jour, 2 mois
- + ·Noréthistérone 1 mg 1,28 1,23
- + ·Éthinylestradiol 35 μg 1,19 1,30
- +10 mg en prise unique Tipranavir 500 mg 2x/jour/ritonavir 200 mg 2x/jour pendant 7 jours 1,08 0,96
- +10 mg 1x/jour pendant 4 jours Fosamprénavir 1400 mg 2x/jour pendant 14 jours 0,73 0,82
- +10 mg 1x/jour pendant 4 jours Fosamprénavir 700 mg 2x/jour/ritonavir 100 mg 2x/jour pendant 14 jours 0,99 0,94
-& Rapport entre la comédication et l'utilisation d'atorvastatine seule.
- +& Rapport entre la co-médication et l'utilisation d'atorvastatine seule.
-L'atorvastatine ne s'est pas révélée cancérogène chez le rat. La dose maximale testée était 63 fois supérieure à la dose maximale utilisée chez l'être humain (80 mg/jour), rapportée à la dose en mg/kg de poids corporel et 8 à 16 fois supérieure en ce qui concerne la valeur de l'AUC (0 à 24), qui a servi à la détermination de l'activité inhibitrice totale. Dans une étude sur 2 ans réalisée chez la souris, l'incidence d'adénomes hépatocellulaires chez les animaux mâles et de carcinomes hépatocellulaires chez les animaux femelles a augmenté dans le groupe recevant la dose maximale; la dose maximale était 250 fois supérieure à la dose maximale utilisée chez l'homme, rapportée à la dose en mg/kg de poids corporel. L'exposition systémique était 6 à 11 fois supérieure, rapportée à l'AUC (0 à 24).
- +L'atorvastatine ne s'est pas révélée cancérogène chez le rat. La dose maximale testée était 63 fois supérieure à la dose maximale utilisée chez l'être humain (80 mg/jour), rapportée à la dose en mg/kg de poids corporel et 8 à 16 fois supérieure en ce qui concerne la valeur de l'AUC (0 à 24), qui a servi à la détermination de l'activité inhibitrice totale. Dans une étude sur 2 ans réalisée chez la souris, l'incidence d'adénomes hépato-cellulaires chez les animaux mâles et de carcinomes hépato-cellulaires chez les animaux femelles a augmenté dans le groupe recevant la dose maximale; la dose maximale était 250 fois supérieure à la dose maximale utilisée chez l'homme, rapportée à la dose en mg/kg de poids corporel. L'exposition systémique était 6 à 11 fois supérieure, rapportée à l'AUC (0 à 24).
-Les études de fertilité réalisées chez l'animal indiquent que les inhibiteurs de l'HMG-CoA-réductase sont susceptibles d'influencer le développement embryonnaire et fœtal. L'atorvastatine a affecté la survie postnatale et la croissance des jeunes rats lorsque les mères recevaient des doses supérieures à 20 mg/kg/jour (ce qui correspond à l'exposition clinique systémique).
- +Les études de fertilité réalisées chez l'animal indiquent que les inhibiteurs de l'HMG-CoA-réductase sont susceptibles d'influencer le développement embryonnaire et fœtal. L'atorvastatine a affecté la survie postnatale et la croissance des jeunes rats dès que les mères recevaient des doses supérieures à 20 mg/kg/jour (ce qui correspond à l'exposition clinique systémique).
-Conserver à température ambiante (15 à 25°C) et hors de portée des enfants.
- +Conserver à température ambiante (15-25 °C) et hors de portée des enfants.
-Mars 2024.
-[Version 103 F]
- +Avril 2025.
- +[Version 104 F]
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